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magouille et compagnie - Page 1900

  • Après le front républicain, la fusion républicaine et l'UMPS assumés par Manuel Valls

    Manuel Valls va toujours plus loin mais en "off". Or, tout le monde sait bien que les propos en "off" sont destinés à être diffusés pour tester les réactions :

    "Ceci s'appelle un tir groupé. Le Monde, Europe 1 etLe Parisien révèlent la même information ce 11 novembre au matin, à chaque fois placée dans la bouche de "l'entourage du Premier ministre" ou d'un vague "Matignon" : Manuel Valls veut plaider pour la fusion des listes LR et PS au second tour des régionales dans la grande région Nord pour contrer Marine Le Pen sans se retirer. 

    Ce qui donne dans Le Parisien : "" ; sur Europe1.fr : "" et, dans Le Monde, un plus général : "". Le Premier ministre n'y est jamais cité en on, mais vue la simultanéité de l'info, la source ne fait aucun doute.

    Que faut-il en retirer ? Oui, Manuel Valls évoque à haute voix la possibilité de proposer à Xavier Bertrand de fusionner sa liste avec celle des socialistes au soir du premier tour pour empêcher Marine Le Pen de remporter la région (...)

    L'entourage du Premier ministre" estime même auprès du Monde quel'UMPS doit devenir une force et non une insulte dans les bouches frontistes : "Compte tenu du danger Le Pen, il faut assumer l'UMPS,l'UMPS c'est l'équivalent chez les autres pays européens des grandes coalitions."

    Et comme par hasard, il tient ces propos le jour même où Nicolas Sarkozy accepte pour la première fois de participer aux cérémonies du 11 novembre aux côtés de François Hollande. Les journalistes se posent la question du sens de cette rencontre. Il n'est pourtant pas besoin de chercher très loin pour faire le rapprochement...

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/11/apr%C3%A8s-le-front-r%C3%A9publicain-la-fusion-r%C3%A9publicaine-et-lumps-assum%C3%A9s-par-manuel-valls.html

  • Stratégie pour une destruction

    Stratégie pour une destruction

     

    Il faut détruire la famille ! Elle fait en effet obstacle à la réalisation des utopies révolutionnaires et à la diffusion des idéologies, socialiste ou libérale, qui partagent le projet d'une humanité à la fois atomisée et massifiée.

    La révolution socialiste a compris la nécessité de cette destruction. Karl Marx considérait l'abolition de la famille comme l'une des « propositions positives concernant la société future » et Friedrich Engels, voyant dans le mariage monogamique « l’assujettissement d'un sexe par l’autre », annonçait la lutte des sexes dans le prolongement de la lutte des classes, l'implosion du couple apparaissant comme la condition nécessaire de l'égalité entre les sexes.

    Ce thème de la lutte des sexes a été largement diffusé et utilisé par les mouvements ; féministes, pour opposer la figure du père de 1 famille à celle, non pas de la mère, mais plus généralement de la femme, qui ne devait plus rester cantonnée à la maternité (ce qui n'avait d'ailleurs jamais été le cas, hormis dans les milieux sociaux aisés et pendant de courtes périodes de l'histoire).

    L'idéologie libertaire a poussé dans le même sens au titre de la liberté individuelle et, après 1968, du « jouir sans entraves ».

    Dans tous les cas, la première cible des attaques contre la famille a été le mari et père de famille caricaturé en « pater familias » omnipotent et oppresseur, parfois vaguement réhabilité sous les traits ambigus du « nouveau père », suggérant à la fois la confusion des genres et l'indifférenciation des rôles. Or, fondamentalement, ces rôles ne sont pas interchangeables et, contrairement à ce qui était affirmé, la position du père de famille est, d'une certaine manière, plus fragile que celle de la mère, qui porte l'enfant. La relation substantielle qui se tisse entre elle et ce dernier pendant ces neuf mois essentiels (au sens le plus littéral du terme) échappe au père, qui n'y est associé que de « l'extérieur ».

    Dans une deuxième étape, c'est la maternité qui sera attaquée, en particulier au titre de l'égalité entre les sexes, à laquelle elle ferait obstacle en empêchant les femmes de bénéficier des mêmes conditions de carrière que les hommes.

    La loi, outil de la Révolution

    La stratégie des adversaires de la famille a consisté à introduire, à la fois au nom de l'égalité et des droits de l'individu, en présentant les intérêts de l'homme, de la femme et même de l'enfant, au sein de la cellule familiale, comme antagonistes. Comme l'écrivait en 2004 le professeur de sociologie François de Singly dans Libération, la famille ne pouvait plus « être définie uniquement comme un groupe fondé sur la différence des sexes et la différence des générations », mais comme la réunion d'« individus qui, au-delà de ces différences éventuelles, doivent être considérées comme des personnes à part entière ». La sociologue sous-entend, d'une part, que le « groupe » familial conduit à la négation des personnes et, d'autre part, que l'individualisme garantit les droits de la personne : deux postulats erronés. Mais cette idée permet de saper l'unité familiale, d'autant plus sûrement que sous couvert d'égalité, les mouvements féministes répandent dans l'opinion publique et banalisent la notion de lutte des sexes : la puissance publique - l'État, le législateur et le juge - est appelée à arbitrer le conflit, en se posant non pas en protecteur de la famille, cellule essentielle de la société, mais des droits de l'individu dont elle est supposée brimer la liberté. La loi devient alors l'outil de la Révolution et consacre à la fois la ruine de la « norme » familiale traditionnelle (père, mère, enfants) et celle de l'institution du mariage. Ainsi se termine le conte de fée moderne : ils ne se marièrent pas et elle n'eut qu'un enfant, quelques années avant la retraite.

    Eric Letty monde&vie 9 octobre 2015

  • Sarkozy : boniments et tartufferies…

    Observateurs et sondeurs prévoyaient que la primaire ne prendrait son envol qu’après les régionales. L’enjeu si alléchant d’une présidentielle victorieuse assurée au second tour leur donne tort, l’élection majeure étant devenue consubstantielle de celle de décembre.

    Sarkozy, le revenant qui avait juré ne plus revenir, a réuni ses troupes samedi à la Mutualité à Paris afin de valider les listes des régionales. Si la piétaille était là, les généraux à la bataille de la primaire brillaient par leur absence — absence tolérée, unité de façade oblige !

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  • L'UDI colporte ses mensonges sur l'avortement en Irlande

    Le 28 octobre, des membres de l'UDI, dont les sénatrices Chantal Jouanno et Annick Billon et le sénateur Olivier Cadic, sont allés en Irlande faire la propagande de l'avortement. Olivier Cadic raconte :

    "Au pays du trèfle, les femmes n’ont pas le droit de disposer de leur propre corps. C’est évidemment l’affaire des Irlandais, mais la nôtre est d’informer les Françaises des divers dangers d’une grossesse en Irlande."

    Sic. Et il rapporte ce propos de Laurence Hélaili, Conseillère consulaire à Dublin :

    « On est en danger du seul fait d’être enceinte ».

    Or, l'un des pays qui peut se vanter des meilleurs chiffres dans le domaine de la santé maternelle est précisément l'Irlande. Une étude de 2011 contredit les idées reçues. Elle porte sur 42 ans de statistiques relevées en Irlande et Irlande du Nord d'une part, en Grande-Bretagne de l'autre. Voici les faits positifs relevés pour l'Irlande et l'Irlande du Nord :

    • Un bien meilleur taux de natalité que dans l'ensemble de l'Europe, près d'assurer le remplacement des générations.
    • Sur la durée, l'Irlande présente un profil démographique plus jeune qui lui permet d'être moins dépendante de l'immigration que les autres nations européennes.
    • Moins de fausses couches, de petits poids de naissance, de naissances prématurées, de paralysies cérébrales, de morts maternelles, toutes choses dont le risque est aggravé chez les femmes ayant subi un avortement.
    • Moins de cancers du sein.
    • Une santé mentale relativement meilleure, à juger d'après les prescriptions d'antidépresseurs.
    • Certaines maladies du système immunitaire sont nettement moins fréquentes.

    Michel Janva

  • Fusion PS/LR dans le Sud-Ouest ?

    L'hebdomadaire Les 4 vérités analyse la gauchisation de la liste LR menée par Dominique Reynié :

    Unknown-57"[...] Mais, d’ores et déjà, il se murmure que la région pourrait être un laboratoire du « front républicain » nouvelle vague. Anticipant une possible troisième place pour la liste LR dans la région (derrière le PS et le FN), quelques ténors LR envisagent, paraît-il, de demander le désistement de la liste en faveur du PS pour « faire barrage » au FN. En échange, le PS en ferait autant en faveur des « Républicains » en PACA et en Nord-Pas-de-Calais Picardie.

    J’ose encore croire qu’il ne s’agit que d’une rumeur sans fondement. Mais je peux déjà annoncer que, si elle s’avérait vraie, l’ex-UMP volerait en éclats et ne serait plus que l’aile centriste de la majorité socialo-communiste, abandonnant l’opposition réelle au FN. Et je doute que les électeurs de droite suivent longtemps leurs « représentants » dans cette dérive...

    Michel Janva

  • Colonel Jacques Hogard : ouf, le Kosovo ne fera pas partie de l’Unesco

    Ce 9 novembre la demande d’admission du Kosovo en son sein a échoué à 3 voix près. Le colonel Jacques Hogard qui a commandé les forces spéciales françaises lors la guerre contre les Serbes souligne que le Kosovo est un Etat fantoche qui n’est pas reconnu par l’ONU.

    Un prêtre orthodoxe serbe arrive à l’église de St Stefan dans le village de Brezovica au Kosovo, un matin de janvier 2014 Crédits photo : VISAR KRYEZIU/AP

    Le 9 novembre 2015, sur proposition de l’Albanie (ce détail n’est pas neutre), l’UNESCO s’est prononcée sur la demande d’admission en son sein, en tant qu’« état-membre », de la soi-disant « république du Kosovo ».

    Cette dernière n’est pourtant pas reconnue par l’ONU, dont la Résolution 1244, de juin 1999, toujours en vigueur, rappelle clairement l’appartenance du Kosovo à la République de Serbie.

    Mais elle s’est de fait détachée par la force en 1999 lorsque l’OTAN l’a arrachée à la Serbie au terme d’une campagne d’intenses bombardements aériens de mars à juin, et surtout elle a autoproclamé unilatéralement son indépendance en 2008, que certains pays, dont la France hélas, se sont alors un peu hâtivement empressés de reconnaître.

    Le Kosovo devrait pourtant faire réfléchir les Européens.

    Sur ce territoire grand comme un grand département français, que les Serbes considèrent à juste titre comme le cœur historique, spirituel, culturel et identitaire de leur nation, la population serbe, de majoritaire qu’elle était encore à la veille de la seconde guerre mondiale, est progressivement devenue minoritaire sous le triple effet de la politique délibérément pro-albanaise menée par le régime communiste du Croate Tito, de la démographie (les familles serbes, chrétiennes , monogames, comptant de moins en moins d’enfants pour en arriver à deux ou trois maximum par famille, tandis que les familles albanaises, musulmanes, polygames, comptent de l’ordre de cinq à six enfants par épouse…), et enfin, bien sûr, de la guerre et de l’épuration ethnique qui s’en est suivie (Des centaines de milliers de Serbes ont quitté ainsi la province arrachée à l’administration serbe en 1999 puis proclamée « indépendante » en 2008 par la guérilla islamo-albanaise installée au pouvoir par l’OTAN, avec le soutien de l’Union européenne et des monarchies pétrolières du Golfe).

    Le Kosovo - de son vrai nom le Kosovo et Métochie, car ce que les Occidentaux appellent Kosovo recouvre en fait l’ensemble des territoires constitués par le Kosovo proprement dit (partie orientale de la province) et par la Métochie, la « Terre d’Eglise » (partie occidentale de la province) - est un résumé de l’Histoire de la Serbie dont il constitue le berceau.

    En son centre se trouve le lieu-dit Kosovo Polje, « le Champ des Merles », théâtre historique de la formidable bataille qui le 15 juin 1389 a opposé la Chevalerie serbe menée au combat par le Prince Lazar, aux Turcs mahométans du sultan Mourad. Cette bataille trop vite annoncée comme victorieuse du côté chrétien - est alors célébrée comme telle jusqu’à Paris, dont les cloches de la Cathédrale Notre Dame sonneront à toute volée en l’honneur des Héros serbes. Elle marquera en fait le début de la domination ottomane dont le joug s’exercera de longs siècles sur la nation serbe. [...

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Colonel-Jacques-Hogard-ouf-le

  • Comment Moscovici a trompé les Français en direct sur RTL

    La déclaration de Pierre Moscovici est un tissu d’inepties et de contrevérités.
    Le 9 novembre sur RTL Pierre Moscovici a déclaré ceci : « Contrairement à une idée reçue […], l’afflux de réfugiés […] a un impact positif sur la croissance, nous l’estimons à 0.2% – 0.3% pour l’Union européenne, plus pour les pays où il y a un accueil fort, pourquoi ? Parce que les dépenses publiques sont, c’est vrai un coût pour le citoyen et le Trésor public mais c’est aussi une dépense injectée dans l’économie, deuxièmement parce que ces jeunes hommes, ces jeunes femmes viennent là travailler, consommer […] ».

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  • Une fusion PS/LR se concrétise

    Capture d’écran 2015-11-10 à 20.42.06Exit le front républicain : pour faire barrage au FN, on évoque à Matignon la possibilité de fusionner les listes Les Républicains/PS au soir du premier tour des élections régionales, en particulier dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. 

    Néanmoins François Hollande y serait totalement opposé : une telle coalition reviendrait à alimenter l'UMPS. Mais pour l’entourage du Premier ministre, il n’est pas question de se laisser enfermer dans cette logique, car on estime, qu’à un moment, il faut assumer face au FN.

    En tout cas le ballon d'essai est lancé.

    Michel Janva

  • Valeurs Actuelles, Minutes et Rivarol exclus des aides à la presse

    La République prive la presse patriote de subventions au nom du pluralisme et de la liberté d’expression. S’il n’y a rien à attendre des fanatiques qui gèrent notre pays, ils montrent chaque jour, un peu plus la haine qu’ils vouent à la France. L’argent est le nerf de la guerre, et le gouvernement étend ainsi un peu plus sa main mise sur la presse papier.

    Trouvé sur Ouest-France : « Les aides à la presse sont étendues à 50 titres ne dépassant pas les 300 000 exemplaires, mais Valeurs Actuelles, Minute et Rivarol en sont exclus après leur condamnations.

      Le gouvernement a étendu les aides à la presse au titre du pluralisme d’opinions à une cinquantaine de titres, allant du Monde Diplomatique à Témoignage Chrétien, sauf ceux condamnés pour incitation à la haine ou à la violence, ce qui exclut notamment Valeurs Actuelles. 

    Ces subventions, destinées aux publications nationales généralistes aux faibles ressources publicitaires (moins de 25 % de leurs recettes), étaient jusqu’ici réservées aux quotidiens – concrètement L’Humanité, Libération et La Croix. Un décret du ministère de la Culture paru ce week-end étend ces aides aux autres périodiques (hebdos, quinzomadaires, mensuels, trimestriels), ce qui devrait bénéficier à 40 ou 50 titres.

    Rien non plus pour Charlie Hebdo

    Deux conditions : ne pas dépasser les 300 000 exemplaires et ne pas avoir été condamné pour racisme, antisémitisme ou incitation à la haine ou à la violence au cours des cinq dernières années. Cette dernière condition exclura notamment Valeurs Actuelles, un des dix grands magazines généralistes français, condamné pour provocation à la haine contre les Roms en mars.

    Ou encore des publications moins importantes comme Minute, condamné en 2014 pour incitation à la haine homophobe, ou Rivarol, condamné pour provocation à la haine antisémite, deux publications marquées à l’extrême-droite.

    Cette aide, imaginée au départ pour aider des titres en difficulté comme Charlie Hebdo, ne concernera pas non plus le journal satirique car il dépasse la barre des 300 000 exemplaires depuis l’attentat qui a décimé sa rédaction en janvier dernier. 

    4 millions d’euros

    L’extension des aides avait été décidée en janvier par la ministre de la Culture Fleur Pellerin au vu des difficultés de certains titres« qui participent du débat démocratique, nourrissent la conversation nationale et font donc vivre la République ».

    Des titres de tous bords en bénéficieront, comme Pèlerin Magazine ou Causette, dont certains – comme TerraEco – sont en redressement judiciaire. Fleur Pellerin a dégagé 4 millions d’euros sur le budget 2 015 de son ministère pour pouvoir soutenir ces journaux jugés « essentiels à la vitalité de démocratie », a précisé le ministère.

    « Cette réforme qui se concrétise, c’est un signe politique fort de mon soutien, du soutien de ce gouvernement, au pluralisme et à la liberté d’expression », a déclaré la ministre à l’AFP. »

    Source

    http://www.contre-info.com/valeurs-actuelles-minutes-et-rivarol-exclus-des-aides-a-la-presse#more-39847

  • Affaire Anticor/Buisson : Christiane Taubira soupçonnée de prise illégale d'intérêt

    Déjà désavouée lors de la plainte de Walwari contre Anne-Sophie Leclère, jugée irrecevable, Christiane Taubira serait à nouveau mise en cause, comme juge et partie, dans l'affaire des sondages de l'Elysée. En effet, un échange d'e-mail confirmerait les accusations de Patrick Buisson qui a porté plainte contre Christiane Taubira pour "prise illégale d'intérêt" en 2013 :

    "C'est un dossier très sensible qui se trouve – depuis près de deux ans – sur le bureau de la juge d'instruction parisienne Sabine Kheris. Si sensible que, depuis que cette juge s'est vu confier cette délicate affaire de "prise illégale d'intérêt", aucun acte d'instruction n'a été accompli. Il faut dire que la plainte vise un membre très en vue du gouvernement : Christiane Taubira, la ministre de la Justice et garde des Sceaux (...)

    Pour Patrick Buisson, la garde des Sceaux, qui est l'autorité hiérarchique du parquet, serait donc à la fois juge et partie. Après une longue bataille de procédure, cette plainte a été validée par la cour d'appel en janvier 2014. Une juge d'instruction a été saisie. Mais, depuis, le dossier est au point mort.

    Aujourd'hui, des documents versés au dossier d'instruction, que France 3 a pu consulter, apportent un éclairage sur les relations entre la chancellerie et Anticor. Et ils pourraient étayer les soupçons de "prise illégale d'intérêt"."

    Philippe Carhon