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magouille et compagnie - Page 1392

  • Le gouvernement réprimerait-il plus facilement les gilets jaunes que les Black Blocs ?

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    Que ne dirait-on pas, si ça se passait au pays de Poutine ? Éric Drouet, une figure des gilets jaunes, vient encore d’être placé en garde à vue, hier soir, pour « organisation d’une manifestation sans déclaration préalable ». Il aurait eu l’intention, avec une cinquantaine de personnes, de se rendre place de la Concorde pour honorer les morts et les blessés du mouvement. Oh, le vilain garçon ! Cette interpellation vient s’ajouter aux 4.570 gardes à vue opérées. De quelle autorité fait preuve le gouvernement ! Après avoir fait le dos rond, le voilà, enfin, qui montre ses griffes !

    Selon RTL, qui cite les chiffres du ministère de la Justice, entre le 17 novembre et le 17 décembre, 219 personnes ont été incarcérées : un chiffre record dans le cadre d’un mouvement social. 697 comparutions immédiates ont eu lieu, des centaines d’audiences sont attendues dans les prochains mois. Plusieurs gilets jaunes ont déjà été condamnés à des mois de prison ferme, sans possibilité d’aménagement de peine. Vous êtes sûr que cela se passe bien, en France ? Oui ! La France de Macron.

    Les zadistes de Notre-Dame-des-Landes, les Black Blocs du 1er mai, les jeunes des zones de non-droit, et même les fichés S, c’est de la bibine à côté des gilets jaunes. Des anges, vous dis-je ! Eux n’ont pas l’intention de prendre d’assaut l’Élysée ni de promener au bout d’une pique la tête de nos élites ! Une question vient à l’esprit : et si le gouvernement montrait les muscles quand il n’y a pas trop de risque ? Au début, il n’en menait pas large, pas plus que le Président qui, après un silence qui en disait long, passa de la contrition à la menace.

    Les élus LREM reprennent du poil de la bête. Pendant quelques semaines, ils étaient restés mal à l’aise, ne sachant trop à quel saint se vouer. Les plus hardis avançaient qu’ils s’attendaient à ce mouvement de protestation, qu’ils auraient bien voulu prendre les devants. Maintenant, ils ont appris à distinguer les gilets jaunes inoffensifs et les extrémistes que leur maître a désignés et qu’il faut mettre hors d’état de nuire.

    C’est sans doute une caractéristique de la nature humaine de croire qu’on peut, par des postures autoritaristes, se forger une nouvelle légitimité. Mais ce n’est pas son meilleur côté. Réagissant à l’arrestation d’Éric Drouet, Gérald Darmanin a dénoncé « des dérives extrêmement fortes », des appels à « des insurrections armées », à « marcher sur l’Élysée ». On ne lui connaissait pas tant d’imagination, à ce technocrate, qu’on savait plutôt habile à inventer de nouvelles taxes. Il trouve « tout à fait normal que la police puisse arrêter les gens qui commettent des actes délictueux ». Eh bien, monsieur le Ministre, rassurez-vous : la plupart des Français, aussi !

    Ce qu’ils ne trouvent pas normal, c’est qu’il y ait apparemment deux poids deux mesures, et que la fermeté ne s’applique pas, en l’occurrence, aux plus dangereux. Il ne s’agit pas de critiquer les policiers, qui ne font qu’obéir aux ordres de leur hiérarchie. Ni même les juges, qui ne sont pourtant pas à l’abri de toute pression. Nous n’avons plus, en France, de « police politique » ni de « justice d’exception ». Les croisés de la Macronie proclament, la main sur le cœur, qu’ils respectent « l’État de droit ». Pourtant, allez savoir pourquoi, un doute s’insinue dans l’esprit des Français sur la bonne foi du gouvernement.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/le-gouvernement-reprimerait-il-plus-facilement-les-gilets-jaunes-que-les-black-blocs/

  • Zoom – François Gervais : démonter le mythe de l’urgence climatique

    François Gervais, professeur émérite à l’Université de Tours, jette un pavé dans la mare avec « L’urgence climatique est un leurre » aux éditions L’artilleur. Le physicien retourne un à un tous les poncifs du catastrophisme écologiste : l’anthropisme du réchauffement climatique, la nocivité du dioxyde de carbone ou encore la viabilité d’une énergie 100% renouvelable. Un ouvrage qui démontre également l’absence totale de consensus scientifique autour des questions climatiques.

    https://www.tvlibertes.com/francois-gervais-demonter-le-mythe-de-lurgence-climatique

  • Gilets jaunes : Maxime Nicolle prédit un « soulèvement avec des armes »

    Capture.pngSur Facebook, l'ancien porte-parole des Gilets jaunes a estimé que « beaucoup » sont « prêts à perdre la vie pour » que leur « futur soit meilleur », révèle « L'Obs ».
    Maxime Nicolle, membre de la délégation éphémère des huit représentants du mouvement des Gilets jaunes, s'est une nouvelle fois exprimé via un live sur sa page Facebook quant à l'avenir du mouvement qu'il envisage plus violent que ces dernières semaines. 
    Si la mobilisation s'est globalement réduite, celui qui se fait appeler « Fly Rider » sur les réseaux sociaux estime, comme l'a repéré L'Obs, qu'un « soulèvement national » se prépare. « Beaucoup de gens dans ce mouvement sont prêts à perdre la vie pour que notre futur soit meilleur. Des gens préparent un soulèvement national avec des armes », annonce-t-il.
     

    [...]

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  • Une année de tempêtes

    6a00d8341c715453ef022ad384fc8d200c-320wi.jpgOn voudrait toujours, et on doit en effet, souhaiter grâce, bonheur et santé à nos proches en cette fête d'éternel retour.

    Votre chroniqueur l'exprime ici, bien sincèrement. Joyeusement.

    Surtout, il faudra que chacun d'entre nous tienne bon. Car l'année 2019 s'annonce sous des auspices très difficiles. Le 31 décembre, sur les petits écrans, un médiocre comédien hors-sol, ânonnant sur son prompteur, est venu formuler les vœux poussifs de l'administration. Ainsi lus à l'antenne ils ne semblent avoir séduit que M. Juppé. Triste sire. Mauvais augure.

    Si l'on s'en tient aux dernières nouvelles de la France, son gouvernement subit une relance non plus de l'affaire, mais de la question Benalla. Aux caprices de cet énigmatique personnage, qui se rend en Afrique représenter des intérêts turcs, sous couvert d'un passeport diplomatique parisien, elle rejaillit sur tout le personnel de l'Élysée. Elle éclabousse en effet, au-delà de la réputation du maître de l'Hexagone, son cercle de pouvoir, autant que son parti, ridiculement appelé République en Marche. L'ensemble se trouve entraîné dans un même discrédit.

    L'amateurisme de tels réseaux inclinerait presque à faire regretter le temps des Enfants de la Veuve, sous la troisième république triomphante, ou celui des Barbouzes engagés dans la lutte anti-OAS par la cinquième naissante. Au moins ces clans et ces bandes, envahissant en leur temps la marche de l'État, indiscutablement oppresseurs, et auxquels on se gardera de tresser des couronnes, servaient une idée : l'anticléricalisme pour les uns, la fidélité au général De Gaulle pour les autres. Aujourd'hui, pas la moindre trace d'un tel esprit, même négatif.

    Nous cheminons ainsi, brinquebalants, bercés par les refrains d'une technocratie molle et invertébrée.

    Nous nous sentons tributaires de mesures dont personne, pas même les bureaux rédacteurs de Bercy, ne comprend le sens général. Et cela fait que le bon peuple ressent, quant à lui, en dépit d'indices trafiqués, combien l'on rogne son niveau de vie. D'année en année, d'augmentations des prix monopolistes en alourdissements de taxes et prélèvements divers, sans que les rémunérations soumises à concurrence ne correspondent, les classes moyennes et toute la nation se paupérisent.

    Passant des quarantièmes rugissants aux cinquantièmes hurlants, voguant vers de dangereux récifs, cette morose embarcation tangue.

    Or, de prévisibles tempêtes, s'annoncent en Europe et dans le Monde.

    Près de deux ans après le référendum britannique de juin 2016 supposé nous conduire au Brexit, moins de 100 jours nous séparent d'une échéance de sortie. Mais personne ne sait encore comment l'Europe en retrouvera son équilibre. Certes on peut lire dans certains journaux des relations de satisfactions, y compris pour les vautours de la spéculation immobilière : Paris récupérerait les miettes de Londres, les places financières se déplaceraient, etc.

    En 1971, lors du référendum d'adhésion voulu par Georges Pompidou, l'auteur de ces lignes se souvient d'avoir été impressionné par un avertissement péremptoire lancé Philippe de Saint-Robert sur le thème "quiconque porte en lui la Grande Europe de Shakespeare et de Dostoïevski ne peut que rejeter la Petite Europe des marchands de bretelles". Moyennant quoi, il s'agissait de voter Non.

    Plus question désormais ni de Shakespeare encore moins de Dostoïevski. Les peuples de Molière, Goethe, Érasme ou Dante Alighieri n'y ont rien gagné.

    Autre argument, qui s'est confirmé : si la langue anglaise entre dans les institutions européennes, la langue française en sortira, bien que le traité signé à Rome en 1956 l'eût établie lingua franca commune au vieux continent. Et c'est bien ce qui s'est produit de manière aussi irréversible qu'un phénomène historique peut s'inscrire dans la durée. On voit mal aujourd'hui notre Petit Macron redresser ce courant.

    Doit-on dès lors se féliciter d'entendre un Donald Trump ne plus vouloir jouer le rôle de gendarme du monde, tout en imposant lourdement, plus que jamais, les oukases de sa jurisprudence ? Si cela pouvait réveiller nos peuples, si le sentiment d'un retour à l'époque de Yalta pouvait les inciter à se rapprocher et tendre leurs efforts, on ne manquerait pas d'y souscrire.

    N'investissons pas trop d'illusions dans l'échéance de l'élection européenne du millésime 2019 : les États se préparent à en nier l'expression des volontés populaires, qui leur déplaisent d'avance. Sur ce terrain-là on peut faire confiance à leurs méthodes de censure et à leurs convergences.

    Face à une Chine de plus en plus ouvertement arrogante et impérialiste, face à un islamisme dont le danger ne se limite pas à ses crimes terroristes, face à des vagues migratoires incontrôlées, unis nous pouvons faire face. Divisés, nous nous condamnons nous-mêmes.

    Si l'on doit formuler des vœux, exprimons donc ici celui d'un redressement fédérateur de nos peuples.

    JG Malliarakis 

    https://www.insolent.fr/2019/01/une-annee-de-tempetes.html

  • Répression des Gilets Jaunes : pourquoi tant de haine?

  • Livret A : «3,6 milliards d’euros de perte de pouvoir d’achat avec le gel du taux d’intérêt»

    François Carlier, délégué général de la confédération du logement et du cadre de vie (CLCV) estime qu’avec une rémunération bloquée à 0,75% – sur décision du gouvernement –, les épargnants perdent de l’argent.

    Jours J pour les épargnants ! Plus de 55 millions Français perçoivent en ce moment les intérêts de leurs 360 milliards d’euros placés sur des livrets A et LDDS (livret de développement durable solidaire). Mais c’est la soupe à la grimace : les bénéfices tirés de ce placement – liquide et défiscalisé – sont ridiculement bas. A qui la faute ? Au contexte économique, avec des taux d’intérêt très faibles. Mais pas uniquement, dénonce François Carlier, le délégué général de la CLCV (Consommation logement cadre de vie). Pour ce représentant d’association de consommateurs, en décidant de ne plus coller le taux du livret A à l’inflation, le gouvernement, aurait fait perdre plus de 3 milliards d’euros de pouvoir d’achat aux Français. […]

    Pourquoi le taux est-il si bas ? 
    C’est le fruit d’une décision politique. En 2017, le gouvernement a décidé de geler le taux de 0,75 % jusqu’au début 2020. […]

    Pourquoi, selon vous, le gouvernement a pris cette décision ? 
    Officiellement, il s’agissait de favoriser le financement du logement social. Car une partie de l’argent du livret A est prêtée aux bailleurs sociaux. En réalité, nous l’avons vu dans différentes instances financières où nous siégeons, c’était clairement une demande des banques. […]

    Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1135423-livret-a-36-milliards-deuros-de-perte-de-pouvoir-dachat-avec-le-gel-du-taux-dinteret

  • Paris : le Gilet jaune Eric Drouet embarqué par les forces de l'ordre près de Concorde

    Paris : le Gilet jaune Eric Drouet embarqué par les forces de l'ordre près de Concorde© Twitter, @TBonnet_RT

    Selon notre reporter, la figure des Gilets jaunes Eric Drouet a été de nouveau interpellé par les forces de l'ordre à Paris, près de Concorde, alors qu'il participait à une mobilisation.

    Ce soir du 2 janvier, des Gilets jaunes se sont réunis aux abords de la place Concorde de la capitale française, répondant à un appel sur Facebook lancé par la page @Gilet.jaune.france.fr. 

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  • Pour sortir de la crise

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    À l’occasion de la traditionnelle présentation des vœux, il est judicieux de faire le point sur l’état de la nation pour dégager des perspectives de renouveau, estimant que la politique des gouvernements successifs, ces dernières années, a largement conduit à la situation d’aujourd’hui.

    La France connaît une crise très grave qui confine, désormais, à une crise de régime avec son cortège de violences et de haine.

    Cette crise est la conséquence de multiples facteurs :

    – Crise économique, avec la politique de purge budgétaire imposée par les critères de Bruxelles, qui réduit les dépenses et les services publics, bloque les salaires et prestations sociales afin de limiter le déficit. Cette politique a conduit la Grèce au bord de la guerre civile. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les Gaulois réfractaires se révoltent. Le gouvernement de Macron-Philippe n’est pas l’auteur premier de cette politique qui a commencé réellement avec Hollande, mais certaines de ses décisions – CSG pour les retraités, réduction des APL « en même temps » que la suppression partielle de l’ISF – ont été ressenties comme de fortes injustices sociales et constituent une bévue politique sans pareille !

    Il convient d’y ajouter la hausse des carburants habillée faussement en taxe écologique, sans oublier des paroles quasi méprisantes du Président, qui déclenchent le feu de brousse des gilets jaunes grâce à l’utilisation des réseaux sociaux.

    – Crise identitaire, qui est le résultat de divers facteurs : dérives communautaires, terrorisme islamique, insécurité croissante, flux migratoires ininterrompus ; de nombreux manifestants estiment que les migrants, ceux enregistrés comme demandeurs d’asile, sont privilégiés par rapport aux indigène.

    – Crise de confiance dans l’autorité du Président, dont les petites phrases à l’emporte-pièce suscitent de multiples réactions, hostilité, voire colère, sans oublier les péripéties des liaisons dangereuses.

    La combinaison de tous ces facteurs a désarçonné le pouvoir, d’autant plus qu’il n’a pas compris le sens des événements, étant sûr de lui-même, droit dans ses bottes, fort de son élection incroyable et totale. De plus, comme il avait réussi à faire passer sa réforme de la SNCF sans coup férir en mettant hors jeu les syndicats, le gouvernement était à cent lieues de penser que la brousse allait s’enflammer et, surtout, que les manifestations allaient prendre de l’ampleur et durer.

    Fallait-il lancer les cahiers de doléances pendant trois mois au risque d’entretenir des demandes de plus en plus inconciliables, voire démagogiques ?

    Ne fallait-il pas, plutôt, convoquer un Grenelle afin de remettre dans le circuit ces fameux corps intermédiaires tenus en marge et méprisés par le Président ? Les événements de 1968 se sont terminés par un Grenelle, ce qui a mis fin au désordre. Mais il est vrai qu’en 1968, la France avait la maîtrise de son budget et de sa monnaie, autant de facteurs qu’elle ne maîtrise plus aujourd’hui, du moins en très grande partie.

    Alors, voici ce qu’il faudrait faire : retrouver la maîtrise de notre destin et, donc, de nos décisions dans tous les domaines, maîtriser nos frontières et reformer le système de Schengen, appliquer fermement les lois de la République dans tous les quartiers et expulser tous les individus qui professent l’idéologie mortifère du salafisme, au besoin après déchéance de la nationalité. Arrêtons d’être naïfs, appliquons la tolérance zéro pour les crimes et délits en expulsant les 15.000 étrangers qui peuplent nos prisons, sans compter les binationaux. Il faut refonder l’Union européenne sur les États-nations avec application de la subsidiarité. L’Union européenne doit gérer quelques politiques, celles qui concernent le continent, la très grande majorité des compétences de la Commission doivent revenir aux États. Il faut protéger nos entreprises avec une politique industrielle et revenir aux financements des États par le système des avances des banques centrales au Trésor pour rompre le diktat des marchés et investir.

    Nous avons besoin de coopération européenne, mais gardons-nous de rêvasser des chimères, nos partenaires européens sont d’abord des concurrents commerciaux qui défendent bec et ongles leurs intérêts. Nous devons retrouver l’indépendance de notre politique étrangère et, notamment, rétablir, avec vigilance, des relations de confiance avec la Russie.

    Jacques Myard

    http://www.bvoltaire.fr/pour-sortir-de-la-crise/

  • Gilets jaunes : les gauchistes savent qu’il seront balayés sur la question migratoire

    Il est parfois très instructif de lire les textes de nos adversaires d’extrême gauche, surtout lorsqu’on peut y voir écrit noir sur blanc le constat par eux-mêmes de leur échec et de la fin de cycle de leur idéologie.

    Tel est le cas de cet article paru sur le site Antifa « La Horde Samizdat ».

    http://lahorde.samizdat.net/2018/12/19/un-point-de-vue-antifasciste-sur-les-gilets-jaunes/

    Les plus courageux d’entre vous pourront lire le texte en entier, il leur faudra passer à cheval sur les habituels lieux communs que déversent ces gens sur notre camp. Je recommande également de parcourir les commentaires des lecteurs qui ne sont pas dénués d’intérêt.

    Voici en résumé le questionnement que propose cet article :

    « Faut-il pour les activistes d’extrême gauche continuer à accompagner le mouvement des Gilets jaunes dont ils pressentent, à juste titre, qu’il est très massivement opposé à l’invasion migratoire et donc à leur universalisme mondialiste ? »

    Nous savons tous la capacité militante des organisations d’extrême gauche (largement supérieure à celle de notre camp) et leur réel savoir faire révolutionnaire pour capter les mouvements populaires et les diriger.

    Ainsi, à ce stade, elles ont réussi à côtoyer le mouvement des Gilets jaunes dans certaines grandes métropoles et, dans une moindre mesure, sur les réseaux sociaux.

    Les barricades, les incendies, les affrontements directs avec les forces de l’ordre, la technique révolutionnaire classique de rue ne sont pas dans la culture de la paisible classe moyenne de souche dont sont issus la plupart des Gilets jaunes. Elles sont la marque de fabrique des organisation révolutionnaires d’extrême gauche et toutes les images de chaos que l’on a pu voir en ville sont le résultat de leur travail. En ville ce sont elles qui sont à la manœuvre pour la commission des actes violents, comme d’ailleurs lors des AG où une ultra-minorité tente de contrôler le mouvement. C’est également assez largement le cas sur les réseaux sociaux où tout questionnement sur l’immigration est immédiatement censuré par des activistes très actifs.

    En revanche, au-delà des barrières, dans la France périphérique où se trouve le gros du mouvement, celui-ci leur échappe totalement, malgré des tentatives très visibles mais infructueuses de prise en main. Comme on dit entre nous, le « crétin crasseux » est immédiatement repéré, identifié et chassé. D’ailleurs, pour le moment, le mouvement est resté à l’état gazeux et aucun leadership de l’extrême gauche n’a pu prendre corps ; que ce soit en ville ou au-delà des barrières. Au mieux pour elle, l’extrême gauche côtoie le mouvement des Gilets jaunes sans jamais pouvoir ni le pénétrer ni réellement en prendre le contrôle ; comme si une incompatibilité anthropologique l’en empêchait.

    Par conséquent, l’article de la Horde est en quelque sorte un point intermédiaire et un retour d’expérience de leur échec à ce jour.

    De ce point intermédiaire et de ce qu’ils ont perçu sur le terrain, il ressort qu’ils en sont à se demander s’il doivent continuer à accompagner le mouvement des « Gilets jaunes » dans le but de parvenir à leur objectif central qui est le renversement du régime.
    Dans leur optique de convergence des luttes, ils en sont à se demander si toutes les luttes des Gilets jaunes sont réellement compatibles avec les leurs.

    Ne seraient-ils pas en train de venir au renfort d’un mouvement qui pourrait s’avérer porter des thèmes contraires à leur corpus idéologique ? Convergence des luttes, mais de quelles luttes et avec qui ?
    Et donc, ils se posent la question du « stop ou encore » à un moment où ils sentent que la suite du mouvement pourrait bien leur échapper et qu’ils pourraient avoir contribué à un renversement de régime qui porterait au pouvoir un mouvement populaire hostile à l’immigration et, pire selon eux, favorable à la remigration.

    Les activistes d’extrême gauche peuvent-ils être les compagnons de route de Gilets jaunes dont ils pressentent qu’ils sont massivement opposés à la migration et très bientôt largement favorables à la remigration ? Telle est la question qu’ils se posent.
    La question n’est pas sans rappeler celle que s’était posée le Parti communiste français en 1968. Fallait-il faire la jonction entre les ouvriers et les étudiants ? Fallait-il accompagner cette révolution libertaire qui menaçait l’ordre dans lequel évoluait le PC ? On sait la suite, les ordres de Moscou tombèrent et la jonction ne se fit point.

    Que les activistes d’extrême gauche se posent aujourd’hui la question du maintien de leur contribution au mouvement des Gilets jaunes consacre la très grande décantation qui s’est opérée dans l’opinion publique majoritaire sur la question migratoire et, de manière incontestable, son basculement massif.

    Ce seul questionnement revêt une signification politique bien particulière : celle du constat par l’extrême gauche révolutionnaire et mondialiste de l’émergence au plus profond de la nation française d’un rejet massif et radical de l’immigration et bientôt de l’adhésion à la remigration.

    J’y vois là un très grand message d’espoir pour nous tous.

    En synthèse, le mouvement des Gilets jaunes est bien un mouvement révolutionnaire qui vise au renversement du régime. En cela, il aurait pu être compatible avec les objectifs des organisations d’extrême gauche. En revanche, il est porteur d’un rejet massif de l’immigration, totalement incompatible avec son corpus idéologique. En cela, il incarne nos espoirs.

    Pour le moment, ce rejet n’est pas formulé de manière parfaitement explicite par les Gilets jaunes. Il reste encore sous-jacent sous l’énorme couche de la censure d’État et du politiquement correct. Toutefois, la pression est devenue énorme derrière l’embâcle. Toutes les digues sont sur le point de sauter et quand la dévalaison va se produire, plus rien ne pourra l’arrêter.

    Le doute de l’extrême gauche consacre ce phénomène qu’elle a pressenti. La décantation de l’opinion s’est faite. Le partage des forces va se faire sur la seule question migratoire, tout le reste sera de second ordre.

    Le peuple de France s’apprête à renverser ce régime pour régler la question migratoire qui le ruine et enclencher le processus de remigration. C’est exactement ce qu’ont pressenti les organisations d’extrême gauche.

    La fin du cycle mondialiste et du triomphe du libéralisme libertaire est enclenchée.

    Vous verrez que quand la dévalaison va se produire, nous aurons l’air d’avoir été des modérés.

    Martin Moisan

    https://ripostelaique.com/gilets-jaunes-les-gauchistes-savent-quil-seront-balayes-sur-la-question-migratoire.html

  • DE LA FISCALITE ABUSIVE NAISSENT DES MOUTONS ENRAGES.

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    Pieter Kerstens

    Quelques centimes de taxes supplémentaires en octobre ont fait déborder le réservoir des automobilistes et enclencher la rébellion des gilets jaunes. Ce mouvement disparate, essaimé sur l’ensemble de la France, reflète très exactement la majorité de la population dans les tranches d’âge, les niveaux culturels, sociaux, économiques ou financiers, à l’exception notable des citadins diplômés, écolos-bobos friqués et votant à gôche.

    Cette diversité fait sa force, additionnée à une capacité de réaction rapide via les réseaux sociaux et excluant toute forme de hiérarchie.

    La vingtaine de « figures » qui ont été interrogées abondamment par les médias traditionnels ces dernières semaines ont déclaré en permanence être « apolitiques » et rejeter les élus et les structures issues de la République.

    Par contre, leurs discours et revendications sentaient bon un parfum de gauchisme.

    Cette France « d’en bas », cette majorité silencieuse depuis des décennies, symbolise le béret, la baguette, le saucisson, le vin rouge les clopes et le gas-oil.

    Curieusement sur les ronds-points, les péages d’autoroute et autour des centres commerciaux bloqués, on ne voyait aucune « chance pour la France », aucun « d’jeune » ni de black. A croire que ceux-là étaient satisfaits et non concernés par les maux qui touchent les Gaulois au quotidien.

    NON A LA TRANSITION ENERGETIQUE.

    Quand un état taxe à 66% le prix des carburants au prétexte de l’écologie et du « sauvetage de la Planète », c’est prendre les automobilistes pour des arriérés mentaux.

    Il faut combattre les talibans verts et les gouvernements européens qui culpabilisent leurs populations comme d’affreux pollueurs, alors même que l’Europe a réduit ses émissions de CO 2 et de gaz à effet de serre de 30% entre 1990 et 2010.

    La France ne représente aujourd’hui que 2% du total mondial de la pollution au CO 2 !!!

    Il faut le dire et le répéter partout et toujours : les paquebots de croisières, les cargos porte-conteneurs et les éruptions volcaniques sont la cause de la majeure partie de la pollution par le CO2, l’émission de gaz sulfureux et la diffusion de particules fines. Ce que rejette votre diesel est infime et non-recevable.

    Un gros paquebot de croisière comme « L’empire des mers », brûle 150 tonnes de fuel lourd et pollue autant qu’1 million de voitures, chaque jour. Les énormes porte-conteneurs qui amènent le made in China en Europe et sont la cause de la fermeture de nos usines polluent encore bien plus, de même que les milliers d’avions qui sillonnent le ciel de l’Hexagone tous les jours. Bizarrement le kérozène, lui, est détaxé.

    Personne ne dénonce également les millions de tonnes de gaz sulfureux, de CO 2 et de particules fines qui sont crachés tous les ans dans l’atmosphère par la trentaine de volcans en éruption (sans compter la quinzaine supplémentaire en activité), comme le Stromboli et l’Etna en Italie, le Popocatépetl au Mexique, le Erta Ale en Ethiopie, Le Nyiragongo en RDC, le Krakatoa en Indonésie, le Reventador en Equateur ou le Kilauea à Hawaï, par exemple.

    De cela, les Duflot, de Rugy, Mamère, Cohn-Bendit et autres Hulot ne parlent pas. Silence et bouche cousue. Pour les ayatollahs de l’écologie et les ONG de la transition énergétiques, SEUL L’HOMME BLANC serait responsable de la destruction de la Planète. Pas un mot sur les Asiatiques, les pétromonarques ou les Africains.

    Quelle arrogance et quel orgueil de croire que ces donneurs de leçons pourraient influencer la Nature !

    J’ADORE LA CORRIDA, J’AIME LE FOIE GRAS, JE SOUTIENS LA CHASSE A COURRE ET JE ROULE AU DIESEL.

    N’en déplaise aux Eurocrates de Bruxelles, aux laquais du Nouvel Ordre Mondial, aux charlatans du métissage généralisé et aux gourous de la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, je constate qu’un nombre de peuples européens de plus en plus nombreux aujourd’hui ouvrent les yeux et osent agir contre les fadaises, les utopies et la propagande dont le Système nous abreuve depuis bientôt 75 ans. Les macronariens ont voulu les salir et les calomnier en les accusant de destructions et de pillages, alors même que les responsables en étaient l’ultra-gauche et la racaille des banlieues, individus bien connus des services de police.  C’est cela la réalité.

    Les gilets jaunes sont l’expression d’une exaspération accumulée depuis quatre décennies. Les gouvernements devraient prendre garde que cette exaspération ne conduise à un désespoir qui ouvrirait les portes à des insurrections ou des révoltes plus dangereuses.

    Sans aucun doute, les élections du 26 mai 2019 vont être le dernier avertissement adressé à des élites politiques peu soucieuses de la souveraineté, de l’identité et des intérêts des peuples qu’ils ont l’obligation de défendre.

    Que l’An Nouveau puisse nous apporter la Force et la Joie indispensables au combat que nous menons.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/01/de-la-fiscalite-abusive-naissent-des-moutons-enrages-6117418.html