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lobby - Page 716

  • Nouvelle vague de migrants : tous les chemins mènent à Paris ?

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    Des milliers de jeunes hommes (d’après l’Organisation internationale des migrations [OIM], au moins 13.000 ; les Turcs parlent de 78.000 personnes) amassés sur les côtes turques, arrivés en trains, bus, voitures et à pied, donnent l’impression d’assister au déclenchement d’une grande offensive militaire contre l’Europe. Sauf qu’il s’agit de civils, syriens en majorité. Ils s’apprêteraient à envahir l’Europe au signal d’Erdoğan. Ce dernier leur a indiqué les itinéraires à suivre via des cartes de la télé turque. Toutes ces routes mènent à Paris et Berlin. Pourquoi vers la France et l’Allemagne ? Parce qu’il sait que leurs dirigeants sont des capitulards qui laisseront les États-Unis, la Russie, l’Iran, la Turquie et les pays du Golfe s’essuyer leurs pieds sur eux.

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  • Primaire démocrate aux Etats-Unis : le candidat LGBT jette l’éponge

    Primaire démocrate aux Etats-Unis : le candidat LGBT jette l’éponge

    Le candidat inverti à l’investiture démocrate a été tellement vexé de son score de 8% en Caroline du Sud qu’il abandonne la course à la primaire. Il a fini par comprendre que l’aversion des noirs pour son « orientation sexuelle » rendait son élection impossible. Son retrait a lieu la veille du « super-mardi », ce qui devrait doper les chances de Biden face à Sanders.

    Tweet de Donald Trump :

    Voir le tweet

    Pete Buttigieg est hors-course. Toutes ses voix du Super Tuesday vont aller à Joe-Biden-l’endormi. Joli timing. C’est le début des manœuvres des démocrates pour s’assurer que Bernie soit éliminé.

    https://www.lesalonbeige.fr/primaire-democrate-aux-etats-unis-le-candidat-lgbt-jette-leponge/

  • Sur Figaro Vox, Éric Zemmour: «L’immigration, la grande peur des penseurs libres».

    La France est menacée. Vouée à la guerre civile au pire, à la partition au mieux, selon l’ancien directeur-général de la DGSE Pierre Brochand.

    On le confond souvent avec son frère, le publicitaire et ancien maire de Cannes Bernard. Mais à son âge vénérable, on fait fi de ce genre de vanités. Pierre Brochand est ce qu’on appelait naguère avec admiration un grand serviteur de l’État. Ambassadeur de France, ayant fait l’essentiel de sa carrière à l’étranger, il revint dans notre pays diriger la DGSE (le contre-espionnage français) sous les mandats de Chirac et Sarkozy

    Il en a tiré une expérience incomparable des dangers qui menacent la France. Il y a quelques mois, il avait présenté devant la Res Publica, fondation dirigée par Jean-Pierre Chevènement, une fresque historique et sociologique d’une haute tenue. Le texte long, fouillé, brillant,parfois ardu, déroulant une pensée impeccablement rangée en tiroirs, avait eu l’heur d’être repéré par Marcel Gauchet lui-même. Mais la consécration intellectuelle n’a pas créé d’écho médiatique. Seul Le Figaro, la semaine dernière, lui a donné la parole.

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  • Nous sommes ballottés d’une peur à l’autre…, par Christian Vanneste.

    Voici revenues les grandes peurs… Evidemment, ce ne sont plus celles du Moyen-âge : ni le diable, ni les sorcières, ni les loups ne rodent plus dans l’imaginaire collectif en faisant trembler d’effroi les enfants. Mais quand même, la grande peste, celle de 1346, semble de retour. Elle avait décimé l’Europe, vidé certaines villes de leurs habitants, réduit les échanges commerciaux et ruiné définitivement les prospères foires de Champagne. La Renaissance a du attendre un siècle avant de franchir les Alpes. Certes, le Covid-19 est de son temps, un virus plus sournois que la bactérie de la peste, qui s’attaque à une humanité beaucoup mieux armée pour lutter contre les maladies et retarder la mort. La propagation est rapide et assez surprenante, mais les cas mortels demeurent très minoritaires.

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  • Eric Zemmour : “Il n’y a plus d’assimilation, il n’y a même plus d’intégration”

    Eric Zemmour revient sur l’interview dans le Figaro de Pierre Brochand, ancien patron de la DGSE. Il partage ses inquiétudes sur les risques de partitions de notre pays, dus, selon lui, à un manque d’assimilation et à un excès de l’individualisme.

    Découvrez cet extrait tiré de la chronique “Les insolences d’Eric Zemmour” du 28 février 2020.

  • États-Unis : la justice valide le droit de censure de Google sur YouTube

    La liberté d’expression aux États-Unis n’empêche pas les géants de la tech, comme Google, de supprimer des contenus sur leurs plates-formes. La cour d’appel de San Francisco a jugé mercredi 26 février que cette censure n’enfreignait pas la Constitution américaine.

    La décision des juges rejette la plainte d’un média conservateur, PragerU, qui accusait YouTube d’avoir bafoué le premier amendement de la Constitution qui régit notamment la liberté d’expression et de la presse. Selon le jugement, il s’applique aux institutions gouvernementales, mais pas aux entités privées. Or, malgré ses deux milliards d’utilisateurs mensuels, YouTube, propriété de Google, « reste un forum privé, pas un forum public soumis à l’examen de la justice en vertu du premier amendement », écrit la cour d’appel.

    « Ce jugement est bien sûr une déception, mais nous n’allons pas abandonner la lutte et allons continuer à alerter le public sur la censure des idées conservatrices par les géants de la tech », a déclaré le responsable du marketing de PragerU, Craig Strazzeri.

    Pour lire la suite, c’est ici !

    https://fr.novopress.info/

  • Clichés et poncifs sur l’école libre

    Clichés et poncifs sur l’école libre

    Anne Coffinier dénonce les fakes news sur les écoles hors-contrat :

    Quand une personne ou une institution autre que l’Etat ouvre une école, elle est obligatoirement hors contrat. C’est la loi ! Pas un choix. C’est seulement après 5 ans d’existence qu’un tel établissement peut demander à passer sous contrat avec l’Etat. Seulement, en pratique, l’Etat n’accorde presque aucun contrat, surtout en période de budgets publics contraints. Aux écoles de se serrer la ceinture !

    Parlons à présent de ce qu’on appelle « l’école à la maison »  : elle concerne les enfants qui sont suivis par un précepteur ou bien par leurs parents, avec ou sans le soutien d’un cours par correspondance. La tendance est à la mode, tant elle répond à des situations de détresse, de harcèlement ou de phobie scolaire par exemple… Certaines familles choisissent aussi tout simplement de garder leurs enfants à la maison, parce qu’elles considèrent que les ressources de l’économie de l’information et de la connaissance sont la voie d’avenir pour instruire. Il faut y voir aussi un mouvement de société, qui tend à privilégier l’idée qu’il revient à l’enseignement de s’adapter aux enfants plutôt que l’inverse. Signe des temps, ce mouvement est global. Bien des artistes en herbe et des futurs sportifs de haut-niveau pratiquent  l’école à la maison…

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  • Après Arcelor Mittal, Arjowiggins, Michelin à la Roche-sur-Yon, Ibiden, Bosch à Rodez, Ford à Blanquefort, c’est maintenant Renault à nouveau la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?

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    Pieter Kerstens

    Lors de l’adoption du traité de Maastricht, en vigueur depuis le 1er novembre 1993, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous avaient clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles, permettant « plus de bonheur » à chacun.

    On peut en conclure que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre mondial.

    Les nationalistes se sont toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévaste tous les secteurs économiques européens, pour le seul bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.

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  • Brexit : Londres menace de mettre fin aux négociations, Bruxelles se prépare à un no-deal

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    Alors que les négociations sur la future relation commerciale entre l’UE et le Royaume-Uni vont commencer, le gouvernement britannique et la Commission européenne campent sur leurs positions, encore très éloignées.

    Le divorce entre le Royaume-Uni et l’Union européenne va-t-il se terminer en mauvais termes ?

    Alors que le 2 mars s’ouvre le premier round des négociations sur la relation commerciale entre l’UE et le Royaume-Uni, pour une durée de 4 jours, Londres et Bruxelles affichent leur détermination à ne pas céder un pouce de terrain, quitte à ne pas trouver d’accord.

    Le gouvernement britannique a ouvert les hostilités ce 27 février, menaçant de claquer la porte des négociations post-Brexit dès juin en l’absence de progrès rapides. En l’état, le fossé existant avec Bruxelles est profond, comme en atteste la publication du mandat de négociation britannique.

    Une des principales pierres d’achoppement est l’exigence de Bruxelles que le Royaume-Uni continue à respecter certaines règles de l’UE sur le long terme, notamment en matière d’aides d’Etat, d’environnement, de droit du travail ou de fiscalité, en contrepartie d’une ouverture très large du marché européen, notamment sans droit de douanes pour les marchandises.

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  • Selon que vous soyez gaulois ou non…

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    La chronique de Philippe Randa

    Rachida Dati ne mâche pas ses mots. Et quels mots ! Que ce soit à l’encontre d’Angela Merkel qui « paie aujourd’hui au prix fort cette ouverture massive des frontières, (dont elle) « n’a pas mesuré les conséquences » (et qu’elle a décidé) « sans anticipation » (déclarations à FranceInfo) ou d’Anne Hidalgo dont elle rappelle les propres déclarations (« Je m’inspire de Mme Merkel en disant moi aussi je veux accueillir massivement, bienvenue aux migrants et aux réfugiés à Paris »), elle en conclue, lapidaire :« Ça a abouti à quoi ? À la dépossession de l’espace public et privé des Parisiens du nord et de l’est de Paris (et à) une explosion de la délinquance… »

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