
magouille et compagnie - Page 1137
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Expliquez moi pourquoi?
Donc, après qu’un joueur de poker ayant frayé avec le milieu marseillais a été nommé Ministre de l’Intérieur de la République française pour une raison qui échappe au cerveau normal et que personne n’a jamais comprise de façon rationnelle, après qu’il a passé des mois à gérer la crise des Gilets Jaunes n’importe comment, après qu’il a soufflé sur les braises en montant la police républicaine contre son propre peuple, après qu’il a cautionné en les niant les violences policièr…es encouragées par un exécutif devenu fou, après qu’il n’a strictement rien fait pour améliorer les conditions de travail des forces de l’ordre hormis les instrumentaliser au service d’une caste retranchée sur la préservation de ses intérêts, après qu’il a couvert la noyade de Steve à Nantes, après qu’il a menti délibérément sur la fausse attaque de la Pitié Salpêtrière, après qu’il a menti éhontément sur le profil prétendument nickel de l’agent islamiste à la Préfecture de Police où l’on apprend que des pressions ont été exercées sur certains policiers afin qu’ils dissimulent les infos au sujet des signalements de l’individu, Christophe Castaner est donc toujours Ministre de l’Intérieur ce samedi à 11h30. -
Un fonds d’investissement qui prospère sur l’hébergement de migrants aux frais de l’Etat
Selon le journal Marianne, une filiale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) a créé un fonds d’investissement afin d’acquérir plusieurs hôtels pour y héberger des migrants. La société promet à ses souscripteurs un copieux rendement, sans risque, car c’est l’Etat qui paie le prix des chambres !
Le migrant, une valeur sure ?
Toujours selon l’hebdomadaire de gauche, ce type de placement rapporterait 3,5 % par an avec une prise de risque moindre, car l’Etat garantit quasiment le rendement. Si cette proposition peut avoir des airs de plaisanterie, elle n’en est pas moins sérieuse.
« Ampère Gestion, filiale immobilière de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), a créé en 2017 un fonds d’investissement baptisé Hémisphère. Souscrit par des investisseurs institutionnels (dont BNP Paribas Cardif et CNP Assurances), il a permis de lever 100 millions d’euros. Cette somme a financé le rachat de 59 hôtels F1, ex-enseigne low-cost du groupe Accor, et leur transformation en foyers d’accueil. Au dernier pointage, ces foyers accueillaient deux tiers de demandeurs d’asile et un tiers de personnes hébergées en urgence.
(…) Un logement payé par l’Etat, à hauteur de 16 € par nuit et par personne. En rationalisant la gestion, confiée à Adoma (autre filiale de la CDC), Ampère arrive à servir aux actionnaires un rendement deux fois supérieur à celui de l’assurance vie en 2018 (1,8 % en moyenne). Ce généreux gestionnaire, qui étudie en ce moment le rachat d’autres structures d’hébergement, propose un investissement sur dix ans. Pour ceux qui en douteraient encore, voilà qui confirme l’évidence : la « crise » des migrants est structurelle et l’hébergement « en urgence » correspond en réalité à un besoin pérenne. »
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Rennes: le nombre de migrants explose : 40 000 nuits d’hôtel payées par l’État
Que va devenir le camp des 400 migrants installé dans le parc des Gayeulles de Rennes ? L’État s’occupera de leur prise en charge. Aux frais des contribuables, une fois de plus.
La situation devient intenable dans la capitale de l’Ille-et-Vilaine.Nous évoquions le 3 septembre un nouvel arrêté préfectoral ajoutant 51 places pour les migrants au CPH (centre provisoire d’hébergement) géré par l’association spécialisée Coallia basée au 22, rue Bahon Rault à Rennes. En juillet dernier, la ville créait également un nouvel appel d’air migratoire en ouvrant le gymnase du Haut-Sancé pour 80 migrants.Mais il y a aussi le cas du parc des Gayeulles à gérer. Au cours d’une rencontre avec la presse ce même 3 septembre, la préfète de Bretagne et d’Ille-et-Vilaine Michèle Kirry a évoqué la situation de ce lieu où stationnent sous des tentes environ 400 migrants. Et pour l’heure, il n’est pas question de parler d’évacuation.Parc des Gayeulles : la préfète ne connaît pas les migrantsSelon Michèle Kirry, c’est à la ville de Rennes, aux mains de Nathalie Appéré, de faire la demande pour cette évacuation car le terrain est municipal. Auquel cas, la préfète assure que l’État s’occupera de tous les demandeurs d’asile : « Personne ne veut, ne souhaite, pour le bien de ces personnes une installation durable dans ces conditions », a-t-elle déclaré.Par ailleurs, Michèle Kirry a rencontré le 30 août dernier les représentants des associations pro-migrants afin d’en savoir plus sur les demandeurs d’asile en question. « Qui sont les gens aux Gayeulles ? Je ne sais pas », reconnaît la préfète. Un comble pour quelqu’un censé être le garant de la cohérence de l’action de l’État dans la région.En face, les associations immigrationnistes, qui en demandent toujours plus et réclament « un logement pour tous » et l’ouverture de 120 logements supplémentaires, ont refusé d’en dire davantage : « Je demande à l’association 14/10, encore vendredi dernier : donnez-moi les listes. Mais elle refuse. » Un dialogue sans fin dont les issues sont finalement assez similaires : sous des tentes ou dans des logements, ces migrants ne sont pas près de quitter Rennes et la Bretagne.Ille-et-Vilaine : la pression migratoire explose !Enfin, ceux qui ont longtemps prétendu que la terre bretonne serait épargnée par l’immigration en sont dorénavant pour leurs frais :« Il y a 27 % de migrants en plus en Bretagne par rapport à 2018 sur les 8 premiers mois de l’année », a précisé la préfète. Qui a également souligné que l’Ille-et-Vilaine est en première ligne face à cette pression migratoire puisque le département accueille 65 % des migrants en Bretagne administrative. Avec 1 422 demandes enregistrées au guichet unique de Rennes. Dans le même temps, le Morbihan en accueille 14 %, le Finistère 11,5 % et les Côtes-d’Armor 9,5 %.Face à cette confusion, comment faire la différence entre demandeurs d’asile et déboutés du droit d’asile ? À savoir que l’Ille-et-Vilaine dispose déjà de 1 579 places d’accueil pour les migrants. Un quota déjà considérable mais qui, face à l’importance du nombre d’arrivées, a été complété par quelques 40 894 nuitées d’hôtel depuis début janvier 2019. Michèle Kirry a toutefois oublié de rappeler que ces nuits d’hôtels sont payées par l’État…« La réalité c’est que la demande d’asile croît sans arrêt », confie enfin la préfète. Tout comme les coûts engendrés par cette politique migratoire aussi affolante qu’inefficace.Le Rassemblement national demande un moratoireSeul parti politique à l’heure actuelle à dénoncer cet état de fait imposé à la population, le Rassemblement national vient de réclamer un moratoire sur l’immigration. « Sur les huit premiers mois de l’année 2019, le nombre de demandes d’asile déposées en Bretagne a explosé : +27% par rapport à l’année 2018, principalement à Rennes ! Ces demandeurs d’asile proviennent en grande majorité d’Albanie et de Géorgie, des pays qui ne sont pourtant pas en guerre, pour « profiter du système de santé français », de l’aveu de la Préfète de Bretagne ! Alors que cela démontre le dévoiement du droit d’asile en nouvelle filière d’immigration économique, les services de l’Etat refusent d’appliquer la Loi et d’expulser ces migrants non-éligibles au droit d’asile. (Seuls 4% des déboutés du droit d’asile sont réellement expulsés du territoire !) Pis, l’Etat consacre des moyens considérables et croissants pour ces immigrés. Ainsi, le nombre de places d’hébergement pour le seul département d’Ille-et-Vilaine a été multiplié par deux en un an et près de 150 places supplémentaires vont ouvrir dans les prochaines semaines ! » explique Gilles Pennelle membre du bureau national du Rassemblement National et Président du groupe RN au Conseil régional de Bretagne , qui réclame dans la foulée un moratoire sur la question de l’immigration.Pour l’instant et malgré le poids électoral du premier parti d’opposition, le Gouvernement reste sourd à cette demande, alors qu’un débat se profile au Parlement, débat toutefois biaisé démocratiquement en raison de la non proportionnalité des représentations politiques à l’Assemblée nationale comme au Sénat.Arthur Keraudren pour breizh-info.com -
Rouen : la preuve que l’écologie n’est qu’une arme politique
Emmanuel Macron et son gouvernement prétendent faire de l’écologie la clé de voûte de leur politique. Depuis deux ans, les Français sont assommés de recommandations, interdictions, taxes et toutes sortes de brimades en tous genres. Voilà qu’une vraie catastrophe écologique survient, près de la bonne ville de Rouen. En toute logique, nous devrions assister à une mobilisation massive des pouvoirs publics, le Président, le Premier ministre, les ministres concernés devraient en appeler à l’urgence, sonner le tocsin, dicter à la population des consignes de prudence drastiques, lui donner des recommandations pour se protéger. Eh bien, non, vous n’y êtes pas. Il aura fallu attendre trois jours, et la montée des questions et du mécontentement, pour que le Premier ministre déclare : « L’engagement du gouvernement est de répondre à toutes les questions et de faire la transparence totale. »
L’explosion de l’usine classée Seveso ? Une broutille. « La qualité de l’air est normale », annonce, en boucle, le préfet ! Pendant ce temps, les Rouennais se promènent dans les rues avec des masques stériles, pour ceux qui osent sortir de chez eux. Beaucoup ressentent des difficultés respiratoires, des nausées, des céphalées, bref, ne peuvent vivre normalement et sont, par ailleurs, très inquiets de la situation. Surtout, ils sentent bien qu’on minimise les conséquences de la catastrophe au risque de mettre leur santé en danger. Et cela n’est pas de nature à les rassurer…
Alors, donc, tout d’un coup, l’écologie n’est plus ce problème capital dont dépend la survie de notre civilisation ? En fait, pour Macron et sa bande, elle l’est, mais surtout comme un prétexte pour taper sur la tête des Français, les culpabiliser, les montrer du doigt, les taxer, les gêner dans leur vie quotidienne. Ou alors pour désigner à la vindicte des chefs d’État étrangers qui ne répondent pas à la doxa dominante. Mais quand l’heure vient de protéger des Français effectivement menacés par une vraie catastrophe, tout d’un coup, on minimise, on euphémisme, on brasse de l’air – fût-il pollué.
L’écologie, c’est la punition que la superclasse mondiale, et ses fondés de pouvoir dont Macron, infligent aux Occidentaux. Et quand elle ne sert plus cet objectif-là, elle perd comme par enchantement toute valeur aux yeux mêmes de ceux qui nous en abreuvent à longueur de journée.
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5e Colonne mahométane : combien de morts faudra-t-il pour enfin ouvrir les yeux ?
Bernard Plouvier
Un fou furieux antillais et mahométan, employé au ministère de l’Intérieur, poignarde quatre employés de la Préfecture de police de Paris. Et il ne s’agirait ni d’un crime raciste anti-Blancs ni d’un attentat de djihadiste !
Pourtant, des injures racistes, des viols racistes, des attaques racistes anti-Blancs et anti-Blanches (non pas verbales – celles-là se comptent par centaines tous les jours depuis les années 1980, mais des attaques physiques), les Français du « menu peuple » des grandes villes (Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille-Roubaix-Tourcoing, mais aussi Douai ou Cambrai, Saint-Étienne, Rouen etc… lisez les livres qui ont paru sur le sujet depuis le début du règne de Mitterrand-la catastrophe), ces « petits-Blancs », ni riches ni protégés, les connaissent bien. Cela fait partie de leur quotidien.
Seulement, dans la France de Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron, soit un seul Politicard cosmopolite en 6 apparences - la sainte trinité chrétienne est largement dépassée ! -, chacun sait que seuls les Blancs sont racistes et seuls les colorés sont des gentils, purs de tout crime et de toute intention malfaisante… du moins dans les fantasmes des politicards et de leurs complices des media.
Pourtant depuis 2014, les émeutes raciales de Joué-lès-Tours, les assassinats multiples de djihadistes (à la « Kala », à la voiture-bélier ou plus simplement au couteau en céramique) auraient dû ouvrir les yeux et les oreilles de nos princes et de leurs valets.
Seulement, il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre, pire aveugle que celui qui ferme volontairement les yeux… surtout quand l’islamo-pétrodollar et l’islamo-haschischo-dollar viennent renflouer les caisses électorales des « partis de gouvernement ».
Quel régal d’entendre, ce 4 octobre, madame Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement de la République Française, nous faire la leçon sur les « Fake news » concernant l’assassin de la Préfecture de Police, le sieur Michael Harpon, Antillais et mahométan, qui a usé d’un couteau en céramique (l’arme préférée des djihadistes de cette décennie) pour exécuter quatre fonctionnaires qui avaient le malheur de travailler dans les mêmes locaux que ce fou furieux.
Fake news, madame Ndiaye : allez expliquer cela aux familles des assassinés ! Puis, si vous avez une once de conscience, démissionnez, car vous avez trahi les devoirs de votre charge.
Quant aux Français de souche européenne, s’il en existe encore un seul pour voter en faveur du Grand Président Fake News, c’est à désespérer de l’avenir de la Nation.
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Drame de la préfecture de police, la France de l’ensauvagement – Journal du vendredi 4 octobre 2019
1) Drame de la préfecture de police, la France de l’ensauvagement
Une attaque au couteau par un individu aux motivations possiblement islamistes a fait quatre morts jeudi à la préfecture de Paris. Une actualité qui rappelle la menace permanente qui pèse sur les Français.
2) Consommation : enfin une lutte contre l’obsolescence programmée ?
Le Sénat et la Commission européenne ont adopté une batterie de mesures contre l’obsolescence programmée. Une volonté politique, au moins de façade, qui met en lumière la complexité que constituerait un changement des modes de production et de nos modes de consommation.
3) FIFA : escroc… mais pas trop !
Alors que les montants des transferts atteignent des sommets, la Fifa tente de réguler le marché. L’instance internationale du football va limiter les commissions des agents et les prêts de joueurs. De quoi limiter l’appétit financier de certains acteurs du ballon rond.
4) L’actualité en bref
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GPA : la nuit où fut désaboli l’esclavage
Le 3 octobre 2019, vers 23 h 00, une poignée de députés, principalement de La République en marche, ont voté l’amendement 1591 présenté par le Dr Jean-Louis Touraine, contre l’avis du gouvernement. Cet amendement prévoit la retranscription automatique, dans l’état civil français, de tout enfant né d’une convention de gestation pour autrui à l’étranger. Le pied est mis dans la porte pour légaliser la GPA en France, d’abord en la reconnaissant à l’étranger comme une pratique normale, avant de l’autoriser à condition de lui coller une étiquette éthique, qui ment dès le premier jour et se décollera bien vite. C’est l’histoire des transgressions que l’on normalise petit à petit (cf. l’avortement seulement dépénalisé en 1975 et que certains voudraient voir inscrit dans le marbre de la Constitution comme un droit fondamental).
Les députés de l’opposition se sont élevés avec vigueur et dignité contre le vote de cet amendement, dénonçant l’irruption de la GPA dans ce projet de loi.
Madame le ministre de la Justice Nicole Belloubet a fait savoir que le gouvernement ferait revoter cet amendement, ainsi que le règlement de l’Assemblée lui en donne le droit. Madame le ministre de la Santé Agnès Buzyn a fait savoir, dans un tweet, son opposition « à la GPA et à la légalisation automatique des enfants » (il lui faudra expliquer ce que c’est que « légaliser un enfant » et ce qu’est un enfant « illégal »). Le chef des députés En Marche ! Gilles Le Gendre tweete : « Cette disposition adoptée à la suite d’une erreur de vote ne traduit en rien la position du Groupe. »
L’amendement 1591 sera soumis au vote derechef. Gageons que les députés, dûment chapitrés, changeront le sens de ce vote. Petite remarque incidente : quand « une erreur de vote » est commise par le titulaire du perchoir, on ne revote pas. Deux poids deux mesures ?
Cet incident est cependant un révélateur de quelques faits très gênants.
Le plan de communication du gouvernement et de la direction du parti a perdu toute crédibilité, s’il en avait auparavant. Comment prétendre laisser une totale liberté de vote à ses députés sur un texte complexe, clivant, touchant à l’intime, et la leur reprendre quand ils dépassent les bornes ? La nature totalitaire « soft » du parti au pouvoir est bien, ici, perceptible.
Les digues absolues érigées avec force trémolos dans la voix pour ce qui concerne la GPA prennent l’eau avant même que la transgression d’avant, la PMA sans père, ne soit votée définitivement. Là encore, la crédibilité du pouvoir s’affale lourdement.
Sur la liberté de vote des députés, gageons que les quelques votes contre des « brebis galeuses » ne seront tolérés que si elles restent silencieuses et afin de se doter d’un alibi. Le traitement réservé à Madame le député Agnès Thill est le vrai signal.
Autre conclusion incidente : chaque fois que le gouvernement reprend la main et impose son choix aux députés, un doute légitime fait surface : le Parlement est-il toujours en mesure de contrôler le gouvernement ? La Constitution dit oui, les faits montrent que ce n’est pas évident.
Citer saint Augustin, évêque d’Hippone et docteur de l’Église semble d’actualité :
« À force de tout voir, l’on finit par tout supporter… À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter… À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver ! »
Rendez-vous est donné à tous ceux qui sont révoltés par ces glissements anthropologiques présents et à venir : le 6 octobre à 13 h 00, place Edmond-Rostand à Paris, pour Marchons enfants. Qu’il fasse beau, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente.
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Procédure de destitution : Trump appelle à un vote du Congrès, les démocrates bottent en touche
Donald Trump va envoyer à Nancy Pelosi une lettre la «mettant au défi» d'organiser un vote du Congrès sur la procédure destitution. Bien qu'assurés de le remporter, les démocrates refusent. Une preuve de la faiblesse de l'accusation ?
La procédure de destitution visant Donald Trump va-t-elle tourner au fiasco politique pour le camp démocrate ? C'est en tout cas le pari de la Maison Blanche qui, selon Fox News, va envoyer ce 4 octobre une lettre à la présidente de la Chambre des représentants, la démocrate Nancy Pelosi, lui demandant de tenir un vote au Congrès sur la procédure. Une démarche déjà opérée la veille par le chef de file des Républicains Kevin McCarthy, qui avait appelé Nancy Pelosi à mettre fin à l’enquête sur la destitution jusqu’à la mise en place de «règles et procédures équitables», impliquant donc la tenue d'un vote du Congrès.
Or cette option est pour l'heure fermement rejetée par la présidente de la Chambre, qui a fait savoir qu'elle n'avait pas l'intention de laisser les élus du Congrès se prononcer sur la question. «La Constitution, le règlement intérieur et les précédents de la Chambre ne stipulent pas que la Chambre doit voter avant de procéder à une enquête sur la destitution», a ainsi déclaré le porte-parole de Nancy Pelosi, avant qu'elle-même ne réitère cette position.
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Climat : le mouvement initié par Greta Thunberg est financé par Aileen Getty, héritière d’un empire pétrolier
Le Climate Emergency Fund, cofondé par des membres des familles Getty et Kennedy, soutient aussi le groupe radical Extinction Rebellion, qui pratique la désobéissance civile.
La couleur du mouvement international de lutte contre le réchauffement climatique est aussi verte que les dollars qui le financent. Largement soutenues et promues par la jeune activiste écologiste suédoise de 16 ans, Greta Thunberg, les manifestations qui déferlent dans les grandes métropoles du monde depuis plusieurs mois sont en partie subventionnées par de richissimes personnalités, dont certaines appartiennent à d’illustres familles américaines. Une manne militante qui soutient des actions illégales et des groupes radicaux parfois violents.
Le Climate Emergency Fund (CEF), un fond qui finance la désobéissance civile pour le climat, a été lancé en juillet dernier par trois multimillionnaires pour arroser « des activistes disruptifs », dixit Trevor Neilson, un des co-fondateurs. « L’investissement le plus intelligent pour les philanthropes vise cette nouvelle génération de militants qui refusent d’accepter les excuses des adultes dont l’approche paresseuse face au climat nous mène dans le précipice, a-t-il ainsi confié au New York Times. L’ère du gradualisme dans l’activisme environnemental est terminée. »
Business, Malibu et feux de forêts
Trevor Neilson est le PDG de la société i(x) investments, co-fondée avec le petit-fils du financier milliardaire et 3e fortune mondiale, Warren E. Buffett. Il a aussi été directeur exécutif de la Global Business Coalition, une coalition de plus de 200 multinationales dédiée aux questions de santé et créée avec le fondateur de Microsoft Bill Gates, le financier George Soros et le fondateur de CNN Ted Turner. Ex-dirigeant de la Fondation Bill & Melinda Gates, Neilson a été nommé « Jeune leader global » par la Forum économique mondial et a servi à la Maison Blanche sous l’administration de Bill Clinton.
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L’article dans son intégralité sur Valeurs Actuelles
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Racisme anti-blanc et « racisme systémique » : ce que personne n’ose dire
Le racisme anti-blanc a récemment été un sujet très discuté. Dans un nouveau podcast, le média Sunrise revient sur cette polémique afin d’éclaircir deux points cruciaux imbriqués dans cette question du « racisme systémique ». Premièrement, il est démontré dans ce podcast que le racisme anti-blanc existe bel et bien malgré les discours d’une partie de la gauche. Ensuite, dans la droite ligne d’un article publié sur Polémia il y a quelques semaines, Sunrise démontre à quel point les tenant du mythe du « racisme systémique » sont des obscurantistes.
PolémiaLien direct : https://soundcloud.com/sunrise-europe/racisme-anti-blanc-ce-que-personne-nose-dire-podcast-1
https://www.polemia.com/racisme-anti-blanc-systemique-personne-ose-dire/