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magouille et compagnie - Page 1742

  • RENONCIATION DE HOLLANDE : LE CREPUSCULE DE L’ODIEUX

    Le bloc notes de Jean-Claude Rolinat

    Six mois, il va falloir encore tenir six mois jusqu’à l’expiration du mandat d’un Président contesté sinon détesté, sans aucune garantie de vivre, au bout, l’ivresse d’une véritable libération nationale. Jamais dans l’histoire de la République française, Chef de l’Etat n’avait été autant rejeté par une majorité de citoyens. De sondages en sondages – même si, parfois, il faut les prendre avec des pincettes – la côte de popularité de François Hollande s’effondrait, à un point tel que ses «  amis » ont exercé les pressions suffisantes pour l’amener à renoncer à se porter candidat à un deuxième mandat. D’ailleurs, pouvait-il prendre le risque d’une course dans des primaires où il risquait d’être devancé par l’un de ses anciens ministres, suprême humiliation avant une défaite inéluctable au soir du dimanche 23 avril 2017 ? Le 7ème Président de la Vème République s’est flingué lui-même. Le personnage, apparemment, n’était pas taillé pour la fonction, même si l’allure physique, critiquable, ne constitue pas le reproche principal. (Encore que, souvenons-nous de l’attitude grotesque du personnage le jour de sa première visite à la Chancelière allemande, lorsqu’il passait en revue la garde d’honneur de la Bundeswehr, ou de son discours prononcé sous la pluie, à l’ile de Sein ! Ce n’était pas là l’attitude d’un VRAI Chef de l’Etat …). Odieux le personnage ? Nous savons depuis le discours d’un  certain Maréchal de France, que les Français « ont la mémoire courte ». Rappelons-nous alors le message peu galant mais public de François Hollande lorsqu’il « répudia » la favorite qui se vengea ,d’ailleurs, avec férocité ou encore de sa décision de se joindre à l’embargo « punissant » la Russie pour l’annexion de la Crimée qui n’eut pour effet que de priver nos chantiers navals de nouveaux marchés militaires crédibles, et nos agriculteurs de juteuses exportations. Odieuse la décision de ne pas sanctionner Dame Ségolène pour ses inqualifiables propos sur le tyrannique régime cubain, odieux aussi le mépris affiché d’une majorité de Français excédés par « l’affaire Léonarda ». Et que dire du feu vert donné à une proposition de loi liberticide livrant aux juges les opposants à l’avortement ? (On aurait pu supposer, dans un geste d’équité, pareille mesure pour ses partisans, non ?). Oui, odieuses toutes ces attitudes auxquelles il faudrait ajouter des manquements graves ou des erreurs de jugement dans la gestion des crises, comme celle de la lutte anti-terroriste : le 14 juillet de cette année, la compagnie de CRS qui manquait sur la promenade des Anglais était à Avignon où, parait-il, François festoyait avec la nouvelle favorite en compagnie du directeur d’un festival réputé…Et, autre polémique, nous pourrions ajouter la question de savoir pourquoi les militaires affectés à la protection de la capitale dont une petite escouade patrouillait à proximité du Bataclan, ont refusé leur coopération à la police au prétexte que les soldats ne pouvaient intervenir sans ordres ou se départir de leurs armes automatiques dont les « bleus » sont chichement dotés ? (Enquête parlementaire). Les assassinats ciblés commis au siège de Charlie Hebdo n’auraient donc finalement servi qu’à faire mousser l’Elysée sur le plan international, avec son défilé parisien de chefs d’Etats ou de gouvernements ? Des mesures avaient été prises, certes, comme l’application de l’état d’urgence, mais pas à la hauteur des menaces comme nous le constaterons en novembre 2015. Le ministre de l’intérieur au sérieux et sévère look d’un notaire de province, devenu depuis quelques heures le nouveau Chef du gouvernement, aurait-il mal apprécié la menace en ne faisant pas appel à son collègue de la défense pour coordonner l’usage de l’ouverture du feu avec leurs troupes respectives ? Toujours est-il que celui qui nomme les hommes, les évalue et les jauge, est le responsable suprême. Pas les exécutants.

    Reagan savait choisir ses hommes, lui

    Si le Président américain Reagan, excellent communiquant, qui ne passait pas pour un gestionnaire affairé, a si bien réussi dans ses deux mandats, c’est qu’il avait su bien s’entourer. Et puis, est-ce bien le rôle d’un homme d’Etat de s’épancher dans la presse, de livrer ses états d’âme, de porter des jugements cruels sur ses subordonnés ou, pire, de révéler quelques petits secrets sur la gravité de certains choix ? Est-il bon pour l’image de marque du locataire provisoire du Faubourg Saint-Honoré, de se faire photographier nuitamment, sur un scooter, se rendant chez sa maitresse à deux pas du Palais de l’Elysée ? Grotesque encore ! Grotesque restera dans l’histoire, hélas pour lui, l’image de cet homme, pourtant très intelligent, brillamment diplômé, plus à l’aise pour naviguer entre les courants parsemés d’écueils du Parti Socialiste qu’à la barre du navire de l’Etat. Le suffrage universel est redoutable. Il nous donne la possibilité, apparente, de choisir celui qui sera couronné roi, sans que nous sachions à l’avance la solidité de ses convictions, la maitrise de ses nerfs, la hauteur et la profondeur de sa vision de l’avenir. Nous ne jugeons que des bateleurs d’estrades Cette élection présidentielle a tout d’une sorte de concours de «  Miss France » qui serait politique, un épuisant show médiatique étalé sur plusieurs mois à l’issue duquel le « bon » numéro serait tiré…Enfin consolons-nous, en l’espace de deux ou trois semaines un trio négatif d’hommes publics a été dégagé : Sarkozy va pouvoir retourner à ses conférences, Juppé se consacrer à sa belle ville de Bordeaux et Hollande jouir des ors de la République pendant, environ, 200 jours, une interminable agonie. Se parant des vertus et des avantages de la constitution, Il peut dire encore comme Madame Du Barry qui s’adressait sur l’échafaud à son exécuteur, « encore un instant Monsieur le bourreau ». Et Madame Trierweiler en sonnant le glas de son quinquennat pourrait lui prêter le titre de son ouvrage, « merci pour ce moment »….

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • De 2010 à 2016, le nombre de lieux salafistes a connu une hausse d’environ 170 %

    6a00d83451619c69e201bb095c6470970d-250wi.jpgDans son dernier numéro, Minute reproduit une note émanant du Service central du Renseignement territorial. 

    Cette note sur « les lieux de culte salafistes en France » date de juin 2016. Ce document s’ouvre d’ailleurs par cette phrase :

    « Apparue en France au milieu des années 1990, la mouvance salafiste, qui contrôle 120 lieux de culte en France métropolitaine et compte entre 25 et 40 000 fidèles, exerce une influence grandissante auprès de la communauté musulmane. » « Peu adaptée au mode de vie occidental, cette doctrine ultraorthodoxe prône une lecture de l’islam incompatible avec les valeurs fondamentales de la société française. »

    Le service de renseignement estime que, « sur les 2 358 lieux de culte [musulmans] recensés sur les territoires métropolitain » – hors zone de compétence de la préfecture de police de Paris ! – 120 relèvent de la mouvance salafiste. Le chiffre est en progression constante : il n’était«que» de 44 en 2010, de 79 en 2012, de 87 en 2014.

    « De 2010 à 2016, le nombre de lieux de culte salafistes a connu une hausse d’environ 170 % » « en dépit de la fermeture administrative récente de plusieurs salles de prière, notamment dans le cadre de l’état d’urgence ».

    Le service a isolé deux périodes de progression  : entre 2010 et 2012 (+ 80% !) – sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy donc, François Fillon n’ayant manifestement pas entrepris de Vaincre le totalitarisme islamique, titre de son dernier ouvrage... – et de 2014 à 2016 (+38%) – dans une période où François Hollande se disait en guerre...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le soutien de Florian Philippot aux affiches LGBT agace les militants FN

    Minute-Couv-Islamistes-Valls-251x350.jpgMinute nous apprend que le secrétaire départemental de l’Aveyron, Jean-Guillaume Remise, vice-président du groupe FN au conseil régional d’Occitanie, a exposé à Marine Le Pen que le soutien apporté par Florian Philippot et les siens à la campagne d’affichage sur le « sexe gay » et quelques autres initiatives du même acabit avait vivement agacé les militants frontistes.

    "Si Marine Le Pen lui a fait comprendre que cela était sans importance et qu’il ne devait pas y prêter attention, tel n’a pas été le point de vue de Florian Philippot, qui a glissé à l’un de ses proches :

    6a00d83451619c69e201b8d2432583970c-800wi.jpg« Celui-là, il faut qu’il dégage. »"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Italie – Clandestins révoltés : « Donnez-nous plus d’argent ou on vous décapite »

    Dans un centre d’accueil en Italie, à Potenza, trois clandestins, un Nigérian et deux Gambiens, ont estimé que l’État italien ne leur donnait pas assez d’argent.

    Ils ont donc décidé de l’obtenir par leur propre moyen : ils ont séquestré le responsable de la structure « Global Service » et un de ses collaborateurs et les ont menacés : « Donnez-nous plus d’argent ou on vous décapite » !

    Outre cette menace, rapporte la Gazetta del mezzogiorno, les trois ont poussé également les autres clandestins « à une vraie révolte ».

    Les trois compères africains ont été arrêtés par la police appelée à l’aide par d’autres employés de la structure.

    Le sud de l’Italie est littéralement envahie et saturée « par des immigrés de l’Afrique subsaharienne, absolument non gérable en terme d’intégration » a dénoncé Francesca Messina, la responsable régionale concernant l’immigration du parti Fratelli d’Italia-Alleanza nazionale :

    « 90% des immigrés ne sont pas une ressource mais un problème. Nous devons penser d’abord à notre communauté avant tout autre chose. »

    Avant de recevoir cette immigration majoritairement musulmane qui arrive en Europe en exportant ses coutumes barbares et violentes.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/italie-clandestins-revoltes-donnez-nous-plus-dargent-ou-on-vous-decapite/65880/

  • Tobias Andersson : "Les Suédois seront minoritaires chez eux dans 20 ans"

  • L’embrigadement des élèves dans l’accueil des migrants

    Le site Breizh-info a relayé une information parue dans l’hebdomadaire L’Echo de l’Armor et l’Argoat du 30 novembre 2017, révélant que des collégiens avaient été chargés de collecter des produits d’hygiène et de première nécessité au profit des migrants et ce, dans le cadre de leur programme d’ « éducation morale et civique ».

    Pour ce faire, leur professeur a fait intervenir un militant du collectif de gauche Utopia 56, un des collectifs les plus mobilisés en France, paraît-il, concernant l’accueil des migrants.

    Une politique nationale

    Il ne faut pas voir dans cette situation un fait divers, une toquade du chef d’établissement ou du professeur concerné.

    En réalité, ces actions s’inscrivent dans le cadre de la  loi de « refondation de l’Ecole » du 7 juillet 2013 pour nos enfants et sont amenées à se répandre comme autant de métastases dans notre beau pays de France de plus en plus défiguré par cette politique immigrationniste assassine.

    L’ article 3 de cette loi de « refondation de l’Ecole » stipule en effet :  «La nation se fixe, comme mission première à l’Ecole, de faire partager les valeurs de la République, parmi lesquelles l’égale dignité de tous les êtres humains (…) la solidarité… ». Par ailleurs, l’article 8 précise : « A l’acquisition de connaissances et instruments du savoir, substituer l’objectif de sens moral et civique… ».

    Un abus de pouvoir

    Ainsi, les cours sont progressivement supprimés pour aboutir à leur suppression totale à la rentrée 2018, remplacés par des activités au cours desquelles les élèves sont endoctrinés : au nom de l’égalité et de la solidarité, les élèves sont embrigadés pour réaliser des activités qui répondent à des logiques destructrices de notre identité qu’ils ne peuvent non seulement pas contester, mais qu’ils sont dans l’obligation de servir, et de servir « au mieux » (!!!).

    En effet, ces activités obligées étant notées, les élèves sont conduits à déployer un zèle particulier afin d’obtenir une bonne note.

    Appréciés non plus sur des savoirs mais sur des comportements, ils sont amenés à collaborer, bien malgré eux, à entretenir une situation qui détruit notre pays.

    Nous devons dénoncer cette situation et nous opposer à l’embrigadement de nos enfants dans des logiques qui n’ont rien à voir avec ce que doit être une Ecole.

    Claude Meunier-Berthelot5/12/2016

    http://www.polemia.com/lembrigadement-des-eleves-dans-laccueil-des-migrants/

  • Journal du Mardi 06 Décembre 2016 : guerre des crèches, nouvelle tradition de Noël

  • Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif. 
    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés. 
    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens. 
    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé « l’immigration choisie ». 
    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition. 
    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir. 
    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel. 


    Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’œuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.

 
    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45). 
    Autrement dit, une pénurie de main d’œuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’œuvre prête à accepter des salaires plus faibles. 
    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46). 
    Le rapport du Conseil d’Analyse Économique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% »(page 37) 
    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37). 
    Concernant les États-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38). 
    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

  • Voilà à quoi sert le CNRS…

    Vu sur Ouest France, cet entretien complaisant et délirant avec un gauchiste qui met sur un même plan FN et djihadisme…

    cnrs

    Ce pourrait être drôle si cet hurluberlu n’était pas payé avec nos impôts et relayé par les médias du Système.

    http://www.contre-info.com/

  • Autriche : que la gauche ne se réjouisse pas trop vite...

    Dans Présent, Olivier Bault rappelle que 

    8750-20161207.jpg"la fonction présidentielle autrichienne n’a que des prérogatives limitées et pour les élections qui comptent le plus, les législatives prévues pour 2018, le FPÖ du candidat perdant Norbert Hofer reste donné largement en tête dans les sondages. Ce qui pourrait d’ailleurs causer en 2018 une crise des institutions autrichiennes puisque le vainqueur de l’élection d’hier a promis pendant sa campagne qu’il ne nommerait pas le chef du FPÖ Heinz-Christian Strache au poste de chancelier même si c’est à ce parti que les Autrichiens choisissent de donner la majorité. Comme on le voit, la conception de la démocratie de la gauche libertaire européiste est la même à Vienne qu’à Paris et Bruxelles.

    La victoire de l’écolo Alexander Van der Bellen a aussi eu un coût :il lui a fallu renoncer le temps d’une campagne à sa culture permissive et immigrationniste pour promettre la tolérance zéro en matière de délinquance et d’immigration. Ce n’est donc plus uniquement la coalition des sociaux-démocrates et du centre-droit, écrasée au premier tour des présidentielles, qui a fait volte-face en Autriche sur ces sujets, puisque l’extrême gauche verte est obligée de faire de même. En ce sens, et dans ce domaine, le FPÖ a déjà en partie gagné puisque c’est tout de même déjà un peu sa politique qui est appliquée par l’Autriche. Van der Bellen a toutefois maintenu sa ligne en faveur d’un fédéralisme européen et du « mariage gay » face au conservateur chrétien Norbert Hofer. [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html