magouille et compagnie - Page 1427
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La guerre contre les femmes a commencé.
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Facebook pourrait avoir accès aux données bancaires de ses utilisateurs
Lu sur Economie Matin :
"Pour ce faire, le réseau social a approché de grandes banques américaines, notamment avec Chase, la banque de détail de JPMorgan, Citi (Citigroup) et Wells Fargo, pour leur demander de partager des données de leurs clients abonnés au réseau social, afin de proposer de nouveaux services sur son service de messagerie Messenger. Cette réunion au sommet avait pour but de permettre au groupe de Mark Zuckerberg d'obtenir des informations sur toutes les transactions financières effectuées par carte bancaire et connaître les soldes des comptes courants de clients. En échange de ces informations, Facebook a offert aux établissements bancaires de placer certaines de leurs offres sur Messenger, qui revendique 1,3 milliard d'utilisateurs actifs."
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Fabien Bouglé : « Plus le gouvernement développe ses projets d’éoliennes, plus il cristallise la résistance ! »
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
Fabien Bouglé* analyse les raisons de la montée en puissance de la fronde anti-éoliennes, qui rassemble des personnes de toutes tendances, y compris des zadistes. Il revient aussi sur les différentes pollutions produites par les éoliennes et la véritable catastrophe que représenterait l’éolien côtier.
La fronde anti-éolienne prend de l’ampleur et revient dans la presse. Qui sont les anti-éoliennes ?
Le combat éolien regroupe une sociologie très diverse, de l’extrême gauche à l’extrême droite et de la droite à la gauche. On retrouve à gauche des anarchistes et des mélenchonistes, et à droite, des châtelains et des personnes qui souhaitent préserver les paysages et le patrimoine architectural.
Plus le gouvernement développe ses objectifs en matière d’éolien, plus il cristallise la résistance à l’éolien, qui devient une véritable guerre.
Les éoliennes profitaient jusqu’ici d’une image écologique. Y a-t-il une prise de conscience sur la réalité de l’empreinte écologique des éoliennes ?
En réalité, derrière les éoliennes, il y a une véritable pollution.
La fabrication des éoliennes nécessite des terres rares qui sont ponctionnées en Chine.
Le recyclage des fibres de carbone des éoliennes est impossible. Les déchets des éoliennes allemandes sont balancés dans des décharges en Afrique.
Concernant le fonctionnement lui-même des éoliennes, cela génère de la pollution. On croit souvent que les éoliennes fonctionnent tout simplement avec le vent. C’est totalement faux. L’éolienne fonctionne en moyenne 20 à 25 % du temps. On est donc obligé de compenser l’intermittence du vent pendant les 75 % restant par de l’énergie thermique, gaz, pétrole ou charbon. C’est pour cette raison que plus l’Allemagne a fabriqué d’éoliennes, plus elle a produit de gaz à effet de serre. En France, c’est exactement la même chose. Depuis la mise en place de la politique de l’éolien, la France continue d’augmenter sa production de gaz à effet de serre.
L’image de l’éolien écologique est totalement écornée. La notion de ‘’pollution éolienne’’ était jusqu’à présent maîtrisée par quelques initiés de polytechniciens et d’ingénieurs qui en connaissaient le fonctionnement. Cette notion de pollution éolienne est désormais démocratisée, dans les villes comme dans les campagnes, tout milieu socioculturel confondu, grâce notamment au développement de la littérature sur le sujet. C’est la raison pour laquelle on constate désormais une augmentation de la contestation et une forte résistance face à l’éolien en France.
Cela fait 10 ans que les éoliennes sont installées en France. La pollution sonore et visuelle est assez évidente. Cette autre pollution peut-elle également expliquer le regain de contestation actuel ?
Lorsqu’on est un bobo parisien, qu’on se balade en France et qu’on voit une éolienne à 20 km, on peut trouver cela joli une fois de temps en temps.
Je vous rappelle que la distance limite légale entre une éolienne et une habitation en France est de 500 mètres seulement, alors que d’autres pays ont prévu des limites bien plus importantes.
Lorsqu’on habite dans un village et qu’on a une éolienne à 500 mètres de son habitation, on subit de plein fouet la gêne qu’induit ces monstres d’acier de 200 mètres de haut, pâles comprises, qui émettent des infrasons. Les nuisances pour la santé ont d’ailleurs été démontrées au travers du syndrome de l’éolien particulièrement documenté en Allemagne. Les gens des champs, ceux qui subissent de plein fouet l’installation des éoliennes commencent à être saturés.
L’effet de saturation des éoliennes a d’ailleurs été souligné par dix députés, toutes tendances confondues, La République en Marche, l’UDI et Les Républicains. Ils ont contesté cette politique à outrance d’installation des éoliennes.
C’est la raison pour laquelle, on constate une résistance accrue de cette lutte contre la pollution éolienne. Cette pollution visuelle extrêmement importante vient en effet s’ajouter à la pollution technique due à l’intermittence du vent. Et elle aurait une part encore plus importante si les éoliennes côtières venaient à être effectivement installées au bord de notre magnifique littoral français. En effet, monsieur Macron veut faire construire six centrales éoliennes côtières de plus de 200 mètres de haut à quelques kilomètres des côtes. J’espère que le projet ne se fera pas, mais si c’était le cas, cela dégraderait de façon épouvantable le littoral français et aura sans aucun doute un impact extrêmement négatif sur le tourisme. C’est un très grand danger.
* Conseiller municipal de Versailles - Groupe d’opposition Versailles Familles Avenir, Porte-parole du réseau Ulysse, réseau national anti-éolien.
Pour information :
NDLR : sur le scandale éolien, lire (et faire lire) le livre choc d'Alban d'Arguin
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La restauration veut embaucher des migrants ? Le macroniste Aurélien Taché trouve ça formidable !
La restauration manque de bras. Il y aurait de 100.000 à 130.000 places non pourvues à tous les niveaux, de la plonge au service en salle. Les raisons de ce désintérêt sont simples : des salaires peu stimulants qui stagnent au niveau du SMIC et des horaires difficiles, qui sont souvent incompatibles avec une vie de famille normale. Pour remédier à cette pénurie de main-d’œuvre, les syndicats de la restauration et un député LREM, Aurélien Taché, proposent de faire appel aux migrants. Ceux qui sont réfugiés politiques peuvent travailler immédiatement sans aucune formalité. Ceux qui sont demandeurs d’asile et qui n’ont pas encore reçu de réponse à leur demande de régularisation ont le droit, en principe, de travailler après neuf mois de présence sur le sol français, mais uniquement dans un secteur manquant de main-d’œuvre, ce qui est le cas de la restauration. Enfin, la catégorie la plus nombreuse, les déboutés du droit d’asile qui devraient avoir quitté la France, n’ont en principe pas le droit d’être embauchés. Cependant, certains le sont quand même et obtiennent des papiers dans la foulée.
Le deal paraît donc simple et la solution miraculeuse, mais tout cela n’est, en fait, que de la propagande pro-migrant de la part de M. Taché. Ce député se rend bien compte que l’hostilité, en France, envers les réfugiés n’est pas motivée par le racisme mais par le fait que nous introduisons, chaque année, 200.000 personnes qui vivent de charité publique. Les vraies victimes de l’immigration sauvage sont les pauvres de notre pays à qui on demande de se priver pour subvenir aux besoins d’autres personnes qui ne sont pas nées en France. M. Murray, dans son livre sur le suicide de l’Europe, estime à 184 milliards d’euros en dix ans le prix de l’immigration en Grande-Bretagne. Le montant doit être comparable de ce côté de la Manche. Au minimum, il est de 16 milliards chaque année. Si nous n’avions admis sur notre sol que les seuls réfugiés politiques et renvoyé chez eux les réfugiés économiques, nous aurions pu, en 2018, augmenter le RSA de 130 € par mois, en sachant que son montant ne dépasse pas 660 € pour un couple ! Aussi les bien-pensants essayent-ils de faire croire que les immigrés sont indispensables à l’économie française, ce qui est une fumisterie.
En Allemagne, aux Pays Bas, où les statistiques ethniques existent et où on ne censure aucune étude sous prétexte qu’elle va à l’encontre de la doxa « progressiste », des enquêtes estiment que 90 % des immigrés sont encore au chômage au bout d’un an de présence, et que ce pourcentage décroît en moyenne de 15 % par an jusqu’à atteindre un minimum incompressible de 33 %. Un immigré sur trois sera éternellement au chômage et vivra de l’aide sociale ! Cela tient au manque de maîtrise de la langue du pays d’accueil, à l’absence de formation initiale et de diplômes. Le mythe de médecins et d’ingénieurs se ruant vers l’Occident s’est effondré depuis longtemps. Pour revenir à la restauration, ces postes n’intéressant pas les Français n’auront pas plus de succès chez les immigrés. Croire le contraire reviendrait à mépriser les réfugiés et les prendre pour une main-d’œuvre taillable et corvéable à merci, à les prendre en quelque sorte pour des « sous-Français », ce qui est inadmissible. Mais quoi qu’il en soit, le salut économique ne viendra pas des immigrés.
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LA RÉPUBLIQUE BARBOUZARDE
Pierre Vial Président de Terre et peuple
Seuls les naïfs ou les faux-culs peuvent s’étonner de l’affaire Benalla. En effet les privilèges exorbitants dont bénéficiait ce Franco-Marocain (dont le nom signifie en arabe « fils d’Allah »…) s’expliquent fort bien par son statut de barbouze de haut niveau voué à mettre ses talents au service rapproché, très rapproché, d’un Macron qu’il côtoyait en permanence et de très près y compris dans le cadre de sa vie privée. Macron, qui avait assuré installer une République toute nouvelle, pure et dure, a en fait repris à son compte les bonnes vieilles habitudes barbouzardes de ses prédécesseurs.
La bonne question est : comment et pourquoi l’ascension si rapide de la barbouze Benalla ? Nous n’aurons bien sûr jamais la réponse.
Source cliquez ici
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/08/08/la-republique-barbouzarde-6071162.html
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LA VÉRITÉ SUR LA LIBERTÉ D'EXPRESSION EN FRANCE
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Et maintenant, l’affaire Kohler ?
Alexis Kohler, le collaborateur le plus proche d’Emmanuel Macron, secrétaire général de l’Elysée, aurait sans doute préféré continuer à travailler dans l’ombre. Mais voilà, l’embauche inconsidérée de M. Benalla par son ami de Président et la pitoyable affaire qui porte son nom, l’ont propulsé il y a dix jours en pleine lumière : auditionné par la Commission d’enquête du Sénat, son intelligence sur la défensive a dû affronter celle d’un autre secrétaire général de l’Elysée, Philippe Bas, qui l’avait précédé à ce poste sous Jacques Chirac.
Mais Alexis Kohler a aussi, depuis la plainte déposée en mai dernier par l’association Anticor pour « prise illégale d’intérêts » et « trafic d’influence », en raison de ses liens avec l’armateur italo-suisse MSC, un autre caillou dans sa chaussure. Une information judiciaire avait alors été ouverte par le parquet national financier. Mais, depuis ce lundi et les révélations de Mediapart, le caillou s’est remis à bouger.
Mediapart révèle en effet que, contrairement à la défense de l’Elysée prétendant que M. Kohler s’était toujours « déporté » quand des décisions concernaient cette entreprise liée à sa famille, il a approuvé en 2010 et 2011 des contrats entre le port du Havre (GPHM), dont il était alors membre du conseil de surveillance, et l’armateur MSC, fondé et dirigé par des cousins de sa mère.
Mediapart est formel :
« Les procès-verbaux du conseil de GPMH ne laissent aucun doute : Alexis Kohler ne s’est jamais déporté quand MSC était concerné. Il a participé à toutes les délibérations, y compris celles concernant l’armateur italo-suisse. Une fois au moins, il a même voté une disposition, mettant en jeu de l’argent public, favorable à MSC ».
Le Monde précise que « lors de deux réunions, en septembre 2010 et 2011, M. Kohler a pris la parole et voté en faveur de contrats à venir entre GPMH et Terminal Normandie MSC (TNMSC) »
M. Kohler siégeait à ce conseil en tant que représentant de l’Agence des participations de l’Etat (APE) aux côtés du maire de la ville, l’actuel premier ministre, Edouard Philippe. Tiens, une vieille connaissance…
Mediapart révèle aussi que certains membres du conseil de surveillance du port du Havre ont avoué « qu’ils ignoraient tout de la situation familiale d’Alexis Kohler et qu’ils sont tombés des nues quand ils ont découvert très récemment ses liens avec MSC ».
Comme l’on dit en pareilles circonstances, si toutes ces informations sont avérées, cela devient vraiment gênant.
Il paraît que le drone qui survolait Brégançon est tombé à l’eau. Il semblerait que ce ne soit pas le cas des affaires embarrassantes qui s’accumulent pour l’Elysée. Celle-ci risque de faire des vagues jusque dans la piscine présidentielle. Quand cela implique le port du Havre et l’un des premiers armateurs mondiaux et que cela concerne le secrétaire général de l’Elysée lui-même, et non un subalterne à qui on a juste eu le tort de laisser faire n’importe quoi, les dimensions ne sont plus celles du verre d’eau.
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Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien
Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.
Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.
Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente. Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :
« La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »
« De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »
Toujours sur le même site, on peut lire :
« Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »
Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :
« Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »
Mais que fait alors la mairie ?
Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée ». Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).
Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !
http://www.bvoltaire.fr/eric-piolle-le-maire-rouge-vert-de-grenoble-na-pas-eu-un-mot-pour-adrien/
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Migrants, l’Allemagne insiste pour tous les renvoyer… en Italie ou en Grèce !
Le ministre allemand de l’Intérieur Seehofer se bat pour rejoindre un accord sur les renvois vers l’Italie et la Grèce mais les discussions sont au ralenti.
Horst Sehofer et Matteo Salvini, le ministre italien de l’Intérieur, ne sont pas très éloignés l’un de l’autre politiquement : les deux contraires à l’immigration, les deux décidés à prendre des mesures.
Dommage cependant qu’ils gouvernent deux pays différents et que sur le thème des migrants leurs intérêts respectifs s’affrontent. Car si ni l’Italie ni l’Allemagne ne veulent accueillir plus de clandestins, l’affrontement est inévitable puisque ceux-ci arrivent quand même en Europe : qui va les récupérer ?
Au dernier Conseil de l’UE sur les migrations, l’Italie et de l’Allemagne se sont opposées sur la questions des renvois des migrants qui ont franchi la frontière allemande après avoir été enregistrés en Italie ou en Grèce. Selon le règlement du Traité de Dublin, Rome et Athènes devraient les reprendre en charge et c’est ce que désire Seehofer. C’est ce que conteste l’Italie qui demande plus d’aide et de solidarité de la part des autres pays européens, les clandestins étant des étrangers autant sur son sol que sur celui des autres pays européens. Le ministre allemand a annoncé que si un accord n’est pas trouvé avant fin août sur la question des renvois, il mettra en place son propre plan d’expulsion.
Le fait est que son homologue italien, Salvini, ne veut en aucune manière reprendre les clandestins qui ont quitté l’Italie. Cette dernière en a déjà pris suffisamment estime-t-il. Ce qu’il demande est donc qu’ils soient redistribués et non d’être contraint de leur ouvrir les portes une deuxième fois. Intelligemment, il a également montré la solution au problème :
« Si les Allemands et les Autrichiens au lieu de ne penser qu’à nous renvoyer les migrants nous aidaient à fermer frontières extérieures nous ferions vraiment un pas en avant », a-t-il déclaré.
Cependant aujourd’hui le ministre allemand Seehofer est revenu à la charge en annonçant que son pays n’accueillera pas d’autres clandestins :
« Nous ne pouvons l’accepter. Les Allemands ne comprendraient pas si nous nous mettions à accueillir plus de réfugiés que nous en renvoyons. »
L’ennui est que les Italiens ne comprennent pas pourquoi ce sont eux qui devraient recueillir tous ces « migrants » uniquement parce que ceux-ci ont décidé de débarquer sur leurs côtes qui sont les plus proches de l’Afrique.
Le meilleur moyen de respecter les aspirations de ces deux peuples européens, aspirations partagée d’ailleurs par d’autres en Europe, reste donc la solution de Salvini : fermer les frontières extérieures du Vieux Continent ! Mais cette décision qui serait réellement efficace pour combatte l’invasion migratoire actuelle est si contraire aux intérêts des mondialistes et des financiers qui dirigent l’UE que le ministre allemand, tout opposé à l’immigration qu’il soit, n’ose pas encore l’adopter…
Francesca de Villasmundo
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La presse quotidienne régionale en guerre contre les locaux identitaires
Par l’Observatoire du journalisme
Depuis plusieurs années, la mouvance identitaire s’illustre par l’ouverture de locaux associatifs un peu partout en France : à Paris, Lyon, Marseille mais aussi à Angers et à Lille. À l’hostilité militante d’une extrême gauche de rue s’ajoute celle de la presse régionale. Deux exemples avec Ouest-France et La Voix du Nord.
Un Alvarium angevin mal vu
Un alvarium en latin c’est une ruche, le terme alvéole en est dérivé. À Angers, l’ouverture du local identitaire l’Alvarium ne passe pas chez Ouest-France, qui ne doit pas aimer les abeilles et redouble d’articles, tous à charge, rejoignant ainsi la peu glorieuse croisade de La Voix du Nord contre la Citadelle à Lille et aussi contre la liberté d’opinion et de réunion.
Tout est prétexte pour parler de – et dénigrer– l’Alvarium. Étudiants bloqueurs insultés à la fac début avril ? C’est l’Alvarium qui est mis en cause – et non les étudiants qui souhaitaient dans leur grande majorité réussir leur année. Ouest-France donne aussi la parole ouvertement aux antifas (le 22 février, le 24 avril), tout en passant sous silence leurs pratiques peu démocratiques dont nous vous avons parlé ici. Des antifas parrainés par le directeur artistique du Monde.
En février 2018 encore, Ouest-France s’improvise juriste – et accusateur public – pour exposer les raisons légales de faire fermer le bar. En avril il fait mousser le maire d’Angers qui a commencé à céder au chantage médiatique. Et les nombreuses dégradations sont encore l’occasion de tirer sur l’Alvarium, en avril, encore en avril, en mai… Pendant ce temps l’Alvarium est toujours ouvert, ses tenanciers nourrissent les SDF et essaient de laisser passer l’orage.
Une Citadelle assiégée
Ouest-France n’est du reste pas seul dans sa croisade contre la liberté d’opinion et de réunion. Dans le Nord, La Voix du Nord n’en a pas seulement contre le FN ce qui n’a guère amélioré ses ventes d’ailleurs.
Le quotidien a aussi déclaré la guerre contre le bar identitaire La Citadelle. Avec moins d’articles qu’Ouest-France, mais un ton et une stratégie similaire : taper d’entrée (le 9 septembre 2016), recommencer en donnant la parole aux jeunes socialistes « consternés », couvrir la manifestation opposée à l’ouverture en tendant le micro à tous les antifas qui se présentent, puis mettre en cause les pouvoirs publics, incapables de bien censurer les identitaires.
Que cela soit à Angers ou à Lille, les tenanciers des deux locaux associatifs identitaires n’ont guère pu s’exprimer, expliquer leur démarche, leurs idées. Leurs opposants en revanche ne s’en sont pas privés et ont été nettement mieux traités par Ouest-France et la Voix du Nord. Une curieuse conception du « journalisme », qui ne rime guère avec la liberté et la démocratie.
OJIM 07/08/2018
Source : Observatoire du journalisme
Crédit photo : Ouest-France
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