magouille et compagnie - Page 1712
-
EN CAS DE DUEL FN-PS EN 2017, FARID FILLON APPELLERA À VOTER POUR LE CANDIDAT SOCIALISTE « SANS AUCUNE HÉSITATION »
Et ça étonne qui ?On vous avait dit quoi sur cet homme, qui a passé 5 ans le cul posé sur nos impôts et qui se la joue Trump pour bourgeois naïfs ?Peut-être bien que si Juppé a été aussi baboucholâtre, c’était pour assurer une victoire écrasante de Fillon sans qu’il n’ait un seul mot dur à dire contre l’islam, et ainsi passer pour le défenseur de la France sans prendre le risque de choquer son électorat de connards consensuels.Y.M. -
Le vivre ensemble ou l'imposture de la novlang - Meta TV 3/3
-
Paris Berlin même combat
Ce que l'on sait de l'attentat de ce 19 janvier, dans son horreur comme dans la routine qui commence à s'installer, confirme hélas tout ce que l'on a pu observer jusqu'ici.
On a mis, une fois de plus, un certain temps à reconnaître malgré la similitude absolue avec le mode opératoire et le scénario du 14 juillet à Nice, qu'il s'agissait d'un acte terroriste. (1)⇓
Dans la foule des échanges un peu ingénus, l'un d'entre eux a retenu mon attention. Question de la journaliste : "Jusque-là, l'Allemagne semblait plutôt épargnée alors pourquoi est-elle visée aujourd'hui ?" Réponse du spécialiste "En 2015, l'Allemagne apparaissait comme une terre d'accueil des migrants (...). Et puis 2016 a été plutôt une année de fermeture, ce qui a changé la perception de tous ces migrants, de tous ces réfugiés (...). Le peuple allemand a également durci sa position" (2)⇓.
Autrement dit : ce qui est arrivé aux Allemands serait une juste punition : ils n'accueillent pas assez les demandeurs d'asile. Ben voyons.
Or ce 21 décembre, la personnalité du principal suspect mérite précisément qu'on s'y attarde, de ce point de vue.
Citons ici le Figaro (3)⇓ : "L'homme de 24 ans, de nationalité tunisienne, a été identifié comme Anis Amri. Il était connu sous plusieurs identités et âges différents, et aurait déposé en avril une demande d'asile en Allemagne. Débouté, il ne serait toutefois pas expulsable."
On peut donc être débouté du droit d'asile mais non expulsable : n'est-ce pas le vrai problème ? On a beaucoup reproché à l'AfD, à la CSU et à la droite de la CDU d'avoir plus ou moins fait le procès de la politique migratoire de Mutti Merkel à la faveur de l'attentat. "Mauvais goût", "démagogie", et bien entendu "populisme" ! Pendant quelques heures la fausse piste du demandeur d'asile pakistanais a emmené l'opinion sur une fausse route. Son innocence aurait ainsi renforcé l'argumentaire des bien-pensants.
Voici la citation d'Angela Merkel in extenso : "Pour le moment nous n'avons pas encore de certitude sur cet acte. Mais d'ores et déjà, nous pouvons supposer que c'est un attentat terroriste. Il serait particulièrement ignoble s'il était confirmé que cet acte a été perpétré par une personne qui a demandé protection et asile en Allemagne." (4)⇓
Mais le profil du personnage qui fait désormais l'objet des recherches vigilantes de toutes les polices renverse la donne. Même si, par conséquent, la demande d'asile du suspect tunisien est restée sans lendemain, le voilà bel et bien inexpulsable, établi comme un poisson dans l'eau dans le Land de Rhénanie-Palatinat.
Or, ce même personnage inexpulsable "serait lié à un réseau de recruteurs présumés de l'État Islamique en Allemagne et considéré comme particulièrement dangereux, selon les journaux Süddeutsche Zeitung et Bild".
Sans doute Mme Merkel devra-t-elle reconsidérer sérieusement et radicalement sa politique migratoire si elle espère obtenir un 4e mandat de chancelière en septembre 2017.
Les complications liées à la loi électorale allemande et au seuil de 5 % imposé aux partis pour siéger au Bundestag ont créé un paradoxe. Le plus fort succès électoral de la carrière de Merkel s'est situé en 2013. Or, il s'est traduit par une migration en faveur de la CDU-CSU de 2 millions de voix en provenance du parti libéral FDP. Ceci a ramené ce parti à 4,8 %. Et, l'éliminant du parlement, ce succès de la droite a empêché une coalition "noire-jaune" (libéraux et conservateurs) pour imposer une "grande coalition" avec les socialistes, celle qui gouverne actuellement ! Un recul de la CDU pourrait avoir l'effet inverse encore qu'on ne sache pas jusqu'où ira la poussée de l'AfD !! Ce jeu de qui perd gagne obscurcit évidemment l'horizon.
Mais de toute manière, le champ de bataille n'est pas tel ou tel de nos États, mais toute l'Europe, et c'est bel et bien avec l'ensemble du continent que le terrorisme islamique développe la confrontation actuelle. Nos cousins germains ne doivent pas l'ignorer alors même que pour des raisons culturelles les politiques sécuritaires, ou les politiques démographiques, malheureusement, divergent.
De ce point de vue, les frontières intra-européennes, à supposer même qu'on parvienne techniquement à s'en servir à nouveau pour freiner les déplacements incontrôlés, ont beaucoup moins d'importance que les frontières de l'Europe elle-même, frontières extérieures.
On doit donc considérer de façon positive le fait que les réactions des politiques français ont grosso modo convergé. Puisque la mode est de communiquer par twitter on retiendra que ceux de François Fillon [à 22 h 08] à Anne Hidalgo [à 22 h 52] ou Marine Le Pen [à 22 h 53] se sont échelonnés en passant par Jean-Marc Ayrault "épouvanté par les nouvelles en provenance de Berlin" [à 22 h 09] Manuel Valls [à 22 h 36] François Hollande [à 22 h 36] Bernard Cazeneuve [à 22 h 45]. L'un dénonce un "acte ignoble", l'autre a affirmé que la capitale française était "en deuil ce soir aux côtés de Berlin et de toute l'Allemagne." Solidarité. Compassion. Des formules plus ou moins conventionnelles, plus ou moins sincères, plus ou moins identiques. Mais dans le pire des cas on se souviendra aussi que l'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu.
On devine cependant que la capacité de riposte commune reste encore discrète.
En Allemagne comme en France on semble mettre un point d'honneur à ne rien changer aux habitudes de confort. Les boutiques du marché de Noël ne seront fermées qu'un jour. Pas question de prendre acte d'un état de guerre. Certes ce furent d'abord de fausses rumeurs qui ont immédiatement circulé à propos d'une revendication par l'État islamique : elle étaient pour le moins prématurées. Hélas les Cassandres ne sont pas trompées.
JG Malliarakis
Apostilles
- C'est le lendemain de l'attentat seulement, le 20 décembre à 12 h 39 que Thomas de Maizière, ministre de l'Intérieur allemand, déclare lors d'une conférence de presse: "Nous n'avons plus aucun doute : ce qui s'est passé hier soir est effectivement un attentat." Il décrit alors que le camion s'est dirigé "intentionnellement sur la foule". ⇑
- sur France TV info entre Marie-Sophie Lacarrau, dans le rôle de la gentille journaliste un peu niaise et l'insubmersible Mathieu Guidère, dans le rôle du spécialiste. ⇑
- cf. Le figaro.fr et AFP, AP, Reuters Agences Mis à jour le 21/12/2016 à 17h57 | Publié le 21/12/2016 à 13h36 ⇑
- le 20 décembre à 11 h 15
-
Le vivre ensemble ou l'imposture de la novlang - Meta TV 2/3
-
Le vivre ensemble ou l'imposture de la novlang - Meta TV 1/3
-
Les travailleurs d'ECOPLA veulent sauver leur entreprise !
Nous ne savons rien du sérieux et de la solidité du dossier de SCOP produit par les salariés d'ECOPLA. On peut même en douter si la CGT y est mêlée. Et les Tribunaux de Commerce ne sont pas, en principe, des assassins. Souvent tout au contraire. Mais sur l'impéritie de l'Etat en matière de défense des intérêts économiques français ; sur la financiarisation destructrice de notre appareil de production ; sur le sort néfaste qui en résulte pour les salariés et, plus encore, pour la nation toute entière, nous n'avons pas de doute. A l'instar du grain de sel qui suit. LFAR
Nous avons récemment parlé de la défaillance du Système, du Pays légal, des Pouvoirs publics - du moins au plus haut niveau - dans le dépeçage aberrant de notre tissu économique•, que les responsables de notre semble-Etat laissent faire, dans la plus parfaite inconscience ...
Que dire de plus, aujourd'hui, devant cette lamentable « affaire » des salariés d'ECOPLA, prêts à reprendre leur entreprise, à qui les banques et les élus locaux apportent leur appui, mais que le Tribunal de commerce assassine en livrant, il n'y a pas d'autre mot, leur outil industriel à des étrangers qui n'ont qu'une hâte : prendre les machines et le savoir-faire, et déguerpir chez eux. Et tant pis pour la France et pour ses salariés, qui sont traités comme du bétail et semblent ne compter pour rien.
C'est une honte et un scandale. Qu'au moins soit rendue publique la solidarité des royalistes avec ces travailleurs courageux, injustement et follement sacrifiés...
RAPPEL DES FAITS
Les salariés d'Ecopla ont d'abord appris que leur dossier « SCOP » (Société Coopérative et Participative : les salariés rachètent leur usine, et en deviennent les gestionnaires) n'était pas retenu ; puis, que le Tribunal de commerce leur a préféré leur ancien concurrent italien, un groupe qui ne compte pas reprendre de postes ni même les bâtiments, mais uniquement les machines et le savoir-faire. « Nous pouvions reprendre 25 personnes tout de suite » explique Karine Salaün, l'une des porteurs du projet, « et nous avions misé sur 66 emplois dans 5 ans... C'était un projet créateur d'emplois, un projet industriel dans la vallée du Grésivaudan... Cela représentait aussi d'autres emplois, on sait que pour un poste il y en a 3 induits... ».
Le projet de SCOP est soutenu par des députés locaux dont Pierre Ribeaud (PS), l'Union Régionale des Scop, la Communauté de Communes, la Préfecture et plusieurs banques.
LA PAGE DE FR3 DU 21 DECEMBRE
Le collectif Ecopla Scop bloque toujours l'entrée de l'usine
Ce mercredi 21 décembre, les ex-salariés d'Ecopla ont refusé de laisser entrer dans l'usine un camion du repreneur italien CUKI COFRESCO. Alertés la veille par la présence sur place d'un premier camion, ils craignent un déménagement « furtif » des machines.
Depuis le 20 décembre au matin, le collectif Ecopla Scop et ceux qui le soutiennent se relaient devant l'usine de Saint-Vincent-de-Mercuze pour s'assurer qu'aucun camion n'entre ou ne sorte du site, de peur que l'outil de travail soit démantelé, et le fichier client pillé.
Ce mercredi, malgré la demande des forces de l'ordre et d'un huissier venu constater le blocage, ils n'ont pas bougé, empêchant un camion de pénétrer dans l'enceinte de l'usine.
Le collectif s'est organisé pour qu'une trentaine de personnes se relaient en permanence sur place, et a alerté les élus locaux.
Le maire de Grenoble les a assurés de son soutien dans un communiqué : « Je soutiens le combat des ECOPLA pour la sauvegarde de leur outil de travail. Les ECOPLA sont le symbole d’une financiarisation folle qui détruit notre tissu industriel. Cette entreprise doit être sauvée d’une mise à bas organisée par des repreneurs qui n’ont que faire de la sauvegarde du savoir-faire industriel unique de notre région.»
Une délégation devrait tenter de rencontrer le président de la République en visite à Chambéry le jeudi 22 décembre. •
-
Désinformation sur la tentative de coup d'Etat en Pologne
Décryptée par Réinformation.tv :
"[...] la Pologne est entrée depuis trois jours dans une crise politique grave. Les députés de l’opposition occupent et bloquent le Parlement, ils y ont même séquestré un moment, avec l’aide de leurs partisans amassés en foule devant le bâtiment, les députés de la majorité : Jaroslaw Kaczynski et Beata Szydlo ont dû attendre la nuit de samedi à dimanche pour être exfiltré protégés par la police des menaces de la foule, ce que Radio France Internationale traduit en son langage par « le cortège des voitures (…) avait forcé le passage au milieu des manifestants (…) », donnant ainsi l’impression que l’abus venait non pas des menées de l’opposition mais du pouvoir. La désinformation occidentale est générale et s’exprime dans le moindre détail des phrases utilisées pour décrire la situation.
La presse occidentale loue le coup d’Etat en Pologne
A en croire la crème médiatique française, le Monde, RFI, France Info, l’AFP, les foules se soulèveraient en Pologne dans un grand « mouvement de défense de la démocratie », du nom d’une organisation contestataire née sur Internet voilà un an, aux cris de « Honte », « Stop à la dévastation de la Pologne », « Médias libres », « Liberté, égalité, démocratie », ou traitant Kaczynski de « dictateur ». On interroge une Polonaise lambda dans la foule pour lui faire dire : « Je ne veux pas voir la Pologne mise sens dessus-dessous », comme si le PiS mettait le pays à feu et à sang. Une autre se plaint que « le gouvernement n’écoute pas la société » ni les « experts qui se prononcent tous » contre ses réformes. Notre système médiatique rapporte tout cela comme du bon pain, sans prendre garde que l’occupation du Parlement est une amorce de coup d’Etat et même un coup d’Etat tout court. Ses auteurs, puisqu’ils sont des hommes politiques de haut niveau, seraient en principe passibles de la Haute Cour. D’autre part, quand la Manif pour tous a mis plus d’un million de personnes dans les rues, il montrait moins de bienveillance, alors que, pour le coup, on aurait pu soutenir que le pouvoir socialiste « passait en force » et n’écoutait pas la société.
Pourquoi le régime est mis au pilori comme en Syrie
Les reproches faits au PiS et au gouvernement de Beata Szydlo sont vagues et hétéroclites. On l’attaque pêle-mêle parce qu’elle entend exhumer les corps des victimes d’un accident (?) d’avion en Russie ou périt notamment le frère de Jaroslaw Kaczynski, pour d’obscurs dossiers écologiques, et pour des « atteintes aux libertés » ainsi détaillées par l’AFP : c’est un ensemble « réformant l’éducation nationale et préparant la mise au pas définitive du Tribunal constitutionnel, s’emparant des médias publics ou restreignant le droit aux manifestations ». Voilà développé le thème médiatique de l’agression contre la démocratie.
Malgré l’agitation médiatique, le dossier d’accusation est vide
Mais quelle est la réforme de l’éducation nationale si scandaleuse qu’elle justifie un coup d’Etat ? Malgré la répétition de papiers qui se ressemblent et reprennent inlassablement les mêmes éléments d’information et de langage, notre presse ne le dit pas. De même pour le droit aux manifestations. Quant à la « mainmise » sur les médias, elle a été, elle, précisée : l’accès des journalistes au Parlement a été limité et il leur est désormais interdit de prendre des photos ou des vidéos, comme c’est le cas en France dans les enceintes de justice. Le PiS invoque la nécessité de garantir aux députés « un cadre de travail confortable ». On peut trouver le prétexte spécieux, des journalistes férus de liberté intégrale en seront légitimement mécontents mais il faut raison garder : par rapport aux dispositifs, légaux ou non, qui entravent la liberté de la presse en France, c’est tout bonnement epsilon.
Bruxelles et la Nomenklatura occidentale contre le populisme
La vérité est que la Nomenklatura occidentale, qui avait mis après la chute du communisme des élites « libérales » à la tête de la Pologne, est très mécontente de l’évolution du pays. Depuis l’automne 2015 l’Europe de Bruxelles a condamné à plusieurs reprises la gouvernement du parti Justice et Progrès. Elle a soutenu les manifestations bruyantes de ce printemps en tête desquelles l’ancien président Kwasniewski faisait le v de la victoire. Cette fois encore, Donald Tusk, le « président européen », est allé s’ingérer dans les affaires intérieures d’un Etat indépendant en appelant à Wroclaw le gouvernement à respecter « la population, les principes et les valeurs constitutionnelles », alors que c’est à l’évidence l’opposition qui se met hors la loi. Il a ajouté cette phrase qu’il faudrait graver dans le marbre : « Quand on prive les gens d’accès à l’information ou qu’on impose un modèle unique de la vie (sic), la démocratie devient aussi insupportable qu’une dictature ». Elle vise les conservateurs au pouvoir, mais, comme les oracles antiques, elle est ambivalente et peut aisément se retourner contre la démocratie que Bruxelles entend imposer à la Pologne et aux autres peuples d’Europe. [...]
La Pologne marche désormais sur les pas de la Hongrie puisque le gouvernement a refusé le quota de « réfugiés » que prétendait lui imposer Bruxelles. Et elle va plus loin. Ce que lui reprochent vraiment les élites polonaises blackboulées et la nomenklatura médiatique, ce sont les réformes sociétales qui reviennent sur la révolution occidentale. Par exemple le projet d’interdiction de l’avortement sauf en cas de danger pour la mère. Ou la politique nataliste qui vient d’instituer une prime de 120 euros à partir du deuxième enfant (une « mesure coûteuse » pour les « libéraux »). Ce qui est reproché à la Pologne, c’est de prétendre s’abstenir du suicide européen en cours. Contrairement au Portugal et à l’Irlande qui, pour le plat de lentilles d’aides financières qui ne leur ont pas porté bonheur et sous l’influence de la maçonnerie, ont jeté aux orties leurs convictions catholiques, la Pologne résiste, mieux, avec Justice et Progrès, elle est en train de reconquérir.
L’enjeu que masque la désinformation médiatique, c’est notre survie
C’est pourquoi le gouvernement a droit au feu roulant de la désinformation, des condamnations et des manifestations. Avant que soient lancées dans la rue des foules manipulées, il y a eu un travail en amont, de l’Europe, mais aussi de l’éducation nationale polonaise, des médias on vient de le voir, et du « Tribunal constitutionnel ». Celui-ci, comme le Conseil constitutionnel français, exerce une censure idéologique sur les projets régulièrement votés, en s’appuyant sur les mêmes moyens pseudo-juridiques, animé de la même idéologie maçonne et antinationale qu’en France. Ce qui est en jeu en Pologne, c’est le succès ou l’insuccès d’une restauration nationale jouissant d’un soutien populaire, mais en proie au coup d’Etat permanent d’un système complexe qui se voit privé du pouvoir réel que lui donnait la combinaison de la puissance médiatique, de l’éducation nationale, de l’institution judiciaire et des milieux d’affaire, le tout soutenu par les institutions internationales. Cela préfigure la partie qui va se jouer en Amérique avec Trump et qui pourrait se jouer en France le jour où un mouvement authentiquement populiste prendrait le pouvoir. Observons-donc notre avenir en Pologne."
-
La propagande LGBT n’a aucune légitimité scientifique
L'association REAL Women of Canada, un groupe nord-américain de femmes anti-féministes, a dénoncé les balivernes du lobby LGBT :
« Nous savons d’instinct qu’elles ne sont pas authentiques, ni dignes de notre adhésion. Cependant, les faiseurs de mythe tentent de nous imposer leurs absurdités par le bras armé de la loi, affirmant qu’il est « discriminatoire » de refuser d’accepter ces mythes comme vrais. Les juridictions qui ne se soumettent pas à leur diktat sont l’objet de punitions économiques, les parents se voient interdire de protéger leurs enfants des monstrueuses « lois toilettes » permettant aux hommes d’utiliser les douches et les vestiaires des filles. C’est une fraude fondée sur une propagande qui n’a aucune légitimité scientifique. »
L'association rappelle que deux « bombes » ont explosé récemment, réduisant en miettes ces mythes. La première fut celle constituée par l’étude publiée le 23 août par le journal scientifique The Journal – The New Atlantis. Deux universitaires de renom, le Dr Lawrence Mayer, expert en psychiatrie et en statistiques, et le Dr Paul McHugh, y notaient d’emblée que la communauté LGBT est affectée de manière disproportionnée par des problèmes de santé mentale par rapport à la population dans son ensemble et qu’ils sont opposés à la « discrimination » à l’égard des personnes et de la communauté LGBT. Après étude de centaines d’articles scientifiques sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, ils affirment :
- La croyance selon laquelle l’orientation sexuelle est innée, et constitue une caractéristique humaine fixée par la biologie – le fait que les hommes seraient « nés comme ça » – n’est validée par aucune preuve scientifique.
- La croyance selon laquelle l’identité de genre est une caractéristique humaine fixe et innée, indépendante du sexe biologique – de telle sorte qu’une personne pourrait être « un homme prisonnier d’un corps de femme » ou « une femme prisonnière un corps d’homme » – n’est validée par aucune preuve scientifique.
- Seule une minorité d’enfants qui expriment des pensées ou ont des comportements atypiques par rapport à leur genre continueront de le faire à l’adolescence ou à l’âge adulte. Il n’existe aucune preuve selon laquelle de tels enfants devraient être encouragés à devenir transgenres, sans même parler de leur faire subir des traitements hormonaux ou chirurgicaux.
- Les personnes non hétérosexuelles et transgenres présentent un taux de problèmes mentaux (anxiété, dépression, suicide) ainsi que les problèmes comportementaux et sociaux (toxicomanie, violences sur partenaires) plus élevés que celui de la population en général. La discrimination seule ne rend pas compte de la disparité en son ensemble.
La deuxième bombe concerne les recherches de l’activiste lesbienne, le Dr Lisa Diamond, de l’American Psychological Association (APA), qui vient de reconnaître que l’orientation sexuelle est « fluide » et susceptible de changer. Ce faisant, elle a confirmé que l’idée selon laquelle « les homosexuels ne peuvent pas changer » est aujourd’hui une théorie dans l’impasse. La recherche, a-t-elle assuré lors d’une conférence à Cornell University, a aujourd’hui établi que « l’orientation sexuelle, y compris l’attraction, le comportement et l’identité perçue, est fluide à la fois pour les adolescents et pour les adultes des deux genres », résume REAL Women. Et pourtant, des lois de divers Etats des Etats-Unis ainsi que de l’Ontario interdisent la « thérapie réparatrice » qui cherche à venir en aide aux patients aux prises avec une attraction homosexuelle dont ils ne veulent pas. Ces lois sont fondées sur l’immutabilité de l’orientation sexuelle, dont la science vient pourtant de confirmer qu’il s’agit d’un mythe.
Les grands médias n’ont pas donné un grand retentissement à ces études mais la panique gagne les groupements LGBT. Le groupe homosexualiste Human Rights Campaign s’est fendue d’une attaque frontale contre New Atlantis, accusant les auteurs de l’étude, Mayer et McHugh, de faire de l’activisme anti-LGBTQ pour « marginaliser » les gens à travers des « déclarations trompeuses » et des « interprétations tendancieuses ». La réponse n’a pas tardé : l’équipe éditoriale de New Atlantis a tôt fait de démontrer que la plupart des accusations du HRC étaient fondée sur des « distorsions » du texte initial.
La France vient de lancer un plan de propagande LGBT, sur la base de mythes. Ces vérités officielles ne peuvent survivre qu'avec l'appui de la force publique. On appelle cela le totalitarisme.
-
Attentat de Berlin : Chasse à l’homme en Europe pour arrêter le terroriste Anis Amri
A la Une de la presse française, aujourd’hui, l’avis de recherche diffusé hier à l’encontre du Tunisien Anis Amri, le suspect numéro 1 de l’attentat de Berlin.
Libération annonce une «traque en Europe», rappelant que le gouvernement allemand promet d’offrir 100 000 euros à toute personne fournissant des informations permettant l’arrestation de ce jeune homme de 24 ans – un migrant en situation irrégulière, qui était arrivé en Allemagne en juillet 2015, et était dans le collimateur des services de renseignement depuis plus d’un an, son nom figurant sur le fichier des 949 personnes considérées «menaçantes», susceptibles de passer à l’acte, pour ses «liens présumés avec l’organisation Etat islamique» – une liste équivalente au fichier S français, selon Libé, qui raconte qu’Anis Amri aurait été démasqué par une erreur similaire à celle commise par le commando de Charlie Hebdo: après avoir tout simplement laissé dans la cabine du camion un titre de séjour provisoire, établi à son nom par les autorités allemandes, dans l’attente de son expulsion.
Celles-ci ont échoué à l’arrêter à temps, ce qui signifie que leur système comporte des «failles», selon le Parisien, qui se demande pourquoi Anis Amri, qui avait préparé un braquage pour se procurer des armes automatiques «et sans doute commettre un attentat avec l’aide de complices», d’après le procureur général allemand, n’a pas été «mieux surveillé». Par «manque de personnel», disent les syndicats de police.
«L’Allemagne, qui s’était longtemps crue épargnée, se découvre aussi vulnérable que ses voisins», écrit le Figaro, annonçant que «Berlin découvre, (depuis lundi), l’ampleur de la menace islamiste» – une «menace» qui aurait grandi depuis l’engagement de l’Allemagne au sein de la coalition anti-groupe Etat islamique, d’après le journal, qui explique aussi que les djihadistes, «en installant le doute sur l’accueil des réfugiés», ont «atteint leur objectif»: «terroriser» la population, effrayée de se découvrir infiltrée par des individus ayant souvent emprunté les mêmes routes que les réfugiés.
-
TERRORISME MUSULMAN : LA DÉMISSION DES POLITICIENS EUROPÉENS
Communiqué de Bruno Hirout, membre du Bureau politique du Parti de la France, Délégué départemental du Calvados :
Après Manuel Valls qui avait déclaré qu'il faut s'habituer à vivre avec le terrorisme et qu'il y aurait de nouvelles victimes, nous avons maintenant Angela Merkel qui vient de déclarer « Comment pouvons-nous survivre ? Moi-même je n'ai pas de réponse à vous apporter. »
Cette démission politique face à la barbarie islamiste est insupportable. Ces incapables ne nous proposent que la mort. Par idéologie multiculturaliste, les dirigeants européens se refusent à prononcer le nom de notre ennemi, ils se refusent donc à mener le combat pour la défense de nos vies ! A ce sujet nous avons touché le fond hier soir, avec ce tweet de l'Elysée qui exprime sa solidarité avec les Allemands suite à l'attaque... d'un camion !
Angela Merkel, assez fanatique du multiculturalisme pour être incapable de changer son point de vue malgré les nombreux morts, appelle même les Européens à "continuer à vivre dans un esprit d'ouverture"... Non merci !
Nous préférons vivre dans un esprit de résistance ! Pour la sauvegarde de nos vies, de notre art de vivre et de notre civilisation ! Et nous préférons aussi nommer notre ennemi ! Notre ennemi ce ne sont pas des camions, n'en déplaise à l'Elysée, notre ennemi c'est l'islam politique, guerrier et conquérant !
N'écoutez pas ces politiciens du malheur, du défaitisme et du renoncement, prenez-vous en mains, rejoignez ceux qui résistent, rejoignez le Parti de la France !