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magouille et compagnie - Page 1104

  • Le gouvernement Macron aime poser avec les voyous

    Le gouvernement Macron aime poser avec les voyous

    Vous avez aimé ?

    Alors vous aimerez :

    Il s’agit de Julien Denormandie, ministre, et AdrienTaquet, secrétaire d’État, posant à Asnières avec Mahfouse Aidara, condamné pour viol en réunion, violences, vol aggravé et dégradation. Et pourtant, ils avaient été prévenus par le maire…

    https://www.lesalonbeige.fr/le-gouvernement-macron-aime-poser-avec-les-voyous/

  • Macron partout, Justice nulle part.

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    Anne-Sophie Chazaud

    Honnêtement, après Schiappa chez Hanouna, le coup de Macron interviewé par le post-pubère participatif du système pour essayer de rameuter encore quelques cerveaux innocents dans les toutes dernières minutes de la campagne, - naturellement jamais comptabilisées par le CSA tout occupé à traquer les touristes russes, américains et martiens -, ça passe tranquille... Plus sérieusement, ce qui est étonnant, ce n'est pas que ce régime ait utilisé tous les moyens de propagande les plus grossiers pour s'affranchir des règles d'une campagne démocratique : on attend toujours la comptabilisation du temps de parole de BHL, de Macron lui-même qui use de tous les moyens de l'Etat pour faire campagne et sursaturer l’espace de débat public depuis des mois sous couvert de Grand Débat au profit d'un clan. Que cet exécutif déjà élu de manière douteuse puis ayant régné avec des méthodes répressives et violentes jamais connues en France ni à l'encontre de son propre peuple depuis au moins la guerre d'Algérie, ait conduit une campagne électorale de cette façon hautement contestable n'est guère surprenant au regard des conditions-mêmes d'accession de cette oligarchie peu scrupuleuse au pouvoir et de sa feuille de route.
    Non. Rien d'étonnant donc.
    En revanche, ce qui est surprenant, c'est qu'il ne se soit trouvé personne dans l'entourage du jeune président, quelque spécialiste de la communication voire politicien compétent (cela doit bien exister en Macronie...?) pour lui conseiller de tout simplement se taire, cesser de se montrer, de la ramener à tout bout de champ. 
    Pour lui dire en face que c'est précisément l'étalage constant et sans vergogne de son ego, de son omniprésence infatuée mâtinée d'impuissance capricieuse ("je suis votre chef") qui cristallise contre lui, contre ce qu'il représente et incarne, toutes les colères et tous les rejets.
    Chaque manigance communicationnelle, chaque sursaturation propagandiste de l'espace de débat public par Macron lui fait perdre quelques points supplémentaires à proportion qu'elle souligne l'absence de scrupules démocratiques du personnage et du système qu'il porte.
    Cette cécité pathologique et obstinée restera probablement comme le trait caractéristique de ce règne.
    Plutôt donc qu'aller encore s'afficher pathétiquement avec le jeune Travers, il eût suffit d'avoir l'intelligence de faire un pas de Côté...
  • L’Europe, c’est la guerre…

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    …Contrairement à ce que prétend Emmanuel Macron.

    Acculé, Emmanuel Macron sort l’artillerie lourde. Suivant une rhétorique trop connue, il dénonce avec véhémence le nationalisme, cause selon lui de toutes les guerres et de tous les malheurs. Il lui oppose l’Europe – et, avec elle, tout ce qui transcende les nations : le mondialisme, la supranationalité, l’ouverture des frontières identifiés au bien.

    C’est faux historiquement : la principale cause des guerres et des grands massacres du XXesiècle, ce n’est pas le nationalisme, c’est l’idéologie. C’est en tous les cas vrai pour la Seconde Guerre mondiale, la guerre froide, les grands massacres de Staline ou de Mao, lesquels n’ont pas tué par nationalisme mais au nom d’une idéologie totalitaire.

    Le slogan de Macron est également faux en ce qui concerne l’Europe. On dit « L’Europe (celle de Bruxelles), c’est la paix. » Mais l’Europe était déjà en paix quand ont été mises en place les institutions européennes actuelles, à partir de 1957. Et depuis ? Qui est responsable de la guerre des Balkans, qui est responsable de la guerre d’Ukraine ? Sans doute les États-Unis, mais ils n’auraient pu rien faire sans l’appui des Européens et des instances de Bruxelles.

    Pourtant favorable à la construction européenne, l’ancien chancelier Helmut Schmidt n’a pas hésité, peu avant sa mort, à mettre en cause le rôle des commissaires de Bruxelles dans le conflit ukrainien.

    Aujourd’hui, les anti-Poutine les plus exaltés, dont certains envisagent même une guerre contre la Russie, se tournent vers Bruxelles. L’Union européenne lui a infligé des sanctions économiques lourdes et n’envisage pas de les lever. Cela, sous le prétexte de l’annexion de la Crimée qui offense, certes, le droit international, mais pas plus que l’indépendance de l’État mafieux du Kosovo encouragée par Bruxelles. Interrogé sur la défense européenne par un journaliste : « Pour se défendre de qui ? », Macron a répondu « de la Russie, par exemple ». Bien inutile provocation : l’Europe n’existerait qu’en se trouvant un ennemi !

    Les guerres qui ont ensanglanté le Proche-Orient au cours des dernières années, dont celle de Syrie, ont fait près de cinq millions de morts. Elles se sont toutes faites avec l’appui des instances de l’Union européenne, qui a ainsi subventionné largement l’Observatoire syrien des droits de l’homme, officine de propagande djihadiste basée à Coventry, voix des opposants à Assad. Elle a aussi imposé un embargo qui a fait souffrir presque autant le peuple syrien que les combats. Cette machine inhumaine se refuse à les abroger alors que la guerre est pratiquement terminée. Même chose au Yémen, où les famines dues aux sanctions tuent encore plus que les bombardements saoudiens.

    Les guerres récentes du Proche-Orient n’ont pas été causées par le nationalisme mais par la fureur idéologique des mondialistes américains, dits néo-conservateurs, relayée par les européistes de tout poil au nom des grands idéaux : droits de l’homme, démocratie, lutte contre le nationalisme. Ces guerres ont, au contraire, été désapprouvées par ceux que l’on taxe de nationalisme ou d’extrémisme, à droite ou à gauche.

    Pourquoi la construction européenne menace-t-elle la paix ? Parce qu’elle est elle-même une idéologie, ce qui veut dire un projet messianique de transformation de la condition humaine fondé sur des concepts simplificateurs : hier, l’abolition de la propriété ou des classes sociales, aujourd’hui, celle des nations. Les idéologues sont manichéens : ils diabolisent leurs adversaires intérieurs, mais aussi extérieurs, tenus pour des monstres innommables auxquels on ne saurait faire quartier : Milošević, Saddam Hussein, Assad… demain Poutine ?

    C’est cette approche idéologique propre à l’Union européenne qui menace la paix en Europe, bien plus que le nationalisme, une expression qui, dans la bouche de Macron et des mondialistes, ne désigne d’ailleurs que l’amour sain de sa propre patrie et donc l’attachement à sa souveraineté.

    Roland Hureaux

    https://www.bvoltaire.fr/leurope-cest-la-guerre/

  • « Pour les migrants l’argent coule à flots, pour nos armées et nos policiers, les caisses sont vides.»

    Emmanuel Macron.jpgSelon la Cour des comptes, un nouveau trou financier de 32,5 millions en 2019 pourrait s’ajouter à celui de 43 millions de 2018 ! Total 75,5 millions.
    La hausse des dépenses de personnel a été sous-estimée et il ne sera plus possible de tailler dans les dépenses d’équipements pour combler le trou.

    « Pour la Cour des comptes, la Gendarmerie, mais aussi la Police, ont surtout de très grosses difficultés à concrétiser les promesses du candidat Macron. Ce dernier avait promis 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires d’ici 2022. Pour l’armée cela représentait 500 postes supplémentaires ouverts en 2018. »

    « Or, entre revalorisations salariales et hausse des personnel, l’intendance a du mal à suivre. Selon la Cour des comptes, il a manqué en 2018 pas moins de 100 millions d’euros sur les crédits de la masse salariale de la Gendarmerie et de la Police. « De nouvelles tensions dans l’exécution des crédits de masse salariale sont donc hautement prévisibles », avertissent les magistrats financiers. »
    On le voit, armée et forces de police sont en permanence au taquet, aussi bien au plan des effectifs qu’au plan budgétaire.
    C’est inadmissible, alors que la disponibilité des soldats et des forces de police est exemplaire.
    Pour mémoire, Macron a porté le budget de l’AME, qui soigne les sans papiers à 100 % sans limitation de dépenses, à 1 milliard d’euros par an.
    Pour mémoire également, l’État et les départements ont dépensé en 2018 près de 2,5 milliards pour accueillir 40 000 mineurs isolés, dont les 2/3 sont des fraudeurs majeurs selon le Sénat.
    Pour les migrants l’argent coule à flots, pour nos armées et nos policiers, les caisses sont vides.
    Macron est bien le fossoyeur de la nation. Quand l’accueil des clandestins est prioritaire sur la défense et la protection des citoyens, c’est que la désintégration du pays n’est plus très loin.
    Jacques Guillemain pour ripostelaique.com
  • On a infiltré la commission européenne

    Pour ceux qui en auraient manqué le lien dans la note sur les villages Potemkine, nous publions directement le reportage que l’équipe du Fil d’actu a réalisé sur la manipulation, d’ailleurs tout à fait assumée, que la Commission a tentée sur des relais d’influence des réseaux sociaux.

    https://www.lesalonbeige.fr/on-a-infiltre-la-commission-europeenne/

  • Les ingérences du commissaire Timmermans dans les campagnes électorales polonaise et hongroise

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    Frans Timmermans, premier vice-président de la Commission européenne chargé des questions liées à la Charte des droits fondamentaux et à l’État de droit, ne cache même plus son jeu. Alors qu’il est le principal responsable des attaques incessantes de la Commission contre la Pologne depuis l’arrivée au pouvoir du PiS, à l’automne 2015, et notamment de la procédure de sanction lancée sous le régime de l’article 7, en décembre 2017, il revendiquait, mardi, avoir « combattu »l’actuel gouvernement polonais « pendant les trois dernières années » parce qu’il considère que la Pologne « mérite une justice indépendante ». Sûr de lui, il a ajouté « et parce que je sais que la majorité au sein de la société polonaise est d’accord avec moi ».

    Ce Hollandais, membre d’un parti travailliste qui a obtenu 5,7 % des voix aux dernières élections législatives aux Pays-Bas, participait, mardi 21 mai, à un meeting électoral du parti de la gauche LGBT Wiosna, dirigé par l’ex-maire de Słupsk, le militant pro-LGBT anticlérical Robert Biedroń. Expliquant les raisons de son engagement, le premier vice-président de la Commission européenne, censé, en tant que tel – en vertu du traité sur l’Union européenne –, défendre les intérêts de tous les États membres de l’Union européenne et ne pas mener d’activité incompatible avec sa fonction, a estimé que « les Polonais sont de plus en plus pour l’Europe » et que le parti Wiosna (« Printemps ») est un parti « pour les gens qui sont ouverts, qui ont des opinions de gauche, libérales, mais qui ne se sentaient tout à fait chez eux dans aucun autre parti et qui se sont enfin sentis chez eux quand est arrivé Wiosna ».

    Dans les sondages, le parti « LGBTiste » Wiosna est crédité de 7-8 % des intentions de vote pour le 26 mai. Outre sa fonction de premier vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans est le spitzenkandidat du Parti socialiste européen pour la présidence de la prochaine Commission européenne. Dans le passé, il s’est prononcé à plusieurs reprises en faveur de ce que la Commission cherche à imposer le « mariage gay » à tous les États membres, même si la régulation du mariage n’entre pas dans les compétences de l’Union européenne.

    Samedi, le premier vice-président de la Commission européenne prenait part à un meeting électoral du Parti socialiste hongrois MSZP où il affirmait que le Premier ministre Viktor Orbán « et ses amis Strache, Salvini et Farage sont des admirateurs de Poutine dont le but est clairement l’affaiblissement et la désintégration de l’Europe ».

    Olivier Bault

    https://www.bvoltaire.fr/les-ingerences-du-commissaire-timmermans-dans-la-campagne-electorale-polonaise-et-hongroise/

  • «Dans la totalité du monde médiatique, il y a un malaise, un problème Macron»

    Entretien du 21/5/2019 avec Frédéric Saint-Clair, analyste politique. 
    Il réagit pour RT France à la décision de la Voix du Nord et du quotidien Le Télégramme de boycotter l'interview d'Emmanuel Macron notamment à cause de la relecture demandé par l'Elysée avant la publication de l'article.

  • ASSANGE EXTRADÉ ?

    Reportage de Vincent Lapierre

    Le 2 mai 2019 s’est déroulée au palais de justice de Westminster à Londres l’audience concernant la demande d’extradition de Julian Assange par les États-Unis. Faisant à nouveau entrer en jeu divers actes d’accusation contre lui, ceux-ci entendent condamner Assange sur leur territoire, en réponse aux divulgations faites par ce dernier de crimes de guerres et d’actes de corruption implicant en grande partie les gouvernements américains successifs.

    Une cinquantaine de personne, dont des Gilets jaunes français, était rassemblée devant le palais pour protester contre le déroulé de cette affaire qui ne présage rien de bon pour la liberté d’information et d’expression dans le monde occidental. Vincent Lapierre se devait d’aller sur place. Regardez également ICI

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  • Macron inverse le regroupement familial : Désormais les « mineurs » clandestins pourront faire venir leur famille selon la Loi Asile et Immigration

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    Il fut mis en place sous la présidence de Valérie Giscard d’Estaing, le gouvernement Chirac autorise ainsi le regroupement familial sous plusieurs conditions (durée de résidence, ressources, logement, ordre public, santé). 
    Cette décision est actée par un décret du 29 avril 1976 signé par le Premier ministre Jacques Chirac.
    Il avait donc pour objectif de permettre aux travailleurs étrangers de faire venir leur famille.
    Aujourd’hui, Emmanuel Macron et le gouvernement d’Edouard Philippe inversent dangereusement cette notion de regroupement familial. 
    Plus besoin d’être un travailleur avec un titre de séjour en règle. 
    Il suffit d’être clandestin sans titre de séjour et même être mineur pour faire venir sa famille. 
    La notion de famille a même été étendue aux frères et soeurs…
    Macron a donc totalement inversé l’objectif du regroupement familial qui était de permettre aux seuls travailleurs en règle d’en bénéficier pour en faire un « aspirateur à migrant ». 
    Il suffit qu’une famille envoie l’un de ses enfants en France pour que toute les famille puisse venir, frères et soeurs inclus…
    Décryptage de la loi « asile-immigration » du gouvernement Philippe par Jean-Paul Gourévitch sur Radio courtoisie en mai 2019. 
    A leur majorité, les « mineurs isolés » clandestins pourront faire jouir du regroupement familial leur famille restée au pays. 
    Un des points méconnus de cette loi.

    citoyens-et-francais

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/macron-inverse-le-regroupement-familial.html#more

  • A Bruxelles, LR vote toujours à gauche. Qu’en pense Bellamy ?

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    Ne ratez pas le Présent de demain vendredi 24 mai dans lequel Olivier Bault vous permet de voir comment les députés LR et RN ont voté sur les questions sociétales durant la législature passée au parlement européen.   

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