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magouille et compagnie - Page 1738

  • Joachim Véliocas : « Selon mes estimations, plus de 600 mosquées posent problème »

    Mercredi, le gouvernement a décidé de fermer quatre mosquées jugées radicales. Coïncidence de dates ? Joachim Véliocas vient de publier une enquête intitulé Mosquées radicales. Ce qu’on y dit. Ce qu’on y lit.

    Selon lui, si le ministère de l’Intérieur fermait toutes les mosquées qui « posent problème », celui-ci s’exposerait à des troubles ingérables.

    http://www.bvoltaire.fr/joachimveliocas/selon-mes-estimations-plus-de-600-mosquees-posent-probleme,292297

  • Journal du lundi 7 novembre 2016 - Société / Manifestation de soutien au délinquant Traoré

  • La solution pour endiguer les flux de migrants : retour en Afrique !

    L’invasion migratoire devient un véritable casse-tête pour des politiciens européens démagogues en recherche de réélection et de popularité. Quant aux peuples européens, ils deviennent de plus en plus hostiles à ces vagues migratoires qui submergent leur pays.

    Le discours immigrationniste à outrance ne fait plus recette : seul le pape François, accroché à ses illusions humanitaristes et philanthropiques à sens unique, l’utilise encore !

    Féru des droits de l’homme et du droit d’asile, Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand du gouvernement de la chancelière vendue au mondialisme, Angela Merkel, a pourtant recadré, un peu, son message immigrationniste qui cadrait de moins en moins avec les aspirations des Germains. Pour faire face à cette immigration sauvage, il a donc lancé une proposition inusitée dans son milieu progressiste mais rabâchée depuis des lustres par les partis identitaires et nationalistes : les migrants « qui sont sauvés en Méditerranée doivent être ramenés en Afrique. »

    Car selon lui, mais là-aussi les opposants à l’immigration-invasion le disent et le redisent depuis des années, cela décapiterait les organisations criminelles des trafiquants d’êtres humains : « Éliminer la propective de rejoindre l’Europe pourrait les décourager de risquer leur vie en affrontant un voyage dangereux. »

    Pas fou dans ce monde politiquement correct auquel il est risqué de trop contrevenir, Thomas de Maizières ne ferme pas la porte totalement aux migrants : une fois ramenés en Tunisie, en Égypte ou autres pays d’Afrique du Nord, les migrants pourraient alors faire avancer leur demande d’asile qui, si elle aboutissait, leur consentirait de rejoindre l’Europe, sans danger.

    Poussée par des partis identitaires en progression électorale grâce à leur discours anti-immigration, voici une petite avancée allemande contre l’invasion…

    Francesca de Villasmundo

    http://colmardabord.hautetfort.com/archive/2016/11/06/d-abord-les-ramener-en-afrique-5870591.html

    http://www.ilgiornale.it/news/mondo/migranti-lidea-ministro-dellinterno-tedesco-riportiamoli-1327718.html

    http://www.medias-presse.info/la-solution-pour-endiguer-les-flux-de-migrants-retour-en-afrique/63957/

  • Le marché de la drogue prospère en France

    Drogue-France-Chard.jpg

    A l’heure où certains ministres socialistes plaident en faveur d’une dépénalisation du cannabis et où le lobby de la drogue, avec l’appui du gouvernement, vient d’ouvrir une première salle de shoot qui ne pourra qu’encourager la consommation de substances illicites en France, l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice, dépendant de Matignon, a publié mercredi un rapport édifiant sur le marché des drogues en France qui, selon ses estimations, s’élevait à environ 2,3 milliards d’euros en 2010.

    Avec quelque 285 tonnes de cannabis vendues, cette drogue aurait ainsi représenté 48 % du marché en 2010 en termes de chiffre d’affaires, avec une fourchette estimée entre 810 millions et 1,425 milliard d’euros, soit une moyenne de 1,117 milliard d’euros. Des revenus en hausse de 33 % par rapport à l’année 2005, en raison d’une augmentation de la consommation mais surtout, souligne le rapport, de la vente d’un cannabis plus cher parce que plus dosé en THC et donc potentiellement plus dangereux pour la santé. Un évolution qui devrait faire réfléchir le gouvernement socialiste à l’heure où certains de ses ministres prônent la dépénalisation de cette drogue, dont les revenus, en outre, servent le plus souvent à financer l’islamo-terrorisme.

    Le rapport du INHESJ met également en évidence cette autre tendance lourde qu’est la « démocratisation » du marché de la cocaïne. Selon ses auteurs, celui-ci serait passé de 488 millions d’euros en 2005 à plus de 900 millions en 2010.Une forte progression qu’ils expliquent par la baisse du prix du gramme, qui a été quasiment divisé par trois entre les années 1990 et le milieu des années 2000, et a entraîné une hausse du nombre de consommateurs. Ce qui fait désormais du marché européen la première cible des producteurs de cocaïne.

    Quant au chiffre d’affaires de l’héroïne, également en augmentation, il s’établirait entre 204 et 329 millions d’euros pour des quantités consommées comprises entre 5,1 et 8,2 tonnes.

    Franck Deletraz

    Article et dessins parus dans Présent daté du 5 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • ILS AIMENT LES IMMIGRÉS SANS LES CONNAÎTRE

    + raciste que le gaucho, tu meurs !

    Illégitimité du discours antiraciste des bobos de gauche…

    Après avoir démontré que le gauchiste est très généralement un membre de la bourgeoisie défendant en priorité ses intérêts de classe, grâce à « l’armée de réserve du Capital » (l’immigration), et décrit sa lutte éternelle contre la prise du pouvoir par le prolétariat,-aujourd’hui naturellement acquis à la cause nationale grâce à sa compréhension du rôle protecteur joué par un état patriote (les ouvriers votent FN)-, nous pouvons analyser les autres facettes de l’illégitimité foncière du gauchiste à parler d’un réel qu’il ne connait pas.

    L’argument souvent décrié par le gauchiste du « j’ai un ami noir ou arabe », prononcé par le prolétaire pour se défendre d’une accusation de racisme, est assez éloquent ; en effet, le bourgeois de gauche n’a que très peu côtoyé l’extra-européen au cours de sa vie, compte-tenu de sa caste sociale de naissance, que ce soit à l’école, dans les très coûteux établissements d’enseignements supérieurs qu’il a fréquentés ou à son travail de cadre, de banquier ou de fonctionnaire bien placé, sans parler de son habitat très éloigné des banlieues multiculturelles.

    Aussi, un simple coup d’œil sur sa liste d’amis Facebook démontre toute son hypocrisie par l’uniformité raciale des relations sociales qu’il entretient. Il n’est ami qu’avec des blancs, ce soi-disant amoureux du tiers-monde ! Le prolétaire, lui, va dans des écoles, et exerce métiers et loisirs de prolétaires… où il est bien plus à même de connaitre et d’échanger avec l’autre partie de la population défavorisée, comme il l’est lui-même. C’est à dire des noirs, des maghrébins, et des européens de l’est (polonais, balkaniques, roumains). 
    Le prolétaire peut parler du comportement et de la nature des immigrés, car IL LES CONNAIT VRAIMENT.

    L’immigré n’est pas un problème pour le riche possédant de gauche, il n’est en aucun cas un concurrent ou une source d’insécurité (puisque le bobo ne le croise jamais ou presque), bien au contraire en divisant le prolétariat et en empêchant toute lutte méritocratique pour le pouvoir et l’influence, il peut garder à jamais sa place de nanti ; en sa qualité de bourgeois, il sait pertinemment que la baisse des salaires (des prolétaires bien sûr) lui fera faire des économies qu’il pourra réinjecter pour son propre intérêt dès lors qu’il en aura besoin dans ses travaux, ses services ou ses biens de consommation au quotidien.  

    Sa « haine de soi » n’en est pas vraiment une. C’est un égoïsme bien dissimulé. C’est aussi et surtout un refus de la lutte hiérarchique entre les hommes ; il se sait parfaitement illégitime et faible dans la compétition pour la survie, et n’a aucun intérêt à démarrer une compétition avec ses semblables, c’est pourquoi il renverse le jeu en niant les différences qualitatives entre les êtres dans ses discours, et en rabaissant le prolétaire blanc, lui reprochant par une inversion totale des valeurs toutes les aliénations du Capital dont il est pourtant la clé de voûte contemporaine.

    D’où sa haine de la religion (1789 : lui, le bourgeois remplaçant l’aristocratie catholique), et encore une fois c’est assez ironique : pour en revenir à la problématique des migrants, ce sont bien aujourd’hui des familles catholiques et pieuses qui, contrairement aux riches gauchistes, prennent de leur temps et de leur énergie pour les accueillir chez eux, les nourrir et les aider à s’installer en France. Les « affreux religieux » sont les plus ardents défenseurs de la cause immigrationniste. Et pourtant, Mélenchon et toute sa clique continue de les détester viscéralement.

    Double voire triple illégitimité dans le débat public du bobo, nous rappelant l’aspect essentiel de l’appartenance de classe comme ciment idéologique, et la lutte constante entre le producteur sédentaire (fermier, salarié, ouvrier) et le nomade parasite et cosmopolite (travaillant à la fonction publique, à la solde de l’Etat avec tous les avantages qui vont avec)… 

    Les symboles communistes qu’il tend à montrer dans les manifestations et les défilés avec allégresse, c’est bien joli… mais a-t-il seulement et ne serait-ce qu’une fois, vu ou utilisé une vraie faucille ou un vrai marteau ?
    Je parle des outils qui permettent de travailler, pas de l’image d’Epinal qu’on voit sur les drapeaux rouges.

    Cédric

    http://suavelos.eu/ils-aiment-les-immigres-sans-les-connaitre

  • Le grand gagnant de la primaire est… Marine Le Pen !

    Le système des primaires recrée une république oligarchique et censitaire.

    De nombreuses voix ont judicieusement dénoncé, sur Boulevard Voltaire, la dénaturation de la Constitution gaullienne de 1958 qu’opère le système de la primaire, avec le contournement du suffrage universel direct.

    Certes, les médias ont essayé de nous convaincre que ce système passionnait les Français car le deuxième débat aurait rassemblé cinq millions de téléspectateurs. Certes, on nous prédit la participation de 3 à 4 millions de votants. Mais cela ne représente qu’une petite minorité du corps électoral : 10 % maximum.

    Surtout, les sondeurs et les politologues, comme M. Fourquet dans Le Figaro, commencent à reconnaître le décalage sociologique important entre cette minorité mobilisée par la primaire et le corps électoral entier. Une minorité où les retraités et les classes supérieures aisées sont surreprésentées.

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  • Guerre en Libye, terrorisme, crise des migrants, élections américaines, toutes les révélations de Julian Assange, le fondateur de WikiliLeaks

    « Mon analyse ? A Trump, il ne sera pas permis de gagner » explique Julian Assange dans une longue interview exclusive accordée à John Pilger, retransmise par Russia Today. « Parce que Trump a contre lui tout l’establishment, à l’exception des Évangélistes peut-être. »

    « Les banques, l’Intelligence, les fabricants d’armes, les dollars étrangers… tous ils soutiennent Hillary Clinton. Et aussi les médias, les propriétaires des médias et les journalistes eux-mêmes. »

    Dans ce long entretien, il revient également sur la guerre en Libye et le rôle déterminant d’Hillary Clinton dans son déclenchement, sur le soutien de l’Arabie Saoudite et du Qatar, alliés au Moyen-Orient de Washington, à Daesh qu’ils financent d’une main et à la Fondation Clinton qu’ils financent de l’autre, sur les interconnections entre eux tous.

    Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, le lanceur d’alertes, vit depuis 2012 comme un réfugié à l’Ambassade d’Équateur à Londres. Condamné à ne pas sortir de l’ambassade pour se protéger des persécutions des États-Unis et des lourdes poursuites judiciaires engagées contre lui, il termine en beauté en énonçant une vérité qui contrevient à la pensée unique  :

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  • L’élection présidentielle US pourrait-elle se dérouler en trois temps ?

    Bernard Plouvier

    En dehors des USA et à quelques jours du scrutin, toutes les opinions publiques semblent accorder du crédit aux sondages tirés des intentions de vote recueillies auprès de citoyens US interrogés de-ci de-là. Pourtant, le nombre total de suffrages apportés à un candidat par l’ensemble de la Nation US ne compte pas en pratique : c’est le vote à l’intérieur de chacun des 50 États de l’Union qui, seul, importe.

    Et ce jeu se joue en deux temps… avec la possibilité, cette fois-ci, d’un troisième, qui servirait d’illustration à un proverbe bien connu : « La vengeance est un plat qui se mange froid ».

    Le 8 novembre, dans chaque État de l’Union, devrait être désigné par une majorité de citoyens un ticket gagnant (présidentiable et vice-présidentiable). Toutefois, le système électoral US étant tout sauf simple, c’est le 3 janvier 2017 que les gouverneurs de chaque État présideront l’assemblée des grands électeurs qui feront connaître leur choix, conforme en théorie au vote majoritaire… sauf gros scandale avéré !

    Et c’est là que le bât blesse. Outre le fait que Dame Hillary est manifestement malade - ses malaises peuvent évoquer une maladie cardiaque ou neurologique responsable d’une hypotension artérielle orthostatique, ce qui, vu son âge, pourrait faire redouter un accident vasculaire cérébral à échéance indéterminée (scénario du 2e mandat de Thomas Woodrow Wilson ou du 4e de Franklin Delano Roosevelt) -, la candidate est très fortement suspectée de culpabilité dans deux affaires jugées monstrueuses aux States.

    La première (dans laquelle la légèreté d’Obama semble impliquée) correspond à de graves indiscrétions, et de façon répétée, à propos de secrets d’État. Il est possible que la quasi-Présidente se soit comportée comme une vulgaire femelle indiscrète, mais ce qui n’est que faiblement ou moyennement important en matière de secrets privés peut s’avérer d’une gravité capitale en ce qui concerne les affaires d’État en une période de très forte tension avec le monde mahométan, la Chine et la Russie… excusez du peu !

    La seconde, plus canaille encore, est l’abus de bien social – une banalité dans les mœurs de la Ve Ripoublique française, on le reconnait volontiers, mais l’opinion publique US adore se comporter en moralisatrice. En l’occurrence, l’accusation est celle de détournement à des fins privées (notamment pour le financement de campagnes électorales) de fonds provenant d’œuvres caritatives.

    Si le scandale passe de l’état de rumeur à celui de certitude, rien n’empêche les grands électeurs, le 3 janvier 2017, de déclasser Dame Hillary au profit de son colistier, le falot (il a été choisi à dessein) Timothy Kaine, catholique à la fois libéral et traditionnaliste selon les sujets, réputé honnête, adoré des Latinos et bon père de famille. Sauf imprévisible mutation en homme d’État d’un juriste intelligent (et délicieusement roublard), mais fort piètre communicateur, le Congrès se ferait une joie de transformer ce Président au rabais en inaugurateur des chrysanthèmes.

    Si d’aventure Dame Hillary était néanmoins élue Présidente, pourrait alors se jouer le 3e temps du match. Le Congrès pourrait déclencher une procédure d’Impeachment… ce qui est licite dès le premier jour d’exercice du Président et même entre sa proclamation et son entrée en fonction !

    Le Parti de l’éléphant compte nombre d’honorables parlementaires dotés d’une excellente mémoire. Après tout, Richard Nixon, qui fut objectivement un excellent Président, a été victime d’un Impeachment pour une pratique d’usage très courant en France depuis le Front Populaire : le brave Léon Blum avait placé sur table d’écoutes non seulement les lignes téléphoniques de ses adversaires politiques, mais aussi celles de certains de ses ministres… on a fait beaucoup mieux depuis.

    En résumé, l’élection US, capitale pour l’avenir européen immédiat, est beaucoup moins simple qu’il n’y paraît et semble pouvoir nous réserver quelques surprises.

    Pour amateurs : U.S. News – CNN.com et U.S. News – NBC News ; on y trouve le pire de la propagande globalo-mondialiste, mais aussi, de loin en loin, quelques réflexions intéressantes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Corruption et impunité : le livre qui accuse l’ONU

    Livre-Corruption-ONU-220x350.jpgFRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie: Un récent livre, UNsilenced :UNmasking the United Nations’ Culture of Cover-ups, Corruption and Impunity (AuthorHouseUk) dénonce l’impunité dont bénéficie l’ONU face à la corruption qui règne à tous les étages de l’organisme international.

    Son auteur, Rasna Warah, écrivain et journaliste kényane, a été attaché de rédaction à l’ONU de 1994 à 2009. Elle connaît donc la maison de l’intérieur. Dans le cadre de sa mission, elle a pu constater que des services de l’ONU « fabriquent des données » afin de justifier leur travail au sein de l’organisme international. Preuves à l’appui, la journaliste affirme par exemple que des rapports sur les « famines » en Somalie ont été créés de toutes pièces par l’organisme international qui s’est ensuite servi de ce qu’elle appelle « l’effet CNN » pour orienter judicieusement l’action des politiques et créer ainsi un financement de masse, avec de substantiels détournements afférents.

    Les agences de l’ONU profitent du malheur des populations, quand elles ne le créent pas. Ces agences ont ainsi l’habitude d’inonder les marchés africains de denrées gratuites au moment de la récolte, ce qui fait chuter les prix et incite les producteurs locaux à aller faire autre chose. Avec, au bout du compte, une dépendance accrue des populations, non seulement par rapport à ces agences, financées par le contribuable occidental, mais aussi, et c’est sans doute le but final, par rapport aux grands groupes internationaux de distribution.

    Rasna Warah raconte dans son livre, comment on a tenté de la faire taire.Attaques, menaces, intimidations, humiliations publiques, tous les moyens ont été bons pour la dissuader de dénoncer publiquement les malversations dont elle a été témoin. L’ONU agit de la même manière à l’encontre de tous les lanceurs d’alerte qui la mettent en cause, affirme Mme Warah. Ainsi, d’Anders Kompass, après qu’il avait révélé de nombreux cas de viols d’enfants par des « soldats de la paix » en Afrique. Mme Warah, qui se qualifie elle‑même « de gauche » note que bien des médias refusent de critiquer l’ONU, de peur d’être assimilés à l’« extrême droite ».

    http://fr.novopress.info/

  • Prise de parole d'un policier pendant la manifestation du 1er novembre 2016