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  • Analyse du raz-de-marée écologiste dans les médias d’un point de vue identitaire

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    Les Verts ont réalisé une importante percée aux dernières élections européennes, Yannick Jadot atteignant le score de 13,47 %. Bien que cette élection soit traditionnellement favorable à cette formation politique, cette réussite s’inscrit aussi dans un contexte plus global de forte poussée de la thématique écologiste dans les médias depuis plusieurs mois.

    Pour précision, l’écologie est une vraie question et les inquiétudes qui lui sont liées mériteraient d’être traitées par l’ensemble de la droite, dont la réflexion sur le sujet s’avère très pauvre. Mais ce n’est pas ce que nous allons traiter ici, où nous allons davantage nous attacher aux ressorts idéologiques, politiques et psychologiques des représentants officiels de ce courant d’idée.

    1. Le matraquage sur l’écologie s’intensifie

    Impossible d’échapper au phénomène Greta Thunberg. Cette adolescente suédoise s’est fait connaître dans le monde entier grâce au relais massif de médias complaisants pour avoir lancé une grève étudiante pour le climat. Jusqu’ici pourquoi pas, pourrait-on objecter. Oui mais… sa vision catastrophiste et apocalyptique sécrète le manichéisme : elle s’accompagne d’une vision morale et d’un chantage permanent. Nous sommes coupables, et tous ceux qui ne font pas de l’urgence climatique leur priorité politique n°1 sont à excommunier. Bien entendu, les autres problématiques urgentes comme l’invasion migratoire n’existent pas… Le droit de la Terre de continuer à vivre existe, celui des Européens non.

    « L’urgence climatique » est une thématique désormais relayée sans cesse à la télévision et sur les nouveaux médias internet comme Brut et Konbini, créant un nouvel espace de radicalité « autorisée » pour la jeunesse. Nous sommes en train d’assister à une tentative de Grand Remplacement : celui d’imposer « l’écologie » de gauche comme nouvelle idéologie globale pour la jeunesse, au lieu des thématiques identitaires, soigneusement mises à l’écart par ces nouveaux thuriféraires. Des réseaux d’influence et d’énormes sommes d’argent sont mobilisés dans ce but.

    2. Les ressorts psychologiques et ses conséquences politiques

    Le sentiment d’urgence distillé se couple avec une vision mortifère abondamment présente dans les mass-médias. Pour « la planète », il faudrait cesser de faire des enfants. Les Européens, dont la démographie est déjà en berne, devraient maintenant cesser de se reproduire pour sauver la Terre. Yves Cochet, ancien ministre de l’Environnement, va même jusqu’à dire qu’il souhaiterait que nous arrêtions de faire des enfants pour laisser l’Europe aux migrants africains (l’Obs, 03/01/2019).

    Cette mutation de la culture de mort extrêmement inquiétante vient alimenter la politique de culpabilisation mémorielle de notre peuple.

    La planète se substitue à Dieu, que les humains ont gravement offensé. Ils doivent donc faire pénitence. Nous devons nous excuser, puis disparaître après avoir fait repentance. Sans compter qu’à travers cette nouvelle stratégie de culpabilisation, bientôt la réponse adéquate nous sera fournie sur un plateau : vous pouvez obtenir le pardon, en échange… de l’accueil des « réfugiés climatiques ».

    3. L’écologie culpabilisatrice comme nouvelle idéologie

    Le communisme est mort, et ses derniers avatars (Corée du Nord, Cuba) ne font plus rêver grand monde. En France, le mythe du « vivre-ensemble » est sérieusement écorné et la gauche n’en finit plus de se déchirer autour de la question ethnique sous le feu nourri des indigénistes. Prise en étau entre d’une part leurs anciens protégés qui ne rêvent que de les remplacer avec une agressivité affichée et d’autre part le réel qui devient extrêment difficile à nier, la gauche, fidèle à son histoire, est en train de dépasser toutes ses contradictions en se jetant à corps perdu dans un nouveau combat aux contours flous mais à la dimension totalitaire certaine.

    Parlant sans cesse de fin du monde, excitant les masses par les effets combinés du sentiment d’urgence et de la culpabilisation, les nouveaux évangélistes de la religion écologiste font tout pour imposer au forceps leur vision du monde. En omettant de rappeler par exemple que l’urgence démographique se situe davantage en Afrique qu’en Europe (les Africains devant atteindre les 4.5 milliards d’habitants d’ici la fin du siècle) et qu’en ce qui concerne la pollution des océans à cause du plastique, seulement 5 % est de la responsabilité des Européens (Christian Schmidt, université de Leipzig, 2017). Ces omissions volontaires dissimulent très mal l’agenda réel de ces propagandistes : continuer à véhiculer les idées de gauche, violemment hostiles à notre identité, notre histoire et nos traditions, en culpabilisant notre peuple (pourtant le seul à faire le tri sélectif au monde…) pour le faire disparaître et sa civilisation avec.

    Clément Martin

    https://www.les-identitaires.com/2019/07/08/analyse-du-raz-de-maree-ecologiste-dun-point-de-vue-identitaire/

  • Louis Aliot : « François de Rugy est la victime expiatoire ; il y a des ciblés et des oubliés »

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    Coup de tonnerre, aujourd’hui : François de Rugy a démissionné, suite aux révélations concernant son train de vie par Mediapart. Il ne sera donc pas présent pour accueillir la petite Greta Thunberg à l’Assemblée nationale, le 23 juillet prochain.

    Réaction de Louis Aliot au micro de Boulevard Voltaire.

    https://www.bvoltaire.fr/louis-aliot-francois-de-rugy-est-la-victime-expiatoire-il-y-a-des-cibles-et-des-oublies/

  • Chronopost : l’immigration clandestine illustrée – Journal du 17 juillet 2019

     

    Chronopost : l’immigration clandestine illustrée

    Depuis le 11 juin dernier, des clandestins employés par un prestataire de Chronopost occupent illégalement une plateforme du service de la Poste. Ils réclament une régularisation et leur titularisation… TV Libertés part à leur rencontre !

    Union Européenne : des nouvelles têtes toujours plus loin des citoyens

    La commission européenne se dote d’une nouvelle tête avec l’Allemande, Ursula von der Leyen. Son élection par les députés européens n’aura pas été sans difficulté dans un environnement politique communautaire divisé où les citoyens paraissent plus que jamais éloignés de la chose publique.

    5G : les télécoms passent la vitesse supérieure

    Après l’Italie et l’Allemagne, la France a lancé sa procédure d’attribution des fréquences 5G aux opérateurs télécoms. Beaucoup plus rapide que la 4G, cette nouvelle génération de réseau téléphonique devrait révolutionner nos vies quotidiennes alors qu’un risque sanitaire n’est pas exclu.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/chronopost-limmigration-clandestine-illustree-journal-du-17-juillet-2019

  • Vers un totalitarisme “français”, “laïque” et “républicain” ? (2)

    Vers un totalitarisme “français”, “laïque” et “républicain” ? (2)

    Suite à son article Vers un totalitarisme français, laïque et républicain ?, notre lecteur Thomas Jane poursuit :

    Oui, nous corrigeons le titre donné un peu hâtivement à notre article de lundi : totalitaire n’est pas français – le totalitarisme qui nous menace aujourd’hui ne se revendique d’ailleurs pas de la France, mais de la République laïque, de la République rousseauiste, qui ne sait plus que ses Maîtres l’ont fait tomber dans l’ordure du caniveau, et qui se voit elle-même comme LA République.

    Rappelons les faits :

    Ministère de la Santé (2015) : « Il ne peut y avoir de loi divine, de morale ou de “droit naturel” d’origine religieuse supérieurs aux lois civiles de la République. »

    Ministère de l’Intérieur (2017) : « La laïcité en France est fondée sur le même principe que la démocratie : les deux récusent qu’un fondement surnaturel puisse ou doive légitimer l’ordre politique, fondé sur la seule souveraineté du peuple des citoyens. »

    Valérie Pécresse (26/06/2019) : « La laïcité républicaine, c’est la loi au-dessus de la foi. »

    Les Républicains (Principe 9) : « Aucune loi religieuse ne peut et ne pourra jamais être supérieure aux lois de la République. » (Bruno Retailleau a dit dans une interview vouloir soutenir un projet de loi en ce sens)

    Ni Dieu, ni morale, ni nature : seuls comptent la volonté du peuple sur le peuple (ou d’une majorité sur une minorité), le projet de l’homme sur l’homme (ou d’une partie des hommes sur les autres),… mais dites-moi, ce n’est pas très catholique, tout ça !

    En particulier, pas d’ordre naturel, ni de Nature (ni d’écologie intègre, en fait) : l’émerveillement devant la Nature est émerveillement devant l’Être, et comme émerveillement d’un Ordre innécessaire, gratuit et propice à l’homme, surgit toujours ultimement, ou fait surgir, un élan religieux. Les cosmologies les plus païennes le confirment. (Il est en outre évident qu’il est une mystique de l’Ordre républicain, de la République, ou de la Révolution, qui confine au plus piteux obscurantisme, au plus niais des dogmatismes religieux, et qui en a tous les pires symptômes, dans leurs formes les plus graves, car délirant à voix hautes et fortes)

    Mais en fait, totalitaire n’est en réalité pas non plus laïque – Lénine, Trotski, Hitler, pour ne citer que quelques autorités incontestées en la matière, ont, de propos délibéré et comme des forcenés, persécuté religions et spiritualités – et, au fond, tout élan spirituel en l’homme, et, de fait, tous les hommes touchés par la grâce ineffable de la Vie spirituelle.

    (Cela dit, la propagande a fait à notre époque d’immenses progrès… Ne pouvait-on pas entendre un britannique murmurer d’un ton effrayé, dans un film sur Winston Churchill, que « le national-socialisme est pire qu’une idéologie, car il est… une religion » ? Calotins de tous les pays, on vous a enfin démasqués : pire que le nazisme – le mal au-delà du Mal absolu – c’est la religion. Si on vous traite de nazis, c’est par bonté et délicatesse d’expression, croyez-nous !)

    Enfin, last but not least, totalitaire n’est définitivement pas non plus républicain.

    Pour le démontrer, nous recueillerons ici le témoignage irrécusable d’un Républicain, d’un vrai Républicain – excellent citoyen et camarade exemplaire – mort pour la République, aimant la République jusqu’à accepter de mourir pour elle, et même de donner sa vie pour elle. Et surtout, mort pour la République pour s’être attaqué aux dogmes religieux, au nom de la Raison. Un homme qui en somme a vécu et est mort en bon païen, muni de tous les Sacrements de la République.

    Il est certes vrai que le camarade Socrate a dit être inspiré par un Daimon (un esprit), et en a appelé, après sa condamnation, au jugement non de l’histoire, mais du Dieu ou de la Divinité. Mais il a tout de même été mis en accusation, jugé, et condamné injustement, pour s’être opposé aux dieux et à la religion (Apologie24b-c).

    Et il est notoire qu’Athènes a été une démocratie, une République, modèle du meilleur comme du pire de la République, et que le camarade Socrate a été jugé par un tribunal populaire des plus réguliers et représentatifs du genre, qui avait commis bien d’autres erreurs judiciaires, certaines conduisant à la ruine de la Cité et des libertés – d’autres à la mort d’innocents, mais après tout, qu’est-ce qu’une mort ? Aujourd’hui, ils seraient tous morts depuis guère moins longtemps !

    Aussi bien, cher Commissaire du Peuple Républicain, reconnais tout d’abord que la défense de Socrate est strictement rationnelle et qu’elle est même tellement rationnelle que nous, en comparaison, semblons bien bêtes, brutes, et épais… (lis, ou mieux, relis l’Apologie et le Criton)

    … et puis reconnais ensuite que de deux choses l’une :

    – Soit ce « Daimon » ou ce « Dieu » existent, auquel cas les « récuser » fait rejeter une partie du réel, et cela devient très gênant pour ton « objectivité » et ta « positivité »… Serais-tu si aisément prêt à donner raison à Benoît XVI et François, qui dénoncent en toi d’une même voix « la négation de la dépendance à l’amour du Créateur pour l’homme créé, rejet au fond de la véritable grandeur de l’homme et du seul véritable rempart de sa liberté et de sa dignité… » ? (cf. Libérer la liberté)

    – Soit donc, ce « Daimon » et ce « Dieu » n’existent pas, et il s’agit alors simplement de comprendre que « le camarade Socrate suivait sa conscience et son sens particulièrement élevé de valeurs* universelles et d’amplitude illimitée, en particulier de la justice : accomplir (le plus grand) bien (possible) ; toujours éviter le mal ; ne faire de tort à personne » (Criton 48b 49a 49c – voir aussi Gorgias 512d : le bien doit être la fin de toutes nos actions ; il faut tout faire en vue du bien, et non le bien en vue du reste).

    *Valeur : ici, réalité immatérielle qui a valeur en soi, qui est universelle et d’amplitude illimitée. Par exemple la liberté, l’égalité, la fraternité – sauf pour ceux qui ne voient pas de contradiction à défendre simultanément la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyenet la très coranique Déclaration islamique universelle des droits de l’homme.

    Tu examineras donc honnêtement, cher Commissaire du Peuple Républicain, et avec cette positive-objectivité un peu mécanique et artificielle à laquelle tu tiens plus qu’au divin, moral, et naturel, la première question du camarade Socrate : « Veux-tu dire [sérieusement], cher Commissaire du Peuple Républicain, que tout républicain est bon, que tout tribunal populaire est bon, que la République entière est bonne, et moi seul mauvais ? » (Apologie24e-25a)

    Tu examineras avec plus de soin encore – en gardant en tête l’innocence du camarade Socrate, et son refus héroïque, porté par son ardent amour de la République, d’en affaiblir les Lois en se dérobant au supplice –  l’objection que les Lois elles-mêmes lui adressent : « Si tu fuis, nous t’accuserons – toi qui en vrai Républicain n’aimais que nous et nous reconnaissais pour mères – de nous violer, sans avoir essayé de nous convaincre et nous faire changer, comme tu en avais la possibilité, ainsi que tout Athénien jouissant de ses droits civiques depuis sa majorité… » (Criton50a-54e)

    Et tu nous diras, cher Commissaire du Peuple Républicain, ce que peut un homme seul, ou une minorité, même « consistante™ », face à la souveraineté absolue du Peuple que tu revendiques si ardemment, ou tout simplement face à une majorité manipulée avec astuce.

    Tu as bien sûr déjà pris note, en relisant ce passage, de l’aveu d’impuissance résigné mais amer des Lois : « Il est vrai que si tu restes, Socrate, tu mourras… Condamné injustement, non par nous, les Lois, mais par les hommes ! » (54b-c)

    Alors dis-nous, cher Commissaire du Peuple Républicain, est-il possible que des hommes commettent l’injustice, et condamnent de façon inique des innocents – faibles, ou gênants, ou gênants parce que faibles et coûteux ? L’homme naît-il naturellement bon, est-ce la société qui le corrompt, ou certains milieux, ou certaines fréquentations politiques, la religion, ou l’idée de Dieu, de Bien, de Mal, de Justice et d’Iniquité, de Vérité ou de Valeur universelles ? Ne faut-il pas avoir la lucidité de reconnaître, avec Thucydide, qu’il existe toujours et partout (en proportion variable, mais dans tout groupe social) des « citoyens qui s’attaquent à d’autres citoyens, et que meuvent des passions aveugles, cruelles, inexorables » ?

    Nous te laissons à ta réflexion laïque, positive, et républicaine, cher Commissaire du Peuple Républicain : prends tout ton temps, mais puisse le résultat être aussi rationnel, objectif, lucide, dépassionné, et bienveillant pour chacun, que la pensée du camarade Socrate.

    Celui-ci a toutefois dit aux Athéniens un mot très important pour vous, Frères Croyants :

    « Sachez-le, Athéniens, si j’avais entrepris de me mêler des affaires de la Cité, il y a longtemps que je serais mort et ne serais plus d’utilité ni pour vous ni pour moi-même. Et ne vous mettez pas en colère, car je vais vous asséner une vérité.  

    Il n’est en effet personne qui puisse rester en vie s’il s’oppose franchement soit à vous soit à une autre Assemblée, et qu’il cherche à empêcher que nombre d’actions injustes et illégales ne soient commises dans la Cité.

    Celui qui aspire vraiment à combattre pour la justice, s’il tient à rester en vie si peu de temps que ce soit, doit demeurer un simple particulier et se garder de devenir un homme public. »

    Le camarade Socrate récuse donc matériellement l’idée que ce serait à un homme droit et vertueux de conduire la Cité (ce que Platon soutient pourtant dans la République, où il met en avant l’idée d’un Philosophe-Roi).

    Le pape François était étonnamment fidèle à cette intuition socratique, quand il disait aux membres de la fondation Giorgio La Pira (catholique, universitaire, constituant, et maire de Florence) :

    « Aujourd’hui, il faut des prophètes d’espérance, des prophètes de sainteté, qui n’aient pas peur de se salir les mains pour travailler et aller de l’avant. »

    Frère Croyant, n’hésite pas à t’engager en politique, si tu es conscient de devoir te salir les mains, et que tu es capable de te salir les mains

    … sinon, il ne te reste à suivre que la voie du justicier masqué – ou à vivre caché, honnête, et heureux : good deed is all we need !

    https://www.lesalonbeige.fr/vers-un-totalitarisme-francais-laique-et-republicain-2/

  • Le réchauffement de l’Afrique n’est pas dû à l’homme

    030102013123047000000chanclim.jpgMise au point  de Bernard Lugan

    En Afrique, le  postulat du « réchauffement climatique global dû à l’homme » est contredit par cinq disciplines scientifiques majeures :

    1) Les paléoclimatologues ont, en analysant les « carottes » obtenues lors de forages continentaux et marins, montré que, durant tout le Quaternaire, c’est-à-dire depuis 2,5 millions d’années, l’Afrique a connu des alternances de périodes froides et chaudes, sèches et humides. Les australopithèques et les premiers hominiens en seraient-ils responsables… ?

    2) Les paléoenvironnementalistes ont mis en évidence les modifications de la végétation africaine résultant de ces changements climatiques intervenus en dehors de toute intervention humaine.

    3) Les climatologues tropicalistes ont démontré que l’actuel  et réel réchauffement est un phénomène à la fois naturel - même si la suicidaire démographie africaine aggrave la désertification -, et delongue durée puisqu’il s’inscrit dans un cycle ayant débuté il y a  5 000 ans. Toujours sans responsabilité humaine.

    4) Les archéologues nous apprennent que sur les quinze derniers millénaires, ce furent ces changements climatiques qui, du nord au sud et de l’est à l’ouest, conditionnèrent la mise en place des populations africaines.

    5) Les historiens ont mis en évidence le synchronisme existant entre changements climatiques et grandes séquences de l’histoire du continent. (Ce thème du synchronisme constitue le cœur de mon livre « Les guerres du Sahel des origines à nos jours »).

    Il a donc été démontré que, depuis des millions d’années, les changements climatiques africains se font selon des cycles naturels connus, décrits, analysés et indépendants des activités humaines.

    Et pourtant, tels de nouveaux messies, les « ayatollahs verts » imposent leurs prophéties hallucinatoires à des populations frappées de panurgisme, cependant qu’ à travers un matraquage orwellien de plus en plus inquisitorial, ils tentent de réduire au silence les « hérétiques » ne croyant pas à leurs « révélations ».

    Cette mise au point est destinée à fournir un argumentaire aux « sceptiques » à travers la mise en évidence des véritables raisons des changements climatiques africains.

    Développements :

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    http://bernardlugan.blogspot.com/2019/07/le-rechauffement-de-lafrique-nest-pas.html

  • Mysticisme et réalisme : les deux voies du discours populiste

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    Bernard Plouvier

    Grand Président Macron poursuit sa destruction à rythme accéléré des valeurs nationales, celles qui forment notre identité de Français, par opposition à la bouillie mondialiste et au pot-pourri multiracial (en anglais : le melting pot, variante sociologique du Chaudron des sorcières).

    Il multiplie les lois liberticides, au nom de sa mystique tiers-mondiste et de l’exaltation des minorités. Il le fait, bien sûr, sans prendre l’avis du seul souverain de l’État : la Nation. Grand Président est l’Attila de notre Bien Commun et se donne même bonne conscience, estimant œuvrer pour l’avenir. Là encore, il ne précise pas s’il s’agit de l’avenir de la Nation française ou de celui des millions d’immigrés d’origine extra-européenne. À dire vrai, il lui est inutile de s’exprimer sur ce point : ses actes parlent pour lui.  

    En Macronie, on ne réprime pas ou de façon exceptionnelle l’omniprésent racisme antiblancs, mais les hystériques font leurs crises de nerfs au moindre tag dit « antisémite » (alors qu’on n’en connaît généralement pas la provenance) ou à la moindre remarque sur le ridicule des travestis. Parallèlement, on assume pleinement la très antidémocratique discrimination positive et les manifestations répugnantes de prévarication (l’actualité en fournit des exemples de façon quasi-hebdomadaire), de copinage maçonnique et de favoritisme ethnique.

    À cette mystique faisandée, il est indispensable d’opposer une véritable mystique nationale. Puisqu’après tout, la politique fait surtout appel à l’irrationnel, à cette mentalité pré-logique qui n’est nullement l’apanage des « primitifs ».

    Encore ne faut-il pas se tromper de mystique : on ne peut opposer la religion chrétienne au culte des droits de l’homme. La seule mesure positive du « régime abject » qui suivit l’affaire Dreyfus fut de séparer nettement l’État des cultes et des sectes, même si l’islamo-pétrodollar a beaucoup modifié les règles du jeu depuis trente ans et si la Ripoublique reste une chasse gardée du Grand-Orient.

    Le discours très réaliste, sur l’immigration-invasion et la certitude mathématique d’un remplacement de population dominante sur le sol français, doit être couplé à l’évocation de nos valeurs propres, en un mot à la mystique nationale, comme Poutine le fait avec succès en Russie ou comme le font les Turcs avec leur mouvement pantouranien.

    Les froids raisonnements et les savants calculs n’ébranlent pas les foules, à la différence de l’émotion. Rien ne nous empêche de rêver d’une France rebâtie en mêlant la technologie moderne à notre culture française, aux indispensables réformes démocratiques (l’égalité de tous devant la loi, la lutte contre la pourriture politico-administrative, l’instauration d’une authentique liberté d’expression d’où seraient bannies seules la pornographie et la calomnie) et au nécessaire retour vers leurs continents d’origine des millions d’extra-européens qui n’ont rien à faire en Europe.

    Mélanger le rationnel à l’irrationnel, c’est le B – A - BA de la propagande politique. Pour l’instant, seuls les écolo-verdâtres et les partisans du libéralisme dur le font avec succès, utilisant les ficelles de la plus basse démagogie : diabolisation de l’ennemi et promesses à la pelle pour les gogos.         

    Rien n’empêche le milieu populiste de faire une bonne propagande : honnête et dépourvue de crainte, ne proposant que des mesures saines et applicables. Pour cela, il faut des êtres prêts à l’action une fois conquis démocratiquement le pouvoir. Surtout pas des opportunistes cherchant un « créneau porteur » !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/11/mysticisme-et-realisme%C2%A0-les-deux-voies-du-discours-populiste-6163450.html

  • Santé : l’argent des Français détourné pour satisfaire les désirs de la société libertaire

    Santé : l’argent des Français détourné pour satisfaire les désirs de la société libertaire

    Selon l’Assurance maladie, les PMA ont coûté un peu moins de 300 millions d’euros en 2014. Le Pr Grynberg avance un chiffre de 5 000 euros environ par PMA. Les actes de PMA sont intégralement remboursés par l’Assurance maladie. En juin 2019, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a confirmé que la PMA, étendue aux paires de femmes, serait également remboursée.

    La prise en charge à 100 % par l’Assurance maladie est normalement réservée aux médicaments reconnus « irremplaçables » ou encore aux affections portant un traitement prolongé pour les affections dites de « longue durée ». « On vient de décider la fin du remboursement de l’homéopathie, car son efficacité thérapeutique ne serait pas prouvée. Mais pourquoi rembourser la PMA, qui n’a aucun objectif thérapeutique et n’a donc, en conséquence, par le moindre effet thérapeutique, ni prouvé ni même allégué  ? L’infertilité, qui est une inaptitude à avoir des enfants après une année de rapports sexuels réguliers, est un dysfonctionnement pathologique, mais n’engage pas l’état de santé, ni l’espérance de vie.

    Selon les derniers chiffres fournis en 2014 par l’Assurance maladie, une insémination artificielle coûte en moyenne 950 euros, et une tentative de fécondation in vitro 2 883 euros. Ces chiffres représentent des moyennes, car les coûts diffèrent selon le mode de prise en charge. L’Assurance maladie estime que, en 2014, les actes d’insémination artificielle, de FIV, de transferts d’embryons congelés et d’injections intracytoplasmiques (qui consiste en l’injection d’un seul spermatozoïde dans l’ovocyte), lui auraient en moyenne coûté près de 300 millions d’euros. En 2016, il y a eu 147 730 tentatives d’insémination artificielle, de FIV ou de transferts d’embryons congelés en intraconjugal ou avec tiers donneurs, contre 102 601 en 2014. Michaël Grynberg, professeur en gynécologie-obstétrique et spécialiste des questions de fertilité, explique :

    « Cette augmentation tient au fait que nous sommes dans une société de consommation. Les gens n’attendent plus pour avoir un enfant. Ils veulent tout, tout de suite, et certains médecins précipitent le recours aux FIV, plus coûteuses que l’insémination artificielle, car elles nécessitent un passage au bloc opératoire ».

    Aude Mirkovic ajoute :

    « Il est clair que la prise en charge à 100 % a un effet d’entraînement : les médecins ont affaire à des patients très demandeurs et prêts à tout supporter pour avoir un enfant, et ceci d’autant plus facilement que c’est remboursé à 100 %. Il en résulte un surrecours à la PMA très facilement observable : engagement hâtif dans le processus, FIV privilégiée sur l’insémination – pourtant moins invasive et moins dangereuse – en raison de ses meilleurs résultats ».

    Pour une PMA, la Sécurité sociale comprend tout ce qui suit le diagnostic : les injections d’hormones, le suivi, les prises de sang, la ponction d’ovocytes au bloc opératoire et les actes d’inséminations en eux-mêmes. L’extension de la PMA à toutes les femmes devrait a priori conserver ces mêmes critères.

  • Stéphane Ravier : « On sent bien là qu’il y a une volonté de rejet de la France en brandissant le drapeau d’une nation étrangère »

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    Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône, réagit au micro de Boulevard Voltaire après les violences qui ont eu lieu à Marseille à l’issue de la demi-finale de la Coupe d’Afrique des nations, emportée par l’équipe d’Algérie.

    https://www.bvoltaire.fr/stephane-ravier-on-sent-bien-la-quil-y-a-une-volonte-de-rejet-de-la-france-en-brandissant-le-drapeau-dune-nation-etrangere/

  • UNION EUROPEENNE : ARRANGEMENTS INCESTUEUX ENTRE PETITS AMIS !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Les arrangements entre  petits amis semblent avoir pris fin à Bruxelles, chacun ayant trouvé ou retrouvé son beefsteak, son rond de serviette à la table de l’UE après le désormais traditionnel petit exercice de « chaises musicales ». L’ami des alcools forts quitte la tête de la Commission pour rejoindre son confetti luxembourgeois, remplacé par dame Ursula Von der Leyen, ministre allemand de la Défense, un temps pressentie pour succéder à Angéla Merkel. Christine Lagarde pourra continuer à défendre les puissances d’argent à la tête de la BCE comme elle l’a fait au FMI, le Belge Charles Michel remplace le Polonais Tusk, un libéral part, un libéral arrive, RAS ! Le socialiste espagnol Josep Borrell devient le « monsieur affaires étrangères » de l’Union, un poste qui ne sert a à rien, puisque chaque Etat membre, - et c’est encore heureux ! -, a sa propre politique étrangère. Tout juste une coordination sur certains dossiers serait souhaitable, car les Etats sont des monstres froids qui ont des intérêts qu’ils n’entendent pas, à raison, partager. En tout cas, c’est comme cela que ça devrait fonctionner dans une libre Union d’Etats souverains.

    Mais nous avons vu que dans l’affaire iranienne, quoique l’on puisse penser de mal de la clique islamiste au pouvoir à Téhéran, l’Europe s’est couchée devant Trump : Adios nos investissements, adios le business pétrolier et les commandes d’automobiles !

    Une entente incestueuse

    Le signe le plus manifeste de l’entente contre nature  entre les conservateurs du PPE, c’est à dire tout ce que l’Europe compte comme élus de la droite molle, - dont le jeune espoir des beaux quartiers et des dames patronnesses Versaillaises Bellamy -, et les socialistes, a été l’élection du camarade David Sassoli comme Président du Parlement européen. Les Populistes, identitaires et autres nationalistes ou eurosceptiques n’ont pas connu, hélas, une assez forte poussée dans leurs pays respectifs, même si en France, -  et encore -, ou en Italie, les scores ont été honorables. Chacun siège dans son groupe, pas d’union : Nigel Farage et ses «  Brexiteurs » s’en iront, probablement, fin octobre, les Hongrois du FIDESZ de Viktor Orban s’accrochent au PPE, ce dernier groupe trop content de « niquer », pardonnez-moi l’expression, les groupes nationalistes et de les amputer d’une bonne dizaine de parlementaires. Pas de quoi pavoiser pour les partisans, comme nous, d’une Europe des nations, d’une Europe des patries, d’une Europe à la carte où chaque pays membre choisirait, souverainement, le degré d’intégration qu’il est prêt à consentir à l’Union européenne.

    Etait-ce mieux avant ?

    Qui est ce David Sassoli, dont je viens d’évoquer le nom à l’instant ? Ce monsieur est un journaliste connu de la RAI, marqué à gauche, l’anti-Salvini parfait. Lequel Mattéo Salvini, une fois de plus, vient de s’illustrer en faisant arrêter la capitaine d’un bateau pirate, le Sea Watch 3, recueillant tout ce qu’il est possible de ramasser comme pseudos naufragés dans les eaux libyennes. Bien entendu, Macron s’est cru obligé de prendre une bonne poignée de ces faux naufragés mais vrais migrants. Lesquels viennent s’ajouter à la masse d’immigrés subventionnés que la France héberge. Il n’est que de se promener dans certains quartiers de Paris ou dans la France profonde, dans des petites villes comme la mienne, pour constater que notre pays, qu’on le veuille ou non, s’africanise, lentement mais sûrement.

    Où est-il le temps des colonies, le temps glorieux de l’Empire où tous ces peuples vivant sous le pavillon tricolore, avaient, à juste titre, droit de cité ? Au moins, à cette époque, la France contrôlait les flux migratoires internes de son espace géopolitique. Mais assez de nostalgie, car je parle d’un temps que les moins de soixante ans n’ont pas connu ! Laissons de côté le fameux « c’était mieux avant » et constatons, à regrets, que les relations franco-italiennes ne s’améliorent pas ! Macron est un immigrationniste convaincu, un serviteur du mondialisme apatride, Salvini tout le contraire. Ces deux-là sont faits pour être les étendards de deux visions du monde, de deux espérances contradictoires pour l’avenir de leurs peuples respectifs. Malheureusement pour nous, pour l’instant, nous sommes du mauvais côté, « du côté obscur de la force » !

    Si la nature avait voulu donner comme un signe à cet antagonisme profond entre les deux sœurs latines, il n’est qu’à voir, comme un symbole,  les énormes glissements de terrain qui ont coupé l’axe ferroviaire franco-italien au cœur des Alpes. De plus, quand on pense que la France officielle, qui bloque à Menton des hordes de migrants économiques pour mieux les laisser filer par la montagne, ose donner des leçons de morale à l’Italie, décidément, on se dit que ce pays, notre pays, marche sur la tête et, qu’à terme, il  faut changer, et vite, de dirigeants !

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