Trouvé sur Le Point : L’information est connue des autorités depuis un an mais était traitée avec la plus stricte confidentialité. En avril 2017, une jeune femme, Mina B., fichée S, est entendue dans le cadre d’une enquête judiciaire portant sur ses liens avec la mouvance radicale. Lors de son audition, Mina s’épanche. La police va alors découvrir des informations si sensibles qu’elles feront l’objet d’une seconde enquête préliminaire…
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magouille et compagnie - Page 1461
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Incroyable : les noms de 2 626 agents du renseignement aux mains d’une islamiste
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UNIVERSITÉ DE NANTERRE : COMMENT ON A ÉCHAPPÉ DE PEU À LA TUERIE…
Encore plus sauvage que le Vietnam et les soldes du Black Friday réunis, Nanterre 2018 demeurera dans les mémoires des démocrates. Là, en effet, les combats font rage comme jamais depuis ce lundi. Évidemment, l’endroit n’est pas le premier trou perdu venu, puisque c’est de « cette université emblématique de la région parisienne qu’est partie la contestation en Mai 68 », nous rappelle L’Obs, avec cette mâle assurance propre aux correspondants de guerre.
Tout commence donc à sept heures du matin, quand « une trentaine d’individus pénètrent par effraction dans un bâtiment. » Afin d’y organiser la résistance face à l’arbitraire, il va de soi. Seulement voilà, il y a comme toujours un traître dans la place, un certain Jean-François Balaudé, lequel prétend être le président de l’établissement. Et le représentant de la Cinquième colonne en question d’avouer : « On a demandé l’intervention des CRS, car ce n’étaient pas des étudiants de l’université. »
Présents sur les lieux, les intrépides reporters de L’Obs expliquent : « Les jeunes se sont retranchés sur un toit. » Tandis que les forces de l’ordre, n’écoutant que leur courage – ou les ordres de leur hiérarchie –, préféraient sagement se replier. Mais c’était pour mieux revenir. En effet, deux cents étudiants qui tenaient une assemblée improvisée, finissent par être délogés par les mêmes CRS. Bilan de cette véritable guérilla urbaine ? Trois blessés légers, dont deux policiers. Sans oublier ces blessures qui, elles, ne cicatrisent jamais, ces traumatismes psychologiques subis par ceux ayant vu la mort les frôler de trop près.
Ainsi, Jean-François Lé Val, élu du personnel au conseil d’administration, se dit extrêmement « choqué » : « Ça fait trente-huit ans que je suis ici, je n’ai jamais vu les CRS intervenir comme ça. » Plus terrifiant encore, Anne-Frédérique Perol, bibliothécaire, se dit « sidérée ». Mais ce n’est rien, par rapport au calvaire enduré par Zoé Vaillant, professeure de géographie : « Le président de Nanterre commémore Mai 68, mais quand on demande le dialogue, il envoie les CRS ! »
On remarquera, fait aggravant, que les sections d’assaut de l’ordre noir plus haut évoquées n’ont pas jugé bon de mettre sur place les cellules de soutien psychologique qui auraient permis d’aider les victimes à reconstruire des vies désormais brisées à jamais. Même ce geste humanitaire, l’État policier de Macron et de ses sbires l’a refusé, dévoilant ainsi son véritable visage.
Tout démocrate digne de ce nom ne peut donc que s’indigner devant les explications du fantoche Balaudé, tentant de justifier cette rafle ayant manqué de se transformer en bain de sang : « J’ai considéré qu’on n’était pas du tout dans le contexte de la mobilisation contre la loi ORE, la plateforme de revendication des jeunes occupant le bâtiment était beaucoup plus large, de style autonome. » Nous y voilà… De « style autonome » ? Comme on évoquait autrefois des « suspects de type méditerranéen »… Pourquoi cette « stigmatisation » ?
D’ailleurs, le sinistre Balaudé ne trompe personne, n’hésitant pas à signer son crime, lorsqu’il prétend : « Je souhaite repartir en dialogue avec mes personnels et mes étudiants. »
Plus sérieusement, on lui conseillerait plutôt de repartir en vacances.
http://www.bvoltaire.fr/universite-de-nanterre-on-a-echappe-de-a-tuerie/
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PRÉLÈVEMENT À LA SOURCE : LOURDE CHARGE POUR LES PME ET SPOLIATION DES CLASSES MOYENNES ?
Le prélèvement à la source est une complication pour les PME. Elles devront soit modifier les logiciels maison, soit demander aux comptables de s’occuper de ces problèmes ce qu’ils feront bien volontiers, mais en augmentant leurs honoraires (ce qui est normal, car toute travail mérite salaire). Par ailleurs, les dirigeants des entreprises petites ou moyennes seront, en cas d’erreur, pénalement responsables. Or cette réforme est une usine à gaz : comment être sûr d’appliquer le bon pourcentage sans se tromper ? Les contentieux risquent d’être nombreux et les sanctions vont pleuvoir sur des personnes qui n’ont rien demandé.
Les responsables syndicaux des dirigeants de PME demandent non le report de la mesure (il ne servirait à rien, car on en a déjà eu un), mais l’abolition des poursuites pénales en cas d’erreurs (sauf pour les fraudes manifestes, c’est-à-dire les patrons qui retiendraient les impôts, mais ne le restitueraient pas à l’État). Ils souhaitent également une aide financière, ce qui est logique puisque cette réforme va coûter de l’argent aux entreprises. Et pourtant, la perception de l’impôt sur le revenu engendrera pour l’État les mêmes frais qu’avant. Mais, bien entendu, le gouvernement va faire la sourde oreille. Pour lui il n’y a aucun problème et tout est réglé !
Quant aux contribuables, le réveil risque d’être amer. Ils auront dès le mois de janvier une paye minorée même si pour finir, leur pouvoir d’achat ne bougera pas. Car les prélèvements seront plus lourds dans un premier temps. Ceux qui payaient par tiers, par exemple, gardaient l’argent de leurs impôts jusqu’en mars. En outre, avec le prélèvement à la source, les déductions fiscales interviendront tardivement : un remboursement de 30 % en mars et le solde en septembre. Le contribuable paiera donc plus le premier semestre avant de récupérer sa mise. L’augmentation provisoire de la pression fiscale et l’impression (fausse) de diminution des revenus auront un effet récessif évident. Les Français restreindront leurs dépenses au début de 2019.
Mais le pire est sans doute à venir pour les classes moyennes. Tôt ou tard la CSG risque de fusionner avec l’impôt sur le revenu, avec à la clé la suppression du quotient conjugal (chaque membre du couple paiera séparément ses impôts, ce qui alourdira la facture des conjoints dont l’un gagne plus que l’autre), la suppression du quotient familial et de toutes les niches fiscales y compris celles pour les emplois à domicile. En plus, ceux qui gagnent moins seront exemptés de CSG et les classes moyennes paieront à leur place. Un premier projet a été présenté dans les colonnes du Figaro : il crée trois classes à 0 % jusqu’à 1900 euros, à 15 % entre 1900 et 5000 euros et à 40 % au-dessus. Un couple dont le mari gagne 9000 euros par mois, dont la femme ne travaille pas, deux enfants, payant 3000 euros annuels pour une aide ménagère paierait 2500 euros de plus. Les classes moyennes supérieures seront une nouvelle fois laminées, car les taux seront bien plus élevés que ceux de cette proposition.
http://www.bvoltaire.fr/prelevement-a-source-lourde-charge-pme-spoliation-classes-moyennes/
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Tribune libre : Pourquoi nos dirigeants mondialistes haïssent-ils leur peuple à ce point ?
Victor Hallidée Riposte laïque cliquez ici
Nombre de personnes se posent cette question qui revient de façon sporadique, obsédante :
Pourquoi cet acharnement à détruire l’avenir des générations futures et à faire de la France un futur Liban ?
Pourquoi les dirigeants des pays d’Europe de l’Ouest ont-ils opté pour le suicide… celui des peuples et des pays dont ils ont la charge ?
Autre modalité de formuler la question : pourquoi les pays de l’Est résistent-ils ? Pourquoi ont-ils encore l’amour de leur pays et de leur culture chevillé au corps ?
Ce qui sauve les pays d’Europe de l’Est, c’est qu’ils n’ont pas connu Mai 68, qu’ils n’ont pas été décérébrés par l’idéologie libertaire.
Tandis qu’en Europe de l’Ouest, la génération soixante-huitarde a déstabilisé notre édifice anthropologique : destruction des valeurs chrétiennes ; destitution du père et de toutes les figures représentatives de l’Autorité ; destruction de la famille ; déni de la différence sexuelle ; frustrations homosexuelles et post-féministes ; retour du refoulé chrétien : culpabilité, haine de soi.On ne peut rien comprendre si on ne prend pas en considération que cette génération parricide soixante-huitarde et post-soixante-huitarde, aux affaires depuis plus de trente ans, constituée en oligarchie euromondialiste, s’est fixée un but qui ne peut être avoué aux populations.
Si l’on nomme les choses par leur nom, il s’agit d’un COMPLOT élitaire, d’une stratégie, d’un discours public ad hoc, qui ont pour objet de mener ce projet à son terme.
Ce projet c’est l’objet sacré du fantasme, du désir des « élites » euromondialistes : LE GOUVERNEMENT MONDIAL !
Pognon et jouissance à gogo ! Vie de nababs… Tout ça vous met en affinités avec d’autres élites et d’autres lois…
Prenant appui sur ces affinités ploutopornocratiques inavouables, nos « gouvernances » optent pour le semblant, surfent sur un relativisme pervers (pour lequel tout vaut tout, à commencer par le bien et le mal, l’assassin et sa victime) et paradent en humanistes universalistes anti-racistes !
La haine des dirigeants sans foi ni loi de nos pays se reporte alors, en réflexe de caste, sur les peuples européens qui n’ont que leur attachement à leur mode de vie, à leur culture, leur civilisation. Peuples auxquels ils ne s’identifient plus et qu’ils méprisent.
Dès lors leur sacrifice devient possible.
Quelles sont les affinités qui conduisent nos ploutocrates à embrasser les desseins de théocraties archaïques et violentes ?
La visée des soixante-huitards et post-soixante-huitards – jouir sans limite – n’est-ce pas précisément ce en quoi consiste la tyrannie des autocraties islamiques ?
Nos soixante-huitards aux commandes en bavent d’envie et de duplicité…
Esclavage ? Permis ! Profits sans limites réservés aux aristocraties en place ? Permis !
Pedophilie ? Permis ! Polygamie ? Permis ! Meurtre ? Permis !
Et bien sûr, des sauf-conduits pour les dirigeants (homosexualité, orgies, consommation d’alcool, etc. – étant seulement interdits aux masses, au bétail humain).
Un principe de domination dictatorial, autocratique, sans empêchement légal ni culpabilité ! Le rêve pour nos soixante-huitards ! Ah ! Mais c’est bien sûr ! La jouissance est de ce côté ! Détruire, faire disparaître le christianisme et la démocratie, ainsi que ceux qui y sont attachés, voilà la solution ! La submersion islamique fera le travail !
Le principe de fonctionnement de ce « post-modernisme managérial » repose sur la capacité à faire partie des dominants. Exit les scrupules et la culpabilité. Qu’importe si à cette aune, les compétences seront en recul et le bakchich en hausse. Bienvenue aux pervers et truands de tous poils !
Telle est la mentalité des « managers post-modernes », tel Macronus Jupiteribus, qui invitait les jeunes, lors de sa campagne électorale, à avoir un idéal digne de leur époque, celui de devenir milliardaires.
Ce à quoi aboutit l’idéologie libertaire-libérale – sous couvert d’alibis humanitaires, de l’amour de l’Autre, de l’égalité et de la fraternité avec l’Autre – c’est à la destruction de la société chrétienne égalitaire, son remplacement par une société inégalitaire (inégalités homme/femme, musulman/non-musulman) bien plus propice à la marchandisation du monde.
Instrumentaliser les principes chrétiens pour faire disparaître le christianisme ! Bien joué ! Pas des demi-pervers les gars ! Sauf que vous êtes en train de scier la branche sur laquelle vous êtes assis ! Quand vous serez convertis à l’islam, vous resterez des Blancs, des Occidentaux, pour ceux avec lesquels vous aspirez à gouverner. Le racisme et l’ethnocentrisme, le tribalisme inhérents aux sociétés archaïques, se substitueront au théocentrisme pour vous exclure et mettre votre existence en danger.
Vous avez joué l’islamisation de l’Europe : malheur aux femmes, malheur aux minorités chrétiennes, juives, athées, etc. Malheur aux faibles, aux vieux sans ressources (l’euthanasie chère à Attali pèse sur leurs têtes). Malheur à ceux qui ont une éthique, un esprit critique et des scrupules (la fin de la liberté d’expression est en marche) !
Ploutocrates-oligarques, vous devrez en rendre compte !
Au diable la démocratie empêcheuse de jouir en rond ! Telle est la mentalité des soixante-huitards au pouvoir et de la génération inculte qui suit, conservatrice aveugle et abrutie des anti-valeurs soixante-huitardes.
Ironie tragique : cette fuite en avant de l’idéologie soixante-huitarde libertaire, aux manettes depuis plus de trente ans, aboutit à l’islamisation de l’Europe !
Mais il est logique qu’un mouvement qui s’attaque à l’anthropologie d’une société, qui supprime les fondements d’une civilisation, va dans le sens de sa destruction.
C’est longtemps après, aujourd’hui, que se manifestent les résultats concrets, complètement fous et abjects.
Les peuples européens vont-ils aller sans réagir à l’abattoir que leur ont concocté leurs criminels dirigeants (l’islamisation sous contrainte de la machette et de la kalachnikov, la menace de l’égorgement, les crimes de masse) comme sont allés aux chambres à gaz – parce qu’ils ne pouvaient y croire – les juifs qui débarquaient des trains qui les conduisaient dans les camps de concentration ?
Il n’est pas impossible que les peuples se réveillent et que la peur change de camp. Un signe encourageant : quelques rats commencent à quitter le navire…
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Derrière les blocages : l’extrême gauche - Journal du mardi 10 avril 2018
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Le « scandale Facebook » - dit aussi « scandale des données »
Mark Zuckerberg
Le « scandale Facebook » - dit aussi « scandale des données » - fait la « une « des médias du monde entier. L'indignation est générale.
Comme si l'objet du scandale était une surprise. Alors que de fait l'exploitation commerciale des informations personnelles ou non imprudemment mises en ligne sur Facebook par des multitudes d'internautes des cinq continents est au principe même de ce réseau mondial tentaculaire. C'est d'ailleurs là aussi son principe financier qui a produit ses profits colossaux et engendré sa puissance, égale ou supérieure à nombre d'États ...
Autour de deux milliards d'utilisateurs se sont ainsi vautrés dans l'étalage vulgaire de leur intimité, de leur mode de vie, de leurs opinions, de leurs comportements privés, et même de leurs pulsions les plus diverses, voire les plus scabreuses, abandonnant cette pudeur ancestrale, ce silence jaloux sur les « misérables petits tas de secrets* » qui avaient prévalu depuis la nuit des temps. Comme si, dans le monde virtuel, l'homme de l'ère numérique s'était senti soudain libéré de cette sorte de retenue qui est naturelle aux rapports humains, charnels, du monde réel. Retenue qui est pourtant l'un des fondements de la vie en société, de la civilisation elle-même.
Facebook a vendu très cher ces données. Elles seraient « le pétrole » de l'ère postmoderne, la richesse immatérielle de cette société liquide, cette « civilisation » de l'impudeur où ne subsistent plus que l'individu réduit à l'état de consommateur hyperconditionné, et le marché qui l'encadre et l'exploite. Cette emprise d'un 3e ou 4e type s'exerce notamment grâce à la maîtrise sophistiquée d'une masse considérable de données sans qualités autres que mercantiles. Ses champions d'origine US sont les GAFA.
Et voici que le scandale Facebook s'amplifie. Qu'il prend des proportions inouïes. Que son titre perd 15% à Wall-Street. Qu'il est introduit dans l'aire politique et judiciaire. En France, des caisses de retraite ou de Sécurité Sociale ferment leurs pages Facebook - et / ou leurs comptes Twitter. Nombre de particuliers ou d'institutions en font autant. De multiples plaintes sont déposées. Notamment auprès de la CNIL. Aux Etats-Unis le Congrès est saisi de la question et doit procéder aujourd'hui à l'audition de Mark Zuckerberg. Il ne faut pas trop s'attendre, nous semble-t-il, à ce que, malgré les quatre-vingt sept millions de membres américains de Facebook lésés par ses pratiques, les Institutions fédérales états-uniennes s'aventurent à porter sérieusement atteinte à la puissance et à la richesse de ce fleuron hégémonique de leur « industrie » numérique.
La repentance tardive de Mark Zuckerberg, son actuel président, égal ou supérieur à nombre de chefs d'État, semble activer l'incendie plutôt que de l'éteindre, au point que son prédécesseur, Sean Parker vient d'accuser le Facebook de Mark Zuckerberg d'exploiter « la vulnérabilité humaine ». C’est parler d'or.
Mais il y a plus grave, nous semble-t-il que le dévoilement mercantile de ces millions de « misérables petits tas de secrets » dont seuls les intéressés s'imaginent qu'ils ont un intérêt.
En premier lieu, l'affaire Facebook met en marche, par réaction, une volonté affichée de reprise en mains et de contrôle par la police de la pensée, des espaces de vraie liberté qui ont pu se développer sur Internet. Gare aux sites, blogs et autres qui divergeront avec le politiquement correct ! Gare aux fermetures à venir. Sur Facebook et ailleurs. Le moment est peut-être venu pour la cléricature des systèmes dominants de réduire les insupportables médias qui échappent encore à son contrôle.
Il y a en second lieu, s'agissant de l'addiction d'un grand nombre de gens, surtout jeunes, â la fréquentation trop exclusive de Facebook et des réseaux parents, le reformatage débilitant de nos catégories mentales et intellectuelles. A la fois cause et symptôme, parmi d'autres, du terrible affaissement culturel de nos sociétés. Sommes-nous condamnés à n’être plus qu’un peuple d'ilotes ? C'est une grande question.
* Expression de François Mauriac reprise par André Malraux dans les Antimémoires.
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Pour Marine Le Pen, “les zones de non-droit se multiplient”. De Notre-Dame-des-Landes à Mayotte en passant par les banlieues
Au deuxième jour de l’expulsion des occupants du site de Notre-Dame-des-Landes, Marine Le Pen était l’invitée de RTL ce mardi 10 avril.
Si la présidente du Front national soutient l’initiative de l’exécutif de procéder à l’évacuation du site, qui fut pressenti pendant longtemps pour la construction d’un nouvel aéroport dans l’Ouest, elle la juge trop tardive.“Moi, j’aurais souhaité que les zadistes soient expulsés avant“, a reproché la députée, refusant de saluer davantage l’action de l’exécutif. “Pourquoi a-t-on attendu des années en laissant s’installer un état, une zone de non-droit à Notre-Dame-des-Landes ?“, s’est-elle interrogée au micro de RTL.
“Puisque le gouvernement veut donner des signes de fermeté, qu’il aille au bout de sa logique, qu’il rétablisse la sécurité à Mayotte“, a poursuivi l’ex-candidate d’extrême droite à la présidentielle, appliquant également son analyse aux “banlieues“.
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C’est du brutal
Cela fait bien longtemps que les Français un peu éclairés ne prennent plus pour argent comptant les bobards déversés par la peu finaude propagande occidentaliste et autres fake news atlantistes, que ce soit au sujet de la Russie, de l’Iran ou de la Syrie. Trois pays de l’axe du mal que les occidentaux sont instamment priés de détester et de de craindre, la peur étant sensée engendrer la haine… Autant dire que nous accueillons avec la plus grande circonspection les informations délivrées par l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) , officine basée à Londres, dirigée par un Frère Musulman et financée par le Qatar et par les casques blancs, islamistes eux aussi téléguidés par les services secrets britanniques. Deux entités selon lesquelles la Syrie se serait livrée à une attaque chimique dans la ville de Douma, une enclave encore tenue par des terroristes djihadistes dans la région de la Ghouta. Toutes choses démenties avec force par les autorités de la République Arabe Syrienne et la Russie. Les réussites sur le terrain de Damas, de ses alliées russes et iraniens dans la lutte contre la fléau djihadiste semblent ne pas faire que des heureux. Les menaces de frappes aériennes anglo-saxonnes et françaises ont été brandies comme un moyen de riposte et pour venger les civils qui auraient été gazés. Selon le site information sputnik, l’aviation israélienne aurait déjà bombardé hier un base aérienne syrienne à Tyas.
Nous pensons comme à peu près tous les esprits rationnels et qui ne sont pas guidés par la volonté de détruire le gouvernement syrien (pour le remplacer par qui? par quoi?) ou qui ne s’inquiètent pas outre mesure du retour de influence russe au Levant, région dans laquelle cette puissance orthodoxe a noué des liens anciens qui se sont maintenus pendant l’intermède soviétique, qu’il n’est bien évidemment pas dans l’intérêt de Damas de recourir à l’utilisation armes chimiques. Une accusation déjà proférée au début du conflit, sans que la preuve en ait été là aussi apportée, sachant que l’utilisation de ces dernières, a fortiori aujourd’hui dans cette phase des combats, ou la défaite militaire des islamistes sur le terrain est quasiment actée, n’aurait absolument aucun sens, ni tactique, ni politique.
Ajoutons que ce n’est pas la pudeur et la franchise qui étouffent les donneurs de leçons es droit de l’homme de nos démocraties avancées qui pour renverser Bachar el-Assad ont armé, financé, entraîné, instrumentalisé - à tout le moins jusqu’à une date très récente - les milices d’égorgeurs islamistes rejetées et combattues par l’immense majorité du peuple syrien. Ce que nous enseigne l’histoire proche de cette région c’est aussi que ce sont les Etats-Unis, les occidentaux et leurs alliés qui n’ont pas hésité à tuer un million de civils irakiens, dont un grand nombre de bébés et d’enfants, en décrétant le blocus sur l’Irak dans les années 90. Tout a été fait pour détruire cet Etat laïc, moderniste, Baasiste comme la Syrie, créant ainsi après le coup de grâce final administré lors de la seconde guerre contre l’Irak en 2003, les conditions du chaos actuel. Irak de Saddam Hussein dont le développement rapide contrariait les plans de Washington et de ses vassaux. Ce sont eux pourtant qui avaient très largement contribué par leur coopération technique, économique, militaire à faire de l’Irak une puissance qu’ils se sont ensuite employés à annihiler, comme l’ont rappelé et dénoncé en leur temps , un Jean-Marie Le Pen, un général Gallois, un Jean-Pierre Chevènement…
Hypocrisie, double-langage, rouerie que certains prêtent aussi, certes dans un registre different, à Emmanuel Macron qui intervenait hier soir au Collége des Bernardins pour s’adresser aux catholiques et à l’Eglise. Une initiative qui a fait hurler la gauche et l’extrême gauche qui ont dénoncé un crime de lèse-laïcité. Plus prosaïquement, note Bruno Gollnisch, il n’est pas aberrant que le chef de l’Etat s’adresse aux fidèles d’une religion consubstantielle à l’identité française qui a structuré, irrigué en profondeur et souvent magnifiquement notre civilisation depuis le baptême de Clovis en 496. Pour autant, invitée de matin de RTL, Marine Le Pen a remis utilement ce (long) discours du président de la république en perspective. La présidente du FN a noté qu’il s’agissait ici pour M. Macron d’une vaste operation électoraliste dans la perspective des élections européennes, lui qui espère pouvoir compter sur la mobilisation du vote catholique. Construction européenne qui a historiquement le soutien du Vatican, d’une très large fraction de la hiérarchie catholique, même si le Pape François trouve parfois que les instances bruxelloises et leurs affidés ne font pas encore assez pour le vivre-ensemble, l’accueil de l’islam et de l’immigration planétaire…
Marine a relevé que ce discours macronien ouvre de manière très problématique la voie à une compétition entre les différentes religions présentes sur notre sol qui demanderont chacune des signes de reconnaissance équivalents , et ce dans un but pervers, celui d’anesthésier les catholiques pour s’attaquer au final à la loi de 1905. Or, les catholiques français ne seront pas les bénéficiaires de ces changements qui visent à faire de la place pour d’autres…
D’un hypocrisie l’autre, l’Etat a bombé le rose et a montré ses muscles en procédant hier au démantèlement de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. 2500 gendarmes ont été déployés pour évacuer les 250 néo-babas, néo-ruraux sincères, ultra-gauchistes et autres marginaux qui s’y trouvent toujours et qui avaient reçu un accueil mitigé de la population locale. Il est certes plus facile de dégager manu militari – sur le plan pratique comme médiatique- des petits blancs même hargneux, des zadistes encapuchonnés que de régler le problème de l’invasion de Mayotte comme Marine l’a dit aussi ce matin.
C’est pareillement beaucoup plus difficile de s’attaquer aux centaines voire aux milliers de zones de non-droit droit qui pourrissent la vie de nos compatriotes. Quartiers pluriels livrés aux trafics, à la loi des caïds ou des barbus, ou des deux à la fois, aux racailles qui narguent la loi républicaine, crachent sur la France et agressent les gaulois. Mais la république sait être sévère…avec les lanceurs d’alerte: pour avoir utilisé le terme d’« invasion migratoire » dans un tweet, Nicolas Dupont-Aignan a été condamné hier à la demande de la Licra par la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris à 5000 euros d’amende…
Nous le savons bien, pour s’attaquer aux vrais troubles à l’ordre public, aux problèmes gravissimes d’insécurité, qui sont le fruit de l’immigration massive, du masochisme antinational, du laxisme et de la fabrication à la chaîne de Français de papier, il faut un tout autre courage et une toute autre volonté politiques que ceux de M. Macron. D’ailleurs, quand bien même en aurait-il les moyens, le voudrait-il vraiment? Ou n’est-ce pas selon lui le prix à payer pour l’avènement d’un multiculturalisme communautariste qui reste un des objectifs de transformation de la société du courant libéral-transnational auquel il appartient?
Dans Causeur, Edouard Lombard souligne que « lors de son discours en faveur de l’intelligence artificielle, le 29 mars, au Collège de France, Emmanuel Macron a regretté l’omniprésence de mâles blancs quadragénaires comme lui dans ce domaine des sciences. Un dérapage contrôlé symptomatique de sa vision de la France» , affirme ce journaliste. Il souligne au nombre des fautes macronienne, « l’invitation faite à Sherin Khankan, femme imam danoise aucunement représentative de sa religion, à s’asseoir dans le fauteuil du président de la République sous l’objectif d’un appareil photo, donnant lieu à une flagrante démonstration de prosélytisme»; « la nomination au Conseil présidentiel des villes de Yassine Belattar, comique proche du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et donc des Frères musulmans », « le maintien il ya quelques mois de (l’islamiste) Mohamed Saou, finalement « blanchi », en tant que référent LREM dans le Val-d’Oise. C’est un radical mais un type bien disait Emmanuel Macron…»
Et le journaliste de conclure: Emmanuel Macron « ne conjugue en réalité la conduite d’une des plus vieilles démocraties occidentales qu’à l’application d’une idéologie anglo-saxonne communautariste contraire à nos traditions politiques.» «Les tenants du progressisme à bride abattue, auréolés de bonne volonté, ne veulent pas voir que leurs excès pavent la voie du retour brutal, à terme, d’un conservatisme qu’ils abhorrent. » Brutal peut-être, nous verrons, mais nécessaire assurément pour conserver ce qui peut l’être.
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Le mal incurable français : la tentation du régulateur postulé bienveillant
Les politiques économiques sont élaborées à partir d’agrégats arbitrairement définis (le taux d’inflation, le taux de chômage, la masse monétaire…), sur la base de données imprécises et orientées (par exemple la mesure de la pauvreté dépend de techniques statistiques dont l’interprétation est très arbitraire), avec un grand décalage par rapport à la conjoncture, et enfin en référence à des modèles théoriques outrageusement simplificateurs quand bien même ils ont l’apparence mathématique de la sophistication. Il suffit d’entendre aujourd’hui le débat autour de la Banque Centrale Européenne qui devrait baisser le taux d’intérêt si l’on en croit les ministres concernés ; mais la situation économique française est bien moins imputable à la position des autorités monétaires européennes ou à la « mondialisation libérale » qu’à l’absence dramatique de réformes structurelles qui paralyse toutes possibilités de rebond économique. Les théoriciens de l’économie reconnaissent que, par construction, une théorie économique repose toujours sur un modèle qui ne peut pas intégrer tous les éléments qui interviennent dans la réalité du phénomène étudié, puisqu’il se veut justement une abstraction. Cependant, les interventions publiques sont bien réelles, elles, et elles vont profondément modifier notre vie quotidienne alors même qu’elles s’appuient sur ces constructions théoriques. La plupart des économistes officiels, qui monopolisent outrageusement les ondes et plateaux de télévision, se réclame ainsi explicitement de Keynes pour justifier son appel à une relance par la consommation soutenue par l’Etat alors que la théorie keynésienne n’est valable que sous certains conditions très restrictives (économie fermée, pas de changement des technologies, stabilité des comportements de consommation…etc.). Quand un problème est systématiquement mal posé, on a peu de chance de le résoudre. Selon nos dirigeants et les syndicats, il conviendrait de « réguler le marché » ou du moins de palier ses défaillances supposées puisque l’existence de crises conjoncturelles prouverait que les marchés ne fonctionnent pas correctement. Cependant, dans des pays libres, c’est le marché qui est censé être le régulateur et les prétendues « défaillances du marché » sont la plupart du temps le résultat d’un environnement réglementaire et législatif qui neutralise les processus de marché eux-mêmes. D'une main, l'Etat étouffe l'économie et de l'autre main, il se propose de la relancer... Par ailleurs, les « défaillances du marché » sont définies en référence à un modèle de marchés parfaits qui n’a jamais existé et qui est même l’antithèse de la compétition telle qu’elle existe en pratique. Le fait qu’il existe des technologies différentes, des asymétries d’information, de la publicité, des marques différentes, des entreprises de tailles différentes…etc. n’est pas le signe de défaillances de marché que l’Etat devrait corriger ; c’est au contraire la manifestation, le résultat et l’ingrédient du processus compétitif lui-même. Quand bien même ces éléments seraient interprétés comme autant de défaillances par rapport à un idéal de concurrence pure et parfaite, dans lequel tous les agents économiques ne seraient que des clones d’eux-mêmes, rien ne prouve que l’Etat serait apte à corriger ces défaillances sauf à postuler que l’Etat serait dirigé et administré par des êtres omniscients dont la nature exceptionnelle les placerait au-dessus non seulement du marché mais de la société toute entière. Vouloir réguler le régulateur, c’est précisément le neutraliser en l’empêchant de fonctionner. Manipuler des prix, c’est perdre toute l’information que contiennent ces prix. Manipuler le taux d’intérêt en vue de relancer l’investissement est une illusion dans la mesure où le taux d’intérêt est un prix. Si le raisonnement interventionniste était valide, alors il faudrait le généraliser à l’ensemble des prix : il faudrait, par exemple, baisser le prix des automobiles sous prétexte de relancer l’industrie automobile… On sait bien ce qu’il advient de toute politique de contrôle des prix, qui raréfie l’offre et finit par engendrer la pénurie. La manipulation du taux d’intérêt, sous le prétexte de relancer l’investissement, n’a pas de sens puisque l’investissement sera financé par l’épargne, c’est-à-dire la partie du revenu qui n’a pas été consommée. Or, la baisse du taux d’intérêt se fera au détriment de l’épargne dans le même temps qu’elle suscitera un besoin accru d’épargne pour financer les nouveaux investissements. Le prix est comme un baromètre et on ne change jamais le climat en manipulant un baromètre...
http://caccomo.blogspot.fr/2018/04/le-mal-incurable-francais-la-tentation.html
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LREM découvre la vraie nature du gauchisme, par Francis Bergeron
A Nantes, les photos du président Macron pendu à un gibet, puis brûlé, ont d’autant plus choqué que le pantin était plutôt réaliste. Cette pratique gauchiste, qui tient davantage du culte vaudou que de la manifestation politique, s’est déroulée samedi, à l’issue d’un rassemblement de deux mille militants néostaliniens, selon les organisateurs. Beaucoup venaient de la ZAD proche. Et ils étaient là d’abord pour affirmer que « les maquisards sont dans les gares ».
Des maquisards en peau de lapin, qui bénéficient à ce jour d’une impunité totale. Les gauchistes modèle 2018, élevés au lait de la Révolution française, revivent perpétuellement la geste héroïque de ceux dont ils se réclament : émeutiers de 1830 ou de 1848, communards de 1870, maquisards de 1944, « katangais » de 1968… Cette grosse poignée d’anarchistes ultraviolents a son bivouac et son camp d’entraînement dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, et a déjà saccagé à plusieurs reprises le centre de Nantes.
Le simulacre d’assassinat de Macron a frappé les esprits, alors même que l’histoire de France enseigne depuis deux siècles les bienfaits de la guillotine et de la Terreur. C’est « un appel au meurtre », ont réagi les partisans de LREM. Pour François de Rugy, président de l’Assemblée nationale, « c’est un scandale […]. Elles sont où, les condamnations contre ces appels à la violence ? ». Pascal Gannat, élu régional de la droite nationale, a évoqué pour sa part « une mise en scène ignoble et dégradante. A Nantes elle rappelle trop les tribunaux d’exception du sinistre Carrier. En tolérant antifas et gauche violente, LREM laisse se développer un climat de guerre civile ».
Combien de fois, dans le passé, Jean-Marie Le Pen ou sa fille ont-ils été ainsi pendus, brûlés, empalés, en effigie ? C’est un rituel fréquent qui, des années durant, n’a guère ému la classe politique.
« Crame un flic »
Cette ultraviolence au service de la gauche, les partisans de LREM la découvrent aussi dans les facultés occupées. Une poignée de gros bras néostaliniens continue à interdire l’accès aux locaux. Et quand des étudiants se rebellent, tentent d’entrer en force (Tolbiac, Montpellier), ce sont eux qui sont arrêtés, pour « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou des dégradations », et sanctionnés. Pourtant les violences et les dégradations gauchistes durent, elles, depuis trois semaines. Sur les murs des salles de cours de Tolbiac, on peut lire des inscriptions telles que « Frapper vite. Frapper fort. Un bon flic est un flic mort » ou encore « Crame un flic et trempe tes cookies dans ses larmes ». Slogans inspirés des « chansons » du rappeur Kaaris.
Et quand l’UNI, syndicat non marxiste, saisit la justice pour que les étudiants aient accès aux locaux, le juge rejette la demande au motif qu’il n’y a pas « une situation d’urgence ». L’UNI prévoyait une nouvelle action en référé lundi.
Le gouvernement, peu habitué à cette violence, craint « un climat général que l’on sent monter avec des risques d’affrontement ».
Il préfère donc mettre en garde à vue six non-grévistes de Tolbiac ou infliger 40 000 euros d’amende à des identitaires de Poitiers, plutôt que de réagir, à Nantes, à Notre-Dame-des-Landes, à Tolbiac, Montpellier et ailleurs, aux multiples atteintes à la liberté, aux appels aux meurtres contre la police, aux dégradations. Mais la violence, l’extrémisme, s’alimentent de cette impunité.
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
https://fr.novopress.info/210338/lrem-decouvre-la-vraie-nature-du-gauchisme-par-francis-bergeron/