Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 956

  • Comment Trump rend les médias fous

    72791e9bb8cd7303-2048x1024-845x475.jpg

    À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.

    L’antitrumpisme ne rend pas fatalement intelligent et même certains esprits brillants s’y perdent, quoique la trumpophilie de certains, plus rares, serait encore un autre cas d’école à étudier. Heureusement que la vénérable Revue des deux mondes est là pour tenter de refroidir les cervelles en surchauffe. La livraison de ce mois est donc titrée « Donald Trump est-il si fou ? »

    À cette question, le journaliste Renaud Girard paraît répondre par une autre question :« Donald Trump rend-il fou ? ». À le lire, c’est effectivement à se demander. Renaud Girard n’est pas exactement le premier venu. Meilleur analyste de politique étrangère du Figaro, c’était un fidèle ami de Gérard de Villiers, le père de SAS, qu’il a longtemps côtoyé lors de nombreux reportages effectués de par le vaste monde.

    Ce qu’il décortique ici, c’est la furie qui s’est emparée des médias américains. Laquelle n’épargne même pas le pourtant très sérieux New York Times, journal ayant publié une tribune anonyme censée être le fait d’un des plus hauts responsables de la Maison-Blanche. « Pour se faire excuser de fouler aux pieds les règles élémentaires de la déontologie journalistique, le quotidien new-yorkais ne manque pas d’invoquer le devoir de protéger – contre quoi ? Contre qui ? – le rédacteur caché de la tribune et, bien sûr, l’intérêt supérieur du pays… » Bref, « il s’agit de prouver, de l’intérieur, que Donald Trump est dérangé mentalement, et donc inapte à exercer les fonctions de président des États-Unis. »

    Après, les sempiternelles accusations de « sexisme » et de « misogynie ». Mais « Trump n’est-il pas un enfant de chœur par rapport à Bill Clinton qui, dans le bureau Ovale, recevait des faveurs sexuelles par une jeune stagiaire ? » Quant à l’étiquette de « candidat du Kremlin », c’est peut-être faire beaucoup d’honneur à Vladimir Poutine que de lui prêter le pouvoir de faire et de défaire les présidents américains…

    Certes, Donald Trump n’a jamais ménagé les médias de son pays ; comme quoi Jean-Luc Mélenchon n’a rien inventé en la matière. « Mais cela ne justifie pas que ces grands médias perdent à ce point leur impartialité. Leur dénigrement de Trump est devenu caricatural. L’économie américaine ne s’est jamais aussi bien portée qu’aujourd’hui. Les éditorialistes du New York Timeset de CNN nous expliquent que Trump n’y est pour rien. Mais les mêmes, à l’automne 2016, avant le scrutin présidentiel, prophétisaient une catastrophe économique si Trump était élu ! »

    Pareillement, et ce, en politique étrangère, domaine de prédilection d’un René Girard qui, revenant sur l’indéniable succès avec les deux Corées, rappelle qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait jusqu’ici su ou pu résoudre cette crise. De même, il note qu’en bousculant les traditionnels usages diplomatiques, Donald Trump a poussé l’Europe à commencer à se doter d’une politique qui lui soit propre ; soit à se voir autrement qu’en simple colonie américaine. Tout comme une autre entorse aux règles de la bienséance lui a permis de bousculer un autre tabou. En effet : « Il est le premier à s’être insurgé haut et fort contre une réalité qu’on s’efforçait jusque-là de taire ; l’extorsion systématique de technologie par les Chinois par chantage aux sociétés occidentales ayant créé des joint-ventures en Chine. […] Si un jour la Chine se décide vraiment à respecter les règles de l’OMC, ce sera grâce à Trump. »

    En attendant les fameuses élections de mi-mandat du 6 novembre prochain, les sondages donnent à Donald Trump une cote de popularité oscillant entre 33 % et 48 %, ce qui est plutôt flatteur pour un homme donné par les médias américains pour l’un des plus haïs du pays. À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.

    Et Renaud Girard de conclure : « L’Amérique a connu un président sobre, élégant, issu de Yale, qui lisait la Bible tous les soirs. Il s’appelait George W. Bush. En 2003, il a décidé une invasion de l’Irak dont on paie toujours les conséquences. Pour le moment, Trump n’a provoqué aucune catastrophe comparable. » Il est un fait que…

    Nicolas Gauthier

    http://www.bvoltaire.fr/comment-trump-rend-les-medias-fous/

  • Un mot sur notre système éducatif

    freinet-eleves-s-p-e-vence-1930.jpg

    Ce n’est pas parce que je ne suis pas enseignant que je devrais fermer ma gueule et ne pas dire ce que je pense de notre système éducatif qui se barre en sucette. Je suis de la génération du « baby boom » d’après guerre. J’ai fait mes classes dans l’enseignement public et je n’ai qu’à m’en louer alors que les réformes commençaient à se faire jour qui vont contribuer à la déliquescence du système. Dans mon souvenir, nos profs d’alors (années 1950/60) étaient d’abord d’honnêtes citoyens/enseignants et la politique n’avait pas encore infesté les couloirs de nos lycées. Je dirai même que la politique était clairement prohibée. Mais il est vrai que ce ministère, sous la IVe République, n’a pas su anticiper le boom démographique qui aboutira à mai 68 et au foutoir qui s’ensuivra.

    Il faut remonter en aval. Pour mieux comprendre. Notamment à la loi inspirée par Langevin-Wallon élaborée dès 1944 sous l’égide du gaulliste René Capitant. Une fois de plus est attesté la grande collusion entre gaullistes et communistes puisque nos deux lascars étaient deux bolchos de la meilleure eau. Au sortir de la guerre, la droite de l’époque, c’est la démocratie chrétienne. La droite idéologique ayant été décapitée à la Libération pour les raisons que l’on connaît. Or, cette démocratie chrétienne (MRP) n’était pas en mesure de s’opposer à ce qu’il convient d’appeler la gauchisation de notre système éducatif et sur laquelle se garderont bien de revenir les gaullistes. D’ailleurs, l’Education nationale De Gaulle s’en fout. Toutefois, c’est à partir de 1968 que l’enseignement se politisera au grand jour sous l’œil amorphe d’un Giscard d’Estaing qui n’a rien compris des enjeux. Passons sur les années Mitterrand, Chirac, Sarkozy et aujourd’hui Macron qui ne savent par quel bout prendre ce Radeau de la Méduse.

    Tout ça pour dire que les profs sont aussi responsables de ce qui leur arrive aujourd’hui, avec leurs thèses égalitaires et leurs utopies pédagogiques socialisantes. Ils ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis. Des profs aujourd’hui perdus, pour la plupart incultes (c’est la grande nouveauté), incapables de considérer qu’un enseignement, c’est d’abord l’expression d’une longue mémoire. Pour ne rien arranger, ils ont en face d’eux un panel racial étendu à la terre entière et aux racines culturelles incompatibles avec les nôtres. Ce souk éducatif est à la mesure de l’idéologie dominante, celle des droits de l’homme, cette cigüe mentale. Mieux encore, c’est dans les bonnes écoles chrétiennes que l’on accepte toute une frange de la musulmanerie qui refuse le chaos de l’école publique. On croit rêver.

    Le plus grave dans tout ce foutoir, où Blanquer va perdre les cheveux qu’il n’a déjà plus, c’est que ça participe de la désintégration de la nation française que la IIIe République avait naïvement imagée en la personne de Jeanne d’Arc et de Vercingétorix. Car une nation n’existe que sur une histoire partagée par tous et qui puise ses racines dans l’enseignement. On est loin du compte. On assiste aujourd’hui à un enseignement de classe avec d’un côté la France d’en haut, de l’autre celle d’en bas. Cela ne suffit pas à faire une nation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ON FAIT QUOI ? #01 : Comment les riches ont pris le pouvoir (avec Etienne Chouard)

  • L’administration Trump en guerre contre la théorie du genre

    trump-vs-lgbt.png

    Etats-Unis – L’administration de Donald Trump envisage de définir très strictement l’identité sexuelle comme étant liée aux organes sexuels à la naissance, a rapporté le New York Times dimanche, ce qui aurait de facto pour conséquence de ne plus permettre aux transgenres d’obtenir une reconnaissance administrative sous un autre sexe que celui de leur naissance.

    Le ministère américain de la Santé propose, dans une note interne obtenue par le journal, d’établir une définition légale de l’identité sexuelle pour accompagner les lois fédérales interdisant la discrimination dans les programmes éducatifs financés par le gouvernement.

    « Le sexe recouvre le statut d’un individu étant masculin ou féminin, selon des traits biologiques immuables identifiables à la naissance ou avant », écrit le ministère dans sa proposition de définition rapportée par le New York Times.

    « Le sexe indiqué sur le certificat de naissance d’origine d’un individu doit constituer la preuve définitive du sexe d’une personne, à moins qu’il ait été infirmé par des preuves génétiques fiables », ajoute le texte.

    Le ministère de la Santé a également appelé les ministères de l’Éducation, de la Justice et du Travail à adopter sa définition afin d’harmoniser les directives du gouvernement et de renforcer les chances que les tribunaux acceptent cette définition.

    Depuis son arrivée à la Maison Blanche en janvier 2017, Donald Trump est revenu sur plusieurs mesures prises par son prédécesseur très attentif à satisfaire le lobby LGBT. Dès l’été 2017, Trump avait ainsi annoncé qu’il comptait interdire les transgenres dans l’armée.

    https://www.medias-presse.info/ladministration-trump-en-guerre-contre-la-theorie-du-genre/99755/

  • Rappel : Les socialistes tueraient père et mère pour éliminer le FN : la preuve

    Quand on me l’a racontée, j’ai cru à une blague et pourtant cette histoire est tout ce qu’il y a de plus vrai.
    Elle illustre parfaitement la rage anti-FN des parlementaires PS et ex-UMP, une rage qui les a conduits à prendre une décision ahurissante que les Français doivent absolument connaître. La scène se déroule au Parlement de Strasbourg au début du mois.
    Quelques semaines auparavant, le 10 septembre, une cour de justice américaine saisie par plusieurs associations écologistes avait interdit l’utilisation du Sulfoxaflor, un pesticide produit par Dow AgroSciences (groupe Dow Chemical), au motif qu’il était aussi un redoutable tueur d’abeilles. Dans son arrêt, la cour avait d’ailleurs cru bon de rappeler que les plantes pollinisées par les abeilles représentaient environ le quart de toute la nourriture consommée aux États-Unis. Alertée, madame Sylvie Goddyn, député européen du Front national, engageait aussitôt une procédure d’urgence pour faire obstacle à ce produit qui venait juste d’être autorisé par la Commission européenne, suite à une intense pression des lobbies de l’agrochimie.
    Cette démarche était d’autant plus fondée que l’association Pollinis, qui milite contre le système agricole intensif, avait déjà alerté les parlementaires sur le fait que le fabricant était incapable de fournir les preuves scientifiques de son innocuité sur les abeilles, comme l’exige pourtant le règlement CE n° 1107/2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et la protection des abeilles et pollinisateurs.
    Eh bien, ce mardi 13 octobre, les députés de la commission environnement du Parlement européen ont tout bonnement rejeté la proposition de Sylvie Goddyn par 31 voix contre (tous les députés socialistes et ex-UMP), 18 voix pour et 6 abstentions.
    Vous voulez savoir pourquoi ? Dans un communiqué officiel, les parlementaires socialistes ont déclaré ce qui suit :
    « Quant au détour d’une procédure en commission environnement du Parlement européen, certains élus du Front national se découvrent soudain une fibre écologiste, personne n’est dupe. Le mécanisme est désormais bien rôdé : ces “écolos de la 25e heure” instrumentalisent des sujets environnementaux et sociétaux graves […] pour nous faire croire qu’ils participent à la vie démocratique en Europe. Cette politique de la grosse ficelle ne convainc personne ; c’est la raison pour laquelle nous nous sommes opposés, aujourd’hui, à la proposition de madame Goddyn, députée européenne, membre du groupe Europe des nations et des libertés et autoproclamée “écologiste patriote”. »
    Cette scandaleuse affaire du Sulfoxaflor a suscité un débat politique de fond au Parlement européen. Faut-il, ou non, suivre le FN lorsqu’on est d’accord sur les propositions qu’il soutient ? « Les avis divergent et les élus louvoient. Dans tous les cas, c’est compliqué à gérer », reconnaît une source au Parlement européen.
    Eh bien moi, je demande aux électeurs qui lisent Boulevard Voltaire : combien de temps encore allez-vous continuer à louvoyer ?
    Christophe Servan

  • Espino : "Pour mettre fin au règne du politiquement correct, il faut faire preuve de courage"

  • Ce libéralisme sans frein qui écrase les pays et les producteurs.

    la tour du pin gar.jpgLe libéralisme mondialisé paraît aujourd'hui si dominateur que rien ne semble devoir l'ébranler, et la cinglante réplique de Margaret Thatcher aux partisans du keynésianisme, « There is no alternative », a désormais valeur d'idéologie officielle à la tête de l'Union européenne, si bien incarnée par la rigidité technocratique d'un Pierre Moscovici qui s'en prend aujourd'hui aux États espagnol et italien parce que ceux-ci, après des années d'austérité, souhaitent redistribuer plus justement (même si l'on peut discuter des aspects de cette redistribution) les fruits des efforts précédents : après tout, il n'est pas injuste de vouloir redonner un peu d'air à des populations « de base » sur lesquelles ont longtemps reposé les politiques de restriction budgétaires tandis que les grandes sociétés multinationales locales, elles, se sont avérées parfois fort généreuses avec leurs actionnaires... Mais la Commission européenne ne l'entend pas de cette oreille, arguant que les dettes publiques de ces deux États sont trop élevées pour se permettre de faire des « cadeaux » aux contribuables espagnols et italiens, et elle a même rejeté le budget de l'Italie ce mardi. La France pourrait bien, d'ailleurs, faire les frais de cette intransigeance européenne, au risque d'accentuer encore un mécontentement social et populaire qui ne se limite pas aux seuls retraités. La « promesse de l'Europe » semble bien s'être noyée dans les considérations comptables, celles-la mêmes que méprisait de Gaulle, non pour les nier mais pour les remettre à leur place qui ne doit pas être la première.

    Le libéralisme actuel de la Commission européenne a, il y a quelques années et encore aujourd'hui, empêché les États de défendre efficacement leurs industries nationales, au nom des droits des consommateurs qui, en définitive, s'apparente plus à ce « devoir de consommation » qui s'impose en société de consommation au détriment, souvent, des producteurs comme de l'environnement. La mondialisation est souvent vantée comme le moyen d'avoir les prix les plus bas, au risque d'en oublier la justice sociale et l'intérêt national bien compris, ce que le royaliste social et corporatiste La Tour du Pin a, dès la fin XIXe siècle, dénoncé avec vigueur à travers articles et publications nombreux. Son monarchisme était « illibéral », non par idéologie mais par souci social, et il serait peut-être encore plus sévère avec un libéralisme contemporain qui, comme hier, veut absolument s'émanciper de toute contrainte et refuse toute notion de limites, au seul profit de l'égoïsme individuel et oublieux de toute réalité environnementale.

    Bien avant que la mondialisation libérale soit devenue la « norme », La Tour du Pin avait discerné les risques de celle-ci pour les activités productives de notre pays et pour les conditions de travail comme de vie des exploités de ce système qui, en définitive, s'avère l'un des plus grands dangers pour l'équilibre des sociétés et la justice sociale, malheureusement si négligées désormais par les oligarques qui gouvernent l'Union européenne. 

    En quelques lignes, parues dans les années 1880, tout, ou presque, est dit et annoncé : « Le système de la liberté sans limites du capital a-t-il développé la production, comme on le prétend, aussi bien qu'il l'a avilie? Nullement. Il l'a laissée dépérir sur le sol national, en émigrant lui-même, là où il trouvait la main d’œuvre (...) à meilleur marché (...). Les conséquences du système lié à la multiplicité des voies de communication (...) seront de ne plus pourvoir le marché que par les produits des populations les plus misérables; le coolie chinois deviendra le meilleur ouvrier des deux mondes, parce qu'il n'aura d'autre besoin que ceux de la bête. Puis, comme l'ouvrier, l'ingénieur, l'agent commercial, le banquier lui-même seront pris au meilleur marché. (...) Voilà comment une décadence irrémédiable attend, dans l'ordre économique,la civilisation de l'Occident au bout de cette voie de la liberté du travail où elle s'est engagée avec la doctrine de ses philosophes pour flambeau, la science de ses économistes pour guide, et la puissance de ses capitalistes. »

    Extrait du livre "Vers un ordre social chrétien", rédigé par René de La Tour du Pin, qui fût toute sa vie un ardent défenseur de la Cause monarchique sociale, et qui voyait loin, ce texte paraît aujourd'hui prémonitoire... Pour autant, il n'est pas un appel au fatalisme mais, au contraire, un appel à réagir en condamnant ce capitalisme libéral, règne d'une « fortune anonyme et vagabonde » : réagir, non par l'imposition d'un étatisme tout aussi, bien que de manière différente, dévastateur pour les libertés des producteurs ; réagir par la renaissance du politique qui doit imposer, de par sa présence tutélaire et de par son essence publique, le nécessaire esprit de « devoir social » aux forces économiques et financières de ce pays, et à celles qui prétendent y faire affaire...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1514:ce-liberalisme-sans-frein-qui-ecrase-les-pays-et-les-producteurs&catid=52:2018&Itemid=63

  • Albach nous démontre par l’exemple saoudien que la remigration est possible

    IMG_4199.JPG

    Jacques Chassaing Riposte laïque cliquez ici

    Décidément Roland Hélie, fondateur de Synthèse Nationale, aura fait fort en invitant une nouvelle fois le gratin de la résistance française à la 12e Journée, à Rungis. L’écrivain Emmanuel Albach n’y est pas allé par quatre chemins pour expliquer que les portes de la France sont grandes ouvertes dans le sens de la sortie pour toute une légion d’envahisseurs venue autant qu’appelée piller les caisses de la solidarité nationale et s’approprier le pays. Après la mémorable allocution de Richard Roudier qui fait trembler les plus lucides des cadres et de la maîtrise cliquez ici, voici qu’Emmanuel Albach nous indique de sérieuses pistes pour éviter le pire.

    On peut commencer par changer les règles : « publier des décrets. Chirac a signé un décret pour le regroupement familial, il suffit d’en signer un autre pour l’interdire ». Si demain nous interdisons des autorisations de séjour, des passeports, des cartes d’identité, il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas le faire. Et qu’on ne vienne pas nous dire que c’est inapplicable :  «  nous avons une police performante quand elle a des ordres, des lois, donc une volonté politique ». « Et si des petits gaillards armés de kalachnikovs décidaient de se battre, pour faire la guerre il leur faudrait des munitions donc une logistique et pour que ces petits voyous de banlieue puissent envisager de s’opposer à des troupes françaises et à la police, il leur faudrait une logistique considérable. On a les moyens de gagner, il suffit de volonté ».

    « On pourrait aussi révoquer des juges ». Quant à la partition de la France prétendue inévitable, c’est non : « on n’a aucune raison de leur laisser un centimètre carré de notre terre. Nous avons une légitimité historique. Des mouvements de population, des mouvements de remigration , il y en a toujours eu ». Rien de nouveau sous le soleil. Et Emmanuel Albach de multiplier les exemples de l’Histoire passée et actuelle.

    Emmanuel Albach : L’exemple politique de l’Arabie saoudite sur la remigration

    Discours d’Emmanuel Albach, écrivain, auteur de Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes cliquez ici, à la 12e Journée de Synthèse Nationale :

     

  • Comparaisons morbides : le planning familial avait oublié une ligne

    Suite à l’actualité récente, le planning familial a publié une comparaison entre le nombre des morts de la chasse, du terrorisme et des violences conjugales.

    L’Homme Nouveau a complété ce comparatif avec celui des avortements :

    https://www.lesalonbeige.fr/comparaisons-morbides-le-planning-familial-avait-oublie-une-ligne/

  • Le nombre de blessés graves par arme blanche en forte hausse aux Royaume-Uni

    NHS2-HITN-600x337.png

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis deux ans, le nombre de victimes de coups de couteau avec des blessures mortelles a augmenté de 34%, selon les chiffres du National Health Service. Les médecins signalent en outre une augmentation de la gravité des agressions, les victimes arrivant de plus en plus souvent à l’hôpital avec de multiples plaies perforantes.

    Le Dr Ross Davenport, chirurgien à l’hôpital Royal London de Whitechapel, a déclaré au Guardian, « Auparavant, on voyait une ou deux plaies par victime. Aujourd’hui, nous voyons fréquemment de multiples blessures, cinq ou parfois dix coups de couteau sur un seul patient ».

    Sur la période allant de 2017 à 2018, 9 des 11 principaux hôpitaux britanniques ont indiqué avoir traité 2 278 blessures graves au couteau, soit une augmentation de plus d’un tiers par rapport à la période 2015-2016.

    https://fr.novopress.info/212392/le-nombre-de-blesses-graves-par-arme-blanche-en-forte-hausse-aux-royaume-uni/