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magouille et compagnie - Page 1558

  • LE PROBLÈME DES EXPULSIONS : UNE HONTE FRANÇAISE

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    Emmanuel Macron, le Président des « Celzéceux » (c’est ainsi qu’il désigne généralement les Français), s’est enfin adressé à « ceux-ci, celles-ci », dimanche 15 octobre, en promettant que « tous les étrangers en situation irrégulière qui commettent un acte délictueux seront expulsés ». Cependant, cette volonté si affirmée de plaire à la grande majorité des Français qui souhaitent l’arrêt de l’immigration et la reconduite des clandestins délinquants aux frontières n’est qu’une rodomontade car M. Macron n’ignore pas que tous ses services semblent s’être concertés pour organiser l’impossibilité de la mise en œuvre des lois référentes à ce problème, quand ces lois existent ; ainsi, le fait de séjourner irrégulièrement en France n’est plus un délit depuis la loi du 31 décembre 2012. Ahmed Hannachi, l’égorgeur des deux jeunes filles à la gare de Marseille, constamment appréhendé et relâché pour de nombreux délits, était un délinquant en situation irrégulière depuis… 2005. Se présenter sept fois sous une fausse identité n’est pas un délit non plus.

    Mais alors, comment expulser un clandestin délinquant dont on ne connaîtra jamais l’identité et comment lui signifier son expulsion s’il n’a pas d’adresse ? Mais c’est très simple : dans ces cas-là, on ne fait… rien.

    Et l’on se trouve devant cette situation ubuesque où notre bureaucratie incompétente et tatillonne ne va décider l’expulsion que des personnes qui ont fait l’effort de s’intégrer.

    Certains ont vu des forces de police arrêter sur la route des vieilles dames qui avaient omis d’attacher leur ceinture pendant que passent devant leur nez des « jeunes » sans casques, à trois sur un scooter et qui font un doigt d’honneur à leur intention.

    Nous sommes dans le même cas de figure.

    Il est bien plus confortable de signifier son expulsion à un étranger affable et discret, respectueux des lois du pays qui l’accueille.

    On n’expulse que ceux qu’on peut expulser sans risque. Il n’y aura pas de manifestation violente, ni de pétitions d’intellectuels et d’artistes, ni d’indignation des médias, ni de soutien des associations « charitables ».

    C’est ainsi que, dernièrement, les préfectures ont signifié un arrêté d’expulsion à un cuisinier japonais réputé à Reims, à une Allemande polyglotte employée à l’office du tourisme de Roquemaure, à une doctorante russe en économie qui finance elle-même ses études à Perpignan, à une bachelière (mention très bien), russe elle aussi, à Blois et bien d’autres encore, tout aussi méritants.

    Cette réelle discrimination est scandaleuse, une véritable honte française.

    Mais quel est l’intérêt, pour l’administration, de déclencher cette procédure à l’encontre de ces véritables « chances pour la France » s’il ne n’agit pas de « faire du chiffre » puisque, ces personnes n’étant pas délinquantes, aucune amende n’accompagne ces reconduites à la frontière ?

    Notre administration est gérée par l’idéologie de notre « élite » de gauche (certains politiciens, magistrats, médias, publicitaires, associations, syndicats, « artistes », etc.) qui n’aime ni les Russes ni les Japonais ni les Allemands pour différentes raisons inexprimables mais qui tiennent à une haine viscérale.

    Nous pouvons aussi nous demander s’il n’y a pas une volonté délibérée de remplacer les Français par une sous-classe d’individus déracinés, malléables et sans qualifications qui permettra à ladite « élite » et aux multinationales dont elle est dépendante de faire ce que bon leur semble.

    http://www.bvoltaire.fr/probleme-expulsions-honte-francaise/

  • Quand ils sont "d'extrême-droite" ils ne sont pas "déséquilibrés"

    6a00d83451619c69e201bb09cea8cf970d-800wi.pngDe Pierre Malpouge dans Présent :

    "L’info est tombée mardi et a vite fait le tour des médias : dans le cadre d’une enquête portant sur un (des) projet(s) d’attentat(s) – notamment contre des mosquées, des hommes politiques, des « blacks », des « racailles », des « djihadistes » ou encore des « migrants » –, dix personnes, âgées de 17 à 25 ans, ont été arrêtées à la suite d’un coup de filet mené par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et la sous-direction antiterroriste (Sdat) dans le milieu de l’« extrême droite » en Seine-Saint-Denis et dans les environs de Marseille.

    Comme par hasard, donc, ça n’a pas traîné et la plupart des noms des 8970-20171020.jpg« terroristes » – ici pas question de « maboules » ni de « déséquilibrés » – circulent dans les rédactions notamment celui de Logan Nisin, Vitrollais de 21 ans, interpellé le 28 juin dernier à Tarascon et mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, connu pour être un admirateur du tueur norvégien Anders Breivik – qui, en 2011, avait massacré 77 personnes sur l’île d’Utoya (Norvège) – et comme étant un ex-membre du « groupuscule royaliste Action française ».

    Un furieux dont les enquêteurs avaient relevé sa « volonté d’organisation et d’association » en vue de parvenir à ses fins, non sans avoir effectué des « repérages », mais sans pour autant avoir arrêté son choix sur une cible bien définie, est-il précisé dans Le Figaro. D’où direction la case prison direct pour lui mais également pour ses comparses, considérés pour l’heure comme des « pieds nickelés » par les policiers qui tentent de faire le jour sur la « nature des relations au sein de leur groupe ».

    Que ce coup de filet soit justifié, on aimerait voir la même efficacité contre les groupuscules d’extrême gauche, les fichés « S » et autres islamistes radicalisés et terroristes en puissance connus et reconnus mais relâchés dans la nature faute de place dans des centres de rétention administrative."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La police du quotidien: un air de déjà vu - Journal du Jeudi 19 Octobre 2017

  • Le scandale Weinstein éclabousse désormais les LGBT

    Balançons les porcs :

    "Le voile semble également se lever sur un fléau encore moins médiatisé: celui du traitement réservé aux (très) jeunes acteurs à Hollywood. Un phénomène certes moins endémique que le système sexiste, mais particulièrement tabou. Et soumis lui aussi à la culture du silence.

    «L'industrie du showbiz est probablement le milieu où les adultes ont le plus de liens directs et inappropriés avec les enfants au monde», déclarait Corey Feldman, ex-enfant star américain connu pour son rôle dans The Goonies. Récemment interrogé sur Harvey Weinstein, l'acteur a rappelé avoir dénoncé, depuis plusieurs années déjà, de nombreux cas d'abus sexuels sur de jeunes garçons à Hollywood. En allant jusqu'à parler de pédophilie. 

    Ces allégations, il les illustre par sa propre histoire et celle de son feu-meilleur ami - et compère à l'écran dans la série The Two Coreys - Corey Haim. L'acteur est décédé d'une pneumonie sous fond de surdose de drogues en 2010. Dans une interview accordée au Hollywood Reporter en 2016, Corey Fieldman raconte avoir subi des agressions sexuelles à maintes reprises dans le cadre de sa carrière d'acteur. Dont un viol, à l'âge de 15 ans, par un manageur employé par son propre père. Corey Feldman assure: «J'ai été molesté et passé d'homme à homme», comme un certain nombre d'autres enfants. Avant de révéler que son ami Corey Haim avait quant à lui été violé à l'âge de 11 ans seulement. Et ne s'en était jamais remis.

    Elijah Wood, l'acteur phare du Seigneur Des Anneaux, a lui aussi osé parler, en qualifiant Hollywood de repaire de "vipères". Il confie, pour sa part, avoir été protégé par sa mère, qui l'avait empêché de se rendre aux soirées mondaines Hollywoodiennes au début de sa carrière. S'il réfute avoir avoir subi de tels sévices, il sous-entend que tous ses collègues n'ont pas eu cette chance.

    Journaliste proche de l'alt-right, le très controversé Milo Yiannopoulus s'était lui aussi exprimé, en 2016, sur ces rapports malsains : dans un podcast, il décrivait un milieu rongé par la drogue, dans lequel certains grands noms de l'industrie avaient des rapports sexuels avec des garçons bien plus jeunes qu'eux. Chose qu'il refusait lui-même de condamner.

    Si peu de noms circulent encore, quelques réalisateurs ont été publiquement pointés du doigt. Parmi eux, Bryan Singer, le réalisateur de la saga X-Men, qui aurait pris part à de sulfureuses soirées privées auxquelles des magnats d'Hollywood conviaient les jeunes pousses du cinéma ou de la télé. En 1997, il avait d'ailleurs été traîné en justice pour avoir contraint des mineurs à se doucher nus en parallèle du tournage d'Apt Pupil. En 2014, il avait cette fois été accusé d'avoir abusé sexuellement d'un jeune homme de 17 ans."

    Michel Janva

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  • Attentat de Marseille : Opération diversion, le préfet limogé [Focus I-Media]

  • Convoqué au tribunal pour avoir médiatisé une affaire de viol chez les antifas

    L'animateur de FDesouche est convoqué car il est accusé d'avoir médiatisé une affaire de viol chez les antifas. C'est sa 3e convocation en 15 jours...

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Suite aux amalgames douteux de la presse aux ordres, un communiqué de l'Action française

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    François Bel-Ker, Secrétaire général d’AF

    Certains se sont crus autorisés à évoquer l’Action française après l’annonce de l’arrestation, mardi 17 octobre, d’une dizaine d’individus à la suite de celle, en juin dernier, de Logan Nisin, soupçonné de préparer des attentats contre des personnalités politiques. Jean-Luc Mélenchon est allé jusqu’à interpeller le ministre de l’Intérieur, le préfet de Police et le maire de Marseille, mercredi 18 octobre 2017, afin de demander la fermeture du local provençal de l’AF, 14, rue Navarin à Marseille.

    L’Action française tient à apporter les précisions suivantes :

    1 – Elle n’a jamais nié que, durant quelques mois, Logan Nisin, en errance idéologique, ait, après de nombreuses autres tentatives de militantisme politique, « trouvé refuge chez les royalistes de l’Action française (AF) » pour reprendre les mots de l’article d’Elise Vincent, paru le 18 octobre dans Le Monde. Le 4 juillet dernier, après l’interpellation et le placement en détention provisoire du jeune homme, l’Action française, par voie de communiqué, avait fait savoir qu’il avait quitté notre mouvement, le jugeant « trop politique » et « trop consensuel ». Nous réaffirmons ici que ses agissements solitaires étaient parfaitement inconnus des membres et des cadres de notre organisation et nous nous réservons le droit de poursuivre tous médias ou personnalités prétendant le contraire.

    2 – L’Action française affirme avec force qu’elle ne connaît ni les identités ni les agissements des individus interpellés mardi 17 octobre. Elle rappelle simplement que toute son histoire prouve son refus de l’action terroriste. Elle n’a aucun mort sur la conscience.

    3 – Ce sont les militants de l’Action française qui sont de manière récurrente l’objet de violences de la part de groupuscules extrémistes semblant jouir de la plus parfaite impunité. Depuis la montée en puissance des activités de notre mouvement royaliste, nos membres, à Paris, à Lyon et à Marseille, subissent un nombre grandissant d’attaques violentes : dépôt de grenade, bombe artisanale, attaques physiques des militants. Ainsi, une bombe a explosé cet été devant le local de l’AF, rue Navarin, sans que cet acte odieux ait suscité la moindre indignation de la part du personnel politique. M. Mélenchon qui demande aujourd’hui la fermeture de notre local, n’avait pas alors protesté contre cet acte à caractère terroriste. Bien que député de la circonscription où a eu lieu cet attentat, il ne s’est jamais inquiété de l’état d’avancement de l’enquête.

    4 – Concernant les troubles à l’ordre public qu’impute M. Mélenchon à notre mouvement, nous rappelons que, par deux fois, la préfecture de police des Bouches-du-Rhône a pris un arrêté bloquant l’accès à la rue Navarin par un très large déploiement des forces de l’ordre à la suite des très nombreuses exactions qui ont toutes été commises, avec l’adoubement et la complicité des médias locaux, par des militants de l’ultra gauche proches pour certains de la France Insoumise.

    5 – Si la seule vocation des groupuscules dits antifascistes et d’extrême-gauche est d’en découdre violemment, à Marseille comme au plan national, avec les forces de l’ordre, l’engagement des militants d’Action française est celui du combat pour la France par la diffusion des idées royalistes. Il est évident que c’est la simple présence de l’Action française qui est insupportable à certains. En pratiquant l’amalgame, ceux qui diffament notre mouvement avouent simplement leur profond mépris des libertés politiques fondamentales.

    Les militants de l’Action française sont des citoyens à part entière : forts de leurs droits et conscients de leurs devoirs envers la nation, ils continueront, à Marseille comme partout ailleurs en France, à militer pour ouvrir les yeux de leurs compatriotes sur la réalité d’un régime qui les conduit à l’asservissement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les territoires perdus des femmes en France

    André Versaille publie en ce moment un feuilleton sur le site du Monde, intitulé: « Les musulmans ne sont pas des bébés phoques »

    Cela fait des années que l’on voit l’islamisme irriguer des banlieues et y imposer progressivement sa loi, notamment sur les femmes. Nombre d’entre elles sont surveillées et leur liberté s’y restreint chaque jour davantage. Elles ont non seulement perdu le droit de s’habiller comme elles l’entendent sous peine d’être insultées, voire molestées, mais, ainsi qu’un reportage diffusé le 16 décembre 2016 sur France 2 l’a montré, dans plusieurs quartiers de la périphérie de Paris et de Lyon, par exemple, elles deviennent de plus en plus indésirables dans l’espace public. Là, pour une femme, se promener en jupe ou prendre un verre en terrasse s’apparente, aux yeux de certains musulmans, à une attitude de défi. Dans le reportage, une femme, Aziza Sayah, déclare : « Pour moi, l’islam, c’est comme le Code pénal, maintenant “Ça, c’est interdit ! Ça, c’est interdit ! Tout est interdit !” On est en France, quand même ! » Le reportage montre des femmes résignées comme cette assistante maternelle qui fait tout pour ne pas être remarquée : « Je mets des vêtements sombres, des pantalons, pas de jupe, pas de maquillage. On s’efface. – Pourquoi ? – Parce qu’on a peur, tout simplement ! »

    Lire la suite sur Causeur

  • LA CULPABILITÉ MORALE DE RICHARD FERRAND...

    Marc Rousset

    1624555301.jpgTout a été fait par le pouvoir socialiste et les médias pour accabler et condamner juridiquement François Fillon : accélération des procédures à la vitesse de la lumière, attaques médiatiques, lois nouvelles votées in extremis pour qu’il n’y ait pas prescription de certains faits…Tout aura été fait au contraire par les médias et le pouvoir « En marche » afin d’ innocenter et ne pas condamner juridiquement Richard Ferrand.

    Le nouveau procureur de Brest Jean-Philippe Récappé, comme par hasard tout récemment nommé, a annoncé le vendredi 13 octobre le classement sans suite de l’affaire Ferrand. Sur un des volets de l’affaire, un éventuel délit de prise illégale d’intérêts, le procureur a invoqué la prescription de l’action publique depuis le 19 juin 2015 au vu des règles de prescription alors en vigueur (trois ans pour les délits). C’est donc la seule prescription qui sauve Ferrand de la condamnation probable.

    Suite aux révélations du Canard Enchaîné du 24 mai 2017, Richard Ferrand, allié de la première heure de Macron, était soupçonné d’avoir favorisé sa compagne, l’avocate Sandrine Doucen, à l’époque où il était directeur général (1998-2012) des Mutuelles de Bretagne et élu local PS.
    En 2011, cet organisme à but non lucratif, qui cherchait à louer des locaux pour installer un centre de soins à Brest, avait choisi la proposition d’une société civile immobilière(SCI) appartenant à Mme Doucen, parmi trois offres présentées.

    Selon l’hebdomadaire satirique, la promesse de location avait permis à Mme Doucen d’obtenir un prêt bancaire équivalent à la totalité du prix des locaux, ce qui signifiait que Mme Doucen ne prenait aucun risque financier et n’engageait aucun capital propre, bref l’affaire rêvée du siècle en or massif ! Et cerise sur le gâteau, c’est la Mutuelle seule qui pour 184 000 euros s’engageait à rénover les locaux à ses frais. Selon le Canard, la valeur des parts de la SCI a été multipliée par 3000 en six ans !

    Le quotidien Le Monde avait en outre révélé que l’éphémère ministre de la Cohésion des territoires avait fait bénéficier ses proches de plusieurs contrats, notamment son ex-femme et sa compagne alors qu’il dirigeait les Mutuelles. De plus, Richard Ferrand avait conservé un poste de chargé de mission auprès de la nouvelle directrice des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1250 euros par mois, après son élection à l’assemblée en 2012 et ce pendant toute la législature.

    Après avoir estimé dans un premier temps que les faits ne justifiaient pas l’ouverture d’une enquête, le parquet s’est ravisé le 1er juin 2017, au lendemain de l’annonce d’une plainte de l’association anticorruption Anticor. Celle-ci a appelé vendredi 13 octobre « à corriger les failles de la législation pour sanctionner ce type de pratiques qui ont permis à la compagne de M. Ferrand d’acquérir un patrimoine d’un demi-million d’euros sans bourse délier ».

    Mais l’affaire n’est pas finie juridiquement pour autant car le FRICC (Front républicain d’intervention contre la corruption) ainsi que des mutualistes citoyens vont déposer plainte pour délit d’entrave aux fonctions de commissaire aux comptes qui aurait dû préalablement valider le montage immobilier du siècle pour la compagne de Richard Ferrand. Selon le Président Jean-Luc Touly, ce délit est passible d’une peine de maximale de 5 ans de prison et de 75 000 euros d’amende.

    Le FRICC  porte également plainte contre le député Ferrand pour son activité de lobbying à la commission des affaires sociales, ayant démissionné à quatre reprises pendant plusieurs jours de la commission de défense nationale, au moment où des textes sur les mutuelles étaient en débat.

    Richard Ferrand est donc coupable moralement, sauvé à ce jour juridiquement par la seule prescription, mais l’affaire n’est pas encore à ce jour complètement terminée.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LE PROCÈS DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE EST UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION »

    Il y a cinq ans, l’action choc du groupe Génération identitaire, qui avait occupé le chantier de la mosquée UOIF de Poitiers, avait défrayé la chronique. Leur procès a lieu ce 20 octobre.

    Me Frédéric Pichon, un des avocats de ces jeunes gens, dénonce ces poursuites politiques qui n’ont d’autre but que de museler l’opinion sur la question de l’islam. 

    http://www.bvoltaire.fr/proces-de-generation-identitaire-atteinte-a-liberte-dexpression/