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"La Cour des comptes aimerait bien savoir ce que font réellement les 550 personnes les mieux payées de France Télévisions (...)
Passée relativement inaperçue, la sixième des 23 recommandations des magistrats enjoint la direction à passer en revue "le contenu effectif des postes occupés par les salariés les mieux rémunérés de l’entreprise". Cette évaluation, jugée "indispensable", concernerait 550 salariés percevant un salaire supérieur "à 8.000 euros brut par mois", précise l'institution. Citant un travail similaire entrepris par la BBC, cet audit permettrait d'évacuer les doutes et "interrogations", précise la Cour des comptes à Business Insider France.
Dans le détail, 547 salariés ont bénéficié en 2015 d’une rémunération de plus de 96.000 euros annuels bruts, dont 191 une rémunération supérieure à 120.000 euros annuels bruts (...)
La Cour des comptes relève un sur-encadrement chez France Télévisions. Selon les magistrats, ce tauxs'est élevé à 79 % chez les personnels techniques et administratifs (PTA) en 2014, soit 4746 des 6013 permanents.
Les journalistes ne sont en pas en reste : le nombre de journalistes affectés à des fonctions de coordination et d’encadrement est de 26 % en 2015 par rapport aux journalistes "de terrain", c’est-à-dire affectés aux reportages et au contenu de l’information.
"Cette disproportion est encore plus marquée au sein de la direction de l’information où ils atteignent 40 %, dont 149 rédacteurs en chef ou rédacteurs en chef adjoint", précisent les magistrats dans leur rapport (...)
En partant des deux taux relevés par la Cour des comptes, les cadres représentaient 62,77 % des effectifs en 2014.
Il y a donc trois fois plus de cadres chez France Télévisions que dans les entreprises françaises, la moyenne se situant entre 17 % et 18 % de la population active française"
La propagande politique d'Etat coûte cher au contribuable...
Ce mardi 25 octobre, Arte a présenté, en début de soirée, une émission sur les Brigades internationales. En soi, en tant que documentaire, une telle émission est forcément extrêmement intéressante. Mais, comme l'annonçaient les magazines de programmes télé, le parti-pris « pro-Brigades » était évident. Pour résumer : à ma gauche, les tout gentils, les tout bons, on n'ose pas dire les saints mais c'est l'idée : j'ai nommé, les Brigades internationales ; à ma gauche, le grand méchant loup, la bête immonde, l'horreur absolue : comprenez, Franco.
Que les marxistes - ou ce qu'il en reste - pensent cela, au fond, ce n'est pas surprenant. Mais qu'une grande chaîne de télévision, avec le recul que donnent les quatre-vingts ans qui nous séparent de la Guerre d'Espagne, reprenne ce schéma faux, tout simplement « historiquement faux », voilà qui dépasse l'entendement. On veut bien que, pour vulgariser - au bon sens du terme - les chaînes fassent des choses simples et accessibles au grand public ; c'est le but de la manœuvre. Mais, là, on passe directement du simple au simplisme, et carrément au simplet.
Qu'on nous permette donc, en deux mots, de remettre les choses à l'endroit...
En 1936, le féroce Staline règne sans partage sur l'Union soviétique ; et, avec lui, sa dictature sans pitié, la pire horreur qu'ait connu le monde depuis les origines de l'humanité. Et il a son plan, dont il ne fait pas mystère : étendre le Paradis soviétique à l'Europe entière, d'abord, puis au monde entier, ensuite. Il arrivera, en 45, par la faiblesse et la nullité politique de Roosevelt, à s'emparer de la moitié de l'Europe, et on sait ce qu'ont souffert les peuples d'Europe de l'Est - en plus du peuple russe qui, lui, la subissait déjà depuis 30 ans - de la part de cette monstruosité sans nom qu'était le marxisme-léninisme.
Mais, en 36, Staline ne martyrise « que » la Russie, devenue Union soviétique. Et il voit dans la guerre civile espagnole l'occasion rêvée de prendre l'Europe de l'Ouest à revers, par l'Espagne. Le Komintern triomphant de l'époque jette toutes ses forces - par la propagande et par les armes - dans cette bataille pour s'emparer de l'Espagne et, forcément, du Portugal : la possession de la péninsule ibérique, c'est le début de la conquête de l'Europe, du monde...
Mais - car il y a un « mais » - Staline va tomber sur un obstacle majeur : Franco. Franco va être le premier, et le seul, à vaincre militairement, sur le champ de bataille, les armées de la sinistre révolution. « En campo abierto y buena lid », comme on dit en castillan ; c'est-à-dire, "à la loyale", sur le champ de bataille, et « Cara al sol », face au soleil...
Cela, bien sûr, ne sera jamais pardonné à Franco. En dépit du simple bon sens, de la simple observation des faits, la propagande effrénée du Komintern va déverser une telle quantité de mensonges que sa grossière propagande va devenir une vérité, « la » vérité officielle. Et le reste, même quatre-vingts ans après, du moins pour ceux qui ont des oreilles pour entendre mais ne veulent pas entendre ; et des yeux pour voir, mais en veulent pas voir : Arte, en reprenant à son compte tous les clichés les plus faux sur le sujet, a dignement représenté le camp du mensonge révolutionnaire soviétique, ce mardi soir, et elle n'a vraiment pas de quoi en être fière...
Franco a écrasé la révolution marxiste-léniniste, car c'est de cela qu'il s'agit lorsqu'on parle de cette horreur que fut la République espagnole. Et il a bien fait.
Il a rendu service à son pays, d'abord, à qui il a évité les Stasi, les Ceaucescu, les désastres écologiques, les goulags et autres abominations qui furent le lot de ce que l'on a osé appeler les « démocraties populaires » !
Il a rendu service à la France, ensuite, lorsque, Hitler ayant écrasé les troupes d'une république qui n'avait su ni préparer ni éviter la guerre, il refusa à ce même Hitler, lors de son entrevue avec lui, à Hendaye, le passage des troupes nazies par l'Espagne : elles auraient alors fondu sur nos forces libres d'Afrique du Nord, et l'on imagine aisément la suite...
Il a rendu service à l'Europe et au monde, enfin, en hâtant la fin de la guerre,refusant à Hitler toutes ses demandes, n'entrant pas en guerre à ses côtés, ce qui équivalait à agir dans le sens des intérêts de la paix - en refusant une extension encore plus grande du conflit - des intérêts de l'Europe et de la Civilisation.
Constatant son échec complet, et conscient de s'être fait berner, Hitler devait d'ailleurs déclarer, en substance, qu'il préférerait se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer une négociation avec un homme pareil...
En face de Franco, et contre lui, les Brigades internationales : ces hommes, jeunes pour la plupart, qui ont mis leur fougue, leur courage, leur héroïsme au service de l'Empire du Mal ; qui l'ont d'ailleurs amèrement regretté (au moins, cela, on le montre bien dans l'émission...) mais qui ont droit à tous les éloges sur Arte.
Le conseil départemental de l’Hérault est sorti de sa torpeur la semaine dernière. A ma gauche, Kléber Mesquida (photo), président socialiste et authentique dinosaure de la gauche la plus ringarde dont il n’est pas inintéressant de savoir qu’il siège aussi à l’Assemblée nationale ; à ma droite, Franck Manogil, jeune élu biterrois du Front national.
Objet de la dispute : l’accueil des migrants. Mesquida est prêt à en mettre partout. Enfin, peut-être pas dans sa commune de Saint-Pons où il est élu, mais sinon partout chez les autres. Exaspéré par la prise de parole forcément réprobatrice de Franck Manogil sur ce sujet, Mesquida lui a coupé le micro en vitupérant : « Vous voulez quoi ? Qu’on rouvre les chambres à gaz ? »
La réponse de Franck Manogil est venue à la séance suivante. L’élu du FN à qui, démocratiquement, Mesquida refusait une nouvelle fois la parole, s’est levé pour aller jusqu’au pupitre présidentiel et offrir à son occupant un exemplaire du Journal d’Anne Frank avec ces mots : « Puisque vous semblez avoir perdu tout contact avec le réel de 2016 comme avec le passé de 1944, j’ai décidé de vous faire un cadeau, de vous remettre un livre que j’espère vous avez déjà lu, mais si c’est le cas que vous avez manifestement oublié. » A peine le livre posé sur sa table, Mesquida l’a jeté au sol.
Pas un mot dans « Midi libre ». Ah, si cela avait été l’inverse, l’élu du FN jetant avec mépris le Journal de la jeune Néerlandaise…
Article paru dans l’hebdomadaire Minute du 26 octobre 2016
CETA, TAFTA, TPP : à travers ces acronymes régulièrement évoqués dans les médias, les citoyens européens découvrent petit à petit qu’un gigantesque projet de marché unique mondial est en gestation à leur insu. Pourquoi ce secret ? Il ne peut y avoir qu’une seule réponse à cette question : parce qu’on ne veut pas leur laisser le choix ni même la possibilité d’en débattre. En Occident, le libéralisme est un dogme absolu sur lequel on ne transige pas. Ah bon, et pourquoi donc ? Car, pourtant, il y aurait de quoi. En effet, après la crise de 2008, il y avait au moins une raison évidente de s’interroger. N’est-ce pas l’étroite interconnexion des économies nationales qui a fait que la crise s’est propagée dans le monde entier à partir d’un foyer unique aux États-Unis ?
Le citoyen ordinaire est enclin, naturellement, à faire confiance aux experts. C’est parfaitement justifié pour les sciences dites dures, beaucoup moins pour les sciences humaines. Je vous livre un exemple vécu. C’était avant le référendum de Maastricht, lors d’une réunion professionnelle à la Banque de France : je tombai sur une brochure du Trésor. Il y était écrit explicitement que l’internationalisation de la dette publique – le fait que des non-résidents se portent de plus en plus acquéreurs de la dette française – était un signe de bonne santé de l’économie française. Cette affirmation était un contresens dangereux : il suffit de comparer la Grèce au Japon pour comprendre qu’une dette externe est une vulnérabilité.
Cet exemple illustre la double tromperie qu’est la liberté de circulation des capitaux. Tromperie parce qu’il était évident, dès le début, que les inconvénients l’emporteraient sur les avantages.
Double parce que deux objectifs non avouables étaient visés. D’abord, je rappellerai que le contrôle des changes n’est pas le gel des capitaux, c’en est juste le contrôle, comme son nom l’indique fort bien. Il y a, effectivement, deux motivations derrière la liberté de circulation des capitaux. La première, c’est l’internationalisation des dettes publiques évoquée plus haut qui, certes, dans un premier temps, a permis le recyclage des pétrodollars, mais qui, au final, a eu raison de la souveraineté monétaire des États-nations. La seconde, nous en sommes les témoins quotidiens, c’est la délocalisation fiscale. Et c’est ça que l’Occident érige en vertu sacrée.Outre les capitaux, la doctrine libérale prône la liberté de circulation des biens, des services et des personnes. Voyons les biens. À l’heure où la question environnementale s’impose comme l’un des principaux défis du XXIe siècle, vendre du porc en provenance de Pologne et, a fortiori, des fraises en provenance de Chine sur les marchés de rue en Bretagne est une anomalie. Pourquoi ? Parce que ne prendre en compte que le seul coût de production, comme on le faisait au XVIIIe siècle, et ignorer les coûts et les risques inhérents au transport, à la fraîcheur du produit et au respect des normes sanitaires est aujourd’hui totalement insuffisant et je n’évoque même pas le coût du chômage induit. Pour les services, j’invite le lecteur à se reporter à la fameuse directive Bolkestein. Reste les personnes. Ce fut tout l’enjeu du Brexit et les Anglais – qui furent les premiers à prôner la doctrine libérale – y ont renoncé. Ils doivent bien avoir une bonne raison.
Ainsi le CETA sera-t-il, un jour prochain, signé ! Peut-on vraiment s'en réjouir ? Mais il aura fallu la courte et efficace résistance de quelques Wallons, parlementaires régionaux, mais aussi des Bruxellois et des germanophones, pour que les Européens apprennent que, une fois de plus, l'Union européenne et ses commissaires, députés et financiers, s’apprêtaient à livrer un peu plus les Européens aux multinationales et, surtout, aux juges des fameux tribunaux arbitraux qui pourraient, en définitive, menacer les Etats et les parlements dans leur rôle de décideurs politiques.
Quelques remarques, néanmoins : tout d'abord, l'absence de la gauche radicale dite de gouvernement dans la contestation de ce traité de libre-échange, en particulier celle de M. Tsipras en Grèce, mais aussi celle qui dirige aujourd'hui le Portugal. Ainsi, tous les beaux discours de cette gauche antilibérale semblent destinés à finir au tombeau des grandes illusions quand l'heure (ou la simple possibilité) d'agir, concrètement, arrive : cela doit servir de leçon à ceux qui, « alibéraux et illibéraux » sincères, ont mis leurs espoirs dans ces partis qui, en définitive, préfèrent le Pouvoir à leurs convictions ou à leurs promesses. La même remarque vaut pour les populistes dits « eurosceptiques » qui n’en sont pas moins de bons libéraux dans la pratique (avec quelques nuances néanmoins)…
Ensuite, cet accord, pour l'heure « débloqué », montre toute l'hypocrisie des partis et des institutions de l'Union européenne qui, jadis, faisaient campagne pour que l'UE s'impose entre les géants, hier les Etats-Unis et le Japon, aujourd'hui les mêmes Etats-Unis et la Chine : qui ne se rappelle de cette affiche du Parti Socialiste (français) sur laquelle un sumo japonais et un superman états-unien, tous les deux imposants, semblaient être les deux principaux adversaires d'une Europe qui, donc, se devait d'être forte à son tour pour éviter l'écrasement de ses nations ? Or, en signant ce traité, comme d'autres d'ailleurs (moins médiatisés mais tout aussi dangereux, et pas forcément pour les seuls Européens...), l'Union européenne perd toute raison d'être économique, tout simplement, puisqu'elle entre dans le même espace économique, le même marché unique que ses « concurrents », avec les mêmes règles décidées parfois bien au-delà de l'Europe !
Dernière remarque (pour l'heure) qui n'est pas l'ultime, loin de là : l'Union européenne se signale de plus en plus comme une sorte « d'Europe légale » de plus en plus coupée de « l'Europe réelle », celle des nations, des régions de celles-ci, des peuples (au sens civique du terme), des personnes et de leurs modes de vie, de leurs diversités. Jean Monnet, « le pire fondateur de l'Europe » comme ironisent certains, avait voulu cette forme de démocratie représentative qui n'est rien d'autre, dans ce cas-là, que le gouvernement des experts et des groupes de pression qui les payent... Les réactions indignées des députés européens (mais qui connaît « ses » députés européens en France et ailleurs?) et des commissaires européens contre les 3 millions de Belges francophones qui ont osé, un temps, demander quelques éclaircissements (et le mot me semble particulièrement juste) sur ce traité et qui « décideraient » pour 500 millions d'Européens (bientôt 440 après le Brexit) me font sourire : ont-ils, ces messieurs les grands maîtres de l'UE, demandé leur avis aux citoyens, et, dans les campagnes électorales européennes de 2014, ont-ils évoqué ce même traité qui, pourtant, engage la vie et surtout le travail de leurs électeurs et peuples constitués ? Et, ces derniers jours, les pressions, pas forcément amicales, des dirigeants et des médias européens sur les Wallons donnent une drôle d'image de la « démocratie européenne »...
Néanmoins, malgré l'accord de dernière minute des Belges entre eux sur le CETA, il n'est pas certain que la messe soit dite : la résistance wallonne, même défaite, peut être vue comme un signe, voire un signal... La fin de la mondialisation, annoncée par François Lenglet il y a quelques années, pourrait bien être au bout de ce traité mal né et mal accepté : car jamais, au grand jamais, l'histoire n'est finie...
Fermer les yeux, refuser de voir, suffit-il à écarter le danger ?
Deux études récentes, commandées et organisées dans le seul but de rassurer les citoyens français, et de donner raison au slogan gouvernemental « Pas d’amalgame », viennent prouver, si cela était nécessaire, le danger présent, et futur, devant lequel se trouve la France.
Le premier sondage, publié le 18 septembre par l’Institut Montaigne et réalisé par l’IFOP, sous le titre « Un islam français est possible » nous démontre tout le contraire de ce qu’il souhaitait prouver.
1029 musulmans ont été intérrogés par l’ex conseiller, Hakim el Karoui, de l’ex premier ministre Jean-Pierre Raffarin. L’un des résultats nous apprend que 28% de l’ensemble, en majorité des jeunes, peu qualifiés, vivant dans des quartiers populaires périphériques des grandes agglomérations, voudraient imposer l’islam comme support de la société française. Vivre en marge des lois de la République et proclamer la « charia », la polygamie, le niqab et la burqa.
L’islam, disent-ils, est le support de leur révolte, et cette révolte va jusqu’à la rupture, la violence et l’antisémitisme.
Et 50%, de ces 28%, ont moins de 25 ans.
En résumé, un jeune français musulman sur 2 est un « radicalisé » en puissance, même s’il ne connaît pas sa religion et ne fréquente aucune mosquée.
Il souhaite une réislamisation de la famille musulmane qu’il fondera demain.
Le conseiller d’état Thierry Tuot, l’un des magistrats chargé de conclure dans l’affaire estivale du « burkini » affirme (et l’on s’est bien gardé d'en informer les Français) que « L’islamisme est la revendication publique de comportements sociaux présentés comme des exigences divines faisant irruption dans le champ public et politique ».
L’islamisme donc s’étendra inexorablement.
Le second sondage, réalisé au printemps 2016 par l’Institut Randstad et l’OFFRE (Observatoire du fait religieux dans les entreprises), révèle que 2 dirigeants sur 3 notent un durcissement du « comportement religieux » dans l’espace de travail, et que, dans 95% des cas, il est d’origine musulmane.
Les symboles religieux se multiplient et, également dans 95% des cas, ces symboles visibles sont islamiques.
Le premier fait religieux visible, dans les entreprises, est, bien entendu, le port du hijab au travail.
Les conflits ont quintuplé depuis 2013 et les poursuites engagées contre l’employeur sont toujours basées sur le « racisme » et la « discrimination ».
*Refus des hommes de travailler avec, ou sous les ordres, des femmes.
*Refus de livrer de l’alcool ou des produits d’origine porcine.
*Refus de travailler avec des non-musulmans.
Etc.
En conclusion, l’école publique est dans l’incapacité, aujourd’hui, de transmettre les valeurs républicaines, en particulier aux jeunes musulmans, pour les ¾ enfants d’ouvriers et d’employés résidants en zones pré-urbaines, qui sont les premières victimes de la désindustrialisation.
La France compte 66,6 millions d’habitants (sondage INSEE du 1er janvier 2016), mais il est impossible de connaître le pourcentage de musulmans, de noirs, de blancs, de juifs, de catholiques, d’arabes, etc. parmi ces 66 millions, et cela devient un handicap de sécurité nationale.
Quand un groupe religieux et ethnique s’attaque aux fondements même de notre société, il serait indispensable, afin que cette société puisse se défendre, qu’elle dispose de ces informations concernant son adversaire, pour ne pas dire son ennemi.
En 2016 on ignore officiellement le pourcentage de la population en provenance du Maghreb ou de l’Afrique subsaharienne par exemple.
L’Institut Montaigne l’estime à environ 5,6% (3 millions), alors qu’Azouz Begag, ancien ministre de l’égalité des chances (2007) l’estime à environ 15 millions (plus de 20%).
Dans le meilleur des cas (si l’on peut dire) 50% des 28% sur 3 millions font 420.000 « dangers potentiels » pour notre pays, et ce sera difficile de se protéger.
Dans le pire des cas (on peut le dire) 50% des 28% sur 15 millions font 2.250.000 « dangers potentiels) et dans ce dernier cas la France est perdue.
Il est raisonnable de supposer que ce dernier chiffre est plus proche de la réalité, et ce n’est pas fait pour nous rassurer, car, dans ce dernier cas, seule une guerre sainte pourrait, peut-être, nous sauver.
Il n’est pas besoin d’être armé pour « coloniser » un pays : l’argent suffit. Qui offre les 3 à 5000 euros nécessaire (alors qu’ils représentent plusieurs années de salaire) pour payer les « passeurs » des migrants ?
Nos gouvernants, d’où qu’ils viennent, occultent ce grave et mortel danger pour notre civilisation. Ils refusent d’admettre qu’il s’agit là d’un plan préparé de longue date pour « nous coloniser » insidieusement.
Le père d'une l'élève de l'école primaire de Garmisch-Partenkirchen a découvert que sa fille avait été forcée d'apprendre une prière islamique. Il a affirmé qu'elle avait été «forcée» par les enseignants à mémoriser des chants islamiques et a transmis le document à l'agence de presse autrichienne unsertirol24. Le texte est le suivant :
La directrice n'a pas confirmé l'incident mais a déclaré que l'école émettrait une déclaration écrite détaillant sa position au cours de la semaine à venir.
Avec ses « confidences » à deux journalistes du Monde, Davet et Lhomme, François Hollande n’a pas fait que montrer une fois de plus sa « stupidité » (le journal espagnol El Confidencial)…
Il ne s’est pas seulement « suicidé politiquement » comme le dit de manière quasiment unanime la presse européenne : « Le président de la République a entamé la dernière œuvre de sa vie politique : son autodestruction méthodique…
Un suicide politique en règle ! » ajoute Emmanuel Beretta dans Le Point du 13 octobre…
En réalité, il a poignardé toute la gauche politique française, puisqu’il a compris qu’il ne fera pas de second mandat et ne pourra donc pas terminer l’œuvre commencée par Mitterrand : rénover de fond en comble le très archaïque Parti socialiste actuel.
Pour le quotidien russe en ligne Vzgliad, le livre “présente au monde un tout autre visage du président de la France : non pas l’euro-socialiste progressiste et politiquement correct qui se bat pour la liberté des minorités opprimées, mais un petit bourgeois ordinaire bardé de la panoplie complète des stéréotypes xénophobes et racistes”. (en référence à la phrase de Hollande disant dans ses confidences qu’il y a trop de migrants en France).
Malek Boutih avait vu juste quand, en 2013, il avait déclaré « François Hollande, c’est un homme de droite. À la fin de son quinquennat, il finira haï par tous. Comme au PS « . Homme de droite, non, mais « homme de droite » entre guillemets, oui. A la manière Mitterrand, un autre « homme de droite », et même d’extrême droite, qui a su se servir de la stupidité congénitale du Parti Socialiste et de la naïveté d’une majorité de Français (qui ne connaissent pas plus la réalité criminelle historique du socialisme que celle de l’islam), pour arriver au pouvoir et s’y maintenir jusqu’aux dernières semaines de sa vie après avoir pendant plus de quarante ans fait l’éloge de « valeurs de la gauche » auxquelles il ne croyait pas un seul instant.
Manuel Valls, que l’on a vu dépité et meurtri pendant son séjour à Casablanca, dit maintenant de Hollande « Il va falloir s’en débarrasser « . Et Jean-Christophe Cambadélis passe ses journées à tenter de replâtrer un Parti Socialiste largué par l’Histoire que Hollande, dans le livre de Davet et Lhomme, appelle à détruire et à dépasser. Comme une majorité de Français aujourd’hui, Hollande a compris que le socialisme c’est fini en tant qu’idéologie politique, il ne restera que « le social », valeur universelle. Or, la droite sait aussi bien que la gauche être « sociale », comme le montrent les programmes de ses candidats, de Juppé à Marine Le Pen. Excepté que lorsque c’est la droite qui se montre proche du peuple et « sociale », la gauche (meurtrie que Sarkozy ait osé appeler son programme « La cause du peuple« ) appelle cela du « populisme ».
Hollande voudrait rebaptiser le PS « Parti du Progrès ». « On peut y mettre des écolos. C’est facile à comprendre : vous êtes pour le progrès ? Oui. Le progrès social, humain « , dit Hollande à Davet et Lhomme ahuris. Hormis le fait que les écolos ne sont en rien progressistes mais au contraire furieusement rétrogrades, il y a de quoi ! Ahuris comme Emmanuel Berretta du Point après que Hollande, au moment ou sortait le livre de ses confidences, ait déclaré à L’Obs « je suis prêt« . « Oui, il est prêt : il a mis son dernier masque, celui d’Hannibal Lecter, un serial killer dont la dernière victime n’est autre que lui-même. François Hollande tient des personnages de David Lynch : triple fond, mystérieux derrière sa bonhomie, tueur politique à sang froid, égotique dissimulé qui ravage tout sur son passage dans une certaine bonne humeur. « Mul-Hollande drive », quand, à la fin du film, les personnages sont tout petits, petits…«
Logiquement, la gauche ne sera plus à la présidentielle le problème de la France. La droite, toutes composantes réunies, y est largement majoritaire avec près de 70 % des Français qui sont aujourd’hui le peuple de France, comme il y eut pendant une très courte période de l’histoire un peuple de gauche. Ce peuple français mériterait un chef à sa hauteur. L’élection présidentielle peut-elle le lui apporter ? La prudence, pour ne pas dire la méfiance, s’impose.
D’abord parce que le grand corps agonisant de la gauche bouge encore. Elle a pour elle le plus grand nombre des médias à la tête desquels elle a placé ses hommes, qu’elle finance avec les impôts transformés en subventions, et auxquels le chef de l’Etat socialiste a consacré, dit-on, le tiers du temps de son mandat présidentiel autour d’assiettes de charcuterie et de bonnes bouteilles. Heureusement, les Français n’ont plus confiance dans la presse et lui préfèrent internet où tout est dit, le meilleur comme le pire, mais qui est devenu ce fait même le seul média démocratique, le seul (avec Valeurs Actuelles) où l’on puisse se forger une opinion qui ne doive rien au prêt-à-penser officiel des rues de Solferino et Saint-Honoré.
Ensuite, il reste quelques personnalités à peu près honnêtes et intelligentes à gauche, bien que des trois paramètres qui feraient le bon élu socialiste (intelligence, honnêteté et socialisme), il ne soit jamais possible d’en réunir plus de deux : socialiste et honnête, mais pas intelligent ; socialiste et intelligent mais pas honnête ; honnête et intelligent mais pas socialiste. Un homme comme Macron pourrait faire partie de la troisième catégorie, puisqu’il est intelligent et que jusqu’à preuve du contraire il n’est soupçonné par la justice d’aucune malhonnêteté. Il dit lui-même ne pas être socialiste et cependant de gauche, ce qui confirme le théorème initial. Bref, Macron pourrait faire gagner la gauche en faisant perdre le socialisme.
À droite, c’est plus compliqué. Il y a sept candidats au premier des quatre tours de la présidentielle, et un ou deux autres pourraient surgir quand le second tour aura sélectionné le candidat imposé aux Français, que ce soit Juppé ou Sarkozy. Le premier débat, qui fut en réalité une succession de monologues minutés entre les sept prétendants, n’a rien apporté. On en est ressorti sans bien comprendre qui voulait quoi et à quel degré, seulement qu’ils sont tous contre le chômage et pour le progrès, contre la gauche et pour la justice sociale, etc. Ce n’est pas cela que les Français attendaient et le candidat chouchou des sondages et de la gauche, Alain Juppé, ne s’en est pas mieux sorti que les autres. Sarkozy non plus d’ailleurs, piégé par la « softitude » de ce pseudo-débat strictement réglementé en monologues alternatifs, ce qui ne convient ni à son énergie ni à sa combativité.
Ce que les Français espéraient était que les candidats abordent le fond des sujets qui les inquiètent, discutent moins des moyens techniques de rétablir la sécurité et le plein emploi que de ceux permettant d’éradiquer les causes de l’insécurité et du chômage, la principale étant les deux cent mille musulmans chômeurs potentiels ou plus qui entrent chaque année plus ou moins illégalement en France. Ce débat là a été soigneusement évité.
Le plus « à droite » semble être Jean-Frédéric Poisson. Ce n’est pas le débat qui nous l’a appris mais ses déclarations précédentes. C’est notamment le seul décidé à supprimer la loi Taubira, le seul qui ne considère pas le FN comme infréquentable même s’il dit ne pas partager toutes ses idées. Les trois qui sont incontestablement gaucho-compatibles sont Juppé, Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet qui se prétendent de droite comme Macron se dit de gauche, mais on sent trop la posture et pas assez la conviction.
D’ailleurs, que certains candidats – supposés de droite – fassent appel aux électeurs de gauche pour battre le président de leur propre parti, élu démocratiquement par 2/3 des adhérents est tout de même un peu fort de café ! « Comme Juppé, Fillon invite les électeurs de gauche à voter à la primaire. François Fillon accueille à bras ouverts tous les électeurs (de gauche) qui souhaitent voter à la primaire de la droite » (Le Figaro).
Juppé, de plus, est islamophile, « Les Français sont hystériques avec l’islam« , dit-il. Juppé souhaite-t-il que Paris devienne comme Londres ?
L’avance qu’il a actuellement sur Sarkozy dans les sondages est largement due (84 % selon un sondage spécifique) à la frange des gens qui, déçus par Hollande et la gauche, se disent aujourd’hui de droite et voteront à droite, mais ont gardé le cœur à gauche et voient en Juppé une sorte de président d’attente en attendant une hypothétique reconstruction de la gauche.
Un récent article paru sur Boulevard Voltaire fait part d’une position originale. Elle semble se développer au sein du FN. Il faut, dit cet article, aller voter à la primaire de la droite pour faire passer Sarkozy comme candidat officiel de la droite à l’issue du second tour de la primaire.
En effet, si Juppé est choisi, il y aura à la présidentielle en 2017 un second tour Juppé contre Marine Le Pen où Juppé est certain de l’emporter grâce à l’appoint des voix de gauche qui lui sont d’ores et déjà acquises. Marine est mathématiquement battue d’avance.
En revanche, si c’est un duel Sarkozy contre Marine, la grande partie de la gauche et une partie de la droite viscéralement anti-Sarko pourraient très probablement rejoindre le camp de l’abstention. Dans ce cas, Marine aurait au moins une chance d’être élue à la présidence. Tout cela mérite réflexion.