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magouille et compagnie - Page 2132

  • Louis Dumont de Jour de Colère: « Nous attendons que les parlementaires arrêtent de se faire les complices du gouvernement »

    26janvier23Après la manifestation du 26 janvier, nous avons de nouveau interrogé Louis Dumont, l’un des organisateurs de Jour de Colère, pour tirer le bilan de cette mobilisation.

    1)  Après la manifestation, l’heure est au bilan. En tant qu’organisateur, pour vous est-elle un succès ?

    Nous avons atteint nos objectifs au-delà de toute attente. Plus de 100 000 personnes d’origines très diverses, tant sociales que géographiques, ont répondu à notre appel. Malgré la gravité et les différences de revendications, les manifestants ont défilé dans le calme, en se respectant mutuellement. Et les gens sont restés jusqu’au bout, attendant la fin des discours avant de se disperser, et ce malgré une pluie battante.

    Donc malgré les pronostics et une faible couverture médiatique en amont, le Jour de Colère a été un beau succès.

    2)  Malgré ce qu’on a pu lire ou entendre, le cortège était assez hétéroclite. N’est-ce pas le signe que la colère gagne différents milieux de la société française ?

    Nous revendiquons la présence de toute la France dans sa diversité.

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  • Lettre à Manuel Valls d’un « intégriste de l’ultra-droite catholique »

    Vous venez de me donner l’ultime argument qui manquait à ma décision de défiler dimanche prochain.

    Je suis ce que vous appelez un « intégriste de l’ultra-droite catholique » qui s’est levé pour défendre une opinion différente « lors des débats sur l’avortement ou sur le mariage homosexuel ». Permettez que je me sente visé par votre intervention du mercredi 22 janvier (1) auprès de votre groupe à l’Assemblée nationale et acceptez le droit de réponse qui suit.

    Pour être à même de nous comprendre, il me semble important de partager un sens commun aux mots que nous utilisons.

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  • [Témoignage] Nous avons testé pour vous... les geôles de la République

    par Ludovic Greiling, de Politique Magazine

    Paris, 26 janvier : 250 personnes en garde à vue. Comment la police en est-elle venue à opérer des arrestations massives après une manifestation autorisée ? Enquête d’un journaliste qui a eu le tort d’oublier sa carte de presse...

    « C’est une rafle ». L’officier de police qui marche dans le couloir du commissariat ne mâche pas ses mots. Il fait écho à plusieurs agents croisés avant lui, qui ne trouvaient d’autres termes pour désigner l’arrestation massive survenue hier, dans le 7ème arrondissement de Paris. Dimanche soir, près de deux-cents cinquante personnes ont été interpellées, fouillées puis placées en garde à vue pour une nuit ou plus, suite à la manifestation organisée par le collectif "Jour de colère". Pour combien de condamnations ? On ne le sait encore.

    Dimanche, 17 h 30, à l’arrivée de la manifestation.

    Les organisateurs n’ont pas fini de crier leurs revendications au micro que, au loin, des dizaines de cars de CRS sont prêts à intervenir. Toutes les issues menant à la place Vauban, où se trouvent l’estrade et la sono, sont bouclées. Pour y parvenir, on est obligé de palabrer devant un barrage de CRS. Sur scène, les intervenants égrènent leurs reproches et demandent la démission du gouvernement. Béatrice Bourges, du "Printemps français", annonce un « jeûne ». Une partie de la foule présente - quelques dizaines de milliers de personnes - commence à se disperser. La journée explosive qu’attendaient certains observateurs n’a pas eu lieu. [...]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Temoignage-Nous-avons-teste-pour

  • Le mensonge de Vincent Peillon sur l'enseignement de la théorie du genre

    Inquiet de l'écho reçu par l'initiative de Farida Belghoul invitant les parents à retirer leurs enfants de l'école un jour par mois pour protester contre l'enseignement de la théorie du genre, Vincent Peillon a lancé aujourd'hui une contre-offensive médiatique, pour stopper ce qu'il appelle une "rumeur mensongère".

    L'Observatoire de la théorie du genre réplique :

    "On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

    Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :

    • Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.

    • L’expérimentation, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
    • La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
    • La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : «  que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
    • La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons.
    • Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres "non-genrés" comme "Papa porte une robe".

    Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.

    Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme « ABCD égalité » ; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques."

    Deux moyens d'action :

    • Continuer de signer la pétition de l'Observatoire de la théorie du genre demandant la fin du programme ABCD de l'égalité.

    • Vous joindre à l'initiative de Farida Belghoul en retirant votre enfant de l'école un jour par mois Tous les renseignements sur ce site ou sur Facebook. En Ile de France, dans le département de l'Oise, à Vernon, ainsi qu'à Metz, à Nancy et à Nantes la journée de retrait est prévue le lundi 27 janvier.

    Louise Tudy   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Bravo François ! La gauche en opérations

    « La gauche a toujours su créer la zizanie. Et François a encore plus d’un tour dans son sac. »
    Contrairement à ce que pensent les esprits superficiels, François Hollande a une grande cohérence. Trois lignes de force structurent son action : de profondes réformes sociétales et fiscales marquées par une immense hostilité à la famille ; un clientélisme appuyé en faveur des banlieues de l’immigration, réservoir électoral de rechange ; une politique économique et sociale favorable à la finance et aux grandes entreprises. Cette logique cosmopolite s’accompagne dans sa mise en œuvre d’une multiplication des opérations de diversion complaisamment reprises par les médias de l’oligarchie pour des raisons tant politiques que commerciales. Michel Geoffroy fait le point pour Polémia.
    Alors que la droite établie offre dans l’opposition un spectacle toujours plus affligeant, François Hollande, lui, prépare méthodiquement les prochaines élections. Chaque opération marque une nouvelle étape dans sa stratégie.
    Opération chef de guerre
    Il y a eu d’abord l’opération « chef de guerre ». D’abord au Mali. Cela devait se faire aussi en Syrie mais cela n’a pas marché comme prévu. Mais pas de problème : il y a maintenant la République centrafricaine : des opérations à l’efficacité réelle douteuse et au coût certain pour une armée budgétairement étranglée. Mais peu importe car elles visent à donner au président de la République une stature ; et à gêner la droite, toujours suiveuse quand il est question de défense. Bravo François !
    Opération Taubira
    Il y a eu ensuite l’opération Taubira, c’est-à-dire les réformes sociétales. On en sort toujours une au bon moment : le mariage des homosexuels, la théorie du genre, la politique pénale ou, maintenant, l’avortement pour tous. La liste n’est sans doute pas terminée.
    Cela offre deux occasions à la gauche : d’abord, faire oublier qu’elle s’est mise au service de l’oligarchie financière et du patronat, en jouant sur le registre « progressiste » ; ensuite, diviser l’opinion et gêner une nouvelle fois la droite qui a peur d’apparaître politiquement incorrecte. La vieille stratégie de Mitterrand n’a pas pris une ride !
    En outre, le Système a réussi à présenter Mme Taubira comme une pauvre domienne victime des méchants opposants fachos au mariage pour tous. Moralité : si tu contestes ces réformes c’est que tu es raciste. Coup double ! Bravo François !
    Opération Dieudonné
    Il y a eu aussi l’opération Dieudonné. Elle a permis de roder les bons vieux thèmes de l’antiracisme et de l’antisémitisme. L’antisémitisme marche toujours quand il s’agit de rassembler la gauche !
    Et puis cela a permis aussi de planter de nouveaux jalons forts utiles dans la voie de la censure d’Internet au nom de la chasse à la quenelle : un point de plus pour le pouvoir, en particulier face à la protestation populaire et identitaire qui utilise largement Internet et les réseaux sociaux. Bravo François !
    Opération patronat
    Il y a maintenant le virage social-démocrate du président de la République, savamment orchestré, même si sa mise en scène a été quelque peu perturbée par la révélation imprévue de ses aventures motocyclistes. On ne saurait tout prévoir.
    Mais, comme le titre sans rire Le Monde du 19 janvier – « Les 15 jours qui ont changé Hollande » –, la gauche a décidé de tendre la main aux entreprises. C’est l’opération « Pacte de responsabilité » avec l’aimable participation du MEDEF, et sous l’autorité du secrétaire général adjoint de l’Elysée, Emmanuel Macron, associé-gérant de la banque Rothschild.
    Les mêmes qui ont augmenté les impôts expliquent maintenant qu’il faut diminuer les charges. Evidemment il faut décoder : les salariés payeront toujours plus mais les entreprises encore moins. Cela doit améliorer notre compétitivité, comme on nous le répète inlassablement depuis les années 1980, même si les résultats se font attendre. Peu importe car il est toujours fort utile de complaire au patronat quand on fait de la politique. Et puis, complaire aux patrons a le don de rendre la droite aphone… enfin encore plus aphone que d’habitude. Encore bravo François !
    Bravo François ?
    Pour le moment cependant, les sondages ne démontrent pas la pleine réussite de cette stratégie.
    Le score personnel de François Hollande plafonne et les intentions de vote sanction lors des municipales ou des européennes restent élevées. La défiance vis-à-vis de la classe politique est à son comble. Et les résultats économiques et sociaux manquent toujours au rendez-vous. En outre, jusqu’à présent le Front national a réussi à ne pas tomber dans les pièges que le pouvoir lui tendait, une différence notable avec la présidence Mitterrand.
    En vérité, seule l’UMP pâtit de ces opérations successives qui érodent sa capacité d’opposition et donc sa raison d’être, sur fond d’inextricables querelles de personnes. Sur ce plan le but est atteint.
    La gauche a toujours su créer la zizanie. Et François a encore plus d’un tour dans son sac.
    La suite à la prochaine « opération » ?
    Michel Geoffroy, 22/01/2014
    http://www.polemia.com/bravo-francois-la-gauche-en-operations/

  • Grotesque : les administrations ne pourront plus s’adresser aux femmes sous leur nom marital

    L’acharnement idéologique du gouvernement s’immisce dans les moindres détails. Chaque semaine, on découvre une nouvelle atteinte au bon sens, aux traditions, à la famille, etc.

    Cette fois, on apprend que les députés ont voté dans le cadre de la « loi sur l’égalité homme-femme » un amendement imposant au fisc et à la Sécurité sociale de ne plus utiliser le nom de mariage des femmes, sauf demande expresse !

    Pour porter le nom de leur mari dans les échanges administratifs, ou le voir figurer accolé à leur nom «de jeune fille», les épouses devront en faire la demande.

    Bonjour le bazar à venir dans la perception du courrier…

    Il s’agit bien sûr d’un nouveau coup de griffe contre la famille, la filiation et le mariage, alors que celui-ci a été officiellement bradé aux pseudo-couples contre-nature.

    Cette nouvelle estocade portée aux restes de notre civilisation fait suite, par exemple, à la suppression des textes législatifs de la gestion « en bon père de famille », à la suppression des termes « mademoiselle » et « nom de jeune fille » des formulaires administratifs, ou encore au libre choix de la transmission du nom du père, de la mère, ou des deux à l’enfant, etc.

    Ces deux dernières mesures (dont la dernière, particulièrement grave pour la filiation), provenant de l’UMP : il faut le rappeler et il faudra le rappeler les prochaines années.

    http://www.contre-info.com/

  • Sous Hollande, les manifs servent-elles encore à quelque chose ?

    Puisque les manifs anti-Hollande, ces marches blanches politisées, n'ont aucun résultat, comment va se traduire la révolte 

    Pas de bol pour Jour de colère à Paris. Les handballeurs français ont mis une raclée aux Danois. Alors les chaînes de télé, évidemment, ont fait le bon choix. Plutôt Karabatic que la manif.

    Béatrice Bourges se lance courageusement dans une grève de la faim. Ils sont capables de la laisser crever entre deux pages de pub ! Et puis là, on a moins de marge qu’avec la Boutin.

    La bataille de chiffres, à ce niveau, n’a plus d’intérêt. De toutes façons, les journaux subventionnés n’auront retenu que les quenelles des uns et les ananas des autres. Franchement, on n’était pas le 6 février 1934. Ce jour-là, ça mouftait pas sous les ors de la Ripoublique !

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  • [JDC] Les futurs gavés refusent la notification

  • Le pouvoir cherche à déstabiliser les Bonnets Rouges Frontaliers

    Notre brève d’hier révélait qu’Eric Brenghart était convoqué par la gendarmerie. Nous en savons plus grâce à sa page Facebook de soutien. Les gendarmes lui ont mis la pression pour qu’il dénonce les auteurs des agressions sur les radars en Alsace malgré qu’ils ne soient en possession d’aucune preuve. Notons que l’audition s’est déroulée à Colmar au lieu de Masevaux, suite à l’appel de rassemblement de soutien. La gendarmerie continue de garder les deux ordinateurs emportés, jouant plus ou moins sur le chantage en sous-entendant qu’il ne les récupèrera que s’il dénonce. Après sa femme, il subit à son tour la pression des forces de l’ordre. Le pouvoir cherche donc bien à déstabiliser ce mouvement qui commence à prendre de l’ampleur sur le terrain en jetant la suspicion au sein de ses membres par la dénonciation forcée et en mettant la pression aussi sur la famille. Les Bonnets Rouges Frontaliers n’entendent pas se laisser faire et vont serrer les coudes. Ils appellent toutefois à la prudence lors des prochaines actions. Rien ne dit qu’Eric Brenghart ne sera le seul visé par la police !

    http://medias-presse.info/le-pouvoir-cherche-a-destabiliser-les-bonnets-rouges-frontaliers/5765

  • Soutenez Béatrice Bourges [Addendum : menace policière]

    0Depuis hier soir, la police a reçu l'ordre d'empêcher Béatrice Bourges, et une autre personne venue se joindre à son jeûne pour la France, de poursuivre leur action. Entraves à la liberté de déplacement, pressions psychologiques, privation de sommeil ont été leur lot pendant toute la soirée et la nuit.

    Cette situation est intolérable !

    Malgré cela, elles ont toutes deux rejoint ce matin la Place Edouard Hériot, à proximité immédiate de l'Assemblée Nationale, où elles entendent rester toute la journée. Les députés sont aujourd'hui dans l'hémicycle. Ils doivent intervenir !

    Nous vous demandons dès maintenant d'envoyer un courriel (adresse ici) ou même d'appeler au téléphone (standard téléphonique : 01 40 63 60 00, puis demander à parler à l'assistant parlementaire de votre député) pour enjoindre votre député de sortir du Palais Bourbon aujourd'hui et aller rencontrer Béatrice Bourges, pour parler avec elle et entendre le message qu'elle adresse, à travers son jeûne, à la représentation nationale.
    Il y a URGENCE. Le gouvernement cherche à étouffer la voix des Français en colère. Merci de votre mobilisation immédiate auprès de votre député.
    L'équipe de Jour de Colère
    Vous pouvez aussi appeler l'attention de la presse sur ce qui se passe aujourd'hui à Paris, digne de Kiev et bientôt de Damas. Envoyez un courriel aux rédactions, commentez les articles qui parlent de notre action (retrouver la liste en tapant "Béatrice Bourges" sur Google news). Faites aussi pression sur les journalistes. Merci.

    Addendum : La police a prévenu qu’à 13h30 la tolérance cesserait et que tout le monde serait évacué de la place Herriot. Il n'y a pourtant qu'un petit groupe de 5 personnes.

    Michel Janva