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Pierre Cassen ne se laisse pas impressionner par "l'affaire des otages"
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Entreprise de récupération en tout genre
L’entreprise de récupération marche à bloc. C’est le côté résolument écolo de La République en marche. Récupération de Simone Veil, la semaine dernière, avec le lancement du « Pacte Simone Veil » pour les droits des femmes en Europe. « Vite, une idée », a dû lancer la candidate à son équipe de campagne en perdition. Marlène Schiappa, bonne copine et toujours là pour se faire mousser, comme le savon sous sa douche, a pointé son nez dans l’embrasure de la porte et, en cinq minutes, l’affaire fut conclue. Enfin, on imagine que cela s’est passé comme ça. Parfois, vous savez, l’Histoire de France ne tient pas à grand-chose. Alors, va pour le « Pacte Simone Veil » ! D’autant que, dans la liste fatale, on a l’un des deux fistons de celle qui conduisit, il y a tout juste trente ans, la liste Le Centre pour l’Europe aux élections européennes. Et puis, la petite entreprise de récupération s’est déplacée jeudi, journée de l’Europe, au Panthéon pour saluer la mémoire de l’ancien ministre de Giscard et Chirac. Le jour même, des militants parisiens de La République en marche distribuaient une affiche, avec le portrait de Simone Veil, qui en appelait à un rassemblement devant le Panthéon à l’occasion de la fête de l’Europe. L’équipe de campagne de la liste Renaissance se justifia en déclarant qu’il ne s’agissait pas d’une affiche de la campagne. Au temps pour nous…
La veille, 8 mai, c’était Macron qui avait pris lui-même les commandes de la machine à récupération, sans doute involontairement, mais il n’est pas interdit d’avoir de la chance de temps en temps et de l’exploiter. Devant la statue du général de Gaulle, ce fut l’échange entre le Président et, non pas le, mais l’un des quatre petits-fils du Général qui portent le nom du fondateur de la VeRépublique (les quatre fils de l’amiral de Gaulle, dont l’un, Charles, fut député au Parlement européen en 1999 sous l’étiquette… Front national). Échange, donc, entre le Président et Yves de Gaulle : « La République va bien… grâce à vous », déclare le petit-fils, après que le Président a demandé des nouvelles de la santé de l’amiral de Gaulle. Un rayon de soleil pour le Président en cette matinée pluvieuse sur des Champs-Élysées où il y avait plus de militaires et de policiers que de badauds venus voir la cérémonie commémorative. Au passage, heureusement que la République va bien. Qu’est-ce que cela serait si elle allait mal ?
À croire, en tout cas, que quelques miettes de paroles d’un descendant d’illustre Français ou sa simple présence sur une liste électorale, même en queue, valent de l’or. Les liens du sang auraient encore du sens, nous voici donc rassurés. Mais s’il prenait l’idée géniale, à un membre de l’équipe de campagne de Renaissance, de trouver un descendant de Charlemagne, grand ancêtre de l’Europe, pour soutenir Nathalie Loiseau, il se trouvera bien quelqu’un pour leur rappeler que 90 % des Français descendraient de l’empereur à la barbe fleurie. Cela dit, Emmanuel Macron peut être tranquille pour sa mémoire posthume : dans trente ou cinquante ans, le problème ne se posera pas.
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Progression de l’islamisme : 30 ans de renoncements
Par Paul Tormenen, juriste ♦ Lors de sa dernière conférence de presse, le 25 avril, le Président Macron a affirmé sa volonté d’être « intraitable » avec l’islamisme radical. Il a également annoncé qu’il demandait au gouvernement d’être beaucoup plus dur à l’égard de « cet islamisme politique, de ce communautarisme, de cette sécession au sein de notre république ». Si l’intention est louable, les dernières années nous ont montré qu’au-delà des intentions affichées, les politiques au pouvoir semblent impuissants à enrayer la progression de l’islamisme. Pourtant, les gouvernements sont loin d’avoir tout essayé en la matière.
Un discours déjà entendu
La déclaration du Président Macron promettant de s’engager dans une lutte résolue contre l’islamisme vient après d’autres engagements déjà entendus par les français. L’approche des élections européennes n’est peut-être pas étrangère à cet appel du piedà des franges de l’électorat pas forcément acquises au parti présidentiel. Pour ne citer que quelques exemples, en 2010, sous la présidence Sarkozy, le ministre de l’intérieur annonçait déjà la « totale mobilisation » du gouvernement contre l’islamisme radical (1). En juin 2015, le premier ministre de l’époque Manuel Valls envisageait la fermeture de mosquées et la dissolution d’associations islamistes et affirmait « la nécessité d’agir contre le salafisme le plus radical »(2).
Les témoignages de la progression de l’islamisme
Il est difficile de dire que l’on découvre le phénomène : on ne compte plus les enquêtes de terrain rendant compte de la progression de l’islamisme en France(3). Parmi celles-ci, on peut citer :
– L’ouvrage collectif paru en 2002 « Les territoires perdus de la République ». A partir de l’exercice quotidien de leur métier, des professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne dressaient le constat d’une décrépitude des valeurs républicaines et d’une offensive islamiste dans certains quartiers.
– En 2017, le journaliste Alexandre Mendel publiait une enquête intitulée « Partition », un livre accréditant « l’émergence de frontières invisibles qui divisent le territoire, géographiquement et culturellement ».
– La même année paraissait un ouvrage collectif intitulé « Une France soumise ». Alors que « Les Territoires perdus de la République » pointait le communautarisme dans des écoles de banlieue, les auteurs du livre faisaient le constat que ce sont maintenant de véritables territoires qui vivent en circuit fermés. « Cette enquête révèle le fossé existant entre une partie des élites médiatiques et la masse du peuple français, classes moyennes et populaires confondues. Le discours formaté des élites apparaît de moins en moins audible » affirmait un de ses auteurs(4).
– En 2018, deux journalistes du Monde, Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, faisaient dans le livre intitulé « La communauté » le récit de la progression du communautarisme et de l’islamisme à Trappes, dans les Yvelines.
– Toujours en 2018, des étudiants en journalisme coordonnés par Gérard Davet et Fabrice Lhomme présentaient ,dans le livre « Inch’allah, l’islamisation à visage découvert », le développement de l’emprise religieuse en Seine Saint Denis.
– En 2019, l’ouvrage intitulé « La voie de la radicalisation, comprendre pour mieux agir », écrit par Olivier Bobineau et Pierre N Gahane, analyse la montée de la radicalisation islamiste en France.
Les rapports et enquêtes parlementaires sur la progression de l’islamisme
Au-delà des monographies et des récits de terrain, une abondante production éditoriale(rapports, enquêtes parlementaires, etc.) nous apprend également que l’islamisme progresse rapidement en France. L’état des lieux présenté dans ces études est plus général et quantitatif.On peut citer notamment :
- L’enquête parue en avril 2018 de deux sociologues auprès de 7 000 lycéens « de territoires à dominante urbaine», qui aboutit au constat de « l’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes » et de la propension à la violence de certains d’entre eux (5).
- Le rapport d’une commission d’enquête sénatoriale paru le 4 juillet 2018. Le constat est sans appel : « nous combattons un ennemi intérieur, nous sommes en guerre contre nous-mêmes» (6). Les rapporteurs constatent que l’on assiste dans certains quartiers à la propagation du salafisme (page 48) (7), ce qui « contribue à accroitre la menace intérieure ». Le nombre des fidèles salafistes serait passé de 5 000 en 2004 à 40 000 aujourd’hui. Parmi les individus relevant du « haut du spectre » qui sont dans une logique de « pré terrorisme », 3 000 seraient de nationalité étrangère.
- Le rapport de l’institut Montaigne sur « la fabrique de l’islamisme» paru en septembre 2018 (8). Il fait le constat que « le discours salafiste, largement dominant [parmi les plus radicalisés, NDLR], veut démontrer l’idée d’une décadence occidentale ». « L’analyse de l’audience sur internet et plus particulièrement sur les réseaux sociaux, nous a permis d’évaluer l’incroyable impact de cette idéologie religieuse ». Le rapport mentionne une autre enquête réalisée en 2016 évaluant à 28% le nombre de musulmans classés comme « sécessionnistes et autoritaires ».
La progression de l’islamisme s’inscrit dans un contexte plus général de montée du communautarisme et de revendications identitaires d’une frange croissante de musulmans (9). Les mesures prises pour lutter contre l’islamisme n’ont jusqu’à présent pas réussi à enrayer ce phénomène :
– Le contrôle du financement des mosquées radicales tarde à produire ses effets. On continue à recenser les mosquées – des centaines – où des prêches radicaux sont tenus (10).
-Les écoles hors contrats où des enfants sont endoctrinés continuent à ouvrir avec un contrôle des enseignements largement lacunaire (11).
-Des réunions publiques où est véhiculé un islam radical sont régulièrement organisées (12).On pourrait malheureusement multiplier les exemples.
Impuissance, mais pas inaction
Trois plans successifs de lutte contre la radicalisation ont été mis en œuvre par les différents gouvernements depuis 2014 (13). Si l’éventail des mesures est large, il est patent qu’elles ne parviennent pas à enrayer le développement de l’islamisme.
Des mesures qui s’imposent… et qui sont ignorées
Alors que, selon un sondage réalisé en mars 2018 (14), les Français plébiscitent massivement des mesures « radicales » pour lutter contre l’islamisme, certaines pistes envisagées ne sont toujours pas retenues, ou ne sont pas appliquées systématiquement. Parmi celles-ci, on peut mentionner :
- Des conditions d’accès à la nationalité française beaucoup plus exigeantes, notamment en matière d’acceptation de la mixité et de la laïcité,
- Un financement des mosquées excluant toute ingérence idéologique extérieure,
- La fermeture de toutes les mosquées radicales,
- L’expulsion du territoire français des individus fichés S de nationalité étrangère,
- La dissolution des associations islamistes.
Les voyants sont au rouge : l’islamisme continue sa progression dans la société française. Le président de la République ne bénéficie plus de l’a priori positif qu’il pouvait avoir auprès de certains français au début de son mandat. Le projet annoncé de « reconquête républicaine » (15) des « quartiers » vient après d’autres dispositifs aux appellations tout aussi grandiloquentes. Les milliards déversés dans le cadre de la politique de la ville n’ont pas réussi à enrayer le phénomène de radicalisation.
Pendant ce temps, l’islamisme tisse sa toile et ses réseaux, patiemment. Les mesures déjà employées montrent leurs limites. Il faut changer de logiciel. Urgemment.Paul Tormenen 12/05/2019
(1) Question au gouvernement. Assemblée nationale. 1er juillet 2010.
(2) « Islamisme radical : Valls prêt à fermer des mosquées et à dissoudre des associations ». Public sénat. 30 juin 2015.
(3) « De la France interdite à l’islamisation des banlieues, le fantasme devenu réalité vu par des journalistes ». Observatoire du Journalisme. 19 octobre 2018.
(4) « Les voies du refus ». Revue politique et parlementaire. 1er février 2018.
(5) « L’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes ». Le Monde.3 avril 2018.
(6) « Rapport au nom de la commission d’enquête sur l’organisation et les moyens des services de l’État pour faire face à l’évolution de la menace terroriste après la chute de l’État islamique ». Sénat. 4 juillet 2018.
(7) Proposition de résolution. Sénat. 11 janvier 2018.
(8) « La fabrique de l’islamisme ». Institut Montaigne. Rapport intégral. Septembre 2018.
(9)« Montée de l’islamisme radical et banlieues populaires ». Arnaud Lacheret. Hal. Novembre 2017.
(10)« Mosquées radicales, ce qu’on y lit ». Observatoire de l’islamisation. 14 mai 2018.
(11) « Islamisme radical, ces écoles qui inquiètent la République ». France Info. 31 janvier 2017.
(12) Sondage Elab BFM. Mars 2018.
(13) Plans d’action contre la radicalisation 2014, 2016, 2018. Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation.
(14) Observatoire de l’islamisation.
(15) « Lancement des quartiers de reconquête républicaine ». Ministère de l’intérieur. 18 septembre 2018.
Crédit photo : Domaine public
https://www.polemia.com/progression-islamisme-30-ans-renoncements/
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Emmanuel Macron tente de sauver une liste en perdition
Ainsi donc, Narcisse-Jupiter qui prétendait mener les Français vers le Nouveau Monde, qui se voulait le champion du progressisme européen, se retrouve dans l’étroit champ du combat des partis, à fixer, pour enjeu aux élections européennes, de ne pas offrir la première place au Rassemblement national.Il clame qu’il va y mettre toute son énergie.
C’est pathétique et dérisoire sur tous les plans.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes. C’est vrai que lui n’a jamais été que l’homme de son parti, une formation artificielle, dénuée de racines, mais disposant de moyens étonnants dès sa création en raison de dons généreux.
Une formation narcissique, dont les initiales reprennent celle du « chef », sans que les courtisans médiatiques n’en soulignent le ridicule.
Pour ceux qui avaient confondu le brio superficiel et l’arrogance d’E.M. avec de l’intelligence, c’est une autre déception.
Voilà des lustres que la gauche, et ce qu’on appelle « la droite », suiveuse selon son habitude, brandissent l’épouvantail du Front – devenu Rassemblement – national.
Voilà des années que les Français sont appelés à voter contre lui plutôt que pour un homme ou des idées.
Voilà, pourtant, qu’il progresse au point de devenir le parti qui, même isolé, récolte le plus de voix sans avoir un nombre de députés en proportion ni s’être vu confier la présidence d’une région.
Le « génial conducteur » en est donc acculé à sortir le vieil anathème pour tenter de sauver un parti en perdition, tandis que celle qui conduit la liste « présidentielle », dont les espérances se situent à 1 Français sur 5 des 40 % qui comptent voter, vole lourdement d’une gaffe à une autre, de blitzkrieg en D-Day.
Mesure-t-on la chute de celui qui appelait l’Europe progressiste à se rallier à son panache, déjà quelque peu rabougri, et qui se trouve renvoyé dans ses buts pour éviter de se prendre une dérouillée à domicile ?
Elle est sévère et même vertigineuse, tant les résultats ne sont pas au rendez-vous alors que la plupart des pays européens tirent un bénéfice plus évident, en matière de chômage, par exemple, d’un contexte mondial favorable.
Qui plus est, la méthode est insoutenable.
Monseigneur distribue sa manne au bon peuple selon son bon vouloir.
Mais les Français ne sont pas idiots.
Ils ont compris que l’occupant de l’Élysée le croyait et parfois leur disait.
Le technocrate joue avec les clefs de l’économie comme un enfant avec un jouet tout neuf.
Mais ce jeu ne soulève pas la confiance et l’espoir, qui sont les ressorts d’un redressement économique.
Les Français savent que toutes les mises se font avec leur argent, celui de leurs impôts, et que, dans le meilleur des cas, on ne leur rend que ce qu’on leur a pris.
La gesticulation sur l’argent des retraités est psychologiquement insupportable.
Elle consiste à user, selon le bon plaisir d’un jeune homme, bien loin d’avoir fait ses preuves, de ce qui, dans l’esprit des pensionnés, est le juste retour d’une vie de travail, le respect d’un contrat moral qu’ils n’acceptent pas de voir déchirer.
Quant à l’alibi écolo pour justifier l’augmentation des taxes, il y a longtemps que le bobard est éventé.
Les élections européennes sont proportionnelles.
Elles envoient au « Parlement » européen des députés qui auront à jouer un rôle pour briser ou maintenir l’engrenage mondialiste de destruction des souverainetés nationales, pour briser ou maintenir une mécanique de moins en moins démocratique parce qu’elle retire aux peuples le pouvoir de décider de leur avenir, pour confier celui-ci à une technocratie dominée par des lobbies, et insoucieuse de maintenir l’identité culturelle des peuples européens, une technocratie qui veut seulement des travailleurs au rabais.
Ce débat-là est le seul qui vaille, et c’est ainsi qu’il faut le poser.
Christian Vannestehttp://by-jipp.blogspot.com/2019/05/emmanuel-macron-tente-de-sauver-une.html
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La nouvelle faute de Macron : l’accueil des otages !
Deux officiers mariniers du commando Hubert, les maîtres Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, ont été tués au Burkina Faso en délivrant des touristes enlevés au Bénin.
Honneur à ces soldats morts au combat.
Mais l’irresponsabilité de ces touristes qui ne pensent qu’à leur safari dans des zones infestées de terroristes justifie-t-elle la mort de nos soldats : NON !
Ces irresponsables savaient qu’ils entraient dans une zone classée rouge par le ministère des Affaires étrangères français, leur guide a été criblé de balles.
Dans ces conditions, il n’est pas acceptable que le président de la République aille les accueillir à l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay ; ils ne le méritent pas, ils sont responsables, par leur inconscience coupable, de la mort de nos soldats tombés en véritables héros !
Monsieur le Président de la République, c’est une faute de les accueillir !
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J.-F. Poisson / liste UDMF validée : « La soumission s’installe à tous les étages de la France, des quartiers islamisés aux plus hautes institutions républicaines » (MàJ)
Élections européennes : la liste de l’Union des démocrates musulmans français validée par le ministère de l’Intérieur malgré son retard
Une 34e liste a été validée par le ministère de l’Intérieur après avis du Conseil d’Etat, malgré son retard sur la date de dépôt des candidatures, le 3 mai, a révélé ce jeudi franceinfo. L’«Union pour une Europe au service des peuples» est issue de l’Union des démocrates musulmans français.
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L’indécence d’Emmanuel Macron
Le Président de la République a osé aller accueillir à Villacoublay les deux irresponsables, indirectement responsables de la mort de nos deux soldats pour avoir passé outre les recommandations du Ministère des Affaires Etrangères.
On ne sait pas qui a financé le Falcon de retour, mais c’est certainement nos impôts. Une pétition circule demandant à ce que ces deux énergumènes paient une rente à vie aux familles de nos deux soldats. Et que les deux ex-otages présentent des excuses publiques pour leur inconscience.
Vous pouvez aussi écrire ou téléphoner à l’Élysée. Il semble que ce genre de messages n’arrêtent pas depuis ce matin.
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Révélations fracassantes d’un lanceur d’alerte !..
Un incroyable scandale qui met en cause des personnalités, dont la moralité est loin d’être un exemple. Junker et ses célèbres « sciatiques » à répétitions, qui préside à la destinée de l’Europe, est accusé avec d’autres, de détournement d’héritage et de choses beaucoup plus graves. Comment de tels scandales peuvent-ils arriver ? Il suffit d’écouter le déroulement de cette sordide histoire, pour se rendre compte à qui nous confions notre avenir. Qui va accepter les projets en façade vertueux, vantés par les européïstes, alors que c’est le cœur de la structure qui est pourri. Il n’y a pas de plaintes en diffamation envers le témoin de ce scandale pourquoi ? Que fait la « Justice » ? Proposé par Balou. Partagez ! Volti
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Des millions d’euros détournés, des morts suspectes, un Juncker qui fait l’objet d’une enquête criminelle dont le parquet de Luxembourg ne retrouve plus le dossier… Bref une affaire rocambolesque qui réunit tout un parterre de personnalités sulfureuses…« .
Source La Voix de Portici
Pixabay Quelques sources : – Plainte pour ouverture d’une enquête criminelle contre J-C Juncker validée par la juge d’instruction Michelle Erpelding au Luxembourg : http://zupimages.net/viewer.php?id=19… + http://zupimages.net/viewer.php?id=19…
Franck Coustet sur le document ci-dessus : « Ce document montre l’angle d’attaque du juge, il aurait pu faire une procédure pour détournement de fonds ou pour abus d’autorité en ayant effacé la donation, non le juge a choisi de faire une enquête criminelle (…) le type d’enquête a été décidé par le juge qui a dû déjà vérifier certains de mes dires avant de lancer une enquête criminelle » Autrement dit, Mr Coustet a porté plainte, plainte qui n’a pas été classée sans suite car il y avait des éléments probants… La juge voulait démarrer l’enquête mais le dossier est bloqué au niveau du parquet de Luxembourg. D’où le combat de Mr Coustet…
Autre document : http://zupimages.net/viewer.php?id=19... Preuve que le dossier a été transmis par la juge d’instruction au Parquet de Luxembourg en Octobre 2015
https://lesmoutonsenrages.fr/2019/05/09/revelations-fracassantes-dun-lanceur-dalerte/
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Le prix du sang
Anne-Sophie Chazaud*
L'homofestivus est partout chez lui...avec le sang des autres.
Afin d'aller secourir deux hommes otages, Messieurs Picque et Lassimouillas qui avaient cru bon d'aller célébrer leur voyage de noces en batifolant dans une zone hautement déconseillée par le Quai d'Orsay depuis plusieurs mois pour cause de terrorisme islamiste, deux commandos de Marine, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, parmi l'élite de l'armée française, sont morts.
Il est normal d'aller secourir les ressortissants français en danger partout où ils se trouvent. Il serait normal ensuite d'interroger ces "homos festivus" sur leur degré de responsabilité dans la situation que leur propre insouciance a créée, voire de leur faire payer les dommages, étant entendu que pour les parents des deux militaires, c'est la condamnation à la douleur à perpétuité.
Là où l'on dévisse complètement dans l'indignité, c'est quand on apprend que le chef de l'Etat les recevra en grande pompe à l'aéroport de Villacoublay, comme s'ils étaient des héros, alors que par leur comportement stupide et irresponsable ils ont mis en péril et causé indirectement mais clairement la mort de deux de nos concitoyens parmi les plus valeureux.
Mais, dans le fond, le bobo mondialiste, l'adulescent hors sol, le branchouille inclusif qui pense que la planète entière est son terrain de jeu et que l'homme par nature est bon, ne constitue-t-il pas une bonne définition et une parfaite connivence avec ce qu'incarne, aussi, la non-pensée macronienne?
Dans ces conditions, après tout, il est normal que tout ce petit monde se retrouve, en vie.
(*) Journaliste (Causeur, Marianne, etc) - Le titre est de la rédaction
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/11/le-prix-du-sang-6150175.html
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Élisabeth Lévy : « Claire Nouvian ment, manipule et diffame pour passer pour une victime »
Élisabeth Lévy, fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur, revient sur le débat houleux qui l’a opposée à Claire Nouvian, militante écologiste et cofondatrice de Place publique, durant l’émission « L’Heure des pros » sur CNews, le lundi 6 mai.
Elle dénonce, notamment, l’impossibilité de débattre et le refus de contradiction de la part de celle qui l’a traitée de « tarée » et de « dingue ».