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magouille et compagnie - Page 1985

  • Tartempion a tué Ben Laden...

    Explosion d’égos dans les forces spéciales américaines

    Le spectacle est affligeant. « C’est moi qui ai tué Ben Laden ! – Non, c’est moi ! » Matt Bissonnette avait, si l’on ose dire, dégainé le premier en publiant dès 2012 un livre (sous le pseudonyme de Mark Owen) dans lequel cet ancien Navy Seals racontait l’exécution d’Oussama Ben Laden, le 2 mai 2011. Robert O’Neill, un autre ancien des commandos-marine américains revendique aujourd’hui cette action d’éclat. La chaîne Fox TV doit diffuser son témoignage, mardi et mercredi, mais son nom a largement filtré dans la presse. L’an passé, il avait déjà témoigné dans le magazine Esquire, sous le pseudonyme de The Shooter (le tireur).

    L’auteur de ce blog a écrit un (petit) livre sur la mort de Ben Laden, autant dire qu’il scrute avec attention toutes les informations nouvelles sur ce raid. Force est de constater que ce nouveau témoignage ne nous en apporte guère... mais il en dit beaucoup sur la « starisation » des forces spéciales.

    Les conditions exactes des derniers instants de Ben Laden restent entourées d’un certain mystère. On sait qu’il se trouvait dans sa chambre à coucher, au deuxième étage de sa maison d’Abbotabad au Pakistan, en compagnie de deux de ses épouses. Dans l’obscurité totale, le groupe de tête des Seals (trois hommes, dont Bissonnette et O’Neill) monte les escaliers et tue Khalid, l’un des fils d’Oussama. Lorsqu’ils arrivent au deuxième étage, les récits divergent. Ben Laden est-il retourné précipitamment dans sa chambre ou n’a-t-il pas eu le temps d’en sortir ? On l’ignore. Quoi qu’il en soit, les trois commandos défoncent la porte et se trouvent face au chef d’Al Qaïda. L’un d’entre eux se jette sur ses deux femmes, pour les écarter – et encaisser l’explosion au cas où elles auraient des ceintures explosives. Ben Laden n’est pas armé. On retrouvera son revolver Makarov et sa Kalachnikov sur une étagère. Les commandos ouvrent le feu et lui mettent au moins une (sans doute deux) balles dans la tête. Qui, des deux commandos, a tiré le premier ? Tartempion ou Barbanchu (1) ? [....]

    La suite sur Secret Defense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tartempion-a-tue-Ben-Laden

  • La sénatrice Caroline Cayeux défend la politique familiale

    Caroline Cayeux, Maire de Beauvais et Sénateur UMP de l'Oise, est rapporteur de la Commission des Affaires Sociales pour la Famille. Lundi, elle a défendu à la tribune la politique familiale. Extraits :

    C"La politique familiale est un des atouts de notre pays. [...] Elle mérite donc mieux que la gestion empirique et comptable qui est celle du Gouvernement depuis 2012. [...] La branche famille connaît un déficit récurrent depuis 2008. La crise économique que notre pays traverse explique en partie cette situation. Les prestations prises en charge par la branche famille au nom de la solidarité entre les caisses de sécurité sociale joue également un rôle. [...] On peut encore déplorer que la famille soit, une nouvelle fois cette année, considérée comme une variable d’ajustement du budget de la sécurité sociale. La politique économique du gouvernement tue l’emploi et, c’est aux familles d’en faire les frais ! Ces nouvelles économies imposées aux familles sont douloureuses et injustes au regard des sacrifices qu’elles ont déjà consentis. [...] L’universalité est une pierre angulaire de notre système de politique familial, et ce depuis son origine en 1945. [...] Partant du principe qu’un enfant né dans une famille aisée ne mérite pas moins de la part de la solidarité nationale qu’un enfant né dans une famille modeste, les concepteurs de notre politique familiale ont souhaité que les allocations familiales soient versées sans condition de ressources. [...] Pour terminer mes propos, permettez-moi de vous conseiller, une fois n’est pas coutume, les propos de Madame Martine AUBRY : « Il faut arrêter d’entrer dans tous les dossiers par l’argent, même si c’est important. Pourquoi est-ce qu’on ne présente pas une grande politique familiale du 21ème siècle, plutôt que de parler tout de suite des milliards qu’on va pouvoir récupérer ?»"

    Michel Janva

  • Le « socialiste » Emmanuel Macron défend Jean-Claude Juncker, le champion de l’exonération fiscale pour les multinationales

    Emmanuel Macron, ministre « socialiste » de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, était parti à Bruxelles, jeudi dernier, exposer devant les nouveaux commissaires européens sa proposition de « New Deal européen« .

    A cette occasion, Emmanuel Macron a accordé un entretien au quotidien belge Le Soir publié sur deux pleines pages dans l’édition de vendredi. Alors que Jean-Claude Juncker, ex-premier ministre luxembourgeois nommé à la tête de la Commission européenne, est pris dans la tourmente du Luxleaks, surnom donné aux révélations sur l’existence d’accords fiscaux secrets passés entre le Luxembourg et des centaines d’entreprises afin d’éluder « légalement » l’impôt, Emmanuel Macron lui renouvelle tout son soutien !

    Extrait :

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  • Affaire Fillon-Jouyet-Sarkozy : la république des caniveaux

    Lu dans Les 4 vérités :

    "En toute hypothèse, ce que révèle cette affaire, c’est, une nouvelle fois, le degré de corruption morale des prétendues élites de la Ve République finissante. Qu’il s’agisse d’une machination judiciaire ou d’une manipulation médiatique, il est clair que le combat politique n’est plus, depuis longtemps, principalement un combat d’idées, mais un combat de personnes (où les « amis » de son propre camp sont souvent les pires adversaires…) et qu’il peut être mené avec les moyens les plus malsains. Tous les dirigeants qui se sont succédé, ces dernières années, à la tête de l’État nous ont fait le coup de la « république exemplaire ». En fait de « république exemplaire », nous avons la république des égouts et des caniveaux ! Il est possible que cette affaire disparaisse des « unes » aussi vite qu’elle y est arrivée. Mais il est certain qu’elle recèle au moins une manipulation. Marine Le Pen a mille fois raison de noter qu’on y retrouve les « 3M », « magouille, manoeuvre, mensonge » et que cette affaire est symbolique de la « fange qu’est devenue la vie politique ». Qui donc nettoiera les écuries d’Augias ?"

    Michel Janva

  • Affaire Fillon-Jouyet : une preuve de l’indépendance de la Justice

    Dans quelle nasse François Fillon s’est-il encore mis ?

    […]

    En prenant d’infinies précautions, quelques plausibilités psychologiques et politiques sont susceptibles d’éclairer.

    Le rapport de force, voire de violence, entre Nicolas Sarkozy et François Fillon depuis la défaite du premier et l’ambition présidentielle du second est à l’évidence d’une telle intensité que tout est possible, et en particulier le recours à des manœuvres à la fois imprudentes mais qu’on espère décisives de la part de l’un des rivaux.

    Il n’est pas non plus indifférent que Jean-Pierre Jouyet ait été sollicité, non seulement à cause de leur collaboration sous la présidence de Nicolas Sarkozy mais aussi en raison de la psychologie du secrétaire général, personnalité souple, très intelligente, tolérante, trop bavarde paraît-il, capable de tout comprendre et fidèle plus que jamais au président de la République après une parenthèse de plus d’un an qui avait suspendu leur amitié profonde et complice.

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  • Liberté d’expression pour tous, sauf certains

    Pourquoi attiser les braises de la discorde, jeter des anathèmes, tenter de faire naître des affrontements dans une société française déjà bien mal en point ?   

    Aux armes, citoyens ! La liberté d’expression des artistes est en péril. Pendant le match de rugby France–Fidji, j’ai zappé un court instant et entendu BFM, peu après 19h, samedi dernier, sonner l’alerte : « L’ombre de la censure plane sur l’actualité », annonçait le présentateur, la gorge nouée. Tétanisé, j’ai voulu en savoir plus.

    Cette liberté « grignotée » s’illustre par exemple dans cette œuvre mi-sextoy, mi sapin de Noël, érigée Place Vendôme à Paris, qui a suscité une récente polémique, ou encore dans l’exposition « Zizi sexuel » à la Villette. Il paraît que cette exposition, instructive, bien faite, séduit les familles (dixit BFM) mais n’est pas du goût de tout le monde. D’où la question qui surgit tout naturellement et à propos de laquelle la chaîne a dépêché ses limiers : « Qui se cache derrière ceux qui s’offusquent ? »

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  • Christiane Taubira détricote le Code civil

    La réforme de Code civil menace-t-elle la liberté de contracter ? Alors qu’il prétend protéger les plus faible, l’État pourrait bouleverser les équilibres du système juridique français.

    Le 30 octobre, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi relatif à la modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures. Passée inaperçue, hormis le rideau de fumée du statut de l’animal passant du rang de meuble à celui d’« être vivant doué de sensibilité », cette réforme du Code civil est, en réalité, un véritable acte politique de déconstruction.

    Rappels historiques

    L’exposé des motifs de la loi est assez révélateur des rapports consanguins qu’entretiennent le Droit et le Marché dans la vision “a-nationale socialiste” de ceux qui nous précipitent dans l’abîme mondialisé de l’indifférenciation absolue : « Les dispositions du code civil [...], issues du code Napoléon, ne permettent plus aux particuliers et aux entreprises d’avoir une vision claire et précise de l’état du droit dans leurs relations contractuelles quotidiennes. Il est donc primordial de réformer le droit français des obligations pour le rendre plus accessible, plus attractif et mieux adapté aux enjeux économiques [...] actuels. »

    Promulgué le 21 mars 1804, (30 ventôse an XII, selon le calendrier révolutionnaire) par Bonaparte, alors Premier consul, le Code civil fait incontestablement partie de ces « masses de granit jetées sur le sol de France » par celui qui voulait achever l’œuvre de la Révolution, tout en rétablissant, mutatis mutandis, le cours interrompu de l’Ancien Régime. Illustre rédacteur (aux côtés, notamment, de Maleville et Tronchet) de ces tables de la loi bicentenaires, Portalis considérait qu’elles devaient être un « corps de lois destinées à diriger et à fixer les relations de sociabilité, de famille et d’intérêt qu’ont entre eux les hommes qui appartiennent à la même cité ». Une qualité intrinsèque lui était reconnue, la stabilité. Les contrats, la responsabilité, la propriété, le mariage, autant d’institutions qui, nonobstant les remous et vicissitudes politico-constitutionnelles, devaient servir de fondations inébranlables à la société. Bien que pétri d’égalité et d’individualisme, le Code civil des Français n’en demeurait pas moins l’héritier de Rome et de ses jurisconsultes. Les légistes fameux que furent Domat ou Pothier contribuèrent notablement, en précurseurs éclairés, à ce travail d’unification du droit par une anamnèse préalable des règles et coutumes tirées des Digeste et autres Institutes romains. Ce mouvement a été accompagné par le célèbre édit de Saint-Germain de 1679, qui instaura le monopole de l’enseignement du droit entre les mains de l’université. Colbert, auquel on doit les premiers grands codes (procédure civile et criminelle, commerce, marine, eaux et forêts, etc.) se montra également une source d’inspiration non négligeable pour les rédacteurs du Code civil.

    Longue maturation

    Grande œuvre, finalement, que cette règle civile commune, fruit d’une longue maturation historique que Bonaparte sut recueillir et transmettre, indivise, aux Français. Œuvre d’autant plus respectable qu’elle était religieusement respectée, tant au sein des facultés de droit que par les hauts magistrats de la Cour de cassation qui surent, tout au long du XIXe siècle (triomphale époque de l’exégèse), patiemment et avec bienveillance, l’étoffer et la parer des plus nobles atours de l’inflexible rigueur juridique et de la claire concision stylistique.

    Faste et durable époque, jusqu’aux années 1970 qui seront le guichet unique des revendications libertaires et féministes de Mai 68. Le divorce par consentement mutuel, la suppression de la puissance paternelle (le “pater familias”), l’avènement de l’enfant adultérin à égalité avec l’enfant légitime, la “dépénalisation” de l’avortement (en 1975), forgeront le nouveau contrat social, post-rousseauiste, du ré-ensauvagement de la société qui assistera, impuissante et masochiste, fascinée et suicidaire, à l’implosion irréversible de son socle immémorial et nécessaire, la famille. Viendra ensuite le Pacs en 1999, antichambre hypocrite du pseudo-mariage homosexuel, jusqu’à l’assomption de ce dernier en 2013.

    Bonne ou mauvaise foi

    Aujourd’hui, la réforme Taubira ne prétend pas moins revenir sur le droit des contrats – classiquement tenus pour “la loi des parties” qui les ont faits –, au nom de l’impérieuse protection des « plus faibles ». Là où, traditionnellement, la force obligatoire des conventions, était, entre autres, subordonnée à la validité du consentement, le juge sanctionnera, dorénavant, les manquements du cocontractant, motif pris de la vulnérabilité de l’autre. Fustigeant cette ineptie, le juriste Olivier Tournafond précise que cette réforme « introduit ainsi les notions “d’imprévision” et de “détresse économique” qui permettront de défaire les contrats. Autre idée saugrenue : la bonne foi devient une condition de formation du contrat, ce qui est d’une totale absurdité : on ne contracte pas de bonne ou de mauvaise foi ! On exécute le contrat de bonne foi. Et dans la période précontractuelle, la mauvaise foi est sanctionnée en tant que faute extracontractuelle ! ».C’est dire que ce renversement révolutionnaire voulu par la locataire de la Place Vendôme, bien loin d’être seulement un époussetage, va bouleverser considérablement les équilibres, délicats mais néanmoins fermement établis, de notre droit d’essence romano-germanique. Ce projet s’inscrit dans la continuité infernale du déracinement (et son corollaire, la perte des repères), du “suicide français” imposé depuis quarante ans par nos élites hors-sol. Ultime avatar du slogan soixante-huitard, « Il est interdit d’interdire », brandi par un État devenu totalitaire dont l’impuissance publique n’a d’égale que son omnipotence dans la sphère privée.

    Aristide Leucate

    Article paru dans l’Action Française 2000 n° 2896 du 06 novembre 2014

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Christiane-Taubira-detricote-le

  • Le ministère de l'Education nationale est généreux avec ses amis

    Lu ici :

    "En 2013, 10 associations se sont partagées 82 % des subventions du ministère de l’Education nationale destinées aux associations.

    Parmi ces heureuses bénéficiaires, la Ligue de l’enseignement se taille la part du lion. En 2013, elle a ainsi reçu 25,6 millions d’euros de subventions directes du ministère, l’équivalent de 7300 enseignants supplémentaires (contre 23,03 en 2011).

    Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l’Education nationale sait prendre soin de ses amis. Il y a quelques semaines, elle a déjà récompensé le secrétaire général de cette association en le nommant à l’Inspection générale du ministère. Il faut reconnaître que cette association n’a jamais caché ses sympathies socialistes, allant même jusqu’à faire voter une motion, lors d’un de ses congrès, pour se déclarer « solidaire de tous ceux qui luttent pour la construction d’une société de type socialiste. »

    Parmi les autres associations qui cannibalisent les crédits du ministère de l’Education nationale, on retrouve, toujours dans les 10 premières bénéficiaires :

    • la Fédération PEP (6,9 millions d’euros), elle aussi proche du PS. Elle fut d’ailleurs longtemps présidée par Christian Nique, ancien conseiller de François Mitterrand.
    • Les CEMEA (4,6 millions d’euros), véritable bras armé des militants de l’Education nouvelle en France.
    • Les FRANCAS - Franches et Francs camarades (4,2 millions d’euros). Cette association d’Education populaire comme son nom le laisse apparaître reste proche des réseaux communistes.
    • La JPA - Jeunesse en plein air. (1,5 millions d’euros). Cette association est également née dans le giron de la ligue de l’enseignement et de la CGT.

    On retrouve toutes ses associations dans les débats concernant les programmes scolaires et leurs articulations avec les activités péri-scolaires."

    Louise Tudy

  • Jean-Charles Luperto, la démission c’est maintenant ! Le PS va-t-il maintenir un pervers à la tête d’un parlement ?

    Empêtré dans une affaire sordide d’exhibitionnisme, le politicien belge Jean-Charles Luperto ferait bien, s’il lui reste un peu d’honneur, de démissionner de ses différentes fonctions politiques.

    Comme nous l’expliquions ce matin, Jean-Charles Luperto fait l’objet de plusieurs plaintes pour attentat à la pudeur et exhibitionnisme. Ce président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, député wallon et bourgmestre de Sambreville, s’adonnait publiquement à des « pratiques masturbatoires » dans les toilettes d’une station-service. Ces faits choquants se sont produits à plusieurs reprises durant plusieurs mois.

    Les faits sont d’autant plus scandaleux qu’au moins un des témoins était un mineur.

    Ces gestes démontrent que Jean-Charles Luperto est un pervers.

     

    Lors des perquisitions effectuées au domicile et dans les bureaux de cet individu, des ordinateurs, tablettes, smartphone et clés USB ont été saisis. Une unité spéciale vérifie si rien de plus ne se cache derrière l’exhibitionnisme de ce mandataire politique socialiste.

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  • Sarkozy : "Honte à ceux qui abandonnent la langue française"

    Sarkozy a dit lors de son meeting vendredi soir à Paris "Honte à ceux qui abandonnent la langue française". Donc honte à Sarkozy :

    En janvier 2008, les parlementaires français votent le renoncement à l’exigence de traduction comme il est clairement énoncé à l’article premier du Protocole de Londres et ce, contre l’avis de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie.

    En janvier 2009 la France renonce au français comme langue de travail au sein de l’ agence internationale des énergies renouvelables (IRENA), elle pousse les 27 autres pays de la Francophonie à faire de l’anglais la seule et unique langue de travail et renforce l’hégémonie linguistique à l’encontre des intérêts de tous les francophones. L’Organisation Internationale de la Francophonie tente maintenant de faire modifier le régime linguistique vers le multilinguisme.

    En juin 2009, le Conseil Economique, Social et environnemental (le tristement connu CESE) écrit dans un rapport »que « le recours à l’anglais comme code commun se généralise, sans que cela soit nécessairement une menace pour la diversité des langues. C'est une facilité dont certains Français hésitent encore à se servir, alors que, pour d’autres, c’est la solution miracle ».

    En juin 2010, l’arrêté ministériel instituant l’anglais comme seule et unique langue obligatoire pour l’épreuve orale du concours d’entrée à l’Ecole nationale de la magistrature est confirmé par le Conseil d’Etat.

    En janvier 2012, l’Agence française de développement (AFD), établissement public agissant pour le compte de l’Etat, émet un appel à projets pour une conférence le 14 juin à Paris. Elle exige de la part des soumissionnaires français des réponses exclusivement en anglais.

    Michel Janva