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magouille et compagnie - Page 1812

  • Najat Vallaud-Belkacem : agent de l’arabisation et de la défrancisation, par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    La ministre de l’Éducation nationale travaille cyniquement – et logiquement– à la démolition de l’identité ethno-culturelle française. Elle programme l’enseignement de l’arabe…dès le début de l’école primaire ! Sans vergogne, on va toujours plus loin. En même temps, toute sa politique vise à saper, à dégrader l’enseignement des fondamentaux de l’identité française, linguistiques et historiques. Sur ordre de ses maîtres étrangers et avec l’accord de ses patrons français collaborateurs ou idiots utiles.

    NVB prise la main dans le sac
    Ce n’est pas innocent. C’est une subversion qui ne relève pas seulement de l’idéologie de gauche (Mme Belkacem n’est ni de gauche ni féministe sincère mais d’abord militante arabo–musulmane dissimulée) mais qui, utilisant les idiots utiles de l’islamo-gauchisme (1) et de la gauche bobo angélique, entreprend le volet ”école et éducation” de la stratégie de destruction de l’européanité de la France et de colonisation ethnique. Valls laisse faire, à moitié complice ; quant à Hollande, il s’en moque parfaitement, complètement absorbé par ses petites cuisines politiciennes pour se faire réélire. Le destin de la France n’est pas son sujet.

    Annie Genevard, députée du Doubs et déléguée à l’Education des Républicains est montée au créneau contre ce projet (2). Elle écrit : « Cette question intéresse et concerne les Français quoi qu’en dise la ministre, qui a accueilli avec une rage blême, dont la violence interroge, la question que j’ai adressée il y a quelques jours au gouvernement. Elle qui reçoit habituellement toutes nos questions avec un sourire permanent a perdu son sang-froid et tombé le masque, ce qui démontre tout à la fois à quel point l’hémicycle peut être révélateur et le caractère très sensible du sujet pour la ministre. » Si NVB a perdu son sang-froid, c’est parce qu’elle été prise la main dans le sac de sa principale mission : arabiser et islamiser la France.

    Avec un culot bétonné, NVB a qualifié de « profondément xénophobes » et de « réaction identitaire » l’opposition de la députée LR Annie Genevard, qui commente (rapporté par Valeurs actuelles) : « pour la ministre, promouvoir la langue de son pays, c’est faire preuve d’étroitesse nationaliste. C’est très grave de la part du ministre de l’Éducation nationale ». Oui, sauf que NVB n’est pas là pour servir la France mais pour la desservir.
    NVB, actrice du djihad, volet ”guerre culturelle”

    Mme Belkacem a pris acte d’un fait démographique provoqué par l’immigration massive et incontrôlée (naissances intérieures avec taux de natalité supérieur et flux invasifs venus de l’extérieur) : le français n’est plus la seule langue de la France. Elle veut donc encourager ce mouvement, accélérer ce processus d’invasion, de remplacement de population et de culture. Tout se tient. L’arabisation linguistique de la France est liée à son islamisation. Mme Belkacem est parfaitement dans son rôle de cheval de Troie. À la tête de l’Éducation nationale, infiltrée, elle remplit correctement sa mission de noyautage.

    Se plaindre, comme Annie Genevard de ce que cette mesure va encore renforcer le communautarisme, affaiblir l’intégration et l’assimilation, défranciser un peu plus les enfants et élèves d’origine arabe, comme si Mme Vallaud-Belkacem commettait une bourde stupide par idéologie, c’est mal comprendre ce qui se passe. Mme Belkacem sait parfaitement que cette mesure, comme toutes les autres qu’elle prend, va communautariser et défranciser l’école dès le primaire ! C’est calculé, c’est voulu, c’est la feuille de route. Et c’est fait avec la complicité bienveillante d’intellectuels, de syndicats de l’Éducation nationale proches de l’islamo–gauchisme.

    À qui obéit Mme Belkacem ? Évidemment pas au Premier ministre, ce matamore capitulard et impuissant, qui la laisse faire ce qu’elle veut… Recevrait-elle ses instructions d’autorités arabo-musulmanes, y compris de pays étrangers ? Elle a bien dit : « nous ferons appel à des professeurs étrangers » pour enseigner l’arabe aux enfants. Ils viendront en force du Maghreb et de Turquie. Et avec l’arabe (et le turc), ils enseigneront évidemment autre chose. Pour beaucoup d’entre eux, ils islamiseront et diffuseront une idéologie de refus de notre civilisation. La ”réussite scolaire” n’est pas l’objectif de Mme Belkacem ; disons les choses clairement : elle est une actrice du djihad, dans son volet de guerre culturelle contre l’identité française et européenne. Contrairement à ce croit Mme Genevard, elle est parfaitement cohérente.
    Arabiser, islamiser, défranciser et baisser le niveau

    Ces dispositions sur la langue arabe sont parfaitement corrélées à la politique suivie par M. Peillon (islamo–collabo) puis accentuée par Mme Belkacem pour supprimer les classes d’excellence bilangues (en particulier en allemand, cette langue que Mme Belkacem a avoué ne pas aimer), réduire et dégrader l’apprentissage du français, démolir l’enseignement du latin et du grec, désarticuler celui de l’histoire de France – cette dernière étant moralement dévalorisée alors que l’histoire arabo-musulmane – comme africaine – est enjolivée à outrance. Tout se tient : arabiser et islamiser l’enseignement primaire et secondaire va de pair avec et suppose aussi d’éradiquer ses racines françaises et européennes.

    Dans le catéchisme idéologique de Terra Nova, le think tank qui inspire le PS, on prône la fin de l’intégration et de l’assimilation ; place à l’ « insertion »– ce ne sont plus aux immigrés de s’adapter au pays d’accueil mais à ce dernier de s’adapter aux nouveaux venus et à transformer ses mœurs en conséquence. De sorte que même les petits Français de souche seront encouragés (voire obligés dans certaines écoles à forte proportion immigrée) à apprendre l’arabe et à s’islamiser en douceur. Et bien sûr, ce qui est lié, ils sont incités à mépriser, à abandonner leurs racines françaises et européennes. Cette logique de l’ethnocide se met en place. Mme Belkacem, inscrit son action dans ce mouvement de destruction de la transmission culturelle française –volontaire– par l’Éducation nationale. Le nihilisme gauchiste suicidaire rejoint l’islamisme conquérant dissimulé. Mme Belkacem est au centre du jeu.

    Le double discours, la ruse (taqiya) de NVB

    Ruse : Sous prétexte de lutter contre la ”radicalisation” de certaines écoles musulmanes de l’enseignement libre, Mme Belkacem veut limiter les autorisations des établissements privés non contractuels. En réalité, sont dans le collimateur les écoles et collèges chrétiens, juifs ou non confessionnels de qualité (existants ou en projet d’ouverture) qui concurrencent un enseignement public en plein effondrement selon tous les classements internationaux.

    Autre ruse, sous forme d’une lourde contradiction : Mme Belkacem qui promeut l’arabisation–et donc, par répercussion, l’islamisation– a introduit à l’école l’enseignement de la théorie du genre (confusion des sexes), qui se veut anti–sexiste, féministe, pro–homosexuels, amie des lobbies LGBT. Or l’islam et les coreligionnaires arabo-musulmans de la ministre détestent cette idéologie, puisqu’ils sont sexistes, homophobes et gynophobes. Les militants musulmans (attentat d’Orlando) vont jusqu’à massacrer les homos, ce qui est conforme au Coran.

    La contradiction est résolue si l’on admet que Mme Belkacem tient un double discours de dissimulation : la théorie du genre est une torpille, destinée aux petits Français de souche, de manière à les déstabiliser et à affaiblir leurs repères. Mme Belkacem ne croit pas un mot des vulgates homosexuelles et féministes ou des âneries de la gender theory. En revanche, elle veut que les enfants et élèves issus de l’immigration arabo-musulmane échappent à cette propagande émasculante : les cours d’arabe (ou de turc) et d’idéologie islamisatrice qui iront avec, dispensés par des étrangers non contrôlés, sont là pour ça.

    Le sultan turc Erdogan raisonne d’ailleurs de la même manière. Non seulement, a-t-il péroré avec impudence, les Turcs ont le droit de s’installer en Allemagne, mais il scandaleux que les Allemands cherchent à les intégrer, les assimiler, les germaniser. C’est ce droit à l’invasion, à la non–assimilation que défend aussi – plus subtilement – Mme Belkacem. Mais elle va encore plus loin puisqu’elle s’en prend à la formation des enfants autochtones, en dégradant la transmission culturelle française.

    Au moins, les choses deviennent claires

    Le dogmatisme idéologique –gauchiste– de NVB n’est qu’un faux nez. Afin de masquer sa véritable double mission : islamiser/arabiser et défranciser l’école, dès le primaire, à l’âge où les individus se construisent. Le désastre du système scolaire public français, fabrique d’illettrés, relevé par tous les classements internationaux, n’est pas le problème de la ministre.

    Dans un premier temps, l’enseignement de l’arabe aux jeunes enfants concernerait 60.000 individus, en grande majorité d’origine immigrée, mais pas forcément. Alors que beaucoup d’entre eux maîtrisent déjà très mal le français, cette mesure est cyniquement destinée par NVB à ”communautariser” encore plus les jeunes d’origine arabo-musulmane et à commencer d’imposer l’arabe au détriment du français dans les zones à forte proportion maghrébine et africaine.

    Mais, ce que ne comprend pas, comme tant d’autres, Mme Genevard qui veut lutter contre le ”communautarisme” et franciser les immigrés, c’est que c’est trop tard. Ils sont trop nombreux et de plus en plus nombreux. Et non seulement ils ne veulent pas s’intégrer ni s’assimiler, mais ils s’imprègnent d’un discours anti-français à la fois victimaire (”nous sommes stigmatisés”) et conquérant (3). Le prochain article de ce blog développera ce thème

    Cela dit, il y a un côté positif dans tout cela, dans la politique dissimulée d’arabisation et d’islamisation de Mme Belkacem, selon une dialectique qu’Hegel ou Marx n’auraient pas reniée. En effet, la communautarisation croissante des populations issues de l’immigration extra-européenne, leur refus de s’intégrer, de s’assimiler, de se franciser, leur islamisation agressive en pleine progression surtout chez les jeunes, la métamorphose de vastes zones urbaines, le racisme et les violences anti-Blancs, voilà qui clarifie les choses. Parce que cela contribue à la désignation de l’ennemi, qui s’identifie lui-même. C’est paradoxalement bénéfique car cela peut ouvrir les yeux des Français et des Européens et leur faire comprendre qu’une guerre ethnique, dont le terrorisme islamique n’est qu’un aspect parmi d’autres, est en gestation ou plutôt a déjà commencée et qu’ils sont les agressés.

    1. Vincent Peillon, prédécesseur de NVB au ministère de l’Éducation nationale, idéologue islamo-gauchiste, avait déjà préconisé l’enseignement de l’arabe à l’école primaire.

    2. Le Front national aurait dû, le premier, monter au créneau contre cet enseignement de l’arabe. Il ne l’a pas fait. Ce ne sont pas les préoccupations de M. Philippot, qui commet là une erreur majeure

    3. Une minorité d’arabo-musulmans, à la fois très intégrés et assimilés, femmes et hommes, sont les plus actifs et les plus courageux contre l’islamisation. Mais ils ne sont pas représentatifs de la grande majorité de leurs coreligionnaires qui les rejette.

    http://fr.novopress.info/202062/najat-vallaud-belkacem-agent-de-larabisation-de-defrancisation-guillaume-faye/#more-202062

  • Charlie Hebdo a-t-il « détourné les fonds » jadis promis aux familles des victimes ?

    Source : OJIM

    Mais où sont passés les millions de Charlie Hebdo ? Collectés après l’attaque du 7 janvier 2015, ils devaient être reversés aux familles des victimes.

    Philippe Val, ancien directeur de Charlie, s’était même engagé à verser l’intégralité des recettes du numéro des « survivants », le premier publié après les attentats, aux familles. Un joli pactole , puisque la vente de ce numéro a rapporté 12 millions d’euros et les dons 4,3 millions d’euros. Mais tout ne s’est, semble-t-il, pas passé comme prévu…

    18 mois après la mort de son mari, la veuve de Michel Renaud a décidé d’attaquer la nouvelle direction du journal en justice, parlant d’abus de confiance et de « trahison ». Dans le courrier de cinq pages transmis au procureur de la République de Paris, Gala Renaud dénonce une « volte-face ». Selon elle, la nouvelle direction de l’hebdomadaire satirique a décidé de conserver ces bénéfices colossaux. « Quant aux dons, tout ou partie de ceux-ci aurait été reversé sur le compte de l’association “Les Amis de Charlie” », peut-on lire. 

    Ainsi, « les acheteurs du journal comme les victimes de l’attentat et leurs ayants droit ont été dupés par la direction […] qui est délibérément et unilatéralement revenue sur ses engagements », poursuit Mme Renaud. Ce revirement montre une « intention de détourner les fonds promis initialement aux familles », estime-t-elle. Pour son avocat, Me Portejoie, la démarche de sa cliente « est fondée sur le plan moral, mais surtout juridique. En tant que victime, elle a un droit de regard légitime sur l’affectation des sommes collectées après la tuerie. Son statut l’autorise à demander des comptes. »

    Face à ces accusations et à cette plainte, Éric Portheault, directeur général de Charlie, s’est dit « étonné et choqué ». « Nous avons toujours déclaré que le produit de la vente du journal serait consacré à assurer sa pérennité. Ce choix légitime ne saurait être remis en cause par cette initiative sans aucun fondement juridique ou moral. Nous ne comprenons pas la démarche de la plaignante », explique-t-il, jugeant celle-ci « inutile et déplacée ».

    « Je ne fais pas ça pour l’argent, mais pour la mémoire de mon mari. Avant la tuerie, Charlie était dans une situation financière catastrophique. C’est désormais le journal le plus riche de France. Je ressens ce déséquilibre comme une injustice profonde. Michel n’est pas mort pour ça », conclut Gala Renaud. Il y a trois mois déjà, elle dénonçait l’opacité des aides financières prévues pour elle et sa fille. Aujourd’hui, elle a choisi de porter sa colère en justice et de mettre en lumière les agissements d’un journal qui se sert de son martyr pour rebondir, aux dépens de ceux qui l’ont payé de leurs vies.

    http://fr.novopress.info/202045/charlie-hebdo-a-t-detourne-fonds-jadis-promis-aux-familles-victimes/#more-202045

  • Nicolas Sarkozy nous refait le coup du "nouveau traité européen"

    Après les non français et hollandais au traité constitutionnel européen (TCE), Nicolas Sarkozy avait sorti de son chapeau un "mini traité" qui n'était autre que le TCE, rebaptisé "mini traité" ou "Traité de Lisbonne", qu'il a fait adopter de force, sans consulter les peuples.

    A la suite du Brexit, il ressort le même artifice :

    "L'heure est à la lucidité, à l'énergie et au leadership [...] la lucidité commande de dire que ce sentiment de rejet est partagé par beaucoup de Français et beaucoup d'autres Européens. Ce qu'a dit le peuple britannique, d'autres peuples en Europe peuvent le dire. Nous ne pouvons, nous ne devons l'ignorer". "L'Europe peut fonctionner sans les Britanniques et nous avons d'ailleurs du temps pour repenser notre relation avec notre voisin. En revanche, l'Europe désormais à 27 ne peut plus fonctionner de cette manière".

    Sic : de la manière dont le Traité de Lisbonne la fait fonctionner...

     "La question de sa refondation profonde est donc urgente". "Je demande qu'une réunion de chefs d'État et de gouvernement européens prenne la décision d'élaborer un nouveau traité qui montrera aux peuples de notre continent que l'Europe est décidée à reprendre son destin en main".

    Ou comment s'asseoir une nouvelle fois sur ce que veulent les peuples.

    Demandons donc un référendum sur ce sujet.

    Michel Janva

  • Les enjeux du foot spectacle

    L’euro 2016 est sur le point de débuter (a certainement débuté lorsque vous lirez ces lignes) et le monde du football est abasourdi. Après la sortie d'Eric Cantona considérant la non-sélection de Benzéma et de quelques autres joueurs maghrébins comme le fruit d'un racisme socialement prégnant, comme une chose ne pouvant s'expliquer que par une certaine maghrébophobie, c'est Benzéma lui-même qui rebondissait sur la polémique orchestré par le narcissique de Manchester pour essayer d'enfoncer un peu plus le coin de l’ethnomasochisme dans la bonne conscience européenne. Pour le bon Karim, le sélectionneur officiel Didier Deschamp aurait « cédé à une partie raciste de la France ». Il lui fallait bien un tel toupet pour faire oublier, momentanément au moins, la sombre affaire de moeurs à laquelle il est lié (peu ou prou) avec cette pathétique histoire de "sextape" (Thémis n'a pas encore rendu jugement sur ce scandale dans lequel fut encore ridiculisé l'attaquant Matthieu Valbuena).

    Cantona et Benzema crient au racisme

    Cantona a choisi sa famille et il ne nous surprendrait pas qu'il ait commandité le coup avec le cracheur du Real de Madrid. Après tout, beaucoup de choses rapprochent les deux hommes. Le foot bien entendu, l'impolitesse évidemment, l'idiotie, c'est une certitude, le narcissisme assurément et la religion mahométane puisque l'épouse de Canto en est tout comme son fils (son propre fils) et nous ne nous prononcerons pas sur la spiritualité du bonhomme qui vient des abysses de la lie mondaine. Le faux manchot rigolo Djamel, grand intellectuel devant l'Eternel, a apporté, lui aussi, sa caution morale en estimant implicitement que sa communauté n'était pas représentée dans l'actuelle équipe d’Anti-France de football. Cependant, les propos de l'Algérien Karim (il l'est) n'ont pas eu un succès formidable dans l'opinion qui ne s'est pas émue de ses larmes de crocodile vraiment trop grosses pour paraître honnêtes. La sélection française s'est ainsi levée comme un seul homme pour balayer d'un revers de la main les accusations fabuleuses du lourdaud. Et force est de constater que cette récusation massive fut efficiente, grâce à la densité africaine qui est si importante dans ce regroupement de joueurs censés représentés notre pays sacré. Benzéma se retrouvait bien pâle face aux noirs anthracites composant la garde de l'équipe d'Hexagonie.

    Que peut bien en effet peser ses accusations de racisme (pour être raciste, il faut par ailleurs avoir des convictions et il ne nous semble pas que Didier Deschamps en soit pourvu) face à une armada de plus foncés que soi ? Las, personne au sein de l'élite dirigeante n'est raciste (raciste comme l'entendent les bonnes consciences), tous, au contraire, suivent une ligne directrice cosmopolite. D'ailleurs, la caractéristique principale des gens comme Deschamps, Blanc, Platini, c'est leur grande docilité envers le discours officiel, la doxa. Les idées, pour eux, ne servent qu'à être adoptées lorsqu'elles sont dominantes. Bref, Benzema a encore craché en l'air et il fut facile pour le patron de SOS-Racisme, Dominique Sopo, d'épingler le foutriquet : « c'est un peu facile d'essayer de se soustraire à ses propres responsabilités avec des accusations lancées à la légère. Il me semble que M. Benzema est un adulte et qu'il peut assumer ses erreurs. » Dans le même temps, on entendait de grands noirs musclés de la sélection "française" s'écrier : « C'est du n'importe quoi ! ». Oui, en effet, c'est une ineptie qui ne surprend d'ailleurs pas lorsqu'elle sort de la bouche d'un Benzema. Une plaisanterie ! Et pourtant...

    Benzema, l’instrument de ceux qui ont la haine de la nation chevillée au coeur

    Nous aurions pu penser qu'aucun commentateur sérieux n'allait utiliser la sortie de Benzema pour une nouvelle fois faire le procès de la France raciste pour parler comme Michel Wiervorka. L'idée de rebondir là-dessus ne nous avait même pas effleuré l'esprit. Eh bien, nous avions fait preuve d'une belle naïveté. Toujours en première ligne, à l'avant-garde (et c'est ce qui est inquiétant), le sacro-saint journal de référence Le Monde profita de l'occasion pour amorcer un nouveau débat sociologique et politique avec pour toile de fond la volonté de sortir le monde des "carcans" nationaux et même de le libérer de toutes les formes possibles de représentation nationale, de tout symbole s'y afférant. Une nouvelle charge antifrançaise qui eut pour point d'orgue l'interview d'un maître de conférence en sciences politiques, Emmanuel Blanchard, enseignant à l'université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et déjà auteur d'un article universitaire fumeux sur le racisme anti-algérien dans le milieu du foot.

    Ses propos diffusés le 1er juin dépassent l'entendement. Pour lui et Le Monde, les propos de Benzéma sont pertinents voire puissants. L'incongruité provient d'ailleurs, en l'occurrence de l'attitude raciste des dirigeants footballistiques. Lisons l'intello : « Il y a une forme d'incongruité à voir que, jusqu'au rappel d'Adil Rami suite à la blessure de Raphaël Varane, l'équipe de France choisie pour l'Euro n'accueillait aucun joueur dont l'histoire familiale s'ancre en Afrique du Nord. Et une seconde incongruité à constater que ce choix de se priver du meilleur avant-centre français a visiblement été largement téléguidé par des déclarations politiques, à la fois du Premier ministre et du ministre des Sports ». Si vous trouvez que ces propos sont tirés par les cheveux, vous ne serez pas déçu par les suivants. Que le demi-prof s'étonne que, pendant un court laps de temps, il n'y ait pas eu de joueur maghrébin dans l'effectif est déjà sidérant (alors que, régulièrement, il n'y a aucun joueur d'origine française dans l'équipe), mais qu'il soupçonne implicitement le gouvernement de notre Indigénat de racisme anti-algérien (alors qu’il piétine la mémoire de nos Poilus et fait tout pour accélérer l'invasion du pays!), c'est carrément bluffant !

    Vers la diabolisation du seul patriotisme autorisé : le patriotisme sportif ?

    Benzéma a défrayé la chronique pour son rôle d'intermédiaire trouble dans une affaire de chantage. Mais ce n'est pas tout. Son insolence et ses insultes avec ses crachats affreux balancés pendant une Marseillaise avaient déjà sévèrement entamé son capital sympathie. La France peut se passer de ce genre de personnages, et de bien d'autres. On dit qu'il vaut mieux être battu sur ses idées plutôt qu'élu sur celles des autres. Eh bien, il vaut mieux, aussi, perdre avec son peuple plutôt que gagner avec les gugusses d'un autre. Mais nous nous égarons car la vérité n'intéresse absolument pas ce drôle d'enseignant qui ne veut pas voir les choses comme nous et comme les présente la réalité. Pour lui, c'est acte, la société française est "racisée" (sic) depuis trois lustres au moins : « Depuis une quinzaine d'années, il y a une lecture en termes raciaux de la société française qui s'est imposée. Cela vient avant tout de la montée de l'extrême droite mais aussi de revendications d'appartenances multiples de personnes nées et grandies en France. L'équipe de France de football est soumise (où va-t-il chercher cela?!), depuis le début des années 2000, à ce regard "racisé", à la fois par des observateurs extérieurs, mais aussi, dans une certaine mesure, par les intéressés eux-mêmes. »

    Notre intello a-t-il observé de près l'évolution ethno-démographique de l'équipe de football depuis 2000 où il y avait encore Petit, Blanc, Lizarazu, Barthès, Deschamps, Dugarry et d'autres qui y jouaient ? A-t-il remarqué que toutes les digues ont sauté depuis 2002, que les Français de souche ont disparu ou presque en son sein alors qu'ils restent majoritaires en France ? Le bonhomme n'en parle pas, préférant évoquer un racisme irrationnel facile à démoniser. Mais c'est plus loin dans l'interview que l'on trouve la pierre angulaire du monde nouveau pour lequel il travaille, pour lequel il est payé. Là, le chercheur remet en cause tout le cadre national qui, en fait, gêne les aspirations et les intérêts des gens comme Benzéma. Il y a bel et bien conflit latent (et parfois explosif) entre le cadre national général (et une équipe nationale de foot en fait partie) et une vaste population immigrée, déracinée, frustrée, vindicative, partagée entre le désir de briller, de gagner de l'argent et celui de glorifier sa communauté ancestrale. Il faut bien dire que, présentée ainsi, la situation semble inextricable et exige une solution radicale, un couperet, la destruction d'une des deux entités enjeu. On pourrait penser qu'il serait plus honnête que ce soit le dernier arrivé qui quitte la partie, surtout qu'il retrouverait ainsi les siens et un avenir collectif qui semble tant lui manquer. Pas pour notre zozo de Versailles qui postule, comme ça, que c'est toute « la vieille croûte » nationale qu'il faut faire sauter ! Il faut tout dissoudre, tout ce qu'il reste pour que les allogènes se sentent bien. Evidemment, ces délicates intentions ne sont qu'un prétexte pour proposer une lecture mondialiste du « sens de l'histoire ». Elles sont un moyen, à l'instar de toutes les pleurnicheries antiracistes que l'on nous fait subir depuis 40 ans, pour rendre progressivement illégitimes les impératifs nationaux au fur et à mesure de l'intensification du psychodrame axé autour du malheur de l'Autre. En outre, à force de focaliser l'attention du gros média uniquement sur le mal-être des déplacés, des déracinés, le peuple originel n'est plus perçu que comme une sorte de gros bonhomme Michelin dont la seule caractéristique qui vaudrait serait sa capacité élastique et infinie à absorber l'Autre sans vomir. Les propos de Benzéma permettent aux postmodernes (postnationaux) de prolonger cet exercice dialectique.

    « Les sportifs de haut niveau possédant la double nationalité sont les seuls qui doivent choisir une nationalité, même si elle n 'est que sportive. Ils doivent trancher, alors que dans leur vie, ils sont fondés sur ces liens multiples. »

    Ceci à cause des changements de règles sur la sélection des binationaux édictés par la FIFA, qui ont permis à des joueurs de changer de nationalité sportive, pour ceux n'ayant aucune sélection en équipe A. Ensuite, le contexte politique et social de ces années - avec les émeutes, la montée de l'extrême droite, le climat de suspicion visant la jeunesse des banlieues - a déteint sur le football. Autour des jeunes joueurs assimilés à la « jeunesse des banlieues » ou/et binationaux se posent désormais des questions comme « Vont-ils chanter l'hymne national ? » ou « Ont-ils fait un choix commercial plutôt que patriotique en optant pour le maillot bleu ? Comme si le patriotisme était encore au cœur d'une carrière footballistique ! ». Tout est dit. Le patriotisme n'est au cœur de rien. Pourtant, ce fut longtemps le seul toléré, le patriotisme sportif, pour la simple et bonne raison qu'il s'appuyait très souvent et qu'il s'appuie de plus en plus sur des équipes multiraciales starisant des immigrés présentés comme plus forts que l'Indigène de base. Derrière la France Black-blanc-beur, ce n'était que sa dilution qui était applaudie et la disparition de la figure héroïque de l'homme blanc. Pour preuve, ce fut un Algérien, Zidane, qui revêtit la cape du héros pendant 10 ans. On voulait nous la refaire avec Benzéma, cet homme impoli et interlope à qui l'on pardonnait tout, comme l'on pardonnait tout aux insolents Ben Arfa et Nasri. Le moindre but redorait leur blason instantanément, comme si une victoire dans un jeu de ballon prévalait sur lest principes, la morale et sur le véritable patriotisme qui s'oppose à angle droit à ce sale mercenariat. Les pauvres petits supporters dépendants de leurs plus primitifs sentiments étaient pris en otage par le pouvoir qui leur imposait des tas de petits héros "patriotiques" de plus en plus difficiles à admirer, auxquels il était de plus en plus ardu à s'identifier. Par ce procédé, car c'en est un, le petit Français se sentait contraint d'accepter encore un peu plus l'africanisation de son pays et donc, aussi, de relativiser ce patriotisme-là qui le représente moins. Le pays légal a fabriqué une sorte de patriotisme légal qui détruit aussi sûrement l'amour de la France que le premier assèche la vie sociale du pays.

    Benzéma est un symbole du tribalisme postnational

    Paradoxalement, pour des raisons supranationales , on a réactivé (pour un moment) le patriotisme des paillettes et des flonflons afin de lutter contre le terrible islamisme, l’antisémitisme et peut-être contre la Russie non conforme. Bon, c'est un patriotisme très spécial qui fait de l'homosexualité et de l’avortement des actes de résistance contre les intégrismes, et qui, de fait, propose une "drôle" image de la France. Un patriotisme dévitalisé (incapable de sortir de la zone d'influence fabriquée par ses initiateurs sionistes) qui va servir des entreprises étrangères et les guerres des consortiums mais qui doit se reposer sur une pseudo-patrie de la tolérance et de la liberté. En cela, notre professeur Blanchard a raison dans le sens où l'on assiste peut-être, actuellement, à la mise en place d'une nouvelle tactique de l'engeance américano-sioniste pour préserver sa domination mondiale. Après tout, on peut toujours chanter la nation si elle n'est plus qu'une coquille vide ne servant qu'à leurrer les bonnes gens et le foot-spectacle est l'un de ses vernis.

    Mais tout cela (le néo-patriotisme) est à relativiser devant l'énorme importance prise par les championnats européens où les grosses métropoles deviennent de plus en plus les vedettes au détriment des équipes nationales. On assiste depuis 20 ans à un scénario à la Rollerball (d'après ce film américain des années 1970 dans lequel le monde est unifié et les nations ont disparu au profit de grandes villes dont la seule identité repose sur leur équipe de rollerball, jeu ultraviolent qui tient en haleine des peuples métissés en pleine déréliction), en le dépassant cependant car il gomme subrepticement non seulement les frontières nationales mais en fabriquant en plus de nouveaux supporters transnationaux (de Madrid, de Munich,d'Arsenal,de Paris, de Barcelone) qui se créent une identité de plus en plus artificielle. Le bling-bling pour les pauvres et l'identité à la carte grâce au règne du jeu.

    Le sport, outil privilégié du mondialisme

    Pareillement, les matches de tennis retransmis à la télévision (et qui font absolument toute l'économie de ce sport dans sa partie professionnelle) étaient auparavant toujours présentés en définitive comme des confrontations entre nations par le biais de joueurs qui représentaient fièrement leur patrie. Mais à la fin des années 1990, la nationalité des joueurs qui était indiquée au côté de leur nom sur l’écran lors de l'affichage du score a subitement disparu (et sur toutes les chaînes) sans que l'on sache d'où venait cette directive, cette décision. Quant à la Coupe Davis, elle n'intéresse véritablement que ceux qui ne l'ont jamais gagnée. .. Et puis, finalement, que valent ces victoires qui, après coup, peuvent être ternies par de vraies ou fausses histoires de dopage ou par des soupçons de tricherie (pensons aux propos étonnants qu'Emmanuel Petit émit récemment lors d'un documentaire sur le football diffusé sur Arte dans lequel il disait lui arriver de douter de la victoire "spontanée" de 1998 !), des soupçons fabriqués pour démoraliser tel ou tel peuple (pensons à la Russie qui est actuellement la cible des Américains, mais aussi à l'Allemagne de Beckenbauer qui jouait à la baballe sous captagon comme nous le savons maintenant ou aux Pays-Bas sous Cruyff qui carburaient aux amphétamines sans parler de l'Espagne et de ses nombreux Docteur Folamour...), et qui sappent en premier lieu ce patriotisme autorisé. Benzéma n'a pas de souci à se faire pour la suite de sa carrière de badboy face à ces équipes nationales en proie à tous les vents de la mondialisation et à sa marche en avant forcée.

    François-Xavier Rochette. Rivarol du 9 juin 2016

  • Eric Zemmour : « L’Europe, c’est l’impuissance institutionnalisée »

    Prenant exemple sur l’incapacité de l’Union européenne à défendre Airbus face à Boeing pour conquérir le marché iranien, Eric Zemmour ne s’en montre pas surpris : « L’Europe, c’est l’impuissance institutionnalisée », dit-il. Mais commençons par le début de sa chronique de ce matin, sur RTL.

    « Des Airbus ou des Boeing ? Telle est la question existentielle que se pose l’Iran », explique Zemmour. Ils en veulent plus d’une centaine. « A Toulouse et à Chicago, on a la langue pendante comme le loup de Tex Avery devant une jolie fille. Mais comme tous ceux qui ont été privés pendant trop longtemps de gâteau au chocolat, les Iraniens ont les yeux plus gros que le ventre. Les avions, ils les veulent mais ils n’ont pas d’argent pour se les offrir.

    « Mais pour les gros contrats du commerce international, péché d’argent est faute vénielle. Les vendeurs amènent leurs banquiers, qui prêtent à l’acheteur. Airbus vient avec les banques européennes et Boeing avec les banques américaines. Mais voilà… Cette fois les banques européennes se planquent, se terrent, se font toutes petites, regardent leurs chaussures, prennent la poudre d’escampette. Elles aimeraient bien mais n’osent point. Elles tremblent de peur. Elles se souviennent de l’amende faramineuse que la justice américaine a infligée à la BNP pour avoir financé des accords commerciaux avec l’Iran. Banquier échaudé craint l’eau glacée. […]

    « La BNP et les autres demandent que l’administration américaine leur donne l’autorisation par écrit. A Washington, on fait la sourde oreille. […] Pendant ce temps-là, les patrons de Boeing rient sous cape et font les jolis cœurs dans le Téhéran by night. »

    Le pouvoir politique aurait pu venir en appui d’Airbus mais non, se désole Zemmour :

    « Que fait la France ? Rien. Que fait l’Allemagne ? Rien. Que fait Bruxelles ? Rien. Que fait la Banque centrale européenne à Francfort ? Rien. L’Europe aujourd’hui c’est ça : l’impuissance institutionnalisée. Bruxelles a été assez fort pour abolir les souverainetés des vieilles nations mais pas assez pour édifier une souveraineté européenne.

    « Loin des querelles métaphysiques autour du Brexit, loin des statistiques tronquées et de prophéties apocalyptiques, loin des slogans dont on nous a abreuvés (“A plusieurs, on est plus forts“, “Seule l’Europe a la taille pour résister aux Etats-Unis“, “Seul l’euro concurrence le dollar comme monnaie de réserve mondiale“), illusions perdues… Ou plutôt, agenda caché. »

    « Depuis l’après-guerre, estime Eric Zemmour, les Etats-Unis ont toujours favorisé l’émergence et le développement de l’Union européenne. Mais tant que celle-ci restait à sa place, c’est-à-dire la seconde. Comme un petit frère qui a toujours besoin de la protection de son grand frère et ne songe jamais à remettre en cause le droit d’aînesse… »


    http://fr.novopress.info/202009/eric-zemmour-leurope-cest-limpuissance-institutionnalisee/
  • Tout opposant à l’Europe est, en puissance, un assassin par procuration

    Tout eurosceptique ne doit pas être tenu pour un opposant, mais pour un criminel qu’il convient de réduire.

    Est-ce la panique de voir, jeudi prochain, les Britanniques choisir la liberté ?

    En tout cas, l’assassinat de la députée travailliste Jo Cox par un prétendu nationaliste britannique, surtout connu pour ses antécédents psychiatriques, a manifestement libéré la parole europhile. Et c’est un discours totalement décomplexé que les nouveaux chiens de garde de l’oligarchie européiste tiennent désormais, à quelques heures du référendum par lequel les sujets de Sa Gracieuse Majesté doivent décider s’ils restent ou non au sein de l’Union européenne.

    Après Maïtena Biraben interrogeant le plus sérieusement du monde, sur Canal+ vendredi dernier, Florian Philippot, qui croit tout d’abord à une plaisanterie, sur la responsabilité du FN dans le meurtre de la députée Jo Cox, c’est l’eurobéat bien connu Jean Quatremer qui, sur son blog Coulisses de Bruxelles, abrité par Libération, demande tout aussi sérieusement, ce lundi 19 juin, à propos du même fait divers : « Qui sème la haine ? » Et d’assener, avec l’autorité d’une directive de la Commission européenne : « Il faut le dire clairement : ceux qui font campagne en prônant le nationalisme, en stigmatisant l’immigré, en accusant les “élites” d’être inféodées à une Union européenne qui ne serait autre qu’un “IVe Reich” ou une nouvelle “UESSR”, ceux-là poussent les esprits faibles à la violence. » Ajoutant : « On n’a encore jamais vu un pro-européen, un démocrate-chrétien ou un social-démocrate commettre un attentat ou tuer son voisin. » Et d’en conclure que ceux que nos pro-européens orwelliens appellent de manière nuancée « europhobes », pour mieux criminaliser l’euroscepticisme au même titre que toutes les phobies judiciarisées, sont des pousse-au-crime par le simple fait d’être patriotes, de refuser les diktat bruxellois et d’émettre des doutes sur la légitimité démocratique tant des élites que des institutions européennes. [...]

    François Marcilhac - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tout-opposant-a-l-Europe-est-en

  • Les liens entre Attali, Trichet et Soros

    Tout le monde connaît le frétillant Jacques Attali et ses idées fumeuses, enveloppées dans un bas de soie. Tout le monde connaît Jean-Claude Trichet pour avoir été directeur du Trésor, puis gouverneur de la Banque de France pour terminer glorieusement patron de la BCE et, last but not least, président de la Trilatérale, petite sœur de Bilderberg. Personne, cependant, ne connaît les liens de ces personnages avec George Soros. Ce sont des liens discrets, mais ils ont existé ou existent toujours. 
    Voici ce que nous rapporte Marta Dyczok, de l’université de Toronto, dans son ouvrage sur l’Ukraine Ukraine: Movement without Change, Change without Movement en page 79 de son ouvrage : « Les perspectives économiques de l’Ukraine sont difficiles à prévoir, depuis la réorganisation du pouvoir économique qui change rapidement. Des financiers en vue comme Jacques Attali et George Soros se posent des questions sur les relations entre la démocratie et l’économie de marché et veulent forcer l’Occident à réexaminer les fondations de leur système économique. » On remarquera le ton : « veulent forcer ». 
    Dans la rubrique « Organisation du chaos en Europe de l’Est par George Soros », l’historien américain Frederick William Engdahl, diplômé de Princeton, rapporte : « Un autre partenaire silencieux qui s’était introduit dans l’organisation du chaos en ex-Union soviétique est Shaul Eisenberg. Eisenberg, muni d’une lettre de recommandation de Jacques Attali, à l’époque chef de la BERD, a réussi à s’assurer une concession exclusive de textile et autres commerces en Ouszbékistan. Eisenberg, accusé de fraude massive et de corruption par le gouvernement ouszbek, a dû arrêter ses activités. Ce qui a considérablement nui au Mossad dans la région, car le même Eisenberg est rapporté avoir été un membre du Mossad de très longue date, mais aussi un contributeur au trésor de guerre de 10 milliards de dollars de George Soros, dans son Quantum Group of Funds, destiné en 1992 à démolir la stabilité monétaire européenne. » Engdahl relate les liens de Soros avec la France : « Lorsque Soros appelait les investisseurs à détruire le Deutsche Mark en 1993, fin 1992, il se faisait passer dans les médias français comme un ami des intérêts français. Il est de notoriété publique que Soros est proche de l’establishment français, et en particulier de Jean-Claude Trichet. » 
    Soros, marionnettiste en chef du Nouvel ordre mondial, utilise également ses relations au sein du Conseil européen afin de promouvoir sa funeste stratégie en Ukraine, destinée à déstabiliser la Russie haïe, en particulier (toujours) Jean-Claude Trichet, qui jouerait un « rôle subtil » selon Engdahl. 
    Selon Valentin Katsonov, du Strategic Culture Foundation, professeur, docteur en sciences économiques, membre associé de l’Académie russe des sciences économiques et des affaires, « il existe d’autres vétérans des médias politiques et financiers qui ont aidé Soros avec son travail de propagande, inclus l’ancien président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), Jaques Attali. Les philosophies entre George Soros et Jacques Attali sont saisissantes. Tous deux sont cosmopolites à fond, les deux ont mis leur confiance dans le rôle organisationnel des banques, les deux attaquent ce qui reste de culture et religion, les deux estiment la nécessité d’une banque centrale mondiale, une armée mondiale, etc. On dirait qu’ils ont, ensemble, un seul boss et un seul client ! » Vous avez dit « Panama Papers » ? 

  • Nicolas Bay (FN) : "On ne peut pas ne pas faire le constat de cet échec total de l'Union européenne"

    Nicolas Bay, secrétaire général du FN, à propos du Brexit sur France Info :

    "Une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne serait l'occasion d'émettre un signal très fort en direction de tous les peuples d'Europe qui aspirent à une Europe construite totalement différemment. Il ne s'agit pas d'être antieuropéen, il s'agit de constater tous les échecs.

    Cela n'empêcherait pas de maintenir le partenariat. La réalité c'est que la France a rayonné à travers le monde bien avant l'Union européenne qui entrave nos libertés. On ne peut pas ne pas faire le constat de cet échec total de l'Union européenne.

    Schengen, on nous l'avait vendu comme un espace de libre circulation à l'intérieur des Etats membres, avec une maîtrise des frontières extérieures.Il n'y a aucune maîtrise des frontières extérieures. Les frontières sud de l'Europe sont de véritable passoires. Ce qui est extraordinaire avec Schengen c'est qu'on les [les migrants] laisse entrer librement en France, mais ensuite on les empêche de sortir parce que les Britanniques ont été plus prudents et ne sont pas dans Schengen"

    Philippe Carhon

  • Démence, niaiserie ou machiavélisme monnayé ?

    Dr Bernard Plouvier

    Un certain nombre de dirigeants politiques et religieux font douter le public éclairé ou de leur bon sens ou de leur sincérité. Il en va ainsi de la Chancellière germanique, du locataire actuel du Vatican ou d’une quantité ahurissante de seconds couteaux, comme nos Hollande, Valls et autres Juppé.

    Ne pas apercevoir le danger évident que l’islam conquérant fait courir aux Occidentaux, réfuter la réalité de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale et scandinave, nier la délinquance quotidienne et la criminalité des migrants africains, proche- et moyen-orientaux, en très grande majorité musulmans, peut résulter de diverses raisons.

    En médecine, nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire. Le délire aigu relève dans la quasi-totalité des cas de l’usage des stupéfiants ou d’une encéphalite, souvent virale. Mais nos dirigeants, effectifs ou supposés, délirent de façon chronique, ce qui évoque une démence, une tumeur cérébrale ou les complications cognitives d’une maladie métabolique ou d’une dégénérescence cérébrale, comme la maladie de Parkinson. Bref, il est urgent de faire passer une IRM cérébrale et un entretien psychiatrique aux délirants authentiques. Toutefois, s’agit-il pour tous d’un délire vrai ? On peut en douter.

    Comparer la niaiserie chrétienne de l’agapè à l’islam djihadiste, comme il semble que le pape actuel l’ait fait, relève non pas d’un défaut de connaissances (ce serait une absurdité, s’agissant d’un jésuite), mais soit d’un dérèglement cognitif (la « folie » en terme vulgaire, trop général pour être médicalement satisfaisant) soit d’une subtilité politique, dont le machiavélisme laisse pantois… et pas d’admiration.

    Que la Chancellière teutonne, qu’un scribouillard ou un vulgaire politicien français courent après un Prix Nobel de la paix, cela peut se comprendre. C’est d’un excellent rapport, en publicité et en royalties sonnantes et trébuchantes. Un souverain pontife peut, vanité aidant, ne pas dédaigner non plus ce genre de gloriole… il a bien accepté un Prix Charlemagne.

    Toutefois, les prestations des uns et des autres, si elles ne relèvent pas de la pure psychopathologie – même si les coïncidences existent, l’on a du mal à envisager que plusieurs dirigeants politiques soient atteints simultanément de délire -, font penser à une planification, à une orchestration.

    Certes, aucun complot à l’échelle planétaire n’a jamais existé, n’est même envisageable étant donnée la haine que se vouent mutuellement les Divas de la finance, du négoce, de la production et du maniement des opinions publiques. Tout Pouvoir divisé, réparti sur plusieurs titulaires, est forcément multidirectionnel.

    Toutefois, après l’expérience néoconservatrice et pro-sioniste des USA (soit les règnes des deux Bush encadrant la double prestation de Clinton), il semble qu’une majorité de dirigeants économiques aient concerté la destruction de l’Europe par l’islam, excellent agent de pourrissement des sociétés par sa barbarie et fabuleux outil de déclin scientifique et technique par son obscurantisme médiéval. Il faut croire que l’Europe, dont le déclin paraît monstrueux aux Européens teintés de culture historique, a encore un potentiel qui terrifie les maîtres de la globalo-mondialisation.

    À l’évidence, ce potentiel, c’est la race européenne, qui est à la source de la plus fabuleuse civilisation intellectuelle et technique de l’humanité. Si d’autres ont perçu cette évidence, il serait bon que les autochtones d’Europe se pénètrent de cette réalité, qu’ils reprennent confiance en eux et rien qu’en eux, refusant l’occupation étrangère autant que les charmes pervers du métissage.  

    L’on comprend ainsi qu’un pape latino-américain joue sa partition démagogique, tiers-mondiste, non pas « au service de l’islam » (ce qui est une formulation absurde), mais au service de la globalo-mondialisation, dont l’islam n’est qu’un pion parmi d’autres, mais probablement le plus intéressant pour le moment. Après tout, la pure doctrine chrétienne a toujours été universaliste, antinationale et métisseuse.

    Pour d’autres pitres politiques, l’argent doit jouer un rôle, ou la psychopathologie, ou encore une repentance elle-même pathologique par son intensité et sa durée.

    Plutôt que de surenchérir en qualificatifs injurieux et en habiles paradoxes, il est urgent de réfléchir à ce qu’est notre monde : un peu plus de 7 milliards d’individus, dirigés par quelques milliers de super-hyper-riches et puissants (dont le pape), qui manipulent des dizaines de milliers de collaborateurs du milieu du spectacle : politique, media, et le show-business où le sport de compétition et les religions se disputent la première place. Manifestement, les maîtres n’ont pas encore décidé qui des clergés ou des gladiateurs seront leurs meilleurs agents de propagande.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Incendie raciste : un socialiste mis en examen

    Le procureur de Valenciennes a mis en examen le socialiste Yohan Senez, directeur de cabinet du député-maire de Denain Anne-Lise Dufour-Tonini, mercredi 22 juin, pour complicité de l'«incendie volontaire» d'une épicerie roumaine, «commis en raison de la race, l’ethnie, la nation, la religion de la victime».

    Dans la nuit du 20 au 21 mars 2016, un incendie avait frappé un magasin d’alimentation et de produits roumains, dans la petite ville de Denain, dans le Nord. Quelques jours plus tard, deux employés municipaux avaient été mis en examen, après qu'ils auraient reconnu être à l'origine de l'événement. L'un des employés municipaux aurait indiqué au magistrat instructeur «avoir organisé l’incendie criminel à la demande» du directeur de cabinet. Des échanges de SMS entre l’un des employés municipaux et Yohan Senez au cours du week-end précédant l'incendie attesteraient de la responsabilité de ce dernier.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/06/incendie-raciste-un-socialiste-mis-en-examen.html