magouille et compagnie - Page 2071
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Un avocat membre des Verts tacle Valls et Placé
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Le lobby LGBT encore en train de se lamenter
Un an après l'adoption de la loi Taubira, le lobby LGBT est encore insatisfait :
"Ce premier anniversaire se célèbre en demi-teinte, avec un goût d'inachevé. [...] Lors des primaires socialistes pour la désignation du candidat à l'élection présidentielle, Manuel VALLS se déclarait favorable à la procréation médicalement assistée (PMA) et à la gestation pour autrui (GPA). Il a oublié ses engagements depuis qu'il est Premier Ministre.
De son côté également, François Hollande a perdu le courage politique de tenir ses promesses:
- ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes ;
- don du sang ouvert aux homosexuels qui en sont exclus ;
- changement d'état-civil pour les personnes trans' ;
- statut du tiers ;
- investissement de la France dans la dépénalisation universelle de l'homosexualité...
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Cyber-espionnage : les États sont les plus grands pirates
En 2013, les intrusions malveillantes motivées par l’espionnage provenaient pour 49% de Chine et d’autres pays d’Asie orientale, mais les pays d’Europe orientale, notamment russophones, ont été soupçonnés dans 21% des cas. précise l’opérateur américain Verizon Communications dans son rapport annuel “Data Breach Investigations Report”.
Le piratage informatique à des fins d’espionnage se développe rapidement. Des groupes comme des services officiels de certains pays d’Europe de l’Est y jouent un rôle croissant, montre l’une des plus importantes études annuelles sur le sujet.
Ainsi en 2013, les intrusions malveillantes motivées par l’espionnage provenaient pour 49% de Chine et d’autres pays d’Asie orientale, mais les pays d’Europe orientale, notamment russophones, ont été soupçonnés dans 21% des cas, précise l’opérateur américain Verizon Communications dans son rapport annuel “Data Breach Investigations Report”.
Les tentatives d’espionnage ont triplé
Ces deux régions se classent de très loin en tête de l’échantillon étudié, dans lequel plus de la moitié des données détournées l’ont été à des victimes établies aux Etats-Unis.
En revanche, dans environ 25% des cas, l’origine géographique de l’intrusion n’a pas pu être déterminée, précisent les auteurs de l’étude.
Si le nombre total d’incidents identifiés comme étant des tentatives d’espionnage a triplé à 511, cela s’explique en majeure partie par le fait que le rapport sur 2013 prend en compte de nouvelles sources. Mais il reste en hausse sur la base des seules sources utilisées l’année précédente, précise Bryan Sartin, l’un des enquêteurs de Verizon.
Les États sont les espions dans 87% des cas
L’étude attribue 11% des cas d’espionnage informatique à des organisations criminelles organisées et 87% à des Etats.
Dans certains cas, des organisations criminelles cherchaient sans doute à revendre les données détournées à des Etats ou à des concurrents des entreprises prises pour cible, explique l’étude, menée avec Intel, McAfee, Kaspersky Labs, d’autres sociétés privées et des administrations publiques.
“Nous assistons à un début de rapprochement entre le crime organisé classique et l’espionnage“, résume Bryan Sartin, selon lequel cette tendance devrait se poursuivre.
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Qu'est-ce que le Pacte républicain ?
Jacques Bompard interroge le garde des sceaux, ministre de la justice, sur cette étrange notion de "pacte républicain" :
"En effet, de nombreux responsables politiques utilisent cette expression sans en donner la moindre définition. On se souvient des déclarations de la ministre du logement au ministre de l'intérieur en septembre 2013 quand elle accusait ce dernier d'être allé "au-delà du pacte républicain" au sujet des roms. Le 22 octobre 2013 au sein de l'hémicycle de l'Assemblée nationale, le Premier ministre affirmait quant à lui que "la règle commune c'est la base du pacte républicain et que le pacte républicain, c'est aussi l'égalité". Quelques jours auparavant, le ministre de l'agriculture allait dans le même sens. Selon lui il existe "un pacte républicain qu'il faut soutenir". Lors de ses voeux pour l'année 2014, l'actuel premier secrétaire du parti socialiste déclarait pour sa part qu'il souhaitait "une année plus apaisée, qui ne voit pas les mêmes dérapages, les mêmes débordements, les mêmes attaques contre notre pacte républicain que celles qui ont assombri 2013", faisant en particulier allusion aux manifestations contre l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe : continuer de manifester après qu'une loi a été votée par les parlementaires mettraient en danger ce fameux « pacte ». À ce propos, le rapporteur socialiste à l'Assemblée nationale de la loi sur le mariage pour tous n'expliquait-il pas récemment que cette "loi est en application depuis huit mois maintenant, [et qu']elle est entrée dans les habitudes et fait partie du pacte républicain" (février 2014).
Ces quelques exemples montrent clairement que le "pacte républicain" n'est qu'une expression vague, sans contenu précis,servant uniquement à parer le discours d'une légitimité et d'une haute valeur morale qui ne souffriraient d'aucune critique. Il est donc très surpris qu'au nom de cette notion aux contours flous on puisse dire tout et son contraire, augmenter les impôts, constituer des "fronts républicains", exclure certaines opinions du débat public car jugées "nauséabondes" par les grands média et les responsables politiques...
On ne trouve en effet aucune trace d'un quelconque "pacte républicain" dans les grands textes qui régissent les institutions françaises. Et pour cause, personne ne l'a jamais vu ni signé.Ce "pacte" incessamment brandi pour menacer ceux qui auraient le tort de ne pas s'y conformer n'a pas aucune existence juridique, législative ou constitutionnelle, pas plus qu'il ne désigne une réalité concrète. C'est un fait qui n'empêche pas certains politiques d'en appeler au "pacte républicain", comme s'il s'agissait d'un contrat dûment signé et accepté par la majorité des Français. Ces derniers seraient certainement curieux d'apprendre à quoi ce "pacte" les engage et d'en connaître l'utilité. Mais à en croire certains, le "pacte républicain", où chacun y met un peu ce qu'il veut, c'est sacré et il n'est donc pas question de mettre en doute son bien-fondé et encore moins la réalité de son existence.
Il est également préoccupé par la façon dont les expressions "République", "valeurs républicaines", "pacte républicain" tendent à très largement remplacer les mots "France", "Patrie", "Nation".La conséquence d'un tel glissement sémantique est la mise de côté, voire le reniement, de tout l'héritage multiséculaire du christianisme et de la monarchie comme si la France n'existait que depuis 1789.Il estime en outre abusif de circonscrire la France à un régime qui s'est plusieurs fois illustré par la férocité et la brutalité de ses répressions comme en témoigne le génocide vendéen.Le "pacte républicain" n'existe donc que dans l'esprit de ceux qui en font profession et dérive d'une conception abstraite et étroite de la France. Celle-ci est totalement déconnectée des réalités historiques, culturelles et territoriales du pays, ce qui entraîne une profonde méconnaissance des aspirations du peuple français en ces temps de crises morale, politique et sociale.
C'est pourquoi il l'interroge sur la signification concrète de l'expression "pacte républicain" et lui demande d'en préciser le contenu pour que les Français soient au courant et sachent pourquoi et de quel droit, en son nom, des ministres et des responsables politiques se croient permis de décerner des labels de bonne ou mauvaise conduite à leurs adversaires politiques."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/quest-ce-que-le-pacte-r%C3%A9publicain-.html
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Libération des otages : l’indécente mise en scène !
Qui va croire qu’aucune rançon n’a été versée ?
Des journalistes français ont été enlevés par des islamistes dans la zone contrôlée par les rebelles en Syrie. Après de longs mois de captivité très éprouvante, ils ont été libérés et ont retrouvé leurs familles. Chaque Français doit en éprouver une grande joie et être touché par l’émotion des retrouvailles. Mais la mise en scène présidentielle de leur accueil sur le sol national m’a profondément choqué. À travers les images destinées à émouvoir, à attirer la sympathie pour les otages – ce qui se comprend – mais aussi pour les responsables associés à cette libération, on pouvait mesurer l’abaissement inouï de notre pays.
Il y a d’abord l’ambiance générale. On étale la sentimentalité comme une vertu. On pleure, on s’épanche, on embrasse. Un grand pays devrait faire preuve de plus de dignité, d’une plus grande retenue dans l’émotion, d’une plus grande fermeté à l’encontre des preneurs d’otages. Exhiber ainsi sa faiblesse, c’est accroître la tentation pour tous les ravisseurs potentiels du monde, de commencer ou de recommencer tant l’opinion publique est sensible à ces enlèvements, notamment lorsqu’il s’agit de journalistes, dont les médias, par une solidarité compréhensible, vont sans cesse rappeler la situation.
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Combien de voitures brûlées en France ?
Le député Jacques Bompard appelle l'attention du ministre de l'intérieur sur le nombre de voitures brûlées en 2013 :
"Généralement bon indicateur des violences urbaines, les études sur le nombre de voitures brûlées sont parfois aléatoires :l'observatoire national de la délinquance et des réponses pénales affirme qu'il y a eu, en 2013, 34 441 véhicules incendiés dans notre pays alors que les pompiers en déclarent 58 000. Selon l'ONDRP, il y a eu une baisse de 25 % de ces délits. Certes, mais en comparaison avec le Royaume-uni, c'est bien faible. Outre-Manche en effet on constate, entre 2003 et 2013, une baisse importante d'environ 73 %. La différence de méthodes et de moyens expliquent cette différence. Comme le rappelle justement Alain Bauer «quand un délinquant est arrêté pour de tels faits en Grande-Bretagne, les Britanniques ne lui garantissent pas, comme trop souvent en France, l'excuse absolutoire. Il va en prison où les places sont suffisantes ». Il lui demande donc si, avec sa collègue Mme la ministre de la justice, il compte réétudier la politique du Gouvernement et s'inspirer en la matière de la politique britannique."
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Avortement : la schizophrénie d'élus de l'UMP
Dans une tribune publiée sur Le Figaro, des sénateurs UMP s'inquiètent. Selon eux, la suppression de la notion de détresse menacerait la loi Veil. Extrait de ce délire :
"Que ceux qui veulent rendre possible l'interruption volontaire de grossesse sans aucune condition de fond aillent jusqu'au bout de leur logique en demandant aussi la suppression de l'exigence d'une «nécessité» fondant la décision de la femme! Alors, ils devront assumer d'avoir entièrement vidé de son contenu le principe du respect de tout être humain dès le commencement de sa vie, et c'est tout le dispositif de la loi Veil qui s'écroulera,provoquant dans la société française une déchirure sans précédent depuis quarante ans. Une telle déchirure doit absolument être évitée."
Depuis 40 ans, ce sont plusieurs millions d'enfants qui ont été éliminés, en application de la loi Veil et au mépris du respect de l'être humain dès le commencement de sa vie. Et ils osent aujourd'hui défendre ce principe !
"Tout droit fondamental peut en effet connaître des limites légales. Mais la loi Veil, avec une franchise assumée, va beaucoup plus loin. Elle ne pose pas seulement une limite au droit au respect de l'être humain dès le commencement de sa vie, elle permet explicitement et selon ses termes mêmes d'y porter une «atteinte» individuelle en cas de «nécessité», et cette atteinte individuelle est par nature irréversible puisqu'il est mis fin à la grossesse."
220 000 avortements ont lieu en France chaque année. Légalement et gratuitement. Et ces sénateurs UMP osent écrire que "dans sa façon d'aborder la dimension philosophique du problème de l'avortement, la loi Veil s'était cependant voulue humble et pragmatique."
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Un "mariage" entre 3 personnes
Pourquoi se priver si elles s'aiment ? Qui est contre leur "droit" à se marier ? C'est cela "l'égalité" façon LGBT, autant d'arguments à deux sous que nous avons maintes fois entendu :
"Kitten, Brynn et Doll ont organisé une parodie de mariage dans le Massachussetts même si elle n’est pas reconnue par les autorités : le « mariage » entre deux personnes du même sexe y est légal depuis 2004 mais pas (encore) le mariage entre trois personnes, en l’espèce trois femmes. Et maintenant, le « trouple » attend son premier enfant. C’est Kitten qui s’y est collée car elle a toujours rêvé d’être mère au foyer à plein temps, explique-t-elle. « Avec trois mamans qui roucoulent, nous sommes certaines que ce bébé va grandir en se sentant très aimé. Nous le plaignons juste sur un point : pour ce que lui coûtera la fête des mères… » blague-t-elle, oubliant qu’elle et ses deux concubines privent délibérément un enfant de son père."
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Un "mariage" entre 3 personnes
Pourquoi se priver si elles s'aiment ? Qui est contre leur "droit" à se marier ? C'est cela "l'égalité" façon LGBT, autant d'arguments à deux sous que nous avons maintes fois entendu :
"Kitten, Brynn et Doll ont organisé une parodie de mariage dans le Massachussetts même si elle n’est pas reconnue par les autorités : le « mariage » entre deux personnes du même sexe y est légal depuis 2004 mais pas (encore) le mariage entre trois personnes, en l’espèce trois femmes. Et maintenant, le « trouple » attend son premier enfant. C’est Kitten qui s’y est collée car elle a toujours rêvé d’être mère au foyer à plein temps, explique-t-elle. « Avec trois mamans qui roucoulent, nous sommes certaines que ce bébé va grandir en se sentant très aimé. Nous le plaignons juste sur un point : pour ce que lui coûtera la fête des mères… » blague-t-elle, oubliant qu’elle et ses deux concubines privent délibérément un enfant de son père."
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Qatar : les filières de l’esclavage moderne (vidéo)
Du Népal au Qatar, enquête exclusive sur le drame humain de l’esclavage moderne. Pourquoi des jeunes partis en bonne santé meurent en si grand nombre sur les chantiers de la Coupe du monde de football 2022.
L’ex-ambassadrice du Népal à Doha a dénoncé une “prison à ciel ouvert” et dans un rapport publié en novembre 2013, Amnesty International décrit une situation proche de l’esclavage.
La Confédération syndicale internationale estime que si les conditions de vie et de travail ne changent pas, plus de 4 000 ouvriers pourraient mourir d’ici la Coupe du monde de 2022.