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  • Entre un million et un million et demi de clandestins en France ?

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    Par André Posokhow, consultant ♦ C’est une question explosive alors que les conséquences de l’immigration pèsent de plus en plus sur une France en proie à des tensions identitaires de plus en plus grandes : combien y a-t-il de clandestins en France ? La réponse est évidemment impossible à l’unité près. Néanmoins, de nombreux indices permettent d’apporter une estimation réaliste. C’est ce qu’André Posokhow a tenté de faire dans les lignes ci-dessous, avec le sérieux et la minutie qui le caractérisent. Et le résultat est à peine croyable : il y aurait entre un million et un million et demi de clandestins dans l’hexagone. Pourtant, les données disponibles rendent ce résultat probable. Reste que cette estimation réalisée par André Posokow réclame d’être confirmée par des travaux gouvernementaux. Mais, dans le domaine de l’immigration, les autorités préfèrent souvent le silence.
    Polémia

    Stabilité annoncée et prudence manifestement trompeuse

    En 2006, une commission d’enquête du Sénat a produit un rapport sur l’immigration clandestine.

    Il y était constaté que rares étaient les personnes que la commission avait entendues qui s’étaient aventurées à fournir une évaluation chiffrée du phénomène. La commission regrettait que, si les chiffres communiqués semblaient vraisemblables, ils demeuraient sujets à caution, compte tenu des lacunes du dispositif statistique.

    Ce rapport a rappelé des estimations antérieures.

    Le précédent rapport du Sénat

    En juin 1998, dans un rapport de la commission d’enquête du Sénat sur les régularisations d’étrangers en situation irrégulière présidée par Paul Masson, il était écrit qu’« une estimation du nombre des clandestins entre 350 000 et 400 000 ne paraît pas éloignée de la réalité »

    Les chiffres avancés par Nicolas Sarkozy

    En 2005, selon Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, entre 200 000 et 400 000 étrangers en situation irrégulière étaient présents sur le territoire national et entre 80 000 et 100 000 migrants illégaux supplémentaires y entreraient chaque année.

    Entre parenthèse, la cohérence entre les chiffres du stock et ceux du flux n’est compréhensible que s’il a été procédé à des régularisations massives.

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  • Union des droites : Julien Aubert (LR) et Guillaume Larrivé (LR) soutiennent Eric Zemmour

    Union des droites : Julien Aubert (LR) et Guillaume Larrivé (LR) soutiennent Eric Zemmour

    Ce soutien apporté par deux candidats à la présidence de LR tout comme celui de Jordan Bardella et Nicolas Bay est une excellente nouvelle. Cela montre qu’il existe encore des hommes politiques courageux qui refusent le diktat odieux de la gauche “morale” et de ses serviles médias. Espérons que ce ne soit pas un effet d’annonce liée à la campagne pour la présidence de LR :

  • Ils défendent les islamistes, plutôt que les polémistes

    Ils défendent les islamistes, plutôt que les polémistes

    2 ans jour pour jour après l’assassinat de Mauranne et Laura tuées par un islamiste à Marseille, le parquet de Paris ouvre une enquête concernant les propos de Zemmour contre les islamistes et l’islam politique, enquête pour « injures publiques » et « provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence ».

    Seul, le sénateur RN a rendu hommage aux deux victimes aujourd’hui :

    Stéphane Ravier @Stephane_Ravier

    Les pouvoirs publics n'ayant pas organisé de commémoration en mémoire de , assassinées par un islamiste clandestin il y a deux ans, les élus du @RNational_off de et moi-même avons déposé nous-mêmes une gerbe.
    Ni oubli ni pardon pour les islamistes.

    Vidéo intégrée

    En septembre, Le Point diffusait une enquête montrant que 49% des musulmans de moins de 25 ans souhaitent que la laïcité s’adapte à l’islam. L’”esprit Charlie” tant défendu par nos dirigeants est déjà bien loin et la justice s’acharne sur un polémiste qui ose poser le problème de l’immigration massive et de l’islamisation, et ses énormes implications démographiques. La dhimmitude a franchi un cap.

    SOS racisme a accusé Eric Zemmour de faire le « commerce de la haine ». Pourtant, les appels à la violence proviennent plutôt des adversaires de l’essayiste. Exemple parmi des dizaines :

    Samedi, la sécurité privée de la Convention a maîtrisé seule un individu fiché qui s’est introduit dans la salle, avant que la police vienne enfin le chercher.

    Edouard Philippe a qualifié de “nauséabond” le discours d’Eric Zemmour à la convention de la droite. Pour lui rafraichir les idées, rappelons sa politique de collaboration affichée avec les islamistes de l’UOIF :

    https://www.lesalonbeige.fr/alors-que-les-islamistes-tuent-le-parquet-de-paris-enquete-sur-un-polemiste/

  • Dimanche 6 octobre : départ à 13h place Edmond Rostand (Paris 6e)

    Dimanche 6 octobre : départ à 13h place Edmond Rostand (Paris 6e)

    Le départ de la manifestation se fera non loin du Sénat.

    Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, souligne :

    « Nous entendons faire entendre aux sénateurs l’inquiétude des familles et des Français. A la différence d’un gouvernement et d’une majorité qui méprisent jour après jour les Français en ne daignant même pas répondre aux inquiétudes exprimées depuis de longs mois, les sénateurs auront bientôt l’occasion de faire preuve de responsabilité et de cœur en agissant pour les générations à venir ».

    La préparation technique de la manifestation unitaire du dimanche 6 octobre est aujourd’hui bien avancée. Plus de 1000 bénévoles sont d’ores et déjà mobilisés pour permettre aux familles de venir manifester. Toutes les conditions de sécurité sont réunies pour permettre au plus grand nombre de venir en famille. Le parcours et les conditions d’accès sont prévus pour les familles.

    Quand toutes les voies de dialogues ont été épuisées et méprisées par le gouvernement, il ne reste qu’une seule solution : la manifestation. Ce mépris se poursuit depuis des mois puisque ni les Etats généraux de la bioéthique 2018, ni la mission d’information parlementaire sur la bioéthique, ni les auditions de la commission spéciale de l’Assemblée nationale n’ont été pris en compte par le gouvernement qui joue le jusqu’au boutisme et entend passer en force. Les débats actuels à l’Assemblée nationale se déroulent dans un climat de tension, à l’image de l’attitude de Richard Ferrand, Président de l’Assemblée nationale, qui a déclaré adopté un amendement important, semble-t-il, n’avait en fait qu’une minorité en sa faveur. Dans le doute, il a même explicitement refusé de procéder à un vote de contrôle. Ce triste épisode traduit la fébrilité du gouvernement et de sa majorité.

    Pour venir de province, vous pouvez emprunter l’un des nombreux cars listés ici.

    Pour devenir volontaire et aider à la bonne marche de cette manifestation, rendez-vous là.

     

  • Bien ! Pas bien ! La grande hypocrisie des journalistes et chroniqueurs !

    Bien ! Pas bien ! La grande hypocrisie des journalistes et chroniqueurs !

    Pas bien : Diffusion par LCI du discours de 30 minutes d’Eric Zemmour (à revoir ici) lors de la convention de la Droite. Vous vous rendez compte : plus de 400 saisines du CSA !

    Tandis que Télérama nazifie Zemmour, le CSA décerne un brevet obligatoire de résistance au PCF [source]

    Bien : Diffusion en direct sur de nombreuses chaînes d’information durant le soi-disant “grand débat” de plus de 30 heures de monologue d’Emmanuel Macron :

    Dans le cadre du Grand débat, Emmanuel Macron a participé à plusieurs séances de questions-réponses avec des maires, certains de plus de six heures, retransmis en intégralité par des chaînes d’informations en continue. Une situation qui irrite plusieurs membres de l’opposition, alors que nous sommes à trois mois d’une échéance électorale importante, avec les Européennes du 26 mai. Mine de rien, Emmanuel Macron n’est-il pas en train de faire campagne au travers du Grand débat ?, s’interrogent-ils en substance (…) Le CSA assure que tout est comptabilisé. [source]

    Pas bien : François Fillon soupçonné d’emplois fictifs concernant Penelope Fillon, son épouse. C’est tout juste si les médias ne souhaitaient pas la suppression de la nationalité française de François Fillon et sa déportation en Guyane…

    Bien : L’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris pour laquelle Jacques Chirac a été condamné (44 emplois fictifs dont 23 retenus). Cela ne dérange visiblement pas les Français qui étaient si prompts à foudroyer François Fillon il y a deux ans…

    https://www.lesalonbeige.fr/bien-pas-bien-la-grande-hypocrisie-des-medias/

  • Rouen, l’une des capitales de l’islam, en France

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    Zineb El Rhazoui, ex-journaliste de l’équipe de Charlie Hebdo, aujourd’hui très mobilisée dans la lutte contre la percée de l’islam en France, nous alertait, ces jours-ci, sur les réseaux sociaux, sur ce qu’il convient d’appeler « une déviance majeure de la laïcité en France ».

    Ainsi, le 28 septembre, en France, à la mairie de Rouen, l’Union des musulmans de France tenait une conférence animée par le Frère musulman Otman Iquioussen, « Les Chemins de l’éducation ». Otman Iquioussen est le fils d’Hassan Iquioussen, prédicateur musulman controversé très actif sur Internet, prosélyte musulman porteur des opinions les plus rétrogrades et liberticides pour la société occidentale.

    C’est donc le maire – socialiste – qui permet à un islamiste de prêcher dans ses murs, apparemment en contravention avec la loi de 1905. Peu de citoyens s’inquiètent de ce fait qui semble, pour beaucoup d’entre eux, insignifiant, au nom d’un angélisme pluriculturel souvent primaire et d’une tolérance malsaine à l’islam.

    Mais pour le maire de Rouen, ce n’est pas une première. Depuis de nombreuses années, sa complaisance à l’islam est récurrente, particulièrement depuis 2008, année qui a vu les socialistes arriver à la mairie de Rouen. Par exemple, fait marquant, Hani Ramadan, le prêcheur, frère (musulman) de Tariq Ramadan, s’est investi de nombreuses fois pour offrir aux Rouennais ses idées « progressistes » sur « Le Fondement de la famille », « Les Maladies de l’âme et leur remède » ou encore – c’est sérieux – « Islam, source de liberté ».

    À la Halle aux Toiles de Rouen, propriété de la commune, l’espace municipal laïque est familier de l’accueil des prêcheurs musulmans qui bafouent systématiquement la loi de 1905. Ainsi peut-on lire sur le site de l’UMR (Union des musulmans de Rouen) à propos des « Jeudis du Savoir [qui] sont une approche thématique de l’islam : Ces sessions d’enseignement ont lieu les jeudis de chaque quinzaine à la Halle aux Toiles de Rouen et sont ouvertes à un large public : musulmans, non musulmans, personnes portant un intérêt à l’islam, à toute personne désireuse d’en approfondir la connaissance. »

    Cette « conférence » sur l’éducation qui s’est tenue dans les locaux de la mairie de Rouen, le 28 septembre, autorisée pour des raisons probablement électoralistes et idéologiques, n’est-elle pas le signe d’une intrusion de plus en plus prégnante de l’islam politique dans notre espace public ?

    Mais Rouen n’est pas la seule ville de France à se commettre avec l’islam en prenant des libertés avec les principes de la laïcité. Bien sûr, cela se manifeste le plus souvent – au nom, justement, de la laïcité – par l’autorisation de construire un « centre culturel » ou une mosquée, qui abritent dans la quasi-totalité des cas une mouvance cultuelle. Il en est ainsi des villes de Marseille, Roubaix, Rennes, Lyon, Bordeaux. Soulignons que toutes, pourtant, ne sont pas dirigées par des maires socialistes. À l’approche des élections municipales, qui se tiendront en 2020, il convient d’être de plus en plus vigilant sur les atteintes majeures à la laïcité, en France, portées par ceux-là mêmes qui devraient en être ses plus farouches défenseurs.

    Jean-Louis Chollet

    https://www.bvoltaire.fr/rouen-lune-des-capitales-de-lislam-en-france/

  • Faut-il réformer l’Aide médicale d’État ?

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    Objet récurrent de désirs de réforme, l’Aide médicale d’État (AME), qui permet aux migrants sans-papiers de se soigner, est à nouveau dans le collimateur. Bonne ou mauvaise idée ?

    Selon les derniers chiffres connus, on compterait 311 000 bénéficiaires de l’Aide médicale d’État (AME). / Jan Schmidt-Whitley/Le Pictorium/MaxPPP

    Le ministère de la santé n’est pas pour, mais le ministère de l’intérieur, si. Et Emmanuel Macron, qui avait pourtant promis pendant sa campagne qu’il ne toucherait pas à l’Aide médicale d’État (AME), serait gagné par l’idée, indiquent plusieurs sources. La volonté de réformer cette prestation, qui permet aux étrangers en situation irrégulière d’être soignés gratuitement, semble se confirmer, à l’approche du débat sur l’immigration au Parlement, attendu le 30 septembre.

    L’Aide médicale d’État à nouveau dans le collimateur

    Premier argument des pro-réforme : le coût. Alors que l’AME représentait moins de 500 millions d’euros par an avant 2010, « le dernier chiffre budgété, c’est 930 millions pour 2019, et on va sans doute dépasser le milliard », relève Pierre-Henri Dumont, député Les Républicains. Une hausse qui s’explique par la forte augmentation du nombre de migrants sans titre, deux tiers des demandeurs d’asile étant déboutés. Selon les derniers chiffres connus, on compterait 311 000 bénéficiaires de l’AME.

    Une question de santé publique

    « Globalement, ce sont des gens en précarité extrême, explique Delphine Fanget, responsable de plaidoyer à Médecins du monde. On estime que le taux de non-recours à l’AME, c’est-à-dire des gens qui y auraient droit mais n’en bénéficient pas, est de 88 %. 56 % des migrants dans nos centres de soins souffrent de pathologies chroniques (diabète, hépatite, hypertension…). 83 % nécessitent un suivi, et 50 % arrivent chez nous en retard de soins. D’autres études ont montré une prépondérance des infections respiratoires, de la gale et de certains épisodes épidémiques, comme la rougeole, la varicelle et la grippe. »

    Le rapport Goasguen-Sirugue, publié en 2015, estimait de son côté que 70 % des coûts résultaient de frais hospitaliers et mentionnait la tuberculose, le VIH, l’accouchement et l’hémodialyse comme principaux motifs de soinsDans ces conditions, reprend Delphine Fanget, « restreindre l’AME aurait des conséquences non seulement sur les patients mais aussi en termes de santé publique ».

    Néanmoins, le gouvernement semble estimer qu’il est difficilement soutenable de demander aux citoyens de cotiser à la Sécurité sociale tout en laissant filer des dépenses aux profits de patients clandestins. La piste de la création d’un ticket modérateur, comme cela avait été le cas entre 2011 et 2012 avec la mise en place d’un timbre de 30 €, ne semble plus envisagée.

    Réduire le panier de soins ?

    En revanche, la réduction du panier de soins couverts tient la corde. La droite propose régulièrement « un panier de soins limité aux risques de contamination de maladies graves ou aux soins urgents ou vitaux », résume Pierre-Henri Dumont. « Mais est-ce que ça veut dire qu’on refuse la prise en charge d’une bronchite ou d’une hypertension grave ? Est-ce que, après la tuerie de Villeurbanne, on va restreindre les soins psychiatriques ? », interroge Aurélien Taché, député LREM défavorable à une remise en cause de l’AME. « Globalement, sur le terrain, on voit plus de gens qui manquent de soins que de gens qui abusent », ajoute-t-il, estimant cependant qu’« on peut regarder les dérives, même si je trouve qu’il y a à ce sujet beaucoup de légendes urbaines ».

    « Il est indéniable qu’il existe des filières qui organisent la venue en France de patients qui viennent chercher des soins gratuits, estime-t-on à l’inverse, en haut lieu. On voit arriver des personnes avec des visas de tourisme et qui, une fois sur le territoire, demandent des soins et les obtiennent. »

    Les pays de l’Est sont cités. « Depuis quelques années, nous constatons l’afflux de patients réfugiés (Ukraine, Géorgie, Albanie, etc.) qui, amenés par des passeurs, arrivent dans nos services d’urgence en situation très précaire, nécessitant par exemple des séances de dialyse immédiate et désirant rapidement s’inscrire sur nos listes » de greffe du rein, s’alarme aussi la Société francophone de transplantation, dans une lettre au Comité consultatif national d’éthique. « Peut-être que des abus existent, reprend Aurélien Taché, mais est-ce qu’on va remettre en cause le cœur d’un dispositif utile pour régler quelque chose qui relève plutôt de la lutte contre les passeurs ? »

    ————————

    Les conditions d’accès de l’aide médicale d’État

    L’aide médicale d’État (AME) est accessible aux étrangers sans titre de séjour ni récépissé de demande (ce qui exclut les demandeurs d’asile), résidant en France depuis plus de trois mois (sauf pour les mineurs) et percevant moins de 8 951 € par an (pour une personne seule).

    L’admission se fait sur demande, renouvelée tous les ans.

    En dehors de ces critères, l’AME peut être accordée, exceptionnellement, « à titre humanitaire ».

    Les soins couverts

    Pour la personne et ses ayants droit, l’AME prend en charge, à 100 % mais dans les limites des tarifs de Sécurité sociale, les soins de médecine générale et spéciale, les frais dentaires, les médicaments remboursés à 100 %, 65 % ou 30 %, les frais d’analyses, d’hospitalisation et d’intervention chirurgicale, les frais afférents à certains dépistages et vaccinations, ceux liés à la contraception, à l’IVG.

    Nathalie Birchem

    Source : La Croix

    Merci à Jean Philippe Gaia

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/12/faut-il-reformer-laide-medicale-detat/

  • Destitution de Donald Trump ? Les Démocrates se sont fait piéger

    Destitution de Donald Trump ? Les Démocrates se sont fait piéger

    Les Démocrates sont en panique : Donald Trump remonte aux sources ukrainienne, australienne et anglaise de la machination du gang d’Obama contre sa campagne de 2016 et son équipe. Le dossier et l’enquête de Mueller, ancien directeur du FBI, sont discrédités depuis que l’on sait que rien des accusations de collusion portées contre Trump ne s’est avéré exact. Devant l’imminence du rapport de l’Inspecteur Général qui s’annonce dévastateur sur l’espionnage illégal par mandats FISA par les anciennes et corrompues équipes Obama, le Deep State démocrate n’a pas le choix : retarder et minimiser le scandale. Pour cela, les Démocrates mobilisent tout le vivier partisan encore bien présent dans les administrations américaines après 2 mandats d’Obama, pour torpiller Donald Trump. Les Américains découvrent peu à peu un Parti Démocrate fascisant, près à tout pour couvrir toutes les magouilles, les scandales et les malfaisances des Obama, Clinton et autre Biden. Donald Trump remonte peu à peu toutes les innombrables pistes criminelles laissées par les Démocrates pour le piéger lui et sa campagne de 2016.

    Christian Daisug analyse dans Présent :

    […] En début de semaine dernière, Nancy Pelosi, speaker de la Chambre des représentants, réunissait à la hâte les correspondants de presse du Congrès pour annoncer le démarrage officiel d’un processus de destitution contre le président Donald Trump. Dans les rangs démocrates, la joie le disputa à la confiance, la rage d’en découdre à l’espoir de détruire. On avait attendu si longtemps. Enfin, la bataille allait commencer : du sang ! Du sang !

    Mais, au soir de cette journée partisane et rayonnante, Kevin McCarthy, chef de la minorité républicaine à la Chambre, fit remarquer que le procédé était illégal. Une destitution commence toujours par un vote préliminaire et non par une simple déclaration. « Qu’à cela ne tienne », s’écrièrent d’une seule voix enthousiaste les députés démocrates. « Eh bien, votons, puisque c’est la règle. » On vota. Il y eut huit abstentions. Les 231 démocrates à leurs bancs dirent oui à la destitution tandis que les 193 républicains à leurs postes répondirent non. Deux blocs antagonistes. De part et d’autre, aucun transfuge. La gauche face à la droite. La gauche exultait. N’avait-elle pas obtenu ce qu’elle cherchait depuis trois ans ? C’est alors qu’un vent de panique commença à souffler dans les rangs démocrates.

    Piégés !

    En partant d’une analyse qui faisait seulement référence à un règlement interne de l’institution législative, McCarthy avait obtenu deux résultats avec une seule pierre.

    D’une part, en forçant la Chambre à voter, il la fit entrer dans la légalité et, en même temps, lui offrit formellement le procédé menant à une destitution. Cadeau empoisonné car, d’autre part, en nourrissant chez les démocrates une euphorie aussi spontanée que naïve, il ouvrit devant eux la mise aux voix de cette destitution – un piège dans lequel ils sont tous tombés. Désormais, la situation est très claire. Tous les démocrates sont d’accord pour éjecter Trump de la Maison-Blanche par un procédé humiliant pour lui au lieu d’attendre le verdict des urnes en novembre 2020. Aucun démocrate ne pourra contester le choix qu’il vient de faire – le pire pour l’avenir immédiat de son parti, le meilleur pour les intérêts des républicains et de Trump. Les 231 démocrates ont opté, sans en prendre totalement conscience, pour un referendum aux législatives et à la présidentielle de l’an prochain. Pour ou contre Trump. Pour la Maison-Blanche, c’est l’échiquier idéal. Le président bénéficie de 53 % d’opinions favorables et 57 % d’Américains demeurent hostiles à sa destitution.

    Un scénario catastrophe

    Chez les démocrates, le vent de panique se mua très vite en ouragan lorsqu’ils se penchèrent sur les chiffres. Certes, ils ont à l’heure actuelle 231 voix pour conduire une destitution alors que les règlements n’en exigent que 218. Une marge de 13 voix. Jouable en temps normal, mais nous ne sommes plus dans un scénario normal. Pourquoi ? Parmi les circonscriptions détenues actuellement par les démocrates et qui sont à renouveler l’an prochain, 31 se situent dans des Etats remportés par Trump en novembre 2016. Et dans 13 d’entre elles, Trump s’est même offert un carton en battant Hillary Clinton par plus de six points. On peut deviner le degré de vulnérabilité de ces mal élus de la gauche qui auront à affronter des électeurs dont le plus mordant des reproches sera l’aval sans nuances et sans conditions donné à la plus brutale, la plus indigne des solutions pour se débarrasser d’un président.

    Un libéral modéré et dépourvu de sectarisme votant par tradition pour un démocrate pourrait en effet avoir le cœur soulevé à l’idée de punir Trump comme un valet indélicat. Ce choc multiplié par vingt ou trente aurait des conséquences électorales considérables. Les démocrates risqueraient de ne pas atteindre les 218 voix lors de l’indispensable deuxième vote de la Chambre après la publication des articles accusateurs. Pour certains observateurs, même leur contrôle de la Chambre est en jeu. Il manque 19 voix seulement aux républicains pour la reconquérir.

    La panique démocrate s’amplifia encore devant trois éléments annexes de cet ahurissant spectacle.

    1. – Le coup d’audace de Pelosi, qui entra par effraction dans le processus de destitution alors qu’elle lui était hostile, ne fut, en réalité, qu’une lâche soumission aux diktats de la frange la plus extrémiste du parti démocrate. Cette tentative d’éviction de Trump restera l’œuvre des gauchistes. Les Américains s’en souviendront.

    2. – Devant leurs électeurs, les démocrates ne pourront même pas afficher quelques victoires législatives : elles n’existent pas. Rien sur l’assurance santé, le prix des médicaments, le contrôle des armes, les grands travaux. Tout sur la destitution.

    3. – Les stratèges subversifs ont tenté de transformer en « scandale Trump » une affaire de corruption impliquant en Ukraine Joe Biden, ex-vice-président, et son fils Hunter. Trump n’a jamais demandé au président de l’Ukraine de neutraliser Biden, un rival, en frappant son fils. Les preuves existent. Les démocrates s’en moquent. Comme ils se sont moqués du rapport Mueller et de Mueller lui-même. Comme ils se moquent de tous les faits qui ne les servent pas. Cette destitution vicieusement engagée est en train de devenir pour eux une bombe à retardement.

    https://www.lesalonbeige.fr/destitution-de-donald-trump-les-democrates-se-sont-fait-pieger/

  • Rétractation d’un article de « Nature » sur le réchauffement des océans

    Quand la science climatique hoquette
      Le 31 octobre 2018, la prestigieuse revue scientifique Nature publiait un important article sur le réchauffement des océans. Cet article était signé d’une demi douzaine de chercheurs d’institutions réputées (Université Princeton, Université Fudan de Shanghai, Centre de recherche sur les océans de Kiel), y compris un Français cumulard, qui se déclare affilié à la fois à l’Ecole Normale Supérieure, à l’Ecole Polytechnique, à l’Université Sorbonne, et au CNRS.
    Répétons-le : il ne s’agissait pas d’un article publié par un débutant dans une revue de deuxième ordre, à prendre avec prudence, mais de ce qui se fait de plus solide en matière de science climatique.  
         Cet article démontrait que les océans se réchauffent bien plus rapidement qu’on ne le pensait jusqu’alors, et donc que la « sensibilité climatique » – l’augmentation de la température moyenne du globe causée par un doublement de la teneur en CO2 de l’atmosphère – est bien plus élevée que ce que l’on croyait, en bref que nous allons griller encore plus tôt que prévu. Le doute n’était pas permis, la science climatique avait parlé. En réalité, elle avait hoqueté. L’article était bidon. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la science elle-même qui le reconnaît.
    Nature a demandé aux auteurs de retirer leur article, ils se sont exécutés et ils ont, la queue entre les jambes, publié en septembre 2019 dans Nature une « rétractation ».
         Ce trébuchement de la science donne à penser.
    Il ne dit rien ou pas grand chose sur l’avenir de la planète, mais il éclaire trois ou quatre points.
         Le premier concerne la complexité de la science climatique.
    Les auteurs sont des océanographes réputés, dont la démonstration repose sur des analyses statistiques.
    On peut être bon océanographe et mauvais économètre.
    Le chercheur amateur qui a débusqué le lièvre est peut-être un mauvais océanographe, mais il est un statisticien sérieux, et il trouvé une erreur (au demeurant assez grossière) dans les calculs effectués.
         Le second se rapporte à la faillibilité du système de publication sur lequel repose la science.
    La pluralité des auteurs assure en principe la correction des erreurs que tout un chacun peut commettre.
    Surtout, la relecture à l’aveugle par au moins deux experts indépendants du manuscrit envoyé à la revue, ce qu’on appelle la révision par les pairs, est supposée empêcher la publication des articles indignes. La qualité, la crédibilité, d’une revue dépend de l’efficacité de ce processus.
    En l’occurrence, il n’a évidemment pas bien fonctionné. Le peer-reviewing a été un pire-reviewing.
    Si cela arrive avec Nature, cela doit arriver plus souvent encore avec des revues moins  prestigieuses. Il ne s’agit pas de jeter le bébé avec l‘eau du bain et de condamner ce procédé. Mais il convient d’être critique, et de pratiquer le doute cartésien : on a besoin de climato-sceptiques.
    Le fait que les conséquences de l’article allaient dans le sens du réchauffisme (ou de l’écologisme comme dit Bruno Durieux) dominant explique sans doute en partie ce fiasco. Ce fait a pu émousser l’esprit critique des réviseurs.
    Il explique certainement l’ampleur et la chaleur de l’accueil médiatique de l’article.
    Des dizaines de « grands journaux » ont titré en première page : « la science prouve que le réchauffement s’accélère ».
    Gageons qu’ils ne donneront pas la même ampleur à la rétractation intervenue.
         On notera enfin que le système scientifique a en l’espèce plutôt bien fonctionné. Le David amateur qui a refait les calculs et lancé l’alerte a finalement triomphé des Goliaths patentés qui s’étaient trompés.
    Nature a eu l’honnêteté de le reconnaître. La science ne s’en sort pas si mal. Comme on voudrait que les médias et les politiques fassent sur ce sujet la moitié du même chemin !
    source
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/retractation-dun-article-de-nature-sur.html#more

  • PMA et écologisme, pour oublier le peuple, par Ivan Rioufol

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    Ils disent : respectons la nature et ses limites ! Les macroniens ne jurent plus que par l’écologisme, ce mondialisme qu’ils croient plus présentable. Mais les mêmes s’enflamment pour défendre la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de femmes et les femmes seules. Transgresser la nature serait donc interdit… mais autorisé. La contradiction montre la fragilité de la conversion d’Emmanuel Macron à l’idéologie verte, cet universalisme de substitution. Les plus cohérents des écolos sont ceux qui, comme José Bové, refusent toute manipulation du vivant, qu’il soit végétal, animal ou humain.

    Le projet de PMA pour toutes, examiné par les députés depuis mardi, viendra bouleverser la condition humaine. Celle-ci sera dégagée du fait qu’un enfant était jusqu’alors, sauf pour les couples hétérosexuels infertiles, le fruit d’une rencontre charnelle entre une femme et un homme. Désormais, la technique autorise l’homme-dieu à devenir son propre créateur. Dès lors, tout est envisageable. L’homme transgenre pourra même être mère. Bienvenue chez les apprentis sorciers.

    Les minorités homosexuelles militantes, qui attendrissent les progressistes, sont en train de bouleverser la procréation au nom de l’égalitarisme et de leur bon plaisir. Elles arguent de leur douleur à ne pouvoir enfanter. Du coup, les lobbies en sont à justifier l’homme enceint. Ainsi, dans Libération, Cléo Carastro, historienne et anthropologue, a pu écrire mardi, dans la logique d’une PMA ouverte aux femmes devenues hommes (les “trans”) : “(…) C’est pour tou-te-s qu’il faut penser (la PMA pour toutes), pour les hommes et les femmes souhaitant engendrer (…) Deux hommes peuvent engendrer en mobilisant leurs seules forces procréatrices, et deux femmes le peuvent également (…).” Ces déconstructeurs ont perdu toute décence. Ils sont devenus mabouls. S’ébauche Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley : un univers totalitaire où les bébés fonctionnels sortent de laboratoires.

    Rien n’est plus dangereux que les courbettes du pouvoir devant ces groupuscules despotiques et capricieux, qu’il prend pour l’air du temps.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 27 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215646/pma-et-ecologisme-pour-oublier-le-peuple-par-ivan-rioufol/