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magouille et compagnie - Page 1039

  • Le libéralisme : à l’origine de toutes les gauches.

    2737274333.10.jpgNotre ami Christian Vanneste écrivait ici, il y a quelques jours, que le libéralisme n’est pas une idéologie parce qu’il y a un grand nombre de courants en son sein. Mais il en va de même pour le socialisme, pour le nationalisme ou pour le conservatisme, ce qui n’ôte rien à leur caractère idéologique.

    Les libéralismes ont un socle commun, l’individualisme ; or, c’est précisément l’individualisme, lequel est au cœur du libéralisme depuis ses origines au XVIIe siècle, qui pose problème parce qu’il affirme que les communautés (dont les communautés nationales) sont des illusions.

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  • Griveaux : quand la République cannibale dévore ses valets.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Un peu plus d'un an après avoir courageusement fui de son ministère lors d'une manifestation des Gilets jaunes, Benjamin Griveaux, tout à la fois méprisable petit marquis poudré et roquet aboyant de la macronie, doit être à nouveau exfiltré : cette fois, de sa campagne municipale parisienne.
    Décidément, l'ancien Porte parole du gouvernement n'a guère de chance avec les engins élévateurs...
    Benjamin Griveaux n'est, pour autant et quelques soient ses frasques, que l'enseigne blème d'un régime décomposé, d'un Système liquéfié, d'un État décadent et corrompu, d'une République agonisante devenue — transparence oblige, réseaux sociaux commandent et règlements de comptes exigent — cannibale de ses propres valets.
    Non l'affaire Griveaux n'est pas une menace mortelle pour la démocratie comme le répète depuis ce vendredi matin la voix officielle du totalitarisme bienpensant. 
    C'est, au contraire ce que la Caste au pouvoir nomme démocratie qui est la mort des peuples.
  • L’affaire Gabriel Matzneff : pas un scandale, une chasse à l’homme…

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    « Certains même doivent applaudir ses éditeurs – parmi les plus prestigieux de France – qui, du jour au lendemain, semblent découvrir ce qu’ils ont imprimés et diffusés : Oh zut ! la boulette… »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Que vous inspire le scandale autour de l’écrivain  Gabriel Matzneff ?

    Soyons précis : ce n’est pas un scandale, mais une chasse à l’homme… Cela aurait été un scandale si on avait « découvert » que Gabriel Matzneff est pédophile, qu’il était passé à l’acte et avait tout fait pour le dissimuler comme c’est en général (toujours ?) le cas avec les prédateurs sexuels ; en ce qu’il le concerne, c’est exactement le contraire : cela fait plus d’un demi-siècle que non seulement il défend, à qui veut le publier ou l’inviter à s’exprimer, sa conception de l’amour – autant sentimentale que physique – avec les « moins de seize ans » ; jusqu’à en avoir fait le titre, pour le moins explicite, d’un de ses livres.

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  • Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, s’est acharnée à traîner Donald Trump dans la boue, avec la procédure d’impeachment, qui a échoué au Sénat. Lors du traditionnel discours sur l’état de l’Union, le 5 février, à la fin de l’allocution, Nancy Pelosi a déchiré ostensiblement le texte du discours.

    Le lendemain, Donald Trump a publié une vidéo visant à critiquer ce geste médiatique. Intitulée « De puissantes histoires américaines réduites en pièces par Nancy Pelosi », elle dure cinq minutes et enchaîne plusieurs extraits du discours. On y voit, entre autres, Donald Trump rendre hommage à des soldats américains, saluer la baisse du chômage chez les Afro-Américains, annoncer à une jeune fille qu’elle disposera d’une bourse pour ses études et révéler à une femme en larmes que son époux militaire est de retour du terrain, le tout accompagné d’une musique larmoyante. Chacune de ces séquences est ponctuée de l’image de Nancy Pelosi déchirant le discours du président américain.

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    Pris au piège, le clan Pelosi a tenté de censurer cette vidéo. Mais ni Facebook, où la vidéo a engrangé plus de 3 millions de vues, ni Twitter (près de 10 millions) n’ont accepté de retirer la vidéo. Un porte-parole de Facebook a publié cette réponse :

    « Excusez-moi, prétendez-vous que le président n’a pas prononcé ces mots et que [Nancy Pelosi] n’a pas déchiré le discours ? »  « Si je vous demande si les choses qui apparaissent dans cette vidéo ont bel et bien existé, c’est parce que cela est central dans nos règles qui encadrent ce type de contenus. »

    Twitter a également refusé de bannir la vidéo. Tim Murtaugh, un des porte-parole de la campagne de Donald Trump, a ajouté :

    « Si Nancy Pelosi craint les images d’elle déchirant le discours, alors c’est qu’elle n’aurait pas dû déchirer le discours ».

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-ridiculise-nancy-pelosi/

  • Bruno Bilde sur le naufrage de la politique régionale des transports !

  • Le scandale Matzneff éclabousse Christophe Girard, adjoint d’Anne Hidalgo et figure LGBT

    Le scandale Matzneff éclabousse Christophe Girard, adjoint d’Anne Hidalgo et figure LGBT

    Le New York Times a mené une enquête fouillée sur l’affaire Matzneff, mettant en lumière les protections dont il a bénéficié de la part du milieu LGBT. L’article s’interroge même sur une potentielle protection de l’Élysée, sous Mitterrand, dont aurait pu bénéficier Matzneff après avoir rappelé qu’en 1986, les policiers avaient déjà convoqué l’écrivain après avoir reçu des lettres anonymes qui ont affirmé qu’il vivait dans un hôtel avec une adolescente.

    “Il s’était bien rendu au commissariat, mais avec un talisman en poche : un article très élogieux à son égard, signé par François Mitterrand, le président à l’époque. Ce dernier avait remarqué M. Matzneff vingt ans plus tôt, lors de la sortie de sa première collection d’essais, Le Défi”. “Cela lui a tellement plu qu’il l’a offert à ses fils qui devaient avoir 15, 16 ans… et il m’a invité à déjeuner ». “Le président a continué à fréquenter ce jeune écrivain prometteur dont il demeura admiratif, même après la parution des Moins de Seize ans (Léo Scheer, 1974)”.

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  • Deux mauvaises raisons de voter pour Macron et deux bonnes de voter contre

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    À l’approche des élections municipales, chacun est amené à examiner les critères de choix qui conditionneront sa vie quotidienne, à l’écart d’une « élite » bobo-parisienne déracinée.

    À vouloir être d’accord avec tout le monde, Macron n’est Président de personne « Ni pour, ni contre, bien au contraire » : cette citation d’un ancien candidat à la présidence qui ne se prenait pas au sérieux pourrait être sa devise, l’humour en moins (Coluche). Est-ce ce qu’on attend d’un président de la République ?

    Or, on ne peut pas se plaindre indéfiniment des conséquences dont on soutient les causes. Face à deux mauvaises raisons qui expliquent une attirance aveugle et répandue pour Macron, apparence et activisme, deux bonnes raisons justifient son rejet des urnes : résistance et renaissance.

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  • Les arnaques de la révolution verte

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    Ecologie, développement durable, économie circulaire, j’en passe et des meilleurs, on n’a que ces mots à la bouche pour caractériser les effets du réchauffement climatique. Sauf que l’on emprunte des chemins  qui ne sont pas les bons et que toute cette tambouille revient à ripoliner les programmes des partis politiques qui n’ont plus d’idées, plus d’électeurs non plus d’ailleurs, et encore moins de saints vers lesquels se tourner, hormis les oiseaux de mauvais augures que sont tous ces zozos estampillés écolos. Mickaël Fonton, dans Valeurs actuelles remet les pendules à l’heure.

    A lire ICI

  • Tout comprendre du séisme politique en Allemagne suite aux élections en Thuringe

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ La nouvelle crise qui secoue l‘Allemagne depuis quelques jours, et qui menace une nouvelle fois d’emporter l’insubmersible Angela, est vraisemblablement incompréhensible pour beaucoup d’observateurs étrangers – et singulièrement pour les Français, habitués au centralisme démocratique parisien. Comment une élection régionale – c’est comme cela qu’elle est analysée en France – de surcroît dans un Land qui ne pèse pas spécialement lourd sur l’échiquier économique et politique allemand peut-elle ainsi conduire la présidente de la puissante CDU à renoncer à briguer l’héritage promis et à annoncer sa démission de la dite présidence, menaçant par ricochet la très résiliente chancelière ?

    Pour comprendre le mécanisme infernal qui pourrait broyer la vieille union démocrate-chrétienne et mettre fin prématurément – ayant déjà à plusieurs reprises osé le pronostic, devrais-je dire le vœu, de cette fin prématurée, je prendrais ici quelques précautions, tant la bête est coriace, bourrelée qu’elle est de morale et des certitudes de la nouvelle foi – au quatrième et dernier mandat d’Angela Merkel, il faut faire un petit retour en arrière, et l’effort de considérer les effets et dommages collatéraux de la politique de la chancelière dans les Länder de l’Est.

    Démocratie en Thuringe

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  • La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...

    Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).

    "On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.

    Qui, "on" ?

    En voilà une bonne question !

    Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...

    Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !

    (Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem) 

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