magouille et compagnie - Page 1107
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« Le terrorisme intellectuel s'amplifie en France » – LE BASTION SOCIAL CONTRE-ATTAQUE
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Suite à l'inquisition de la Commission parlementaire : la conférence de presse de la Ligue du Midi et des Brigandes
Le nouvel album CD des Brigandes :
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Les glaciers grossissent après avoir fondu, les médias refusent d’en parler
En janvier dernier, le New York Times, mais aussi Libération, Le Monde, Science et Vie, Le Figaro, 7sur7, RTBF, Futura Sciences, 20 minutes, Le Parisien, 24heures CH, France Inter, France 3, RTL, Sputnik, Le Temps, AFP, LaPresse CA, Courrier International, Le Point, Arte, Novethic, Radio Canada, Le Matin, GEO, l’Obs, Les Echos, France Culture, publiaient que les glaciers étaient en train de fondre.Mais quand les glaciers ont recommencé à se développer, il n’y a pas eu beaucoup de couverture média, voire pas du tout.
En janvier dernier, le New York Times a beaucoup parlé de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland, qui, selon lui, fond à un rythme tellement accéléré qu’elle pourrait atteindre un point de basculement et devenir un facteur majeur de l’élévation du niveau de la mer dans le monde d’ici deux décennies.
Le quotidien a même montré une vidéo accélérée de cette fonte apparente.Il a dit que les estimations scientifiques sont probablement même trop conservatrices.
Quand les glaciers grossissent, les nouvelles fondent
Changement de cap, le 23 mars, Associated Press a évoqué un énorme retournement de tendance : le glacier principal du Groenland est en train de grossir à nouveau.AP a décrit comment le glacier Jakobshavn du Groenland, le plus grand de l’hémisphère nord, surprend les scientifiques par sa croissance.Il n’a pas été question de ce revirement dans le New York Times, ni dans aucun des médias cités plus haut.
Une recherche dans Google Actualité montre que BFMTV a même totalement ignoré l’information et a affirmé que le glacier Jakobshavn fondait !
Un seul média, Enviro2B, a tiré « un glacier du Groenland a recommencé à se développer ».
Nelly Lesage, une journaliste moralement plus corrompue que les autres a titré dans Numerama : « un glacier du Groenland fond moins vite ». Il faut se rendre dans l’article pour lire que le glacier « s’étend et s’épaissit ».
Voici un autre titre d’Associated Press.
Il est de 1922, soit avant les prédictions alarmistes sur le changement climatique anthropique.
On peut y lire : « L’océan Arctique se réchauffe, les phoques disparaissent et les icebergs fondent ».
C’est un rappel que d’autres forces peuvent être à l’œuvre, concernant le « réchauffement climatique » :
Le fait que la glace s’évapore aussi rapidement que l’eau,
L’activité volcanique sous les glaces,
ou une force encore plus puissante : la politique.
D’ailleurs, si vous écoutez les seuls « experts » que les médias invitent, ils vous diront que :
Les demi-mesures ne vaincront pas le changement climatique, car les glaciers disparaîtront bientôt.
Si vous décodez bien le message, il veut dire que vous devez vous attendre à subir des ponctions fiscales nouvelles, et que des politiques qui n’appliquent pas ces règles à eux-mêmes vont bientôt vous imposer votre manière de vivre.
Cet article m’a été inspiré par l’envie de réagir à un nouvel article de propagande paru dans Le Parisien, disant que la température du cercle polaire avait atteint un record de chaleur, alors que les records de froids sont largement oubliés.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info. -
Plus sérieux et plus modeste que Juan Branco, Marc Endeweld décrypte le système Macron
Source: E&R
Peu à peu, la gauche et les médias bien-pensants groggy se réveillent du coup de massue « Juan Branco ». Arrivé comme une météorite dans le paysage politique, et à point nommé pour gauchiser le mouvement des Gilets jaunes (voir la transformation radicale de Maxime Nicolle), il a pris la lumière à tout le monde, se considérant comme le seul opposant valable à Emmanuel Macron.
Ce rêve de grandeur adolescent a été quelque peu refroidi par des journalistes ou des écrivains moins fanfarons, moins photogéniques mais plus travailleurs. Marc Endeweld est de ceux-là. Il a décrit à deux reprises le système Macron – L’Ambigu monsieur Macron en 2015 – bien avant le petit Branco. Il est interrogé ici par le nouveau patron du Média, qui a ouvert ses portes au jeune Branco, car la gauche a besoin de héros.
La gauche, laminée depuis 2002, pour se renouveler et retrouver une certaine pureté aux yeux de ses électeurs, a dû s’attaquer à l’oligarchie. Pas le choix ! Depuis, on constate qu’il y a deux sortes d’attaques : les attaques profondes et les attaques superficielles. Juan Branco, en faisant beaucoup de bruit, ne vise au final qu’une poignée de milliardaires, ce qui nous autorise à dire qu’il vide l’oligarchie réelle de sa substance – le réseau – en la faisant incarner par un quarteron de personnages médiatiques, les milliardaires Drahi, Niel, Lagardère et Arnault.
Peopolisation démagogique contre culture de réseau
On retrouve là le vieux fantasme de la gauche des années 30 qui s’en prend aux « 200 familles », soit les très riches qui symbolisent l’injustice sociale. Mais cela ne suffit pas pour une explication et un projet politique : il y aura toujours des riches, on le sait depuis 2 000 ans. Plumer les quatre milliardaires précités ne changera pas la face des Gilets jaunes et leur paupérisation programmée, à l’origine de leur révolte.
François Ruffin, avec son film Merci Patron !, avait lui aussi visé Bernard Arnault, mais depuis, la fortune du PDG de LVMH n’a fait que croître : il figure désormais au 4e rang mondial avec 68 milliards d’euros. Quand le documentaire du député LFi est sorti, en 2016, Arnault pointait au 14e rang avec 34 milliards.
Dénoncer une immense fortune, c’est bien, changer les consciences, c’est mieux. C’est toute la différence entre le travail en profondeur et l’action superficielle. Pour cela, rien ne vaut la lecture de livres basés sur une enquête, avec des faits, des noms et des chiffres. Et du courage éditorial, surtout.
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La mise en bière européenne de Bellamy
Le président du Sénat, Gérard Larcher, n’a pas manqué d’exprimer son désaccord dès que le nom du jeune maire adjoint de Versailles, normalien, agrégé de philosophie, commença de circuler : « Bellamy n’était pas mon choix, nous ne partageons pas les mêmes conceptions et visions de la société […]. Il ne coche pas toutes les cases pour rassembler une famille politique qui est diverse, dans laquelle les valeurs qu’il peut porter sont respectables. » Bruno Retailleau, président du groupe LR du Sénat, accueillit cette candidature avec enthousiasme. Question : de Gérard Larcher ou de Bruno Retailleau, lequel a coché la mauvaise case en ne soutenant pas, dès le début, la candidature de François-Xavier Bellamy ?
Pour limiter la casse aux européennes, le candidat de Bruno Retailleau semblait avoir le bon profil, et ce, malgré les avis négatifs des Valérie Pécresse, des Rachida Dati, des Christian Estrosi et de bien d’autres encore. Gérard Larcher se posa sans doute une question toute personnelle. Pour gagner à nouveau confortablement la présidence du Sénat en septembre 2020, une petite moue progressiste devant la candidature de Bellamy n’était-elle pas une posture intéressante ? Il faut bien donner, dès aujourd’hui, des gages aux centristes et à la bien-pensance en général. C’est la petite cuisine politicienne loin des attentes des Français et des exigences du pays ! On est « gaulliste » ou on ne l’est pas !
Pourquoi ne proposa-t-il pas à François-Xavier Bellamy de venir sur sa liste des sénatoriales en septembre 2017 ? Pourquoi lui avait-il préféré un candidat joker ? Alain Schmitz – c’est de lui qu’il s’agit – avait déjà figuré sur sa liste en 1995, mais en position inéligible. Ce qui ne l’empêcha pas de siéger à la haute assemblée de mai à septembre 2004 à la faveur de l’entrée de Gérard Larcher au gouvernement. Quand, en 2009, Pierre Bédier, condamné pour « corruption passive » et « recel d’abus de bien sociaux », fut obligé de quitter la présidence du conseil général des Yvelines, Alain Schmitz, pour rendre service à ses amis, accepta de le remplacer. Quand, en avril 2014, Pierre Bédier, ayant purgé sa peine d’inéligibilité, voulut retrouver son poste de président du conseil départemental, Alain Schmitz accepta de s’en aller. Autant de docilité forçant sans doute l’admiration, il lui fut proposé de figurer en position éligible sur sa liste des sénatoriales. La nécessité de renouveler le personnel politique aurait pu amener le président Larcher à proposer cette place au jeune élu de Versailles. L’équilibre géographique de la liste n’en eût pas été modifiée puisque Alain Schmitz est lui-même de Versailles. Par ailleurs, était-il vraiment important pour l’avenir du pays et pour l’image d’un Sénat déjà si décrié qu’Alain Schmitz, né en 1948, y siégeât jusqu’à 76 ans ?
Certains expliquèrent la décision de Gérard Larcher par la règle qu’il s’était fixée de ne pas prendre sur sa liste les recalés des élections législatives. Lorsqu’on sait que le grand « dégagisme » dont fut victime François-Xavier Bellamy, candidat à la députation à Versailles, est dû pour une grande part à des pratiques aussi détestables que celles que nous venons d’évoquer, on ne peut qu’être choqué par l’hypocrisie de cette règle. Cette décision est d’autant plus incompréhensible que le groupe LR du Sénat avait demandé à François-Xavier Bellamy de piloter un groupe de réflexion durant les mois précédant l’élection présidentielle. Aussi, la préférence donnée à Alain Schmitz n’est-elle pas sans trahir également un évident manque d’intérêt pour nombre de questions importantes qui agitent le pays et pour lesquelles la culture et le discernement du jeune philosophe n’eussent pas été inutiles dans l’Hémicycle, loin s’en faut.
Aujourd’hui, à quelques jours du scrutin, Bellamy semble faire l’unanimité chez les siens. Combien de temps ces gens resteront-ils les « siens » ? N’oublions pas les élections municipales dans un an, suivies des sénatoriales quelques mois plus tard. Parions que les « siens » lui conseilleront de rester à Bruxelles ou à Strasbourg avec « les valeurs respectables qu’il peut porter ». De quoi aura-t-il à se plaindre ? N’aura-t-il pas été, après tout, remercié pour son talent par un mandat européen ?
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Nouvelles déclarations délirantes de Marlène Schiappa
Sur RMC, Marlène Schiappa a fait plusieurs déclarations :
Elle a assuré que le projet de loi sur la PMA étendue sera présenté en conseil des ministres avant les vacances d’été. La PMA sera-t-elle remboursée? “Nous verrons”…
Puis elle a enchainé sur la GPA, l’étape suivante :
je suis à l’écoute de tout un chacun sur le sujet.
Enfin, dans son délire, elle affirme :
“le droit à l’avortement est en danger partout”.
C’est faux :
- Il y a plus de 200 000 avortements par an en France
- Selon les Nations Unies, 150 millions de filles manquent à l’appel dans le monde. En raison des avortements des bébés filles. Mais cela ne gène pas la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes. Le déséquilibre filles-garçons s’est encore creusé avec l’arrivée des techniques de dépistage prénatal (à partir des années 1980). Lesquels s’accompagnent d’un recours massif à des avortements de fœtus féminins.
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Non, Marine Le Pen n’est pas « suprémaciste » : c’est Libération qui confirme !
Depuis le voyage de Marine Le Pen en Estonie, où elle a été photographiée en compagnie d’un des députés locaux, Ruuben Kaalep, tout sourire, pouce et index formant un petit rond, les sémiologues ne chôment pas.
À première vue, le cliché évoquerait plutôt Michel Serrault tenant sa tasse de thé dans La Cage aux folles, mais non. Ce serait, en fait, un signe « suprémaciste blanc », à en croire les réseaux asociaux. Nathalie Loiseau reprend, d’ailleurs, l’information à son compte, ce qui est immanquablement gage de sérieux.
Du coup, les journalistes de Libération se penchent de plus près sur l’affaire, dans leur rubrique « CheckNews », la plupart du temps assez bien troussée, il convient de le reconnaître. Alors, « suprémaciste », le geste incriminé ? Pas vraiment, voire pas du tout, nous dit leur méticuleuse enquête.
De son côté, Marine Le Pen avait déjà précisé : « Ce n’est pas un geste suprémaciste blanc. C’est un geste qui veut dire OK pour sept milliards de personnes qui vivent sur notre planète. C’est un geste de plongeur, international, connu par tout le monde. Et d’ailleurs, vous trouverez sur Internet des dizaines de personnes, Macron, Obama, qui font ce geste. » Libération confirme.
Et la même de préciser : « En réalité, ce geste de suprémaciste blanc est un gigantesque trollage, effectué par un forum très connu qui s’appelle 4chan, et qui a effectué ce trollage pour se moquer de la presse internationale. Tout le monde est tombé dans ce piège. » Libération tend à confirmer encore. Et nous en dit même un peu plus sur l’origine du signe incriminé. Symbole abandonné par les grands anciens dans la pampa argentine ou rune retrouvée sur des dolmens érigés par une race supérieure au goût étrange venue d’ailleurs ? Rien de tout cela.
Plus prosaïquement, celui qui a lancé cette mode est un conservateur de l’espèce trumpienne – aucun rapport avec celle des reptiliens, qu’on se rassure –, connu sous le nom de « Pizza Party Ben », sobriquet qui n’évoque que de loin, on en conviendra, les fastes du Troisième Reich. Et c’est bien le forum 4chan, sorte de Gorafi amerloque, qui s’est fait un plaisir de railler la surinterprétation médiatique du geste en question, photos du pape François ou d’Alexandria Ocasio-Cortez (nouvelle égérie du parti démocrate) à l’appui ; toutes personnalités assez peu connues pour leur suprémacisme blanc militant, notons-le.
Dans le même registre, on remarquera que ces journalistes prompts à taxer de complotisme quiconque s’interroge sur telle ou telle question malvenue ne sont pas les derniers à tomber dans le panneau, telle notre chère Nathalie Loiseau à qui l’on doit, en grande partie, ce tintamarre politico-médiatique. Ainsi, Frédéric Chatillon, l’un des proches de Marine Le Pen, s’est-il vu soupçonner par Marine Turchi, de Mediapart, de national-socialisme rampant, puisque signant souvent, sur sa page Facebook, ses posts d’une icône de dauphin. Or, dauphin, en anglais, se dit « dolphin ». Et de dolphin à Adolphe, la similarité saute aux yeux tandis que s’impose l’affiliation politique. CQFD.
Toujours dans la catégorie fin limier façon Rantanplan, la fameuse quenelle, popularisée par l’humoriste Dieudonné, a longtemps été tenue par les spécialistes pour « salut hitlérien inversé » alors qu’il ne s’agit que d’un fist fucking métaphorique. Ce qui n’est certes pas d’un goût exquis, mais qui vaut bien les nouilles dans le slip à Cyril Hanouna.
On remarquera, encore, que cette néo-sémiologie demeure un inépuisable champ d’investigation. La poignée de mains franc-maçonne, avec ses trois doigts appuyés en triangle ? Un complot des Trois Suisses, à n’en pas douter. Ou, allez savoir, des fils de la veuve poignet, l’organisation onaniste bien connue et tant redoutée par les démocrates et les ORL.
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I-Média n°250 – Macron et les otages : les médias en mode sauvetage
Comme chaque semaine, I-Média décrypte l’actualité médiatique en déconstruisant le discours dominant.
Etant donnée la censure qui s’abat sur TV Libertés, rendez-vous sur le site internet de la chaîne alternative pour retrouver toutes vos émissions : tvlibertes.com.Sommaire
01:30 Macron et les otages. Les médias en mode sauvetage
Après la libération des otages en Afrique, plusieurs médias ont montré beaucoup de zèle à les défendre, quitte à prendre des libertés avec les faits.
13:10 Zapping
Caroline Roux se ridiculise en voulant attaquer Marine Le Pen à tout prix, démontrant une fois de plus tout son militantisme. Un militantisme assumé par une journaliste de BFM TV qui arbore un sac à dos… SOS Méditerranée !
23:00 Européennes : la partialité médiatique ne fait pas débat !
Ces derniers jours ont été riches en débats à quelques encablures des Européennes. Evidemment, les médias ont défendu le camp dit « progressiste » et notamment Nathalie Loiseau.
32:15 Tweets
Pour Paul Carcenac, journaliste au Figaro, les Français sont plus proches des Africains francophones que des Européens parlant une autre langue que la nôtre.
Dans la même veine délirante, les Décodeurs – décidemment à l’honneur cette semaine – n’hésitent pas à relativiser les propos pédophiles de Daniel Cohn-Bendit.
37:15 Agressions d’homosexuels : LMPT ou jeunes immigrés ?
Selon plusieurs médias, les extra-européens ne seraient pas sur-représentés parmi les agresseurs d’homosexuels. Une position intenable.
https://www.polemia.com/i-media-n250-macron-et-les-otages-les-medias-en-mode-sauvetage/
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Les pratiques commerciales douteuses du secteur de l’énergie!
Encore des pratiques commerciales «douteuses» dans le secteur de l’énergie… C’est ce qui est mis en avant dans cet article de 20 Minutes qui ne peut tout de même pas passer sous silence que les réclamations pour pratiques « douteuses » comme l’on dit pudiquement ne représentent « que » 7% des litiges alors que…:
- La contestation des niveaux de consommations facturées est le problème le plus récurrent (30 %),
- En numéro 2 les résiliations inexpliquées (11 %),
- Puis les paiements et règlements (10 %),
- les prix (10 %)
- ou encore les raccordements (8 %)
Pour en revenir aux mauvaises pratiques commerciales des fournisseurs, elles sont réelles et renvoient au fait que personne ne se réveille le matin en se disant « et si j’allais me faire plaisir en achetant mon électricité ailleurs ».
Ensuite on vous fait miroiter tout plein de choses, mais un kilowatt reste un kilowatt et la différence entre les fournisseurs ne me semble pas phénoménale ni la concurrence particulièrement farouche.
J’ai déjà vu effectivement un peu trop de « braves » vendeurs se faisant passer plus ou moins pour des types d’EDF ou d’Engie, ou dont ne sait plus trop quelle entreprise et qui jouent sur l’ambiguïté.
Voilà où conduit une concurrence assez inutile et qui relève nettement plus du dogme et de l’idéologie que de l’efficacité économique.
Pour laisser la place à des concurrents qui achètent leur électricité sur le marché, EDF est obligé de monter ses tarifs ce qui nuit… à tout le monde!
C’est ainsi que la concurrence à la sauce européenne a pour conséquence l’augmentation des tarifs…
C’est un peu stupide quand on sait que l’on nous vante la concurrence comme étant importante pour faire baisser les prix et que donc, c’est pour notre bien.
Mon œil.
Charles SANNAT
Source 20 Minutes ici
https://insolentiae.com/les-pratiques-commerciales-douteuses-du-secteur-de-lenergie/
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Acte de racisme absolu contre l’être humain, la mise à mort de Vincent Lambert serait un crime d’État
Selon l’Agrif :
De partout montent les appels vers le président de la République qui, seul, a désormais le pouvoir d’empêcher le meurtre par euthanazie idéologiquement programmé.
La mise à mort de Vincent Lambert prendrait une signification terrible : la volonté mûrement décidée d’un acte de transgression de la loi morale universelle, celle du Décalogue, fondement de la civilisation du respect de la vie innocente, ordonné par le quatrième des commandements du Décalogue : « Tu ne tueras pas ». Décalogue pas seulement destiné au seul peuple juif de l’Ancien Testament et donc aux chrétiens mais de portée universelle.
L’obligation morale et légale du respect de la vie de l’être humain innocent, c’est ce qui fait depuis toute la différence entre civilisation barbare et civilisation humaniste.
Ce n’est pas seulement madame Agnès Buzyn, ministre de la santé, indifférente au respect du serment d’Hippocrate, qui a pris la terrible responsabilité de piétiner la décision de la Commission internationale de défense des personnes handicapées de l’ONU, au mépris des accords signés par la France.
Elle n’a pu annoncer cette décision barbare que sous l’autorité du président de la République française.
Emmanuel Macron, s’il choisissait la mort et non la vie pour Vincent Lambert, porterait en tant que chef de l’État la terrible responsabilité devant Dieu et devant les hommes d’assumer un acte, le plus absolu, de transgression morale.
Il y perdrait aussi sa véritable légitimité qui ne peut être fondée que sur le devoir de protéger son peuple et d’agir pour le respect de la vie des plus faibles.