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magouille et compagnie - Page 1815

  • Le Bilderberg mise sur Alain Juppé pour gouverner la France en 2017

    En juin 2015, à Telfs-Buchen en Autriche, le Groupe Bilderberg, ce club de mondialistes regroupant parmi les personnalités les plus puissantes du monde atlantiste - diplomates, politiques, militaires, banquiers, patrons de multinationales, têtes couronnées, dirigeants de grands media mainstream, services secrets... - avait invité Monsieur Alain Juppé, signifiant par là son allégeance, et surtout qu'il bénéficiera de l'appui de toute cette machinerie infernale pour accéder à la Présidence de la République Française.
    Quelques articles édifiant de l'époque:
    Lien 1 : Sud Ouest
    Lien 2 : Le Figaro
    Et une vidéo intéressante:


    La réunion 2016 du Groupe Bilderberg a lieu en ce moment à Dresde en Allemagne. Nous avons publié la liste officielle des participants ici (1). Vous remarquerez la présence étonnante au premier abord, du maire du Havre, Monsieur Edouard Philippe. Elle devient beaucoup plus cohérente lorsque l'on sait que ce dernier fait partie de l'équipe de campagne de Monsieur Juppé: il est tout simplement son co-porte-parole avec Benoist Apparu...

    (1) http://www.medias-presse.info/bilderberg-2016-la-liste-des-participants-dont-laurent-fabius/56007

    http://www.civitas-institut.com/content/view/1428/1/

  • Berlin menace le Royaume-Uni en cas de Brexit

    Le Brexit donne des sueurs froides aux technocrates bruxellois et politiciens européistes.

    Envisager de sortir de l’Union Européenne est pour ces paladins de nos démocraties modernes, des droits de l’homme, de la liberté pour tout et pour tous, une véritable infamie qu’il faut contrer par tous les moyens.

    La campagne terroriste contre quiconque a l’intention de voter pour la sortie de l’UE le 23 juin prochain en Grande-Bretagne s’amplifie. Si le Brexit l’emporte, que les Britanniques le sachent : Londres n’aura plus accès au marché unique européen, contrairement à la Norvège, au Liechtenstein, à l’Islande et aussi la Suisse, qui sont en-dehors de l’UE pourtant.

    C’est la nouvelle menace allemande envers Londres. L’avertissement vient du puissant ministre des Finances, Wolfgang Schaeuble, considéré comme un intransigeant mais aussi comme un des plus européïste d’Allemagne.

    « L’Europe travaillera sans la Grande-Bretagne si c’est nécessaire. A un certain moment les Britanniques se rendront compte qu’ils ont pris la mauvaise décision. Et un jour ils accepteront de revenir, si c’est ce qu’ils désirent. »

    Wolfgang Schaeuble conclut en affirmant que « nous sommes entrain de nous préparer à tous les scénarios possibles pour limiter les risques (…) Même si le Brexit gagne de peu de voix, ce sera un avertissement à ne pas poursuivre comme maintenant. Quoiqu’il arrive, nous devrons sérieusement voir comment réduire la bureaucratie. »

    Plus soft, Angela Merkel, fait aussi son petit chantage afin que le Royaume-Uni reste dans l’UE :

    « De mon point de vue, le fait que la Grande-Bretagne reste dans l’UE est la meilleure chose et la plus souhaitable pour nous tous. Avec Londres, nous avons une étroite collaboration et ce serait, indubitablement, un bien de continuer sur cette ligne dans le cadre de l’UE. »

    Les eurosceptiques ne sont pas pour autant effrayés par ces menaces voilées ou pas : ceux qui aujourd’hui prévoient de graves contre-coups économiques sur l’économie britannique en cas de Brexit « sont les mêmes qui, il y a quelques années, prévoyaient des choses terribles si nous n’entrions pas dans l’euro. » Et ajoute Nigel Farrage : « Ils disaient que si nous restions en dehors de l’euro, nous aurions une baisse des investissements et que la City serait finie. » Et, a-t-il fait observer, c’est le contraire qui est arrivé.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.theguardian.com/politics/2016/jun/10/no-single-market-access-for-uk-after-brexit-wolfgang-schauble-says

  • Indigènes de la République : le pire des partis

    Qu’il y a-t-il de pire que ce PiR, improprement auto-dénommé ?

    Une des adhérentes (Aya Ramadan ; tout un programme…) du Parti des indigènes de la République a cru bon de se féliciter de l’attentat à Tel Aviv, qui a fait quatre victimes et cinq blessés, le 8 juin :« Dignité et fierté ! Bravo aux deux Palestiniens qui ont mené l’opération de résistance à Tel Aviv. »

    Des propos ignominieux n’ayant aucunement ému Manuel Valls (ni Bernard Cazeneuve), plus prompt, en d’autres occasions, à dissoudre le mouvement extrême-droitiste de Serge Ayoub présumé impliqué dans le décès de l’extrême-gauchiste Clément Méric.

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  • Les écoles hors contrat dans le viseur de Najat Vallaud-Belkacem

    10/06/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Najat Vallaud‑Belkacem a annoncé hier une série de mesures visant à museler davantage les écoles hors contrat. Ce bastion de liberté défendu dans la rue, en 1984, se voit une nouvelle fois menacé par la ministre qui a décidé, cette fois-ci, de légiférer par voie d’ordonnance : cette procédure permet d’adopter les textes sans vote du Parlement donc sans débat, contestation, grève ni crise sociale. La procédure peut donc à ce titre aboutir très rapidement.

    Quel est le contenu des réformes à venir ? La ministre déplore qu’on puisse à l’heure actuelle ouvrir une école plus facilement qu’un bar ou un restaurant. Il suffit aujourd’hui de déclarer la création d’une école à l’administration : celle-ci ne dispose alors que d’un mois pour s’y opposer, en cas d’atteinte à l’hygiène ou aux bonnes mœurs. Mais désormais il faudra, selon la ministre, obtenir une autorisation que l’administration aura quatre mois pour refuser. Elle pourra la refuser parce que l’établissement porte atteinte à l’ordre public ou au droit à l’instruction. Ces deux notions sont floues : avec le temps, elles devraient conférer à l’administration une grande liberté pour refuser ou accepter la création d’écoles.

    L’autre forme d’enseignement indépendant de l’Etat, l’enseignement à domicile, sera également plus encadré : les contrôles seront multipliés au nom du droit qu’ont les enfants à l’instruction. Des enseignants volontaires pourront tenir ce rôle d’inspecteurs, et dénoncer les familles contrevenantes.

    Une proposition de loi a d’ailleurs déjà été déposée par Eric Ciotti escorté de 28 députés des Républicains le 27 avril dernier. Ce texte prévoit l’instauration d’un régime d’autorisation préalable ; on pourra refuser la création d’une école pour intégrisme religieux. Les critères ne seront plus sanitaires, mais également idéologiques. L’enseignement à domicile sera quant à lui seulement permis après autorisation de l’académie et pour des cas marginaux, liés au handicap. En bref, il sera pratiquement interdit.

    Najat Vallaud‑Belkacem justifie cette réforme par la progression du nombre d’établissements hors contrat et d’enseignement à domicile. Il en existe aujourd’hui près d’un millier en France et 80 ont été créées en un an. Les parents fuient quand ils le peuvent la tutelle idéologique d’une Education nationale où les échecs se multiplient. Loin de se remettre en question, la ministre veut lutter contre les « replis identitaires » qui en résulteraient.

    Une pétition, « NON au coup d’Etat de Najat Vallaud-Belkacem contre les écoles libres ! », a été mise en ligne par le député Jean‑Frédéric Poisson. Elle a déjà recueilli plus de 15 000 signatures.

    http://fr.novopress.info/

  • Quand le gouvernement français fait passer à tabac un policier qu’il cible pour son refus de l’islamisme

    Sébastien Jallamion, brigadier-chef de la Police Nationale à Lyon, témoigne des incroyables persécutions dont il est victime de la part de sa hiérarchie et du système judiciaire, ainsi que de l’agression sauvage dont il a été victime — pour la seule raison qu’il avait mis sur son compte Facebook une photo du chef terroriste de l’Etat Islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, avec une cible sur sa tête !

    Le gouvernement, voulant le faire taire, a été jusqu’à recourir à de la racaille pour le passer à tabac.

    Quand un système atteint ce point de corruption et de capitulation devant l’ennemi, sa chute n’est plus qu’une question de temps.

     

    http://borislelay.com/

  • Le FN ne peut pas gagner sans une force d’appoint, qui se situe incontestablement à droite

    Marine Le Pen mise tout sur une victoire d'Alain Juppé aux primaires et espère l'affronter au deuxième tour dans un "sain duel". Ce scénario pourrait ne pas se produire avec le retour en force, certes hypocrite et mensonger, de Nicolas Sarkozy sur le terrain identitaire et des valeurs comme m'explique Fabien Bouglé dans cette tribune publiée sur Boulevard Voltaire :

    "Le départ théâtralisé de Marion Maréchal-Le Pen et de la délégation Front national de Béziers pourrait avoir des conséquences plus graves qu’il n’y paraît pour le premier parti politique de France. En effet, depuis quelques mois, il apparaît clairement que Florian Philippot, vice-président du Front national, dispose d’une influence telle qu’il fait prévaloir un discours gauchisant au sein de son parti, au détriment de toute la base idéologique droitière à l’origine du parti. Nous avions déjà eu l’occasion d’aborder ce thème dans ces colonnes sur la question du traitement, par le FN, de la question de la famille et du grand mouvement sociétal intervenu dans le cadre de l’adoption de la tristement célèbre loi Taubira.

    Les Journées de Béziers avaient pour objectif de réunir et de rassembler des forces de droite attachées aux valeurs qui, indépendamment de leur courant ou parti politique initial, souhaitaient dialoguer, voir ce qui les unissait et ce qui pouvait les diviser. Assurément, cet objectif a été parfaitement atteint malgré les dénégations des médias aux ordres qui ne veulent pas d’unité à droite, gage d’une victoire sur le très long terme.

    La volte-face et le départ précipité (peut-être à la demande de Marine Le Pen ou de Florian Philippot) du FN de Béziers constitue une erreur politique majeure et regrettable pour le Front national qui aura des conséquences dans les urnes si la logique actuelle de rejet des aspirations des électeurs de droite au profit des électeurs du Front de gauche continue.

    En effet, les élections régionales ont démontré que le FN ne pouvait pas gagner sans force d’appoint complémentaire. Or, ses forces d’appoint se situent incontestablement à droite, et en particulier dans les partisans de la Manif pour tous, qui ressentent un rejet viscéral de Hollande, qui a montré sa volonté de détruire la famille. Le départ de Hollande est, pour eux, une priorité absolue ! Et cela représente des millions d’électeurs.

    Si ces derniers comprennent que Marine Le Pen est incapable de faire perdre François Hollande au deuxième tour par son incapacité à fédérer des forces parfois contradictoires, il n’est pas à exclure que leur voix se porteront dès le premier tour vers Nicolas Sarkozy, et ceci même si ce dernier est parfaitement ambigu sur la loi Taubira, alors même qu’elle aurait pu les gagner si elle montrait sa capacité à attirer vers elle des forces de droite et de gauche convergentes, notamment sur la question de l’exploitation de l’homme par l’homme, point commun entre la lutte contre la GPA et la loi El Khomri

    Ce rejet actuel des partisans d’une ligne droitière du parti fait d’énormes dégâts également au sein d’électeurs fidèles du Front national, et beaucoup n’hésitent plus à faire part de leur vote aux primaires au premier tour en faveur de Jean-Frédéric Poisson qui adopte, ces derniers temps, une ligne beaucoup plus ferme et radicale.

    De son côté, Nicolas Sarkozy a su profiter de cette faille et son discours à Lille ou lors de sa convention sur la culture montre que ce dernier a décidé de jouer une posture très droitière en renouant ainsi avec les valeurs du parti gaulliste et en abordant des thèmes qui avaient pu être développés à Béziers.

    La stratégie politique du vice-président du Front national contraint donc les électeurs de droite à se positionner dans les primaires et à pousser Sarkozy comme candidat par le refus d’Alain Juppé, vu comme Hollande en pire. Cette stratégie politique de Florian Philippot fait qu’il se transforme, finalement, comme le meilleur militant de Nicolas Sarkozy !"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Autriche : au nom de l’État de droit, le FPÖ réplique !

    Les soupçons de fraudes et d’irrégularités dans le dépouillement et le décompte des voix seraient confirmés.

    


Il y a deux semaines, nous écrivions déjà pour Boulevard Voltaireque de nombreuses irrégularités frappantes avaient fait surface au lendemain des élections présidentielles autrichiennes, amenant la victoire de l’écologiste d’extrême gauche Alexander Van der Bellen au détriment du populiste Norbert Hofer, du FPÖ populiste d’essence nationale-libérale.

    

Si l’importance du poste de président n’est que secondaire, et principalement d’ordre symbolique, il est toutefois à rappeler que le chancelier de la République fédérale d’Autriche, véritable chef de la politique autrichienne, est nommé par le président lui-même – qui doit tenir compte de la composition du Conseil national, l’équivalent de l’Assemblée nationale française. Et, soit dit en passant : Alexander Van der Bellen a d’ores et déjà annoncé qu’il refuserait de nommer un chancelier du FPÖ le cas échéant, c’est-à-dire en cas de victoire du FPÖ aux législatives de 2018.



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  • Les Républicains ne veulent pas qu'un élu condamné pour corruption soit déclaré obligatoirement inéligible

    Lu ici :

    "Un élu coupable de corruption doit-il automatique être condamné à une peine d’inéligibilité ? C’est la volonté du gouvernement et du rapporteur PS du projet de loi Sapin 2 sur la corruption. Une volonté que n’ont pas partagée les députés LR qui ont déposé un amendement pour supprimer cette peine automatique, dans la soirée du mardi 7 juin.

    Ainsi ont-ils essayé, mais sans succès, de faire supprimer cette peine complémentaire d'inéligibilité obligatoire pour les personnes exerçant une fonction publique en cas de condamnation pénale pour corruption.

    Si les parlementaires du parti de Nicolas Sarkozy ont jugé que "l'exigence d'exemplarité et de transparence de la vie publique, notamment au travers de l'action des responsables publics et des élus, doit être une priorité", ces élus du principal groupe d'opposition ont plaidé qu'"ériger la peine d'inéligibilité en peine complémentaire obligatoire pose la question de sa constitutionnalité", dans l'exposé de leur amendement de suppression.

    (...)L’orateur du groupe LR a dénoncé "l’extrême sévérité" de cette peine :

    "Dans notre droit, les peines complémentaires sont, par principe, facultatives pour le juge. Elles sont incompatibles avec le principe d'individualisation des peines."

    Cet amendement de l’opposition a évidemment été dénoncé par Sébastien Denaja, le député PS rapporteur du texte, pour qui les députés LR prennent "une responsabilité politique majeure". Et d’ajouter :

    "C'est une responsabilité politique majeure que prend le groupe Les Républicains. Je pense qu'il est normal qu'un juge se prononce pour savoir si un élu corrompu peut à nouveau se présenter devant le suffrage universel."

    Plusieurs personnalités politiques sont aujourd'hui poursuivies pour des faits relevant de ces charges :

    "Le président du parti Les Républicains, Nicolas Sarkozy, est lui-même mis en examen dans l'affaire dite des écoutes pour corruption et trafic d'influence. Le député LR Patrick Balkany, cosignataire de l'amendement, a été mis en examen pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, corruption passive et déclaration mensongère de patrimoine.

    Trois mois de prison avec sursis, 20.000 euros d'amende et trois ans d'interdiction de droits civiques ont été requis ce mardi contre le sénateur DVG de l'Hérault Robert Navarro, 64 ans, patron de la puissante fédération socialiste départementale pendant 20 ans. L'ancienne députée PS Sylvie Andrieux, qui siège aujourd'hui avec les non-apparentés, a elle été condamnée en appel pour détournements de fonds publics à quatre ans de prison dont un ferme, une amende de 100.000 euros ainsi qu'à une peine complémentaire d'inéligibilité de cinq ans."

    Philippe Carhon