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magouille et compagnie - Page 2054

  • Une bonne nouvelle : Fillon laisse entendre que l’UMP pourrait ne pas survivre à l’affaire Bygmalion

    LE SCAN - « Il y a une famille politique qui préexistait à l’UMP, et qui continuera de s’exprimer », a déclaré l’ancien premier ministre. Il souhaite construire « un projet de rupture » qui« n’est aujourd’hui porté par personne ». 

    Invité jeudi matin sur iTélé par Bruce Toussaint à choisir une chanson de Charles Aznavour reflétant son état d’esprit à l’occasion des 90 ans du chanteur, François Fillon désigne sans hésiter Non, je n’ai rien oublié .

    Effectivement, l’ancien concurrent de Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP semble nourrir un vif ressentiment contre le maire de Meaux. Il estime avoir anticipé les dérives révélées par l’affaire Bygmalion : « Cela correspond à des inquiétudes et des craintes que j’avais moi-même formulées. C’est désormais devant la justice. J’espère que la justice va faire son travail pour que notre famille politique retrouve sa sérénité ». [...]

    La suite sur Le Figaro

     
  • Où va l’argent ? Sommes nous sérieux sur la question du financement de l’action ?

    Il est des budgets dont personne ne parle même quand on cherche 50 milliards d’euros d’économie. La réforme Peillon a créé 6000 nouveaux postes de permanents de l’Education nationale pour lutter contre les stéréotypes et promouvoir l’égalité homme femme (en fait pour promouvoir le genre qui n’existe pas…). Est-ce remis en cause ?  Depuis Malraux, le gauchisme culturel est financé par 36 000 budgets (un par commune) ; le planning familial est animé par 1500 permanents subventionnés par le budget de la santé ; le lobby LGBTdispose de 50% des ressources mobilisées au nom de la lutte contre le SIDA ; un parti politique peut mobiliser 10 millions d’euros en un mois pour combler le trou d’une campagne perdue… Voici quelques exemples parmi d’autres qui sont la preuve que le prétendu sens de l’histoire a les moyens en hommes et en argent pendant que la promotion de la civilisation de l’amour n’a pas de ressource… pour agir à « contre-courant ». Sommes-nous sérieux ? Jean Oussetdans la troisième partie de son livre l’Action au chapitre 1 : La doctrine et l'argent met en lumière l’incohérence habituelle hélas de ceux qui auraient les moyens de donner l’argent pour la formation et le combat culturel mais qui n’y voient pas un vrai « service public » indispensable :

    « L’argent, comme la doctrine, surpasse la plupart des autres moyens par l’ampleur de ses possibilités… Il permet non seulement de procurer l’outil indispensable à l’ouvrier, maisd’entretenir l’ouvrier lui-même. Il peut, certes, servir au meilleur et au pire… La pauvreté est notre lot. Vérité dont un sens élémentaire de l’action exige de tenir compte… Les œuvres aimées de Dieu sont pauvres car Sa puissance éclate mieux quand elle triomphe malgré l’indigence des moyens matériels… L’argent trop facile amollit, pousse au relâchement… Une certaine pauvreté … tient en éveil, rend ingénieux, trempe les âmes, durcit les énergies.

    Reste qu’ « il faut ce qu’il faut », et que les militants d’une cause pauvre n’ont pas moins le devoir d’étudier ce qui est susceptible de procurer les moyens indispensables.

    Il est inadmissible qu’un si grand nombre de chrétiens, attachés pourtant à la doctrine sociale de l’Eglise, trouve normal que le combat qu’elle implique continue à se livrer avec des moyens grossièrement insuffisants. Cela prouve que l’attachement de ces gens pour la vérité est platonique, nullement vivant, sans résolution pratique. Individus qui souhaitent de tout cœur le triomphe de la « bonne doctrine »... à condition que les exigences de ce triomphe soient assumées par d’autres.

    Et l’on voudrait que Dieu accorde la victoire à une cause dont les prétendus fidèles ne font qu’applaudir aux efforts d’une poignée de lutteurs qui restent seuls à supporter les peines et les sacrifices du combat !

    Est-il donc sage, est-il réaliste … de crier à la « folie des grandeurs » quand, pour le plus élémentaire des combats anti-subversifs, on sollicite l’argent indispensable à l’entretien de quelque dix ou quinze équipiers à temps plein ? …

    Nous ne devons compter sur aucun appui auxiliaire quasi gratuit … si le combat pour un ordre social chrétien jouit des encouragements d’un assez grand nombre de clercs, religieux ou religieuses, ces encouragements ne prennent jamais une forme pratique… Nous ne pouvons avoir recours qu’à des bénévoles laïcs surchargés déjà de soucis professionnels ou familiaux.D’où une insuffisance, une irrégularité de rendement, un caractère d’amateurisme lamentable. Indemnités symboliques, salaires dérisoires, articles non payés… pendant que les troupes régulières [de l’esprit du monde], et ses « cinquièmes colonnes » travaillent à plein, bénéficiant de toutes les ressources professionnelles et techniques, nous nous débattons dans les difficultés matérielles.

    Raison de plus pour penser le problème argent avec la plus grande rigueur.

    Puisqu’on ne peut s’en passer, nécessité de s’appliquer à trouver ce qu’il faut, honnêtement, pour mieux agir. Nécessité de penser à son meilleur emploi, sans gaspillage, cherchant à faire rendre cent pour un le peu qu’on arrive à se procurer.

    Nécessité de régler le dispositif en fonction de l’argent qu’il est sage d’espérer trouver… Pas de sens de l’action politique et sociale sans un sens suffisant des possibilités financières des formules envisagées… Chacune ayant son régime, sa psychologie financière propre… Il est, des œuvres condamnées, au moins pour un temps, à la pauvreté parce qu’elles ne ressemblent à aucune autre et proposent des méthodes de travail dont le plus grand nombre n’a jamais entendu parler.

    A trop attendre des générosités salvatrices on risque de cruelles désillusions. Dans l’état d’esprit de ceux qu’il faut appeler « riches », peu d’espoirs sont permis… Contre toute sagesse, l’action la plus salvatrice au temporel a cessé d’apparaître aux yeux de ceux-là mêmes qui la regardent avec faveur, comme un « service public ». A suivre… »

    Lire et télécharger dans son intégralité le chapitre 1 : La doctrine et l'argentdans l’Action de Jean Ousset. Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Le Salon Beige

  • Le député Marc Le Fur s’interroge sur le silence qui a entouré l’agression de Laurence Rossignol par des militants LGBT

    Médias Presse Info vous avait signalé l’agression du secrétaire d’Etat Laurence Rossignol par des militants LGBT la semaine dernière.

    Hier, lors de  la discussion de la proposition de loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant, le député Marc Le Fur (UMP) s’est adressé à Laurence Rossignol à ce sujet.  «Je voudrais, à la suite de l’agression dont vous avez été victime voilà quelque temps de la part du réseau LGBT, vous exprimer ma solidarité et mon soutien».

    «Cette agression était d’autant plus surprenante qu’elle était déplacée et vulgaire. Ce soutien s’adresse donc tant à votre personne qu’à la fonction que vous exercez. Ce qui m’étonne, madame la secrétaire d’État, c’est de ne pas avoir entendu d’expression de solidarité de la part de beaucoup de membres du gouvernement, non plus que du Premier ministre, qui fut pourtant un ministre de l’Intérieur particulièrement répressif

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  • Le député Marc Le Fur s’interroge sur le silence qui a entouré l’agression de Laurence Rossignol par des militants LGBT

    Médias Presse Info vous avait signalé l’agression du secrétaire d’Etat Laurence Rossignol par des militants LGBT la semaine dernière.

    Hier, lors de  la discussion de la proposition de loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant, le député Marc Le Fur (UMP) s’est adressé à Laurence Rossignol à ce sujet.  «Je voudrais, à la suite de l’agression dont vous avez été victime voilà quelque temps de la part du réseau LGBT, vous exprimer ma solidarité et mon soutien».

    «Cette agression était d’autant plus surprenante qu’elle était déplacée et vulgaire. Ce soutien s’adresse donc tant à votre personne qu’à la fonction que vous exercez. Ce qui m’étonne, madame la secrétaire d’État, c’est de ne pas avoir entendu d’expression de solidarité de la part de beaucoup de membres du gouvernement, non plus que du Premier ministre, qui fut pourtant un ministre de l’Intérieur particulièrement répressif

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  • Affaire Karachi : L’argent, le sang et la démocratie

    Le 8 mai 2002, à Karachi, au Pakistan, un attentat tue onze employés des constructions navales de Cherbourg. En 2012, dix ans après les faits, l’enquête va faire surgir une seconde affaire : un éventuel financement illicite lors de la campagne présidentielle d’Édouard Balladur en 1995.

    Quatre contrats d’armement avec l’Arabie Saoudite et le Pakistan auraient servi à financer celle-ci, moyennant le versement de commissions dont les bénéficiaires auraient rétrocédé un pourcentage au staff de Balladur. Le non-versement d’une partie des sommes après le départ de ce gouvernement en 1995 aurait provoqué l’attentat de Karachi.

    Réalisé par Jean-Christophe Klotz et Fabrice Arfi (France 2013)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Sarkozy critique l'UE qu'il a construite avec le Traité de Lisbonne

    Nicolas Sarkozy, qui a violé le "non" du peuple français au traité constitutionnel européen, arrive dans la campagne sur les élections européennes, tel un chien dans un jeu de quilles, face à une UMP qui ne sait pas quoi penser de l'UE, tiraillée entre l'européiste Lamassoure et le souverainiste Guaino. Valeurs Actuelles révèle la stratégie de l'ancien président, qui aurait déclaré :

    « Peu importe ce que dit l’UMP sur l’Europe. La question n’est pas de savoir s’il faut plus d’Europe ou moins d’Europe, la question est de savoir quelle Europe nous voulons. Quand j’ai présidé l’Union européenne, en 2008, les Français n’étaient pas « eurosceptiques ». Aujourd’hui la question est de savoir quelle Europe leur proposer. » [...]

    « Il faut continuer dans la veine de ma campagne de 2012. Vous vous souvenez du discours de Villepinte ? (le discours de Villepinte, prononcé le 11 mars 2012, au début de sa campagne présidentielle, promettait que la France pourrait remettre en cause les accords de Schengen si l’Union européenne ne luttait pas efficacement contre l’immigration clandestine, NDLR). C’était un magnifique discours. Tout y était. Aujourd’hui, il faut proposer une autre Europe aux Français. Sur l’immigration, ce n’est plus possible. » C’est là la déclinaison du thème du « périmètre » de l’Union européenne, sur lequel Sarkozy n’hésite pas à se montrer critique. [...]

    La question du leadership, aussi, inquiète l’ex chef de l’Etat, accusant ceux qui refusent le leadership en Europe (comprendre François Hollande) d’avoir « peur d’assumer leur responsabilités ». Même charge contre cette Europe qui détient « trop de compétences »incapable de se faire adopter par les citoyens de l’Union européenne. Son credo : plus d’ « intégration monétaire » dans la zone Euro, qu’il se félicite encore d’avoir sauvée en 2008, et moins d’intégration dans le périmètre de la zone de libre circulation qui comprend les 28 pays membres.

    [...] « Quand je reviendrai, je reviendrai avec un discours sans ambiguïté sur le sujet. Je reviendrai en proposant un Schengen 2, sans les défauts de la zone de libre circulation, plus efficace en termes de lutte contre l’immigration clandestine. Vous verrez, quand je proposerai ça, Marine Le Pen dégonflera instantanément. »"

    Belles promesses. A ceci près que pour réaliser ce programme, il est nécessaire de remettre en cause le Traité de Lisbonne, que Nicolas Sarkozy a fait adopter de force.

    Michel Janva

  • Sarkozy critique l'UE qu'il a construite avec le Traité de Lisbonne

    Nicolas Sarkozy, qui a violé le "non" du peuple français au traité constitutionnel européen, arrive dans la campagne sur les élections européennes, tel un chien dans un jeu de quilles, face à une UMP qui ne sait pas quoi penser de l'UE, tiraillée entre l'européiste Lamassoure et le souverainiste Guaino. Valeurs Actuelles révèle la stratégie de l'ancien président, qui aurait déclaré :

    « Peu importe ce que dit l’UMP sur l’Europe. La question n’est pas de savoir s’il faut plus d’Europe ou moins d’Europe, la question est de savoir quelle Europe nous voulons. Quand j’ai présidé l’Union européenne, en 2008, les Français n’étaient pas « eurosceptiques ». Aujourd’hui la question est de savoir quelle Europe leur proposer. » [...]

    « Il faut continuer dans la veine de ma campagne de 2012. Vous vous souvenez du discours de Villepinte ? (le discours de Villepinte, prononcé le 11 mars 2012, au début de sa campagne présidentielle, promettait que la France pourrait remettre en cause les accords de Schengen si l’Union européenne ne luttait pas efficacement contre l’immigration clandestine, NDLR). C’était un magnifique discours. Tout y était. Aujourd’hui, il faut proposer une autre Europe aux Français. Sur l’immigration, ce n’est plus possible. » C’est là la déclinaison du thème du « périmètre » de l’Union européenne, sur lequel Sarkozy n’hésite pas à se montrer critique. [...]

    La question du leadership, aussi, inquiète l’ex chef de l’Etat, accusant ceux qui refusent le leadership en Europe (comprendre François Hollande) d’avoir « peur d’assumer leur responsabilités ». Même charge contre cette Europe qui détient « trop de compétences »incapable de se faire adopter par les citoyens de l’Union européenne. Son credo : plus d’ « intégration monétaire » dans la zone Euro, qu’il se félicite encore d’avoir sauvée en 2008, et moins d’intégration dans le périmètre de la zone de libre circulation qui comprend les 28 pays membres.

    [...] « Quand je reviendrai, je reviendrai avec un discours sans ambiguïté sur le sujet. Je reviendrai en proposant un Schengen 2, sans les défauts de la zone de libre circulation, plus efficace en termes de lutte contre l’immigration clandestine. Vous verrez, quand je proposerai ça, Marine Le Pen dégonflera instantanément. »"

    Belles promesses. A ceci près que pour réaliser ce programme, il est nécessaire de remettre en cause le Traité de Lisbonne, que Nicolas Sarkozy a fait adopter de force.

    Michel Janva

  • Le PS et l’Europe sociale : 35 ans d’une promesse non tenue

    La récente tribune de François Hollande,« L’Europe que je veux » (1), suscite l’ironie mordante du Blog de Nico (2). Aux « très mauvais arguments » du président de la République que relève Denis Sieffert dans son édito cette semaine (3), ce blogueur oppose sa mémoire d’archiviste des promesses non tenues. Et ça décape ! Surtout quand il rassemble des extraits vidéo des plus grands ténors du PS, nous promettant tous depuis trente-cinq ans l’Europe sociale pour demain.


    Tout au long de ces années, Politis n’a pas manqué d’aborder cette question. Voici ce que nous écrivions déjà en ouverture d’un dossier sur l’Europe sociale, le 30 juin… 1989 :
    « On cause, on cause… et puis rien ne vient. Le droit du travail et la protection sociale restent à la traîne du projet européen, peut-on lire en introduction. La difficulté d’une harmonisation des législations ou les différences réelles de culture sociale qui existent d’un pays l’autre suffisent-elles à expliquer cette lenteur ? 
    Lire > Europe : l’Arlésienne sociale (4)
    Le fait que l’Europe sociale soit encore à bâtir, rappelions nous en 2009, « vaut aveu d’échec pour les sociaux-démocrates », qui ont fait preuve d’une singulière inconséquence, car, « si l’on veut une Europe sociale, le préalable est de commencer par ne pas se lier les mains avec des traités, comme celui de Lisbonne, qui la rendent impossible ».
    Lire > Europe sociale ? Quelle blague ! (5)

    (1) http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/05/08/francois-hollande-l-europe-que-je-veux_4413580_3214.html

    (2) http://blogdenico.fr/35-ans-de-promesses-deurope-sociale-ca-suffit-non/

    (3) http://www.politis.fr/Europe-de-tres-mauvais-arguments,26954.html

    (4) http://www.politis.fr/Europe-l-Arlesienne-sociale,6148.html

    (5) http://www.politis.fr/Europe-sociale-Quelle-blague,7230.html

    Politis :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuppZVpVEZewNDzrEY.shtml

  • Leonarda la Kosovare : « On rentre en France. On va où on veut. C’est l’Europe ! »

    C’était le pire scénario pour le PS à cinq jours du scrutin européen. Leonarda Dibrani, la super-héroïne de l’immigration incontrôlable, a bien décidé d’utiliser ses super-pouvoirs pour revenir dans notre douce France !

    Sa nationalité kosovare ne le lui permet pas ? Eh bien, elle sera croate ! On n’est pas à une patrie près dans l’Europe passoire des années 2010. Et puis, comme dit Nathalie Arthaud : « On n’a qu’une patrie, l’humanité. » Cool. Bon d’accord, la sympathique collégienne changera de nom (Tahiri), mais aujourd’hui, on peut bien changer de sexe ou gagner l’Eurovision en tant que femme à barbe, alors vous pensez…

    Seulement voilà, pour la rose, même complètement fanée, Leonarda qui ferait son retour sur un plateau, ce serait le coup de massue de trop. De quoi faire monter le Front jusqu’au plafond.

    Lire la suite