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magouille et compagnie - Page 1713

  • Un résumé de la guerre civile en Syrie, ou le djihadisme au Conseil européen

    La guerre civile en Syrie est extrêmement complexe, en raison de sa nature, avec des parties opposées pas toujours identifiables, des pays alliés ou carrément ennemis des unes et des autres et ceux qui jouent, de l’extérieur, de leur influence tantôt auprès des unes, tantôt auprès des autres.

    Polémia a reçu d’un lecteur un article, dont il est l’auteur, qui peut servir d’éclairage aux non-initiés des conflits moyen-orientaux. Pour une meilleure compréhension de ce conflit, il nous paraît utile de le reprendre du site Le Nœud Gordien.

    Il s’agit d’une part de la traduction en français d’un résumé très éclairant de la guerre civile syrienne par l’essayiste américano-libanais Nassem Taleb, d’autre part de notes et de commentaires sur l’invitation assez extraordinaire d’un représentant djihadiste au Conseil européen, à la demande de la France.
    Polémia.

    La guerre civile en Syrie, à la fois très violente et très complexe, peut apparaître impossible à bien résumer. C’est pourtant ce que réussit le tableau synthétique de Nassim Taleb, confirmé par les évaluations officielles de la Défense française.

    On constate que le soutien aux rebelles d’Alep, ayant passé depuis longtemps les bornes de la décence, dépasse maintenant celles de la folie, pendant que le silence officiel est de règle sur le crime de masse commis par l’Arabie saoudite contre la population du Yémen

    L’écrivain Nassim Nicholas Taleb, penseur rigoureux et original, analyste des probabilités et de la gestion des risques est à l’origine notamment du concept de « cygne noir » depuis largement popularisé pour désigner les événements dont la probabilité avait été si totalement négligée que leur possibilité même n’avait pas été aperçue.

    Américain d’origine libanaise orthodoxe, c’est aussi quelqu’un qui connaît très bien le Proche-Orient. Le résumé qu’il propose du conflit syrien pourra certes surprendre, il est d’autant plus crédible que Taleb n’a vraiment aucune raison de porter le régime syrien dans son cœur, étant donné que sa famille a eu à en souffrir au moment de la guerre civile libanaise.

    La guerre syrienne résumée, ou comment regarder le conflit de manière plus rigoureuse

    Original en anglais – Nassim Nicholas Taleb, 15 décembre 2016

    Traduction en français et notes – Alexis Toulet pour le Noeud Gordien, 16 décembre 2016

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  • Comment répondre aux mensonges autour des migrants

    Répondre aux mensonges autour des migrants sur la question du terrorisme islamique : tel est le but de l’argumentaire que vient de produire le mouvement Les Identitaires. Il n’y a pas de lien entre le terrorisme islamiste et les migrants ? Faux, répond Les Identitaires, rappelant que les deux kamikazes irakiens du Stade de France lors des attentats du 13 novembre 2015 se sont introduits en Europe en se mêlant au flux de clandestins grâce à de faux passeports syriens.

    Ou encore que le dernier compagnon de cavale de Salah Abdeslam (membre du commando islamiste du 13 novembre), blessé et arrêté en même temps que lui le 18 mars 2016 à Molenbeek s’est introduit en Europe le 20 septembre 2015 par l’île grecque de Léros grâce à un faux passeport syrien.

    « Le 24 juillet 2016, lit-on encore, un demandeur d’asile syrien en Allemagne se fait sauter avec une ceinture explosive et blesse 12 personnes à Ansbach. Mohammad Deleel, membre de l’Etat islamique depuis plusieurs années, présent depuis deux ans en Europe, était venu s’y faire soigner après avoir été blessé au combat puis avait décidé de commettre un attentat. »

    Un argumentaire à télécharger ici.

    http://fr.novopress.info/

    Argu-Mensonges-Migrants.jpg

  • Plan de mobilisation : contre le terrorisme ? Non, pour les LGBT

    6a00d83451619c69e201bb0962632b970d-250wi.jpgLa secrétaire d'Etat à la Ville Hélène Geoffroy a lancé mercredi un "plan de mobilisation contre la haine et les discriminations envers les personnes LGBT" et le gouvernement a également adopté l'extension du champ d'intervention de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme (Dilcra), qui devient à cette occasion la Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT).

    Cette mesure avait été annoncée par le président François Hollande le 30 juin, deux semaines après l'attentat homophobe d'Orlando aux Etats-Unis (commis par un musulman).

    Des correspondants chargés de la lutte contre la haine LGBT seront désignés par les préfets dans chaque département. Une étude sur les discriminations dans la fonction publique, qui doit devenir "un employeur exemplaire", va aussi être menée.

    Un bilan des suites pénales données aux actes anti-LGBT sera publié, à l'instar de ce qui se fait déjà en matière d'actes racistes, anti-musulmans et antisémites. Un guide sur les droits des victimes sera diffusé.

    Aucun milieu ne doit en être exempt : l'école et l'enseignement supérieur, le milieu rural, l'outremer, les quartiers et dans l'entreprise.

    Sur le plan répressif, le plan prévoit de systématiser la transmission au procureur de la République des paroles de haine anti-LGBT sur Internet et les réseaux sociaux.

    La police de la pensée va se déployer pour interdire tout discours pro-famille.

    Comme avec le délit d'entrave à l'avortement, le gouvernement cherche à museler toute opposition.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le sabotage de l’élection officielle de Trump : c’est raté

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    A trois reprises, ils auront avidement cherché à barrer la route de la présidence à Donald Trump en démonétisant le personnage, en torpillant sa campagne. Ce fut d’abord durant les semaines précédant la convention républicaine, en juillet, dans l’Ohio, pour l’empêcher de monter sur le podium en vainqueur des primaires. Ce fut ensuite lors de l’ultime ligne droite avant l’élection du 8 novembre, en lâchant à ses trousses une presse haineuse qui dépassa toutes les bornes de la désinformation et de l’intoxication. Ce fut enfin, lundi 19 décembre, pendant la dernière opération de ce long processus électoral qui consista à permettre à chacun des « grands électeurs » de se prononcer en son âme et conscience pour le candidat républicain, la candidate démocrate ou pour tout autre individu. Trois tentatives de sabotage : trois échecs. L’establishment gaucho-libéral, les spadassins patentés du globalisme et les apatrides de Wall Street ont cette fois définitivement perdu la partie. Elle aura duré un an, presque jour pour jour.

    8761-20161222.jpgLundi dernier, le Collège électoral, une création qui remonte à 1787, s’est réuni au grand complet à travers tout le pays. Il y eut, répartis et mobilisés dans les enceintes législatives des cinquante Etats – ainsi que dans le District of Columbia qui recouvre la capitale, Washington – 538 notables que l’on appelle en la circonstance des grands électeurs et qui appartiennent aux deux principales formations politiques. Chaque Etat et le District furent très précisément dotés du nombre de ces grands électeurs correspondant à leur poids spécifique dans l’Union fixé une bonne fois pour toutes : à titre d’exemple, Washington en a trois, le Maine quatre et la Floride vingt-six. Mais pourquoi 538 grands électeurs ? C’est le nombre total des représentants (435) et des sénateurs (100) au Congrès, auquel on ajoute trois de plus pour Washington. Lundi, ils ont voté. En temps normal, ce vote n’aurait été qu’une formalité. Mais, l’exceptionnalisme couronnant cette année électorale 2016, le suspense dura jusqu’au soir.

    En principe, les grands électeurs se doivent de voter pour le candidat ayant remporté l’Etat auquel ils sont liés. Logique : ces notables n’apparaissent après tout que comme les hérauts de l’expression populaire. En théorie, on ne les crédite d’aucun état d’âme, d’aucun choix personnel. En théorie seulement, et c’est bien là le problème. Ni la Constitution, ni la loi fédérale ne les obligent à se soumettre aux résultats, Etat par Etat, de l’élection présidentielle. Devant ces urnes typiques du fédéralisme américain, ils sont libres de redistribuer les cartes et de faire d’un vainqueur un vaincu.

    C’est dans cette originalité, voulue par les Pères fondateurs, que se sont engouffrés les ennemis de Trump. Celui-ci a obtenu, le 8 novembre, 306 grands électeurs alors que 270 lui auraient suffi pour entrer à la Maison Blanche. La tentative de sabotage dont il fut victime consista à convaincre 37 grands électeurs républicains de voter pour toute personne autre que lui. Dans cette opération indigne d’un grand pays mais très adaptée à « leur » démocratie, la plus infecte panoplie fut déployée : intimidations, menaces de mort, corruption, manifestations… Tout parut bon pour délégitimer Trump. Durant cette épreuve, la confiance du New-yorkais resta de bronze. Il perdit deux grands électeurs seulement dans cette misérable offensive. Comble d’ironie : Hillary Clinton en perdit deux fois plus.

    Christian Daisug

    Article paru dans Présent daté du 22 décembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • "Dans le Grand-Est, on doit beaucoup sa place à Florian Philippot, certains devraient y réfléchir"

    Ce que Florian Philippot a désigné comme une "crisounette" pourrait bien se transformer en une purge dans le Grand-Est :

    "Toi tu la ferme jusqu’à la fin de la mandature !". La formule, directe et sans ambiguïtés, lancée par Eric Vilain  et Thomas Laval, tous deux proches de M. Philippot, à l’élu vosgien Jordan Grosse-Cruciani a jeté un froid dans l’hémicycle régional.

    "Ces deux élus ont été agacé du soutien affiché par Jordan à Marion Maréchal Le Pen sur Facebook en aimant une photo" de la députée du Vaucluse assure une source interne au FN. "C’est la chasse aux sorcières au FN, à Paris, dans les régions et ici. Philippot veut écarter tous ceux qui ne sont pas de sa ligne" souffle un élu. L’homme fort du Grand-Est qui sera de nouveau candidat aux législatives à Forbach (Moselle) en juin veut en effet s’assurer que la voie est libre: "si on n’est pas sur sa ligne et qu’on peut le contredire en se rapprochant de Marion, on est rapidement mis de côté" assure un autre sous couvert d’anonymat. Pas question de contredire le "chef" qui conseille toujours autant la candidate à la présidentielle, dit-on dans les rangs frontistes (...)

    "En l’absence du chef les divisions risquent de se durcir" assure un cadre du FN en Moselle. "Florian Philippot est bien plus présent à Paris sur les plateaux de télévision. Depuis la rentrée, je ne l’ai jamais autant vu à la télévision. Pendant ce temps-là, les troupes ne sont pas tenues ici" assure-t-il. "Il pourrait être chroniqueur sur BFMTV" raille un autre cadre de la ligne Marion-Jean-Marie Le Pen. "Pendant la présidentielle, le travail de la région Grand-Est ne va pas s’arrêter mais on sera tous en mode terrain loin des dossiers" assure un autre qui craint "une implosion en cas de faible score du FN au premier tour".

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ne croyez pas les médias qui vous disent qu'ils n'y a pas de terroristes parmi les immigrés

    L'auteur de l'attentat au camion à Berlin est un réfugié pakistanais, arrivé en Allemagne il y a 10 mois.  Il serait connu de la police pour des actes de criminalité. Le ministère allemand de l'Intérieur a affirmé ce matin qu'il s'agit bien d'un attentat.

    C'est l'occasion de vous rappeler de ne pas accorder de crédit aux informations dispensées par la presse

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    Michel Janva

  • Avec le changement de population auquel nous assistons aujourd’hui, c’est la démographie qui finira par faire la loi

    Robert Ménard déclare dans Causeur :

    "[...] Je constate simplement que le peuple français, en tout cas dans le sud de la France, veut conserver ce à quoi il tient : la famille, les enfants, un paysage religieux qu’il connait… Un exemple : la crèche, à Béziers, installée dans l’hôtel de ville, est devenue en trois ans un passage obligé. La première année, 200 000 personnes l’ont soutenue ! Pourquoi ? Parce qu’elle incarne la France comme elles l’aiment. Un autre exemple : Le Puy-du-fou, sorte d’appartement-témoin de la France comme on en rêve. C’est ça que j’essaie de dire dans ce livre. Je ne suis pas réactionnaire au sens où je dirais : « Revenons cinquante ans en arrière et tout ira bien ! » Nier les progrès – dans un domaine comme la médecine par exemple – serait tout simplement stupide. Mais conservateur, encore une fois, oui ! [...]

    Passons à l’entrée « Années 30 ». Pour vous, c’est « un pays imaginaire où vous déporte la gauche dès lors que vos idées lui déplaisent ». En même temps, les années de l’entre-deux-guerres posent des questions assez sérieuses, notamment sur la démocratie qui est parfois devenue la dictature de la majorité, avant de devenir dictature tout court. Quelles limites imposer, même à une majorité démocratiquement qualifiée ?

    Dès que certains ne sont pas d’accord avec vous, ils vous renvoient aux années 30. À les croire, les rues de Béziers seraient peuplées de chemises brunes et on y marcherait au pas de l’oie ! Je veux bien qu’on ne soit pas d’accord avec ce que je dis – c’est tout à fait légitime – mais le renvoi aux années 30 clôt tout débat ! Par ailleurs, oui, ce qui s’est passé dans les années 30 nous interroge sur la démocratie. Mais attention de ne pas délégitimer le vote populaire quand il n’a pas l’heur de plaire aux élites… On l’a bien vu après la victoire du Brexit ou de Trump…

    Selon vous, la question n’est pas la dictature de la majorité mais celle de la minorité…

    Quand, en 2005, le peuple français vote contre l’Europe telle qu’on nous la propose et que, deux années plus tard, Monsieur Sarkozy et sa nouvelle majorité décident le contraire, c’est insupportable ! Il y aurait, à leurs yeux, d’un côté des gens intelligents, fins connaisseurs des dossiers, et de l’autre, la plèbe, les gueux, incapables de discernement !

    Je me souviens, lors de la campagne des municipales à Béziers, les remarques de certains bourgeois qui venaient me dire : « On vous a vu à la télé, on pourrait voter pour vous, mais enfin, vous avez des ouvriers et des chômeurs sur votre liste, ce n’est pas sérieux ! » Quel mépris de classe ! Quand le peuple vote avec les élites, il est populaire ; quand le peuple vote contre les élites, il est populiste !

    Votre livre compte deux entrées « Démocratie », et vous mettez le doigt sur une possible contradiction entre démocratie et démographie. On peut donc arriver à une situation où la majorité ne serait pas qualifiée. Admettons que 51% des Français décident que la France n’est plus la France… 

    Avec le changement de population auquel nous assistons aujourd’hui, c’est la démographie qui finira par faire la loi. Un peu à la manière de ces pays d’Afrique où les ethnies majoritaires imposent tout aux minorités. Je ne veux pas de ça pour la France ! La démocratie nécessite une homogénéité minimale. Si, demain, dans un certain nombre de villes comme Béziers, les Français d’origine immigrée votaient aussi massivement que le reste de la population, cela changerait la donne politique de façon radicale. Et de cela, je ne veux pas.

    En ce cas, que peut-on faire ?

    Limiter l’immigration. À un moment donné, quand l’eau monte, vous arrêtez le robinet avant d’être noyé et ensuite vous essayez de vous dépatouiller avec l’eau qui vous arrive au menton. Je propose donc qu’on ferme le robinet et qu’on se demande comment intégrer ceux qui sont déjà là. [...]

    Au niveau national, à quelques mois des élections présidentielles et législatives, pour vous, l’espoir d’un changement réside dans une alliance entre les Républicains et le Front national. Est-ce un vœu pieux ou fondez-vous vos espoirs sur vos échanges avec des personnages politiques des deux partis ? 

    Je constate que 80% des gens qui votent Front national et 80% de ceux qui votent Républicains pensent à peu près la même chose, demandent à peu près les mêmes choses, rêvent à peu près des mêmes choses. Ils partagent les mêmes envies, les mêmes désirs et les mêmes besoins ! Du coup, j’essaie depuis des mois – sans grand succès jusqu’à présent – de réunir toute cette droite « hors les murs » mais aussi une bonne partie des Républicains et du Front national qui partagent grosso modo les mêmes idées. Quelle différence y a-t-il entre Marion Maréchal Le Pen et Thierry Mariani ? Entre Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan ? Quasiment aucune ! J’irais même plus loin, je suis persuadé qu’il y a plus de divergences entre Marion Maréchal-Le Pen et Florian Philippot qu’entre la première et un certain nombre de Républicains ! Si le système actuel perdure – à la fois chez LR et le FN – c’est malheureusement à cause des logiques partisanes et des questions d’ego… [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/12/avec-le-changement-de-population-auquel-nous-assistons-aujourdhui-cest-la-d%C3%A9mographie-qui-finira-par.html

  • L'avant garde de l'anti-France - Meta TV 3/3

  • Après Paris, Bruxelles, Nice : Berlin. Mme Merkel a-t-elle enfin compris ?

    L’Histoire a montré que, face aux totalitarismes, ni l’angélisme ni la soumission n’étaient la solution.
    Tragique 19 décembre.

    Après Paris, après Bruxelles, après Nice : Berlin.

    Un camion a foncé, hier soir, dans la foule d’un marché populaire de la capitale allemande, Breitscheidplatz. Une dizaine de morts. Une cinquantaine de blessés.

    Un marché de Noël, à cinq jours de la fête de la Nativité.

    Le message est clair, la signature quasi certaine — à l’heure où nous publions, la police allemande dit « pencher » pour un attentat —, surtout quand, au même moment, à Ankara, un policier turc radicalisé assassinait froidement, dans le dos, l’ambassadeur russe, en hurlant son allégeance aux islamistes.

    Le même jour, l’Union européenne reconduisait pour six mois les sanctions contre la Russie. Jusqu’à quand durera l’aveuglement tragique des gouvernants européens, M. Hollande et Mme Merkel en tête ? Aveuglement diplomatique qui nous a fait préférer les islamistes de Daech au gouvernement syrien et aux Russes.

    Aveuglement sur les migrants, qui a conduit l’Europe à ouvrir ses portes à plus d’un million de migrants musulmans alors que l’Europe connaissait déjà des problèmes majeurs d’assimilation.

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