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magouille et compagnie - Page 2053

  • Mairie de Paris : interdiction de fumer dans un jardin public, autorisation de se droguer dans des salles subventionnées

    Pour satisfaire aux conclusions impénétrables d’un débat « au sein de sa majorité » (sic) – le genre de discussions qui échappent à toute raison étrangère aux tractations entre Verts, Communistes et Socialistes parisiens – Anne Hidalgo a décidé d’expérimenter l’interdiction de fumer dans un jardin parisien…

    Cette fatwa anti-tabac est naturellement le prélude à une interdiction généralisée, tant il est vrai que le Moloch qui veut votre bonheur malgré vous ne le désire pas à moitié…

     

    Qu’importe si la fumée de cigarette dans un espace public aussi vaste et ouvert qu’un jardin se dilue dans l’atmosphère jusqu’à la rendre anodine à vingt centimètres du fumeur au bout de quelques secondes. L’important est de tout contrôler, n’est-ce pas ?

    Car que croyez-vous que la Mairie de Paris fasse, au moment où elle entreprend d’interdire le tabac dans les lieux publics ouverts ? Elle continue son lobbying pour que la loi soit modifiée et lui permette d’ouvrir une salle de shoot, hautement subventionnée, où les drogués pourront se piquer à l’abri des foudres de la justice et des contrôles de la police.

    Ainsi, la mairie interdit la consommation de tabac mais facilite celle d’héroïne et de cocaïne, allant même jusqu’à prévoir d’engloutir des millions d’euros pour ce faire.

    Sentant bien qu’il y a quelque chose de vicié dans cet air de politique municipale, Anne Hidalgo cherche un deuxième motif, budgétaire cette fois : le coût du ramassage des mégots est prohibitif ! Mais comment l’isoler dans les dépenses d’un service public de nettoyage dont l’impéritie est de plus en plus évidente aux yeux et aux nez des Parisiens, tant les rues de la capitale sont désormais crasseuses ?

    Au même moment, on apprend que celui du chantier des Halles va dépasser le milliard d’euros pour la construction d’un gigantesque bubon à deux pas de Saint Eustache, un ignoble centre commercial dont la particularité sera qu’il est le seul de son genre à être financé par les contribuables. Comme Anne Hidalgo a trempé dans ce ratage monumental, elle ne s’en émeut naturellement pas et préfère s’offusquer des quelques dizaines de milliers d’euros que les mégots infligent au budget de la ville.

    Article intégral : Delanopolis

    http://fr.novopress.info/171888/mairie-paris-interdiction-fumer-jardin-public-autorisation-se-droguer-salles-subventionnees/#more-171888

  • Proverbe socialiste : "A la Sainte Nathalie, les caisses des impôts sont remplies"

    C’est le 27 juillet que les salariés cesseront de travailler pour l’État ! A partir de ce jour de libération fiscale, ils commenceront à travailler pour eux-mêmes. L'impôt confiscatoire, véritable atteinte à la propriété privée, aux droits des travailleurs, et finalement à la liberté, ne cesse de croître.

    Depuis 1974, la dépense publique totale est passée de 39,3% à 56,7%. Entre 2003 et 2013, les dépenses ont augmenté de 58%, le poste le plus élevé étant celui des dépenses sociales, qui avec 660 milliards d’euros ont grimpé de 70%. Les dépenses des collectivités locales sont elles en hausse de 66% à 240 milliards d’euros. Et les prélèvements crèvent le budget des familles et des entreprises.

    Benoîte Taffin, porte-parole de Contribuables Associés, explique la perversité de ce système :

    « En diminuant le pouvoir d’achat des Français, en pesant sur la productivité des entreprises, la dette contribue à détruire des dizaines de milliers d’emplois. Réduire la dépense publique est aujourd’hui une nécessité, une urgence. Le jour de libération des contribuables doit impérativement et rapidement être avancé au mois de juin ».

    La France est le troisième pays le plus dépensier de tout l’OCDE, derrière le Danemark et la Finlande. Les pays qui ponctionnent le moins sont le Canada (27 mai) et la Suisse (2 mai).

    Michel Janva

  • L’UMP n’est plus – par Gabriel Robin

    Ivan Rioufol, éditorialiste de talent, n’hésitait pas à affirmer, ce mercredi, dans une tribune du Figaro, que l’UMP devait disparaître.

    L’homme n’est pourtant pas connu pour ses positions « alternatives », mais tout au contraire pour être un libéral atlantiste à tendance conservatrice soutenant plutôt Nicolas Sarkozy et une version musclée de la « Droite Forte ». C’est dire à quel point, la situation calamiteuse du principal (toujours ?) parti d’opposition préoccupe jusqu’à ses plus fidèles partisans.

    (…)

    Les vrais projets politiques ne semblent en tout cas pas être à l’ordre du jour. L’UMP est un parti moribond sans ligne idéologique clairement définie, dont les chefs sont de vieux légumes usés du paysage politique national. Nul français sensé ne peut croire à un renouveau avec les centristes mous Raffarin et Juppé, ou l’ectoplasmique Luc Chatel.

    Le navire France a pourtant, et plus que jamais, besoin que le souffle de l’histoire vienne secouer à nouveau ses voiles, mais pour cela il faut une vision. Et ces oligarques claniques n’en ont pas car ils ne sont que de tous petits politiciens. Ils ne valent pas mieux que les apparatchiks socialistes au pouvoir. A leurs yeux ce n’est pas la France qui compte, mais ce qu’ils peuvent en tirer pour leurs petits profits personnels.

    (…)

    Alors oui, à la suite d’Ivan Rioufol, j’affirme que l’UMP est « indéfendable », mais je ne peux pas dire qu’elle n’a « d’autre choix que de disparaître », car à mes yeux l’« Union pour des Mensonges Profitables » est d’ores et déjà morte et enterrée. Je n’irai pas pleurer sur sa tombe.

    Pour lire l’article en intégralité

    http://fr.novopress.info/171941/lu-internet-l-ump-nest-gabriel-robin/

  • Mosquée de Poitiers : Arnaud et Damien reviennent sur leur mise en examen

  • 12 milliardaires de plus en France… et le livret A ramené à 1 % !

    La fortune des 500 professionnels les plus riches a progressé de 15 % en un an, atteignant 390 milliards d’euros.   

    Les Français, on le sait, sont nuls en économie. Et quand ils ne le sont pas, ils s’en vont voir ailleurs si les affaires y sont meilleures. Coulés dans le moule post-révolutionnaire, façonnés par une Education nationale et des médias très majoritairement anti-capitalistes – souvent anti-patrons tout court –, ils ont même fini par oublier les bases de ce qui servait autrefois à « une gestion de bon père de famille ».

    Equilibre recettes-dépenses, dette, intérêts, investissements, charge de la dette, inflation, PIB, PNB… tout ça, pour eux, c’est du chinois. Ce que confirmeraient encore cette année les résultats du bac économique, nombre de candidats ignorant eux aussi en ce printemps 2014 le sens des rudiments qu’on vient d’énoncer.

    Du coup, l’information du jour prend une autre valeur… Le magazine Challenges vient de publier son classement annuel des grandes fortunes françaises. On y apprend que notre beau pays compte 67 milliardaires en euros, soit 12 de plus que l’an passé. Cocorico. On est bien content. On se dit aussi que ceux-là n’ont pas dû faire leurs études en France mais sûrement chez nos voisins anglo-saxons. Ou bien qu’ils ont été élevés dans le berceau du grand capital et nourris au lait de la finance qui fait des enfants gâtés (et souvent pourris).

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  • Gaza, ce images que les médias du système ne vous montreront pas

    La nuit dernière, Marwan un jeune Gazaoui, m’a appelé afin de m’informer que l’armé israélienne allait les bombarder dans les heures qui viennent. Nous avons fait une conférence sur skype avec une militante pro-palestinienne et Aisha une amie de Marwan. Nous pouvions ressentir une mélange de peur, de courage et de résignation dans leurs voix. Mais nous étions impuissants. Nous avions beau essayer de les rassurer, mais nous ne savions pas quoi leur dire alors que 2 bombes ont explosées, pendant notre appel, à côté de l’immeuble dans le quel se trouvait Marwan.

    J’ai de nouveau pu parler avec Marwan le jour suivant. Il y avait déjà eu plus de 10 morts dont un membre de sa famille. Marwan avait déjà perdu sa propre maison lors des bombardements de 2012.

    Les Palestiniens subissent depuis près de 70 ans le vol de leur pays, les meurtres et l’humiliation de tous les jours dans indifférence de la dite communauté internationale quand ce n’est pas carrément la avec complicité des dirigeants arabes corrompus et celle ne nos politiciens vendus à cette cause criminelle qu’est le sionisme.

    Voici quelques images que les médias du système sioniste prendrons bien soin de ne pas nous montrer, dans le but de faire passer ça pour un simple incident dans le quel l’agresseur sioniste est, comme toujours, l’innocente victime…

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  • Les Cahiers de Doléances de l’UMP

    Face au désarroi exprimé par nombre de militants et sympathisants, le député UMP des Bouches du Rhône Christian Kert a pris une initiative destinée tout d’abord à favoriser « la parole publique » et dans un second temps à faire remonter à l’équipe dirigeante de l’UMP, le sentiment qui se dégagera de cette consultatio.

    Il a ouvert des cahiers de doléances qu'il rassemblera à la fin de la session parlementaire et dont la synthèse sera débattue lors d’Etats Généraux UMP de la circonscription le 12 septembre afin de transmettre ce manifeste au congrès de Novembre. 

    Il attend les avis des militants jusqu'au 24 juillet.

    Michel Janva

  • La Manif Pour Tous demande au CESE de répondre à la demande de la pétition historique

    Une délégation de La Manif Pour Tous a été reçue ce matin à 8h30 pendant plus d’une heure et demie par Jean-Paul Delevoye, Président du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE). Ce rendez-vous faisait suite à la décision du Tribunal Administratif de Paris reconnaissant l'illégalité du rejet en février 2013 de la pétition historique signée par plus de 700 000 personnes et demandant au CESE de se prononcer sur les conséquences de la loi Taubira.

    Au cours de ce rendez-vous qui s’est déroulé dans un climat d’écoute mutuelle mais sans chaleur excessive, la délégation de La Manif Pour Tous a regretté le traitement politique et le mépris auquel s'est livrée le CESE, 3ème assemblée constitutionnelle de la République, en piétinant la légitime inquiétude des Français sur les conséquences sociales de la loi Taubira. Le Président du CESE avait en effet demandé au Secretaire général du gouvernement quel traitement devait être réservé à la pétition citoyenne.

    Les porte-paroles de La Manif Pour Tous ont demandé une nouvelle fois à Jean-Paul Delevoye de répondre favorablement à leur souhait en lançant sans délai cette saisine. Ludovine de La Rochère explique :

    « Le CESE s'est gravement décrédibilisé. Nombreux sont ceux qui se demandent ce qui justifie encore l’existence de cette institution, plus encore si elle n'écoute pas les citoyens ». « Le CESE a aujourd’hui la possibilité de servir la démocratie en répondant à notre pétition. Quelle que soit sa décision, nous lui avons confirmé les yeux dans les yeux que nous ne lâcherons rien ! Jamais ! »

    Le Président Delevoye a déclaré que le bureau avait décidé de ne pas faire appel du jugement, mais solliciterait en revanche un éclaircissement des conditions de recevabilité des pétitions citoyennes, estimant qu'il y avait ambiguïté du point de vue juridique. La Manif Pour Tous souligne que ni le rapporteur public ni le tribunal n ont évoqué de problème d ambiguïté... La délégation de La Manif Pour Tous a prévenu M. Delevoye qu'un nouveau projet ou proposition de loi dans le domaine sociétal qui poserait problème aux Français ferait l'objet d une nouvelle pétition citoyenne et que le CESE aurait donc l'obligation de s'en saisir. Elle a demandé au Président du CESE de le faire dûment savoir au Président de la république et au Premier ministre. Elle a insisté auprès de M. Delevoye pour qu'un travail et un colloque sur les droits et besoins de l'enfant soient prévu et organisé au CESE.

    A l’issue de ce rendez-vous, Ludovine de La Rochère rappelle que La Manif Pour Tous sera pleinement mobilisée à la rentrée scolaire : une université d'Eté les 13 et 14 septembre à Palavas-les-Flos (34) et une grande mobilisation dans la rue le week-end des 4 et 5 octobre. 

    Michel Janva

  • Mieux vaut vandaliser une église que déranger un match de tennis…

    1500 euros d’amende. En langage courant c’est l’équivalent d’une incitation à recommencer. 1500 euros pour se payer du catho, l’aubaine.

    Vandaliser une église coûte donc la modique somme de 1500 euros.

    1500 euros d’amende requis contre les Femen pour leur « action » à Notre-Dame. Une action d’une vulgarité et d’une violence – au moins symbolique – insupportables, comme d’habitude. Des furies hystériques dévêtues pour laisser apparaître les « armes » que sont leurs poitrines, maculées d’insultes envers le pape et l’Eglise, tapant sur une cloche flambant neuve, au cœur de la cathédrale de Paris…

    1500 euros d’amende. En langage courant c’est l’équivalent d’une incitation à recommencer et une forme d’encouragement, même involontaire, pour tous les assimilés antifas qui seraient tentés de les imiter. 1500 euros pour se payer du catho, l’aubaine.

    Le juge appréciera les faits, et décidera en conséquence.

    Les Femen étaient poursuivies pour « dégradation » après avoir frappé la cloche, le seul motif retenu, puisque l’accusation de « provocation à la haine » ne se justifie désormais que lorsque l’on s’attaque à tout ce qui est étranger à la France. En témoigne la récente condamnation de Riposte Laïque à près de 20.000 euros d’amende pour avoir comparé, sur leur site, les musulmans à des envahisseurs… En attendant, du côté des actes, ce sont bien les cathos qui prennent sans que personne ne s’en soucie ni ne condamne.

    Dégradation d’accord, mais pas seulement.

    Charlotte d’Ornellas

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Mieux-vaut-vandaliser-une-eglise

  • UMP : Urgence pour un Mouvement en Perdition… (Présent N° 8142)

    Finalement, selon les experts comptables qui ont passé au scanner les mauvais comptes de l’UMP, la dette de cette dernière ne serait pas de 80 millions, comme l’information en avait couru le week-end dernier, mais seulement, si l’on peut dire, de 74,5 millions d’euros au 30 juin, contre 78,5 millions d’euros le 31 décembre dernier. Une dette colossale donc, quasiment insurmontable, mais en léger mieux. Le fossoyeur Copé ne faisait pas que de creuser des trous vertigineux. Il s’efforçait aussi de les réduire. Un minimum. Tels sont les chiffre publiés mardi (8/7) en fin d’après-midi par les responsables de l’audit commandé par la nouvelle direction.

    74,5 millions d’euros, mais tout va bien, Mme la marquise, puisque l’UMP a obtenu « un sursis des créanciers (…) avec un rééchelonnement de la durée du remboursement du prêt pour l’acquisition du siège ». Un souci cependant : les cotisations des adhérents ne rentrent plus. Bah ! Celles-ci comptent aujourd’hui si peu dans le financement d’un parti…L’UMP évite la banqueroute, mais pas le serrage de ceinture. « Comment en sommes-nous arrivés là ? » s’interrogent les chapeaux à plumes. En jetant l’argent par les fenêtres, pardi ! Et en vivant grassement, avec salaires mirobolants, au frais de la princesse. Rachida Dati, par exemple, entre autres peccadilles tout aussi onéreuses, se faisait rembourser annuellement 10 000 euros pour ses deux téléphones. Rachida bouche d’or… Ces gens nous rabâchent volontiers la devise américaine : « Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi. Mais ce que tu peux faire pour pays ». Eux, en revanche, pensent, dans les faits, plus à se servir qu’à servir… C’est à vomir !

     

    UMP : Urgence pour un Mouvement en Perdition… (Présent N° 8142)L’UMP en sursis mais exsangue s’inquiète pour le financement de ses prochaines campagnes électorales. « Notre parti va se trouver dans une situation où le remboursement de la dette, l’apurement des comptes, va affaiblir considérablement son activité politique », avertit François Fillon. Après le veau d’or le temps des vaches maigres…

    Question : pourquoi Nicolas Sarkozy s’entête donc à vouloir prendre d’assaut un parti en si piteux état, déjà à demi englouti ? Pour le renflouer, ou le radouber, en multipliant les sarkothons ? Plus quelques meetings chantants de Carla Bruni, où celle-ci interpréterait sur scène le fameux Money money ? A moins de considérer que, comme l’écrivait un éditorialiste, « il serait moral qu’il gère lui-même, pour se racheter, comme dans le cadre de travaux d’intérêt général, l’héritage de Copé, qu’il a tant soutenu en sous-main ». Et tant contribué à dilapider…

    La joaillerie judiciaire de Sarko

    Ah ! Sarkozy… Parlons-en ! Une fois de plus, direz-vous. Affaire Kadhafi au parfum de supposés pétro-dollars, arbitrage Tapie peut-être pipé , financements litigieux de sa dernière campagne électorale, « Buissonneux » sondages élyséens, trois mises en examen, dont une pour « corruption active », une garde à vue de 16 heures… Et maintenant cette enquête judiciaire, concernant le paiement par l’UMP des pénalités infligées au président candidat de 2012. Enquête ouverte pour « abus de confiance », « complicité » et « recel » de ce délit, « au préjudice d’un parti largement endetté ».

    Si toutes ces affaires judiciaires étaient des bijoux, des « bijoux sonores »comme dans Les Fleurs du mal, là encore Nicolas Sarkozy serait, Berlusconi mis à part, le plus bling-bling des anciens présidents. « Ses mains pleines de bijoux ressembleraient à des écrins ». Sans allusion bien sûr aux « bracelets » que des policiers pourraient lui passer un jour autour des pognes s’il n’était pas protégé par son statut d’ancien chef de l’Etat.

    Que certains magistrats, idéologiquement très engagés à gauche, s’acharnent contre lui, ne fait guère de doute. Mais il faut bien reconnaître que Sarkozy, avec ses comportements voyous, leur facilite grandement la tâche. Quant à ses amis, du couple Balkany à son avocat, Me Thierry Herzog, en passant par son ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant, sans parler de ceux qui se font prendre avec des valises remplies de grosses coupures à la provenance douteuse, où de son actuel conseiller politique, Alain Carignon, ex-maire RPR de Grenoble emprisonné pour corruption, tous ont une fâcheuse tendance à se retrouver devant les tribunaux. Et toujours pour des histoires pas très reluisantes de gros sous.

    S’il faut en croire le vieux proverbe français : Dis-moi qui tu fréquentes je te dirais qui tu es, on peut nourrir quelques doutes sur la moralité de Nicolas Sarkozy. Des doutes qui assaillent d’ailleurs en ce moment un nombre croissant de ses anciens électeurs. Quant aux cadres du mouvement, ils sont aujourd’hui, pour ces mêmes raisons, majoritairement opposés au retour de l’ancien président dans le champ politique. Et ils n’hésitent plus à le faire savoir. En fait de proverbe, celui qui, en ce moment, conviendrait le mieux à l’UMP, devenue un nid de vipères, ce serait plutôt : dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu hais…

    Dans la nasse

    « Christian Jacob dans la nasse de l’affaire Bygmalion », titrait un quotidien le 24 juin dernier. Certes. Mais plus encore Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, le sarkozyste Eric Césarie et quelques autres poissons de plus petite taille. Toute l’ancienne direction sarkopéiste de l’UMP se retrouve dans la nasse. Et puis surtout, dans la nasse de Bygmalion, mais frétillant aussi dans d’autres filets, Nicolas Sarkozy lui-même. Nasse de masse : ils sont tous dans le goulet. En ce jeudi 10 juillet, L’UMP c’est un peu l’équipe de football brésilienne dans la coupe du monde 2014 : L’humiliation et la honte. Plus la panade…

    Jean Cochet

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