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magouille et compagnie - Page 1331

  • La grande braderie: au nom de la concurrence libre et non faussée…

    barrage-300x225.jpgAprès la grande braderie que fut la  privatisation des autoroutes sur le dos des Français, en avant pour celle  des barrages hydroélectriques!  Arnaud Raffard de Brienne le déplorait  dans Présent début septembre,  Emmanuel Macron va céder « aux  pressions répétées de la Commission européenne  »  exigeant  « l’ouverture à la concurrence de la gestion des (400)  barrages hydrauliques (dont l’Etat est propriétaire). »  Il s’agit, et  de  loin,   « de  la première des énergies renouvelables en France » (20 % de la production nationale), de la seconde source de production électrique du pays, soit  20 % de la puissance installée du mix électrique, 12 % de l’électricité utilisée par les Français, 66 % de la capacité de production de  pointe.  Un secteur dans lequel EDF se taille la part du lion,  à la tête de 85% des concessions de barrages, accordées en moyenne   pour une durée de 75 ans. Le journaliste le rappelle,  les  pressions de Bruxelles  s’exercent   « depuis une dizaine d’années et elles auront donc eu raison  des velléités de résistance passive de la France », passive étant le mot juste…   

    Le journal de l’environnement l’évoquait alors,  c’est en effet  le 3 novembre 2015 que la Commission européenne avait  dans ce dossier  «  adressé une mise en demeure au gouvernement français »,   au  nom du dogme selon lequel « les Etats membres sont tenus de veiller, en ce qui concerne les entreprises publiques ou celles disposant de droits spéciaux ou exclusifs, à ne maintenir aucune mesure contraire aux traités, notamment en matière de concurrence. »

    Faute de pouvoir donner l’assaut dans le cadre du marché  de l’électricité  contre le monopole de l’Etat sur nos centrales nucléaires,  (encore) protégées des velléités prédatrices des bruxellois   car  incluses par la France  au nombre des « activités d’importance vitale », nos ressources hydroélectriques sont dans le collimateur.  En l’espèce celui  de la Danoise  Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence  et accessoirement membre du  très immigrationniste parti social libéral danois rattaché au parlement à l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) et à  l’Internationale libérale.

    Mme Vesdtager s’est émue de la « position dominante » en France d’EDF,  d’« une inégalité de chances »  sur notre sol  entre   opérateurs pour l’accès à la production hydroélectrique.  Le duo Hollande-Valls avait  commencé à céder aux  exigences de mise en concurrence de Bruxelles en avril 2016,  avec la publication d’un décret ouvrant notamment à des sociétés d’économie mixte (SEM) la concession des barrages. Et pour mieux  complaire à l’idéologie européiste,  l’Etat  interdit désormais à EDF de postuler  à la reprise d’une de ses concessions… quand bien même l’offre proposée par celle-ci serait la meilleure!

    Bref, une ouverture imposée au  nom du principe de  la concurrence libre et non faussée,   auquel nous devrions nous plier au mépris de notre intérêt national, et qui attise sans surprise l’intérêt  des groupes étrangers. Le contraire serait en effet  étonnant au vu de la  rentabilité  des barrages hydroélectriques  - ouvrages  d’art  construits  et entretenus,  faut-il le préciser, avec l’argent des contribuables Français -, les chiffres publiés évoquant environ 2,5 milliards d’excédent brut annuel pour les concessions. 

    En juin 2018, une dépêche de l’Afp  reprise sur le site euractiv notait que le gouvernement d’Edouard Philippe   « aurait proposé à Bruxelles la mise en concurrence de certaines concessions dès cette année, en plafonnant les lots que peut remporter une entreprise, selon la CGT et des députés qui suivent ce dossier. » « La crainte d’EDF comme des salariés est que les concessions les plus rentables partent à la concurrence et qu’EDF se retrouve avec les petits barrages, faisant dérailler l’équilibre économique de l’ensemble. » Une péeoccupation  parfaitement justifiée, d’autant qu’ en dépouillant ici  EDF , dont le capital social est détenu à 83,7% par l’Etat, il est loisible de  craindre une  augmentation pour les Français du prix de l’électricité.  A titre indicatif, soulignons le faible coût de celle-ci quand elle est   produite par les barrages, entre 20 et 30 euros le mégawattheure, prix sensiblement plus bas que celui de  l’électricité nucléaire notamment

    En mars  dernier,  l’élue national   Christelle Lechevalier (groupe ENL) rappelait à Strasbourg  que «la privatisation des barrages hydroélectriques dépouillerait la France d’une ressource d’énergie, régulatrice de l’écosystème, décarbonnée et rentable. » La collègue de Bruno Gollnisch soulignait également  que les syndicats (qui) protestent aujourd’hui  contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques s’étaient  tous ralliés derrière l’européiste Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle.  « Syndicats (qui) ne remettent jamais en cause les traités européens et la mondialisation-destruction (…) complices, par leur silence, de la disparition de nos services publics et de la perte de l’autonomie de notre nation en matière énergétique.»

    A la soumission des gouvernements successifs aux oukases de la technocratie européiste répond l’inféodation globale des syndicats à ce système par essence antinational. Mais peut-on demander à des syndicats dirigés, formatés, contrôlés par  des socialo-trotskystes, des communistes de sortir de l’ambiguïté ? Comment pourraient-ils avouer que le Grand Satan national contre lequel ils appellent systématiquement à voter,  défend avec une grande  cohérence politique une  préférence nationale  plébiscitée par les travailleurs Français  mais combattue par l’oligarchie bruxelloise?

    https://gollnisch.com/2018/10/05/la-grande-braderie-au-nom-de-la-concurrence-libre-et-non-faussee/

  • Grand Remplacement : Quinze millions pour les migrants, par Francis Bergeron

    migrants-15-millions-9209-Chard.jpg

    Muriel Pénicaud, ministre du travail, annonce un plan de quinze millions d’euros pour aider à l’insertion des immigrés, réfugiés et autres demandeurs d’asile, et d’abord pour les aider à trouver du travail. C’est donc bien qu’il est prévu qu’ils restent. Définitivement.

    Détaillant ce plan, Madame le ministre a expliqué qu’il fallait assurer une formation professionnelle à cette masse de réfugiés, afin qu’ils puissent plus facilement trouver du travail en France. Tout ceci part d’une gentille intention. Mais révèle aussi que ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux ne correspond absolument pas au discours qui nous a été tenu pendant des mois, à savoir que ces populations seraient confrontées à des situations mettant leur vie en danger, et qu’il fallait les accueillir jusqu’à ce qu’elles puissent rentrer chez elles.

    Cette nécessité de leur assurer une formation professionnelle prouve d’abord que, contrairement à la légende, ces réfugiés n’ont pas de qualification.

    Mais cette recherche d’emplois correspond à un second mensonge d’Etat et un second mensonge des grands (gros) médias : ils resteront. Il est prévu qu’ils restent. S’il s’agissait de vrais réfugiés politiques, comme on nous le soutient, ils resteraient dans le pays d’accueil jusqu’aux changements politiques attendus – des changements dont on peut imaginer qu’ils en seraient un peu les acteurs – avant de rentrer chez eux. Mais à partir du moment où ils sont formés à des métiers à exercer sur le territoire français, à partir du moment où le gouvernement finance des recherches d’emploi à leur profit, la théorie « scandaleuse », « mensongère » du « Grand Remplacement » ne paraît, hélas ! plus du tout une théorie, et certainement pas une théorie mensongère. Ces groupes d’étrangers dispersés dans des villes et villages, sur tout le territoire, nous allons donc leur payer, outre le gîte, le couvert, l’autocar et les cigarettes, des formations pour leur apprendre un métier, un métier qu’ils pourront exercer en France, et des coachs pour les former à la recherche d’emploi en France.

    Six millions de demandeurs d’emploi ne suffisent donc pas. Il faut importer des réfugiés chômeurs, que l’on va essayer de recaser dans des emplois.

    Un maître-mot qui leur ouvrira la porte des entreprises : « discrimination »

    Mais la probabilité pour qu’ils trouvent du travail est faible, allez-vous penser, compte tenu de l’analphabétisme, du manque de bases techniques, de l’obstacle de la langue pour beaucoup d’entre eux.

    Non, pas du tout ! Car il existe un maître mot qui devrait leur ouvrir toutes grandes les portes des entreprises, le mot « discrimination ».

    Ne parlons même pas de préférence nationale, la loi l’interdit depuis longtemps. Mais si, à compétence égale ou supérieure, un autochtone est retenu pour un poste, contre la candidature d’un réfugié, gageons que les structures qui encadrent les réfugiés et qui les encadreront demain (sans doute les mêmes) crieront à la discrimination.

    Mais, au fond, peut-être assistons-nous simplement à une expérience ? « Même si certains identitaires veulent ramener la France au vin, au saucisson ou je ne sais quoi, pour moi, la France, c’est avant tout une expérience », expliquait l’animateur d’une de ces associations.

    Une expérience ? A quinze millions d’euros ? C’est alors une expérience à la docteur Folamour ! De celles qui se terminent souvent mal.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuelle Ménard : « Gérard Collomb se fiche complètement d’Emmanuel Macron ! »

    Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour Emmanuel Macron. Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire à tous ces événements qui signent, selon elle, une rentrée catastrophique pour le gouvernement.

    Aujourd’hui à l’Assemblée nationale, deux nouvelles sont tombées. Le départ officiel de Manuel Valls et la démission de Gérard Collomb.
    Que pensez-vous de la décision de l’actuel ministre de l’Intérieur ?

    C’est un désaveu assez profond de la politique menée par monsieur Macron. Monsieur Collomb était l’incarnation du fidèle parmi les fidèles du Président de la République. Il présente sa démission, elle est refusée et il l’a maintient. Aujourd’hui, il annonce très clairement et officiellement qu’il se fiche complètement de monsieur Macron et que ce n’est plus son problème.
    Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de voir ce repli vers des territoires locaux, alors que monsieur Macron est l’incarnation du mondialisme. Il est donc exactement l’inverse.


    Manuel Valls a décidé de revenir à ses terres d’origine en se présentant à la mairie de Barcelone.
    Selon vous, les désertions se multiplient-elles autour du Président de la République ?

    Je ne les mettrais pas forcément dans le même registre. Je pense que dans le cas de monsieur Valls, c’est vraiment de l’opportunisme politique.
    Ce n’était un secret pour personne qu’il ne se sentait pas très bien et n’était pas très intégré au sein de cette majorité. Il était apparenté au groupe la République En Marche. Les députés de la République En Marche lui battaient souvent froid. Il n’a jamais vraiment trouvé sa place. Il a dû se dire qu’il n’avait plus d’avenir au sein de cette majorité et comme c’est quelqu’un qui a une forte et haute opinion de lui même, il a préféré vivre sa vie. C’est vraiment de l’opportunisme, car si on lui avait proposé une place de ministre, il serait resté en France. C’est de l’opportunisme politique, c’est l’incarnation de la girouette politique.

    Au vu des différents événements de ces derniers temps, pensez-vous qu’Emmanuel Macron vie un début d’année catastrophique ?

    C’est une rentrée catastrophique avec des signaux qui partent dans tous les sens. Encore une fois, c’est l’incarnation de la politique du « en même temps ». C’est « je suis le Président des riches, mais en même temps, je veux faire croire que je m’occupe des pauvres », « je suis le Président des grandes sociétés multinationales, mais en même temps, j’essaie de rassurer un peu les retraités, car il ne faut pas oublier que beaucoup d’entre eux m’ont élu ». Avec monsieur Macron, c’est cela en permanence. C’est tellement visible et criant.
    En regardant à nouveau ces photos prises aux Antilles, je trouve profondément choquant de voir un Président de la République en chemise à côté d’hommes torse nu où ils se serrent dans les bras les uns les autres. Il n’y a plus de fonction présidentielle.

    Emmanuelle Ménard

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuelle-menard-gerard-collomb-se-fiche-completement-demmanuel-macron/

  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/

  • Quand on est Progressistes…comme ils disent

    agora.jpgGérard  Collomb, qui brigue la marie de Lyon en 2020,  a présenté le 1er octobre sa démission…qui a été refusée par Emmanuel  Macron.  Un proche conseiller du chef de l’Etat  indiquait  à France info  que  « face aux attaques dont le ministre fait l’objet (…) le président lui a renouvelé sa confiance, et lui a demandé de rester pleinement mobilisé sur sa mission pour la sécurité des Français. » C’est raté car une nouvelle fois,  rapporte l’article de synthèse du Point, « Collomb a piétiné l’autorité présidentielle en maintenant sa démission. » Un petit sketch qui avait pour but de réaffirmer la légitimité du ministre de l’Intérieur dont le bilan est pour le moins très mauvais, mais aussi de ne pas accentuer l’impression  d’effritement d’un  exécutif très impopulaire…Entouré d’un impressionnant dispositif policier, M. Collomb  était pourtant encore vendredi dernier dans son rôle en se déplaçant  à Echirolles dans la banlieue plurielle  de Grenoble (Isère), zone urbaine en proie à une  violence qui ne cesse de croître. Signe qui ne trompe pas, le prix de l’immobilier s’est effondré ces dernières années dans la capitale de l’Isère et les biens ne se vendent plus. Outre la gestion calamiteuse du maire écolo-gauchiste Eric Piolle – qui l’année de son élection  en 2014 s’était  conduit en « provocateur à l’ordre public », en «encourageant  les manifestants » à empêcher une réunion publique  du FN – c’est bien  l’insécurité galopante qui fait fuir les potentiels propriétaires. Pour autant, malgré l’annonce d’un  renforcement de la presence policière à Echirolles, le ministre de l’Intérieur n’a pas convaincu les habitants.  Combien sont-ils nos compatriotes  lassés des promesses qui ne débouchent sur rien, faute d’une réelle volonté, du  courage  politique  pour prendre VRAIMENT le problème  à bras le corps?  

    Lundi,  Gérard  Collomb était à Marseille devant la gare Saint-Charles pour dévoiler la  plaque commémorative à la mémoire  de Laura Paumier et Mauranne Harel, deux  cousines âgées de 21 et 20 ans, égorgées  un an auparavant par un délinquant multirécidiviste, un tunisien immigré clandestin ayant fait allégeance à l‘Etat Islamique,  Ahmed Hanachi (voir ici  et ici .)  A Grenoble comme à  Marseille,  et  plus largement dans les milliers de zones de non droit, dans les territoires perdus de la République,  c’est encore et toujours le laxisme d’Etat qui est le premier  responsable  de l’ensauvagement, d’une babélisation lourde de menaces. Les petits gimmicks, les têtes éplorées, les discours convenus ne sauraient cacher cette réalité révoltante.

    Cacher son impuissance  derrière de ronflantes formules est un exercice  qu’affectionnent  les figures du Système comme M. Collomb promettant à Grenoble de « hisser (sur tout le territoire)  le drapeau de la République » et qui lançait mi-septembre  ladite « reconquête républicaine »  dans certains quartiers. « Tiens ! La République les avait donc perdus ? » avait lors réagi  Bruno Gollnisch,  « mais quand je le disais à l’Assemblée ou au Conseil Municipal de Lyon, que me répondait-il avec  ses amis ? » Or,  rappelait encore dernièrement  le député national,  «la violence n’est pas le fruit du  hasard . Il y a des responsables, et ils sont politiques!»

    Parler vrai, ne  pas manier la langue de bois ou de coton,  dire  la vérité,  regarder la réalité en face, refuser le déni du réel,  croire aux bienfaits des protections, des frontières, de la famille, défendre en un mot une souveraineté et une identité  françaises,  telles sont pourtant les tares que nos adversaires imputent  généralement  à l’opposition nationale

    Une nouvelle illustration en a été donnée lundi matin sur RTL  par  Marlène Schiappa à la tête  du Secrétariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes. La militante LGBT a repris ici  les éléments de langage de Sos racisme (un bon indicateur de son niveau…) pour  minorer le scandale de la photo de M. Macron à Saint-Martin enlaçant  un jeune braqueur torse nu  faisant  un doigt d’honneur -nous laissons à l’humoriste Patrice Eboué la responsabilité de son  explication amusante de ce goût de M Macron pour les torses nus!

     Pour Mme Schippa,  si Marine a dénoncé cette nouvelle atteinte  par M.  Macron à  la dignité attachée à la fonction  présidentielle, c’est parce qu’«Elle est leader d’un grand parti raciste d’extrême droite. Ce qui la choque, ce n’est pas que le président pose à côté d’un jeune. Ce qui la choque, c’est la couleur de peau de ce jeune. Soyons très clairs. À chaque fois que le président pose avec des personnes de couleur noire, Marine Le Pen s’offusque»  Parions avec Mme Schiappa  que les centaines de milliers d’électeurs Antillais  et  Guyanais qui ont hissé Marine en tête au premier tour de la présidentielle sont tout aussi offusqués que Marine…La France n’est pas réductible à boboland Marlène 

    Car  qui oblige M.  Macron a dégrader l’image de la France qu’il représente,  qu’on le veuille ou non, en posant  avec des travestis en résille  dans le salon de l’Elysée où à Saint-Martin  avec des jeunes prenant des poses de racailles de gangs? Quel est le rapport avec la couleur de peau des individus en question ? La couleur  de peau  doit-elle être une excuse à toutes les turpitudes, à moins de manifester par là une forme inconsciente de racisme à rebours? La couleur de peau  devrait-elle empêcher  par exemple  la mise en examen  d’un  héros récent  de la cause antiraciste et antiflics,   Théo Luhaka,  pour « escroquerie en bande organisée au préjudice d’un organisme chargé d’une mission de service public » dans une affaire de détournement d’aides publiques? 

    Bref, Marlène Schiappa se place dans  le sillage du socialiste et ex de l’UNEF Aurélien Taché,  élu   député du Val d’Oise  sous l’étiquette  LREM. Celui-ci    affirmait sur twitter à propos de la photo prise à Saint-Martin que  « ceux qui polémiquent ne supportent tout simplement pas que la France, à tous les niveaux, change de visage…c’est précisément la raison de mon engagement derrière lui. Merci Emmanuel Macron. » M. Taché explique donc franchement (pour satisfaire ses électeurs?) qu’il s’est rangé derrière M. Macron pour accélérer la submersion migratoire, ce qui est en effet un objectif partagé par un certain nombre de forces politiques, d’organismes, de cercles  ou de personnalités. Mais il entend aussi lutter,  au  sein de LREM, contre les progressistes...pas assez progressistes. Pour preuve son tweet assassin contre sa collègue  Agnès Thill. « Réputée pour être lmadame anti-PMA de la majorité  rapporte Le Figaro, l’élue a jugé paradoxal l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes. Nous lançons le plan (contre la) pauvreté et nous allons créer des femmes seules avec enfants. »

    « Quand on est progressiste, ce n’est pas en maintenant une discrimination légale qu’on lutte contre la pauvreté Agnès Thill mais avec une politique sociale émancipatrice (…) », lui a répliqué sèchement   Aurélien   Taché.  François Cormier-Bouligeon est à son tour entré dans la danse pour «(voler)   au secours de sa collègue» et  moucher  l’impudent. «Tu n’es peut-être pas le mieux placé cher Aurélien Taché pour faire la leçon sur le progressisme au vu de tes positions plus proches du communautarisme que de la laïcité » – «Aurélien Taché avait été critiqué en mai dernier pour avoir défendu la responsable voilée de l’UNEF (…). » Piqué au vif M.  Taché a répliqué:  «Défendre les libertés pour toutes et tous, quelle que soit l’orientation sexuelle, l’origine ou la religion, c’est cela le progressisme. En exclure les musulman(e)s… cela porte un autre nom et c’est un délit, pas une opinion. ».  Réponse  de M Cormier-Bouligeon :   «Ton accusation est grave et insultante. Elle démontre la mauvaise foi de ton positionnement qui indigne nombre de nos collègues. Assigner une partie de nos concitoyens à l’observance des pratiques les plus obscurantistes est contraire à l’idée même d’émancipation. »

    Une querelle intestine qui rappelle que LREM est  sur le plan des principes et des idées, une auberge espagnole au même titre que LR, même si Aurélien Taché est réputé très proche de M Macron, membre de sa garde rapprochée. Ce député est d’ailleurs l’auteur d’un rapport sur l’intégration préconisant notamment d’autoriser les immigrés clandestins demandeurs d’asile à obtenir un emploi au bout de six mois, avant qu’ils aient obtenu le statut de réfugié. D’ores et déjà France Inter révélait hier  que le ministère du travail  « s’apprête à lancer un appel à projet. Objectif: aider 5000migrants, ayant obtenu l’asile, à s’insérer en France », avec à l’appui «un plan de 15 millions d’euros pour permettre aux réfugiés de trouver un emploi. » Voilà au moins une annonce qui fait l’unanimité chez les progressistes… comme ils disent.

    https://gollnisch.com/2018/10/02/quand-on-est-progressistes-comme-ils-disent/#respond

  • Laurent Obertone : « Immigration, on criminalise les inquiétudes de la population pour éviter tout débat »

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    Dans La France interdite, Laurent Obertone étudie la population issue de l’immigration en s’appuyant sur des études chiffrées, et dresse le constat d’une France dans 30 ans, en proie au communautarisme.

    Pour Boulevard Voltaire , il dénonce « le mythe du vivre ensemble » et les menaces qui pèsent sur le débat autour de l’immigration.

  • Saint-Martin : l’image de l’échec et l’échec de l’image – Journal du lundi 1er octobre 2018

    Politique / Saint-Martin : l’image de l’échec et l’échec de l’image
    Il l’avait promis, un an après l’ouragan Irma, Emmanuel Macron est revenu à Saint-Martin. L’occasion de se donner en spectacle alors que la reconstruction du territoire au point mort.

    Société / Mondial de l’Auto à la croisée des chemins

    International / Trump et Trudeau trouvent un terrain d’entente
    Donald Trump obtient un nouvel accord pour l’Amérique du nord. Après d’âpres négociations, le président s’est mis d’accord avec ses homologues mexicains et canadiens… clouant un peu plus le bec à ses détracteurs.

    International / Le Brésil sous très haute tension
    A une semaine du premier tour des élections générales, le Brésil est à feu et à sang. Scandales de corruption, tentative d’assassinat du favori et crise sociale, le pays et son futur président auront de nombreux défis à relever.

    Lien serveur TVL

    Lien DailyMotion

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/01/26026/saint-martin-limage-de-lechec-lechec-de-limage-journal-lundi-1er-octobre-2018

  • Valérie Pécresse découvre que l’insécurité règne dans les lycées d’Île-de-France

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    Le plus sécuritaire des Français aurait applaudi des deux mains aux propos tenus sur le thème de la sécurité par Valérie Pécresse, lors de son passage au « Grand Jury » de RTL, dimanche dernier. En effet, tout y était. Minorité pénale à 16 ans, construction de 15.000 places de prison, développement de la vidéo-sécurité, effectivité des peines de prison prononcées par la justice, armement obligatoire des polices municipales dans les grandes villes.

    Bref, toute une série de mesures de bon sens, et aujourd’hui indispensables pour notre sécurité, que les amis LR de la présidente de la région Île-de-France, se sont pourtant bien gardés de mettre en place lorsqu’ils étaient au pouvoir. Et pour compléter ces dispositions, l’élue francilienne y est allée de quelques propositions destinées à crédibiliser sa démarche. Ainsi, a t-elle a formulé l’idée de la création d’une brigade de sécurité mobile, destinée à intervenir dans les lycées de son ressort. Il est vrai que la violence et l’insécurité sont depuis de nombreuses années présentes dans nos établissements d’enseignement. Du primaire au supérieur, il n’est pas de jour sans que soient rapportées par la presse les multiples exactions commises par des individus de plus en plus jeunes, et de plus en plus violents. Il y a quelques jours à peine, à Garges-lès-Gonesse, un jeune de 17 ans était violemment agressé et sérieusement blessé par une dizaine d’individus, dont certains étaient armés de bâtons et de barres de fer. Quelques jours auparavant, dans le Val d’Oise, c’était un policier municipal qui était roué de coups en pleine rue, par un groupe de personnes. Et la liste pourrait être longue de ces événements qui empoisonnent la vie quotidienne des Français, et qui attestent bien de ce que le niveau de violence est devenu insupportable dans notre pays.

    Car aujourd’hui, plus une catégorie de citoyens n’est épargnée. Les sapeurs-pompiers, depuis plusieurs mois tirent le signal d’alarme. Les agents des transports, confrontés à une violence qui ne cesse de monter – 15 % d’augmentation en ce qui concerne les agents de la RATP -, les services d’urgence dans les hôpitaux, où la violence se déchaîne de façon récurrente, les policiers nationaux et municipaux, les gendarmes…, tous sont confrontés à un phénomène auquel le gouvernement se trouve dans l’incapacité, souvent par pure idéologie, d’apporter une solution.

    Face à cette plaie purulente que constitue la violence pour notre société, Valérie Pécresse annonce donc une nouvelle initiative, la mise en place d’une unité de sécurité qui aura pour mission de sécuriser les lycées dont elle a la charge. Malheureusement, cette nouvelle formation, composée d’une quinzaine d’agents recrutés, notamment, parmi les anciens policiers et gendarmes, risque fort de se trouver bien démunie face à des bandes de délinquants déterminés et souvent armés. Par ailleurs, si c’est au rectorat qu’il appartiendra de gérer cette entité, rien n’est dit sur ses compétences réelles. Quelles seront ses prérogatives judiciaires. En aura t-elle seulement ? À quelles autorités publiques de police, de gendarmerie, de justice, devra t-elle rendre compte ? Quels seront ses moyens, sachant qu’a priori, ses membres ne seront pas armés ? Autant de questions actuellement sans réponses, mais qui laissent augurer d’une nouvelle et énième initiative, davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales, qu’à traiter véritablement du cœur de la question fondamentale que constitue l’ancrage de la violence et de la criminalité au cœur de notre société.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/valerie-pecresse-decouvre-que-linsecurite-regne-dans-les-lycees-dile-de-france/

  • Sexisme : quand France Inter ne s’interdit rien contre Charlotte d’Ornellas, par Caroline Parmentier

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    « Les petites cathos d’extrême droite ça m’excite (…) Nous ferons l’amour bestialement comme deux bergers allemands » etc. Où sont les Mee too et les Balance ton Porc pour protester aujourd’hui contre la chronique répugnante de Daniel Morin sur France-Inter contre Charlotte d’Ornellas ?

    Sur France-Inter qui nous a bassinés pendant des mois avec le sexisme et le harcèlement (et sous les gloussements un peu gênés de deux journalistes femmes sur le plateau qui se gardent bien d’intervenir), le chroniqueur Daniel Morin se livre le 27 septembre à un ahurissant numéro sur le mode « Fais-moi mal, chienne » contre la journaliste de Valeurs Actuelles, ancienne collaboratrice de Présent, « à droite, droite, droite » où tout y passe : l’armure de Jeanne d’Arc, les culottes de peau autrichiennes, les bergers allemands et les nazis, sur fond de halètements et de « Maréchal nous voilà ».

    C’est particulièrement choquant et sexiste et tout le monde rigole autour de la table. Le respect des femmes sur France Inter, radio du service public qui passe son temps à donner des leçons, c’est à la tête de la cliente. On imagine un instant si la cible n’avait pas été blanche, catho et de droite. Et le même genre de sketch avec par exemple Rokhaya Diallo ou Raquel Garrido dans le rôle de la « salope ».

    Dans le même temps, Eric Zemmour pour une phrase désobligeante (et coupée au montage) sur le prénom d’Hapsatou Sy, doit être interdit partout d’antenne et de plateau ! Est-ce que Marlène Schiappa et toute la classe médiatique et politique qui a volé au secours d’Hapsatou Sy comme un seul homme, va demander l’interdiction de Daniel Morin ? Il ne risque absolument rien ni du CSA ni des chiennes de garde, il a tous ses totems d’immunité. Vous voulez appeler au meurtre (comme Laurent Ruquier appelant à abattre Donald Trump sur la chaîne publique France 2 sans jamais avoir été sanctionné) vous voulez appeler au viol ou au racisme anti-blanc et anti-catho, vous voulez diffamer, insulter ? Soyez journaliste de gauche sur une radio d’Etat.

    Photo : La photo officielle de Daniel Morin sur le site de France-Inter. Il s’était mis du rouge à lèvres en signe de solidarité pour la Journée de la Femme comme le tartuffe obsédé sexuel, Denis Baupin…

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 1er octobre 2018

  • La Commission européenne contre la coopération italiano-tunisienne en matière d’immigration

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Jeudi dernier, le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, a effectué sa première visite en Tunisie. Cette visite fait suite à l’adoption d’un décret anti-immigration en début de semaine dernière par le gouvernement italien. Deux mesures de ce décret sont particulièrement notables : la restriction de la délivrance du permis de séjour et la réduction considérable de la durée maximale de la rétention administrative des clandestins.

    Suite à l’adoption de ce décret, Matteo Salvini s’est rendu à Tunis où il a rencontré le président Tunisien Béji Caïd Essebsi. La discussion a porté sur la limitation de l’immigration clandestine en provenance de la Tunisie et sur le rapatriement des ressortissants tunisiens.

    Rappelons que, selon le ministère italien de l’Intérieur, 4.487 Tunisiens sont arrivés clandestinement en Italie depuis le début de l’année. En termes d’arrivées de clandestins en Italie, la Tunisie est ainsi classée première en 2018, avant l’Érythrée.

    La rencontre à Tunis entre les deux responsables politiques s’est déroulée en présence de plus de cent de chefs d’entreprise italiens. En ce sens, le président tunisien a reçu l’assurance que l’Italie soutiendrait financièrement et économiquement la Tunisie.

    Toutefois, Matteo Salvini se heurte à ses opposants européens. En effet, la Commission européenne a d’ores et déjà jugé sa proposition de budget « hors des clous ». Il est probable que ce jugement résulte en partie du fait que Matteo Salvini a menacé de réduire la contribution de l’Italie au budget européen, si l’Union ne s’engage pas dans la même voie de régulation migratoire.

    https://fr.novopress.info/212114/la-commission-europeenne-contre-la-cooperation-italiano-tunisienne-en-matiere-dimmigration/