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magouille et compagnie - Page 1504

  • Un ministre est lié par son administration quand il n'a pas le courage de virer les hauts fonctionnaires

    6a00d83451619c69e201b7c94ecec3970b-250wi.pngCoup de gueule de Stéphane Bern sur RTL, samedi 10 février dans On refait la télé. Interrogé sur les difficultés rencontrées dans le cadre de sa mission sur la sauvegarde du patrimoine, Stéphane Bern répond :

    "Régulièrement, j'en ai marre !" "Je me donne complètement et je fais ça bénévolement. Mais il faut savoir qu'il y a des gens qui sont payés pour faire ce travail, dans les administrations ou au ministère de la Culture. Et quand ils prennent toute leur énergie pour vous mettre des bâtons dans les roues, plutôt que de faire leur travail, vous vous dites : 'Mais attendez, moi je viens en plus pour vous apporter de l'aide, et vous, vous passez votre temps, au lieu de faire votre travail à sauver les monuments, à vous dire Comment je vais pouvoir l'emmerder ?'"

    "C'est un aveu d'échec. Il y a des gens qui dirigent le patrimoine depuis quelques années, et si le patrimoine est dans un si mauvais état, c'est que, visiblement ils n'ont pas forcément bien réussi. Mais ils ne sont pas sanctionnés parce qu'ils sont hauts fonctionnaires, qu'ils appartiennent à un corps d'élite, à une hiérarchie et qu'il faudrait les recaser".

    "J'ai vu de l'intérieur comment un ministre a les pieds et poings liés par son administration quand il n'a pas le courage de virer toutes les têtes qui dépassent…"

    Michel Janva

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  • La plainte contre Nicolas Hulot pour « un fait de viol » avait été déposée par Pascale Mitterrand

    Suite à des révélations de l’Ebdo, Christine Le Crom, procureur de la République de Saint-Malo, a confirmé jeudi soir dans un communiqué qu’une plainte pour « un fait de viol » avait bien été déposée en 2008 contre Nicolas Hulot mais classée sans suite, pour ces actes qui remonteraient à 1997, quand Pascale Mitterrand avait 20 ans.

    C’est donc Pascale Mitterrand, petite-fille de François Mitterrand et fille de Gilbert, qui est à l’origine de la plainte déposée en 2008 contre Nicolas Hulot mais « elle n’a jamais souhaité médiatiser » l’affaire révélée par la presse, a-t-elle affirmé vendredi dans un communiqué transmis par son avocat.

    « Le nom de Madame Pascale Mitterrand a été associé contre son consentement à une tempête médiatique visant Monsieur Nicolas Hulot. Elle-même et sa famille ne cautionnent en aucune manière la publicité » donnée à cette affaire, écrit-elle dans ce communiqué transmis par Me Michel Dufranc, bâtonnier du barreau de Bordeaux et avocat de la famille.

    « Elle n’est en aucune manière à l’initiative des révélations qui sont à l’origine de la médiatisation actuelle » de cette affaire révélée par l’Ebdo, qui n’avait pas dévoilé son identité, ce qu’a toutefois fait dès jeudi soir Le Parisien sur son site Internet.

    « Elle a dit dès le départ aux journalistes de l’Ebdo qu’elle ne souhaitait pas cette médiatisation, mais elle n’avait aucun pouvoir de s’y opposer« , a expliqué Me Dufranc. Elle souligne d’ailleurs dans son communiqué que depuis le dépôt de sa plainte en 2008, elle n’a « sous aucune forme, réactivé celle-ci, ni auprès de son protagoniste, ni auprès de quiconque. »

    Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique, a démenti ces rumeurs « ignominieuses » de harcèlement sexuel le visant révélées en Une de l’Ebdo et le Premier ministre, Edouard Philippe, l’a assuré de son « soutien ».

    http://www.medias-presse.info/la-plainte-contre-nicolas-hulot-pour-un-fait-de-viol-avait-ete-deposee-par-pascale-mitterrand/87403/

  • Corse : la bain de foule de... 15 personnes et de dizaines de journalistes pour E Macron

    Encore une intox (vivement la loi sur les fake news !) d'Emmanuel Macron :

    La vidéo du fameux bain de foule de en ... non coupée au montage. La foule etait composée de 15 personnes et 100 journalistes.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une enquête FBI en cours évoque les « millions » russes donnés par Moscou à la Clinton Foundation pour l’acquisition d’Uranium One

    Uranium One Clinton Foundation enquête FBI millions russes Moscou
     Selon la presse politique américaine, un informateur du FBI, Douglas Campbell, a témoigné devant trois commissions du congrès de l’existence d’importants virements de responsables exécutifs de l’entreprise nucléaire Rosatom sur les comptes de la Clinton Foundation afin de faire pression sur Hillary Clinton, alors secrétaire d’État des Etats-Unis. Moscou cherchait alors à acquérir la société nucléaire Uranium One et le fait est que les négociations ont abouti : avec l’approbation de Mme Clinton, la Russie a pu faire prendre le contrôle d’au moins 20 % de l’uranium américain – denrée stratégique entre toutes. Le rachat à 100 % a abouti en 2013.

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  • Ces écoles où l’on ne parle plus français

    Loin des regards du monde politique, des parties entières du territoire font lentement sécession. Un processus inquiétant qui se manifeste dès l’école. 
    C’était une fin de journée d’automne. Hélène, une institutrice chevronnée, raccompagnait chez eux quelques élèves de la cité voisine. « Je m’y revois encore, raconte-t-elle. J’étais au coin de cet immeuble quand j’ai entendu qu’on m’appelait : “Madame la maîtresse, madame la maîtresse.” Je me suis retournée, j’ai vu deux petites filles voilées. J’ai dû faire un effort pour les reconnaître. C’était deux de mes élèves. Je leur ai demandé pourquoi elles étaient voilées puisqu’elles ne l’étaient jamais en arrivant à l’école. Elles m’ont répondu qu’elles allaient assister à leur cours d’arabe. » 
    La scène s’est déroulée dans une cité d’une petite ville au nord de Paris. On y arrive par le train. Dès la sortie de la gare, le regard découvre les magasins fermés, les stores baissés et l’impression que l’activité qui subsiste malgré tout a changé de visage : enseignes de restauration rapide, maisons à vendre, boutiques de téléphonie, supérettes bas de gamme, coiffeurs exotiques… Dans la rue, on croise des groupes de jeunes, maghrébins ou turcs, beaucoup d’Africains aussi, et des jeunes filles voilées. Cette ville, parmi les plus pauvres de France, compte une cité qui a longtemps défrayé la chronique avant d’être l’objet d’un programme de réhabilitation qui, si elle a changé la forme, n’a rien réglé sur le fond. C’est dans les écoles de cette cité qu’enseigne Hélène. 
    « Dans ma classe, il n’y a aucun primo-arrivant, mais les origines sont pour un tiers africaine, un tiers turque et un tiers maghrébine, explique-t-elle. J’ai quelques Picards, souvent issus de familles très défavorisées, des “cas sociaux”, comme ils disent eux-mêmes, et aussi quelques enfants de “gens du voyage” qui se sont sédentarisés. Pour la religion, c’est 90 % de musulmans. En tant qu’institutrice, ce qui m’inquiète au plus haut point, c’est que ces enfants, qui sont tous français, sont de moins en moins capables de comprendre notre langue. » Et de décrire une cour de récréation scindée en plusieurs groupes, définis non plus par l’ancestrale séparation entre le football, la marelle ou l’élastique, mais par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké. Le français a presque disparu. Les parents d’élèves, très impliqués, ont d’ailleurs récemment émis le souhait que le compte rendu du conseil de classe, qui leur est adressé, soit désormais rédigé en trois langues
    L’apprentissage du Coran est jugé prioritaire par les parents 
    Les conséquences sur le niveau scolaire sont dramatiques. « Je passe des heures à leur apprendre à lire, reprend l’institutrice. Ils accusent en moyenne deux années de retard. Et il faudrait ouvrir des créneaux d’enseignement de langues étrangères ? Est-ce qu’ils ont conscience au ministère qu’ici, c’est le français la langue étrangère ? » Les rapports avec les parents s’en trouvent considérablement compliqués. « Avant, il y avait toujours une grande sœur ou une voisine pour expliquer à la maman quel était le problème avec l’enfant. Aujourd’hui, on n’a même plus ça. On ne va pas quand même pas demander à l’Éducation nationale de payer des traducteurs, comme dans les tribunaux ? » Pour Hélène, aujourd’hui en fin de carrière, c’est l’arrivée des paraboles qui a tout changé. Les familles, qui regardent les chaînes de télévision de leur pays d’origine, n’entendent presque plus jamais parler notre langue. « Je dis aux parents : mettez au moins les dessins animés en français », se lamente l’institutrice. 
    La cité, où la nuit tombe doucement, est plutôt proprette, à l’exception de quelques bâtiments qui n’ont pas été refaits et qui se délitent lentement. L’œil exercé observe cependant quelques rassemblements suspects, quelques regards hostiles qui pèsent sur un véhicule inconnu, des commerces, qui n’étaient pas “licites”, récemment vandalisés, et même une voiture de la Bac en maraude, feux éteints. Hélène désigne du doigt l’immeuble où la scène qui l’a tant marquée s’est produite. Les deux petites étaient là, occupées à faire griller du maïs sur un barbecue de fortune. « Elles font comme chez elles, poursuit l’enseignante. Dans l’immeuble lui-même, les appartements sont ouverts, ils communiquent. C’est le village africain. On a quelques familles polygames. Quand les pères sont au pays, les mères s’entraident. Elles ne posent pas de problèmes, d’ailleurs. Elles bossent, les hommes aussi, et tous respectent l’école et les professeurs. » 
    Les “cours de Coran” évoqués ont lieu en fin de journée, deux heures par jour, cinq fois par semaine, comme une école complémentaire. La structure n’existe pas à proprement parler — il s’agit d’un ancien garage, d’un appartement privé, de l’arrière-salle d’un restaurant. Rien d’officiel, mais précisément cette clandestinité rend les pouvoirs publics impuissants. « Ils peuvent bien annoncer la fermeture d’une “école coranique”, il s’en ouvre une autre cent mètres plus loin huit jours plus tard », commente Hélène. À l’entendre, c’est inexorable, en tout cas ici, dans une région qui vit naître la dynastie capétienne. 
    Le problème n’est pas tant que des enfants musulmans apprennent le Coran, mais que cet apprentissage, jugé prioritaire par les parents, empêche des élèves déjà faibles, chez qui le français n’est pas maîtrisé, de faire leurs devoirs le soir, ou d’aller à l’étude et d’acquérir les outils nécessaires à leur intégration future. Au lieu de cela, ils s’imprègnent d’un matériau qui ne constitue pas un des éléments de base de la citoyenneté française, tant s’en faut. « Prenez les jeunes filles, insiste Hélène. Les familles n’ont aucune envie de les voir s’instruire. Elles ne maîtriseront pas le français, ne sauront jamais conduire, resteront subordonnées — on le voit bien avec les mamans, dont la signature n’a pas de valeur… » Et l’institutrice d’évoquer le cas d’une famille pakistanaise dont trois des cinq filles ont suivi un chemin identique. « À 15 ans, elles repartent passer de très longues “vacances” au pays où leur père, qui n’est pas pauvre, tient un commerce de tissus. Elles en reviennent enceintes et on apprend qu’elles sont mariées ou qu’elles vont l’être. Elles n’ont rien pu y faire et nous non plus. » À l’encontre du “pas de vagues” qui tient souvent lieu de mot d’ordre, une équipe éducative et sociale a tenté d’intervenir. L’affaire a pu être portée à la connaissance de la justice, qui a diligenté une enquête. « C’est terrible à dire, mais ça donne une impression de conquête lente, conclut Hélène en approchant de la gare. Une conquête qui passe par le ventre de ces jeunes filles. » 

  • « Réfugiés » musulmans, il s’agit bien d’une invasion

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    Le rapport Europe’s Growing Muslim Population édité par le Pew Research Center le 29 novembre 2018 montre l’évolution supposée de la population musulmane d’Europe selon plusieurs perspectives, notamment avec afflux de réfugiés.

    Voici quelle est la situation en 2016 selon l’étude :

    • Plus de 20 % de musulmans : Chypre (25,4 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : Bulgarie (11,1 %).
    • Plus de 6 % de musulmans : France (8,8 %), Suède (8,1 %), Belgique (7,6 %), Pays-Bas (7,1 %), Autriche (6,9 %), Royaume-Uni (6,3 %), Allemagne (6,1 %), Suisse (6,1 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Norvège (5,7 %), Grèce (5,7 %), Danemark (5,4 %), Italie (4,8 %), Slovénie (3,8 %), Luxembourg (3,2 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Finlande (2,7 %), Espagne (2,6 %), Malte (2,6 %), Croatie (1,6 %), Irlande (1,4 %), Portugal (0,4 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
    • Pas de musulmans :

    Voici selon l’étude l’hypothèse du pourcentage de musulmans en 2050, perspective basse (frontières fermées sans re-migration) :

    • Plus de 20 % de musulmans: Chypre (25,5 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : France (12,7 %), Bulgarie (12,5 %), Suède (11,1 %), Belgique (11,1 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Royaume-Uni (9,7 %), Autriche (9,3 %), Pays-Bas (9,1 %), Allemagne (8,7 %), Italie (8,3 %), Suisse (8,2 %), Danemark (7,6 %), Norvège (7,2 %), Grèce (6,3 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Espagne (4,6 %), Slovénie (4,3 %), Finlande (4,2 %), Luxembourg (3,4 %), Malte (3,2 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Croatie (1,8 %), Irlande (1,6 %), Portugal (0,5 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
    • Pas de musulmans :

    Deuxième scénario étudié, hypothèse du nombre de musulmans dans une perspective moyenne en 2050 :

    • Plus de 20 % de musulmans: Chypre (26,6 %), Suède (20,6 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : France (17,4 %), Royaume-Uni (16,7 %), Belgique (15,1 %), Norvège (13,4%), Italie (12,4 %), Danemark (11,9 %), Finlande (11,4 %), Allemagne (10,8 %), Autriche (10,6 %), Suisse (10,3 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Malte (9,3 %), Bulgarie (9,2 %), Grèce (8,1 %), Luxembourg (6,7 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5 %), Irlande (4,3 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Portugal (2,5 %), Croatie (2 %), Hongrie (1,3%), Tchéquie (1,1 %), Roumanie (0,8 %), Estonie (0,8 %), Slovaquie (0,6 %), Lettonie (0,2 %), Pologne (0,2 %), Lituanie (0,1 %).

    Troisième scénario étudié, déstabilisation des derniers pays musulmans stables (en particulier Algérie et Egypte), annonçant un flot de réfugiés :

    • Plus de 30 % de musulmans : Suède (30,6 %).
    • Plus de 18 % de musulmans : Chypre (28,3 %), Autriche (19,9 %), Allemagne (19,7 %), Belgique (18,2 %), France (18 %).
    • Plus de 12 % de musulmans : Royaume-Uni (17,2 %), Norvège (17 %), Malte (16,2 %), Danemark (16 %), Pays-Bas (15,2 %), Finlande (15 %), Italie (14,1 %), Suisse (12,9 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Bulgarie (11,6 %), Luxembourg (9,9 %), Grèce (9,7 %), Espagne (7,2 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5,2 %), Hongrie (4,5 %), Irlande (4,4 %).
    • Moins de 3 % de musulmans: Portugal (2,5 %), Croatie (2,1 %), Tchéquie (1,2 %), Estonie (1 %), Roumanie (0,9 %), Slovaquie (0,7 %), Lettonie (0,4 %), Lituanie (0,2 %), Pologne (0,2 %).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/refugies-musulmans-il-sagit-bien-dune-invasion/87412/

  • L’affolant maquis des associations subventionnées, par Francis Bergeron

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    9048-20180210.jpgLe renouvellement des conseils de prud’hommes, en 2018, a été l’occasion de voir arriver de nouveaux conseillers, et de constater que le secteur dit de « l’économie sociale » représente à présent un énorme pan des entreprises françaises. Cette « économie sociale », ce sont les associations dites « loi de 1901 », des associations qui n’ont en principe aucun but mercantile.

    La France compterait 1 340 000 associations. Le premier problème que posent ces associations, c’est qu’elles vivent, pour beaucoup, de subventions. Le « chiffre d’affaires » du secteur représente 38 milliards d’euros. Il emploie 1,8 million de salariés, soit 10 % des salariés du privé. Dans la mesure où ces associations vivent d’aides publiques (ministères, régions, départements, municipalités…), ou de versements de particuliers en déduction fiscale, on devrait les additionner statistiquement aux fonctionnaires.

    Ces associations, vivant de subventions, sont à la merci d’un changement dans leur distribution. Et quand une mairie ou un ministre veut fermer le robinet, nous sommes alors confrontés au chantage à l’emploi. D’où la pérennité d’associations qui n’ont plus d’utilité.

    Autre problème, soulevé à l’occasion du renouvellement des prud’hommes : dans certaines villes, les représentants des salariés peuvent être CGT et les représentants des employeurs… également ! Eh oui, la CGT est aussi un employeur, avec ses centaines de permanents !

    Le conseil général du Val-de-Marne (communiste) produit une liste de 24 pages d’associations subventionnées. Cela doit représenter plus d’un millier d’associations. Parmi elles, les inévitables courroies de transmission des mouvements de gauche (SOS Racisme, etc.), et d’improbables groupes Palestine-Solidarité de Valenton ou d’associations pour l’art kanak. Les anciens combattants de la FNACA et de la Fédération des déportés de la résistance existent dans la moindre des communes et sont toutes subventionnées, alors qu’il n’y a plus d’anciens déportés ou d’anciens combattants vivants, ou en tout cas en état de porter le drapeau.

    Mis en examen pour escroquerie en bande organisée

    Beaucoup parmi les plus grosses associations ont des frais de gestion et de collecte de dons très importants, parfois proches de la moitié de leur budget total. C’est par exemple le cas de Greenpeace (44 %), d’Amnesty International (40 %). Vous croyez aider les prisonniers politiques ou contribuer à sauver la planète ? Pour 40 ou 44 % de vos dons, cela sert à gérer les dons et… à faire de la publicité, pour que, l’année suivante, les dons soient encore au rendez-vous.

    Il y a enfin des associations dont les dirigeants ont été mis en examen pour escroquerie en bande organisée. On se souvient de l’Association de recherche pour le cancer : en 2000, son président avait été condamné à quatre ans de prison ferme, 2,5 millions de francs d’amende et 200 millions de francs de dommages et intérêts. Ce qui donne une idée des détournements. Mais dans le même genre, on trouve Agir pour les enfants du monde, l’Association Mère Térésa pour les enfants (sans rapport avec mère Teresa !), etc. Les escrocs font appel aux ressorts de la compassion pour solliciter les braves gens. Des certifications et des audits se développent dans ce secteur, mais le maquis des associations est gigantesque et, bien souvent, il enserre la vie sociale du pays d’une véritable gangue gauchisante.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/209530/laffolant-maquis-des-associations-subventionnees-par-francis-bergeron/

  • Pour Maurras et Céline, ils sont très courageux. En revanche pour les islamistes d'aujourd'hui...

    Lu dans Minute :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un député LREM assure que la majorité des SDF dorment dans la rue « par choix »

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    D’après Sylvain Maillard, certains SDF ne souhaitent pas être mis à l’abri, « même dans les cas de grand froid ».Christophe Morin/IP3 PRESS/MAXPPP

    Interrogé sur RFI, Sylvain Maillard a repris la ligne du gouvernement qui prétend qu’en Ile-de-France, seuls cinquante SDF dormiraient dans la rue faute de place. Les autres y seraient volontairement.

    Le propos risque de donner du grain à moudre à ceux qui accusent le gouvernement et la majorité d’être déconnectés des réalités du terrain ou d’ignorer les « fractures françaises ». Invité ce lundi de RFI, alors même qu’une vague de froid touche une partie du territoire, le député La République en marche de Paris Sylvain Maillard a été interrogé sur les problématiques liées aux sans-abri. Faisant écho à de récents propos polémiques de Christophe Castaner, délégué général du parti, l’élu a déclaré que « l’immense majorité » des SDF qui dorment dans les rues d’Île-de-France le faisaient par « choix ».

    « Même dans les cas de grand froid, certains SDF ne souhaitent pas être mis à l’abri, souhaitent rester seuls dans la rue, (…) rien ne les oblige à être mis à l’abri », a affirmé Sylvain Maillard. Et le député de Paris d’énumérer les raisons qui expliquent, selon lui, pourquoi les personnes sans domicile fixe décident de rester à l’extérieur : « Tout simplement ne pas vouloir être en communauté, certains d’entre eux sont dans des situations psychologiques très compliquées, d’autres souhaitent rester en couple, (…) d’autres sont avec des animaux domestiques. »

    La suite

    https://www.actionfrancaise.net/2018/02/05/un-depute-lrem-assure-que-la-majorite-des-sdf-dorment-dans-la-rue-par-choix/

  • AU SECOURS, LA LAÏCITÉ DEVIENT FOLLE !

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    Quand la laïcité devient folle, ce sont les écoliers qui en subissent les conséquences. L’histoire d’un instituteur du Berry illustre, malheureusement, cette dérive.

    Matthieu Faucher, 37 ans, est instituteur à Malicornay, un village de l’Indre. Athée, père d’enfants non baptisés, il exerçait son métier avec conscience et intelligence selon les parents d’élèves. Jusqu’au jour où, frappé par des questions d’enfants, il a décidé de leur donner un vernis de culture religieuse. « Dans les années 1970-1980, personne ne se demandait ce qu’était un baptême quand on parlait de Clovis. Aujourd’hui, nos enfants de 9 ou 10 ans font preuve d’une grande inculture religieuse », explique-t-il.

    Conscient du fait qu’on ne comprend bien son pays qu’en saisissant ce qui a contribué à le construire, il se lance dans une étude littéraire de quelques textes bibliques, puisque les programmes l’autorisent, dans le cadre de l’enseignement laïque du fait religieux. Il n’est pas question de dispenser des cours d’instruction religieuse, prohibés à l’école publique. Mais simplement d’introduire ses élèves à la compréhension du christianisme.

    Il n’aura pas le temps de terminer les dix heures de cours prévues dans l’année. Une lettre anonyme adressée au rectorat, évoquant une forme de prosélytisme religieux, lui a valu une suspension disciplinaire puis, quelques mois plus tard, une mutation d’office dans une autre école du département. On lui reproche, notamment, d’avoir « exploité des sources religieuses inadaptées à l’âge de ses élèves et contraires aux principes de neutralité et de laïcité ».

    L’affaire est révélatrice du dévoiement d’une notion dont on nous explique, pourtant, qu’elle protège la liberté de conscience et assure la neutralité religieuse de l’État qui ne reconnaît aucun culte. La loi de 1905, sur la question de la laïcité (mot qui n’y figure pas), ne dit rien de plus. S’il en découle logiquement que l’enseignement religieux ne peut avoir lieu à l’école publique, cette loi n’interdit nullement d’y évoquer l’histoire, la culture, l’art religieux. La loi, non. L’interprétation qui est faite, oui. C’est ainsi qu’on a fait décrocher des toiles de certains bâtiments publics parce qu’elles représentaient des scènes religieuses, en dépit de leur inestimable valeur artistique. 

    Pourtant, l’islam est enseigné au collège, et c’est une bonne chose. Comprendre quelque chose à une religion dont le poids géopolitique est si important semble naturel. Atteinte au principe de laïcité ? Non, simple enseignement historico-culturel. Par un curieux paradoxe, enseigner le christianisme comme un fait historique et culturel majeur est prohibé. Pourtant, comment comprendre la France, l’Europe, nos monuments, nos villages, notre littérature, notre peinture, notre musique, notre sculpture, notre droit, notre théâtre, nos traditions, notre langue, notre vision du monde, la place de la femme, le respect de la dignité de la personne, notre science, notre économie même, en bref, notre civilisation entière, sans comprendre ce qui l’a faite ?

    Il n’y a là aucune volonté de convertir qui que ce soit. Évoquer Jésus comme un personnage historique n’a rien à voir avec l’adoration de Jésus-Christ fils incarné du Père. Savoir ce qu’est un baptême ne signifie pas baptiser de force les païens. Il faut, pour soutenir le contraire, être d’une singulière mauvaise foi ou d’une bêtise confinant à l’absurde. Il faut craindre, malheureusement, que cette seconde explication soit la bonne. Les gens qui dirigent notre pays sont devenus incapable de comprendre la nuance entre foi et culture.

    « L’Ancien comme le Nouveau Testament font partie de notre patrimoine culturel au même titre que la mythologie grecque ou romaine ou que les monuments religieux que les enseignants sont invités à faire visiter à leurs élèves : quelle différence y a-t-il, du point de vue du “prosélytisme” ou de son absence, entre faire lire en classe un passage de l’Évangile et commenter un vitrail qui a ce passage pour objet ? » Ces propos sont de Pierre Kahn, coordonnateur du groupe d’experts chargé de concevoir le programme d’enseignement moral et civique. Le bon sens même.

    http://www.bvoltaire.fr/secours-laicite-devient-folle/