Bernard-Henri Lévy, dit BHL, maître à penser psychédélique ? Sa compagne Arielle Dombasle confirme au cours d’un entretien télévisé que le philosophe préféré des mondialistes a recours à des substances chimiques.
magouille et compagnie - Page 2055
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Bernard-Henri Lévy sous l’emprise de la drogue
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NSA : multiples affaires d’espionnage
Les utilisateur du réseau Tor et les visiteurs de sites internet d’anonymisation traqués
Selon les révélations de la télévision publique allemande, la NSA surveille et collecte les adresses IP de tous les utilisateurs du service Tor, et même de ceux qui visitent des sites parlant des techniques d’anonymisation et de protection des données. Parmi eux, le site Linux Journal, qualifié « d’extrémiste ».
Lire la suite de l’article sur sott.netAllemagne : un agent double démasqué
Cette nouvelle affaire d’espionnage risque de faire du bruit. Le magazine Der Spiegel révèle qu’un agent des services de renseignements allemands BND a travaillé pour les services américains de la NSA. Sa mission consistait notamment à surveiller les travaux de la commission d’enquête allemande … sur le scandale des écoutes de la NSA, révélé l’année dernière. Les quotidiens Süddeutsche Zeitung et Bild ont eux aussi relayés et confirmés l’histoire. A Washington, la Maison-Blanche n’a fait «aucun commentaire».
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Le Pacs, une étape dans la dénaturation du mariage
À entendre ses promoteurs, le Pacte civil de solidarité (Pacs) n'aurait jamais dû être ce qu'il a été : une étape décisive vers le mariage inverti et l'adoption d'enfants par des homosexuels.
« Le gouvernement ne veut pas créer un mariage bis, et encore moins permettre à des homosexuels de pouvoir adopter des enfants ou d'avoir recours à la procréation médicalement assistée. » Promis-juré-crachouillé ! Cette affirmation est datée du 17 septembre 1998, quelque temps avant que l'Assemblée nationale n'examine la proposition de loi sur le Pacte civil de solidarité (pacs) et signée par un prédécesseur de Christiane Taubira, Madame le garde des Sceaux Elisabeth Guigou.
À la même époque, celle-ci déclarait encore plus catégoriquement : « Le pacs est radicalement différent du mariage parce qu 'il n 'est pas question, ni aujourd'hui ni demain, que deux personnes physiques du même sexe, quel que soit leur sexe, puissent se marier. Je soutiens, comme de nombreux psychanalystes et psychiatres, qu'un enfant a besoin pour sa structuration psychique, sociale et relationnelle d'avoir face à lui pendant sa croissance un modèle de l'altérité sexuelle, un réfèrent homme et un réfèrent femme. »
Renversement de la vapeur
En 2012, pourtant, le ton avait quelque peu changé. Sans vergogne ni fausse pudeur, la même Elisabeth Guigou avouait qu'elle avait volontairement trompé les Français : «Al 'époque, l'important était défaire passer le pacs. Il y avait une résistance farouche au pacs, mais aussi dans la société avec des manifestations, des débordements verbaux inadmissibles... Donc, l'important, c'était de dissocier le pacs du mariage, sur le plan légal et sur le plan symbolique. (...) Aujourd'hui, j'ai évolué sur le mariage, j'ai considéré, en parlant avec les associations que, dès lors qu'il s'agissait de consentement mutuel entre deux adultes, il n 'était pas possible de refuser une égalité des droits. » Quid, alors de l'adoption ? « La société a beaucoup évolué, moi-même je garde mes interrogations sur l'adoption; il faut trouver comment écrire dans le code civil comment s'organise la filiation d'un enfant qui est adopté par un couple homo », dit-elle. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le ton a changé...
Une folle rumeur ?
Contrairement à ce que prétend l'ancien ministre de la justice, la société a-t-elle beaucoup « évolué » ? Rien n'est moins sûr, à en juger par l'immense mouvement de protestation qui s'est levé contre la loi Taubira dénaturant le mariage. Et les importantes manifestations qui avaient à l'époque été organisées contre le Pacs (100000 personnes à Paris en février 1999, des Invalides au Trocadéro) rassemblaient déjà des foules qui ressemblaient beaucoup à celles qui sont redescendues battre le pavé en 2012, jusque dans leurs slogans : « Deux mamans ou deux papas : bonjour les dégâts ! »
Les élus locaux s'étaient, à l'époque, eux aussi mobilisés et l'Evénement du jeudi, journal de la gauche moderne, libertaire et friquée, s'indignait contre une pétition anti-pacs signée par 14000 maires, que le journal alors dirigé par Georges-Marc Benamou qualifiait d'« intox réac ». Dans son éditorial, ledit Benamou écrivait : « C'était un mensonge qui courait les campagnes et les villes françaises. C'est très vite devenu une rumeur, une panique chez les gens de bonne réputation : "le mariage homosexuel allait être légalisé." Comme toutes les rumeurs, elle est folle, elle est fausse, elle s'insinue, elle enfle jusqu'à faire autorité, depuis six mois, dans les journaux convenables et dans un certain monde politique. » En fait d'intox, la presse de gauche se posait là : les sondages, publiés notamment dans Libération, « montraient » que 60 %, voire 80 % des Français étaient favorables au Pacs. Au cœur du lobby militant en faveur du pacs, se trouvait déjà un certain Pierre Berge...
Du Pacs au mariage pour tous
La loi votée, le 13 octobre 1999, et la pression médiatique retombée, les pouvoirs publics ont pu croire que les Français avaient avalé la « pilule » du Pacs. D'autant plus que les « hétérosexuels » paraissaient eux aussi l'avoir adopté : en 2007, Patrick Festy, démographe à l'Ined, estimait que 15 % seulement des pactes civils de solidarité étaient signés par des homosexuels ; en 2008, selon l'Ined, 95 % concernaient les couples hétérosexuels. Entre le concubinage et le mariage, le Pacs était en somme devenu une sorte d'union à responsabilité limitée, qui en venait pour cette raison à concurrencer le mariage : « Il est plus facile de se dépacser que de divorcer », expliquait Patrick Festy dans Le Parisien : une façon de mettre l'amour au conditionnel.
Les hiérarques socialistes ont donc pu croire que la loi sur le pseudo-mariage entre personnes de même sexe passerait sans faire de vagues, dans le sillage du Pacs : en quoi, ils se sont trompés. D'une part, le Pacs n'ouvrait pas immédiatement la porte à l'adoption d'enfants par les homosexuels - même si l'on savait que cette revendication constituerait l'étape suivante; et d'autre part, il ne portait pas aussi directement atteinte à l'institution du mariage. Néanmoins, le Pacs s'inscrivait déjà dans la stratégie progressiste du grignotage et a constitué une étape décisive vers la légalisation du prétendu mariage homosexuel.
C'est pour cette même raison que l'idée deContrat urbain de cohésion sociale, avancéepar Hervé Mariton dans le cadre de la protestation contre la loi Taubira, n'était pas recevable, ce « Cucs » renchérissant sur le Pacs sansgrande utilité, ni surtout sans en remettre encause la logique dangereuse.
Hervé Bizien monde & vie 11 juin 2014
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La réforme territoriale : « il faut penser mondial et agir local »
L’espace Bernanos accueillait mercredi 2 juillet 2014, l’Institut Thomas More et le Cercle Charles Péguy pour une conférence sur « La réforme territoriale : pour quoi faire ? ». L’initiative a regroupé les familles de la droite « libérale conservatrice[1] » et réunissait Hervé Gaymard (Député UMP de Savoie et Président du Conseil Général de la Savoie),Gérard-François Dumont (Géographe, professeur à l’université à Paris 4-Sorbonne) et Jean-Christophe Fromantin(Député-maire UDI de Neuilly-sur-Seine) pour débattre sur les enjeux de cette réforme dont le projet a été présenté au Conseil des Ministres le 18 juin.
Les intervenants se sont accordés sur la nécessité de réaliser une réforme des collectivités territoriales mais ont également rejeté – de concert – la manière avec laquelle le gouvernement menait actuellement le projet. La simplification du réseau administratif, les économies attrayantes et une décentralisation des activités peuvent paraître des atouts séduisants de la loi, à condition que cela soit mené de manière intelligible et justifiée.
Hervé Gaymard a tenu à dénoncer les idées reçues quant aux bénéfices de cette loi ; les économies promises par ce projet de loi seraient un leurre, engendrant surtout des restrictions budgétaires sur les services à la population. Le député, qui sera également rapporteur de la loi à l’automne, souligne qu’elle ne tient pas compte de la diversité du territoire[2] et que la création de tels nano-états fait fi des préoccupations sociales et identitaires ; qui peut, par exemple, revendiquer une identité Rhône-Alpine ? La désignation des élus par les partis s’inscrira également dans cette absence totale d’intérêt de la population locale. Les solutions proposées par l’élu sont le retour des conseillers territoriaux, le renforcement des compétences obligatoires en région et la valorisation de la région suivant son domaine de compétence (culture, tourisme, …) afin que la décentralisation soit active et efficiente.
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Arnaud Montebourg brûle douze feux rouge pour aller au cinéma
Alors que la flicaille rackette allègrement les automobilistes sous des prétextes bidons, les politiciens méprisent le code de la route…« Après deux mois de filature, ce n’est pas un joli bilan que dresse Auto-Plus, mais il ne diffère guère de ceux déjà dressés les années précédentes. Seuls les acteurs changent, parfois. …
Au petit inventaire des fautes accumulées, il est des champions comme Bernard Cazneuve, le nouveau ministre de l’Intérieur et donc de la répression routière. Ainsi, le 2 juin, entre Saint-Denis et Paris, les Rouletabille d’Auto-Plus, perchés sur une moto, suivent la voiture du « premier flic de France ».
« Le cortège sort de la ville sans tarder en grillant cinq feux en quelques centaines de mètres. Puis multiplie les dépassements par la droite sur l’A1 et le périph. Et se paie une combinaison ligne blanche-contresens dès l’entrée dans Paris », note le journal….
Le bouillant ministre de l’Économie et du Redressement productif se déplace en cavalerie légère, deux motards autour d’une 508 ou d’une C5 et pas de gyrophare. Il alterne, bien à son image, des moments calmes et d’autres d’une nervosité apparente frôlant l’agitation. Ainsi raconte Auto-Plus :
« Ce soir-là, Arnaud Montebourg est attendu au cinéma à 20 h 30. Bien que partie dans les temps, sa C5 fait du gymkhana dans les rues. Le chauffeur brûle douze feux, prend une voie de bus, puis une autre à contresens… et finit par se garer à 20 h 16 ! Mais pas question pour le ministre d’arriver en avance. Celui-ci restera donc près de dix minutes à bord. Tout ça pour ça ! »…. »
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Drapeaux verts FLN, drapeaux rouges Viet-Minh sur les Champs ! Va-t-on accepter l’inacceptable ? (Présent 8136)
A la question que nous posions la semaine dernière de savoir comment marquer, autrement que par des mots, notre rejet (et le mot est faible…) de la présence de représentants du FLN et du Viet-Minh sur les Champs-Elysées le 14 juillet, vous avez été nombreux à répondre : « Il faut s’inspirer des Bonnets rouges bretons ».
Un bonnet rouge (ou bleu, ou blanc, ou tricolore si ça existe), pourquoi pas ? Cela a l’avantage de pouvoir se repérer les uns les autres, mais a cet inconvénient de se désigner à la vindicte des flics du régime. S’il y a peu de Bonnets rouges, c’est un inconvénient. S’il y en a des milliers, Inch’Allah, le match peut se jouer très différemment…
Vous êtes nombreux, aussi, à préconiser l’utilisation d’un sifflet d’arbitre pour scander le célèbre « Ti-Ti-Ti, Ta-Ta » (« Al-gé-rie fran-çaise ») des années 1961-1962. [...]
Alain Sanders - Présent via Novopress
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Drapeaux verts FLN, drapeaux rouges Viet-Minh sur les Champs ! Va-t-on accepter l’inacceptable ? (Présent 8136)
A la question que nous posions la semaine dernière de savoir comment marquer, autrement que par des mots, notre rejet (et le mot est faible…) de la présence de représentants du FLN et du Viet-Minh sur les Champs-Elysées le 14 juillet, vous avez été nombreux à répondre : « Il faut s’inspirer des Bonnets rouges bretons ».
Un bonnet rouge (ou bleu, ou blanc, ou tricolore si ça existe), pourquoi pas ? Cela a l’avantage de pouvoir se repérer les uns les autres, mais a cet inconvénient de se désigner à la vindicte des flics du régime. S’il y a peu de Bonnets rouges, c’est un inconvénient. S’il y en a des milliers, Inch’Allah, le match peut se jouer très différemment…
Vous êtes nombreux, aussi, à préconiser l’utilisation d’un sifflet d’arbitre pour scander le célèbre « Ti-Ti-Ti, Ta-Ta » (« Al-gé-rie fran-çaise ») des années 1961-1962. [...]
Alain Sanders - Présent via Novopress
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Antifas et casseurs de banlieue, les liaisons dangereuses
A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas.
Les antifas et les binationaux franco-maghrébins se sont ligués…
On a pu le constater la semaine dernière à Lyon après la victoire de l’équipe d’Algérie où le « Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite » a participé activement aux émeutes provoquées dans le centre ville au côté des jeunes casseurs franco-algériens.
Il est à craindre que cette alliance de circonstance au niveau régional puisse devenir national devant son succès très partiellement réprimé et que cette collaboration de se poursuive lors de toute manifestation concernant des sujets sociétaux ou politiques et contre tout rassemblement protestataire de la droite.
A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas et l’on a assisté ainsi à une première alliance entre extrémistes de gauche et casseurs uniquement au nom de la haine contre la France.
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Les grandes écoles militaires en sursis ?
La Loi de Programmation Militaire 2014-2019 prévoit la suppression de 33 500 postes supplémentaires au sein des armées, ce qui représente une diminution des effectifs de 25 % en 10 ans, portant le nombre de personnels militaires à 82 000. Ceci au coeur de la crise économique, ce qui pose le problème de la reconversion des militaires en pleine récession du marché de l'emploi.
La politique actuelle incite les gens à quitter l'institution, mais en amont, il semble que la gestion soit de l'ordre de l'amateurisme, et qu'on supprime des postes "au doigt mouillé", sans anticipation suffisante. Le contrôleur général des armées (CGA) Jacques Feytis, directeur des ressources humaines du ministère de la Défense (DRH-MD), lors d’une audition devant les députés de la commission « Défense » de l’Assemblée nationale s'en explique :
«Notre organisation actuelle ne nous permettra pas de trouver les 34 000 postes à supprimer. Cette transformation des organisations doit être préparée par les employeurs et doit précéder la déflation des effectifs, au risque de générer des vacances de postes. L’atteinte de la cible est réalisable, soit avec les départs, soit en baissant le recrutement mais, si nous ne transformons pas notre organisation actuelle, si nous n’identifions pas maintenant les postes à supprimer, nous aboutirons, au terme de la déflation, à ce qui est qualifié d’échenillage, avec des services en difficulté de fonctionnement »
"Il s’agit d’éviter à nouveau un dérapage de la masse salariale (comme cela fut constaté lors de la LPM 2009-2014) en « dépyramidant », c’est à dire en supprimant des postes de cadres.Ainsi, jusqu’en 2019, 5.800 postes occupés par des officiers devront disparaître, avec le défi de maintenir certaines compétences qui seront très difficiles à retrouver si jamais elles venaient à s’éteindre.[...]"
La suppression tous azimuts d'un maximum de postes d'officiers encadrants (1000 postes maximum par an pour que ce soit cohérent), aura pour effet de diminuer de façon drastique le recrutement des élèves dans les écoles militaires, dont les promotions (à l'ESM de St Cyr Coëtquidan) ont vu le nombre de leur élèves divisé quasiment par deux en 20 ans.
Le CGA Feytis pense que
"[...] la diminution des recrutements d’officiers est assez proportionnelle à la réduction des effectifs globaux. (…) Toutefois si nous voulons préserver ces écoles, il ne faut pas diminuer les recrutements à l’excès. En deçà d’un seuil critique, se poserait la question de l’existence même de ces écoles, ce qui serait gravissime. Nous devons préserver nos grandes écoles militaires », a affirmé le CGA Feytis."
Se pose donc la question de la survie des écoles militaires. La solution préconisée par le président de la commission Défense, Mme Patricia Adam: « Il faut les ouvrir ». Les ouvrir à des étudiants qui seront "heureux de faire Saint-Cyr, l’École navale ou l’École de l’air, même s’ils n’envisagent pas d’être officiers" (CGA Feytis, qui se montre en accord avec cette idée d'ouverture), ce qui voudra dire les "adapter à la marge sans les dénaturer [...]"
"Et d’ajouter : « Je pense qu’un jeune diplômé ingénieur de l’École navale ou de l’École de l’air ou de Saint-Cyr présentera un profil intéressant. Nos officiers ne sont pas forcément recherchés pour leurs compétences techniques militaires (..) Je suis persuadé que beaucoup de personnes seront ravies de suivre une formation dans une grande école militaire dans le cadre d’un double cursus ou d’un double master. Il est ainsi possible d’envisager un parcours de trois ans dans l’une des trois écoles militaires évoquées, complété par un an en école de commerce ou d’ingénieur avant de se lancer dans la carrière d’un cadre du secteur privé »."
Outre la question du "combien ça va coûter", on peut désormais se demander jusqu'à quand St Cyr, Navale et l'Ecole de l'Air, si elles sont "ouvertes", vont trouver aux yeux de l'Etat un intérêt suffisant pour les garder en activité, puisqu'apparemment leur spécificité militaire n'est plus primordiale. Il suffirait peut-être d'ouvrir dans n'importe quelle fac de France et de Navarre des masters spécialisés, qui permettraient aux élèves ingénieurs de n'importe quelle école de se spécialiser pour devenir officier. Cela coûterait sans doute moins cher au contribuable, et permettrait de supprimer définitivement ces viviers d'esprits un peu trop "engagés", qui font de l'ombre au pouvoir (voir l'enquête diligentée par l'Intérieur au moment des "manifs pour tous", pour connaître le nombre d'enfants d'officiers qui y participaient).
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Exclusif: David Van Hemelryck nous parle du 14 juillet et de la progression de Hollande Démission
Cela fait déjà plusieurs semaines qu’on entend parler d’un 14 juillet agité pour François Hollande alors que sa cote de popularité reste toujours au plus bas. On parle de sifflets sur les Champs-Élysées lors du passage de François Hollande mais personne ne sait ce qui va réellement se passer. Nous avons pu interroger David Van Hemelryck, initiateur de Hollande Démission, qui a accepté de répondre à nos questions et de nous apporter des précisions.
Pour le 14 juillet, David Van Hemelryck « encourage tout le monde à participer » mais il n’y aura aucune consigne : « il n’y a pas de précisions sur le comment. J’ai confiance dans le courage et la créativité des Français. » Ce sera donc d’autant plus dur pour les pouvoirs publics de se préparer. Mais l’après-midi, une manifestation devrait avoir lieu pour agir dans un cadre juridique : « elle aura le nom symbolique de Fête de la Démocratie. On veut dénoncer le caractère oligarchique du pouvoir qui se moque de l’opinion du peuple. » Pour l’heure, il n’y aucun lieu de prévu et on reste au stade de la discussion avec la Préfecture de Police de Paris. Les possibles manifestants peuvent s’informer sur une pageFacebook créée pour l’occasion. David Van Hemelryck veut rassembler : « on invite le plus largement possible de monde à venir à la manifestation. Mais pour le moment, on s’avance seul. On n’a eu aucune proposition des volontaires de nombreux mouvements contestataires traditionnels mais on a un retour de la base. » Toutefois il reste confiant : « on commence à sentir les signes d’une mobilisation. »