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Déclaration des droits des mâles blancs cisgenres privilégiés volume 2!
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La France des ploucs, par Aristide Renou.
La France des ploucs, ceux qui roulent au diesel et qui fument des clopes. Heureusement que la France de ceux qui envoient des vidéos de leur quéquette à leur maîtresse est là pour prendre leur destin en main (sinon, où irait-on?)
"Cette violence de la mondialisation sous parapluie européen, du reste, est une donnée qui n’est pas appréhendée par les élites françaises. Pour elles, l’ouverture des frontières européennes, la libéralisation des échanges, la fin des monopoles, la banalisation de la langue anglaise, l’avènement de l’euro, l’arrivée de la main-d’œuvre immigrée à bas coût, le règne d’un droit abstrait et impersonnel, l’envolée des prix de l’immobilier des métropoles (là où elles possèdent leurs biens), la transformation brutale des modes de vie, tout cela est perçu comme autant d’opportunités nouvelles.
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Coronavirus : la « bombe sanitaire » des camps de migrants
On sait que la distanciation sociale est un élément fondamental pour éviter la contagion. Déjà difficile à envisager dans des communautés telles que les EHPAD – surtout quand on nous expliquait, fin janvier, qu’en France, « les risques de propagation du coronavirus sont très faibles » (Buzyn) -, il est des lieux où éviter la promiscuité est tout simplement irréalisable : les foyers de migrants.
Dans un article du Monde dépeignant, dans un département à contourner si vous arrivez de Roissy, un hangar-squat de 700 m2 où 270 sans-papiers se partagent 110 lits superposés à touche-touche avec une seule douche, un « collectif de soutien » alerte sur cette « bombe sanitaire à désamorcer d’urgence ». Et elle n’est pas la seule : il y a treize foyers dans la ville…
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Le multiculturalisme comme idéologie
Dans un délicieux recueil de vers quelque peu oublié aujourd'hui, Victor Hugo, en 1880, eut l'idée ingénieuse et sarcastique de faire dialoguer en alexandrins Emmanuel Kant, le fondateur des Lumières allemandes et européennes, avec un âne, au demeurant fort prolixe et impertinent. Car l'animal ne lançait-il pas d'entrée de jeu au génie de Kônigsberg : « Et les cailloux sont doux et la raclée est bonne /À côté de ceci suivre un cours en Sorbonne. »
Ces vers hugoliens reviennent toujours malicieusement en mémoire lorsque l'on croise, dans la prose d'un quotidien ou une rue du quartier latin, l'illustre mandarin Alain Renaut, intellectuel « social-libéral » et néo-kantien, titulaire à la Sorbonne, dont il dirige depuis vingt ans l'UFR de philosophie, d'une chaire consacrée à la politique et à l'éthique. Car quiconque fut, comme l'auteur de ces lignes, étudiant à la Sorbonne à partir des années 1990, ne peut que garder à jamais en mémoire l'écho de la voix précieuse et haut perchée de cet homme improbable, aux traits mous et à la nervosité maniérée, qui évoluait entre les plus hauts représentants de l'heideggerisme français un peu à la manière cauteleuse et prudente d'une patronne de ligue de vertu cernée par des mauvais garçons aux mains baladeuses.
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Confiner les personnes âgées jusqu’à la fin de l’année ! Le projet dictatorial de la Commission européenne
Vous reprendrez bien un peu de confinement ? Surtout pour les personnes âgées… C’est en substance le message de la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen.
Dans un entretien au quotidien allemand Bild, Ursula Von der Leyen prévient : la recommandation européenne sera de maintenir le confinement des personnes âgées jusqu’à la fin de l’année !
“Je sais que c’est difficile et que l’isolement pèse mais c’est une question de vie ou de mort“, a-t-elle dit. Une phrase à double sens !
En gros, pour éviter aux personnes âgées le risque d’attraper le coronavirus, la présidente de la Commission européenne recommande d’emprisonner les personnes âgées. Soit elles seront euthanasiées, soit on les incitera à se laisser mourir puisqu’on leur annonce qu’elles n’auront plus l’autorisation de voir ni famille ni amis pendant près d’une année entière.
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Le talon d'Achille de l'Allemagne
Malgré Angéla, la géante, nos voisins d’outre-Rhin connaissent avec un peu de retard la même décomposition politique que nous, parce qu’en politique aussi, les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Annegret Kramp-Karrenbauer, familièrement surnommée « AKK », n'aura pas résisté - à la pression, ou à son propre sentiment d'incapacité. En jetant l'éponge, en renonçant à la présidence de la CDU et de ce fait à la succession, quasi automatique, d'Angela Merkel à la Chancellerie, le ministre de la Défense plonge l'Allemagne dans une crise politique, qui précipite le déclin annoncé de l'actuel chancelier. Mais cette crise allemande est aussi, et peut-être avant tout, une crise de l'Union européenne.
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Le temps des assassins
Comme les demandes d’accès à l’avortement ont baissé partout en France depuis le début du confinement, la Haute autorité de santé vient d’autoriser l’accès à l’avortement médicamenteuse à domicile jusqu’à neuf semaines, au lieu de 7.
Comme le dit Eric Zemmour, c’est paradoxal, malsain et pervers. Cette pandémie nous ramène au fondement de la médecine : sauver la vie.
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Après l’Eurogroupe, l’Union européenne est la nouvelle victime du coronavirus !
Bernard Monot
En dépit de la gesticulation médiatique des dirigeants européens pour tenter de nous faire croire que l’Europe a toujours un bel avenir, la preuve est faite que leurs désaccords sont trop profonds, explique Bernard Monot, ancien député européen et stratégiste économique. Tribune.
Tout comme le Conseil européen du 26 mars dernier, la réunion de la dernière chance entre les 27 ministres des Finances de l’Union européenne dite « Eurogroupe » pour préparer des solutions ambitieuses et communes, n’est parvenue à aucun accord sur les moyens de sortir des crises multiples : sanitaire, économique et de confiance. C’est une impasse totale. Pourtant depuis le début de la catastrophe sanitaire du Covid-19, les gesticulations médiatiques des dirigeants de l’UE, pour tenter de faire croire aux peuples européens qu’il existe une « souveraineté européenne », ne marchent plus.
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Laurent Obertone : « Pour nos dirigeants, rétablir les frontières n’est qu’une question de communication, et dès que ça se calmera, ils s’empresseront de les abolir de nouveau ! »
Laurent Obertone rappelle que d’un point de vue progressiste, toute frontière est un scandale permanent. Elle symbolise la cellule d’un organisme à part entière… Il rappelle donc que le rétablissement des frontières n’est qu’une question de communication. Et dès que ça se calmera, les dirigeants actuels s’empresseront de les abolir de nouveau.
Découvrez cet entretien publié sur le site Boulevard Voltaire.Un clandestin « déséquilibré » soudanais poignarde au hasard dans les rues, il fallait s’y attendre ?
Pour une fois, il n’est pas présenté comme un « déséquilibré ». On ne lui connaît pas d’antécédents psychiatriques. Il s’agit simplement d’un brave réfugié qui, n’écoutant que son courage, a fui la guerre pour venir la faire ici. Il est installé depuis 2017 et se plaignait, selon le parquet antiterroriste, de « vivre dans un pays de mécréants ». Il semble qu’il n’ait pas eu la présence d’esprit, durant sa longue fuite, de privilégier une terre d’islam.
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Droits de l’homme ou Salut public ?
Bernard Plouvier
Depuis le milieu des années 2010, les nouveaux fous d’Allah, les fanatiques djihadistes de « l’islam radical » (si tant est que ces deux mots ne forment pas un pléonasme) se sont lancés dans le terrorisme tous azimuts.
Par l’utilisation de moyens inédits et très spectaculaires – tueries de masse et décapitations filmées, enfants et femmes kamikazes, vandalisme architectural, maniement en virtuose de tous les moyens de communication et du camion-bélier, en plus des classiques poignards ou de leur version moderne, le couteau en céramique, et de l’inusable kalachnikov -, ils ont créé puis entretenu l’enthousiasme meurtrier des moins accessibles au raisonnement : les jeunes gens à la fois obsessionnels, incultes et mal insérés dans la société... les tueurs d’allah se recrutent en grande partie chez les délinquants qui se recyclent par désir de « bonne conscience ».