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magouille et compagnie - Page 2130

  • « Théorie du genre » : les parents qui boycottent vont être convoqués

    Après les perturbations qui ont touché une centaine d'écoles en début de semaine, le ministre de l'éducation nationale, Vincent Peillon, a demandé, mercredi 29 janvier, aux responsables d'établissement de « convoquer les parents » qui ont retiré leurs enfants sur la base de rumeurs autour d'un supposé enseignement de la « théorie du genre ».
    Cette initiative vise à « expliquer » aux intéressés « la réalité des choses » et à « leur rappeler que dans notre pays il y a une obligation scolaire à l'égard des enfants », a-t-il déclaré devant la presse à la sortie du conseil des ministres. Et d'asséner : « Il y a un certain nombre d'extrémistes qui ont décidé de mentir, de faire peur aux parents. Ce que nous faisons à l'école, c'est enseigner les valeurs de la République et donc du respect entre les femmes et les hommes. Tous les manipulateurs, tous les fauteurs de troubles et de haine qui répandent ces rumeurs, je leur demande d'arrêter. »
    « C'EST INACCEPTABLE » 
    M. Peillon a également voulu adresser un « message de solidarité aux enseignants, qui sont pris, parfois, dans des attitudes violentes et dont les pratiques professionnelles sont mises en question. C'est inacceptable ».
    Le ministre a enfin lancé un appel « à l'ensemble des élus républicains », leur demandant de « ne pas se complaire à entretenir eux-mêmes ces rumeurs. L'école de la République n'enseigne absolument pas la théorie du genre. Elle enseigne l'égalité de tous les points de vue », et en particulier l'égalité des femmes et des hommes.
    « DES ACTIONS DE GUÉRILLA » 
    Vendredi et lundi, une centaine d'écoles étaient perturbées, sur les 48 000 que compte le pays, par un absentéisme inhabituel des élèves, après le lancement d'une rumeur diffusée par SMS et sur les réseaux sociaux. Bien que limité, l'impact de ces « journées de retrait de l'école », organisées pour protester contre l'enseignement supposé de la « théorie du genre » dans les classes, a surpris tout le monde.
    Le message reçu pourrait prêter à sourire, s'il n'avait été pris au sérieux par quelques parents : « Le choix est simple, soit on accepte la “théorie du genre” (ils vont enseigner à nos enfants qu'ils ne naissent pas fille ou garçon mais qu'ils choisissent de le devenir !!! Sans parler de l'éducation sexuelle prévue en maternelle à la rentrée 2014 avec démonstration et apprentissage de la masturbation dès la crèche ou la halte-garderie…), soit on défend l'avenir de nos enfants. »
    Les syndicats ont tous — ou presque — manifesté leur indignation face à l'écho de cette « opération » relayée sur les réseaux sociaux. « A chaque fois, c'est le même type d'écoles, le même profil de familles qui sont visées : celles des zones sensibles, s'indigne Christian Chevalier, du SE-UNSA. Des familles déjà en difficulté, dont les enfants ont le plus à pâtir d'absences », ajoute-t-il, dénonçant « des actions de guérilla contre l'école de la République réunissant l'extrême droite, les intégristes religieux, les nationalistes et les antirépublicains ».

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Exclusif: Farida Belghoul réagit aux menaces et pressions du gouvernement pour imposer la théorie du genre

  • Dimanche, l’objectif est de « réaliser un maximum d’interpellations » !

    Qui donc va-t-on trouver à faire passer devant le juge ? Un élève de CE2, pour avoir jeté son papier de Malabar vers un CRS ?

    Manif pour tous dans moins de 72 heures et le parcours parisien n’est toujours pas fixé. L’organisation s’est vu refuser par cinq fois ses propositions par une préfecture de police qui n’en démord pas : la manifestation devra se terminer aux Invalides, un point c’est tout. Pour les spécialistes, l’explication est simple : c’est un piège, comme l’ont vu les manifestants de Jour de colère dimanche dernier, faits comme des rats, toutes les issues ayant été bloquées moins de dix minutes après la dissolution officielle.

    On lit dans la presse que l’objectif serait de « réaliser un maximum d’interpellations ». En effet, nous explique-t-on sérieusement, « mis en difficulté sur ses résultats dans la lutte contre la délinquance, Manuel Valls a à cœur de démontrer qu’il sait maintenir l’ordre lors des mouvements de rue ». Autrement dit, pour se faire pardonner ces 13.000 vols, 2.000 agressions, 200 viols quotidiens contre lesquels il est impuissant, ces banlieues où les flics ne peuvent plus aller, il va aller faire un peu de bilan chez les braves gens.

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  • Manif pour tous : bras de fer avec la préfecturede police sur le parcours du défilé de dimanche

     

     

    La préfecture de police propose que la manifestation de dimanche se termine aux Invalides. Les organisateurs ne veulent pas de ce lieu qu'ils considèrent comme «une souricière». 

     

     

    Toujours pas de parcours pour la Manif pour tous parisienne de dimanche, mais des arrestations déjà programmées. Plus de 1600 hommes, sans compter les policiers de quartiers et les unités en civil seront mobilisés, et une nasse (dispositif d'encerclement) sera mise en place en fin de manifestation, ont prévenu les forces de l'ordre. L'objectif du ministère de l'Intérieur, qui prône la «fermeté absolue», étant de réaliser un «maximum d'interpellations».
    En attendant, «à quatre jours du 2 février, nous ne savons pas où nous allons défiler!, s'exclame Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour tous. Mardi à l'Assemblée nationale, M. Valls a tenu des propos inadmissibles à notre égard, en essayant de nous caricaturer comme des extrémistes. Mais nous sommes toujours dans le même esprit pacifique et nous ne nous laisserons pas faire». N'ayant pas obtenu gain de cause en référé devant le tribunal administratif de Paris face à la préfecture de police (PP), qui refuse que le défilé se termine place de la Concorde, la Manif pour tous se tourne désormais devant le Conseil d'État. De leur côté, plusieurs élus d'opposition sont intervenus directement auprès des cabinets de Manuel Valls et de Jean-Marc Ayrault. Pour l'instant sans résultat.
    «On laisse tomber nos discussions et ce sera Invalides», écrivait sèchement, dans la nuit de mardi à mercredi, le cabinet du préfet de police dans un courriel à Albéric Dumont, coordinateur général de la Manif pour tous. Mais pour les opposants à la loi Taubira, qui attendent beaucoup plus que les «50.000 et 200.000 personnes» envisagées par la PP, pas question de tomber dans «cette souricière». «À quoi jouent Manuel Valls et la préfecture de police en refusant tous les parcours que l'on propose?, interroge Ludovine de la Rochère. Nous avons essuyé cinq refus. Ils portent une lourde responsabilité en imposant des lieux à problème. Des dizaines de milliers de personnes vont venir dimanche à Paris ; nous ne pouvons accepter un parcours ridicule de 300 mètres! Paris est bien assez grand pour trouver une solution qui convienne à tout le monde!»
    La place des Invalides ? «La nasse idéale» 
    À quelques heures d'une nouvelle réunion, prévue mercredi soir avec la Manif pour tous, la préfecture n'a pas voulu communiquer sur son choix de la place des Invalides. Mais un expert des forces de l'ordre a une explication: «La place des Invalides, c'est la nasse idéale, confirme-t-il. C'est là que l'on peut arrêter le plus de manifestants, en les prenant en étau. De plus, les policiers sont habitués à ces lieux».
    Afin de garantir le climat le plus serein possible, la Manif pour tous, en plus d'un service d'ordre renforcé, inaugurera dimanche deux nouveaux dispositifs: «Une quinzaine d'avocats indépendants, en tee-shirts blancs, s'identifieront auprès du préfet, et auront pour objectif de veiller aux droits de tout le monde, indique Albéric Dumont. En outre, nous faisons appel à des huissiers de justice, qui constateront, en toute transparence, le bon déroulement de la manifestation, ou d'éventuels problèmes». En revanche, «si la situation ne devait pas se pacifier avec la préfecture», la Manif pour tous alerterait les deux rapporteurs européens chargés par le Conseil de l'Europe d'enquêter sur la répression policière à l'issue des manifestations de l'an dernier: «on attirerait leur attention sur les violations des droits à manifester dont nous sommes victimes, confie un responsable. Et on pourrait aussi les inviter à venir dimanche en tant qu'observateurs».

     

    Source  
  • La théorie du genre et le rapport Lunacek

    Avec une mauvaise foi crasse, quantité de médias complices du pouvoir clament ces jours-ci que la théorie du genre n’existerait pas et qu’elle serait une fabulation réactionnaire.

    Il suffit pourtant  de prendre connaissance de la « Feuille de route de l’UE contre l’homophobie et la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre » pour s’apercevoir qu’il ne s’agit pas d’un épouvantail mais d’un vrai danger qui s’étend. Bien entendu, ce rapport est indigeste, rédigé dans un langage de technocrate et rebutera la plupart de ceux qui voudraient s’y intéresser pour comprendre l’esprit – l’idéologie, faudrait-il écrire – de ce document officiel.

    C’est le député européen autrichien Ulrike Lunacek, Vice Président de l’Intergroupe du Parlement européen sur les droits LGBT qui en est le rapporteur. Ce qui explique que certains parlent du « rapport Lunacek ».

    D’emblée, il saute aux yeux que les auteurs du rapport sont des adeptes du mondialisme et n’ont aucune intention de laisser les Etats membres conserver la moindre souveraineté dans les domaines traités. Le concept de subsidiarité est inconnu, place à la globalisation.

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  • Atteintes à la liberté et répression policière : Manuel Valls vs Béatrice Bourges

    Communiqué de Jour de Colère :

    WP_20140130_018"Ce jeudi 30 janvier à 12h30, une important intervention de police s'est déroulée dans le 7ème arrondissement de Paris, aux abords de l'Assemblée nationale. Après un bouclage de la place Edouard Hériot par un imposant dispositif policier, un car de la Préfecture de Police de Paris a été amené sur les lieux afin de procéder à des mises en garde à vue.

    Objectif de cette opération : interpeller une femme assise sur un banc. Son nom : Béatrice Bourges. Son crime : avoir entamé depuis 5 jours un jeûne complet pour enjoindre la représentation nationale d'assumer ses responsabilités face à la crise politique que traverse notre pays.

    L'enjeu : permettre la mise en oeuvre de la procédure de destitution du Président de la République pour manquement à l'exercice de ses fonctions, selon les termes de l'article 68 de la Constitution. Cette procédure est en effet aujourd'hui bloquée par une sorte de pacte mafieux entre les parlementaires et le pouvoir, qui prétendent que l'article 68 de la Constitution est inapplicable.

    WP_20140130_006Pour faire taire Béatrice Bourges, le gouvernement a décidé d'employer les grands moyens. Interpellée onze fois dans la seule journée de lundi, alors qu'elle a été rejointe dans son jeûne par une autre femme, elle a également subi des pressions psychologiques et physiques. La police, en particulier, a cherché à la priver de sommeil la nuit, qu'elle passe à proximité du Mur de la Paix sur le Champs de Mars, avant de rejoindre la place Edouard Hériot la journée. Sur cette place, d’innombrable atteintes à sa liberté de mouvement ont pu être constatées par des supporteurs venus la saluer, eux-mêmes victimes des tracasseries de la police.

    Mardi, la police est intervenue une première fois pour l'interpeller sur ordre du Ministre de l'Intérieur, qui se rendait à l'Assemblée pour les questions orales au gouvernement. Le député Guillaume Larrivé a demandé, lors de cette séance, la démission du gouvernement. Jeudi 30 janvier, Béatrice Bourges a de nouveau été interpellée malgré son état de faiblesse intense. Ne voulant pas provoquer, par sa présence dans la rue, un trouble à l'ordre public, elle a résolu de se réfugier temporairement dans un établissement proche. Un policier lui a barré la route, et elle a dû s'asseoir par terre à ses pieds. Des proches se sont alors interposés. Finalement, Béatrice Bourges a été autorisée à subir un examen médical, ce qui lui a évité une arrestation sans motif. Une de ses proches, qui gardait ses effets personnels, a été menacée d'arrestation par une demie-douzaine de policiers en tenues de maintien de l'ordre, qui l'ont finalement laissée partir.

    Jour de Colère rappelle que la liberté d'aller et venir est garantie par l'article 4 de la Déclaration des Droits de l'Homme qui figure au préambule de la Constitution de la Vème République. Jour de Colère condamne avec la plus extrême fermeté les abus flagrants auxquels se livrent des policiers sommés d'obéir à des ordres illégaux par une hiérarchie complice du pouvoir politique. A l'heure où l'opinion découvre que plus d'un millier de jeunes français s'initient au jihad en Syrie, la police du gouvernement Ayrault traite en terroristes deux femmes qui poursuivent un jeûne de protestation pacifique et non violent. Jour de Colère demande qu'il soit mis un terme immédiat à ces agissements, qui ont pour objectif avoué d'empêcher Béatrice Bourges de diffuser son message auprès des députés. Malgré ces intimidations, plusieurs parlementaires sont cependant venus la saluer depuis mardi."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les grandes banques françaises profiteraient de l’équivalent d’une subvention de 48 milliards !

    Les banques européennes bénéficient d’un « soutien » de 200 à 300 milliards d’euros par an, grâce à la garantie implicite que les États leur fournissent. L’équivalent de 1,5% du PIB européen ! Et près de deux fois le budget annuel de l’Union européenne !

    Telle est la conclusion d’une étude réalisée par l’expert financier indépendant Alexander Kloeck, à la demande des eurodéputés écologistes.

    Cette garantie implicite concerne principalement les banques « mixtes », qui combinent deux types d’activités au sein d’une seule entité juridique : banques de dépôts, elles gèrent l’épargne des particuliers ou des entreprises, et leur octroient des prêts ; banques d’affaires, elles interviennent sur les marchés financiers. En cas de faillite bancaire, les États sont garants « en dernier recours » des dépôts des épargnants. Sauf que dans le cas de ces banques mixtes, cette garantie de l’État s’étend de fait au département « marché » de ces mêmes banques. Car les investisseurs anticipent le fait que malgré les risques pris par une banque d’affaire, l’État sera toujours là en cas de faillite. Une telle garantie permet aux banques mixtes de bénéficier sur les marchés financiers de taux d’intérêts plus bas que ceux des banques d’affaires « pures » (celles qui ne sont pas aussi des banques de dépôt).

    Les agences de notation évaluent deux fois ces banques mixtes : une évaluation « stand alone », sur la banque seule, et une évaluation « all-in » – bien plus favorable – qui intègre la garantie des États. L’étude d’Alexander Kloeck se base notamment sur cet écart de note et les taux d’intérêt différents qui en résultent, en faisant la synthèse de nombreuses études déjà réalisées sur le sujet.

    Résultat : grâce à ces taux d’intérêt plus favorables, en 2012, le secteur bancaire européen a perçu l’équivalent de 234 milliards d’euros de subvention implicite des États, selon l’estimation moyenne la plus probable.

    Réformer le secteur bancaire
    En France, les quatre plus grands établissements bancaires sont des banques mixtes : BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE (Banque populaire – Caisse d’épargne).

    Cette garantie implicite de l’État français leur rapporterait l’équivalent d’une subvention annuelle de 48 milliards d’euros, selon l’économiste Gaël Giraud, chercheur au CNRS (lire notre enquête : Réforme bancaire : comment le gouvernement s’est écrasé devant le monde de la finance).

    En plus de ce cadeau substantiel, ces taux d’intérêt préférentiels encouragent les banques à développer leurs activités de marché et à prendre davantage de risques, analyse Alexander Kloeck. Ils favorisent ainsi la déconnexion entre spéculation financière et économie réelle. C’est également une distorsion de concurrence flagrante en faveur des banques mixtes par rapport aux autres banques.

    Une façon de mettre fin à cet incroyable avantage serait d’opérer une claire séparation entre banques de dépôts et banques d’affaires – en revenant ainsi à la situation qui prévalait dans les années 1990. Les banques mixtes ont été autorisées en France par la loi bancaire de 1984. Les premières banques mixtes françaises sont nées avec la fusion du Crédit Agricole et du Crédit Lyonnais, et celle de BNP et Paribas en 2000. Le gouvernement français, avec la réforme bancaire votée en 2013, n’a pas voulu s’opposer aux intérêts privés des puissantes banques françaises. L’Union européenne, qui planche actuellement sur une réforme des activités bancaires, osera-t-elle aller un peu plus loin ?

    Bastamag.net

    http://fortune.fdesouche.com/326852-les-grandes-banques-francaises-profiteraient-de-lequivalent-dune-subvention-de-48-milliards

  • Que s'est-il vraiment passé dimanche 26 janvier au Jour de Colère

     Partie 1

    Partie 2 :

  • Pendant que vous etes entrain de crever ! ils se partagent le gateau

    La “réserve parlementaire” s’est élevée en 2013 à 81,6 millions d’euros et chacun des 577 députés français a reçu en moyenne 130.000 euros, apprend-on dans le document publié mercredi par le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.

    Ce souci de transparence s’explique notamment par les critiques sur le risque de clientélisme qu’engendre cette utilisation des fonds publics par les députés dans leur circonscription en période de réduction des déficits publics.

    La “réserve parlementaire” est un ensemble de subventions d’Etat votées en lois de finances initiales ou rectificatives proposées par les parlementaires afin de participer au financement de projets d’investissement de collectivités et de soutenir des activités menées par des associations.

    "Pour la première fois, la ‘réserve’ a été répartie équitablement entre majorité et opposition parlementaires", précise Claude Bartolone dans un communiqué. "Chaque député bénéficie désormais d’un montant de 130.000 euros en moyenne, la répartition entre les députés relevant de chaque groupe politique."

    Il souligne que, pour la première fois depuis les débuts de la Ve République, les députés ont restitué au budget de l’Etat 10% du total “afin de participer à l’effort national de réduction des dépenses publiques”.

    A la lecture des quelques 250 pages de tableaux publiés mercredi sur le site internet de l’Assemblée, on peut constater que le président a reçu 520.000 euros, les vice-présidents et les présidents de commissions et de groupe chacun 260.000 euros.

    Les membres du bureau de l’Assemblée ont reçu chacun 140.000 euros, les autres députés obtenant 130.000 euros.

    MAINTIEN OU SUPPRESSION ?

    Le président de la commission des Finances, Gilles Carrez (UMP), qui a pour sa part obtenu une enveloppe de 786.000 euros, a tenté de s’expliquer sur le montant de cette somme.

    "En tant que président de la commission des Finances, (…) j’ai une enveloppe qui me permet de donner des compléments à mes collègues de la commission des Finances", a-t-il expliqué.

    Des compléments, a-t-il dit, qui sont “modiques” puisque “c’est de l’ordre de 10 à 20.000 euros de plus de la norme qui est autour de 130.000 euros”.

    "Donc ça explique que j’ai une enveloppe un peu plus importante pour pouvoir redonner. Mais ça n’a rien à voir avec la dizaine de millions d’euros dont peut disposer le président de l’Assemblée", a-t-il poursuivi.

    Gilles Carrez a précisé “garder de l’ordre de 300 à 400.000 euros sur ma circonscription proprement dite”.

    Le porte-parole du groupe PS, Thierry Mandon, a expliqué qu’il avait distribué sa part à des associations de handicapés, à l’aide au soutien scolaire dans les écoles en difficulté et à deux mairies de petites communes qui avaient de gros travaux à faire et n’avaient “pas les moyens de se les payer”.

    "A mon avis, ça (la réserve parlementaire) n’a aucune raison d’être et, à terme, ça devrait être supprimé", a-t-il dit.

    Un avis que ne partage pas le député UMP du Cantal Alain Marleix, qui estime que cette “réserve” est destinée “essentiellement au monde rural”.

    Aussi juge-t-il que la réforme qui consiste à donner la même somme à chacun des députés “est stupide”.

    "Donner 100.000 euros à un député de Paris, de Lyon ou Marseille, ce n’est pas la même chose que pour un député d’une zone rurale pour qui c’est très important", a-t-il ajouté.

    http://francelibre.tumblr.com/

  • Quand le slogan « dictature socialiste » prend tout son sens…

    À force de décevoir les uns, d’indigner les autres, François Hollande a réussi l’exploit de coaguler les mécontentements.

    À force de décevoir les uns, d’indigner les autres, François Hollande a réussi l’exploit de coaguler les mécontentements dans un désir de chasser l’intrus. C’était le sentiment qui animait, dimanche dernier, le long défilé hérissé de drapeaux et de banderoles, martelant des slogans vengeurs et soulevé parfois par de vibrantes Marseillaise. Ce qui parcourait la foule avant tout et lui donnait son unité était un besoin de France, d’une France respectée dans le monde parce qu’elle aura réussi à redonner à ses forces vives le goût du travail et la fierté de leurs valeurs.

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