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lobby - Page 684

  • Un gendarme qui a participé à l’arrestation d’Adama Traoré raconte: « il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites »

    Un des fonctionnaires qui a participé à l’interpellation d’Adama Traoré, le 19 juillet 2016, avait déjà effectué « 3 ou 4 » interpellations houleuses dans les années précédentes. L’avocat de la famille demande que « toutes les procédures » impliquant Adama Traoré et les gendarmes présents le 19 juillet soit versées au dossier.

    […] En cause, les déclarations du gendarme nommé « Romain » devant l’IGGN (le service d’enquête interne à la gendarmerie) le 29 juillet 2016 : « Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation mais peut être trois ou quatre fois en 3 ans. A chaque fois, cela s’est toujours mal passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites ».

    L’avocat de la famille s’interroge donc sur l’existence d’un « différend » entre des membres des forces de l’ordre et Adama Traoré. […]

    Yassine Bouzrou déduit de ces faits qu’il existait une « animosité » entre le gendarme et Adama Traoré et s’interroge sur une volonté de « vengeance » du gendarme.

    […] L’avocat du gendarme concerné, Rodolphe Bosselut dénonce un « feuilleton » entretenu par l’avocat de la famille : « Découvrir au bout de quatre ans d’instruction qu’il y aurait encore des actes à réaliser ou des témoins-clefs à interroger, déclare l’avocat à RTL, c’est la preuve d’une seule chose : la volonté de faire durer artificiellement le dossier pour l’exploiter médiatiquement ».

    RTL via FDS

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-gendarme-qui-a-participe-a-larrestation-dadama-traore-raconte-il-y-a-toujours-eu-une-opposition-violente-de-cet-individu-il-y-a-eu-des-violences-des-rebellions-des-outrages-des-fuit

  • Elite médiatique et coup de force, par Philippe Germain.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie  : (13/14)

    Le coup «  par le haut »

    Au début 2016, pour déployer son scénario dégagiste, l’Etablissement à besoin d’un présidentiable incarnant son projet. Les influenceurs Alain Minc et Jacques Attali lui proposent Emmanuel Macron, Technocrate sortie de l’ENA, banquier d’Affaire, ancien secrétaire-adjoint de l’Élysée et actuel ministre de l’économie. Celui-même qui au mois de mars 2016 présente François Hollande comme « le candidat légitime » de son camp.

    Pourtant, un mois après, Macron annonce sa volonté de se présenter à l’élection présidentielle. Minc et Attali ont exécuté la phase décisive du scénario. Une équipe de campagne est discrètement constituée de technocrates issus des cabinets ministériels. Fin aout Macron démissionne du gouvernement. L’acteur du futur «  hold-up démocratique  » est en place.

    La seconde phase du scénario est celle du déblaiement. Celle du «  modèle de révolution gantée  » dirait Charles Maurras. C’est une séquence très courte. En novembre 2016 Macron annonce formellement sa candidature et à la stupéfaction générale, quatorze jours plus tard Hollande renonce à se représenter. Les amateurs de Si le coup de force est possible (1908), reconnaissent dans le président de la République, le Monk permettant à la Technocratie de sauver le pays légal affaibli. Effectivement le désistement du Président de la V° République s’apparente au «  coup n° 1  ». Celui-ci, précise Maurras, est «  frappé d’en haut  » soit par le maitre de l’heure, le chef d’Armée, ou par le chef de l’Etat. Par son renoncement inédit dans l’histoire de la V° République, le chef de l’Etat ouvre la voie au scénario dégagiste des dynasties républicaines.

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  • Face au racisme des pro-Traoré, de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc

    Face au racisme des pro-Traoré,  de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc

    Ce samedi 13 juin, vers 14h45, une banderole sur laquelle est inscrit

    « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc – White Lives Matter »

    a été déployée sur le toit d’un immeuble donnant sur la place de la République à Paris, en pleine manifestation organisée par le comité « La vérité pour Adama ».

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  • Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes !

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    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut : d’abord, il y a Castaner, occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a dû le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Rantanplan !

    Ainsi, donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi si, bien sûr, elle est d’extrême gauche et importée des États-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les gilets jaunes manifestaient avec, en queue de cortège, les Black Blocs chargés, comme par hasard, de créer les « tensions » en fin de journée afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics !

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  • Dérives gauchistes à l’université

    Dérives gauchistes à l’université

    Message de Xavier Nicolas, rédacteur en chef de Campus Vox:

    L’université française traverse à l’image de toute la société une crise grave. Bien loin des querelles idéologiques habituelles elle fait face aujourd’hui à un péril bien plus important encore. Vous le savez, le déconstructivisme prolifère de plus en plus dans ce lieu où l’on forme la jeunesse de demain. Les nouvelles théories décoloniales, indigénistes, racialistes, de théorie du genre, gangrènent peu à peu les enseignements et la recherche. Par exemple, aujourd’hui il est pratiquement impossible de financer des sujets de recherche si vous n’y apportez pas une perspective décoloniale ou genrée.

    L’extrême gauche est par ailleurs de plus en plus violente, et de plus en plus totalitaire. Combien de conférences sont annulées chaque année pour la simple et bonne raison qu’elles « dérangent » une minorité d’étudiants qui font céder les universités. Combien d’examens ont été perturbés, d’élèves lynchés et empêchés d’aller en cours pendant plus de la moitié de l’année ? Vous le savez bien, beaucoup trop.

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  • Esclavage : 12 choses méconnues. Attention au choc !

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    L’excellente revue d’études et de formation politique L’Héritage (abonnez-vous y !)  publie cet excellent rappel :

    On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

    Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

    Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même ceux qui parlent le plus d’esclavage.
    Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

    1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

    2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs dans la mesure où, auparavant, en cas de conflit, les hommes vaincus étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

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  • Macron veut-il humilier le peuple de France ?, par Olivier Perceval.

    Après le gouvernement des hommes par la peur, voilà celui de la honte et de la repentance qui refait surface. On ne nous laissera pas une minute de répit. Les manifestations dans le monde entier, qui se veulent antiracistes, mais en réalité terriblement et dangereusement racialistes sont animées par les mêmes bobos moralisateurs qui distillaient la peur hier et invitent à la honte collective aujourd’hui. Les donneurs de leçon sont toujours reconnaissables au discours usé de bourgeois de gauche en permanence dans la détestation de leur héritage culturel.

    Ils reçoivent aujourd’hui l’appui de communautés, groupusculaires et non représentatives, qui profitent de l’aubaine pour exiger des blancs qu’ils se mettent à genou afin d’expier les fautes de leurs ancêtres. Pour ces incultes (mais l’on peut douter de leur réelle ignorance) « La France, l’État français est un État totalitaire, terroriste, esclavagiste, colonialiste »

    Les médias s’extasient devant le calme des manifestations en oubliant un peu vite les exploits des casseurs et pillards qui se sont exprimés à leur aise dans les premières heures du mouvement. Bref, à en croire les plateaux télés et radiophoniques, il y aurait consensus : L’Occident est coupable, l’Occident doit s’incliner, l’Occident doit s’humilier et payer…

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  • Après le nouveau reniement de Marine Le Pen...

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    Marine Le Pen rejette les propos de Julien Odoul cliquez ici
    L'avis de Jean-François Touzé
    Jusqu'où iras-tu, Marine, dans la soumission au politiquement correct ? Jusqu'où descendras-tu dans le gouffre du conformisme ? Jusqu'à quel degré de reniement t'abaisseras-tu et entraineras-tu ce qui fut notre Front national ?
    Ta route est tracée. C'est celle qu'emprunta avant toi Gianfranco Fini. Elle l'a mené où l'on sait : au cimetière des renégats et aux oubliettes de la politique.
    Ta nièce, en revanche, en refusant la repentance exigée par les racialistes et en déclarant "Je n'ai pas à m'excuser en tant que blanche", vient d'allumer dans nos coeurs un début de commencement de lueur d'espoir.
    La réaction de Thomas Joly,
    président du Parti de la France
    Contrairement à sa tante, Marine Le Pen, qui n'a rien trouvé de mieux que de désavouer un cadre du RN qui avait rappelé qu'Adama Traoré était une racaille, Marion Maréchal refuse de courber l'échine devant l'actuel déferlement de haine contre notre race et notre civilisation.
    « Je n'ai pas à m'excuser pour la mort d'un Afro-Américain aux États-Unis. Je n'ai pas à m'excuser pour la mort d'un délinquant, Adama Traoré, une mort accidentelle qui a eu lieu à la suite d'une interpellation qui n'était pas liée, c'est important de le rappeler, à sa couleur de peau, mais aux crimes qu'il aurait commis. Je n'ai pas à m'excuser parce que je n'ai colonisé personne, je n'ai mis personne en esclavage de la même manière que tous ces groupes politiques et tous ces militants politiques eux-mêmes n'ont jamais été colonisés ou mis en esclavage »
    Source cliquez ici
  • Le courage de la loi et de l’ordre !, par Christian Vanneste.

    Une peur chasse l’autre, un ennemi remplace l’autre : le Covid-19 s’éloigne. Déjà l’on entend des réflexions sur les excès de panique qu’il a suscités. Il est vrai que les pays qui ont su l’affronter avec une méthode efficace n’en ont subi que des effets mesurés. La France n’est pas de ceux-là. La vague virale a atteint l’Amérique après l’Europe. On peut s’étonner qu’un vaste mouvement de protestation rassemblant des foules ait lieu aux Etats-Unis alors que l’épidémie y sévit encore fortement.

    Un Afro-Américain court davantage le risque d’être tué par un membre de sa « communauté » que par un policier, mais l’image insupportable, ici celle d’un policier étranglant avec le genou sur le cou un homme noir interpellé, a, comme d’habitude, servi de détonateur à une onde de choc psychologique et planétaire. Une video, un slogan devenu un mouvement, « Black Lives Matter », des rassemblements, des défilés, parfois des émeutes avec violences, vols et incendies, le rite des policiers un genou à terre pour communier avec l’émotion collective : tout ceci, en dépit des risques sanitaires de l’épidémie, correspond à un trait typique de nos sociétés post-modernes où les emballements affectifs denses et courts dans le temps, relayés par les médias dans le monde entier, se propagent par mimétisme, chacun croyant devoir déposer sa fleur, faire son geste, pour avoir l’âme en paix, dans un élan processionnaire, quasi religieux, et quelque peu masochiste. Le racisme a chassé le Covid comme ennemi n°1. Il s’agit bien sûr du racisme blanc contre les noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui décidément ne vaudrait plus rien. Dans l’autre sens, ça ne compte pas, car c’est une juste revanche des opprimés contre les oppresseurs. Il y a longtemps que les raisonnements ont déserté la bulle médiatique dans laquelle nous vivons. Plus que jamais, chacun ne se sent lui-même qu’en sentant comme les autres…

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  • La grande peur du ministre de l'Intérieur

    6a00d8341c715453ef0263e94fbbc9200b-320wiL'information hélas remonte à plusieurs jours. Elle avait été communiquée à votre chroniqueur avant même la déferlante délirante des derniers jours. Ce que craint par-dessus tout le cabinet du Castaner, étayé par les rapports de la sécurité territoriale, ce ne relèverait ni de la reprise des activités islamo-terroristes sur notre sol, ni de la remobilisation gauchiste ou cégétiste. Ce qui les inquiète viendraient des éléments les plus jeunes et les plus exposés de la police nationale et des forces de l'ordre de notre pays : ils n'en peuvent plus de subir à sens unique les provocations des délinquants, revendeurs de drogue, et autres petits caporaux du quadrillage des cités.

    Les anciennes banlieues rouges ne sont certes plus encadrées, dira-t-on, par les gros bras du PCF, car leur potentiel insurrectionnel s'est déplacé vers les ramifications de l'islamisme.

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