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magouille et compagnie - Page 2053

  • La dérive de l'UE, programmée dès ses débuts

    Jean-Marie Le Pen déclare dans Présent :

    "Or je suis un adversaire résolu de l’Union européenne et ceci depuis longtemps. En 1957 j’ai voté contre le marché commun, contre le Traité de Rome. Non pas que le Traité de Rome soit apparemment agressif, il pouvait même apparaître comme une espèce d’avantage économique et commercial. Mais je me suis donné la peine de lire les livres de M. Coudenhove-Kalergi, président du mouvement PanEuropéen, et de M. Monnet. La démarche était clairement décrite : ce traité est la première marche qui doit conduire aux Etats-Unis d’Europe, à l’instar des Etats-Unis d’Amérique. Je considérais que cette opinion était non seulement stupide mais criminelle. Qu’il n’y avait rien de commun entre l’Espagne et la Floride, entre la Californie et l’Allemagne ou entre la France et le Connecticut, bien sûr.

    Par conséquent, j’ai été méfiant dès le début. En espérant toujours qu’il serait peut-être possible de construire une Europe des nations. C’est-à-dire une coordination de nations souveraines mais ayant entre elles des relations étroites qui permettraient des réalisations comme nous les avons faites pour Airbus ou pour Ariane, dans lesquelles l’Union européenne n’a strictement rien à voir. Progressivement j’ai vu s’élaborer avec mes collègues une structure bureaucratique de plus en plus lourde, de plus en plus coûteuse, une espèce de diplodocus politique avec une petite tête et un énorme derrière, d’une inefficacité totale. Tout à fait incapable de défendre des frontières mais en même temps nous interdisant d’en avoir. Et privant progressivement la France des éléments de sa souveraineté."

    A propos du grand mouvement de réaction, il déclare aussi :

    "ce grand courant d’ailleurs étonnant, inopiné [...] témoigne de l’extraordinaire capacité de réaction des Français. C’était presque inespéré. En y réfléchissant j’avais été frappé l’année précédente par l’intensité du flot de jeunes qui marchaient vers les JMJ. Il y avait là un phénomène étonnant dans ce monde complètement décérébré : ces jeunes qui allaient ensemble dans la même direction spirituelle. C’était je crois, l’ossature et les prémices de ce qu’allaient être les réactions massives, par centaines de milliers et plusieurs fois de suite, de la Manif pour tous. Je parlais tout à l’heure de ces faits qui, dans l’histoire de la France, ont témoigné de sa capacité de sursaut. Je pense que cette manifestation-là est une raison d’espérer.

    Michel Janva

  • Garde à vue : comme Félicie, Balkany aussi !

    Le pékin moyen est évidemment en droit de se demander comment un tel couple de Thénardier a bien pu faire pour être réélu malgré d’innombrables mises en examen.   

    Félicie aussi. Ainsi, dans cette chanson, le regretté Fernandel chantait ceci : « J’trouvai la chambre ordinaire. Elle était pleine de poussière. Félicie aussi. Je m’lavai les mains bien vite. L’lavabo avait une fuite. Félicie aussi. Sous l’armoire y avait une cale. Car elle était toute bancale. Félice aussi. Y avait un fauteuil en plus. Mais il était rempli d’puces. Félicie aussi. Et des draps de toiles molles. Me chatouillaient les guiboles. » Et nous de paraphraser : « Balkany aussi ! »

    Bon, là, c’est encore autre chose. Une garde à vue pour Isabelle Balkany, première adjointe à la mairie de Levallois-Perret, dont son époux de maire, lui, fort de son immunité parlementaire, a été, pour le moment, dispensé de ces formalités humiliantes : mais soyons persuadés qu’en honnête citoyen, il fait confiance à la justice de son pays.

    À en croire Le Figaro du 22 mai dernier, « saisis du dossier depuis fin 2013, les juges Renaud Van Ruymbeke et Patricia Simon cherchent à déterminer si le couple Balkany a tenté de cacher une partie de son patrimoine au fisc. Les enquêteurs de l’office anticorruption (OCLCIFF) de la police judiciaire s’intéressent notamment à deux luxueuses villas, à Saint-Martin aux Antilles et à Marrakech au Maroc. Ils se demandent si Isabelle et Patrick Balkany n’en sont pas les véritables propriétaires, dissimulés derrière des sociétés écrans et des comptes bancaires dans des paradis fiscaux. » Voilà pour planter le décor.

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  • Cristeros : Allociné supprime les critiques

    Allociné vient de supprimer tous les commentaires et publie ce texte :

    "Bonjour à tous,

    Depuis la sortie du film 'Cristeros', nous avons enregistré un afflux inhabituel et massif de nouveaux comptes, créés dans le seul but d'influer positivement ('bombing') ou négativement ('bashing') sur la note du film.

    Dans la mesure où il ne s'agit pas d'une utilisation habituelle de ce service et conformément à nos conditions générales d’utilisation,AlloCiné se voit dans l’obligation de supprimer l'accès à toute interaction sur la fiche du film et pages associées et de désactiver l’historique des contributions. Les informations, séances, news et bandes-annonce restent bien évidemment accessibles."

    Comme le suggère Fikmonskov, toute ressemblance avec notre démocratie est purement fortuit :

    "C’est beau la démocratie : on offre aux gens la possibilité de voter, puis quand ils votent mal on la leur enlève après avoir changé le résultat. Non, je ne parle pas (que) de l’Union européenne"

    Michel Janva

  • Après le porc à la cantine et le petit Jésus à Noël, virons la fête des Mères !

    La République, notre mère à tous, est bien embêtée.   

    Encore un drame ! C’est sûr, avec l’arrivée dimanche de la fête des Mères, il va y avoir besoin de soutien psychologique…

    Les psys nous le disent et nous le répètent : on ne saurait confondre géniteur et parent. Papa et maman sont ceux qui nous nourrissent, nous éduquent (en principe), nous nettoient les fesses quand on s’est gavé de pruneaux, nous balancent une taloche quand ils sont excédés, font un câlin quand on a le cœur gros… Bref, ceux qui nous élèvent. Au quotidien. D’accord, autrefois c’était simple : parents et géniteurs se confondaient. Sauf à de rares exceptions – la sauvagerie de la guerre, par exemple, ou la dure mortalité des femmes en couche –, on ne connaissait pas les affres de la séparation. Aujourd’hui, il en va autrement et la République, notre mère à tous, est bien embêtée : soucieuse, au nom de l’égalité, d’envoyer les petits enfants souhaiter une bonne fête à toutes leurs mamans, elle va bientôt, pour cette même raison, ne plus pouvoir en fêter aucune : il y en a trop. C’est bête, hein ?

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  • Trahison européiste : une belle intervention

    de Nicolas Dupont-Aignan à l'Assemblée nationale (quasi vide!) ce jeudi 22 mai 2014.

    Quelques noms de traitres français y sont rappelés, chose utile pour ce dimanche !


    Traité transatlantique : Intervention de N... par dlrtv 

    Paula Corbulon

  • Ce qu'on sait des soupçons de détournements de fonds par les sénateurs UMP

    Panique dans les couloirs très feutrés du Sénat. Le Parisien a révélé, mardi 20 mai, l'ouverture par le parquet de Paris d'une information judiciaire pour des faits de « détournements de fonds publics », « abus de confiance » et « blanchiment », opérés au profit de plusieurs sénateurs UMP. Le montant total de ces opérations frauduleuses atteindrait près de 400 000 euros en deux ans. 

    Pourquoi une information judiciaire ? 

    Selon Le Parisien, l'ouverture de cette information judiciaire fait suite à une enquête préliminaire de plusieurs mois, menée par des policiers de la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA). La BRDA avait elle-même été chargée d'enquêter après un signalement de la cellule antiblanchiment Tracfin. 

    Dans cette affaire, deux associations de loi 1901 posent problème : d'un côté l'Union républicaine du Sénat (URS), de l'autre le Cercle de réflexion et d'études sur les problèmes internationaux (Crespi). Selon les premières investigations, l'URS – dont le siège est situé à Saint-Valérien (Yonne) – a perçu des fonds de la part du groupe UMP du Sénat. 

    Ces fonds – versés directement en chèques et en liquide par la questure de la chambre haute, qui gère le budget du Sénat – ont ensuite été reversés sur les comptes de l'URS, puis aux membres de l'association, majoritairement fréquentée par des élus UMP anciens membres de l'UDF, croit savoir Le Figaro. « Entre les mois de décembre 2009 et mars 2012, l'URS a édité plusieurs chèques à destination d'une trentaine des 130 représentants UMP au Sénat pour un montant avoisinant les 210 000 euros (...). Les comptes de l'Union républicaine du Sénat ont aussi été débités de près de 113 000 euros en espèces », écrit Le Parisien. 

    Dans un second temps, le service Tracfin a suivi l'argent et repéré dès 2012 « des flux financiers suspects entre les comptes de l'URS et ceux du Crespi ». « Un virement de 70 000 euros a été effectué par l'URS au profit du Crespi. Par la suite, près de 60 000 euros ont encore été retirés, toujours en espèces, des comptes du Crespi. » 

    Au total, il s'agit donc de près de 400 000 euros qui pourraient avoir circulé en toute illégalité depuis la questure du Sénat vers les poches de certains élus UMP. Selon Le Parisien, ces fonds détournés étaient notamment destinés à rembourser les frais de relations publiques d'une trentaine de sénateurs UMP membres de l'URS, liés à de précédentes élections. 

    Comment se défend l'UMP ? 

    Quelques heures après la divulgation de ces informations, le groupe UMP au Sénat a publié un communiqué dans lequel il «dément formellement tout détournement de fonds publics» en précisant qu'il se tenait «naturellement à la disposition de la justice afin de fournir toutes informations nécessaires et utiles à la poursuite de l'enquête». 

    Les enquêteurs de la BRDA ont établi que plusieurs chèques débités sur les comptes de l'URS avaient été émis sur consigne du sénateur de Haute-Savoie et trésorier du groupe UMP, Jean-Claude Carle – seul sénateur nommément visé dans l'enquête. Ce dernier aurait également signé plusieurs de ces chèques de manière frauduleuse puisqu'il n'avait pas de délégation de signature. Auditionné librement par les enquêteurs au mois de septembre, le sénateur aurait reconnu avoir paraphé une quarantaine de chèques, « pensant détenir une délégation de signature » en tant que trésorier du groupe UMP, et nié « avoir perçu des espèces », selon Le Parisien. 

    L'ancien ministre et sénateur UMP Henri de Raincourt, qui fut le maire jusqu'en 2011 de la ville de Saint-Valérien, où est enregistré le siège de l'URS, a pour sa part affirmé à Public Sénat qu'il n'y avait « rien d'anormal » dans cette pratique. Selon l'élu, « l'argent provient des crédits servant à rémunérer les assistants parlementaires. » 

    D'après Henri de Raincourt, « les sommes non utilisées sont renvoyées au groupe qui les distribue aux sénateurs au prorata du poids des anciennes familles qui composent l'UMP ». Le sénateur UMP défend ainsi la légalité de cette pratique, affirmant que la Constitution prévoit que les groupes politiques s'administrent librement, et qu'ils peuvent « à loisir accorder une subvention à une association composée par des sénateurs ». 

    Des zones de flou qui posent problème 

    Si les fonds perçus par les sénateurs UMP sont effectivement issus « des crédits servant à rémunérer les assistants parlementaires » comme l'affirme Henri de Raincourt, cela pose tout de même problème. Dans les faits, la gestion de ces crédits est assurée par l'AGAS, l'Association de gestion des assistants de sénateurs, avec des grilles salariales fixes. Les sénateurs peuvent ainsi, depuis 1976, utiliser les services de collaborateurs et disposent à cet effet d'un crédit mensuel de 7 548,10 euros pour la rémunération brute de base de leur équipe qui peut comprendre un maximum de cinq salariés. Dans les faits, si des sommes aussi importantes que les mouvements repérés par Tracfin n'avaient pas été utilisées, l'AGAS aurait dû réagir. 

    D'autant plus que cette hypothèse est minée par des sénateurs UMP eux-mêmes. Interrogé par Public Sénat sur l'affaire, Gérard Longuet – qui a succédé à Henri de Raincourt à la présidence du groupe UMP du Sénat de 2009 à 2011 – affirme que cette manière d'utiliser les crédits servant à rémunérer les assistants parlementaires n'a « plus court ». Reconnaissant que cette pratique a été utilisée, Gérard Longuet affirme que « la plupart des sénateurs aujourd'hui, compte tenu de la charge de travail, consomment la totalité de leur crédit de personnel ». 

    Enfin, une dernière question reste en suspens. Car si l'UMP dément toute pratique frauduleuse, pourquoi les deux associations de l'URS et du Crespi auraient-elles été créées et utilisées pour faire transiter ces fonds ? Si les transactions étaient légales, le groupe UMP aurait en effet pu reverser directement aux sénateurs l'argent utilisé.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/ce-quon-sait-des-soupcons-de.html

  • L’incroyable dérive financière de la mairie de Paris

    Au fil des ans, Bertrand Delanoë est parvenu à se ciseler une réputation de gestionnaire avisé. Pourtant, derrière la façade, les gaspillages s’amoncellent.
    A Paris, les emplois fictifs sont un peu comme les bateaux-mouches : ils font partie du paysage. Lorsqu’il régnait sur l’Hôtel de Ville, on le sait, Jacques Chirac y appointait discrètement 21 camarades, qui travaillaient en réalité pour le RPR – il vient d’ailleurs de rembourser (avec l’UMP) 2,2 millions d’euros à la mairie, ce qui est la moindre des choses. Eh bien, selon nos informations, Bertrand Delanoë fait mieux encore.

  • Comment SOS Racisme a censuré Laurent Obertone à Grenoble

    GRENOBLE (NOVOpress) - Laurent Obertone révèle les dessous de l’annulation de sa signature de livres à Grenoble, l’an dernier en 2013. Derrière cette censure scandaleuse, 7 autres annulations pour des motifs identiques. Cette vidéo est digne d’une anthologie des méthodes de SOS Racisme.

    Lurent Obertone s’est particulièrement fait connaitre par son livre La France Orange mécanique montrant que la société française évolue vers un climat de violence accrue en particulier du fait  « du laxisme judiciaire et de l’immigration massive ». Ce livre a été un succès de librairie mais à fait grincer des dents aux “bien-pensants”.

    http://fr.novopress.info/167305/comment-sos-racisme-censure-laurent-obertone-grenoble/

  • Ce que Sarkozy n’a pas fait hier, pourquoi le ferait-il demain ?

    Il a perdu et a été sanctionné sur toute la ligne en 2012 car les Français ont été déçus par l’homme et ce qu’il a incarné en tant que président de la République.   

    Jeudi 22 mai 2014, le sauveur, « l’héritier du Général », s’est décidé à s’adresser aux Français dans le très centriste magazine Le Point. Depuis son hôtel particulier, il nous a rédigé une missive : « La France et l’Europe sont indissociables géographiquement, historiquement, culturellement et maintenant politiquement. » Il a raison pour ce qui concerne les trois premiers adjectifs ; quant au quatrième, rien n’est plus faux. L’Union européenne attaque la possibilité même d’une Europe politique et la crise ukrainienne a pu démontrer l’impuissance terrible de l’Ouest européen à agir d’une même voix et avec force.

    Dire, comme il le fait dans la suite de l’article, que si l’Union européenne venait à disparaître, les « haines séculaires […] ressurgiraient avec une violence décuplée », est une fausseté, car c’est la paix qui a permis l’émergence de l’Union européenne.

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