Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1659

  • La Russie pour cible

    Georges Feltin-Tracol

    3073775071.jpgIl ne fait pas bon d’être russe en Occident ces derniers temps. D’habitude si attentives à l’Autre, les instances politico-médiatiques occidentales ne cachent même plus leur profond mépris à l’égard de la Russie coupable de revenir sur la scène internationale, ce qui est scandaleux venant de l’État le plus étendu au monde, en outre deuxième détenteur d’ogives nucléaires de la planète.

    Au moment où toutes les phobies, toutes les peurs collectives sont de plus en plus pénalisées, une seule est encouragée, voire valorisée : la russophobie. Russophobie 2.0 est d’ailleurs le titre du livre écrit par l’Italien Giulietto Chiesa (Le Retour aux Sources, 208 p., 19 €). Russophone et ancien correspondant de presse à Moscou, Chiesa fut député européen entre 2004 et 2008. Il dénonce dans cet essai « une constante au cours des cinq derniers siècles (p. 7) ». La russophobie qui s’étend jusqu’à une partie du peuple russe. « Tout au long de son histoire, l’intelligentsia russe a été éloignée de son peuple, et absolument incapable d’en partager les sentiments profonds, affirme-t-il. C’est ce qui explique également chez les intellectuels russes ce désintérêt collectif pour la nation à laquelle ils appartiennent (p. 152). » Le terme de nation apparaît ici inapproprié pour décrire l’ultime entité impérial existante. Fascinée par un soi-disant modèle occidental, cette frange infime de la société russe ignore que « les peuples américain et européen, insiste encore l’auteur, constituent de magnifiques cobayes pour le mensonge, mais il faut toujours faire attention à préserver la forme démocratique (pour l’instant, du moins) (p. 56) ».

    Giuletto Chiesa estime que « l’Occident cherche à couper les ponts, pour supprimer toute possibilité de dialogue (p. 201) ». N’hésitant pas à considérer le 11 septembre 2001 comme un « attentat sous fausse bannière (p. 115) » et envisageant l’élection certaine de la néo-conservatrice belliciste Hillary Clinton – il ne pouvait prévoir la surprise Trump -, il affirme que « l’ère Obama n’a pas été qu’une suite de victoires médiatiques, elle a connu aussi des défaites politiques et diplomatiques pour les États-Unis. Poutine, à l’opposé, a systématiquement perdu les premières, mais remporté les secondes (pp. 191 – 192) ». Bien vu ! En revanche, on reste très sceptique à propos de son avis partisan sur la crise ukrainienne plus complexe qu’il n’y paraît Cet ancien candidat aux européennes du parti pro-russe en Lettonie ne peut pas s’empêcher de verser dans un antifascisme obsolète en qualifiant les courageux nationalistes-révolutionnaires ukrainiens de « néo-nazis ». On s’étonnera toujours que quelques personnes n’appliquent pas à toutes les communautés populaires enracinées le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 23, diffusée sur Radio-Libertés, le 3 mars 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Fillon, Trump et le Pen face au coup d’État mondial

    Pour Trump, la trêve n’a pas duré 24 heures.

    Brave New World… Point n’est donc besoin de politique, ni d’hommes et de femmes d’État. Les Porochenko suffisent : en France… c’est Macron, en Allemagne… Merkel, et aux États-Unis… tout sauf Trump !

    Pour Trump, la trêve n’a pas duré 24 heures. Au lendemain de son remarquable discours du 28 février au Congrès, CNN dopait ses taux d’écoute et de clics avec une réunion-débat très publicisée qui mettait en vedette les sénateurs McCain et Graham. Ils y firent leur job, revalidant la sempiternelle idée de l’inconscience du président Trump face à la nocivité russe. Puis la journaliste Dana Bash leur « révéla » que le Washington Post publierait le soir même un article sur les « relations » (pendant la campagne) du ministre de la Justice Jeff Sessions avec l’ambassadeur de Russie…

    La Maison-Blanche réalisait ainsi que le départ du général Flynn avait galvanisé les hyènes, qui exigeaient maintenant la tête de Sessions. Donc, plus de détente avec la Russie, point de politique ferme sur l’immigration, fin de l’enquête sur les inscriptions frauduleuses des migrants sur les listes électorales. Bref, pour reprendre le livre d’Ann Coulter : ¡Adios, America!

    Sessions s’est expliqué tout de suite : il avait rencontré l’ambassadeur, comme moult sénateurs, dans le cadre de ses fonctions officielles, et chaque fois devant témoins. Il n’avait pas estimé important d’en parler lors de sa nomination.

    Reste qu’il va passer à la question sénatoriale le 6 mars afin de s’expliquer, risquant le parjure. Et puis il y a maintenant les courriels privés de Mike Pence : Adios, les valeurs chrétiennes… 

    Trump a conscience que ce méthodique « coup d’État rampant » ne cessera pas tant qu’il n’aura pas pris le taureau par les cornes. Il est déjà entouré de ministres « néocons » et doit diriger une fonction publique qui vote démocrate à 90 %. Tant qu’il n’aura pas fait admettre au public qu’il n’y a aucun mal à vouloir une détente avec la Russie (comme ce fut le cas avec l’ancienne URSS), il ne s’en sortira pas, dans la mesure où une partie des républicains jouent aussi contre lui.

    La vie est cependant pleine de surprises. Le Speaker de la Chambre, l’ancien #NeverTrump Paul Ryan, a publiquement confirmé, il y a 48 heures, que toutes les enquêtes en cours sur la campagne de Trump n’ont pu démontrer aucun comportement coupable. Confirmé par le président de la Chambre des représentants, le Californien (et anciennement hostile à Trump) Devin Nunes… Reste la commission d’enquête du Sénat animée par les Folamour McCain et Graham, lesquels apportent de l’eau au moulin de Nancy Pelosi, la responsable du groupe démocrate à la Chambre. C’est la puissante et riche Pelosi qui a, en effet, rencontré Soros à l’hôtel Mandarin le 13 novembre dernier à Washington, avec des financiers, afin de lancer la contre-attaque « pour reprendre le pouvoir »

    Et Obama ? On savait qu’il avait donné (avant son départ) accès aux fonctionnaires à un réservoir d’informations précédemment secrètes afin de « faciliter » les fuites. On commence à se rendre compte que c’est allé plus loin : Joel Pollack (Breitbart News) a révélé, vendredi, qu’Obama avait mis la Trump Tower sur écoute en octobre. Trump a lancé plusieurs tweets sur le sujet. Confirmée, une telle information pourrait-elle valoir la prison à Obama? Trump semble le penser… d’autant que le New York Times lui-même avait (il y a peu) commis un lapsus sur lesdites écoutes, les confirmant de facto.

    http://www.bvoltaire.fr/andrearchimbaud/fillon-trump-pen-face-coup-detat-mondial,317278

  • Marine Le Pen : "Vous BFMTV soutenez Macron de manière éhontée"

    Michel Janva

  • Hayange : le préfet instaure un régime de faveur pour les illégaux

    hayange-000_par7838972-600x338.jpg

    En Moselle, les migrants ont une fois de plus droit à un régime d’exception. En effet, à Hayange, le préfet a réquisitionné un hôtel pour y loger plusieurs dizaines de clandestins. Après huit mois de fermeture, l’hôtel Le Central accueille désormais depuis quelques jours une cinquantaine de demandeurs d’asile.

    Une décision qui est loin de plaire au maire FN d’Hayange, Fabien Engelmann. Celui-ci avait alors demandé qu’à la place soient logés dans cet hôtel des SDF français.

    On lui avait alors objecté : « Vous savez, les SDF français en règle générale, ils préfèrent rester dans la rue ».

    Selon le journal Minute, ce serait le cas de 40 000 personnes en France. Pour comparaison, en 2015, 498 SDF étaient décédés dans la rue, faute de toit pour s’abriter.

     

     
  • Christine Tasin et Marine Le Pen : deux scandales d’une justice socialiste soumise à l’islam

    Communiqué de Riposte laïque et de Résistance républicaine

    En 24 heures, deux événements judiciaires d’une extrême gravité, liés à l’islamisation de notre pays, viennent de se produire.

    Ce mercredi 1er mars, Christine Tasin était jugée par la XVIIe Chambre, suite à la plainte du parquet de Paris (aux ordres du gouvernement socialiste). Les faits : la présidente de Résistance républicaine avait, après l’assassinat des deux policiers de Magnanville, tenu un discours au Trocadéro, à l’invitation du SIEL.

    Elle avait ponctué ses phrases par l’expression « Islam assassin ». La LICRA a fait un signalement, et le parquet a cru utile de déposer plainte contre ces propos.

    Ce procès, auquel LICRA et LDH se sont associées, était déjà en lui-même un scandale pour la justice française, puisqu’il signifiait que dorénavant la critique de la seule idéologie islamique serait interdite par nos juges. Il s’est trouvé, en outre, un procureur de la République, qui est payé pour rendre la justice au nom du peuple français, pour oser demander 3 mois de prison, même avec sursis, contre Christine Tasin, au nom de la défense du « vivre-ensemble ». Premier scandale !

    Ce jour, l’Union européenne, par un vote à main levée d’un certain nombre de députés présents, vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Cet acte n’a été possible que parce que le parquet de Nanterre (aux ordres du gouvernement socialiste), s’est permis de demander cette sanction au Parlement européen. Le crime de la présidente du FN ? Grossièrement insultée par Jean-Jacques Bourdin, qui avait comparé son parti à l’Etat islamique, elle avait répondu par un tweet montrant des scènes barbares commises par les djihadistes. Le parquet, avec une rare malhonnêteté, au service du pouvoir, a cru y voir l’apologie du terrorisme. Il a donc demandé la levée de l’immunité de Marine le Pen, et vient d’obtenir satisfaction, pour la plus grande joie du pouvoir. Deuxième scandale !

    En Grande-Bretagne, des tribunaux islamiques remplacent les tribunaux publics pour rendre la justice au nom de la charia. Faut-il rappeler que les Droits de l’homme en terre d’islam, votés par l’ensemble des pays musulmans au Caire, en 1990, interdisent, dans l’article 22, toute liberté d’expression qui ne serait pas compatible avec la charia ?

    Certes, la décision de la XVIIe Chambre n’est pas encore rendue, et nous pouvons encore espérer dans le bon sens des juges. Mais qu’un procureur du parquet de Paris puisse demander de la prison contre Christine Tasin, et que le parquet de Nanterre ose demander la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen pour les faits cités ci-dessus, montrent une inquiétante dérive de la justice française – devenue bras armé du pouvoir socialiste – vers la soumission aux lois de l’islam.

    Riposte laïque et Résistance républicaine
    Fait à Paris, le 2 mars 2017

    Voir aussi : Islam assassin : le procès contre Christine Tasin est une honte pour la justice française

    http://www.polemia.com/christine-tasin-et-marine-le-pen-deux-scandales-dune-justice-socialiste-soumise-a-lislam/

  • Deux agriculteurs américains témoignent des méfaits des OGM

    « Les OGM détruiront votre modèle d’agriculture familiale s’ils sont adoptés ! »C’est en substance le message que sont venus porter en France deux agriculteurs américains « repentis » des OGM. L’un, Wes Shoemyer, petite barbichette, grand sourire et chevalière frappée d’un symbole franc-maçon, dirige une exploitation de 1 200 hectares dans le Missouri, l’Etat abritant le siège de Monsanto. Elu démocrate au sénat du Missouri, il est en lutte contre « l’accaparement monopolistique de l’agriculture par une poignée de firmes ». A ses cotés, Wendel Lutz, la cinquantaine débonnaire du typique « mid-west farmer », l’air tragique en plus de l’homme en résistance. Ils ont été invités à témoigner par Greenpeace afin de raconter « leur réalité ». 
    Solidement installé au fond de sa chaise, Wes Shoemyer raconte : « Avant l’introduction des OGM, nous utilisions déjà l’herbicide Roundup pour brûler les mauvaises herbes, c’était miraculeux ! Entre 1996 et 2001, au moins 80% des agriculteurs ont adopté ce système des OGM. » L’élu reproche aujourd’hui à Monsanto d’avoir mis en place une stratégie de capture du marché avec des prix attrayants, en particulier sur le Roundup, pour ensuite organiser l’envolée des prix. Il est inquiet de voir « les agriculteurs payer de plus en plus cher, non plus pour financer la recherche ou améliorer leur production, mais pour s’acquitter d’un brevet contrôlé par une seule compagnie ». Aux États-Unis, la technologie brevetée Roundup Ready de Monsanto est présente dans 94% des variétés de soja génétiquement modifié et 70% du maïs génétiquement modifié d’après le ministère de l’Agriculture. 
    Des mauvaises herbes résistantes au Roundup 
    Aux Etats-Unis, entre 2000 et 2011, la consommation annuelle de glyphosate, la substance active du Roundup est passée dans les champs de maïs de 1,8 million à 30 millions de tonnes dues à l’expansion massive des OGM. Une explosion de la consommation qui s’explique également par l’augmentation des doses pour tenter de contrôler certaines mauvaises herbes devenues tolérantes au Roundup, découvertes pour la première fois en 2000 dans le Delaware. Une mauvaise surprise dure à digérer pour Wendel Lutz : « C’est en 2011, que j’ai observé les premiers plants d’amarantes rugueuses résistants au glyphosate se développer dans mes champs. C’est injuste qu’après seulement cinq ans d’exploitation des OGM mes champs aient été envahis, c’est à ce moment que j’ai décidé d’arrêter et d’alerter mes collègues ! » 
    Au moins 5 millions d’hectares de cultures, d’après l’industrie, seraient contaminés par ces « super adventices », capables de résister à plusieurs classes d’herbicides. L’organisation internationale chargée de leur contrôle (ISHRW), financée par les producteurs de pesticides, a déjà recensé 23 espèces sauvages résistantes, un chiffre sous-estimé selon d’autres experts. 
    La fuite en avant vers toujours plus de pesticides 
    Wendel raconte : « Certains de mes voisins qui ont le même problème préfèrent continuer en augmentant les doses ou en cumulant plusieurs molécules. C’est une fuite en avant avec le risque qu’à terme la plupart des mauvaises herbes deviennent résistantes à tous les herbicides. » 
    Une tendance que suit l’industrie. Sur 20 nouveaux OGM en cours d’évaluation auprès de la FDA, l’agence de régulation sanitaire américaine, 13 sont élaborés pour résister à de multiples herbicides. La firme Dow pense répondre à ce fléau en réintroduisant d’anciens herbicides comme le Dicamba ou le 2-4 D, ayant servi dans la composition de l’agent orange lors de la guerre du Vietnam et auquel des résistances de plantes sauvages ont déjà été observées. 
    Un retour aux semences conventionnelles ? 
    Pour Wes, il est encore possible d’agir : « Il faudrait revenir en arrière, vers des semences conventionnelles ; certaines compagnies en ont fait une spécialité. Malheureusement, il y a une vraie dépendance des agriculteurs vis-à-vis de ces technologies que les compagnies ont intérêt à entretenir et cela au détriment des bonnes pratiques culturales. » 
    Pour Wendel il faudrait « une impulsion économique, une plus grande demande pour du non-OGM, pour voir un changement d’orientation » dont l’étiquetage des OGM, actuellement en débat, pourrait être le socle. 
    En guise d’avertissement final, Wes Shoemyer lance : « Si la France ou l’Union européenne adoptaient les OGM, cela aurait un impact majeur sur les campagnes. Si vous voulez de grandes fermes en monoculture, si vous souhaitez vider les zones rurales de leurs habitants, alors vous adoptez le modèle OGM. C’est cela l’expérience américaine : une agriculture sans agriculteur contrôlée par des entreprises multinationales ! »
    Source Rue89 planète

  • Calais – Migrants dans les bois, gauchistes sur la place publique

    Trois mois après le démantèlement de la « Jungle », la tension est à nouveau à son comble à Calais. Les associations « humanitaires » ont réussi leur pari : faire revenir les migrants dont des mineurs qui étaient hébergés dans d’autres régions dans des Centres d’accueil et d’orientation (CAO). L’Etat et la Préfecture du Pas-de-Calais ne prenant aucune mesure concrète, des associations comme Utopia 56 organisent des distributions sauvages dans la Zone industrielle des dunes, à proximité de l’ancienne « Jungle » et du Bois Dubrulle qui est de nouveau occupé par les clandestins. Retour à Calais… 

    Vendredi  3 mars. 18h15 

    A la gare c’est comme un air de déjà vu. Les gendarmes arpentent le hall et les quais en attente de l’arrivée du train de Lille toujours squattés par des clandestins. Serge (*), nous attend en voiture à deux pas de l’Hôtel de Ville. Ecoeuré par la situation, ils nous a proposé de nous montrer les points de « fixation » qui sont en train de se recréer. 

    Direction, la rue des Verrotières, zone industrielle des Dunes. Nous empruntons la rocade portuaire. Près de la station Total, zone d’activités Marcel Doret et des parkings où stationnent les routiers en partance pour le Royaume Uni, des migrants se terrent derrière des barrières.« Ils attendent que la nuit tombe pour tenter de rentrer dans les remorques. Nous revivons l’enfer de ces dernières années et on se demande à quoi sert le mur de protection censé protéger la rocade … »

    En effet. Au rond-point de la station service, le mur n’a pas été achevé et les clandestins peuvent tranquillement passer pour accéder à la rocade.

    18h45

    Nous arrivons sur la Zone des Dunes. Arrêt au bois Dubrulle située non loin d’un quartier résidentiel. En 2016, ce bois qui était devenu une décharge du fait de la présence des « migrants » a été entièrement nettoyé. Serge nous sort des articles de presse. « 40 tonnes de déchets ont été enlevées sur huit hectares !  La Ville de Calais avec le lycée de Coulogne a replanté un millier d’arbres. » Le site qui avait déjà été nettoyé une première fois en mars 2015 lors du démantèlement d’un squat était censé redevenir un lieu de promenade … «  Qui va s’aventurer ici ? » s’interroge Serge en nous montrant un petit groupe de clandestins se diriger vers les bois pour rejoindre un point de distribution sauvage rue des  Verrotières où sont installés des hangars et des entreprises. 

    Un groupe d’Africains, des adultes, a pris ses aises dans un terrain non loin du bois. A la vue de notre photographe, des cris. Un des membres du petit groupe ramasse des pierres pour nous les jeter… Pas de doute, les migrants sont de « gentils enfants ».

     « On évacue, grommelle Serge. La maire Natacha Bouchart (LR) a bien tenté de prendre un arrêté «pour interdire les distributions. Comme il n’avait pas prévu de limiter l’interdiction dans le temps et l’espace, les associations se sont enfournées dans la brèche. »

    Complètement dépassée,  Natacha Bouchart, que Libération surnommait en 2015, « une maire pour les migrants » (1) a indiqué à la presse locale qu’elle prendrait de nouvel arrêté et qu’elle s’en remettait à l’Etat …

    Agressifs, rue des Verrotières, les clandestins ont voulu jeter des pierres à notre photographe

    19h 

    Sur la voie ferrée, non loin des hangars, des sacs de couchage et des vêtements abandonnés attestent d’une zone de passage. A notre arrivée, des clandestins âgés de 13 ou 14 ans se cachent. Ils seront interpellés par des CRS. 

    Quelques minutes plus tard, nous croisons d’autres adolescents qui ont eux aussi déserté les CAO. « Les associations ont tout fait pour les faire revenir, s’indigne Serge. Les migrants c’est la raison d’être des bénévoles et le fruit des subventions qu’ils perçoivent »

    Retour vers le centre-ville de Calais. Trois Erythréens, bien vêtus, les mains dans les poches, se dirigent vers un point de distribution. Ils sont propres, non pas d’effets personnels. Ceux là comme d’autres squattent donc quelque part … « Nous allons lancer une initiative citoyenne pour répertorier les points de fixation et les squats, explique Serge. Il est temps que les citoyens se mobilisent pour leur ville et ne laissent plus le champ libre aux associatifs » 

    interpellation Zone des Dunes

    19h30

    Boulevard Lafayette, au coin de la rue des Poilus, le local du Parti Communiste est devenu le refuge de la fange No Border . Comme à l’accoutumée, il regorge de militants et de clandestins. La mouvance « antifa » qui régulièrement fait de l’affichage sauvage dans le centre-ville, sans aucune réaction de la municipalité, annonce un rassemblement pour samedi matin, jour de marché, place d’Armes. Notre guide nous invite à rester une journée de plus.

    Samedi 4 mars.

    11h45

     En maillots de bains, en peignoirs … Une quarantaine de militants pro-migrants, des mélenchonistes, font les clowns, place d’Armes sous le regard bienveillant de De Gaulle et de son épouse …  « Des douches et un point d’accueil pour les migrants ». Le message est clair.  

    Dans la foule clairsemée, Jacky Hénin, l’ancien maire communiste de Calais, candidat aux légistatives, fait son come back.  Il est vrai qu’il a écrit sur son blog « qu’il était prêt à aller donner un coup de main pour nourrir les migrants, chose qu’il n’a jamais faite jusqu’alors » (sic). 

    Des militantes distribuent des tracts appelant « à la désobéissance » tout en dénonçant Natacha Bouchart et « le danger fascisant qui laisse planer l’ombre brune et purulente de la haine sur toute une ville »… Le tout assorti d’un laïus sur la Fraternité « sans distinction de couleur ».

    12h

    A deux pas de la sauterie gauchiste, sous une arche, deux SDF originaires des Pays de l’Est dorment sur des matelas à même le sol. L’humanité bien pensante ici présente ne les a même pas aperçus. A Calais, le blanc pauvre… ne fait pas recette. Pas assez exotique, sans doute et pas assez rentable.

    Clovis Just 

  • Macron « pour la tolérance zéro »… à l’égard des policiers !

    Ces propos sont indignes d’un candidat à la magistrature suprême.

    Les deux syndicats de police qui se sont agités face aux « propos menaçants » de Marine Le Pen à l’encontre de certains fonctionnaires réagiront-ils de la même manière suite aux paroles, pour le moins déplacées, prononcées par Emmanuel Macron lors de la présentation de son programme électoral ?

    En effet, ce dernier, qui n’a manifestement aucune idée de la façon dont il combattra le terrorisme et la criminalité galopante que connaît notre pays, a choisi de s’en prendre directement aux policiers. Summum de la provocation : le chouchou des sondages a même évoqué la « tolérance zéro », non pas contre les délinquants mais contre les policiers !

    Voilà une position qui fera certainement plaisir à Mélenchon, à la CGT et au Syndicat de la magistrature. Mais qu’en sera-t-il de l’ensemble de ces fonctionnaires de police qui, depuis des mois, travaillent sans relâche pour la sécurité des Français, au préjudice de leur vie de famille ? Qu’en penseront les centaines de policiers blessés lors des attaques terroristes, des manifestations violentes ou de l’embrasement de nos quartiers ? Apprécieront-ils l’amalgame fait entre l’immense majorité des gardiens de la paix, dévoués et irréprochables, et les quelques ripoux que compte une institution qui permet cependant à notre République de tenir contre vents et marées, même lorsqu’elle est dirigée par des incapables ?

    Ces propos sont indignes d’un candidat à la magistrature suprême. Ils traduisent une méconnaissance profonde de nos administrations et de leur histoire. Ils traduisent aussi un réel parti pris en faveur du désordre, à peine dissimulé par une extraordinaire vindicte idéologique. En prenant de telles positions, Macron dévoile ce qu’il est en réalité : un laxiste et un démagogue de la pire espèce. Déjà, son programme en matière de sécurité, d’une rare indigence, dévoile son manque de connaissances en la matière, et la réalité de choix funestes à venir pour notre société, dans le cas malheureux où il serait élu.

    Sa police de proximité du quotidien, ripolinage du fiasco de la police de proximité des années 2000, démontre en effet le décalage profond qui existe entre l’ancien banquier de chez Rothschild et la réalité sécuritaire vécue par de nombreux Français. Mais la tranquillité et la sécurité publiques ne sont pas la priorité de ces gens-là. Il est plus important d’envoyer des signes d’apaisement aux voyous que de se préparer à une guerre intérieure inéluctable, mais que l’on ne veut pas mener.

    Et puis, les sondages ne disent-ils pas que de nombreux policiers seraient tentés par un vote en faveur du Front national ? Alors, pourquoi prendre des gants avec des séditieux ? Inutile de chercher à comprendre les raisons de ces intentions, si tant est qu’elles soient établies. Il faut envoyer un message fort, quitte à diviser, encore et toujours, un corps social déjà malmené.

    Ainsi, policiers (nationaux et municipaux), gendarmes, agents de la pénitentiaire, tous sont maintenant prévenus de ce qui les attend en cas de victoire du fils spirituel de François Hollande. Tous savent désormais qu’ils ne seront plus les « chasseurs » mais le « gibier ». Qu’ils seront livrés en pâture à une racaille qui n’en demandait certainement pas tant. Et que, de la même façon que l’on n’attend même plus de connaître la vérité sur les enquêtes mettant en cause des policiers, ils seront susceptibles, eux et leurs familles, à chaque instant, de se voir frappés d’infamie et condamnés sans procès. Vive la démocratie !

    http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/macron-tolerance-zero-a-legard-policiers,317222

  • Temps de parole des candidats : la presse roule pour Macron

    C6EnEBgWQAADk9D.jpg-large

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen va-t-elle être poursuivie pour apologie du terrorisme islamiste ?

    Chard-Marine-Le-Pen-immunité.jpg

    8813-20170304-1.jpgMarine Le Pen va-t-elle être poursuivie pour apologie du terrorisme islamiste ? Ça n’aurait rien d’absurde quand son immunité parlementaire est levée à la demande du pouvoir socialiste pour la poursuivre parce qu’elle a diffusé sur son compte Twitter des photos des atrocités de Daech.

    En décembre 2015, Marine Le Pen avait posté trois photos dont celles de l’exécution du journaliste américain James Foley, avec le texte : « Daech, c’est ça ! » En marque de protestation contre le parallèle ignoble fait par Jean-Jacques Bourdin entre l’Etat islamique et le Front national sur RMC-BFM. Lors d’une interview de Gilles Kepel, Bourdin avait déclaré : « Je voudrais revenir sur les liens… euh… entre Daech et le Front… enfin les liens, pas les liens directs, entre Daech et le Front national, mais ce repli identitaire, qui finalement est une communauté d’esprit, parce que l’idée pour Daech c’est de pousser la société française au repli identitaire. »

    Le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) a ouvert une information judiciaire à l’encontre de la présidente du Front national pour « diffusion d’images violentes ». Pendant ce temps, personne n’inquiète Macron sur les 120 000 euros détournés de son ministère de Bercy pour le lancement d’En Marche !, ni sur les trois millions touchés chez Rothschild (il ne paie pas l’ISF) ni sur la sous-estimation de son patrimoine.

    La levée d’immunité parlementaire de Marine Le Pen, votée à main levée au Parlement européen, a été dirigée par le député grec d’extrême gauche, Dimitrios Papadimoulis.

    « Je suis député, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daech », a déclaré la candidate jeudi, dénonçant « une enquête politique ». « Les députés européens qui ont voté la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen admettent donc qu’ils sont des godillots qui n’ont pour rôle que d’entériner les décisions des instances européennes antinationales et qui jouent le jeu des islamistes en cachant leurs monstruosités », a réagi le directeur de campagne David Rachline.

    Ils n’ont trouvé que ça ? Parce qu’ils n’ont rien d’autre. Et en plus ils sont nuls. Ces poursuites contre Marine, parce qu’elle a dénoncé la barbarie des égorgeurs islamistes, vont évidemment lui attirer un immense courant de sympathie.

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 4 mars 2017

    http://fr.novopress.info/