magouille et compagnie - Page 1462
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Ils sont blancs? Alors qu'ils crèvent!
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Élargissement du regroupement familial : le gouvernement poursuit la politique d’immigration massive
La loi asile et immigration de Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, comporte de nouvelles filières d’immigration massive. Présentée comme une loi « dure » par de nombreux médias et associations de gauche, elle compte en réalité élargir le regroupement familial pour les mineurs isolés ayant été acceptés au titre du droit d’asile. Le texte proposé à l’Assemblée Nationale, dans son article 3, prévoit en effet que les mineurs réfugiés (ayant la possibilité jusqu’ici de pouvoir faire venir leurs parents) accèderont à la possibilité de pouvoir désormais faire venir aussi leurs frères et sœurs. Un dispositif est également prévu afin que les filles menacées d’excision puissent faire bénéficier leurs parents d’un titre de séjour au nom du droit d’asile.
Les Droits de l’Homme servent une nouvelle fois de justification à la continuation de la politique d’immigration massive. Concernant l’excision, il faut rappeler que selon un rapport de l’ONU (22/07/2013) plus de 30 millions de femmes sont menacées d’excision. Le gouvernement compte les faire venir ainsi que toutes leurs familles ?
Les identitaires réclament la fin de l’immigration massive, préalable indispensable à la remigration, c’est-à-dire le retour dans leur pays d’origine d’une majorité des immigrés présents en France et en Europe. Toutes les nouvelles filières d’immigration, prétendument imposées au nom d’un humanisme dévoyé, doivent être dénoncées et empêchées. Les flux qui se déversent sur notre pays et notre continent doivent s’arrêter et s’inverser !
Un communiqué des Identitaires
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Une Europe qui se protège de l’immigration
Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle
L’immigration qui submerge l’Europe est actuellement encouragée par la Commission de Bruxelles ainsi que par plusieurs États membres comme l’Allemagne. Ligne droite préconise de mettre un terme à cette absurdité en exigeant que l’Europe se protège de l’immigration. Une politique au demeurant parfaitement réalisable à condition de défendre les frontières extérieures de l’Union, d’agir dans les pays d’émigration pour tarir les flux et de diminuer pour les migrants l’attrait économique de l’Europe.
Inverser la logique suicidaire de l’Europe bruxelloise
« Il est temps d’affronter la vérité. Nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter l’immigration », a déclaré en décembre 2017 le Commissaire européen chargé de l’immigration, Dimitris Avramopoulos. On ne saurait mieux résumer le fait que l’Europe de Bruxelles ne protège pas les Européens de la catastrophe migratoire : au contraire, elle baisse les bras, quand elle ne se félicite pas du phénomène.
L’Europe de Bruxelles obéit en effet à une idéologie libre-échangiste et cosmopolite pour qui le principe de libre circulation doit s’appliquer aux marchandises mais aussi aux hommes. Considérant d’ailleurs ceux-ci comme interchangeables, elle prétend en outre que l’apport d’une population immigrée permettra de compenser la diminution de la natalité européenne, négligeant par là même le danger de remplacement civilisationnel qui en résulte. Aveuglés par leur idéologie, les technocrates de Bruxelles encouragent donc l’immigration, cherchant même à sanctionner les pays qui, comme ceux du groupe de Visegrad, veulent s’en prémunir.
Ligne droite préconise d’inverser cette logique suicidaire et considère que la droite nouvelle doit militer pour une Europe forte qui soit capable de protéger les Européens de l’invasion migratoire.
Défendre les frontières extérieures de l’Union
L’expérience d’autres pays prouve que l’immigration, notamment irrégulière, n’est pas une fatalité. Elle s’apparente en effet à un fleuve qui coule en suivant la plus grande pente et va donc vers les pays qui ne savent pas s’en protéger tout en s’écartant de ceux qui font preuve de vigilance et de fermeté.
Comme l’ont montré les pays de l’Est européen, mais aussi Israël ou encore l’Australie, c’est d’abord en établissant un contrôle sérieux aux frontières que l’on peut réguler l’immigration. Malheureusement, l’Europe de Bruxelles est mondialiste avant que d’être européenne et les frontières extérieures de l’Union sont une véritable passoire, surtout à l’ouest.
L’Europe puissance doit donc définir clairement ses frontières extérieures et les surveiller, les contrôler et les protéger en se dotant pour ce faire des forces nécessaires, nationales d’abord mais aussi communes, car en ce domaine tous les Européens sont solidaires.
Adopter une attitude offensive pour tarir à la source les flux de migrants
Il faut ensuite tarir en amont les flux de migrants, ce qui implique une projection de forces à l’extérieur de l’Union pour démanteler les réseaux de trafiquants qui organisent les passages en Europe, souvent d’ailleurs avec la complicité d’ONG mondialistes, comme l’a reconnu l’agence européenne Frontex.
L’exemple de la campagne « Defend Europe », comme les actions engagées par l’Italie auprès de la Libye ou encore les premiers résultats de la politique américaine vis-à-vis des clandestins, montrent qu’il est tout à fait possible de tarir les sources d’immigration irrégulière.
Pour cela, il serait d’abord indispensable que les marines européennes qui repêchent les clandestins en détresse, continuent certes de leur porter assistance, mais les reconduisent à leur port de départ plutôt que de les convoyer en Europe comme elles le font aujourd’hui. Un moyen certainement plus sensé de « sauver des vies ».
L’Europe puissance doit aussi nouer des alliances avec les pays par lesquels transitent les flux migratoires pour aider à leur régulation. Il ne faut pas renouveler les erreurs commises en Libye où l’on a déstabilisé un régime qui verrouillait efficacement les migrations africaines vers le vieux continent.
Enfin, l’Europe puissance doit aider les pays d’Afrique et du Moyen-Orient à assurer leur développement et à réguler la croissance exponentielle de leur population, car en la matière nos intérêts stratégiques sont convergents.
Réduire l’attrait économique de l’Europe pour les migrants
Dans cet esprit, il est également nécessaire de réduire l’attractivité de l’Europe aux yeux des migrants potentiels. Car, contrairement à ce que prétendent les médias de propagande, la majorité des migrants ont des motivations de nature économique. En tentant de s’installer en Europe, ils veulent avant tout y trouver de meilleures conditions de vie.
Pour réduire la pression migratoire, il est donc indispensable de diminuer l’attrait économique des migrations vers notre continent Aussi faut-il instaurer une véritable préférence européenne dans l’accès à l’emploi et aux prestations sociales. De même, la taxation des emplois étrangers extra-européens devrait réduire chez les employeurs l’attrait pour la main-d’œuvre immigrante.
Cesser de brader la citoyenneté des pays européens
Pour aller encore plus loin dans cette voie, il conviendrait de revoir les règles d’octroi de la nationalité dans les pays de l’Union. Comme dans le Bas-Empire romain décadent qui accordait la citoyenneté à tous les habitants de l’empire, les pays d’Europe de l’Ouest finissent par accorder la nationalité à tout étranger qui y réside, même s’il y est entré irrégulièrement.
Or, il est patent que le droit du sol et les procédures de naturalisation ou d’asile ne sont plus adaptés aux données actuelles de l’immigration de masse. Ils constituent un encouragement à l’immigration et dévaluent par ailleurs le pays d’accueil puisque rien n’est exigé pour en devenir citoyen.
Ligne droite préconise en conséquence de remettre en cause les procédés laxistes d’acquisition de la nationalité en Europe. La nationalité ne doit plus être un droit pour les immigrants, elle doit au contraire se mériter et couronner les efforts accomplis dans la durée pour assimiler notre culture et ses valeurs. Faute de quoi les immigrants doivent quitter le territoire, a fortiori lorsqu’ils commettent des délits, des crimes ou lorsqu’ils ne respectent pas les lois en vigueur.
Pour Ligne droite, l’immigration n’est nullement une fatalité : c’est au contraire un défi que l’Europe puissance doit être en mesure de relever.Ligne droite 08/04/2018
Source : Ligne droite
Crédit photo : JLB 1988 via Pixabay cco
https://www.polemia.com/europe-protege-immigration-ligne-droite/
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Syrie : les mensonges jusqu’au bout - Journal du Lundi 09 Avril 2018
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La LICRA lors du procès de Nicolas Dupont-Aignan : « Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! »
LICRA : « Monsieur Dupont-Aignan n’est pas raciste, ce n’est pas le sujet. Le problème n’et pas ce que dit Monsieur Dupont-Aignan mais la façon dont il le dit. Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! ».
REQUISITOIRE : « Il faut interpréter le tweet en se mettant au niveau, à la portée du Français et de l’électeur moyen. 48% des Français sont racistes, j’en suis désolé. M. Dupont-Aignan parle d’invasion barbare et veut faire une France d’hommes blancs catholiques ».
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Le Sixième Œil
Georges Feltin-Tracol
Certaines nouvelles passent inaperçues. Dans quelques mois, le premier niveau d’habilitation de sécurité nationale, le « Confidentiel Défense », sera supprimé. Il est pour l’instant encore accordé aux détenteurs d’informations dont la divulgation nuirait à la défense nationale ou favoriserait la découverte d’un fait classé « Secret Défense » ou « Très Secret Défense ». En pratique, il porte sur les opérations militaires extérieures, la lutte anti-terroriste, la traque des réseaux criminels transnationaux, la protection d’installations sensibles (les sites nucléaires) ainsi que les études en matière stratégique.
Le motif officiel de cette suppression est une meilleure rationalisation des critères de confidentialité. Or, le n° 447 de la lettre fondée par Emmanuel Ratier, Faits et Documents (du 15 au 28 février 2018) donne la véritable raison. Le retour de la France dans l’OTAN voulue par Nicolas Sarközy et poursuivie par François Hollande implique l’alignement des services secrets de l’Hexagone aux normes et coutumes de leurs homologues anglo-saxons. Faits et Documents explique qu’en décembre 2015, Paris a signé un accord à Washington qui associe la France au système des « Cinq Yeux » bien connu depuis l’affaire Echelon au milieu des années 1990.
En 1946, les États-Unis et la Grande-Bretagne adoptaient un accord de communication des renseignements : le traité UKUSA. Y adhérèrent ensuite le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ainsi le monde anglo-saxon a-t-il pu espionner tous les continents au moyen d’une surveillance électronique généralisée. Les « Cinq » deviennent les « Six Yeux » avec l’arrivée de la France dans l’« Anglosphère » planétaire. Ainsi l’Hexagone perd-il toute liberté nationale effective. Quant à son indépendance nationale, elle est déjà bien évanescente, voire ectoplasmique.
Cette intégration risque toutefois de poser quelques problèmes dans la transmission prochaine de renseignements essentiels avec des États exclus de cette coopération renforcée. La France a en effet conclu une quarantaine d’accords avec les États-Unis, l’OTAN et ses membres (hormis le Canada et l’Islande), mais aussi avec l’Australie, le Japon, le Brésil et la Russie. Jusqu’à présent, la France gardait une relative latitude avec ses partenaires. Ce ne sera désormais plus le cas. Le principal risque de cette inclusion est que les terroristes islamistes soient moins ciblés que les opposants au CETA, au TAFTA, à l’atlantisme et au mondialisme.
Si cette collaboration touche en priorité les forces armées, il faut enfin craindre que se renforcent les connivences étroites entre les États profonds hexagonal et yankee au moment où Washington met son veto à la vente de Rafales à l’Égypte. La minable classe politicienne française a choisi l’appel de l’Atlantique. Cela ne présage rien de bon pour l’avenir des Européens.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°73, diffusée sur Radio-Libertés, le 6 avril 2018.
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Plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien
Extrait d'un entretien d'Alexandre Del Valle, dans Valeurs Actuelles :
Que vous inspire l’attentat islamiste de Trèbes ?
L’attentat du 23 mars m’inspire deux réflexions. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, la chute de Dae’ch ne veut pas dire que la menace islamo-terroriste va s’estomper. L’ex-porte-parole de l’État islamique, Abou Mohamed al-Adnani, l’a lui-même parfaitement expliqué : « Ceux qui croient que la perte de territoires en Syrie ou en Irak signifie notre défaite n’ont pas compris que tant que la charia et le Coran progressent dans les coeurs des musulmans, nous serons vainqueurs. » Plus Dae’ch suscite des attentats, plus l’adhésion à l’idéologie islamiste progresse. La seconde observation est que nous avons assisté, avec l’attentat de Trèbes et le sacrifice de l’héroïque Arnaud Beltrame, à un “choc des martyrs” : ceux qui perdent leur vie pour la mort face à ceux qui meurent pour sauver des vies. Il s’agit là d’un échec imprévu pour Dae’ch, qui veut faire croire que seuls les cavaliers d’Allah sont capables d’offrir leur vie…
Vous évoquez la paranoïa : quelles sont les déclinaisons de la stratégie d’intimidation islamique qui fait l’objet de votre ouvrage ?
Pour mettre en oeuvre un plan d’islamisation mondiale de type suprématiste et irrédentiste, la première méthode, très efficace, est l’intimidation physique : par des assassinats ciblés, des actes terroristes, des attroupements ou des menaces de mort. La plus grande erreur de l’Occident consiste à croire que l’islamisme est un nihilisme : tuer au nom de l’islam est une stratégie élaborée par des cerveaux, souvent issus de milieux bourgeois comme Carlos ou Ben Laden, très conscients de leurs objectifs et il est erroné de réduire la stratégie très efficace du terrorisme à ses petits soldats aux profils marginaux. En réalité, l’action de terreur physique des “coupeurs de têtes” djihadistes est bien plus ample et efficace qu’on le pense : en effet, lorsque les “coupeurs de langues” ou “islamistes institutionnels” veulent faire taire ceux qui interpellent sources coraniques et chariatiques du djihadisme, leurs requêtes sont d’autant plus prises au sérieux par les mécréants que ceux-ci ont une épée de Damoclès terroriste au-dessus de la tête… La violence djihadiste introduit ainsi un effet de dissuasion et de persuasion extrêmement efficace. Comme le disait cyniquement Al Capone : « On peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver qu’avec un mot gentil tout seul. » Ces fameux coupeurs de langues instrumentalisent, en effet, l’antiracisme et entretiennent au sein de la communauté musulmane un sentiment victimaire. Ils déclarent, par exemple, souffrir d’un racisme antimusulman d’État ! Cette double dissuasion explique le paradoxe selon lequel plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien. D’ailleurs, depuis l’attentat de Charlie Hebdo, quels sont les caricaturistes qui osent se frotter à l’islam ? Quels sont les candidats qui traduisent les oeuvres de Salman Rushdie ?
Je constate empiriquement dans mon livre que, depuis les années 1990, plus on tue au nom de l’islam, plus celui-ci bénéficie de la sorte d’une publicité autour d’une civilisation et d’une religion sans tache, sans aucune remise en question des textes sacrés, qui pourtant clairement justifient le djihad. On s’empare ainsi de la volonté de “lutte contre l’amalgame” pour empêcher toute interrogation en ce sens. L’islam en tant que texte et les musulmans en tant que civilisation n’auraient aucun travail d’autocritique à faire. Au final, les attentats terroristes, qui devraient être l’occasion d’interpeller sur le totalitarisme islamiste, permettent de faire taire tout blâme. Les djihadistes sont de ce fait des génies en communication. [...]
On distingue cinq principaux pôles : les Frères musulmans, matrice de l’islamisme radical général ; la Ligue islamique mondiale, pilotée par l’Arabie saoudite, qui diffuse un islam wahhabite-salafiste ; la Turquie néo-ottomane, réislamisée par Erdogan ; l’islam indo-pakistanais, notamment l’association Tabligh ; et le Qatar. Ces pôles alimentent 80 % des instances de représentation de l’islam en Occident. S’ils ont l’air divisés, ils convergent toutefois dans l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui réunit 57 pays musulmans, et dans l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco),respectivement l’Onu et l’Unesco du monde musulman, qui se réfèrent notamment à une “Déclaration islamique universelle des droits de l’homme” opposée à celle des Occidentaux et qui pose le primat de la charia, laquelle doit à terme régner sur la planète. Ces organisations panislamiques uniques en leur genre et qui ont pour objectif avoué d’empêcher l’intégration des musulmans dans les sociétés non musulmanes (“désassimilation”) agissent de façon très efficace par l’argent et l’exercice de pressions au sein des instances internationales et onusiennes. Elles représentent donc une sorte de “superlobby suprématiste islamique mondial”, qui avance de façon subversive au moyen d’une stratégie victimaire visant notamment à pénaliser toute critique de l’islam sous couvert de lutte contre l’islamophobie. L’instrumentalisation de l’antiracisme, qui fait désormais de la critique d’une religion un nouveau racisme, notamment par le biais du Mrap, du CCIF ou des Indigènes de la République, comme on le voit en France, est ainsi la déclinaison d’un travail de sape d’ampleur planétaire qui a été méthodiquement planifié. [...]"
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DÉLIT D’INGÉRENCE… L’UNION EUROPÉENNE NE RECULE DEVANT RIEN POUR IMPOSER SES VUES !
La Commission européenne imagine conditionner le versement des fonds européens au respect de l’État de droit, à la préservation de l’indépendance de la justice et à l’adhésion aux « valeurs » européennes.
Suivez mon regard : les premiers pays visés seraient la Pologne et la Hongrie, ainsi que la Roumanie, toutes les trois sous la menace d’une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne.
Les institutions européennes n’en finissent plus d’imposer leurs vues et les exemples d’ingérence sont désormais légion. Ainsi, le mois dernier, le Conseil de l’Europe a appelé Moscou à autoriser Alexeï Navalny (Алексей Навальный) à être candidat à l’élection présidentielle en Russie. En raison de condamnations pénales, il ne le pouvait. Or, l’Union européenne voulait l’imposer. En Russie, un casier judiciaire vierge est indispensable pour être candidat. Il est vrai que ce n’est pas le cas chez nous. Voilà bien une ingérence flagrante dans les affaires internes d’un pays souverain, qui plus est en faveur d’un criminel condamné.
Selon des documents internes de l’Union européenne divulgués par « The Times », la Commission européenne a créé, en décembre 2016, un fonds spécial pour combattre les partis politiques favorables à une sortie de l’Union. Des millions d’euros ont été attribués à de multiples projets dans tous les États membres, pourvu qu’ils incitent à toujours plus d’Europe « bruxelloise ». Le Royaume-Uni, qui a voté en juin 2016 pour la sortie de l’Union, n’en a pas été exempté… heureusement en vain !
Ils veulent que les États membres restent en phase avec la structure multiculturelle et supranationale de Bruxelles. Ce programme de propagande est financé par les États membres à l’insu de la majorité de leurs citoyens.
« Il y a une invasion en Europe », dit Orbán dans un de ses discours de campagne. « Si nous permettons cela, des dizaines de millions de réfugiés viendront d’Afrique et du Moyen-Orient dans les prochaines décennies. » Orbán ne respecte pas les accords européens pour la redistribution des réfugiés. Il est attaqué au Parlement européen. Or, la Hongrie refuse de coopérer avec la décision de l’Union européenne depuis plus de deux ans, de redistribuer les demandeurs d’asile à travers l’Union. En 2017, déjà, les commissaires européens se sont penchés sur les « tendances très inquiétantes » constatées contre les libertés fondamentales en Hongrie.
Seule la lutte contre la criminalité grave devrait être susceptible de justifier une telle ingérence. Or, le vrai visage de l’Union européenne c’est le musèlement des nations souveraines par des technocrates non élus et l’ingérence dans les affaires des États.
Une disposition du traité de Lisbonne renforce pourtant l’influence des États membres sur l’évolution de l’Union européenne en introduisant un nouvel acteur dans les relations institutionnelles qui se nouent autour de la mise en œuvre du principe de subsidiarité. Elle prévoit, en effet, que « les Parlements nationaux veillent au respect du principe de subsidiarité ». L’Union européenne devrait en tenir compte et respecter la souveraineté de tous les pays d’Europe.
Alors, nous aussi, observons ce qui se passe à l’Est… car le réveil de ces nations suscite chez des millions de gens, à l’Ouest, une formidable espérance.
http://www.bvoltaire.fr/delit-dingerence-lunion-europeenne-ne-recule-devant-rien-imposer-vues/
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Comprendre l'arnaque monstrueuse du système bancaire mafieux asservissant les peuples spoliés !
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Loi contre les “fake news”. Pour Thierry Paul Valette, il s’agit surtout de “contrôler et stigmatiser certains médias”
Entretien avec Thierry Paul Valette, fondateur du mouvement “L’Egalité nationale”.
Sur RT France, il revient sur le projet de loi contre les “fake news” voulue par le président Emmanuel Macron.