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lobby - Page 714

  • Lettre ouverte aux féministes qui luttent contre l’islamophobie

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    Par Julius Muzart, ancien haut fonctionnaire (ER), enseignant en droit public, essayiste ♦ La lecture des listes de signataires des appels à manifester est un exercice fastidieux mais édifiant. Notamment sur le « qui soutient quoi ». La plupart du temps, il est vrai, les listes sont des « copiés-collés », les associations et groupes d’ultra gauche ayant l’habitude de déposent leur signature en permanence auprès de leurs homologues pour être sûres de soutenir sans faute tout et n’importe quoi. C’est pour ça, par exemple qu’on retrouve partout le PCF, la CGT, SUD, la Ligue des droits de l’Homme, le MRAP, le syndicat de la magistrature et bien d’autres. Et pourtant, cette lecture offre parfois des surprises.
    Défenseurs des droits des femmes et de l’islam
    Quand une personne ou une organisation participe le lundi à une manifestation pour défendre une chose, et le mardi, à une manif qui défend le contraire, vous vous dites sans doute qu’ils doivent être très cyniques, ou très incultes, ou très bêtes. Bien souvent, c’est les trois à la fois.

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  • Racisme anti-Blancs, la face sombre du communautarisme

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    « Si c’est pas systémique, c’est pas raciste » : Derrière le jargon sociologique, on trouve un négationnisme à grande échelle du racisme anti-blanc. On s’explique mal un tel acharnement à nier ce qui crève les yeux, et pourtant le projet de ces communautaristes est éminemment pervers et dangereux.

    La vidéo tourne en boucle sur les réseaux sociaux. Publiée par France info (vos impôts), elle montre Eric Fassin, professeur de sociologie à Paris VIII, expliquer doctement que pour sa discipline, « le racisme anti-blanc, ça n'existe pas, ça n'a pas de sens ».

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  • Une fois de plus, l’Europe plie le genou devant la Turquie d’Erdoğan !

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    Le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, le socialiste espagnol Josep Borrell, vient d’appeler « Damas et ses alliés » à arrêter l’escalade de la violence… L’expression est accusatrice et pointe du doigt le gouvernement syrien. On pourrait pourtant décrire la situation de tout autre manière : l’armée syrienne, avec le soutien des alliés présents à ses côtés à la demande du gouvernement légal de Syrie, libère le territoire de la présence de rebelles en grande partie venus de l’étranger. Plus d’escalade mais, au contraire, le rétablissement du contrôle du gouvernement sur le territoire dont il a la charge. En opposant les deux points de vue, on mesure la partialité de l’Union européenne et de son « haut représentant ». Le voilà donc qui s’immisce dans la politique intérieure d’un pays souverain pour lui interdire de retrouver sa souveraineté sur la totalité de son sol, pour protéger une zone rebelle.

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  • Le désordre mondial : 3/3

    Source : Entretien publié par le magazine Rébellion

    En réalité, le principe de séparation des pouvoirs tel que mis en œuvre par les institutions issues du XVIIIème siècle est la pure et simple négation du concept de « pouvoir politique ». Le pouvoir que les principaux financiers ont pris sur les États est, par ailleurs, de type autoritaire car il est réellement dépourvu de tout contrepouvoir effectif. Ce phénomène est dû à l’anonymat dont ont su s’entourer les banquiers-commerçants à la manœuvre.

    Les cryptomonnaies comme le Bitcoin sont-elles des alternatives au système financier ?
    Pour répondre à cette question il faut revenir aux fondamentaux de la monnaie et plus particulièrement à la raison de son apparition sur Terre il y a fort longtemps. Avant même d’être matérialisée, la monnaie a toujours été un concept comptable, une unité de compte servant à mesurer la valeur des biens échangés de façon à faciliter les échanges, c’est-à-dire les flux de biens et services sur un territoire déterminé. Initialement, la monnaie n’est pas une réserve de valeur au sens où elle n’a pas, en soi, de valeur propre ; elle est un simple instrument de mesure de la valeur des biens et services. Pour être utile, le concept de monnaie doit donc être accepté par tous ses utilisateurs, il devient dès lors une institution publique de nature politique.

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  • Le désordre mondial : 2/3

    Source : Entretien publié par le magazine Rébellion

    A la mi-2019, nous en sommes là des évolutions financières mondiales. Ce stade de développement monétaire sera – et est d’ores et déjà – utilisé par les banquiers commerçants pour faire avancer leur agenda de monnaie mondiale, elle-même rendant « indispensable » l’avènement du futur gouvernement mondial en charge de réglementer l’économie et les populations. Les déboires financiers mondiaux vont permettre, par la décrédibilisation du dollar en tant que monnaie mondiale, de mettre en place une monnaie mondiale viable, qui prend aujourd’hui la forme des DTS (droits de tirage spéciaux) dans le même temps qu’il va faire disparaître l’empire américain de façon à laisser la place à un futur gouvernement mondial. [Mais que restera-t-il des USA, NdSF] C’est dans le contexte nouveau des DTS monnaie mondiale qu’il faut comprendre la récente réhabilitation, par la BRI, du statut de l’or dans les bilans des banques (des banques privées et, par voie de conséquence, des banques centrales). Depuis le 29 mars 2019, l’or n’est désormais plus considéré comme étant un « actif à risque » pour les banques qui peuvent dès lors l’acheter et le revendre sans autre restriction comptable.

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  • Le désordre mondial : 1/3

    Source : Entretien publié par le magazine Rébellion

    Quelle est l’origine historique de ce « désordre mondial » que votre dernier livre analyse en détail ?

    La question du désordre mondial doit effectivement être posée dans ces termes. L’histoire nous renseigne mieux que quoi que ce soit et que quiconque sur l’origine des événements géopolitiques actuels. Le tournant politique qui annonce les événements que nous connaissons se trouve au XVIIème siècle et plus particulièrement dans le mouvement de bascule politique initié par les Révolutions que nous qualifierions aujourd’hui de « colorées ». En France, les mécontentements populaires avaient eux-mêmes été créés, dans une très large mesure, par la libéralisation des prix du grain initiée par les banquiers-commerçants présents au sein du gouvernement royal. La fabrication, largement volontaire, de la paupérisation populaire ajoutée à des mécontentements structurels et conjoncturels inhérents à tout type de société ont été le terreau sur lequel se sont développées les émeutes bientôt transformées en Révolution.

    Ces mouvements de masse ont par ailleurs été largement manipulés, encadrés et armés par des personnes répondant à une feuille de route, précise, qui avait pour objectif de renverser l’ordre politique en vigueur fondé sur l’organisation de la Société en trois Ordres. De ces trois Ordres, chacun sait que seuls les deux premiers, à savoir la Noblesse et le Clergé, occupaient alors le pouvoir. Même s’il existait une porosité entre les Ordres de la Noblesse et du Clergé – dont les fonctions étaient souvent occupées par les enfants d’une même famille – il n’en restait pas moins que ces deux Ordres obéissaient à une hiérarchie distincte. Les deux Ordres fonctionnaient en conséquence, l’un vis-à-vis de l’autre, comme des contre-pouvoirs effectifs. C’est précisément en raison de l’existence de ce contrepouvoir que la bourgeoisie commerçante a pu se développer puis prospérer jusqu’à acquérir dans la Société une place quantitative – sinon prééminente (qu’elle détient actuellement) – de plus en plus importante.
    C’est sur cette bourgeoisie commerçante en plein essor que les banquiers-commerçants, c’est-à-dire les changeurs et orfèvres du Moyen-Âge, se sont appuyés pour initier leurs grandes manœuvres politiques.

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  • Alain de Benoist : « Socialement dominé, le bloc populaire est aujourd’hui démocratiquement majoritaire »

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    Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ».

    NICOLAS GAUTHIER. Warren Buffet, le milliardaire américain qu’on sait, a un jour déclaré en substance : « Bien sûr que la lutte des classes existe, la preuve en est que c’est la mienne qui l’a gagnée ! » Cette notion de « lutte des classes » ne saurait évidemment tout expliquer, mais il n’en est pas moins vrai qu’elle a été longtemps évacuée du débat médiatique. Ne serait-il pas opportun de la remettre à l’honneur ?

    ALAIN DE BENOIST : Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ». Mais chez Buffet, on voit bien aussi que l’arrogance naïve le dispute au mépris de classe. Je réponds donc à votre question : oui, la lutte des classes est sans doute ce qui caractérise le mieux la situation actuelle dans notre pays. Dans son dernier livre (Bloc contre bloc. La dynamisme du macronisme, Cerf), qu’il faut lire en parallèle avec les travaux de Christophe Guilluy, Jérôme Sainte-Marie, excellent observateur de la vie politique française, le souligne avec force : « La cohérence entre le vote de classe aux élections et la condition sociale des électeurs aura rarement été aussi évidente qu’aujourd’hui. »

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  • Zoom – Philippe Milliau, Pdt de TVLibertés : De la sécession des « élites » mondialisées

    A l’occasion des traditionnels voeux de Nouvel An, Philippe Milliau, président de TVLibertés, dénonce vivement les « élites » mondialisées qui se sont accaparées le destin de la France : « Ces élites se sont connectées entre-elles et ont créé un micro-milieu purulent totalement décroché des peuples dont elles sont pourtant issues. Elles font sécession » .

    Le président de la première chaine alternative de France évoque aussi les fruits amers nés de cette sécession comme le « grand » remplacement des populations ou la liquidation de l’ordre naturel. Des fruits amers révélés par les Gilets jaunes ou par les luttes ou révoltes sociales.

    Rappelant enfin la solidité des convictions qui animent tous les acteurs de la chaîne, Philippe Milliau, s’adressant aux téléspectateurs et donateurs de TVLibertés, forme le voeu que toutes les énergies soient mobilisées dans l’action impérative de transmettre aux générations futures.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-philippe-milliau-pdt-de-tvlibertes-de-la-secession-des-elites-mondialisees

  • Quand les journalistes doivent passer... à l'Est

    Frédéric Taddeï trouve refuge sur la chaîne russe RT pour animer des débats en toute indépendance, les défenseurs de la liberté d’expression s’offusquent - les mêmes qui réclament qu’Éric Zemmour soit banni de tous les plateaux TV vous trouvez ça bizarre ?

    Frédéric Taddeï « sur Russia Today, chaîne d'information russe financée directement par le Kremlin », s'indigne Sonia Devillers sur France Inter ! Taddeï, un journaliste réputé pour son indépendance, mais sa « liberté d'expression qui lui est si chère est-elle compatible avec un régime qui enferme des journalistes et muselle ses opposants ? » poursuit l'inquisitrice. Et ils sont nombreux comme elle, dans les médias centraux contrôlés par une dizaine de milliardaires ou par l'État français (sans parler de ceux contrôlés par l'État américain, anglais ou qatari), à s'étrangler de fureur et d'indignation devant le passage à l'Est de l'un des seuls journalistes à organiser des débats vraiment pluralistes.

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  • Macron à l'ère du vide !

    C’était le discours qui devait marquer les esprits ; Macron, à l’Assemblée générale de l’ONU face à un Trump champion des relations bilatérales et de la force. Mais derrière les grands mots, pas grand chose pour convaincre une salle presque vide.

    C’est curieux chez Macron ce besoin de faire des phrases, insultantes pour les Français, surtout quand il est à l'étranger. Alors, à l'Assemblée générale des Nations unies, vous pensez qu'il n'allait pas se priver ! Si sa Nième pique contre le pays qu'il dirige aura marqué les esprits, « la France a fait beaucoup d'erreurs, et de mauvaises choses ! », elle n'est pas révélatrice que de son mépris comme congénital pour le pays. Ce n'est même pas le plus grave, loin de là.

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