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magouille et compagnie - Page 1424

  • Construction des mosquées de Trélazé et Angers

    Avec la généreuse complicité de la mairie :

    "La mosquée de Trélazé s’agrandit, et ce de manière spectaculaire avec la construction d’un dôme impérial. Six arcs en bois de 2,5 tonnes chacun portent la structure. L’un de ces arcs mesure 26 mètres de long. [...] La Ville de Trélazé a versé une subvention de 300 000 € pour l’agrandissement de ce centre culturel. Le chantier devrait être livré en mai 2019 pour un coût estimé de 1,8 million d’euros.

    Où en est la construction de la future mosquée d’Angers dans les Hauts-de-Saint-Aubin ? « Le gros œuvre sera bientôt terminé et nous passerons ensuite à l’aménagement intérieur », confie un membre de l’association des musulmans d’Angers."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Incendies de forêts en Californie : rien à voir avec le climat et rien d’exceptionnel, affirment des scientifiques

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    Les médias obtus du climato-alarmisme s’en donnent à cœur joie : si la Californie brûle « comme jamais », c’est que le climat change à cause de l’homme, thèse reprise ad nauseam par les organes de la pensée obligatoire. The Economist, organe central du libéral-réchauffisme anglo-saxon et hebdomadaire des élites économiques « disruptives », titrait récemment sur fond de flammes : « Sur la ligne de feu. On est en train de perdre la guerre contre le changement climatique » Mensonge. « Les incendies de forêts sont bien plus un problème social qu’un problème naturel » assurent les chercheurs de l’Université Carlos III de Madrid. Le professeur David B. South de l’Université d’Auburn témoignait devant le Sénat américain en 2014 que « Les chiffres démontrent que les très grands incendies de forêts étaient quatre fois plus fréquents avant 1940 » que de nos jours. Il ajoutait que « Nous ne pouvons raisonnablement pas affirmer qu’un réchauffement global anthropique entraîne des incendies d’ampleur » et « qu’attribuer une augmentation du risque d’incendies aux émissions humaines de carbone est juste antiscientifique ».

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  • ALEX JONES dénonce la conspiration de big pharma

  • Les viols d’Allemandes par des migrants continuent durant l’été

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    Alors que l’Allemagne était autrefois un pays relativement sûr, la politique des frontières ouvertes de la chancelière Angela Merkel a changé la donne. La sécurité des femmes y est remise en question par la présence de migrants, dont certains n’hésitent pas à commettre des agressions sexuelles. Durant l’été 2018, les fortes chaleurs n’ont pas ralenti l’ardeur des assaillants, souvent venus d’outre-mer, qui recourent parfois aux moyens les plus sombres, comme l’usage de la drogue du viol, afin d’assouvir leurs pulsions à l’encontre de la gent féminine.

    Des migrants touchent les parties intimes, les seins ou les fesses des femmes dans les gares, dans les trains, en pleine rue ou lors des festivals. D’autres se masturbent devant des Allemandes. Les tentatives de viol sont monnaie courante. Certaines échouent, mais d’autres aboutissent.

    Ainsi, le 1er juillet, entre 2 h et 3 h du matin à Ingolstadt, en Bavière, une Allemande revenant d’une soirée a été agressée par un homme au teint sombre qui l’a frappée au visage, traînée vers le terrain d’une entreprise et violée.

    Le 5 juillet, à 8 h 15 du matin à Kronach en Bavière, une jeune femme de 18 ans a été agressée, frappée, traînée dans un buisson et violée par un individu à la peau sombre. Alertée par les cris de la victime, une dame s’est approchée du lieu des faits et l’agresseur a pris la fuite.

    Le 6 juillet, à Planegg, en Bavière, un demandeur d’asile pakistanais de 31 ans a violé une dame de 21 ans qui l’avait invité à son domicile.

    Le 14 juillet au matin, à Münster, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une joggeuse a été attaquée, traînée dans un buisson et violée. L’auteur des faits, un Polonais de 25 ans, a été arrêté par la police vingt minutes après.

    Le même jour dans la nuit, à Landshut, en Bavière, une dame de 31 ans a été agressée, traînée dans un buisson et violée par un homme au physique méditerranéen.

    Le 28 juillet, à Freising, en Bavière, une dame de 26 ans rentrant d’un bar a été agressée par deux hommes à la peau sombre qui l’ont jetée à terre et traînée au sol. La victime est arrivée à se défendre et à mettre les auteurs des faits en fuite.

    Le même jour, à 5 h du matin, à Memmingerberg, en Bavière encore, une dame de 21 ans, se rendant à vélo à son travail, a été agressée et violée par un demandeur d’asile gambien de 22 ans qui a été arrêté par la police.

    Au cours de la nuit du 30 au 31 juillet, à Fritzlar, en Hesse, une dame de 33 ans a été attaquée au couteau par un homme à la peau sombre, mais a pu s’échapper.

    Au début du mois d’août, à Aschaffenburg, toujours en Bavière, un demandeur d’asile a tenté de violer, au sein d’un centre pour demandeurs d’asile, une pédagogue, mais la victime est arrivée à se défendre.

    Le 4 août, entre 5 h et 5 h 30 du matin à Heilbronn, au Bade-Wurtemberg, une jeune femme assise sur un banc près d’un arrêt de bus et de tram situé dans les environs de la gare a été agressée et traînée vers une voiture par deux individus à la peau sombre, voire de type arabe, qui l’y ont violée.

    Presque au même moment, mais à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, une dame de 35 ans rentrant chez elle a été agressé par un homme à la peau brune et traînée dans un coin. La victime a crié et des passants ont mis l’agresseur en fuite.

    Le 3 août au matin, à Rosenheim, en Bavière, une femme de 20 ans rentrant d’un bar a été agressée, traînée dans l’entrée d’une cour et violée par deux demandeurs d’asile somaliens.

    Le 5 août au matin, à Arnsberg, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un Afghan de 17 ans a menacé une allemande de 18 ans à l’aide d’un objet pointu et l’a violée, alors qu’à Kassel, en Hesse, un homme au physique méditerranéen a agressé par-derrière une femme de 21 ans et a tenté de la violer. Pendant ce temps, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une femme de 17 ans a été agressée, traînée dans un buisson et violée par deux hommes, dont un s’exprime avec un accent polonais.

    Le même jour, à Paderborn en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un Africain de 18 ans, originaire de Sierra Leone, a tenté de violer une Allemande de 65 ans dans l’entrée d’une maison. Un habitant du lieu a tenu l’agresseur jusqu’à l’arrivée de la police.

    Le 8 août 2018, à Lübben, au Brandebourg, trois femmes de 28, 31 et 34 ans ont été attaquées par deux demandeurs d’asile afghans. Une d’entre elle a été étranglée, puis tirée sur le sol. Les trois femmes sont arrivées finalement à s’échapper. Lors de l’arrestation des agresseurs, un policier a été blessé.

    Après une semaine de recherche, la police a arrêté un demandeur d’asile africain pour le viol et l’assassinat d’une dame de 63 ans sans domicile fixe, le 30 juillet 2018, à Hanovre, en Basse-Saxe.

    Ces nouveaux cas s’ajoutent à la très longue liste des victimes de la politique d’Angela Merkel.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/les-viols-dallemandes-par-des-migrants-continuent-durant-lete/

  • L'autre barbouze de l'Elysée

    6a00d83451619c69e2022ad361de7f200c-200wi.jpgLudovic Chaker est présenté par le Monde comme «  l’autre conseiller secret de l’Elysée  ». Cet ami d’Alexandre Benalla occupe un poste inusité, celui de chargé de mission auprès du chef d’état-major particulier du président de la République. C’est la première fois qu’un tel poste est créé au sein de l’un des institutions les plus confidentielles du pays. C’est lui qui aurait supervisé le recrutement d’Alexandre Benalla comme directeur de la sécurité du candidat. 

    Il fut candidat divers gauche en 2012 aux législatives pour les Français de l'étranger (Europe orientale, Asie orientale, Océanie). Éliminé au premier tour avec 1,99 %, il appelle à voter pour le candidat socialiste Marc Villard. Diplômé de chinois, passionné d’arts martiaux et marqué par les philosophies orientales, Ludovic Chaker, 39 ans, n’est ni militaire, ni fonctionnaire. Le Monde indique qu’il est officier dans la réserve opérationnelle de l’armée de terre depuis 2005. Ludovic Malik Chaker a été nommé sous-lieutenant dans la réserve opérationnelle du corps des officiers des armes, armée de terre, en 2005. Il a depuis lors été promu régulièrement, obtenant le grade de commandant en 2018, après avoir été inscrit au tableau d’avancement pour ce grade en 2017.

    Durant la campagne, dans le groupe de travail sur la défense auquel il participait, il se présentait comme « ancien militaire, 44 ème régiment d’infanterie ». Le 44e RI est la structure administrative de rattachement des personnels militaires affectés à la DGSE, hors service action. Il est étonnant qu’un responsable d’En Marche est ainsi fait état de cette appartenance. Selon Le Monde «  il aurait été un temps rattaché au Commandement des opérations spéciales (...) au service des «  actions indirectes  ».

    Quelle fonction occupe-t-il auprès de l’amiral Rogel, chef d’état-major particulier du président ? Le mystère est total.

    Ludovic Chaker fait partie du noyau originel de la République en Marche, au moment de la campagne. Il est un ami d’Ismaël Emelien, proche conseiller du Président. Selon une source bien informée, il s’est activé l’an dernier - avant et après l’élection - dans les milieux du renseignement, en vue de leur réorganisation. Une source ajoute qu’il aurait été engagé à l’Elysée, parce qu’il était « au chômage », mais qu’ « il ne fait rien » et qu’il est rarement vu à la Présidence...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’UE va investir plus de 60M€ dans le développement des activités des jeunes… Tunisiens

    La jeunesse, défi majeur pour l’UE et la Tunisie

    « L’union Européenne investira plus de 60 millions d’euros pour soutenir le développement des activités des jeunes Tunisiens dans divers secteurs. » C’est ce qu’a annoncé l’ambassadeur de l’UE à Tunis, Patrice Bergamini (…).

    « Je suis venu soutenir les efforts du ministère de la jeunesse et des sports, dans le cadre du partenariat UE-Tunisie visant à apporter un appui technique et financier au ministère pour la formalisation et la validation de sa vision sectorielle de la jeunesse » a ajouté Bergamini, précisant qu’ « au-delà des efforts qu’on fait dans le domaine des start-ups, avec la mobilisation en début de l’année de 15 millions d’euros, et l’octroi de 61000 micro-crédits aux jeunes pour démarrer leurs projets et de 2000 bourses pour faciliter la mobilité des jeunes, on va consacrer plus de 60 millions d’euros pour accompagner le développement des activités des jeunes en Tunisie dans tous les secteurs. »

    Rappelant la contribution de l’UE en matière d’instruction, au travers du financement de 25% des projets de construction et de restructuration des collèges et lycées en Tunisie, Bergamini a affirmé que l’objectif actuel est de soutenir toutes les activités périscolaires.

    ANSA

    http://www.fdesouche.com/1056435-lue-va-investir-plus-de-60me-dans-le-developpement-des-activites-des-jeunes-tunisiens

  • Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

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    Par Julien Dir, contributeur de Breizh-Info 

    Comme à son habitude, Julien Dir ne mâche pas ses mots en évoquant l’une des actualités du moment : la volonté des syndicats de l’hôtellerie et de la restauration de faire travailler des migrants à des postes vacants. Un cynisme affiché qui a de quoi faire réagir.

    Ils dirigent l’UMIH, puissant syndicat patronal de l’hôtellerie restauration, ou bien encore la GNI (Indépendants) : ils ont en commun de vouloir accélérer le processus d’immigration en France au nom d’une soi-disante « pénurie de main d’oeuvre » en France, dans ce domaine.

    A l’heure actuelle, 130.000 emplois seraient à pourvoir dans l’hôtellerie-restauration en France. Le turn-over est très important dans de nombreux établissements.

    Mais plutôt que de s’interroger sur les causes de ce turn-over, de cette pénurie de main d’oeuvre, c’est la solution des migrants qui est envisagée par ces patrons sans vergogne, qui valident ainsi le slogan « l’immigration n’enrichit que les patrons » qui fleurissait dans les villes de Bretagne il y a quelques années.

    Pourtant, les explications à cette pénurie de main d’oeuvre sont simples : quiconque a travaillé dans l’hôtellerie-restauration le sait. C’est très mal payé. Les évolutions ne sont pas nombreuses. Beaucoup de patrons ne sont pas très à cheval sur les horaires et les rotations, et rechignent à payer au tarif juste, y compris quand les salariés font des efforts et s’adaptent aux contraintes du métier. Des patrons – il est vrai – pas vraiment aidés par l’État, qui leur ponctionne charges et taxes, rendant tout simplement impossible l’embauche honnête financièrement d’un employé.

    Résultat : ce sont essentiellement des jeunes qui font leurs classes (leurs premiers boulots) dans la restauration, trop contents de pouvoir trouver un job d’été et fermant souvent les yeux sur les conditions de travail (la plupart n’y connaissent d’ailleurs rien du tout au droit du travail). Avec des migrants, le bénéfice serait encore plus large. Difficulté de maîtrise de la langue, méconnaissance totale du droit du travail, l’UMIH espère sans doute avoir à disposition un bataillon de « salariés/esclaves » encore moins regardant que la population européenne, à qui les représentants de l’hôtellerie-restauration sont incapables de proposer des salaires et des conditions de travail justes.

    Étonnamment, ce sont les associations d’extrême gauche, pro migrants, qui font également le forcing pour que le patronat puisse embaucher, rapidement, des migrants à bas prix dans les domaines qui seraient « en pénurie » de main d’œuvre. Les idiots utiles qui n’ont toujours pas compris qu’ils servaient les intérêts du marché, et qui ont en plus l’impression de faire de l’humanitaire. Certains doivent se frotter les mains devant tant d’idiotie.

    Quoi qu’il en soit, à Paris, dans certaines grandes villes de France, certains n’ont pas attendu pour embaucher des migrants et pour avoir des travailleurs clandestins dans leurs cuisines. Le consommateur, lui, celui qui fréquente les « grands restaurants » ou quelques bistrots ici ou là, serait bien inspiré de demander aux patrons des établissements qu’il fréquente de pouvoir voir les cuisines avant de s’installer. Et de boycotter ceux qui embauchent des migrants au détriment des Européens, patrons qui auraient sans doute fait beaucoup d’argent à l’époque de la traite négrière.

    Au rythme où les choses vont, dans 5 ou 10 ans, Mamadou, serveur en crêperie à Huelgoat, vous amènera votre galette de blé noir, en vous comptant l’histoire des Monts d’Arrée, pendant qu’Amza expliquera aux clients d’un restaurant huppé de Saint-Malo l’histoire de Surcouf et de l’indépendance de la cité corsaire.

    Le patronat lui – voir en Allemagne où ces derniers protestent contre les expulsions de migrants – se frottera les mains.

    « Souriez, vous êtes remplacés ». 

    Julien Dir 09/08/2018

    Source : Breizh-Info

    Crédit photo : Mugisho beni [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/hotellerie-restauration-immigration-patrons/

  • Rappel important Migrants : l’envers du décor que nos médias ne montreront pas

    http://www.oragesdacier.info/

  • Patricia Perez chez Bourdin : « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! »

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    C'est un bel article que Gabrielle Cluzel vient d'écrire sur cette tragédie. Une de plus. [Boulevard Voltaire, 8.08].  

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel participe - d'ailleurs toujours brillamment - à certains de nos colloques et conférences, dont quelques unes sont les siennes propres.   LFAR

    On peut décider de ne pas écouter ceux qui tirent la sonnette d’alarme : les politiques – ils instrumentalisent ! -, les journalistes – ils « fakenewsent » ! -, les intellectuels – ils échafaudent et théorisent ! -, mais les mères de famille ?

    Patricia Perez – son nom n’aurait jamais dû sortir de son heureux anonymat – n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure. Son fils qu’elle enterre, comme dans L’Office pour l’enfant mort« l’enfant frêle qui [lui] était né », devenu grand jeune homme de 26 ans. Aujourd’hui, elle « attend le soir, attend le froid, attend le noir ». Et elle attend aussi des réponses à ses interrogations qui sonnent comme un grand cri : « Notre France ne fait rien pour ses enfants. »

    La question n’est pas de savoir s’ils auront sa haine ou pas. C’est de chagrin et de désespoir qu’il s’agit. Et surtout de vérité. Invitée de « Bourdin direct » en ce jour de marche blanche grenobloise, elle rétablit les faits, pour l’honneur de son petit : ce n’est pas d’une « rixe », d’une « embrouille » ou d’une « bagarre » qu’il s’agit, mais d’un assassinat. Son fils n’était pas armé. Les autres si. Ils l’ont poignardé au cœur et ont lacéré son visage, si violemment que même le maquillage mortuaire, dans le cercueil, n’a pu le camoufler. Ce n’était pas plus une querelle, bien sûr, qu’un viol n’est une dispute amoureuse.

    « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! » Qui ? Le journaliste ne pose pas la question. Peut-être parce que la réponse serait malséante, mais qu’il serait sans doute aussi malséant, en ces circonstances, de faire brutalement taire cette mère. Le journaliste est prudent. Mieux vaut changer de sujet gentiment.

    Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier. Statistiquement, peu de chances qu’il s’agisse du mien ou du vôtre. Quoique.

    On ne devrait pas sous-estimer une mater dolorosa. Elle n’a rien à perdre. Cela s’appelle l’énergie du désespoir. L’histoire des soulèvements dans le monde est marquée par la détermination douloureuse de ces mères-là. « Nos gouvernants, nos pouvoirs publics ne font rien, Monsieur. Ils ne font rien, je suis révoltée. Combien de nos jeunes vont partir comme ça, dans la violence gratuite ? » Je serais Emmanuel Macron, je reviendrais de vacances et m’exprimerais fissa. La brûlante controverse piscine ou bord de mer attendra.  

     Ecrivain, journaliste Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Commémoration de la bataille d’Amiens : un absent qui ne fait pas honneur à la France…

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    Au moment où j’écris ces lignes, ni Emmanuel Macron ni Édouard Philippe ne devraient assister aux cérémonies marquant le centenaire de la bataille d’Amiens. On aurait prié le ministre des Armées de revenir de vacances pour représenter la France chez elle en terre picarde. Car, jusqu’à ces derniers jours, l’information circulait que la nation à qui incomba, en 1918, la mission historique de commander en chef les armées alliées en la personne du maréchal Foch serait représentée par un simple secrétaire d’État, Mme Geneviève Darrieussecq, chargée des Anciens Combattants. On se pince !

    Certes, le nom de cette bataille, qui débuta le 8 août 1918, est bien moins connu des Français que ceux de la Marne ou Verdun. Mais cette bataille, où combattirent côte à côte Français, Britanniques, Australiens, Canadiens et Américains, fut décisive pour les alliés. Elle ouvrit, en effet, la voie à d’autres victoires durant les cent jours qui conduisirent au 11 novembre. « Jour de deuil de l’armée allemande », écrivit dans ses mémoires le général Ludendorff, chef d’état-major général adjoint des armées impériales. Une bataille qui coûta, en trois jours, la vie à 46.000 soldats alliés. Lorsque les Amiénois, évacués en mars 1918, reviendront, ils trouveront une ville en ruine : de mars à août, c’est près de 900 bombes et 11.000 obus qui se sont abattus sur la cité picarde. Une miraculée dans ces décombres : la cathédrale, joyau du gothique flamboyant !

    La Grande-Bretagne, elle, est à la hauteur de l’événement commémoré : le prince William, duc de Cambridge, représentant la reine, ainsi que le Premier ministre britannique Theresa May sont présents. Le président de la République française, chef des armées, Amiénois de naissance qui plus est, non. Le maire UDI d’Amiens, Brigitte Fouré, a bien tenté de justifier, au micro de RFI, cette absence : « Je pense que pour les Britanniques, la date du 8 août est une date extrêmement importante, mais il ne vous échappe pas que le 8 août est en pleine période creuse dans la vie politique française. » Vacances, j’oublie tout, plus rien à faire du tout ? Ils auraient quand même pu attendre septembre, en 1918, pour lancer cette offensive…

    Le week-end dernier, Emmanuel Macron, en bras de chemise, forcément accompagné de Brigitte, jouait au cicérone, devant des caméras complaisantes (la vidéo court sur les réseaux sociaux), en faisant justement visiter le fort de Brégançon au Premier ministre britannique, tel un nouveau riche montrant sa dernière acquisition à des amis. On échappa de peu à la visite des toilettes et, soigneusement, curieusement, nous fut épargné le zoom sur le nouveau bassin aquatique hors-sol que le Président s’est fait construire.

    Puisque c’est les vacances – service minimum oblige, donc -, mon papier s’arrêtera là. Emmanuel Macron n’assiste pas aux commémorations de la bataille d’Amiens. Il doit avoir piscine au fort de Brégançon. Il y a des matins où on aimerait être britannique.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/commemoration-de-la-bataille-damiens-un-absent-qui-ne-fait-pas-honneur-a-la-france/