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magouille et compagnie - Page 1396

  • L’avenir de la France c’est ça?

    rodin-le-penseur.jpgNicolas Hulot a annoncé ce matin sa démission du gouvernement, refusant de jouer  plus avant  les faire-valoir et les potiches, dénonçant l‘influence des lobbies« dans les cercles du pouvoir.» Celui de la chasse n’est pourtant pas le plus néfaste ni  le plus important, mais le ministre de la transition écologique ne l’ignore certainement pas… Un nouveau coup dur pour l’exécutif  sachant que selon la dernière étude Ifop publiée par Le Journal du dimanche, 66 % des Français interrogés en août sont mécontents de l’action du président de la république, en hausse de 5 points par rapport au mois de juillet.  Un contrecoup des affaires Nyssen, Kolher, Benalla? Peut-être, mais pas que,  et il est certain que la (légère) euphorie de nos compatriotes post coupe du monde parait déjà très loin. Ce même sondage indique que  la cote de popularité d’Emmanuel Macron a atteint son plus bas niveau depuis son élection, là aussi en forte chute  de cinq points en août par rapport au mois précédent,  avec 39% d’opinions favorables;  un effondrement comparable touche également son Premier ministre républicain-en marche Édouard Philippe. Un état de l’opinion qui laisse présager des mois à venir très difficiles pour le gouvernement sur fond de croissance en berne, loin des 2% en 2018 comme l’avait claironné le gouvernement et certainement très en deçà aussi en 2019 comme l’a avoué le 1er août  le ministre  des Comptes publics, l’ex-sarkozyste  Gérald Darmanin.  Une mauvaise  nouvelle pour la réduction des déficits publics.  D’autant que sur fond de montée des insécurités sociale, économique, identitaire, des dossiers très chauds attendent le gouvernement en cette rentrée . Il s’agira de justifier une nouvelle attaque fiscale de la majorité présidentielle contre les retraités, la mise en place d’une nouvelle  politique de discrimination positive en faveur des banlieues plurielles, la réforme de l’hôpital, de la fonction publique, de l’Etat…

    Les acteurs de cette  rentrée politique ont déjà  en ligne de mire  les élections européennes de mai 2019 qui arrivent à grands pas et qui sont annoncées par toutes les familles  politiques comme un referendum grandeur nature pour une contre le macronisme, pour ou contre l’inféodation de notre pays à la feuille de route de la Commission européenne,  pour ou contre cette Europe de Bruxelles.

    Une conjoncture à la lumière de laquelle il s’agit de décrypter une nouvelle fois le traditionnel discours de rentrée prononcé  hier par Emmanuel Macron à la conférence des ambassadeurs de France, réunis à l’Élysée.

    En adepte éprouvé du en même temps, le président de la République a mêlé dans son  intervention données  factuelles et contre-vérités, propos de bon sens et idéologie antinationale, désir d’émancipation et gage de  soumission à l’oligarchie mondialiste. Il a redit son  souhait d’un renforcement de la construction européenne, quitte à mettre en place une Europe  « à plusieurs cercles »,  tout en prônant conjointement, en une formule aussi floue qu’ambiguë le  « renforcement de l’ordre mondial », auquel personne ne pourra s’opposer assurait déjà Nicolas Sarkozy en son temps…

    Ainsi, l’ex-banquier a-t-il avancé, comme ses calamiteux prédécesseurs,  que les « alliances d’aujourd’hui », comme l’Otan, avaient « encore leur pertinence » (sic)  mais a ajouté non sans raison que les Européens « (devaient) tirer toutes les conséquences de la fin de la guerre froide »,   en n’attendant plus des Américains qu’ils se chargent de les défendre, souhaitant une « réflexion exhaustive sur ces sujets avec tous les partenaires de l’Europe et donc avec la Russie. »  L’«on ne peut pas construire l’Europe sans réfléchir aux relations avec la Russie et la Turquie» a-t-il encore précisé arguant par ailleurs qu’il s’agirait  de « sortir de l’hypocrisie » vis-à-vis d’Ankara en ne promettant  plus aux Turcs une adhésion à l’UE, mais plus raisonnablement  un partenariat stratégique

    Une  politique militaire  (mise en place du Fonds européen de défense, «accords stratégiques» avec l’Allemagne…)  qui doit advenir  au nom  d’une  « souveraineté européenne », laquelle,   dans l’esprit de M. Macron  est amenée à  prospérer sur les ruines de nos souverainetés nationales … Ce vœu de voir  les pays de l’UE renforcer leurs efforts de coopération militaire pour assurer leur protection est d’ailleurs  peu ou prou le message martelé depuis sa campagne présidentielle  par Donald Trump qui a dit son ras-le-bol de payer pour la sécurité des Européens…

    Si « le dialogue avec Washington reste essentiel »,  le successeur de François Hollande  a cependant fustigé (au nom de son souverainisme européen?)   la politique  isolationniste  de M. Trump, « symptôme de la crise capitaliste contemporaine. » « La première menace qui pèse sur nos biens communs, c’est la crise du multilatéralisme lui-même. Le multilatéralisme traverse en effet une crise majeure qui vient percuter toutes nos actions diplomatiques, avant tout en raison de la politique américaine (…).  Le partenaire avec lequel l’Europe avait bâti l’ordre multilatéral d’après-guerre semble tourner le dos à cette histoire commune. » Histoire commune toute relative puisque les Etats-Unis  se sont construits historiquement, politiquement, culturellement   sur leur  opposition voire un certain rejet, une certaine hostilité vis-à-vis de  de la vieille Europe.  Et il n’est pas  certain que certains cénacles à Washington auraient hésité à vitrifier les villes européennes  si la guerre avait éclaté  contre la Russie soviétique.

    Passage obligé (?), M.  Macron n’a  pu s’empêcher de débiter l’habituelle et  assez pathétique propagande contre la République Arabe Syrienne, s’inquiétant de ce que l’armée syrienne parachève la reconquête du pays en éliminant les dernières poches aux mains des milices islamistes, notamment dans la région d’Idlib.  Le gouvernent de Damas a été chargé de tous les maux, de toutes les culpabilités dans le conflit qui accable ce pays depuis 2012, arguant que le maintien de Bachar el-Assad au pouvoir en Syrie serait une «erreur funeste. »  Quand bien, même la responsabilité des occidentaux dans ce sanglant conflit, la patte  des atlantistes et de leurs  alliés dans l’instrumentalisation, voire le soutien aux milices djihadistes qui ont mis ce pays a feu et à sang,  n’est plus à démontrer.

    Last but not least, les populistes et autres nationalistes ont été eux aussi désignés à la vindicte, tous ceux   qui comme Viktor Orban,  Matteo Salvini,  menacent le projet cosmopolite bruxellois qualifié  par antiphrase d’européen« Ce combat européen ne fait que commencer, il sera long, il sera difficile» car,  a fulminé Emmanuel Macron, « les identités profondes des peuples ont resurgi avec leur inconscient collectif. » « Les extrêmes ont progressé et les nationalismes se sont réveillés. Est-ce une raison pour abandonner? Certainement pas (…). Il faut en réalité redoubler nos efforts. » Bref, la reprise ici de ses attaques contre la lèpre populiste, de ses propos tenus en juillet devant le congrès où   il affirmait:  « Il faut le dire clairement, la frontière véritable qui traverse l’Europe est celle, aujourd’hui, qui sépare les progressistes des nationalistes.»

    Aussi s’agit-il,  a encore  expliqué le président de la république,  de construire « un modèle humaniste de la mondialisation », au nom « d’une volonté de souveraineté européenne». «Le rôle de la France est de proposer une voie humaniste pour relever ces défis. »

    Pas sûr que les Français mordent à cet  hameçon empoisonné, à l’heure ou les peuples, note Bruno Gollnisch,   plébiscitent le  retour aux frontières,  aux protections, au fait national, au maintien des identités particulières. En février  dernier, rapportait l’Afp,   un sondage OpinionWay réalisé pour la sixième édition du Printemps de l’Economie, indiquait  que 60 % des sondés  ont une mauvaise opinion de la mondialisation, dont les effets négatifs sur nos salaires, nos emplois. étaient pointés par une majorité des Français.  71 % se disaient   pessimistes sur les effets de ladite mondialisation  pour l’avenir des prochaines générations, et 67 %  pour l’avenir de la France.

    Enseignement  capital de cette étude, Pierre-Pascal Boulanger, président-fondateur du Printemps de l’économie, relevait très justement que « l’écart se resserre entre catégories populaires et favorisées, entre supposés perdants et supposés gagnants de la mondialisation », 62 % des catégories socio-professionnelles supérieures (CSP+) et 71 % des CSP- sont pessimistes pour l’avenir de la France. »« Le ressenti pessimiste gagne fortement les catégories les plus favorisées, qualifiées, les mieux rémunérées»… Ceux-là même, noterons-nous, qui ont assuré la victoire de M Macron, lui ont donné une majorité en se déplaçant assez massivement pour voter.  La roue tourne.

    https://gollnisch.com/2018/08/28/lavenir-de-la-france-cest-ca/

  • Le front des ONG humanitaristes en Méditerranée s’effrite

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    La politique ferme anti-immigration clandestine entamée par le nouveau gouvernement italien et son ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, commence à porter ses fruits : le front des ONG en Méditerranée s’effrite de jour en jour.

    Après l’opération du Diciotti et les dernières opérations de secours en Méditerranée du bateau Aquarius de SOS Méditerranée et de MSF, ces sauvetages, bien souvent organisés entre les passeurs eux-mêmes et les humanitaristes, se raréfient. Pour cause, depuis quelques semaines la plupart des bateaux reste à quai !

    Le navire Aquarius est rentré à Marseille et n’a plus pris le large depuis sa dernière mission où il s’est vu refuser par l’Italie, Malte et l’Espagne le débarquement de son chargement de clandestins. Il a en outre perdu le pavillon le Gibraltar et doit donc maintenant expliquer sa position.

    A Malte, rapporte un quotidien italien, Il Fatto, trois bateaux restent au port : Lifeline, Sea Watch et SeefuchLe premier d’entre eux est d’ailleurs sous séquestre et son équipage doit affronter une bataille juridique concernant l’enregistrement de l’embarcation. La sentence tombera en septembre. De son côte Sea Watch a lancé un appel pour retourner en mer mais sans succès :

    « Ils ne nous font pas sortir. Mais ils ne nous donnent aucune raison : tout simplement nous ne pouvons pas bouger. »

    Pour l’instant, la mer Méditerranée est donc enfin libérée des ONG immigrationnistes, collaboratrices de l’invasion qui submerge l’Europe depuis des années. Les sauvetages dépendent actuellement exclusivement des gardes-côtes des pays méditerranéens qui sont sur la route des « migrants ». Et le blocus des bateaux des ONG pourrait durer encore longtemps.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/le-front-des-ong-humanitaristes-en-mediterranee-seffrite/97124/

  • Donald Trump s'inquiète des meurtres des fermiers blancs en Afrique du Sud

    6a00d83451619c69e2022ad3ac2651200b-800wi.jpgDe Jean Rouxel dans Les 4 Vérités :

    "Les autorités sud-africaines ont fort mal pris un tweet du 22 août, dans lequel Donald Trump signalait qu’il avait demandé au Secrétaire d’État d’étudier avec attention la question des meurtres à grande échelle de fermiers blancs. Quelques mois plus tôt, c’était le ministre de l’Intérieur australien qui avait choqué Prétoria, pour avoir dit que les fermiers sud-africains, menacés par l’anarchie et la démagogique réforme agraire annoncée dans un pays mal sorti de l’apartheid, seraient les bienvenus dans son propre pays.

    On connaît mal la situation réelle des fermiers blancs en Afrique du Sud, mais il est certain qu’ils sont particulièrement menacés. Selon l’organisation AfriForum, qui défend la minorité afrikaner, le taux de mortalité chez les fermiers blancs est 4 fois plus élevé que dans le reste de la population (alors que la société sud-africaine est déjà l’une des plus violentes au monde). Nous assistons en Afrique du Sud à l’une des dernières « guerres coloniales » du continent. Et tout porte à craindre que les résultats de cette guerre civile soient parmi les plus catastrophiques du continent – qui, pourtant, a collectionné depuis quelques décennies les « transitions démocratiques » ratées et mortifères. À moins qu’une pression étrangère forte, comme celle que Donald Trump semble envisager, n’évite le pire, le plus vraisemblable reste que la réforme agraire sud-africaine se passe à peu près aussi mal que dans l’ancienne Rhodésie, devenue le Zimbabwe.

    Ce dernier a réussi le tour de force de passer en quelques décennies de l’un des pays les plus riches d’Afrique à l’un des plus pauvres du monde. Notamment à cause d’une réforme agraire aussi démagogique que celle que prévoit actuellement le président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui avait entraîné le massacre d’une large partie des forces vives du pays et un désastre politico-économique qui dure encore.

    Alors, bien sûr, on peut juger que Donald Trump a une bien curieuse façon de pratiquer la diplomatie, avec ses tweets intempestifs. Mais il me semble qu’il a mille fois raison de vouloir éviter l’extermination de tous les fermiers afrikaners d’Afrique du Sud. Pour eux, d’abord, bien sûr, mais aussi parce que le pays ne s’en relèverait pas. Or, cette extermination, sans être certaine, est une hypothèse qui n’a rien d’absurde. Et gouverner, c’est prévoir – y compris le pire ..."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le krach, tout le monde y pense sans en parler de peur de déclencher les foudres divines.

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    Marc Rousset

    Le krach, tout le monde y pense sans en parler de peur de déclencher les foudres divines. Tel le furet du bois joli, certains le voient poindre à la moindre alerte sur la devise turque, sur les fausses déclarations officielles rassurantes au sujet de la Grèce, à la moindre hausse des taux d’intérêt et du « spread » italien par rapport au taux allemand. Ce n’est pas pour rien, non plus, que les autorités chinoises obligent le groupe HNA à se délester de 50 milliards de dollars d’achats d’actifs à l’étranger ces dernières années (Pierre et Vacances, Hilton, Radisson…) tout comme les groupes Fosun (Club Med), Wanda (immobilier, parcs d’attractions) et Anhang (assurances).

    Le krach d’un système mondial surendetté repoussant sans cesse les faillites à venir en empruntant davantage, en maintenant artificiellement les taux d’intérêt à la baisse (pressions actuelles de Trump sur la Fed) et en pratiquant une politique monétaire laxiste (USA, BCE, Japon, Grande-Bretagne), aura bien lieu, mais où et quand dans un premier temps ? Personne ne le sait… Il est, par contre, possible d’imaginer ce qui se passera après le krach.

    Nous vivons actuellement les derniers moments du système du dollar roi qui s’est installé sournoisement, diamétralement opposé au système sécurisant et conservateur de l’étalon-or qui a duré jusqu’en 1914, malheureusement enterré suite aux nécessités de financer les dépenses exponentielles de la Première Guerre mondiale alors en cours.

    De 1914 à 1944, l’or s’est moins déplacé physiquement, mais il gardait malgré tout son rôle salvateur d’étalon puisque, par exemple, la Réserve fédérale américaine était tenue de garder dans ses coffres une quantité d’or correspondant au minimum à 40 % de la monnaie en circulation.

    En 1945, à Bretton Woods, les États-Unis ont imposé le dollar pour remplacer partiellement l’étalon-or en partant du principe que le monde entier avait soif de dollars et en décidant d’abaisser à 25 % au lieu de 40 % la couverture or physique détenue à Fort Knox. En 1965 et 1968, l’Amérique a décidé de se libérer de la contrainte minimum or des 25 %. Et, en 1971 – ce qui a été le pot aux roses et le début du dérèglement du système financier international, dont nous voyons aujourd’hui les catastrophiques conséquences -, Nixon décida tout simplement, unilatéralement, du fait du prince, que le dollar ne serait plus convertible en or, ce qui revenait à remplacer totalement l’étalon-or par l’étalon-dollar dans le monde.

    Est apparu alors un système où les capitaux du monde entier étaient appelés à circuler librement avec des taux de change flottant au jour le jour entre les monnaies, la devise de référence principale étant le dollar, mais sans aucun arrimage à un étalon universel et physique.

    Tant que le krach et la catastrophe à venir n’ont pas encore eu lieu, personne ne se hasarde à demander, bien évidemment, le rétablissement immédiat de l’étalon-or, conscient que cela briserait tout net, immédiatement, la croissance comme une subite douche glacée après un bain laxiste brûlant, avec une terrible récession à la clé.

    En revanche, après le krach, une fois les agents économiques ruinés, il faudra tout reconstruire de zéro. Il est alors très probable que nous vivrons dans un monde sans libre-échange mondialiste, avec des zones autarciques protectionnistes autocentrées et un commerce international réduit au strict échange des produits indispensables à l’importation car non présents ou impossibles à produire dans une zone autarcique (USA, Chine, Russie, Europe de l’Ouest, Japon).

    Apparaîtront, alors, quelques grandes devises internationales correspondant à chaque zone autarcique convertibles en or (euro, yuan, dollar, yen). Ce jour-là, les partisans de l’or, les « cocus » du système actuel ne profitant pas des bulles boursières et immobilières, tiendront leur revanche avec la montée à la verticale du prix de l’or, ce qui fut le cas de l’Allemagne en 1923, mais ce sera une bien maigre et triste consolation au milieu des ruines épouvantables d’un système économique explosé, de la misère sociale, du malheur humain, avec de gigantesques et imprévisibles conséquences politiques et géopolitiques à la clé.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’immigration de peuplement conduit à une catastrophe civilisationnelle

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    Article initialement paru le 25 juin dernier. L’oligarchie ne cesse de nous vanter les avantages de l’immigration et les mérites des immigrés. M. Macron n’a-t-il pas souligné leurs « qualifications remarquables » et la nécessité d’en accueillir davantage ? Chacun sait pourtant que la réalité est tout autre. Car l’immigration est massive, elle ne s’assimile pas, elle provoque un éclatement territorial et culturel et mène à l’islamisation de notre pays. Bref, elle change la France et conduit les Français à ne plus se sentir chez eux dans leur propre pays. L’immigration de peuplement est peut-être une chance pour les immigrés, mais c’est une catastrophe pour la France et pour l’Europe.

    L’immigration a changé brutalement la France

    L’immigration de peuplement a commencé dans les années soixante-dix lorsque le grand patronat a fait pression sur le gouvernement pour autoriser le regroupement familial afin d’obtenir une main-d’œuvre abondante et peu exigeante. Mais, en ouvrant ainsi les portes à l’immigration de peuplement, le Système n’a pas rendu la France plus prospère, plus forte ou plus jeune, il a seulement changé la France. Changé ses mœurs, changé sa physionomie, changé sa population et changé sa religion. Il suffit de parcourir les rues de nos villes ou de regarder des photographies des années soixante-dix pour s’en rendre compte. Et seuls ceux qui n’aiment pas la France, ceux qui la réduisent à une idéologie politique ou à une ligne de compte, peuvent s’en réjouir. Pour les autres, il s’agit d’un bouleversement traumatisant et d’une grande brutalité, car c’est en moins de trente ans que la France a changé, un phénomène sans précédent dans l’histoire moderne.

    L’importance de la présence immigrée est occultée ou minimisée

    Or, le phénomène se poursuit à un rythme extrêmement élevé. Aujourd’hui, la pression migratoire est si forte qu’on ne sait pas exactement combien d’immigrants ont fait souche en France et combien y séjournent actuellement. Selon l’Insee, 25% des bébés nés en 2016 dans notre pays avaient au moins un parent né à l’étranger.
    Mais les chiffres officiels sont faussés, d’abord en raison de l’interdiction des statistiques ethniques, ensuite à cause de l’immigration irrégulière, laquelle a connu une progression spectaculaire depuis 2015 avec ce que l’on nomme la « crise des migrants ». Les données sur l’immigration sont également truquées par l’effet du droit du sol et des naturalisations massives qui ont ainsi fabriqué des Français de papier à la chaîne, lesquels n’ont aucun lien réel avec notre pays, sinon leur présence sur notre territoire.
    La manipulation est d’ailleurs poussée si loin que les membres de l’oligarchie et leurs soutiens osent prétendre sans rire que l’immigration n’augmente pas. Il est vrai qu’ils n’utilisent pas les transports urbains, qu’ils ne vivent pas en banlieue et ne mettent pas leurs enfants dans les écoles publiques ! Pour autant, ils ne peuvent ignorer les faits et, s’ils se livrent à un tel déni de réalité, c’est pour minimiser leur propre responsabilité dans la catastrophe.

    L’assimilation est impossible, le Vivre ensemble une fiction

    En dépit de l’occultation des chiffres, force est en effet de constater qu’en raison de sa masse, l’immigration de peuplement a empêché toute assimilation. De fait, les immigrants sont trop nombreux pour pouvoir se diluer dans la population, et cela d’autant plus qu’ils se concentrent dans les zones urbaines. Les technologies modernes de communication leur permettent par ailleurs d’entretenir des liens étroits avec leur pays d’origine, ce qui les aident à conserver leur identité et donc à ignorer celle du pays qui les accueille. L’immigration de masse a dès lors débouché sur le communautarisme, un phénomène que l’on retrouve pour les mêmes raisons dans tous les pays occidentaux.
    Face à cette situation, l’oligarchie a inventé le concept du « Vivre ensemble » et en vante assidument les vertus. Mais ce mot d’ordre ne correspond à aucune réalité concrète : les autochtones refusent de vivre avec les migrants selon un phénomène déjà connu dans les pays anglo-saxons sous le nom de white flight. Quant aux migrants, ils veulent seulement vivre en France comme ils vivent chez eux, c’est-à-dire selon leur culture africaine ou leur religion musulmane. Certains « jeunes » des banlieues de l’immigration ont même repris à leur compte le slogan identitaire « on est chez nous », pour bien montrer qu’ils entendent se constituer en société différente de celle de la France, une France que certains font d’ailleurs profession de vouloir « niquer » au son du rap.

    L’immigration provoque un éclatement territorial et culturel

    Dès lors, ce sont des territoires entiers qui sortent de l’orbite nationale pour abriter des populations, une culture et des normes qui n’ont plus rien de français. On recenserait officiellement dans notre pays mille trois cents « quartiers sensibles », plus de six cents « zones de non-droit » et près d’une centaine de Molenbeek (par référence à la banlieue bruxelloise pépinière de terroristes islamistes). L’actualité a en outre montré qu’il fallait y ajouter les « no-go zones » de certaines villes, où les femmes non voilées risquent le harcèlement. Autant de territoires où, contrairement à l’expression trompeuse de « zones de non-droit », s’impose en réalité un droit clanique, mafieux et religieux, en tout cas une autre civilisation que celle des Français.
    L’immigration de peuplement a ainsi multiplié la création d‘enclaves étrangères qui viennent miter le territoire national avec une logique de sécession de fait. Un processus que la « politique de la ville », la coûteuse panacée du Système, n’a pas été capable d’enrayer.

    L’immigration a entraîné l’islamisation qui a apporté l’islamisme

    Les conséquences dramatiques de cette immigration de peuplement ne se limitent cependant pas à cet éclatement territorial et culturel, car, comme le rappelle la démographe Michèle Tribalat, l’immigration de peuplement a entrainé l’islamisation. Et l’islamisation a apporté l’islamisme et sa haine de l’Occident. La catastrophe migratoire est donc d’ampleur géométrique.
    Avant les vagues d’immigration de la fin du XXe siècle, l’islam restait confidentiel en France comme en Europe (à l’exception des Balkans) et ne posait aucun problème particulier. Aujourd’hui, il serait en passe de devenir la seconde religion dans notre pays et, en raison de sa forte natalité, l’importance de la population musulmane ne cesse de croître indépendamment même de l’immigration. Aujourd’hui, en Seine-Saint-Denis, la majorité des habitants est ainsi de religion musulmane.
    Or, l’islam n’est pas une religion comme les autres. Non seulement elle est étrangère à notre culture, mais elle impose un mode vie bien particulier. La pression pour que la société française se conforme aux commandements de l’islam ne cesse donc d’augmenter et de modifier en conséquence la physionomie de notre pays ainsi confronté à un antagonisme civilisationnel de grande ampleur.

    Les Français de plus en plus indésirables en France

    Comment dès lors s’étonner que nos concitoyens soient de plus en plus nombreux à exprimer leur inquiétude de ne plus se sentir chez eux ? Les sondages en témoignent mais les oligarques méprisent ce sentiment et y voient la marque infâmante du « racisme ». Il s’agit pourtant des conséquences fatales de la catastrophe migratoire qu’ils ont délibérément provoquée. Un désastre dont ils semblent se satisfaire puisque, loin de chercher à l’enrayer, ils consacrent tous leurs efforts à le faire accepter de gré ou de force par les Français.
    En tout cas, tel est le sens des campagnes incessantes qu’ils lancent pour une meilleure représentation des « minorités » ethniques et pour la réduction symétrique de la place réservée aux personnes « perçues comme blanches » ( pour reprendre la terminologie officielle). Tel est aussi l’objet de la mise en place d’une discrimination prétendument « positive » au seul profit des personnes issues de l’immigration. À cela s’ajoute le fait que les familles immigrées, ayant plus d’enfants et présentant un taux d’activité inférieur au reste de la population, se trouvent de facto prioritaires dans l’octroi des prestations sociales. Autant de réalités qui renforcent les Français d’origine dans la conviction qu’ils ne sont plus les bienvenus dans leur propre pays et qu’ils pourraient bien être « remplacés » par d’autres.
    Une catastrophe civilisationnelle qu’il est encore possible d’empêcher mais plus pour longtemps.

    Ligne droite 25/08/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Alastair Rae via wikimedia cc

    https://www.polemia.com/immigration-peuplement-catastrophe-civilisationnelle-rediff/

  • Politique & éco n°180 : Retour sur l’affaire Benalla avec Hilaire de Crémiers

     
     

    Dans une émission enregistrée au coeur de l’été, Olivier Pichon reçoit le directeur du journal « Politique Magazine » et de « La nouvelle revue Universelle », Hilaire de Crémiers. Ensemble, ils reviennent sur les dessous de l’affaire Benalla . Un scandale au plus haut niveau de l’Etat.

     
  • Mélenchon veut accueillir les migrants « au nom de la Révolution de 89 » !

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    Ce dernier week-end d’août, les troupes de Jean-Luc Mélenchon étaient rassemblées à Marseille pour les « AMFiS d’été » de La France insoumise.

    Mélenchon, donc. Sans son costume de garde-chasse, mais en chemise bleu ciel infroissable au mistral. Mélenchon-le-teigneux, Mélenchon hargneux, Mélenchon-les-postillons… bref, le Mélenchon comme l’aime la grande presse.

    Les médias et Mélenchon, c’est en fait un numéro de duettistes bien rodé. Chacun dans son rôle, les victimes et leur bourreau. « Vas-y, Jean-Luc, fais-moi mal ! Et surtout fais-lui mal : dézingue-le, ce Macron, venge-nous de sa morgue ! »

    Il a fait parfaitement le job, Mélenchon, surtout ce samedi. Parfait sur toute la ligne, postillons et vociférations ad libitum. Alors, la presse a respecté le contrat, elle aussi, louant unanimement le seul opposant véritable à la politique du gouvernement, martelant que le patron de La France insoumise avait « appelé à faire des élections européennes un véritable référendum anti-Macron ».

    Et après ? Rien. C’est là, justement, où c’est intéressant : rien du côté de la presse, rien non plus du côté de Mélenchon.

    Car le bonhomme, s’il a parlé « du changement climatique » et dénoncé la politique de Macron, a aussi parlé d’immigration. Pour nous culpabiliser et traiter en substance les Français de salauds d’égoïstes, une fois de plus – ce que personne n’a jugé bon de relever.

    « Un sujet qui est, paraît-il, délicat pour nous – il ne l’est nullement ! –, c’est celui des vagues d’immigration auxquelles nous assistons », dit Mélenchon pour introduire la chose qui n’intéresse personne.

    Habile orateur, comme toujours, il martèle sa phrase choc : « Notre position est la suivante. »L’auditeur est en haleine… mais rien ne vient, sinon la critique du (large) camp d’en face : « Votre attitude est irraisonnable parce qu’elle est irraisonnée. Vous comptez sur la peur parce que vous espérez submerger toute la discussion politique par un sentiment de peur d’une invasion QUI N’EXISTE PAS ! »

    Reconnaissons que c’est habile. Critiquer sans jamais se mouiller, c’est tout un art. Mélenchon poursuit : « Oui, il y a des vagues migratoires. Oui, elles peuvent poser de nombreux problèmes aux sociétés d’accueil. Elles posent de nombreux problèmes quand certains s’en servent pour faire du profit sur le dos des malheureux. » Il poursuit, écumant : « Honte à vous, qui nous parlez d’appel d’air. Parce qu’on n’a pas rejeté les gens à la mer, parce qu’on ne les a pas laissés mourir sur place, ce serait un appel d’air ! Bravo, l’Aquarius ! Bravos, SOS Méditerranée ! À bas la cruauté indigne de ceux qui décident, contre le droit de la mer le plus permanent… » Etc.

    Enfin arrive un début d’engagement au nom de « la révolution de 89 qui avait dit “cette terre est la terre de la liberté” ». Alors, qu’on se le dise, « il n’y aura pas d’exception pour La France insoumise. Le devoir de soutien à la détresse, la protection de tous ceux qui sont dans la misère et le danger est un devoir pour nous quand les gens ont touché le sol sacré de la terre de la patrie. »

    Car tous les migrants, dit Mélenchon, sont nos victimes : « Qui les a fait partir ? L’Europe, les États-Unis, le capitalisme, et je vais vous en donner une preuve immédiate », ajoute-t-il : « On met plus d’argent pour s’occuper de l’opération Barkhane qu’on en met dans l’aide au développement des pays qui se trouvent dans cette zone. »

    Faux : chaque année, 40 % de l’aide publique au développement générée par la Commission européenne est destinée à l’Afrique. Dans un rapport de l’OCDE daté de 2015, on lit aussi que s’il y a trois fois plus de chômeurs chez les immigrés, c’est en raison de leur faible niveau d’études et de compétence : cela coûte 0,5 point de PIB à la France. Rien à voir, par exemple, avec un pays comme le Canada « qui pratique une immigration hautement sélective et attire des Asiatiques et des Européens ».

    Mais ce sont là des nuances qui n’intéressent pas Mélenchon.

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/melenchon-veut-accueillir-les-migrants-au-nom-de-la-revolution-de-89/

  • Macron aujourd'hui au Danemark en quête de la « souveraineté européenne »

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    L'usine Peugeot de Khodro, près de Téhéran, en 2016. (Photo BEHROUZ MEHRI/AFP) 

    Emmanuel Macron entame aujourd'hui au Danemark sa tournée nordique à la recherche de la souveraineté européenne. Il ne la trouvera pas tout simplement parce qu'elle n'existe pas. Voici ce que nous en disions le 14 août. Rien n'a changé ...  

    C'est un fait que, nonobstant les ventes perdues, parfois considérables, la quasi-totalité des entreprises européennes, notamment celles du secteur automobile, aéronautique, et de l'énergie, mais pas seulement, ont plié bagage en Iran.

    Elles ont obtempéré sans broncher. La double menace de rétorsions sur le marché américain et de pénalités financières étatsuniennes pour les transactions avec l'Iran simplement parce qu'elles se traitent en dollars, ont amplement suffi à contraindre les entreprises européennes à se retirer sans délai du marché iranien. Peugeot-Citroën renonce à 300 000 véhicules annuels, Airbus à des intentions de commandes de l’ordre de 100 avions, et ainsi de suite.

    Qu'importe que la plupart des États signataires du traité sur le nucléaire iranien conclu sous Obama le proclament toujours en vigueur : après que Trump l'eut déchiré (mai 2018) et qu'il eut rétabli les sanctions qui frappaient l'Iran, ce traité s'est vidé de tout contenu. Les velléités de résistance européenne, un temps affirmées, parfois en termes bravaches, ont fait long feu. On a pensé à résister, on a envisagé de s'organiser pour cela. Puis, on a abandonné, calé, renoncé. Paroles verbales, volonté faible, réactivité nulle ! Résister était trop difficile, eût demandé trop d'efforts... Notamment des accords monétaires et financiers avec la Russie et sans-doute aussi avec la Chine. Les Européens n’en ont pas eu la volonté ni le courage. 

    Il faut bien en tirer les conclusions. s'agissant de la prétendue « Europe puissance ».  

    Qu'on le regrette ou non, et sans-doute faut-il le regretter, les faits sont là. Ceux qui ont dit, cru, professé que l'addition de 27 ou 28 économies nationales formant un marché unique de cinq cents millions de citoyens-consommateurs, constituaient ipso facto une puissance, et - pourquoi pas ? - la première du monde, ont été des naïfs, des incompétents ou des marchands d'illusions.  

    Trump démontre qu'il n'y a de puissance économique et d'ailleurs aucune autre d'un type quelconque, notamment militaire, qu'adossée à une souveraineté. Trump incarne la nation américaine. Il décide souverainement en son nom. Mais il n'y a ni peuple, ni nation, ni État européens. En conséquence, il n'y a pas davantage d’ « Europe puissance ».

    Il nous faut bien nous répéter : il n'est, même en matière économique, de réelle puissance que politique.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/08/28/macron-aujourd-hui-au-danemark-en-quete-de-la-souverainete-e-6075444.html

  • Richard Ferrand vous demande de choisir : l’Europe de Macron et Merkel ou celle d’Orban et Salvini ?

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    Richard Ferrand, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, considère les prochaines élections européennes comme un choix entre deux visions opposées de l’Europe, celle de Macron, Merkel et Sanchez ou celle d’Orban et Salvini.

    « Donc au fond, les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orban, Salvini et compagnie. Au fond c’est Macron, Merkel, et Sanchez en Espagne si je résume, c’est-à-dire ceux qui se disent que nous avons un avenir européen, que ce soit la gestion de l’immigration, sur la politique de défense, sur les convergences fiscales et sociales, sur la capacité de recréer une Europe de puissance, sur tous les enjeux d’éducation avec Erasmus, la recherche etc, ou ceux qui disent non, il faut se recroqueviller sur soi parce que tout seul on va y arriver mieux », a-t-il déclaré dimanche.

    A résumer ainsi l’enjeu des élections européennes, Richard Ferrand risque bien de se prendre une sérieuse claque électorale.

    http://www.medias-presse.info/richard-ferrand-vous-demande-de-choisir-leurope-de-macron-et-merkel-ou-celle-dorban-et-salvini/97059/

  • Avortement : on ne peut pas forcer un médecin à supprimer la vie

    Les médecins pro-vie seront-ils obligés de disséquer des petits d'hommes dans le  sein de leur mère ?

    "Depuis janvier 2018, le Centre le centre hospitalier du Bailleul de la Flèche ne pratique plus d’interventions volontaires de grossesse.

    La sénatrice socialiste de la Sarthe, Nadine Grelet-Certenais, a jugé « intolérable que les femmes ne puissent pas exercer leur droit essentiel parce que des médecins, au mépris de l’accès aux soins, font valoir des réticences d’ordre personnel ou éthique ». Interpelée, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, « a promis un retour à la normale pour septembre ».

    Cependant, la réaction de la sénatrice a suscité une prise de position du Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) qui, dans sa réponse, souligne que « la réalisation de l’avortement n’est pas un acte de soins ordinaire » et qu’elle « nécessite des médecins à qui la loi reconnaît le droit d’avoir une liberté de conscience »Et le syndicat juge « intolérable » que cette liberté ne soit pas reconnue par la sénatrice : « Prétendre que les médecins ont le mépris de l’accès aux soins, alors qu’ils sont au contact direct avec la souffrance de leurs patientes, c’est ne pas connaître leur vie ».

    Les gynécologues s’inquiètent des récentes remises en question de la clause de conscience spécifique liée à l’avortement : tout d’abord au cours des discussions sur la loi Santé de 2016, « dont plusieurs articles concernaient l’IVG », ensuite début 2017, quand le Haut Conseil à l'égalité a aussi réclamé sa suppression. Or pour le Dr de Rochambeau, qui regrette la disparition du délai de réflexion obligatoire et la suppression de la notion de détresse,« retirer la clause de conscience dans le cadre de l’IVG, c’est contraindre les médecins à en faire ». Il ajoute qu’« on ne peut pas forcer [un médecin] à supprimer la vie »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html