Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1816

  • Manifestation FN contre l’arrivée de clandestins à Versailles

  • Réclamons la destitution de François Hollande

    Damien Viguier, juriste, signe cette tribune à relayer :

    hollande-dégage-bonnets-rouges-MPI

    Destitution de François Hollande

    Conformément aux principes du droit, ce ne sont pas les exécutants, mais les hauts responsables civils, militaires ou politiques, qui doivent être sanctionnés, et ils doivent l’être non par un quelconque organe non-gouvernemental, étranger ou international, mais bien par l’Etat dont ils relèvent.

    Il importe assez peu, à ce stade, de déterminer si le dangereux comportement de François Hollande relève de la plus complète incompétence ou s’il procède d’une volonté de nuire cynique et sans scrupules. Il y a extrême urgence, pour le bien de toutes les populations civiles, et dans l’intérêt de la France, de mettre un terme à sa politique.

    D’après l’article 68 de la Constitution et la Loi organique du 24 novembre 2014, dans le cas de manquement aux devoirs d’un Président de la République manifestement incompatible avec l’exercice d’un mandat, une Haute Cour peut prononcer la destitution du chef de l’Etat.

    L’initiative de cette procédure appartient aux représentants de la nation : un dixième des parlementaires de l’une ou l’autre chambre déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour.

    C’est donc à chaque citoyen de mettre son député et son sénateur devant ses responsabilités.

    http://www.medias-presse.info/reclamons-la-destitution-de-francois-hollande/58397

  • Une armée pénètre sur notre continent et l’UE surveille nos légumes…

    70 % des Européens considèrent que l’Union est une source de « tracasseries administratives »

    Connaissez-vous le règlement d’exécution n° 543/2011 du 7 juin 2011 ? Il prévoit des « normes obligatoires pour dix produits normalisés » (sic). Ces « normes de qualité » fixent des règles de calibrage pour toute une série de fruits et de légumes, prévoyant l’obligation de respecter des calibres minima et maxima, ou des échelles de calibrage. Obsédés par les normes, les hiérarques européens mesurent tout : diamètre, longueur, largeur, poids…
     
    Bien entendu, la France doit se conformer aux normes voulues par l’Union européenne, et les diverses institutions qui lui sont liées. Nous sommes les obligés d’une machine kafkaïenne, plus préoccupée par le diamètre des tomates que par la guerre qui menace. Vous pourrez, d’ailleurs, retrouver toutes les informations relatives au règlement susmentionné dans le Guide d’achat public de fruits, légumes et pommes de terre à l’état frais, publié  par le ministère de l’Économie et des Finances en avril 2012.

    Lire la suite 

  • Journal du Vendredi 22 Juillet 2016 : Terrorisme / Attentats de Nice : les mensonges s’accumulent

  • Nice : où sont les mea culpa du gouvernement ?

    Yves Nicolin, député LR de la 5ème Circonscription de la Loire et maire de Roanne, excellent lors des Questions au gouvernement du 20 juillet :

     
     

    Marie Bethanie

  • Valls – Vaulx-en-Velin : hiatus ou délire ?

    Dr Bernard Plouvier

    Ce 17 juillet 2016, notre bouillant Premier ministre vient faire part à la Nation de sa grande découverte : « Le risque zéro n’existe pas »… à dire vrai, on ne l’ignorait pas tout-à-fait, surtout en matière de vandalisme, d’incendies volontaires, de vols, de viols et autres agressions physiques commis par les fruits pourris de l’immigration extra-européenne.

    Quant au terrorisme, il est par définition un phénomène aléatoire, donc parler à son propos d’imprévisibilité et d’inéluctabilité, c’est, au mieux une lapalissade, et plus probablement faire preuve du « degré zéro de la réflexion politique ». Car notre sémillant toréador n’a guère insisté sur l’islam et son Djihâd, sur la guerre de races et de religions qui fait rage en France depuis 2014, après avoir été une guérilla permanente dès les années 1980.

    En outre, sortir des phrases du genre : « Ce gouvernement est celui qui en a fait le plus contre le terrorisme », c’est ou se moquer du monde ou faire preuve de bêtise. Parce qu’après tout, faire mieux que Chirac et Sarkozy, ce n’est pas difficile (en arithmétique de cours primaire, on apprend que « deux fois zéro, ça fait zéro »), et surtout que les attentats se poursuivent avec un degré de réussite étonnant (après les 130 morts du 13 novembre 2015, les 80 morts et 200 blessés du 14 juillet, c’est un score remarquable).

    Dans la nuit qui a suivi la « lucide et courageuse » déclaration vallsienne, soit dans la nuit du 17 au 18 juillet, des « jeunes » et des moins jeunes, barbus et casqués, ont attaqué au mortier et aux cocktails Molotov une voiture de police, puis s’en sont pris à un commissariat de Vaulx-en-Velin, ville bien connue depuis les années 1980 pour ses « racailles » islamo-maghrébines, qui font bande, depuis les années 2000, avec des Noirs africains, pour égayer la vie des Européens autochtones.

    Que nos brillants « chefs » soient désemparés par leur confrontation aux électrons libres du djihadisme, après avoir négocié une trêve avec les commanditaires sunnites, on le comprend volontiers. La lutte contre ces djihadistes artisanaux passe par une action secrète de renseignements, de capture, d’interrogatoire et d’exécution des complices et des apprentis. Ce doit être fait en toute discrétion. Que Valls n’en parle point, on le comprend… encore faut-il que les ordres idoines aient été donnés.

    Le sont-ils ? On peut raisonnablement en douter. Le trio Hollande-Valls-Cazeneuve geint, rugit ou déblatère beaucoup, mais son activité paraît faible, voire inexistante. C’est là que gît l’hiatus entre causer et faire… dans le Nord, ma province d’origine, on dit « Grand causeux, p’tit faiseux ».

    Pour l’autre problème, celui de la guerre civile permanente qui a succédé à la guérilla des années 1980, il y a aussi quelque chose à faire. Comme, par exemple, d’envoyer l’Armée nettoyer les cités de non-droit, en répondant au feu par le feu, après avoir par haut-parleurs ordonné aux civils d’évacuer chaque cité avant de procéder au nettoyage. C’est à cela que doit servir l’armée en temps de guerre.

    Car nous sommes en état de guerre civile dans 2000 cités dites « françaises », où règnent imams, ulémas et trafiquants divers. Et ceci est un phénomène permanent, évident… sauf pour nos « chefs » qui ferment les yeux et les oreilles et se gargarisent de banalités à propos du terrorisme, phénomène différent dans son application aléatoire (ou stochastique, pour les amateurs de grands mots).

    La réalité qui sous-tend les deux phénomènes est unique : cités de non-droit et terrorisme sont exclusivement liés au monde arabo-musulman, africano-musulman, et proche- ou moyen- oriental… bref, des immigrés qui perturbent la vie sociale au lieu de l’enrichir par le travail, qui enquiquinent tous les Européens avec une religion exotique barbare, rétrograde, obscurantiste dont nul Européen doté d’intelligence ne veut. Ne pas le reconnaître, c’est nier l’évidence des faits (soit, pour un médecin : délirer).

    La solution, Valls, est simple : organiser le grand retour des musulmans dans le Dâr al-Islam (en termes moins savants : chez eux), pour que nous soyons de nouveau, Français de souche européenne, chez nous. Sinon, ce qui se passe quotidiennement à Vaulx s’étendra aux communes de France… et l’on verra comment réagissent de vrais fils de France. Et ce ne se fera pas « dans la dentelle » !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Il y a isme et isme : l’islamisme disculpe, le populisme inculpe

    Que c’est bien compliqué tout ça pour la cervelle d’un facho victime du « populisme » et … de l' »islamisme ».

    Oyé oyé, vos petites cervelles de nauséabonds fachos devront, dorénavant, intégrer la notion de « radicalisation fulgurante », équivalent multiculturel du très redouté choc toxique staphylococcique.

    On vous a déjà bien farci le crâne avec le loup solitaire, le déséquilibré de passage, le jeune sans histoire apprécié par l’imam et le boucher, le djihadiste autodidacte en cours du soir sur les réseaux sociaux. Eh bien, maintenant, vous allez être gavés de radicalisés fulgurés, même pas fichus, par définition, d’être fichés. Le précurseur, dernier « padamalgamé » en date, routier déprimé, victime ingénue de toutes les turpitudes que l’Occident mécréant et dépravé puisse inoculer dans un esprit éthéré : alcool, drague, femmes et frime, no mosquée, no ramadan ; un, somme toute, assez modéré.

    Lire la suite

  • L’Arabie saoudite a-t-elle contribué aux attentats du 11 septembre 2001 ?

    Douze ans après la publication du rapport d’enquête du Congrès américain de 2004 sur les attaques terroristes du 11 septembre 2001, 29 pages provenant d’un rapport préliminaire datant de 2002 et concernant de possibles liens entre les terroristes et l’Etat saoudien ont été enfin rendues publiques le 15 juillet dernier. 

    La publication de ces pages confirme que le royaume wahhabite a été fortement soupçonné d’être impliqué, et pas seulement parce que quinze des dix-neuf terroristes étaient des citoyens de ce pays. En réalité, la plupart des informations de ce document étaient déjà connues, grâce aux informations distillées par le président de la commission parlementaire américaine et par les gens qui avaient eu accès au document. Ce rapport de la commission conjointe du Congrès américain précise que « ce n’était pas le rôle de cette enquête conjointe de conduire les investigations poussées nécessaires pour déterminer la signification exacte des liens allégués avec le gouvernement saoudien ».

    En d’autres termes, les parlementaires ont publié une liste de pistes possibles qu’ils ont transmise aux personnes et services intéressés. Par exemple, ce rapport évoque une assistance substantielle apportée aux futurs terroristes par des individus soupçonnés d’être des agents saoudiens, qui pourraient avoir été en lien avec l’ambassade et des membres du gouvernement. Toutefois, dans le rapport rendu en 2004 par la Commission du 11 septembre, il était dit qu’il n’y avait pas de preuve d’une aide volontaire et consciente du gouvernement saoudien aux terroristes d’Al-Qaïda.

    Donc, soit les pistes soulevées dans le rapport préliminaire de 2002 se sont avérées sans objet, soit elles n’ont tout simplement pas été exploitées, par exemple, pour des raisons d’ordre géopolitique ou du fait des liens d’affaires entre la famille Bush et la famille royale saoudienne, et la publication de ces 29 pages jusqu’ici gardées secrètes n’apporte en réalité aucune nouvelle réponse.

    Toutefois, le sénateur Bob Graham, qui présidait la commission de 2002 et qui demandait depuis longtemps que ces 29 pages (et non 28, comme on l’a dit dans les médias) soient déclassifiées, est convaincu de la culpabilité de personnes haut placées au sein du royaume saoudien et considère que c’est l’impunité dont les Saoudiens ont bénéficié après les attentats du 11 septembre qui les a encouragés à continuer de distiller leur islam wahhabite violent dans le monde et à jouer un rôle déterminant dans la création de l’Etat islamique. Graham était contre l’invasion de l’Irak décidée par le président Bush.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 21 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/

  • L’Arabie saoudite a-t-elle contribué aux attentats du 11 septembre 2001 ?

    Douze ans après la publication du rapport d’enquête du Congrès américain de 2004 sur les attaques terroristes du 11 septembre 2001, 29 pages provenant d’un rapport préliminaire datant de 2002 et concernant de possibles liens entre les terroristes et l’Etat saoudien ont été enfin rendues publiques le 15 juillet dernier. 

    La publication de ces pages confirme que le royaume wahhabite a été fortement soupçonné d’être impliqué, et pas seulement parce que quinze des dix-neuf terroristes étaient des citoyens de ce pays. En réalité, la plupart des informations de ce document étaient déjà connues, grâce aux informations distillées par le président de la commission parlementaire américaine et par les gens qui avaient eu accès au document. Ce rapport de la commission conjointe du Congrès américain précise que « ce n’était pas le rôle de cette enquête conjointe de conduire les investigations poussées nécessaires pour déterminer la signification exacte des liens allégués avec le gouvernement saoudien ».

    En d’autres termes, les parlementaires ont publié une liste de pistes possibles qu’ils ont transmise aux personnes et services intéressés. Par exemple, ce rapport évoque une assistance substantielle apportée aux futurs terroristes par des individus soupçonnés d’être des agents saoudiens, qui pourraient avoir été en lien avec l’ambassade et des membres du gouvernement. Toutefois, dans le rapport rendu en 2004 par la Commission du 11 septembre, il était dit qu’il n’y avait pas de preuve d’une aide volontaire et consciente du gouvernement saoudien aux terroristes d’Al-Qaïda.

    Donc, soit les pistes soulevées dans le rapport préliminaire de 2002 se sont avérées sans objet, soit elles n’ont tout simplement pas été exploitées, par exemple, pour des raisons d’ordre géopolitique ou du fait des liens d’affaires entre la famille Bush et la famille royale saoudienne, et la publication de ces 29 pages jusqu’ici gardées secrètes n’apporte en réalité aucune nouvelle réponse.

    Toutefois, le sénateur Bob Graham, qui présidait la commission de 2002 et qui demandait depuis longtemps que ces 29 pages (et non 28, comme on l’a dit dans les médias) soient déclassifiées, est convaincu de la culpabilité de personnes haut placées au sein du royaume saoudien et considère que c’est l’impunité dont les Saoudiens ont bénéficié après les attentats du 11 septembre qui les a encouragés à continuer de distiller leur islam wahhabite violent dans le monde et à jouer un rôle déterminant dans la création de l’Etat islamique. Graham était contre l’invasion de l’Irak décidée par le président Bush.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 21 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/