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magouille et compagnie - Page 1747

  • Graves tensions avec les clandestins en Italie, Grèce et Bulgarie

    8744-20161129.jpgEn Italie, alors qu’une étude publiée la semaine dernière par le quotidien Il Giornale montrait un lien très net entre l’arrivée d’immigrés, et plus encore d’immigrés clandestins, et la hausse de la criminalité, voilà le gouvernement de Matteo Renzi contraint, à la demande des préfets, d’envoyer l’armée à Milan et Turin. 

    On a vu en effet ces derniers temps dans ces deux villes les immigrés clandestins s’en prendre aux habitants et affronter les forces de l’ordre. A Turin, la colère des clandestins qui a débordé le 23 novembre aurait été provoquée par des actes hostiles contre l’ex-village olympique où ils sont logés. Les riverains en avaient déjà assez de ces immigrants encombrants arrivés illégalement en Italie et des trafics en tout genre que les autorités laissaient se développer dans la zone, mais maintenant ils ont carrément peur face à ces très nombreux hommes dans la force de l’âge venus d’Afrique pour exiger une « vie décente » et crier leur rage contre ces Italiens « racistes ».

    En Grèce, c’est sur l’île de Chios que les forces de l’ordre ont dû séparer les « migrants » et environ 800 habitants venus protester contre leur présence forcée. Un clandestin et quatre « humanitaires » ont été arrêtés pour avoir lancé des pierres contre des policiers. D’après les médias grecs, les autochtones brandissaient des drapeaux grecs et entonnaient des chants patriotiques, et des journalistes affirment avoir été agressés par des « militants d’extrême droite ». D’autres troubles entre clandestins et habitants ont éclaté dans la nuit de mercredi à jeudi sur l’île de Lesbos.

    La situation était « chaude » aussi en Bulgarie, où les forces de l’ordre ont arrêté plusieurs centaines d’immigrants clandestins, principalement des Afghans, après de violents affrontements entre jeudi et vendredi à Harmanli, où la police a dû utiliser des canons à eau et des balles en caoutchouc. La colère de ces individus entrés illégalement sur le territoire bulgare aurait été provoquée par une période de quarantaine prononcée à l’encontre des 3 000 habitants de leur centre d’accueil à la suite de manifestations d’habitants contre les maladies infectieuses qu’ils répandaient.

    Vendredi, des Bulgares se sont groupés devant l’entrée du camp et ne se sont dispersés qu’après avoir obtenu l’assurance que seules les familles avec des enfants seraient autorisées à y rester. Le Premier ministre Boiko Borisov a annoncé que les « migrants » arrêtés seraient maintenus dans des centres fermés en attendant leur expulsion.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 29 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Avortement : le choix, c’est aussi d’y renoncer

    Les socialistes bafouent sans merci la volonté originelle de Simone Veil.

    Comme une atmosphère de fin de règne, dans les couloirs de l’Assemblée. À l’approche de la chute, les textes militants s’enchaînent, rivalisant d’absurdité – instauration de « funérailles républicaines » – et d’élans mortifères – tentatives d’institution de la recherche sur l’embryon. Dernier coup de génie du groupe socialiste : la clique présentera, jeudi 1er décembre, son texte sur « l’extension du délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse ». Le rapporteur de ce texte aussi urgent que primordial ? Catherine Coutelle, dont le seul grand œuvre dans l’exercice de son mandat parlementaire fut la rédaction d’une proposition de résolution visant à réaffirmer le droit fondamental à l’IVG en France et en Europe. L’avortement ? Une obsession, pour le député de la Vienne, membre du conseil d’administration au Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes. Entre deux actions de sauvetage du Planning familial et la création d’associations bidon – Vers la parité dans la gauche plurielle -, ça bosse dur, dans les confortables fauteuils de velours rouge du Parlement.

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  • Ces membres de l’équipe Fillon qui collaborent avec des mosquées en mairie

    Le site de campagne de François Fillon affiche les portraits de ses soutiens parmi les parlementaires, souvent maires de grandes villes, dont au moins cinq (nous continuons de fouiller dans nos archives) ont soutenu activement des projets de mosquées, souvent radicales, sises sur des terrains municipaux.

    Capture-d’écran-2016-11-21-à-10.17.53.pngCaroline Cayeux

    Caroline Cayeux, maire de Beauvais, s’est démenée pour faire aboutir la construction de la grande mosquée, gérée par les islamistes de l’UOIF, nous écrivions dans notre livre Ces maires qui courtisent l’islamisme (Tatamis, 2015) :

    « La ville compte pourtant déjà trois mosquées, deux rue de Clermont et une rue du Faubourg Saint-Jacques, et deux salles de prière implantées dans les quartiers Saint-Jean et Argentine. « Les sites actuels sont dans un état catastrophique, estime Caroline Cayeux, maire de Beauvais dans Le Courrier Picard.[1] Le but est de ne faire plus qu’un seul site pour offrir un lieu de culte digne et sûr ». Madame le maire, membre de l’UMP, préfère une Grande Mosquée avec coupole et minaret, plutôt que des salles de prières.(…) D’une superficie de 1 951 m², les parcelles de la ville ont été vendues au prix de 120 000 euros. Une bonne affaire !

    « Vous l’avez rêvé, on l’a fait », s’exclama le maire ajoint UMP Olivier Taboureux à l’adresse du banc de l’opposition socialiste lors de ce même conseil municipal. (…)Mohrad Laghrari est adjoint au maire de Beauvais depuis la reconduction de Caroline Cayeux à la mairie en mars 2014. Proche de l’association Espoir et Fraternité qui gère la mosquée, il était sur son stand lors du salon de l’UOIF en 2012, afin d’y donner une conférence sur la citoyenneté[2]. Chaque année, ce proche de Caroline Cayeux va au congrès des islamistes comme en témoigne ses photos personnelles sur Twitter (il y était encore a l’édition 2014, où nous avions trouvé de la littérature djihadiste) Lire la suite dans l’enquête Ces Maires qui courtisent l’islamisme

    [1] La future mosquée de Beauvais, s’expose au Bourget, Harmonie, 12 avril 2012
    [2] Une mosquée après plus de vingt ans d’attente pour la communauté musulmane de Beauvais, Le Courrier Picard, 9 juillet 2010.

    Capture-d’écran-2016-11-21-à-10.15.53.pngGilbert Meyer

    Lu dans Libération/AFP, 30/09/2008 : « Annulation totale ». C’est le sens de la décision rendue mardi par le tribunal administratif de Strasbourg, devant lequel des recours avaient été déposés pour contester la réélection du maire sortant de Colmar, Gilbert Meyer(UMP), en mars dernier.

    Le tribunal invalide donc le scrutin des municipales, qui s’était joué à 149 voix d’écart entre Gilbert Meyer et son ancien adjoint Roland Wagner (DVD), l’un des plaignants. Lors de l’audience, le 16 septembre, le commissaire du gouvernement avait préconisé l’annulation des élections en raison de deux irrégularités, selon lui : l’aménagement accéléré d’un terrain de football dans une ZUP de la ville, en vertu d’une promesse faite aux jeunes du quartier quelques semaines avant le premier tour, considéré comme une « opération de propagande » ; la promesse d’une subvention de 164.000 euros pour l’agrandissement d’une mosquée faite le 25 février par courrier par Gilbert Meyer à un imam, qui l’a largement relayée auprès des fidèles. Lire la suite sur Libération

    Capture-d’écran-2016-11-21-à-10.18.59.pngMichel Heinrich

    Le 12 mars 2007, nous écrivions sur le cadeau foncier fait par le député-maire d’Epinal, Michel Heinrich, soutien de François Fillon, figurant aussi sur son site de campagne comme membre de « L’équipe » : « Epinal : 4 minarets pour une mosquée sur un terrain de 8000m2…pour l’euro symbolique » :

    La longue marche pour l’édification d’un centre islamique géant à Epinal est entrain de prendre forme, les pelleteuses sont déjà à l’action. Dévoilée en novembre 2005, la maquette a de quoi impressionner : 8000m2 de terrain, 700m2 d’emprise au sol pour la mosquée . 4 minarets, une coupole. 1,5 millions d’euros de budget. Capacité de la salle de prière : 1000 personnes

    Le Député-Maire UMP d’Epinal, Michel Heinrich, fit voter par son conseil municipal le 2 septembre 2004 une délibération approuvant « la location à l’euro symbolique, sous la forme d’un bail emphytéotique, au profit de l’Association Culturelle Musulmane des Vosges , un terrain communal d’une superficie d’environ 8 000m2 situé ZAC des Terres Saint-Jean pour la construction d’une mosquée ».

    Capture-d’écran-2016-11-21-à-11.01.43.pngJacques-Alain Bénesti

    Le député-maire Républicain de Villiers-sur-Marne, Jacques-Alain Bénisti (photo),  qui ne voulait pas jeter les bébés islamistes avec l’eau du bain de la mosquée fréquentée par les imâms ultra radicaux Béchir Ben Hassen (Frère musulman qui prescrit le meurtre des caricaturistes) et Mustafa Mraoui (parti rejoindre l’Etat Islamique avec dix fidèles de la mosquée), rencontre une défaite politique : la mosquée Islah, sise sur un terrain municipal généreusement alloué par la municipalité de droite, vient d’être fermée par l’Intérieur dans le cadre de l’Etat d’Urgence.

    Pourtant, Jacques-Alain Bénesti (LR) assurait cet été que «  ce lieu n’a jamais été salafiste ni un foyer de radicalisation  » (source), pire il avait déjà prévu de déplacer la mosquée sur un autre terrain municipal :

    « Le terrain sur le quel se trouve actuellement la mosquée (route de Bry) et celui sur lequel elle devrait être transférée (derrière la zone d’activité commerciale, en bordure des Hautes noues) nous appartiennent tous les deux et l’objectif est de faire un échange » (source).

    Capture-d’écran-2016-11-21-à-11.01.43.pngPhilippe Houillon

    En mai 2004, le député-maire de Pontoise a inauguré la mosquée salafiste de Pontoise, qui diffuse de la littérature djihadiste comme nous l’avons prouvé dans notre dernier livre-enquête Mosquées radicales, ce qu’on y dit, ce qu’on y lit(éditions DMM, 2016).

    Comme nous l’avons démontré dans nos deux éditions de Ces Maires qui courtisent l’islamisme (Tatamis, 2010 et 2015), des dizaines de maires LR aident les mosquées radicales par le biais de mise à disposition de terrains ou locaux municipaux, voire des subventions.

    1507-1-200x300.jpgLe livre Vaincre le totalitarisme islamique de François Fillon, qui avait inauguré la mosquée d’Argenteuil (photo) aux côtés d’une fillette voilée ne doit pas tromper les naïfs, il s’agit juste de séduire l’électorat bourgeois-conservateur.

    http://www.les-identitaires.com/2016/11/membres-de-lequipe-fillon-collaborent-mosquees-mairie/

  • Fillon, c’est ça un réac ?

    Les médias n’aiment pas François Fillon, mais les médias vous font aimer François Fillon. Réac, traditionaliste, apôtre d’une révolution conservatrice. Ce que la propagande médiatique dénonce, les Français en prennent systématiquement le contrepied. La campagne de diabolisation expresse que le candidat a subie, loin de lui nuire, l’a porté encore plus haut que dans les sondages les plus avantageux pour lui. La cote de popularité du désormais candidat à l’élection présidentielle atteint un niveau jamais vu depuis son entrée à l’assemblée nationale il y a plus de 35 ans.

    Cette popularité inespérée pour l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy interroge. Et attise ma curiosité lorsque je remarque que François Fillon a publié un livre thématique « Vaincre le totalitarisme islamique » en septembre dernier aux éditions Albin Michel, la maison qui publie Éric Zemmour et Philippe de Villiers. La tentation était trop forte. Je l’ai donc lu pour voir si Fillon avait pris la mesure de ce choc de civilisation et de la crise identitaire que traverse la France.

    Et d’ailleurs, c’est quoi l’identité française pour Fillon ? Il nous en donne sa définition dès le début de l’essai. « Si certains ne savent pas ce qu’est l’identité française, nos assassins, eux, le savent : la liberté d’opinion, l’égalité des sexes, la fraternité entre tous, le droit de croire ou ne pas croire, le droit de rire, de s’aimer, de voter…  ». C’est niais comme un discours socialiste.

    François Fillon n’hésite d’ailleurs pas à emprunter les coups de menton de Manuel Valls lorsqu’il s’agit de dénoncer le Front National qui « tente de prospérer sur la démonstration simpliste que tous nos maux sont issus de l’immigration ». La totalité des terroristes ayant frappé la France depuis Mohamed Merah étaient issus de l’immigration, mais François Fillon n’y voit que des Français comme vous et moi.

    Et cette révolution conservatrice dont parle Patrick Buisson au sujet de la campagne de François Fillon ? C’est ce dernier qui en parle le mieux en dénonçant en parallèle franquistes et djihadistes, «  l’un et l’autre [ayant] développé une révolution conservatrice, c’est-à-dire une haine de la modernité servie par l’instrumentalisation des techniques de propagande les plus modernes ».

    Dès lors, comment s’étonner que François Fillon soit touché par « ces images terribles du drame des réfugiés syriens » et « la brutalité de leur rejet » ?

    Un François Fillon qui se délecte à citer et appeler à son secours Mitterrand, Clémenceau, Günter Grass, Jean Birnbaum, Comte-Sponville, Jean Zay et le Front Populaire, Mohamed Sifaoui, Jacques Julliard et bien d’autres. Mais qui se sent obligé de qualifier de « controversé  » le roman Soumission de Michel Houellebecq.

    Un courage qui n’est pas la marque de fabrique du candidat Fillon, dont les envolées contre les Frères musulmans et leur islam politique réussissent l’exploit de ne presque jamais faire mention de l’UOIF. Un oubli volontaire pour un ancien Premier ministre dont on cherche encore la moindre trace de lutte contre les représentants français des Frères musulmans durant sa période à Matignon.

    Vous l’avez vu, François Fillon a les yeux de Chimène pour la gauche. Et la gauche lui rendra bien. C’est le candidat de droite que les gens de gauche adorent détester. Le candidat de la droite d’argent. Celle qui ne reviendra jamais sur les mesures sociétales de la gauche (le mariage pour tous) et qui ne parle même plus d’immigration. Mais qui usera de tout son courage pour la suppression de l’ISF.

    Avec cette droite-là, la gauche a ses repères. Quelques modestes manifestations de rue, un peu de terrorisme intellectuel, des leçons de morale, et la droite est paralysée. Voilà la gauche rassurée. François Fillon restera à ce titre le candidat de droite le moins ambitieux sur les questions identitaires des campagnes électorales des vingt dernières années, à l’exception du candidat Jacques Chirac de l’entre-deux tours de 2002. Il n’est pas certain que la France de 2017 puisse se permettre le luxe de 5 années supplémentaires de statu quo et un pays qui continue à se dégrader toujours plus rapidement.

    Frédéric Robillard

    http://www.les-identitaires.com/2016/11/fillon-cest-ca-un-reac/

  • COP 22 : le mot tabou qu'ils ne prononçaient pas : TRUMP !

    Ils avaient annoncé la couleur, cette COP 22 ne se réunissait pas pour rien au Maroc : l’Afrique était au centre de toutes les préoccupations. Le démarrage de l'Afrique, l'émergence de l'Afrique sur la scène mondiale, le déferlement biologique de l'Afrique sur tous les continents, et particulièrement sur l'Amérique du Nord et sur l'Europe, le rattrapage technique et économique de l'Afrique grâce aux centaines de milliards d'aide que « les pays riches » s'engageaient à lui fournir. En sus des dizaines de millions de crève la faim qu'il leur faudrait absorber, déséquilibrant justement les programmes d'économie d'énergie qu'ils s'engageaient à réduire plus encore grâce à la limitation génocidaire de leur natalité.

    En fait la 22e édition de cette COP aura bien été à l'image de toutes les autres : une farce. Et pouvait-elle autre chose quand elle est surtout une gigantesque opération de communication. 20 000 congressistes venus par avion du monde entier, se pressant dans des hôtels de luxe aux frais des imbéciles persuadés par ces charlatans que s'ils ne ferment pas leur robinet lorsqu'ils se brossent les dents dans quarante ans la terre sera une géhenne.

    Pour s'assurer qu'aucun contestataire ne perturbe leur cohésion, ils ont damé dans les esprits le mot consensus qu'on peut traduire par : tous ceux qui ne sont pas d'accord sont des crétins et des criminels contre l'humanité. Lors de chacune des COP ne sont intervenus que des thuriféraires des gaz à effet de serre anthropiques. Quiconque émettrait une opinion frondeuse serait sur le champ expulsé par la police onusienne extrêmement présente sur les lieux et qui ne semble déranger aucun représentant des Droits Humains et de la liberté d'expression qui cependant pullulent dans ces assemblées sectaires.

    La conférence de Marrakech devait affirmer ce qui avait été défini à Paris l'an passé et contresigné en octobre par la plupart des pays contrôlés par l'ONU. Avant que ne soient mises en place les prochaines étapes devant déboucher sur la COP24 finale, du 5 au 16 novembre 2018 en un lieu non encore défini « dont vous aurez connaissance lorsque nous le jugerons approprié ». En somme la gravure sur marbre des injonctions devant mener à l'unification administrative du monde telle qu'elle avait été projetée dans l'Agenda 21 lors du Sommet de la Terre de Rio de 1992. Deux points seraient imposés aux peuples soumis. La réduction de leur développement par les pays "riches" afin de restreindre la production de gaz à effet de serre anthropiques « bien en-deçà de 2° de la moyenne prévalant avant l'ère industrielle ». Voire même, réclament les pays non développés qui n'y sont pas assujettis, de 1,5°. Et l'assurance que d'ici 2020, ces riches « responsables de la pollution du monde », paieront 100 milliards de dollars par an aux autres. Ils appellent cela « la Justice Climatique », éternel tribut payé au colonialisme. Et faisant abstraction de la surpopulation africaine : 4,2 milliards, en 2100, prévisions les plus modérées, et 6 milliards selon l'ONU.

    Ce n'est donc ni le C02, ni l'industrie et la pollution des régions industrielles occidentales, ni la consommation d'énergies fossiles par les Blancs qui sont responsables des catastrophes climatiques annoncées en Afrique. Mais la destruction par les hommes et leurs troupeaux des zones tropicales surpeuplées dont, semble-t-il, nul ne se soucie de l'explosion démographique.

    À Marrakech les gros média sont restés muet sur cette question.

    C'est néanmoins sur une note très pessimiste - largement due à l'élection de Donald Trump - que s'est achevée cette COP -. Certes, chacun s'efforça de garder bonne mesure et d'asséner à la façon du désopilant François Hollande que : « l'Accord de Paris est irréversible ». Ou bien, selon la grande prêtresse du Réchauffement Climatique anthropique, Laurence Toubiana : « On sonne la fin de la récréation en 2018, avec en plus un premier bilan des actions ». Si d'ici là l'horrible Trump n'a pas secoué leur cocotier. Pour l'heure le moins tonitruant n'est pas le chef des pays africains dans la discussion, le Malien Seyni Nafo, qui a besoin des armées de bwana pour réduire ses propres djihadistes. « La feuille de route est assez claire, braille-t-il, pour les deux prochaines années... Il faut transformer les contributions des États en politiques publiques, en plans d'investissement ». Aboulez la monnaie !

    Trump, un gros grain de sable

    Des centaines d'ONG d'ultra-gauche pullulent dans ces conférences, financées par les États ou par l'ONU, en quête de subvention et de médiatisation. Prenez Mme Lucile Dufour qui se répand dans tous les organes de presse d'ultra-gauche au nom de la section française du Réseau Action Climat, dont le siège est au Liban. « La plupart des pays développés sont arrivés à Marrakech les mains vides, sans annonces concrètes ni financements », éructe-t-elle. Ce RAC est un réseau de 1000 ONG, déjà présentes sur le terrain, comme GreenPeace, Les Amis de la Terre, Oxfam, Sortir du Nucléaire ou le Comité de Liaison des Energies Renouvelables. Sa mission ? « Inciter les gouvernements et les citoyens à prendre des mesures pour limiter l'impact des activités humaines sur le climat ». Pourtant il ne faut pas trop gratter pour découvrir sous la poussière tout autre chose. Le RAC-us (qui se décline USCAN) par exemple regroupe plus de 150 ONG radicales d'ultra-gauche, mobilisées depuis des mois par Soros et Sanders dans le combat contre Trump. La profession de foi de ce machin est d'une impeccable hypocrisie : « L'USCAN est un réseau dynamique, en pleine croissance, réunissant des organisations activement militantes sur le changement climatique ». Ah, oui ?

    Exemples. L'American Jewish World Service additionne l'influence de ses dons aux avocats des Droits Humains dans les pays en développement à la pression exercée sur le gouvernement des Etats-Unis afin qu'il « adopte des lois et des politiques favorables aux peuples de ces pays ». Quel rapport entre l'un et l'autre ?

    Care : Servir les communautés les plus pauvres du monde. Tirer notre force de la Diversité globale. Limiter la fertilité des populations pauvres ne résoudra pas la crise climatique.

    Centre pour une démocratie populaire : Pour un agenda innovant de justice raciale et économique, pro-travailleur, pro-immigrant.

    NAACP. Première organisation raciale noire aux États-Unis : « Notre mission est d'assurer l'égalité politique, éducative, sociale et économique de toutes les personnes et d'éliminer la discrimination basée sur la race ».

    Bref, on pourrait dresser une liste de plusieurs dizaines d'associations dont le aimât est le cadet des soucis mais qui savent se servir des innombrables manifestations dont il est le prétexte pour faire avancer leur programme d'agit'prop.

    Ce qui retiendra plus particulièrement l'attention sera l'intervention de John Kerry qui représentait Obama. « Personne, déclara-t-il le doigt menaçant, n'aie droit de prendre des décisions qui affecteront des milliards d'individus en se fondant sur une idéologie ou sans réelle justification ». C'est le monde à l'envers quand on sait que l'entreprise climatique n'est qu'une manipulation idéologique et qu'à ce jour toutes les données scientifiques avancées, comme l'a démontré notamment le Climategate de novembre 2009, sont fallacieuses ou erronées. Mais il s'agit par tous les moyens de la mener à son terme et Trump apparaît comme un grain de sable de belle taille.

    S'étonnera-t-on que le doyen des journaux scientifiques américains, The Scientific American qui, en 170 années d'existence, ne s'était jamais mêlé de commenter la politique présidentielle, ait au cours des Primaires, attaqué le candidat Trump pour de prétendues positions et rhétoriques "anti-scientifiques" ? Il vient d'en remettre une couche à propos de son climato-scepticisme. « Il existe, peut-on lire le 15 novembre, un mot tabou à Marrakech : Trump. Le président élu est omniprésent. Vous pouvez le sentir rôder derrière chaque discours sur les économies décarbonnées et dans chaque fracture née des pertes et dommages provoquées par le climat. On ne le cite jamais directement mais il est toujours quelque part dans la salle. Avec un climato-sceptique (Myron Ebell) faisant la transition avec l'EPA (l'Agence de Protection de l'Environnement) et Donald Trump à la Maison-Blanche pour quatre ou huit ans, c'est une intense peur de l'échec qui enfle.

    Et elle est justifiée ».

    Sans avoir demandé la moindre signature au Congrès, agissant par décrets, le binôme Obama/Kerry vient au cours des derniers mois d'engager les États-Unis dans une folle course à la décarbonisation de l'économie. 89 % en moins d'ici 2050. Entre 26 et 28 % d'ici 2025. Tous les domaines de l'économie seront frappés et celle-ci dynamisée, prétendent-ils, par les énergies renouvelables et les emplois induits, alors qu'après vingt ans d'expérience non seulement elles sont un fiasco misérable mais elles sont loin d'avoir remplacé les emplois qu'elles ont détruits. Trump, répètent-ils, ne pourra pas revenir sur la COP parisienne, sauf que dans son entourage on soutient calmement que ce qu'un paraphe au bout d'un papier a institué un autre paraphe au bout d'un autre papier peut le supprimer. Lui maintient qu'il entend créer 20 millions d'emplois et récupérer 100 milliards de dollars par le recours aux carburants fossiles : il a consulté suffisamment de scientifiques climato-sceptiques - ceux qui sont interdits de média - pour savoir que les gaz à effets de serre et le carbone n'ont rien à voir avec quelque changement climatique, qu'il n'y a depuis 18 ans aucune augmentation des températures terrestres, aucune montée des océans et depuis dix ans, contrairement à ce que promet le GŒC, aucune augmentation du nombre et de la violence des ouragans.

    On a vu à Marrakech, prenant appui sur les falsifications pseudo-scientifiques du Climat, se mettre en place contre l'Amérique de Trump, une formidable guérilla planétaire - à l'intérieur et à l'extérieur - soutenue par Wall Street et par la finance internationale, très présents lors de la COP 22, que l'on accuse néanmoins de s'être acoquinée avec le président élu, alors qu'ils ne lui pardonnent pas de s'être substitué à la candidate de la corruption qu'ils avaient à l'avance désignée.

    René BLANC. Rivarol du 24 novembre 2016

  • Immigration : Le mouvement perpétuel

    par Louis-Joseph Delanglade

    Ce n’est certes pas le « fameux trois-mâts » de la chanson, mais plutôt, à en juger par la photo, le Karaboudjan du capitaine Haddock. L’Aquarius, ce « navire humanitaire » affrété par l’association « citoyenne » européenne SOS Méditerranée n’en finit pas de procéder à des sauvetages au large des côtes libyennes. La ficelle est un peu grosse : des dizaines de milliers de migrants, les uns faute de pouvoir transiter par la Turquie et la Grèce aussi facilement qu’avant, les autres parce qu’ils remontent de l’Afrique occidentale, prennent le risque, qu’ils ne peuvent plus ignorer, de se noyer en Méditerranée, sachant qu’ils ont quand même une chance d’arriver jusqu’en Italie, sauvés par les « humanitaires » européens. Ainsi se trouve avérée la faillite totale de l’Europe dite de Schengen : incapable de contraindre l’Aquarius à ramener les malheureux rescapés à leur point de départ, donc incapable de sécuriser nos frontières face à la vague migratoire. Qu’on sauve les gens, soit, mais pourquoi les débarquer en Europe où ils n’ont rien à faire ?

    De Lampedusa où on les débarque le plus souvent, la plupart vont remonter jusqu’à la frontière française. Et là, ça recommence. Empêchés de passer par Menton, ils tentent de s‘infiltrer clandestinement par la vallée de la Roya. Ils ne risquent plus la noyade mais, paraît-il, souffrent des conditions climatiques. Aussi, à l’instigation de la Ligue des Droits de l’Homme et d’Amnesty International, s’est créée « l’association » Roya Citoyenne qui entend  « défendre les intérêts des citoyens du monde » - comprenez : qui favorise l’entrée en France des migrants clandestins et indésirables. Deux de ses membres, MM. Herrou et Mannoni, se sont donc retrouvés devant le tribunal de Nice. Gageons que, s’ils sont condamnés, ils auront droit à tout le soutien moral, financier et médiatique possible. En tout cas, grâce ces messieurs, voici nos migrants en Gaule.

    En Gaule justement, le gouvernement, incapable donc de contrôler au mieux les frontières nationales, vient d’avoir une idée lumineuse : une aide exceptionnelle au retour pour « faciliter les départs de France des ressortissants étrangers, en situation irrégulière, qui souhaitent rentrer dans leur pays ». Cette prime de Noël de 2500 € à tout clandestin acceptant de repartir « volontairement » est majorée d’une aide de 10000 € « pour la réinsertion sociale, l'emploi ou la création d’entreprise ». On nous explique que cela coûte moins cher qu’une reconduite forcée, laquelle nécessite une démarche judiciaire et un accompagnement physique très onéreux. Que voilà de la bonne politique ! D’autant que l’ « humanisme » est sauf car, si le clandestin veut rester, pas de problème : une association « citoyenne » sera toujours là pour lui faciliter le séjour et culpabiliser le Gaulois raciste qui s’en tire déjà trop bien en ne finançant pas par ses impôts un retour à 12500 €.

    Et si le clandestin, sauvé par le Karaboudjan, pardon l’Aquarius ; infiltré par les valeureux guérilleros de La Roya ; dédommagé, c’est la moindre des choses, par le contribuable français ; si, donc, il revient ? Tout est en place, semble-t-il. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le plus dur commence pour François Fillon

    C’est maintenant que François Fillon va devoir affronter le plus difficile !Non pas que la primaire lui fut aisée, il a dû attendre longtemps avant de remporter une victoire spectaculaire sur ses rivaux au premier tour et écrasante sur Alain Juppé au second, avec près de 66 % contre 33 % pour le maire de Bordeaux.

    Sa course fut pendant des mois obscure et solitaire mais nul ne lui cherchait querelle, ni ses concurrents de droite, ni ses adversaires de gauche. Il prêchait dans le désert de l’indifférence politico-médiatique. Personne ne songeait vraiment à aller voir en quoi consistait précisément son programme dont il disait qu’il était le plus élaboré et le plus complet. Les yeux étaient fixés sur le duo, bientôt duel, Sarkozy-Juppé. Tout au plus s’interrogeait-on sur le point de savoir s’il occuperait la troisième place ou si Bruno Le Maire allait le devancer.

    Ce qui était un handicap est finalement devenu un atout ; il a pu faire campagne dans tout le pays sans rencontrer d’opposition et exposer à ses auditeurs son projet, en toute sérénité. C’est cette sérénité, cette force tranquille, que l’on a retrouvée sur les plateaux de télévision lors des trois débats ; il semblait se bonifier à chaque fois.

    Dès que les sondages ont frémi en sa faveur, il y eut un effet-Fillon ; les électeurs du centre et de la droite virent en lui non plus un outsider mais un candidat crédible pour représenter la droite libérale à la présidentielle. Comme nous l’avons déjà remarqué, Sarkozy l’y a beaucoup aidé en faisant une campagne vigoureuse contre Juppé, mettant en doute sa volonté d’alternance, ce qui a profité à Fillon qui n’a cessé de progresser dans l’opinion jusqu’au scrutin.

    Depuis huit jours, finie la tranquillité ! L’ancien premier ministre de Sarkozy était devenu la cible de toutes les attaques, Juppé à fleurets mouchetés – c’est peut-être ce qui l’a perdu –, Valls et Moscovici avec la grosse artillerie socialiste et Florian Philippot, pour le Front national, en dénonçant son libéralisme et son européanisme. Et ce n’est que le début ! Car il y a aussi Mélenchon et quelques autres à l’extrême-gauche qui ne vont pas le ménager. Mais, après tout, c’est de bonne guerre électorale !

    Le plus inquiétant n’est donc pas là, il est dans les propos amères tenus par le patron de la CGT, Martinez, qui a menacé dès dimanche : si le programme de la droite en matière sociale devait être appliqué, il serait « contesté par les Français » car, a certifié le syndicaliste rouge, « les Français sont contre les thèmes forts du programme de MM. Fillon et Juppé, donc la mobilisation sera d’actualité, pour être clair. » « Mobilisation » dans la bouche du leader de la CGT est synonyme de sabotage. Les « Français » ont bon dos !

    Il ne s’agit tout au plus que de la CGT et de ses troupes qui se moquent des Français, sinon ils attendraient que les électeurs se soient prononcés avant de proclamer qu’ils sont contre le programme de la droite libérale. Si nos compatriotes le refusent, ils ne voteront pas pour Fillon, s’ils l’acceptent, ils l’éliront ! Cela s’appelle la démocratie ; la conception qu’en a Philippe Martinez n’est autre que celle de Fidel Castro dont il porte le deuil, tant il l’admirait.

    François Fillon va devoir tenir pendant six mois sous la mitraille de ses opposants. Mais il paraît qu’il a été choisi parce qu’il paraissait avoir les épaules assez solides pour cela quoiqu’ayant reculé un peu trop rapidement devant Copé lors du coup de force de ce dernier pour s’emparer de la présidence du parti. Les attaques qu’il va subir ne porteront pas sur sa personne ; il ne traîne aucune « casserole » attachée à ses basques, comme Sarkozy, et il n’a jamais fait l’objet d’une condamnation, comme Juppé. On se concentrera donc sur son programme, précis, chiffré et donc prêt à être mis en œuvre.

    Au fil de la campagne, les électeurs vont le découvrir dans toute son ampleur et, surtout, en voir l’implication dans leur propre vie d’assuré social, de chômeur, de futur retraité, de consommateur devant acquitter deux points de TVA en plus, etc. Ce sera lors le moment de tous les périls pour sa candidature.

    Le candidat socialiste, quel qu’il soit, sera le premier et le plus vigoureux dénonciateur de François Fillon, Valls a déjà commencé à s’en prendre à un « programme ultra-libéral dur avec les gens modestes et généreux avec les plus riches. » Mais comme les attaques de Sarkozy contre Juppé ont bénéficié, in fine, à Fillon, il se pourrait que celles de socialistes déconsidérés finissent par profiter à … Marine Le Pen.

    Texte repris du Bulletin d’André Noël n° 2494 daté du 28 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Résister à la répartition des clandestins en France - Polemia 2e Forum de la Dissidence

  • Piteuse politique spectacle : après Fillon dimanche, Valls lundi? Et les Français dans tout ça?

    Acte II de la non-politique à la française : 

    "Cette fois, Manuel Valls semble bien avoir franchi la ligne rouge. En déclarant ce dimanche matin dans le « JDD » qu’il n’exclut pas de se présenter face à François Hollande à la primaire du PS fin janvier, le Premier ministre a mis le feu aux poudres et déclenché une crise de régime inédite.

    Selon nos informations, plusieurs ministres et fidèles du président, ulcérés, ont pressé ce dernier de mettre fin sans attendre aux fonctions de Valls à Matignon. Le président, qui a passé la journée dans l’avion de retour de Madagascar, devait atterrir à Paris en milieu de soirée, plus tôt que prévu. Selon plusieurs sources, il pourrait réunir certains de ses proches à l’Elysée pour évoquer l’hypothèse d’un remaniement à Matignon dès ce lundi.

    Hollande et Valls sont censés déjeuner ensemble au palais de l’Elysée ce lundi midi, avant le départ du Premier ministre en déplacement officiel en Tunisie. Cet agenda sera-t-il chamboulé ? Le nom du remplaçant potentiel de Valls circule déjà : le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Reste à savoir si Valls attendra d’être « démissionné » ou s’il prendra les devants".

    Et pendant ce temps, la France bouge, elle voit rouge et elle souhaiterait juste que les politiciens professionnels soient un peu plus préoccupés par leur pays que par leurs carrières.

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ile-de-France : 18% de la population est étrangère, 42% des meurtres sont commis par des étrangers

    Compte de tenu de sa gravité, ce crime est l'infraction à la fois la mieux connue statistiquement et la mieux réprimée.
    L'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) a étudié de 2007 à 2013 les meurtres connus à Paris et dans les trois départements de la petite couronne d'Ile-de-France : les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne et la Seine-Saint-Denis. Les étrangers ne représentent que 18% de la population de ces départements : ils étaient impliqués dans 42% des meurtres. Encore faut-il préciser que parmi les meurtres imputés statistiquement à des Français, beaucoup sont commis par des binationaux.
    Si l'on zoome, pour la même période, sur les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis, 204 meurtres avaient été commis dans le 93 contre 76 dans le 92, soit 2,3 fois plus. Or, les deux départements ont sensiblement le même nombre d'habitants : seulement, le 93 compte trois fois plus d'immigrés que son voisin.

    Jean-Yves Le Gallou, Immigration : la catastrophe