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magouille et compagnie - Page 1042

  • LFI, ou La France de l’imposture

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    Le parti de Jean-Luc Mélenchon, La France insoumise, n’aura jamais été aussi proche de la rupture, si ce n’est de l’implosion. Toutes ses initiatives apparaissent de plus en plus comme des tentatives désespérées de mettre la main sur des électeurs qui ne cessent de lui échapper. La preuve en est encore avec sa volonté affichée de faire obstruction à l’Assemblée nationale contre la réforme macronienne des retraites, et ce, en multipliant les amendements. Un théâtre d’ombres qui ne porte pas son nom, dans la mesure où le Président Macron ne demande que cela pour imposer son régime à points en brandissant la menace du 49.3 de la Constitution, ce qui lui permettrait de sauter l’obstacle parlementaire. In Fine, à quoi joue le dernier grand parti d’extrême gauche de l’Hexagone ?

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  • Meurtres d’enfants : un autre sujet passé sous silence par les associations féministes

    Meurtres d’enfants : un autre sujet passé sous silence par les associations féministes

    On se demande bien pourquoi. Tout simplement parce que la très grande majorité des meurtres d’enfants sont commis par des femmes...

    Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), (…) 70 % des condamnations pour homicide sur mineur de moins de 15 ans sont des femmes

    En moyenne, au cours des dix dernières années, 57 mineurs âgés de moins de 15 ans ont été victimes d’homicides volontaires tous les ans. En 2015, 64 enfants dont l’âge est connu ont été victimes d’un meurtre, révèle une étude de l’ONDRP (Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), publiée ce mercredi (…)

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  • Deux commentaires pertinents de deux lecteurs sur "la spoliation des Caisses autonomes de retraites" : merci à eux, le débat reste ouvert !...

    1. De Catoneo :

    Personnellement je suis contre tout régime universel. La logique systémique et paramétrique (ça fait cossu) devrait organiser un régime général à points dans lequel seraient versés tous les régimes spéciaux déficitaires.
    En même temps, les cotisations de pension complémentaire devraient être défiscalisées (comme la Prefon) afin que chacun améliore son avenir selon ses choix de vie en déduction de ses revenus imposables.
    On peut accepter des conditions particulières pour les agents exposés du domaine régalien stricto sensu (police, armées, ballet).

    Par contre on ne devrait pas toucher aux régimes autonomes qui sont à l'équilibre voire en excédent, libéraux, Agirc, Arrco...etc.

    Il y a une frénésie jacobine complètement débridée à l'Elysée qui finira mal.

    2. De Vautier :

    Le régime général promet un nivellement par le bas du standing de vie de tous les travailleurs par le biais d'une spoliation de toutes les épargnes qui avaient été accumulées par les gestionnaires les plus prévoyants et les plus avisés, et cela, suivez mon doigt , pour le profit quasi exclusif des intérêts privés et des compagnies d'assurance.

    Ces commentaires sont nés de la lecture de l'article de Jean-Philippe Chauvin, publié sur lfar ce dimanche :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/07/la-spoliation-des-caisses-autonomes-de-retraite-un-nouveau-1-6210601.html

  • Fessenheim : la rançon électorale à 10 milliards d’euros

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    Un grand rassemblement est programmé, le 22 février prochain, devant la centrale de Fessenheim, entre 15 et 18 heures, organisé par l’association Fessenheim notre énergie, par les Écologistes pour le nucléaire (AEPN), par l’association Voix du nucléaire, par WONUC (World Council of Nuclear Workers) et par un collectif de vétérans du programme industriel historique auquel les Français doivent l’actuel parc de production.

    Ce jour ô combien sinistre de la chute réputée définitive des barres de Fessenheim 1, il sera symboliquement important que ce dernier collectif clame haut et fort la réprobation qu’inspire à de nombreux compatriotes la deuxième forfaiture d’État ayant consisté à attenter, par contrat électoral, à l’intégrité de l’inestimable outil industriel dont ces vétérans dotèrent, non sans mal, le pays et dont ils demeurent très fiers.

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  • Cet islam politique qui s’installe en France

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    Depuis une dizaine d’années seulement, un islam intégriste noyaute les banlieues et obtient un pouvoir grandissant grâce à son investissement électoral et associatif, décrit François Pupponi.

    Maire de Sarcelles pendant vingt ans, de 1997 à 2017, et habitant de cette ville depuis plus de cinquante ans, François Pupponi a tout vu : la pauvreté grandissante de certains quartiers, l’écart qui se creuse entre ce territoire perdu de la République et les grandes métropoles, « l’ensauvagement des “ jeunes issus de la diversité” », l’une des plus violentes manifestations antisémites depuis 1945 et enfin l’irruption il y a peu d’un islam radical gangrenant tous les milieux, associatif, cultuel, sportif et social. C’est donc avec les yeux de l’expérience qu’il décrit dans un livre témoignage, les Émirats de la République, comment des musulmans fondamentalistes prennent le pouvoir dans les municipalités et finissent par être une menace pour la République, au grand dam de la communauté musulmane elle-même et des autres habitants. Un récit instructif et riche d’enseignements.
    Découvrez cet entretien paru dans Valeurs Actuelles.

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  • Avec l’affaire Mila, l’islamophobie en prend un coup

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    L’« affaire  » se dégonfle peu à peu. Nicole Belloubet est allée à Canossa en passant par Le Monde pour expliquer que le délit de blasphème n’existe pas en France, que « juridiquement, l’insulte à la religion n’existe heureusement pas dans notre République. Seules sont réprimées les injures faites à autrui en raison de son appartenance à une religion déterminée, comme celles adressées à une personne en raison de ses origines, de ses orientations sexuelles, de son sexe… » Dont acte.

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  • Retraite : un projet de réforme nul et non avenu

    Il aura fallu plus de deux ans de prétendus débats, concertations et négociations et négociations au gouvernement pour rendre un projet de réforme des retraites qui ne ressemble à rien. Consternant !

    Très logiquement, le Conseil d'Etat a rendu, le 24 janvier, un avis très sévère sur les deux projets de loi, organique et ordinaire, en pointant notamment des projections financières «lacunaires» il n'est précisé nulle part comment la réforme sera financée); un manque de visibilité résultant d'un recours abusif - à 29 reprises ! - aux ordonnances (l'État demande en somme aux parlementaires de lui donner carte blanche) une absence de sécurité juridique, en raison des faibles délais (trois semaines !) laissés aux magistrats pour examiner ces textes ainsi que des incertitudes concernant la constitutionnalité de certaines mesures prévues.

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  • Gilets jaunes : «La France est transformée en une immense toile de révoltes», estime Michel Fize

                     RT France

     
    Entretien du 08/02/2020 avec Michel Fize, sociologue et auteur du livre Une insurrection populaire au destin encore incertain.Il s'exprime sur la situation actuelle des Gilets jaunes, et plus particulièrement sur l'acte 65 de ce samedi, marqué par une interdiction préfectorale.
  • Têtes à Clash n°63 : Macron et l’affaire du t-shirt « LBD 2020 »

     

    Franck Tanguy reçoit Christian Vanneste, Jean-François Auzolle, Philippe Murer et François Bert. Au programme des débats :
    1) L’affaire Mila : droit au blasphème ?
    2) Good bye UK, et après ?
    3) Macron et l’affaire du t-shirt à Angoulême

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n63-macron-et-laffaire-du-t-shirt-lbd-2020

  • Le chemin du droit de l’entreprise : de la perte de la souveraineté de l’Etat à la dictature universelle

    Une récente manifestation médiatique arrive à point nommé pour illustrer la réalité politique de la question juridique de l’entreprise.

    Le droit de l’entreprise est au cœur de la souveraineté des États car il est le lieu privilégié où s’affrontent les forces économiques globalistes menées par les banquiers et les forces politiques légitimistes menées par les États. N’en déplaise aux esprits faux, la traduction de la souveraineté est éminemment juridique, aussi il n’existe pas de souveraineté politique sans souveraineté juridique. Dit autrement, la souveraineté politique passe de façon essentielle par la souveraineté juridique. Derrière tous les faux semblants et les jérémiades des actuels dirigeants économiques, qui contrôlent en réalité l’État français, est un principe général : « Dieu se rit des hommes – et des États – qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » On ne peut dans le même temps à la fois jouer le jeu globaliste de ses adversaires, tout de droit anglo-saxon vêtu, et déplorer son propre asservissement, c’est-à-dire son impuissance et sa domination !

    Qu’en est-il de la souveraineté juridique française ? Sa disparition est parfaitement illustrée par l’évolution juridique du droit de l’entreprise. De ce point de vue, la France, comme la plupart des pays du monde, a abandonné son pouvoir régalien de régulation au profit de la mise en œuvre réglementaire illimitée du pouvoir de ses créanciers – les banquiers globalistes. Concrètement, la France a abandonné sa capacité a générer une économie politique autonome – comprendre « non contrôlée par les banquiers globalistes » – lorsqu’elle a refusé au Général De Gaulle la mise en œuvre juridique de la souveraineté économique, qui passait par un renouveau du droit de l’entreprise.

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