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magouille et compagnie - Page 1036

  • “Séparatisme”, “communautarisme”… Et si on parlait simplement d’islamisme?

    Le changement sémantique voulu par Emmanuel Macron démontre que les dirigeants français errent complètement, alors que monte la menace islamiste sur notre sol. L’analyse de Céline Pina.

    Face aux attentats, violences et tensions qui traversent notre société, le Président de la république n’a pas été avare de plans. On nous a d’abord vendu en fanfare des plans contre la radicalisation, on les a même relancés. Sans succès. On nous a dit alors qu’on allait voir ce qu’on allait voir et que le gouvernement allait lancer un plan contre le communautarisme. On n’a rien vu. Aujourd’hui, tout le monde attend avec impatience le nouveau nouveau plan. Contre le séparatisme cette fois-ci. Le problème c’est que pour l’instant toutes ces annonces n’impulsent aucune dynamique et n’obtiennent pas de résultats. Au moins l’analyse du bilan n’est-elle pas épuisante : ces plans sont en général des coquilles vides qui ne servent qu’à mettre en scène une volonté politique, celle-ci tenant lieu d’action concrète et permettant de faire durer l’immobilisme comme de faire patienter le peuple jusqu’au prochain attentat, au prochain meurtre, au prochain scandale, à la prochaine adolescente chassée de son lycée par une meute fanatisée…

    Un errement sémantique qui en dit beaucoup

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  • Éoliennes et massacre de nos paysages : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    Éoliennes et massacre de nos paysages  : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    L’essayiste Grégory Roose a publié une tribune dans Valeurs actuelles pour dénoncer les éoliennes et le massacre de nos paysages. Extraits :

    Alors que le gouvernement vient de décider de doubler le nombre d’éoliennes d’ici 2028, les Français ne cachent plus leur agacement envers ces installations industrielles dont l’imposante verticalité brouille l’harmonie visuelle des campagnes et des bords de mer (…) Notre patrimoine paysager est la première victime de cette « lutte contre le réchauffement climatique » qui se trompe d’adversaire. L’enlaidissement des villes n’aura pas servi à éviter celui des campagnes (…) Après le temps de l’urbanisation sauvage, vient celui de l’écologisation organisée, c’est-à-dire du massacre planifié des paysages légitimé par la sacro-sainte « lutte contre le réchauffement climatique » (…)

    Contrairement aux idées émises, elles ne contribuent presque pas à réduire les gaz à effet de serre, et donc le réchauffement climatique, dans une France qui consomme déjà près de 85 % d’électricité décarbonnée grâce aux centrales nucléaires et à l’hydraulique. Par pur dogmatisme, le Gouvernement veut continuer à tartiner la France d’éoliennes pour réduire la part du nucléaire à l’horizon 2035. Mais pour couvrir les besoins énergétiques de la France, il faudrait des centaines de milliers d’éoliennes implantées sur des millions d’hectares. Avec 8.000 éoliennes en service en 2019, la France a déjà dépassé le seuil de tolérance. Dans ces conditions, pourquoi encourager ce viol esthétique de nos paysages, partie intégrante du patrimoine identitaire de la France ?(…)

    L’implantation d’éoliennes répond à une puissante idéologie « anti-nucléaire » (…) En imposant l’éolien, le lobby écolo « anti-nucléaire » prétend à tort réduire le réchauffement climatique et s’arroge par conséquent le droit d’infliger aux Français de nombreuses atteintes à l’environnement : dégradation du cadre de vie, augmentation de la mortalité des oiseaux, extraction d’acier et de métaux rares, bétonnage intensif de bonnes terres agricoles.

    Pour illustrer l’hypocrisie des écolos-gauchistes, la situation du village de Saint-Pierre de Colombier en Ardèche est assez parlante. Une poignée d’écolo-gauchistes s’oppose au projet de la Famille Missionnaire de Notre-Dame de construire au nouvelle église dans le village (voir ici). Les arguments les plus fallacieuxainsi que la diffusion de fake news sont bons à utiliser au nom de l’écologie alors que le combat est en réalité un combat anti-chrétien (voir iciici et ici). Le slogan principal de ces opposants écolos-gauchistes est “Stop béton“.

    Or, l’Ardèche a inauguré en 2017 le plus gros parc éolien de la région :

    Le nouveau parc éolien de la montagne ardéchoise s’étend sur six communes du plateau ardéchois. 29 éoliennes sont réparties sur ce vaste territoire. L’ensemble délivre une puissance de 73,5 mégawatts, ce qui équivaut à la consommation électrique annuelle de 80 000 habitants. C’est le plus gros parc éolien de la région Auvergne-Rhône-Alpes et avec lui, le département de l’Ardèche devient le premier département de la région en matière d’énergie renouvelable (…) Il aura fallu 10 ans pour sortir de terre ces machines aux allures de danseuses hautes de 85 mètres.

    Or, il se trouve qu’il faut énormément de béton pour construire des éoliennes (environ 1 200 tonnes) et que ce béton ne sera jamais recyclé à la fin de fin de l’éolienne. Et là, silence complet des écolos-gauchistes :

    Ces éoliennes seront dotées de mâts hauts de 85 m, supporteront des pales de 41 m de long. Un gigantisme qui induit des efforts importants sur socles béton (massifs poids), ces derniers reprenant toutes les charges de l’éolienne (…) Chaque socle consomme 425 m3 de béton. Plus de quarante tonnes d’acier sont utilisées pour chaque socle.

    Pour soutenir le projet de la famille Missionnaire de Colombier, un site dédié est accessible.

  • « Violence inédite » en France : Brune Poirson a raison…

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    Elle a mille fois raison, « Vous avez vu l’état de la violence politique, dans ce pays ? Il y a une perte totale de repères ; de la part de beaucoup de responsables politiques. Les mots n’ont plus de sens pour beaucoup de responsables politiques en France. Aujourd’hui, il y a des députés de La République en marche qui, chaque semaine, se font attaquer, verbalement mais aussi physiquement… On vit une période de violence qui est inédite sous la Ve République. » La secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique parle d’or.

    Interviewée, mercredi matin, sur Radio Classique, elle n’a pas de mots assez durs pour les députés de La France insoumise, qu’elle qualifie d’« enfants pourris gâtés de la démocratie ». On pourrait écrire tout un livre sur ces quelques phrases tenant dans cinq lignes. « Les mots n’ont plus de sens ? » Prenez Emmanuel Macron. Au hasard. Nous sommes en septembre 2018, sur le Vieux-Port de Marseille. Rencontre fortuite (?) du Président avec Mélenchon. Un journaliste pose cette question : « Votre adversaire, c’est plus le Front national que lui-même [Mélenchon], finalement ? » Réponse d’Emmanuel Macron : « Ah, j’ai aucun doute… On a des confrontations politiques, mais ce [Mélenchon] n’est pas mon ennemi. » Sous-entendu, le Front national est mon ennemi. Les mots ont un sens. On croyait que l’ennemi, c’était Daech.

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  • Communautarisme: pris à partie, Emmanuel Macron vante la reconquête républicaine

    En visite à Mulhouse pour ouvrir la séquence de lutte contre le « séparatisme », le président a surtout tenté de convaincre des bienfaits de la reconquête républicaine.

    « Monsieur le Président, vous venez parler de communautarisme dans notre ville, mais nous, les jeunes, n’avons même pas été consultés ! » En déplacement à Mulhouse, ce mardi 18 février, c’est finalement par un bain de foule qu’Emmanuel Macron a décidé d’ouvrir la tant attendue séquence de lutte contre le communautarisme, ou plus exactement, contre le « séparatisme », selon sa nouvelle expression.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/communautarisme-pris-a-partie-emmanuel-macron-vante-la-reconquete-republicaine

  • L’écologisme, ce faux-nez du mondialisme, par Ivan Rioufol

    L’écologisme, dans sa version macronienne, s’annonce comme une autre manière de promouvoir la mondialisation et le jeunisme, ces deux mamelles du progressisme asséché.

    Ce mercredi 12 février, le chef de l’Etat entend lancer son “tournant vert” aux allures de faux-nez. Emmanuel Macron doit faire oublier la démission de son ministre dépité, Nicolas Hulot, il y a un an et demi. Le président veut surtout sortir de la tempête qu’il a créée sur les retraites, afin de flatter plus sereinement l’idéologie universaliste qui structure sa démarche. Après avoir réuni ce matin son Conseil de défense écologique, il doit se rendre ce soir au pied du Mont Blanc. Reste que son soutien convenu à Greta Thunberg, l’enfant-robot qui prône “la grève de l’école pour le climat”, cautionne une vision politisée et extrémiste de la protection de la planète. Dans une tribune qu’elle a cosignée le 29 novembre 2019, Greta, 16 ans, explique la crise climatique par “les systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux (qui) l’ont créée et alimentée” ; des systèmes qu’elle et ses amis se proposent de “démanteler”. La mise à sac, lundi, des locaux parisiens du gestionnaire de fonds BlackRock par des militants écolos d’Extinction Rebellion est une manifestation supplémentaire du sectarisme de ce mouvement plus rouge que vert. Il désigne l’Occident, le capitalisme et le mâle blanc comme des ennemis. Le fondateur d’Extinction Rebellion, Roger Hallam, dont la section française a pu bloquer impunément la place du Chatelet à Paris durant cinq jours en octobre, a qualifié la Shoah, le 20 novembre, de “simple connerie de plus dans l’histoire humaine”. L’outrance a été pardonnée par les sermonnaires. Or c’est vers ce gauchisme frustre que penche Macron.

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  • Nous ne pleurerons pas la disparition politique de Benjamin Griveaux

    Nous ne pleurerons pas la disparition politique de Benjamin Griveaux

    Il n’est pas inutile de relire ce texte de Juan Branco à propos de l’ascension politique de Benjamin Griveaux que nous avions déjà publié par deux fois (ici et ici). Il faut noter au’aucune plainte en diffamation n’a jamais été déposée contre ces affirmations :

    Benjamin Griveaux, lorsqu’il était conseiller ministériel, touchait plus de 10 000 euros par mois au cabinet de la “socialiste” Marisol Touraine pour du “conseil politique”. Cela ne suffisant pas, il partît vendre son “influence” à Unibail (“influence”, terme que l’élite utilise pour “corruption”) pour 17 000 euros par mois. Sa mission? “S’assurer que personne au ministère des finances ne propose d’abolir une niche fiscale favorable à l’entreprise.” Ses moyens ? Les réseaux que l’Etat lui avait confié. Nous étions en 2014.

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  • Le poisson pourrit toujours par la tête

    6a00d8341c715453ef0240a50d1b53200b-320wi.jpgL'écœurante, et passablement ridicule, affaire Griveaux, le montage répugnant qui l'entoure, et l'unanimité tant soit peu factice de sa condamnation, nous prouvent une fois de plus une réalité paradoxale. L'action des pires crapules et autres déchets de l'humanité peut en effet se retourner contre leurs inspirateurs.

    Coup de tonnerre, mais aussi coup double, en l'occurrence au sein de la Macronie en décrépitude : d'une part, la campagne électorale parisienne après avoir perdu un mauvais candidat, gagne une tête de liste improvisée, plan-plan mais bon genre, de nature à rassurer in extremis une partie des lecteurs du Figaro.

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  • POLIT’MAG – Immigration en France : des chiffres faux ?

    Tous les vendredis, samedis et dimanches soir à 19h en direct, RT France propose son émission Polit’mag.

    Le 16 février, le thème était le suivant : “Immigration en France : des chiffres faux ?”

    Les invités étaient :

    – Catherine Withol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, spécialiste de la question des migrations
    – Danielle Babin, avocate spécialisée en droit des étrangers
    – Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen

  • Quand une “journaliste” engagée de BFM se livre à un interrogatoire accusateur contre son invité

    Quand une “journaliste” engagée de BFM se livre à un interrogatoire accusateur contre son invité

    Quand la Macronie est attaquée, elle déploie tous ses bons et fidèles petits soldats. C’est une interview hallucinante à laquelle s’est livrée Apolline de Malherbe ce matin sur BFM(acron). Son manque de professionnalisme, ses mimiques, son parti pris et ses questions auxquelles elle avait déjà les réponses ont poussé Juan Branco à faire un signalement au CSA afin que le système soit mis face à ses contradictions. Pour mieux juger, regardez l’intégralité ci-dessous (résumé ici) :

    Réaction de Juan Branco :

    La fin de l’interview constitue une forme d’accusation, et une atteinte très grave à la présomption d’innocence. Elle m’accuse d’être derrière cette affaire sans aucun élément de preuve. Et elle ferme l’interview là-dessus, donc elle m’interdit de répondre. C’est une accusation très grave portant sur la commission d’une infraction. Mon signalement porte surtout sur la fin de l’interview, mais la fin est éclairée par le reste de l’interview. C’était une interview accusatoire

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-une-journaliste-engagee-se-heurte-a-un-militant-engage/