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magouille et compagnie - Page 1502

  • Contre la soviétisation du numérique, touche pas à mon net !

    Depuis quelques années, un phénomène se met en place, une censure progressive et de plus en plus réelle. On peut s’interroger: que lira-t-on dans dix ans ? Y aura-t-il encore des opposants ?

    L’homme est d’abord un être rationnel. Disons d’emblée qu’aucune censure ne peut, n’a pu et ne pourra empêcher de penser et d’agir autrement. C’est même la grande leçon des totalitarismes du 20ème siècle. Et pourtant, nous sommes inquiets ? La censure en cours ne va-t-elle pas handicaper les esprits libres et retarder les espérances ?

    Paradoxalement, c’est la presse officielle qui semble en pâtir en perdant non seulement des lecteurs mais aussi toute crédibilité. En fait, la grande presse se tire une balle dans le pied en se faisant le relais officiel de l’apologie des censeurs ? Tout ce qui remet en cause l’idéologie officielle n’a plus sa place sur YouTube. Il faut donc le souligner : pour la première fois, nous n’avons plus affaire à une censure verticale, la censure d’État, une censure gouvernementale qui était rendue possible par tout un arsenal de mesures et de lois criminalisant les idées ou les thèses historiques (lois Pléven et Gayssot) et restreignant classiquement la liberté d’expression mais nous avons affaire à une censure horizontale qui passe par des entreprises privées, les grandes plates formes numériques du web qui opèrent dorénavant un rôle de censeur des opinions .

    Aux États-Unis, YouTube a par exemple fait savoir que le contenu publié par RT serait systématiquement pénalisé dans les référencements. Les reportages de Russia Today, ses contenus, ses vidéos seront donc handicapés puisque le public y aura plus difficilement accès. On assiste donc bien en quelque sorte à la soviétisation du numérique et ceci ne peut tromper aucune personne avertie de la spécificité du web depuis le début à savoir le principe fondateur de l’open internet, de l’internet ouvert. C’est la fin d’une époque.

    En France, les journalistes du Monde ou de L’Express sont devenus les vecteurs de campagnes systématiques de dénigrement des idées non conformes. Du coup, la grande presse française a choisi d’engager la bataille qu’elle perdra logiquement en rentrant en guerre contre l’éradication de toute pensée nouvelle et émergente. Ainsi, la presse française meurt chaque jour de la verticalité d’Etat, de sa subordination aux élites politiques et financières qui nous gouvernement. Les journalistes déjà quasi fonctionnaires, formés dans les écoles du journalisme aux réseaux lexicaux des non-dits et du camouflage sémantique se convertissent en gardiens humanitaires du net. Ainsi, le paysage médiatique français se retrouve complètement cadenassé et ne trouve d’autre issue que dans la culture des blogueurs et des sites alternatifs de réinformation.

    Comme La Pravda d’hier, Le Monde crache ainsi son venin et les télégraphistes de la post-vérité en appellent à la répression de tous les dissidents. Avec la chasse aux fake news, on monte d’un cran, on horizontalise en quelque sorte l’inquisition. On tente la fermeture des canaux de diffusion.
    C’est rigoureusement impossible à moins de changer d’époque

    Nous sommes à l’ère numérique. A la Renaissance, on ne put rien faire contre la révolution de l’imprimerie et la diffusion des livres. Il apparaît évident qu’en 2018, rien ne pourra arrêter le déploiement du numérique. Les imprimeurs révolutionnaires ou réformés d’hier sont les hackers d’aujourd’hui et surtout de demain. Arrêtez la musique d’internet, c’est fermer le village global. On ne saurait vouloir ralentir ou supprimer la propagation du web. De plus, l’ère numérique a pour présupposé l’innovation et la créativité permanente avec une ubiquité des données qui exige la liberté d’opinion totale et c’est même l’instinct de conservation du système cybernétique lui-même. Sans ce principe de l’ouverture et de la création libre de contenus, la richesse numérique ne saurait être produite.

    Twitter est allé plus loin en affirmant qu’il ne se contentera plus de purger les contenus écrits mais qu’il irait jusqu’à purger les utilisateurs malveillants. En se transformant en nouveaux bureaux politiques de la bien pensance humanitaire, toutes ces plates formes sont à terme condamnées par principe dans la nouvelle économie numérique.

    Si votre engagement viole les conditions et les clauses de la charte de YouTube ou de Facebook, vous seriez exclu de leur plate-forme mais une plate-forme ne saurait se réduire à une police d’assurance fut-elle politique ou philosophique et une telle dérive inquisitoriale se retournera contre le principe même de la diffusion libre et du moteur algorythmique.

    On est donc passé du tribunal de salut public, à la délation politique explicitée et légitimée par les journalistes et l’idéologie de la démocratie globale, directe et instantanée.

    La répression et la censure auront beau se développer sur la toile, les contre-mesures se renforceront

    Michel Lhomme

    Texte repris de Metamag

    https://fr.novopress.info/209585/contre-la-sovietisation-du-numerique-touche-pas-a-mon-net/

  • L'infâme Bergoglio exige que les viols commis par les migrants ne soient pas rapportés par les média

    Jorge Bergoglio, l’actuel occupant du Vatican, a une nouvelle fois pris position en faveur de l’immigration clandestine musulmane.

    « Il y a quelques mois, j’ai vu sur un journal un titre sur une petite ville d’Italie qui disait : ‘Voici la ville où il y a eu le plus de viols cette année – je ne me souviens plus de la ville, ce n’est pas important – et 40 % des violeurs étaient des migrants‘ », a raconté le souverain pontife. « C’est une façon de ‘salir’ les migrants », a-t-il dit.

    Rapporter les faits constitue donc un sérieux obstacle à l’implantation de migrants musulmans en Italie et en Europe selon l’actuel pape, lequel est un fervent défenseur du remplacement de population.

    Source : http://breizatao.com

    http://www.thomasjoly.fr/2018/02/l-infame-bergoglio-exige-que-les-viols-commis-par-les-migrants-ne-soient-pas-rapportes-par-les-medias.html

  • IVAN RIOUFOL : « L’IDÉOLOGIE ISLAMISTE TOTALITAIRE EST EN TRAIN D’ENVAHIR NON SEULEMENT LA TWITTOSPHÈRE, MAIS AUSSI LE DÉBAT, AU POINT DE FAIRE RECULER DES JOURNALISTES »

    Vendredi dernier, sur CNews, le journaliste Ivan Rioufol s’est étonné de voir la chanteuse Mennel « enturbanée, alors que les Iraniennes se battent pour enlever le voile », et a déclaré qu’un « voile, aujourd’hui, porté à la télévision, c’est un signe politique ». Ces propos ont déclenché une polémique sur laquelle le journaliste revient au micro de Boulevard Voltaire.

    Ivan Rioufol, que s’est-il passé sur CNews ?

    C’est assez banal. Il y avait un débat animé à propos de cette chanteuse Mennel et du message qu’elle était censée passer à travers son turban. J’avais expliqué que c’était une sorte de visibilité politique.
    Dans ce débat, j’invitais à faire la différence entre l’islam vu comme religion et l’islam vu comme un corpus idéologique.

    Alors, pourquoi ce débat a-t-il conduit de nombreux internautes à appeler à saisir le CSA ?

    Pour l’instant, ces initiatives n’ont pas abouti, mais peut-être que cela ira, en effet, jusqu’au CSA. En fait, des « journalistes » jugeant mes propos intolérables ont immédiatement lancé des demandes de dénonciation au CSA. Mes propos ne mettent pas du tout en cause les musulmans comme on voulait me le faire entendre, mais mettaient en cause une idéologie totalitaire. Ceci est devenu quelque chose d’indicible pour beaucoup de ces musulmans-là.
    Le problème est venu de cette délation lancée par des journalistes. Elle a été retwittée, et donc soutenue par Jean-Michel Aphatie lui-même. En termes de confraternité, c’est assez peu glorieux. Cela montre la perméabilité d’un certain monde médiatique vis-à-vis de cet islam radical. Cela montre aussi la manière dont ces islamistes-là entendent instrumentaliser le CSA en attendant de lui qu’il sanctionne une opinion. Peut-être sanctionnera-t-il mon opinion. S’il le fait, ce sera évidemment un scandale, car le délit de blasphème, à ma connaissance, n’est pas encore établi en France.
    La liberté d’expression est d’alerter, surtout lorsqu’il s’agit d’alerter sur des dérives totalitaires. Et je soutiens que cet islam politique porte cette dérive quand il est pris à la lettre. Encore une fois, je ne parle pas de la religion en elle-même, mais de ses dérivés qui entendent imposer une idéologie totalisante et totalitaire à travers un Code civil, pénal et de commerce, et à travers des comportements obligés, etc.

    La chanteuse Mennel est-elle vraiment une expression de cet islam radical ?

    C’est tout le débat ! Je soutenais qu’à travers le port, non pas du voile, mais de cette sorte de turban, elle affichait un signe politique. On peut ne pas être d’accord. Il se trouve qu’elle a ensuite publié d’autres tweets et d’autres allégeances au monde islamique, notamment à travers Tariq Ramadan. Cela laisse à supposer que ma qualification de « politique », en parlant de son turban, était exacte. Cela pouvait naturellement être contesté. Je ne prétends pas à une vérité. Mais il semble bien, en effet, qu’elle fût l’instrument d’une visibilité « soft » d’un islam qui entend aujourd’hui subvertir à peu près toute la société. En l’occurrence, elle était sur une télévision grand public.
    Ses tweets n’étaient quand même pas anodins. Ils marquaient une désolidarisation de la France et de la société occidentale. Elle assumait parfois une haine de ce que nous étions. Elle disait « Je veux foutre le camp de ce pays », etc. À travers cette visibilité qu’elle voulait assumer, elle répondait aux impératifs de Tariq Ramadan. Celui-ci incite aujourd’hui la communauté musulmane à accéder à sa visibilité afin de se détacher et de faire comprendre qu’elle ne se reconnaît pas totalement, voire pas du tout, dans la société occidentale. Ce genre de débats devrait donc être posé aujourd’hui sereinement sans avoir à s’insulter.
    La somme d’agressivité et d’insultes qui se déversent par l’islamosphère sur Twitter est assez incroyable.
    Je lisais qu’une des accusatrices de Tariq Ramadan a renoncé, hier, à se défendre à nouveau sur Twitter, tellement elle était ébranlée par la méchanceté des insultes qu’elle recevait.
    Il faut que les gens se rendent compte, aujourd’hui, que l’idéologie islamiste totalitaire est en train d’envahir non seulement la twittosphère, mais aussi le débat, au point de faire reculer des journalistes et d’ébranler peut-être même des institutions comme le CSA.

    Quel est le problème, selon vous ? Hystérisation du débat ou complaisance vis-à-vis de l’islam ?

    C’est un peu les deux. Vous avez une complaisance telle, aujourd’hui, vis-à-vis de l’islam radical et politique que, lorsque vous enfreignez cette complaisance, vous avez immédiatement un front commun qui vous fait comprendre que vous proférez là des propos racistes ou homophobes et que vous distillez la haine. Cela est repris naturellement par le monde islamique, mais aussi – et c’est beaucoup plus grave – par la partie la plus complaisante de la presse. De mon point de vue, elle se comporte comme les collaborateurs qu’on avait vus avec l’idéologie totalitaire nazie. Aujourd’hui, vous avez les mêmes collaborateurs qui collaborent à cette idéologie totalitaire. Elle est aujourd’hui islamiste, mais elle est aussi dangereuse qu’ont pu l’être le nazisme et le communisme.

    Que cela révèle-t-il de l’état de l’opinion ?

    Cela reste une anecdote. Mais au-delà de l’anecdote, il y a une vraie fracture, aujourd’hui, dans la société. Elle est constituée par cette prétention de l’islam radical à vouloir imposer ses vues et à ne pas vouloir supporter la moindre critique. Un certain nombre de journalistes sont prêts à accepter cette soumission-là. C’est un véritable drame, et c’est cela qui est dangereux.
    Tout mon soutien va singulièrement à ces femmes musulmanes seules qui se battent, aujourd’hui, pour essayer de reconquérir leur liberté en enlevant leur voile et en s’assumant face à cet islam totalitaire particulièrement violent et méchant vis-à-vis d’elles. Il peut naturellement ébranler beaucoup de convictions. Il faut avoir les reins solides, aujourd’hui, pour se battre.
    Nous vivons une sorte de guerre idéologique qui, peut-être, nous laisse comprendre ce que sera, demain, le futur de la France si personne ne se réveille. Mais, Dieu merci, on commence à se réveiller.

    http://www.bvoltaire.fr/lideologie-islamiste-totalitaire-train-denvahir-non-twittosphere-debat-point-de-faire-reculer-journalistes/

  • CSG / CRDS : LE SCANDALE N’EST PAS QU’ELLES AUGMENTENT, MAIS QU’ELLES EXISTENT

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    Voici quelques temps qu’une certaine droite française cherche quelques poux à la désormais célèbre « augmentation de la CSG ». Ironie de l’histoire, les ex-partisans de Nicolas Sarkozy, ancrés au vaisseau amiral englouti des Républicains, s’acharnent sur un semblant d’opposition. En vérité, cette opposition sur la CSG est bien la seule qu’ils assument de porter, ayant fièrement renoncé à défendre la France, trop embourbés dans leur marotte européenne. Le bobo de droite aussi a ses valeurs, et finalement si peu éloignée d’Emmanuel Macron qu’il se fourvoie dans une bagatelle. Mais écoutons-le s’égosiller sur des pouièmes d’euros de CSG que perdent désormais les retraités.

    Je ne cherche pas particulièrement à excuser notre président, mais le comportement de cette droite là n’est pas seulement agaçant ; il est foncièrement hypocrite. D’une part, on aura beau me faire pleurer sur 20 euros par mois en moins de retraite, je ris avec Dieu des gens qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. Notre système de retraite, dans son bordélique, inégalitaire et spoliateur fonctionnement ne peut nécessairement qu’aboutir à des retraites de misère. Parions pourtant que ceux qui geignent sur la perte de ce pouvoir d’achat ne toucheront jamais à ce mastodonte archaïque. D’autre part, le zèle à défendre un lopin n’est que l’aveu d’échec à conquérir un empire. La droite, cette droite-là, a échoué et elle gagnerait à faire profil bas plutôt que de simuler des estocades.

    Aussi souhaite-t-elle parler de la CSG ? Allons-y… Car si les Français n’aiment pas les voleurs, ils se taisent pourtant quand il s’appelle « État Français ». Rappelons que la CSG est un impôt inventé pour venir compenser des « cotisations » (nom emprunté au monde des assurances bien que fort dévoyé) qui ne produisent pas les résultats attendus. En effet, la sécurité sociale est censée fonctionner grâce à vos volontaires contributions dans un système assurantiel, qui exige un certain équilibre. Il devrait exister une certaine équivalence entre ce qu’il nous coûte individuellement (« cotisations »), et collectivement (« protection sociale »). Cela s’appelle de l’argent public, et comme il est préférable d’avoir une économie réelle face à l’économie spéculative, il est bon de privilégier l’imposition réelle (un euro d’impôt pour un euro de mission de l’État) à l’imposition spéculative (un euro, qui peut ou pourrait peut-être aller hypothétiquement ici ou là). Or la CSG vient simplement vous expliquer que vos cotisations sont insuffisantes, et qu’il faudrait laisser l’État vous ponctionner davantage. Intéressant aveu d’échec du « meilleur système de protection sociale », d’autant que cette contribution qui finance la Sécurité sociale n’ouvre aucun droit à en bénéficier… En simple, c’est du vol.

    Parlons maintenant de la CRDS, car l’État n’est pas avare d’idées quand il s’agit d’inventer de l’impôt. Comme vous cotisez tous les mois et que cela ne suffit pas, on invente la CSG. Mais comme vous payez (sans droit en retour) la CSG un peu partout mais que cela ne suffit pas, il demeure un déficit chronique inhérent à notre « meilleur système de protection sociale ». Cela s’appelle une dette (voire une gabegie). On a donc inventé la CRDS. Cette merveille, inventée par M. Juppé (heureusement recalé à la présidence), sert à rembourser la dette que vos cotisations et vos impôts ne jugulent toujours pas. Là encore, cet impôt supplémentaire n’ouvre à aucun droit de protection sociale. Répétez après moi : c’est toujours du vol.

    Les textes prévoyaient de faire disparaître la CRDS en 2009. Mais, vous savez comme moi que vos cotisations et votre double impôt n’ont rien endigué. La dette sociale a survécu, malgré le maintien et l’augmentation de la CSG et de la CRDS.

    Ne cherchez plus, la CSG ou la CRDS ne financent pas la protection sociale, mais les incapables que l’on coucoune à produire la dette de demain, qu’une nouvelle contribution de leur cru viendra légèrement compenser. Les retraités d’aujourd’hui peuvent pleurer, ce sont des larmichettes face aux épleurés de demain.

  • La République et la Nation sont en danger

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    Par Serge Grass, ancien conseiller régional de Franche-Comté et président de l’Union Civique des contribuables Citoyens (U3C) 

    Selon les médias et nos politiciens, les Français sont des privilégiés. Ils vivent dans une « République exemplaire » administrée de belle façon grâce au « pacte républicain » qu’ont scellé nos grands partis qui défendent « nos valeurs ». Nous bénéficions d’un « Etat de Droit » garanti par une fonction publique que « le monde entier nous envie ». La réalité est hélas bien loin de ces rodomontades. Alors que personne au monde n’envie notre fiscalité, tous ces bons apôtres n’hésitent pas à nous spolier en trichant sur les comptes que nous leurs confions et en manipulant la démocratie.

    Coup d’état institutionnel

    En 2012, le candidat naturel des socialistes étaient Dominique Strauss Khan. Quelques mois avant les élections il a été éliminé suite à un comportement « inapproprié » avec une femme de ménage alors que ce comportement n’avait jamais ému personne. Cette élimination a permis à l’oligarchie financière de mettre en avant un ectoplasme. Pour s’assurer de sa servilité un « conseiller », spécialisé en transactions spéculatives lui a été imposé, un certain Macron. Nommé ministre, en plus d’être mis sur orbite présidentiel, il a profité de son pouvoir pour permettre à des amis de s’approprier des fleurons de notre économie.

    En 2017, au nom de « l’État de Droit », une campagne de dénigrement a été engagée contre le candidat potentiellement éligible. Afin de justifier des enquêtes, le pouvoir socialiste ne disposant pas d’arguments politiques valables à l’encontre de François Fillon, a orchestré une campagne calomnieuse dénonçant sur un registre moral des pratiques légales pratiquées par une majorité d’élus. Cette situation rappelle, de sinistre mémoire, les procès staliniens ou les magistrats et les journalistes étaient des commissaires politiques qui ont fait la grandeur des Républiques socialistes soviétiques, démocraties dites populaires qui n’étaient ni démocratiques ni populaires.

    Parallèlement les déclarations de patrimoine de M Macron, étrangement incomplètes, n’ont pas fait l’objet d’enquêtes de la part de la Haute Autorité pour le Transparence de la vie Publique dont la mission est : « s’assurer de la cohérence des éléments déclarés ; rechercher des omissions importantes ou variations inexpliquées du patrimoine ; » … « Le code pénal punit d’une peine de trois ans d’emprisonnement et de 45 000€ d’amende le fait d’omettre de déclarer une partie substantielle de son patrimoine ou de fournir une évaluation mensongère de son patrimoine…

    Peuvent être prononcées à titre complémentaire de la première de ces peines l’interdiction des droits civiques… »

    Malgré plusieurs courriers dûment argumentés, s’appuyant sur des documents officiels, qui mettent en évidence des « omissions importantes et des variations inexpliquées de patrimoine », et la HATVP, et le Parquet financier, et le parquet général ont refusé de procéder à des enquêtes.

    Monsieur Macron, qui a déclaré avoir perçu plus de 3 000 000 € de revenus en 2010-2013, faisait état d’une fortune nette de 65 000 € en 2016. Son patrimoine boursier et son appartement ont disparu sans que n’apparaisse le montant des cessions.

    Voilà une situation extraordinaire : un candidat est éliminé pour des « péchés véniels » et un autre, pour des « péchés mortels », est adoubé au nom de « l’Etat de Droit » !

    Si la loi était appliquée, compte tenu de l’importance des carences de ses déclarations, Monsieur Macron devrait perdre ses droits civiques et être inéligible !

    La Nation

    Il est aujourd’hui malvenu de parler de la Nation, seule la République est citée. Or, la République, comme la monarchie, est un système politique qui est au service de la Nation. Nation qui figure toujours fièrement sur les frontons de nos édifices publics :La Nation, la Loi. Nos politiciens ne la font subsister qu’au travers des impôts nationaux qui aujourd’hui servent surtout à financer la défense des intérêts de ceux qui veulent la détruire ! Il est utile de rappeler que sans Nation, pas d’État, pas de République, pas de Démocratie, pas de Citoyens, pas de Solidarité, pas d’Électeurs et pas d’élus …

    Macron : la stratégie du chaos

    Au nom du monde libre, celui du bien, forcément démocratique … comme les monarchies du golf, Macron permettra aux spéculateurs internationaux de piller l’économie de la France, comme il l’a déjà fait lors de son passage comme ministre.

    Pour éviter la rébellion, avec les « élites » il poursuivra la déstructuration de la cohésion du peuple et de la Nation pour créer le chaos en accélérant :

    – L’immigration massive et incontrôlée qui a pour objet de détruire la cohésion du peuple et de la nation de l’intérieur par la création d’une société multiculturelle. Présentée comme tolérante et généreuse cette stratégie pernicieuse et perverse a pour objet de diviser pour régner.

    – Le laisser faire de la délinquance qui marginalise les nouveaux arrivants qui ne pourront jamais s’intégrer et moins encore s’assimiler.

    – Le terrorisme psychologique, qui interdit toute velléité de rébellion du peuple si peu souverain, nie l’existence d’une identité nationale qui ne serait que le fait de « beaufs » racistes, esclavagistes, colonisateurs, franchouillards, incultes et picoleurs. Cette image n’incite pas les nouveaux arrivants à prendre une telle identité. Pourtant la Nation est par excellence l’espace dans lequel s’expriment l’identité et la culture fondées sur une Histoire bases du vivre ensemble.

    – L’acharnement policier, juridique, fiscal et administratif vis à vis des Citoyens laborieux.

    La République et la Nation sont en danger

    La poursuite de l’endettement public justifiera la nécessité de vendre le patrimoine, y compris stratégique, aux « copains ».

    L’Homme est d’une espèce grégaire. Il a un besoin d’appartenir à un groupe qu’il soit religieux, ethnique, tribal ou national. Sans identité, que la nation française n’a bientôt plus, et sans repères, des jeunes en recherche vont se réfugier dans des extrémismes qui leur donnent une illusion d’être. Cette stratégie du chaos est au service d’une gouvernance mondiale qui ne pourra plus être contrée par des nations et des peuples déstructurés.

    Cette stratégie mortifère a déjà été engagée avec les révolutions colorées qui aujourd’hui ensanglantent le moyen orient. Elles n’ont pas été spontanées comme nos politiques et nos médias voudraient nous le faire croire. Les musulmans, dont on stimule le fanatisme, sont utilisés pour « faire le boulot » pour reprendre la formule de notre ex ministre des affaires très « étrangères ».

    Stop au vol et au viol de la démocratie !

    La justice et la presse sont en principe des piliers de la démocratie. Ils devraient être les ultimes remparts contre les coups d’état et non pas les organisateurs. Nous constatons que des juges et des journalistes, enfermés dans leurs certitudes, abusent de leur indépendance pour nous imposer leurs dogmes, oubliant leurs devoirs de servitude vis à vis de la démocratie.

    Il devient urgent de mettre en place des moyens démocratiques pour que le peuple puisse mettre un terme à ces dérives.

    – Les juges, qui décident au nom du Peuple français, doivent pouvoir être jugés par ce Peuple au nom duquel ils décident : Dans des conditions qui demandent à être définies, les magistrats pourraient être jugés par un jury populaire.

    – Il faut mettre en place un contrôle citoyen de la presse afin de veiller à l’application de la loi de 1881 sur la presse, notamment la diffusion de fausses nouvelles. Les sondages devant aussi être concernés.

    – Dès qu’une pièce d’un dossier d’instruction « fuite » dans les médias, celui qui la reçoit et la publie doit perdre le bénéficie de la protection de ses sources.

    Il nous faut faire respecter les principes de notre Constitution qui précise que la République c’est :

    – Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
    – La souveraineté nationale appartient au peuple … Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. 

    Serge Grass 07/02/2018

    Source : Délit d’images via Minurne Résistance

    https://www.polemia.com/la-republique-et-la-nation-sont-en-danger/

  • La région Île-de-France finance le cinéma de propagande

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le bulletin de réinformation du 31 janvier en avait déjà parlé : ce jour là est sorti en salles le film de Mahamat-Saleh Hanoun : « Une saison en France ». Il nous dresse le portrait d’un parfait immigrant, courageux, bien éduqué, travailleur, respectueux des règles et de la famille. Il lutte contre l’administration française pour obtenir le droit d’asile après avoir fui la guerre en République Centrafricaine.

    Et l’on apprend que la Région de Valérie Pécresse, a subventionné la production du film à hauteur de 335 000 € en 2016. A cette somme s’ajoute le financement par certaines chaînes publiques de télévision dont ARTE ainsi que par le Centre National du Cinéma.

    Au total : 1,2 million d’euros d’argent public (soit plus d’un tiers du budget du film) investis pour une production qui dénonce le supposé manque de générosité de la France et transforme l’invasion migratoire en un beau roman d’amour…

    https://fr.novopress.info/

  • LE GOUVERNEMENT PRÊTE-T-IL PLUS D’ATTENTION AUX CLANDESTINS QU’AUX SDF ?

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    Sont-ils une « cinquantaine » de SDF à Paris, comme l’a prétendu, le 30 janvier, sur France Inter, Julien Denormandie, le secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, ou « 2.000 à 3.000 », comme l’assure Louis Gallois, l’ancien patron de la SNCF, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, dans un entretien au JDD ? C’est, en effet, le chiffre avancé par le SAMU social.

    Sans doute faut-il officiellement faire comme si la promesse d’Emmanuel Macron que plus personne ne vive dans la rue, fin 2017, était tenue. Le président de la Fédération déplore « une volonté politique » de minorer le nombre de sans-abri et demande au président de la République « d’entreprendre un travail de fond » plutôt que de « fixer un délai irréaliste ». Une opération de comptage devrait être effectuée, le 15 février, pour mieux cerner le profil de ces SDF. Peut-être y verra-t-on alors un peu plus clair.

    Quant à notre secrétaire d’État, sans vouloir lui manquer de respect, il ne doit pas souvent se promener, le soir, dans la capitale. Il a, d’ailleurs, reconnu son erreur, ce dimanche, lors de l’émission du « Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro« , dans un raisonnement digne des meilleurs casuistes : il parlait du nombre de personnes qui appellent le SAMU social et à qui on n’arrive pas à trouver un hébergement : em> »Ce chiffre, évidemment, ne correspond pas au nombre des personnes qui dorment dans la rue. Ils sont certainement plusieurs milliers. »

    Il s’est même désolidarisé – l’ingrat ! – d’un député LREM qui pensait lui venir en aide en expliquant que la plupart des SDF dormaient dans la rue par choix : « Être à la rue n’est jamais une situation choisie, mais subie », a-t-il répliqué, plus royaliste que le roi – et pourtant, il est vrai que certains SDF refusent des hébergements collectifs où ils se font agresser ou voler.

    Julien Denormandie – on croyait qu’être ministre, c’était être un serviteur de l’État, non un flagorneur du gouvernement – a vanté les « efforts sans précédent » dudit gouvernement en matière d’hébergement d’urgence : « Plus de 13.000 places ont été créées depuis le 1er novembre, 1.600 la semaine dernière. » Avec les intempéries, le froid et la neige, c’est la moindre des choses !

    Il a même admis que la « pression sur les hébergements d’urgence est de plus en plus forte avec la crise migratoire ». Tiens, donc ! Mais attention ! Pas question d’appliquer la circulaire Collomb qui demande aux préfets de « recenser » les clandestins dans les centres d’accueil et de « procéder à [leur] évacuation administrative » s’ils ne répondent pas aux critères de demandeur d’asile. Il s’agit de « leur apporter à chacun une solution » et de « les accompagner pour, à terme, retourner dans leur pays d’origine ».

    Il a également ajouté, au cas où l’on n’aurait pas compris : « Quand vous êtes réfugié et qu’on vous met dans un hébergement d’urgence, vous n’avez rien à y faire, vous avez droit à un logement. » Aurait-il plus de compassion pour les réfugiés, fussent-ils clandestins, que pour les SDF ?

    http://www.bvoltaire.fr/gouvernement-prete-t-plus-dattention-aux-clandestins-quaux-sdf/

  • Après le « mariage » homosexuel, la franc-maçonnerie veut la PMA

    godf-mariage-homo-pma.jpgLe 21 février, le temple maçonnique du Grand Orient de France accueillera une conférence « publique » sur le thème « Du mariage pour tous à la PMA ».

    L’un des deux intervenants sera Erwann Binet, cet ancien député socialiste qui fut rapporteur du projet de loi Taubira légalisant le mariage entre personnes de même sexe.

    Il avait également été rapporteur d’un projet de loi sur le droit des étrangers en France permettant la création d’un titre de séjour pluriannuel.

    En janvier 2013, Erwann Binet avait déclaré au Dauphiné à propos de Civitas, en pointe dans la bataille contre la dénaturation du mariage, cette phrase typique de l’antichristianisme maçonnique : « Le Dieu qu’ils prient est un Dieu de haine« .

    En attendant, Civitas avait raison en répétant à l’époque que cette loi Taubira était une boîte de Pandore et que suivraient en phases successives PMA, GPA, utérus artificiel, etc, etc.

    Cette réunion maçonnique confirme que la stratégie du saucissonnage est toujours en vigueur parmi les forces occultes.

    http://www.medias-presse.info/apres-le-mariage-homosexuel-la-franc-maconnerie-veut-la-pma/87491/

  • En Allemagne, de jeunes migrants fraudent pour 141 000 € de prestations familiales et on retrouve chez eux des drapeaux de l’État islamique…

    A Hambourg, démantèlement d’un réseau de 43 familles qui ont détourné de l’argent des caisses familiales avec de fausses pièces administratives.

    En prétendant à des prestations avec règlement rétroactif, c’est-à-dire en revenant 3 à 4 années en arrière sous prétexte qu’ils étaient en formation ou en recherche d’emploi durant ces périodes, les fraudeurs ont éveillé les soupçons de l’administration, notamment aussi en présentant des attestations falsifiées (fausses adresses, réponses négatives d’entreprises n’existant déjà plus depuis de nombreuses années…). Malgré cela, la caisse des allocations familiale a donné une suite favorable à 1/3 des dossiers et ainsi versé jusqu’à 141’000 €.

    Les fraudeurs sont tous de jeunes migrants de moins de 25 ans. Les autorités ont découvert que des groupes WhatsApp et des bars à chicha servaient de cellules de recrutement pour élargir le réseau qui comptent 78 suspects et 2 auteurs principaux qui auraient à eux seuls encaissé la moitié des sommes ainsi détournées. Lors de perquisitions, en plus de documents falsifiés et de drogue, la police a trouvé des armes et des drapeaux du prétendu Etat islamique.

    Bild.de via http://www.fdesouche.com/952037-allemagne-de-jeunes-migrants-fraudent-141000-e-de-prestations-familiales-on-retrouve-chez-eux-drapeaux-de-letat-islamique

  • L’union de l’islam et de l’Etat, par Guy Rouvrais

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    9049-20180213.jpgEmmanuel Macron a annoncé, dans le Journal du Dimanche, qu’il va structurer « toute l’organisation de l’islam de France » alors que, dans son programme présidentiel, il n’évoquait que la formation des imans, ce qui était déjà beaucoup que de se mêler ainsi de ce qui ne relève pas de la compétence du président d’un Etat laïc. L’obstacle à ce dessein présidentiel, c’est évidemment la loi de 1905, qui ne reconnaît ni ne finance aucun culte. Qu’à cela ne tienne, il la modifiera ! A propos d’un « nouveau concordat » avec l’islam, il répond : « Quelle que soit l’option retenue, mon objectif est de retrouver ce qui est le cœur de la laïcité, la possibilité de croire comme de ne pas croire. » La loi de 1905, ajoute-t-il, « n’a pas pensé le fait religieux avec et par l’islam, parce qu’il n’était pas présent dans notre société comme il l’est aujourd’hui », d’où son projet de modification afin qu’à la séparation de l’Eglise et de l’Etat succède, de fait, l’union de l’islam et de l’Etat.

    Son objectif est qu’il y ait des imans à la française, fidèles aux « valeurs de la République », et de leur donner, pour cela, une formation de haut niveau – il en aurait prévu le programme ! De même, il veut que les mosquées ne soient plus financées par l’étranger, en conséquence en s’attelant à « la structuration de l’islam de France » il va prévoir son financement. Mais comment font les autres religions pour former leurs ministres et bâtir leurs lieux de culte depuis 1905 ? Ce sont leurs fidèles qui mettent la main à la poche. Les cinq à sept millions de musulmans, en France, ne peuvent-ils pas faire de même ? Mais, évidemment, pour eux, il est plus facile et moins onéreux de recevoir subsides et imans de l’Algérie, du Maroc, de la Turquie, du Qatar ou de l’Arabie saoudite. Quant à l’éventuel concordat, avec qui le signerait-il ? Il n’y a pas d’interlocuteur représentatif de tous les musulmans, c’est là-dessus qu’ont échoué tous ses prédécesseurs, le CFCM (Conseil français du culte musulman) n’est connu que d’un tiers des musulmans et en proie à d’incessantes rivalités intestines. Un des « experts » consulté par Macron suggère la création ex nihilo d’un « grand imam de France », comme il existe un grand rabbin.

    Au passage, le chef de l’Etat affirme que l’on ne doit pas mettre « tout le monde dans le même sac », ce qui est sans doute sa version du « pas d’amalgame ». Mais s’il entreprend de modifier la loi de 1905 pour subventionner l’islam, il faudra mettre toutes les religions « dans le même sac » et financer la construction de toutes les églises et synagogues, tout comme la formation des ministres du culte, des catholiques aux mormons, en passant par les adventistes du 7e jour et les protestants, et on ne voit pas pourquoi on en exclurait les Témoins de Jéhovah.

    Il va consulter et « posera les jalons » de sa réforme de l’islam « au premier semestre », comme s’il s’agissait d’une réforme technique, fiscale ou sociale, alors que le sujet explosif n’entre pas dans le cadre de sa méthode de technocrate. Le plus dur restera à faire : trouver une majorité au Parlement réuni en congrès pour modifier la loi de 1905 ou consulter les Français par referendum. Ce n’est pas gagné.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 13 février 2018

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