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magouille et compagnie - Page 1427

  • Les Républicains de Paris dénoncent la novlangue d’Hidalgo

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Les bonnes idées sont faites pour circuler. Ainsi en va-t-il de la dénonciation de la novlangue dont usent Anne Hidalgo, le Maire de Paris, et son équipe. Une dénonciation réalisée par le groupe Les Républicains (LR) du Conseil de Paris qui publie pour ce faire un petit « Dictionnaire Hors Sol » à l’intention des parisiens pour décrypter le langage de l’édile bobo. Un complément au Dictionnaire de Novlangue en quelque sorte, et il est le bienvenu.

    Un sabir ridicule et abscons

    « Démarches participatives inclusives », « implantation harmonieuse », « intensité de sollicitation piétonne », « lieux pacifiés et multi-usages »,« pédagogie individualisée en petits groupes », « salle de consommation à moindre risque », « temps de réflexion et de prospective sur l’ouverture des politiques publiques aux Parisiens »
    Le groupe Les Républicains de la capitale a ainsi répertorié une soixantaine d’expressions novlangue de la Mairie de Paris. C’est drôle à force de ridicule et cependant significatif.

    Car, comme le souligne Florence Berthout, leur présidente, Anne Hidalgo use de « périphrases complexes pour nommer la réalité avec l’objectif qu’on oublie la réalité » comme sur la saleté par exemple. Pardon, la « dynamique naturelle à la salissure »… Donc, si d’aventure la Mairie vous recommande de « développer davantage d’agilité », comprenez que vous devez nettoyer. Et si l’on vous invite à « adopter une attitude positive et solidaire dans la pratique des loisirs nocturnes », comprenez que vous devez éviter de faire trop de bruit la nuit ou qu’il y a trop de fêtards à Paris !

    Travestir la réalité

    « A coup d’euphémismes et de périphrases, Anne Hidalgo et ses équipes se sont faites une spécialité de travestir la réalité dès qu’elle leur déplaît [1] ».
    On appellera donc « modernisation tarifaire » l’augmentation des taxes et redevances à Paris. On peut de moins en moins circuler en automobile et se garer à Paris ? Ayez donc recours aux « déplacements apaisés » : circulez à pied ou à vélo comme dans la Chine de Mao.

    En novlangue cela passe quand même mieux, non ?

    Orwell à la Mairie de Paris

    Nommer la réalité avec l’objectif qu’on l’oublie… Le groupe Les Républicains du Conseil de Paris nous donne une belle définition de la novlangue. Puisque la novlangue de la Mairie de Paris confirme à l’évidence la pertinence des sinistres prévisions de George Orwell.

    On pensera aussi à la phrase du journaliste Michel Legris dans son étude critique sur le journal Le Monde [2] dénonçant « une tromperie sur le langage et par le langage ». Un décryptage qui lui coûta sa carrière.

    Même s’il est tentant, aujourd’hui, de tirer sur les ambulances – puisque son image de marque se trouve manifestement dépréciée à Paris –  il faut néanmoins reconnaître qu’Anne Hidalgo n’est pas le seul élu à parler novlangue pour tenter de masquer une réalité qui dérange ou qui déplaît aux puissants.

    Tous les politiciens du Système font pareil : très incisifs lorsqu’ils sont dans l’opposition, ils deviennent brusquement adeptes de la novlangue, de la langue de coton et de la langue de bois lorsqu’ils sont élus.
    Car la novlangue est bien, avec l’anglais globish, la langue des oligarchies qui ont pris le pouvoir en Europe. A Paris comme ailleurs.

    Michel Geoffroy 30/05/2018

    [1] Florence Bethoutin 20 Minutes du 18 mai 2018

    [2] Le Monde Tel qu’Il Est ; Plon ; 1976

    Crédit photo : Remi Jouan [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/les-republicains-paris-denoncent-novlangue-hidalgo/

  • Élément n°172 : la trahison du général de Villiers

  • L'ancien directeur de la CIA reconnaît en bafouillant l'ingérence des USA dans des élections

    James Woolsey, ancien directeur de la CIA
    Alors que Washington accuse sans preuves la Russie d'ingérence dans la présidentielle, l'ancien directeur de la CIA a été pris de cours lorsqu'on lui a demandé si son pays avait fait de même récemment. Il a assuré que c'était «pour la bonne cause». 
    S'ingérer, certes, mais «pour la bonne cause». Voici l'argument de l'ancien directeur de la CIA, James Woolsey, pour justifier les ingérences des Etats-Unis dans les élections des autres Etats. Invité le 16 février sur la chaîne Fox News, le chef des renseignements américains sous la présidence de Bill Clinton a révélé ce secret de polichinelle alors que la justice américaine vient d'inculper 13 Russes et trois entités russes, les accusant d'ingérence dans les élections et le processus politique américains. 
    Alors que la journaliste Laura Ingraham lui demandait si les Etats-Unis s'étaient déjà immiscés dans les affaires d'autres Etats, James Woolsey a répondu : «Oh, probablement, mais c'était pour le bien du système afin d'éviter que les communistes ne prennent le dessus.» Tandis que l'ancien patron de l'agence de renseignement se penchait sur des exemples tirés de l'après-guerre ou de la guerre froide, la journaliste a voulu le ramener à l'actualité récente, lui demandant : «Mais nous [les Etats-Unis] ne le faisons plus maintenant ? Nous ne nous ingérons plus dans les élections des autres ?» En guise de réponse, le responsable américain s'est contenté de galimatias, lâchant : «Eh bien...» Il a finalement concédé, en souriant, que si Washington continuait à s'ingérer dans les élections d'autres Etats, c'était «seulement pour une très bonne cause». 
    Cette réaction n'est pas passée inaperçue du côté de l'ambassade de Russie au Royaume-Uni qui a repris dans un tweet la déclaration de James Woolsey en commentant : «Tout est dit.» 
    «Morts de rire à Moscou» 
    Si Washington n'a jamais fourni de preuves concernant la prétendue ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine, les accusations continuent de faire parler d'elles aux Etats-Unis. 
    Le président américain a encore tweeté à ce sujet le 18 février, se voulant plus réservé quant aux accusations contre Moscou : «Je n'ai jamais dit que la Russie ne s'était pas mêlée de l'élection, j'ai dit : "C'est peut-être la Russie, ou la Chine ou un autre pays ou groupe, ou cela peut être un génie de 180 kilos assis dans son lit et jouant avec son ordinateur." Le mensonge russe, c'était que l'équipe de campagne de Trump avait été complice de la Russie. Elle ne l'a jamais été !», a-t-il en outre déclaré sur Twitter. 
    Avant d'ironiser, toujours sur le site de microblogging qu'il affectionne tant : «Si c'était le but de la Russie de semer la discorde, le désordre et le chaos aux Etats-Unis, alors, avec toutes les auditions en commissions, enquêtes et haine entre partis, elle a réussi au-delà de ses rêves les plus fous. Ils sont morts de rire à Moscou. Réveille-toi, Amérique !»

  • ITALIE : LE PETIT COUP D’ÉTAT A DONC ÉCHOUÉ

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    Le feu financier allumé dans le but de mettre en valeur Cottarelli, le pompier du FMI, s’est propagé toute la journée d’hier, échappant au contrôle des apprentis sorciers. La déclaration du commissaire européen Oettinger – « Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter » -, prévue pour s’insérer dans une amélioration des taux, a attisé l’incendie.

    Après que Berlusconi, poussé par la force de la Lega, a annoncé le retrait de son soutien au plan B de l’Union européenne et que Renzi, en bon socialiste, a choisi de ne pas choisir, le gouvernement technique dont on espérait, à Bruxelles, la venue pour une durée la plus longue possible n’était plus envisageable.

    Le golpetto, le petit coup d’État, a donc échoué. Le 2 juin, fête de la République italienne, sont promises de grandes manifestations organisées par M5S et la Lega. « Fascisme », crient les européistes, oubliant que les populistes ont remporté les élections !

    Le retour aux urnes le plus tôt possible, pourquoi pas en juillet, semble la solution, mais les sondages prédisent un raz-de-marée populiste et, vu l’échec de l’intimidation économique, on ne voit pas comment il en serait autrement, surtout que l’invasion migratoire reprend en Sicile.
    L’autre possibilité serait que Mattarella accepte le gouvernement la Lega/M5S refusé la semaine dernière – c’est le sens de l’ouverture faite, hier soir, à Naples par Di Maio.

    À l’instant, 11 heures ce mercredi, Salvini a sifflé la fin de partie : vote le plus tôt possible, en septembre, si l’on trouve un accord pour un gouvernement provisoire (loi de finance, position italienne au sommet de l’Union européenne et blocage des immigrants) ou, sinon, le 29 juillet. C’est que, le 10 juin, ont lieu des élections locales où des listes Forza Italia/La Lega sont très fréquentes, d’où l’intérêt, pour Salvini, de ne pas fermer la porte trop sèchement. Mais après, soit Berlusconi rejoint un nouveau parti euro-critique, soit Forza Italia est mangée.

    http://www.bvoltaire.fr/italie-petit-coup-detat-a-echoue/

  • Le fardeau du mâle blanc, par Alain Sanders

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    Guy Rouvrais a bien fait (d’autant qu’il aura été à peu près le seul), dans Présent du 24 mai dernier, de faire un sort à l’incroyable déclaration de Macron sur les « mâles blancs ». Cautionnant du même coup le Grand Remplacement opéré (pour commencer) dans les banlieues ethniques. Naguère, sur le marché d’Évry dont il était maire, Valls avait remarqué que ça manquait de « blancos ». En semblant le regretter. Macron, lui, prend acte. C’est comme ça, faut faire avec.

    Du coup, on a un Conseil présidentiel des Villes où la discrimination – pour ne pas dire le racisme – à l’égard des « mâles (et des femelles) blancs » s’affiche jusqu’à en être caricaturale : dix-sept rombiers et rombières issus de l’immigration contre neuf alibis-cautions d’origine européenne, comme devenus minoritaires dans leur propre pays !

    Ivan Rioufol, qui sert, lui, de caution droitière au tiédasse Figaro, écrit : « Jamais la France ne s’était jusqu’alors reconnue par une couleur de peau. La Constitution assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. C’est pourquoi Macron commet une faute politique grave en flattant les mouvements différentialistes qui n’entendent pas se plier aux exigences de l’assimilation. Dénier au mâle blanc – c’est-à-dire au Français de culture européenne – sa place dans les nouvelles banlieues musulmanes et sa compétence pour en parler est, pour Macron, une capitulation devant cette contre-société qui se consolide. »

    Non seulement elle se consolide cette contre-société, mais elle œuvre à remplacer la société d’accueil (à raison puisque ladite société d’accueil se vautre dans la dhimmitude et la veulerie). « Banlieues musulmanes », dit Rioufol. Là est tout le problème, en effet. Et le seul énoncé des membres extra-européens du Conseil présidentiel des Villes donne la mesure dudit problème : Saïd Hammouche, Mejda Naddari, Sarah Ourahmoune, Zahia Ziouani, Yassine Bellatar (je vais dire un mot particulier de cette engeance), Adile Farquane, Mohamed Mechmache, Majid el Jarroudi, Souad Belhaddad, Samia Chabbani, Nawel Amiri, Abdelkader Haroune, Allaoui Guenni, Fayçal Karoui, Sabri Boumjri, Aïsseta Cissé. Non, ce n’est pas un appel dans des classes de Rabat, Tunis ou Alger, mais bel et bien le choix de Macron…

    Un mot de Yassine Bellatar qui, sur Twitter, s’exhibe avec la racialiste Rokhaya Diallo. Profession : humoriste (sic), animateur de radio et de télé. Autres activités : producteur de radio, producteur de spectacles, patron de bar. Ses prises de position équivoques – litote – sur l’islamisme lui ont valu l’annulation de plusieurs de ses spectacles. Et un article très étayé de Marianne : « Yasssine Bellatar, faux clown et vrai danger ». Le 20 février dernier, il était placé en garde-à-vue pour avoir insulté une policière. Bref, j’en passe et de pires encore. Croyez-vous que ça a arrêté Macron. Tout au contraire ! Yassine Bellatar n’a-t-il pas été un de ses soutiens lors de la dernière présidentielle ?

    Alors disons-le simplement : ras-le-bol de ces banlieues que l’on gave de fric et qui nous crachent à la gueule ! Ras-le-bol de ce refrain sur les habitants de ces banlieues qui seraient « les premières victimes » de ce qui s’y passe à longueur de jours et de nuits ! Qu’ils arrêtent de geindre et qu’ils se prennent en main en commençant par contrôler leurs rejetons ! D’autant que quand ils ne sont pas au moins complices (par leur silence) des exactions, des trafics, des magouilles de l’économie souterraine, nombre d’entre eux en profitent à différents niveaux.

    Alain Sanders

    Article paru dans Présent daté du 30 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Bordeaux, vendredi 1er juin à 18 h : pour la libération de Tommy Robinson

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    Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

    Quoi que l'on puisse penser de Tommy Robinson, son incarcération est le symbole de l'implacable répression de l'oligarchie cosmopolite contre les patriotes européens qui refusent de se taire face à la colonisation migratoire et la criminalité qui en découle. Bravo aux nationalistes bordelais pour ce rassemblement unitaire !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Attentat islamiste de Liège : le terroriste était fiché

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    La justice belge a qualifié d’attaque terroriste le triple homicide qui a eu lieu ce mardi dans le centre de Liège.

    Plusieurs témoins ont filmé la scène et enregistré le terroriste crier Allah Akbar alors qu’il venait de tuer deux policières et un jeune homme de 22 ans.

    Après voir brièvement pris en otage une employée d’un centre scolaire, l’assaillant a été abattu par la police.

    Quatre policiers ont été blessés.

    Selon les médias belges, le meurtrier était Benjamin Herman, un délinquant multirécidiviste qui était incarcéré depuis 2003 et bénéficiait d’une permission.

    Une source proche de l’enquête citée par l’AFP révèle que le terroriste était fiché comme radicalisé par la police belge.

    https://fr.novopress.info/210968/attentat-islamiste-de-liege-le-terroriste-etait-fiche/

  • La Villette : nouveau démantèlement sans expulsion - Journal du Mercredi 30 Mai 2018

  • Fausse nouvelle : la grosse presse tombe dans le panneau de la mort d'un journaliste russe

    Comme il s'agissait de s'en prendre à Poutine, la presse a sauté à pieds joints :

    Image

    En insistant lourdement sur la piste russe :
    "Opposé à l’annexion de la Crimée, en 2014, et à la guerre menée par Moscou dans l’est de l’Ukraine, il s’était mué en critique virulent du régime de Vladimir Poutine. Il avait fui la Russie en février 2017 après avoir reçu des menaces de mort, consécutives à une violente campagne sur Internet et sur les télévisions russes, où il était désigné comme un traître et un fasciste et son visage livré en pâture aux téléspectateurs. « Cela fait dix ans que j’ai peur, expliquait-il au moment de son départ. Quand tu es dissident en Russie, on peut te tuer, on peut t’emprisonner... »

    6a00d83451619c69e20224df36e04a200b-200wi.jpgIl s'agissait d'une fausse nouvelle, mise en scène par le gouvernement ukrainien :

    "Les autorités ukrainiennes ont annoncé, mardi 29 mai, la mort du journaliste russe, critique du Kremlin, Arkadi Babtchenko, ajoutant que le meurtre avait été "commandité par les services spéciaux russes". Mais retournement de situation, mercredi 30 mai. Le journaliste en question est apparu, bien vivant, lors d'une conférence de presse du chef de la Sécurité d'Etat ukrainienne. Le gouvernement urkainien a expliqué avoir mis en scène le meurtre pour déjouer un assassinat commandité par la Russie. "Grâce à cette opération, nous avons réussi à déjouer une provocation cynique et à documenter les préparatifs de ce crime par les services spéciaux russes", a déclaré le chef des services ukrainiens de sécurité Vassyl Grytsak, aux côtés du journaliste, précisant que cette "provocation" consistait à assassiner ce dernier."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JEAN-FRÉDÉRIC POISSON : « L’UNION EUROPÉENNE FAIT UN VÉRITABLE COUP D’ÉTAT EN ITALIE ! »

    L’Italie occupe le devant de la scène politique ; le Mouvement 5 étoiles et la Lega, grands vainqueurs des dernières élections, ont présenté un candidat au ministère des Finances italien, Paolo Savona, connu pour ses positions ouvertement anti-euro. Candidature refusée par le président de la République italienne qui, sous la pression de l’Union européenne, a choisi Carlo Cottarelli, ancien responsable du FMI, pour gérer les affaires courantes avant la tenue d’élections anticipées.

    Réaction de Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/l-union-europeenne-veritable-coup-detat-italie/