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magouille et compagnie - Page 2208

  • Les Sentinelles face aux mairies

    Demain matin le Conseil constitutionnel examinera la question de la liberté de conscience des maires face à la loi Taubira.

    Pour soutenir les élus qui ne veulent pas célébrer de simulacre de mariage, les Sentinelles sont appelées à prendre leur poste à partir de ce soir et demain toute la journée devant toutes les mairies de France.

    Pour veiller comme Sentinelle, aucun signe distinctif, ni pancarte, ni vêtement avec logo, ni drapeaux et être espacés les uns des autres par 3 mètres. On reste le temps que l'on veut face au bâtiment et on garde le silence.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Les raisons d’un échec, les moyens d’une victoire

    manifpourtous

    L’homme de droite est content : il a eu « son mai 68 ». Au-delà de la position réactive d’une répétition en miroir et du contentement de soi, qu’en est-il aujourd’hui ?

    On a souhaité l’abrogation de la loi Taubira. On a mis plus d’un million de Français dans la rue, par trois fois. Quand ces Français ont gagné les Champs-Élysées, on les a retenus, on les a sagement renvoyés chez eux. Certains ont fait preuve de courage, se sont retrouvés en garde à vue, n’ont rien lâché. On a rationalisé a posteriori, on a parlé de transgression non violente. En ce début d’octobre, il est temps de dresser un bilan.

    Celui-ci est clair : c’est un échec. Un échec, car la loi Taubira n’a pas été abrogée. Un échec, car le gouvernement a refusé d’entendre une partie non négligeable du peuple. Le pouvoir avait pourtant reculé lors de l’affaire du CPE ; qu’a-t-il manqué ici ? Nous avons voulu la fin, mais non les moyens.

    De bonnes choses ont eu lieu : une prise de conscience ; des rapprochements féconds entre une jeunesse catholique conservatrice et une frange plus révolutionnaire ; un élargissement du discours dont le Printemps français et les Veilleurs ont été les fers de lance.

    Romain Lasserre - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Milices juives en France : à quand la dissolution ?

    Afin de rappeler les véritables agissements de la LDJ et autres milices juives, ainsi que l’urgente nécessité d’une action des pouvoirs publics à leur encontre, voici deux articles, publiés à 27 ans d’intervalle, dans lesquels le lecteur trouvera une liste – malheureusement non-exhaustive – des agressions commises par ces groupes.
    On s’étonnera, après lecture, que ces milices ultra-violentes n’aient pas encore connu le sort sans appel qui fut réservé par Manuel Valls à quelques groupuscules infiniment moins violents (Œuvre française, Troisième Voie, Jeunesses nationalistes révolutionnaires – JNR). Un deux poids, deux mesures qui ne laisse donc d’étonner...

    Milices juives : quinze ans – et plus – de terrorisme en France

    Sous la responsabilité du professeur Robert Faurisson – 1er juin 1995

    Dans sa livraison de juin 1991, le mensuel Le Choc du mois publiait une étude intitulée : « Milices juives / Quinze ans de terrorisme » (p. 7-13 sur quatre colonnes). Le sous-titre en était le suivant :

    « Groupe d’action juive, Organisation juive de combat, Organisation juive de défense. Sous ces diverses appellations, des activistes juifs ne cessent depuis une quinzaine d’années de semer la terreur, dans la plus totale impunité. Des provocations qui n’ont d’autre but que de susciter des représailles. Comme si certains voulaient que la communauté juive se sente menacée » (p. 7).

    L’étude passe en revue, du 19 juin 1976 au 20 avril 1991, cinquante cas d’agressions physiques commises par des juifs organisés en groupes. Ne sont donc pas mentionnées les agressions physiques, de toute façon assez rares, commises par des individualités juives.

    Dans les cinquante cas répertoriés par Le Choc du mois, les victimes se sont comptées par centaines. Chez les victimes de ces milices on relève : mort d’homme, blessures suivies de coma profond, infirmités à vie, séquelles graves ainsi que vitriolage, commission d’actes de barbarie, œil crevé, tabassage en règle en la présence de policiers ou de gardes refusant d’intervenir, nombreuses hospitalisations, nombreux guet-apens, dont un, au moins, avec la complicité de la presse (cas du journal Libération). La plupart de ces agressions sont passées sous silence par les médias ou brièvement rapportées. Certaines sont approuvées par des publications ou des organisations juives qui, en général, après quelques mots de réprobation, donnent à entendre que les victimes méritent leur sort, que c’est naturel et normal et qu’il ne faut s’attendre, dans l’avenir, à aucune indulgence si jamais on suscite à nouveau la colère des juifs.

    Il est remarquable que pas un seul juif n’ait été, en revanche, la victime d’une seule attaque d’un seul groupe dit d’extrême droite ou révisionniste (puisque, aussi bien, la presse fait l’amalgame entre révisionnisme et extrême droite alors que le révisionnisme historique est, en réalité, un phénomène qui intéresse tous les groupes de pensée, de l’ultra-gauche à l’extrême droite en passant par tous les partis, sauf le parti communiste, et cela sans compter les apolitiques. Paul Rassinier, fondateur du révisionnisme historique en France, était socialiste).

    Parmi les attaques ou les agressions commises par des milices ou des organisations juives, on se bornera à citer celles dont ont été victimes François Duprat, un colloque du GRECE, Marc Fredriksen, Charles Bousquet et, à nouveau, Mark Fredriksen, Michel Caignet, Pierre Sidos, Olivier Mathieu, Pierre Guillaume, les Amis de Saint-Loup et Robert Faurisson. Beaucoup d’autres cas seraient à citer de 1976 (où, le 2 novembre, l’immeuble dans lequel habitait Jean-Marie Le Pen devra être entièrement détruit après avoir été ébranlé sur cinq étages lors d’un attentat à la dynamite revendiqué par un Groupe du souvenir juif) jusqu’à 1991 (où, le 2 avril, Fabrice Benichou, vendeur à la criée d’un journal de Jean-Edern Hallier, meurt à son domicile après avoir été roué de coups dans le quartier juif du Sentier à Paris).

    François Duprat

    Membre de la direction du Front national, auteur et diffuseur d’écrits révisionnistes, F. Duprat a été tué le 18 mars 1978 dans sa voiture par l’explosion d’une bombe sophistiquée. Sa femme a été grièvement blessée. L’attentat est revendiqué par un Commando du souvenir. [...]

    Un colloque du GRECE

    Le 9 décembre 1979, le XIVe colloque national du GRECE (Groupe d’études et de recherches sur la civilisation européenne) est attaqué par une centaine d’individus casqués qui saccagent des stands de livres. Ces individus déploient des calicots portant le nom de l’Organisation juive de défense (OJD). Une quinzaine de participants sont blessés. L’un d’entre eux perdra un œil. Plusieurs assaillants sont arrêtés par la police, puis relâchés le soir-même sur l’intervention de Jean-Pierre Pierre-Bloch, fils de J. Pierre-Bloch et ami de Jacques Chirac. Jean-Pierre Pierre-Bloch avait été et sera, par la suite, impliqué dans d’autres agressions ou d’autres interventions en faveur d’agresseurs identiques.

    Marc Fredriksen

    Le 19 septembre 1980, un commando de l’ Organisation juive de défense (OJD) attaque au Palais de justice de Paris des sympathisants de Marc Fredriksen, responsable de la FANE (Fédération d’action nationale et européenne). On relève six blessés, dont deux graves. Les gardes du Palais de justice, pourtant chargés du maintien de l’ordre, laissent, en fait, agir, librement ou plus ou moins librement, les milices juives dans cette circonstance comme dans toutes les autres circonstances identiques. Quant à Jean Pierre-Bloch, il déclarera :

    « La loi du talion pourrait réapparaître [...]. Si un seul des nôtres est touché, nous appliquerons la formule : œil pour œil, dent pour dent [...]. S’il faut nous organiser militairement nous le ferons » (Le Monde, 1er octobre 1980).

    [...]

    Charles Bousquet, Mark Fredriksen

    Le 3 octobre 1980, un attentat a lieu contre la synagogue de la rue Copernic, provoquant quatre morts et vingt-sept blessés. Les quatre morts sont des passants ; parmi ceux-ci se trouve une Israélienne dont la présence n’a jamais été expliquée. Christian Bonnet, ministre de l’Intérieur, reçoit, dans la journée même, des informations qui lui permettent d’identifier en la circonstance un attentat palestinien mais, sous la pression des organisations juives et avec l’accord de la grande presse, il laisse croire à une action de l’extrême droite. On apprendra par la suite que l’attentat a été effectivement commis par un Palestinien venu de Chypre. Le soir même de l’attentat, les locaux de la FANE sont dévastés et la Librairie française, rue de l’Abbé-Grégoire, fait l’objet d’une nouvelle tentative d’incendie. Cette librairie, dont le propriétaire est Jean-Gilles Malliarakis, connaîtra en quelques années plus de dix attaques ou attentats. Le siège de l’ Œuvre française, de Pierre Sidos, est mitraillé. Des scènes de lynchage se déroulent dans Paris où des groupes de manifestants juifs s’en prennent à de jeunes passants isolés, grands, blonds et à cheveux courts (Le Monde, 9 octobre 1980, p. 12).

    Le 7 octobre, à Neuilly, Charles Bousquet, 84 ans, est attaqué et vitriolé à son domicile par un groupe d’inconnus qui l’ont apparemment confondu avec le militant nationaliste Pierre Bousquet (sans rapport avec René Bousquet). Il sera hospitalisé pendant un mois à l’hôpital Foch au service des grands brûlés. Il conservera des séquelles de ses blessures. Il renonce à porter plainte parce que son fils Pierre, professeur d’histoire à l’université de Paris IV, lui a demandé d’agir ainsi à cause des Israélites : « Ils sont à Jérusalem ou à Tel-Aviv, ceux qui ont fait cela. Tout serait inutile. Je veux oublier » (interview accordée à R. Faurisson le 2 mai 1984).

    Le 12 octobre 1980, Mark Fredriksen est roué de coups et admis, dans un état grave, à l’hôpital de Rambouillet. En son absence, son appartement est dévasté. En traitement à Berck-sur-Mer pour de multiples fractures, il manque de subir une nouvelle agression ; trois jeunes gens se présentent qui demandent à le voir ; leur signalement correspond à celui du groupe Aziza qui, ultérieurement, vitriolera Michel Caignet (voir ci-dessous).

    Le 20 octobre, l’écrivain André Figuéras est attaqué à son domicile.

    Michel Caignet

    Le 29 janvier 1981, Michel (Miguel) Caignet, 26 ans, étudiant préparant un doctorat de linguistique anglais-allemand, quitte son domicile de Courbevoie pour se rendre à l’Université lorsqu’il est abordé par quatre individus à proximité de son immeuble. Ceux-ci le renversent, l’immobilisent. L’un des quatre individus lui arrose de vitriol le visage et la main droite.

    M. Caignet avait appartenu à la FANE et il était révisionniste. Il avait été dénoncé par l’hebdomadaire VSD (Vendredi/ Samedi/Dimanche). À la suite du vitriolage, son visage est devenu si atroce que seuls deux journaux ont osé en publier la photographie. L’auteur principal de l’agression, Yves Aziza, étudiant en médecine, fils de Charles Aziza (préparateur en pharmacie à Montreuil), a été connu de la police dans l’heure même qui a suivi l’agression mais la police et la justice françaises ont, dans des conditions scandaleuses et dont le détail est connu, laissé tout le temps à Y. Aziza de s’enfuir vers l’Allemagne et vers Israël. Au ministère de la Justice, un dénommé Main, appartenant à la direction des Affaires criminelles (directeur Raoul Béteille), élude sur un ton sarcastique toute question sur le retard considérable (quatorze jours !) apporté à l’ouverture d’une instruction judiciaire. Parmi les correspondants d’Y. Aziza, on découvre le nom de Daniel Ziskind, fils de Michèle Ziskind, sœur de Jean-Pierre Pierre-Bloch, lui-même fils de Jean Pierre-Bloch.

    Pierre Sidos

    Le 18 septembre 1981, deux cents membres de l’Organisation juive de combat (OJC) font la loi au Palais de justice de Paris où se déroule le procès en diffamation intenté par Pierre Sidos, président de l’Œuvre française, à Jean Pierre-Bloch. Comme d’habitude, les juifs rouent de coups plusieurs assistants.

    Le 25 novembre, les locaux de la librairie Études et documentation sont incendiés par un commando.

    Le 8 mai 1988, place Saint-Augustin à Paris, des commandos de l’OJC attaquent à coups de barres de fer des militants de l’Œuvre française qui participaient au défilé traditionnel en l’honneur de Jeanne d’Arc ; ils font une quinzaine de blessés, dont deux très grièvement atteints. Quatre des personnes agressées seront hospitalisées. Un septuagénaire restera plusieurs semaines dans le coma. Dix membres de l’OJC sont interpellés par la police. Le soir même, Jean-Pierre Pierre-Bloch intervient en leur faveur auprès de la police judiciaire. Des poursuites sont engagées contre quelques agresseurs. Certaines sont abandonnées avec la mention suivante du juge d’instruction : « Instruction inopportune » ; d’autres agresseurs sont jugés non sans que des pressions venues du plus haut niveau politique se soient exercées sur le parquet. Au total, seuls trois agresseurs seront jugés ; ils seront condamnés à deux ans de prison avec sursis ! 

    Olivier Mathieu

    Le 6 février 1990, des millions de téléspectateurs ont pu assister à l’agression commise sur la personne d’Olivier Mathieu lors d’une émission animée par Christophe Dechavanne. Jean-Pierre Pierre-Bloch est venu sur le plateau avec un groupe de militants de l’OJC. O. Mathieu a juste le temps de lancer : « Faurisson a raison ». Une dizaine de nervis le rouent de coups ainsi que sa fiancée et Marc Botrel. Un personnage important des milices juives est présent : Moshe Cohen, ancien sous-lieutenant de l’armée israélienne, responsable, à l’époque, du Tagar, la branche étudiante du Betar (59, boulevard de Strasbourg, Paris Xe). Les agressions continuent en dehors du plateau et jusque dans la rue. Un agresseur sera interpellé par la police et relâché quelques heures plus tard sur l’intervention de Jean-Pierre Pierre-Bloch.

    Suite de la lecture ici

  • Pétition en ligne de 40 millions d’automobilistes contre les nouvelles mesures démagogiques du gouvernement

    -  Je suis un automobiliste raisonnable et responsable et…
    - Je dis « Non » à davantage de restrictions.
    - Je dis « Non » à des décisions prises arbitrairement par le Gouvernement.

  • Les Français sont contre les associations antiracistes

    Le racisme est un danger pour 74% des Français, 59% jugent qu'il a plutôt augmenté au cours des 30 dernières années, selon un sondage réalisé par OpinionWay en vue des universités d'automne de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).

    Mais surtout 86% des sondés se désintéressent de l'action des associations dites antiracistes et 70% les jugent "pas efficaces". Le président de la Licra, Alain Jakubowicz, s'étrangle :

    "Dans les années 80, on était un peu les rois des dîners en ville. Aujourd'hui, il y a un mythe d'associations liberticides, déconnectées des réalités qui pompent l'argent de la société".

    Ce n'est pas vraiment un mythe quand on se souvient des procès intentés par la Licra, notamment contre Eric Zemmour.

    Côté subventions, ce sont 500 000 euros qui sont versés chaque année, avec nos impôts, à la seule Licra.

    Michel Janva

  • Passage à 80 km/h sur route : une mesure juteuse... pour l'Etat

    Le Conseil national de la sécurité routière a émis plusieurs propositions pour faire baisser le nombre de morts sur les routes à 2000, contre 3653 actuellement. Parmi celles-ci, la baisse de la vitesse maximale de 90 à 80 km/h.

    Comment faire passer le nombre annuel de morts sur les routes sous la barre des 2000 décès ? Les experts du Conseil national de la sécurité routière (CNSR) ont planché sur le sujet à la demande de leur président, le député PS du Bas-Rhin Armand Jung. Leur rapport, remis confidentiellement en début de semaine, a pu être consulté par l’Agence France Presse qui en publie les principales recommandations. Ces propositions serviront de base aux discussions des 51 membres du CNSR, qui se réuniront le 29 novembre.

    • Abaisser la vitesse à 80 kilomètres/heure sur les nationales et départementales

    Diminuer la vitesse de 10 km/h sur ces axes permettrait de sauver 450 vies chaque année, selon le rapport. Ce dernier évoque deux scénarios : une vitesse à 80 km/h sur l’ensemble du réseau concerné, ou bien uniquement sur les zones dangereuses. Dans ce deuxième cas, le nombre de vies sauvées serait de 200.

    • Supprimer les obstacles sur les routes

    Combien de vies se terminent tragiquement contre un arbre, un poteau, ou dans un fossé ? Le rapport du CNSR préconise de supprimer le maximum de ces obstacles mortels, très présents sur les routes secondaires. Cela permettrait d’éviter de 120 à 270 accidents mortels.

    • Des éthylotests pour les jeunes

    Le rapport propose d’obliger les jeunes conducteurs à installer un éthylotest anti-démarrage sur leur voiture. Cet appareil se met en route lorsque le contact est enclenché, et invite le conducteur à souffler dans l’éthylotest. Si son taux d’alcoolémie est trop fort, la voiture ne démarre pas. Ce dispositif est déjà obligatoire dans les véhicules servant au transport des enfants mis en service depuis 2010.

    Pour mieux faire passer cette obligation, le rapport indique que l’installation de l’éthylotest pourrait s’accompagner d’une réduction de la prime d’assurance. Les personnes contrôlées avec plus de 0,8 gramme d’alcool, ainsi que les multirécidivistes, pourraient aussi se voir imposer l’installation d’un éthylotest dans leur voiture.

    • Plus de radars

    Enfin, le CNSR propose de développer le « contrôle sanction automatisé » - en d’autres termes, des radars. L’argent collecté par ces derniers devrait permettre de « financer des actions agissant directement sur la sécurité routière ». Le rapport conseille également de mettre en place des campagnes de communication « plus réactives et pertinentes ». Vendredi, Nice-Matin affirmait que deux radars d’un nouveau type venaient d’être installés en Côte d’Azur. Ces derniers flashent en fonction de la vitesse, mais aussi de la taille du véhicule, afin de repérer les excès de vitesse des poids-lourds, par exemple.

    Le Figaro

     http://www.actionfrancaise.net/craf/?Passage-a-80-km-h-sur-route-une

  • Iran : après avoir interdit à la France d’y vendre des voitures, les Etats-Unis réattaquent le marché !

    C’est aussi énorme que pitoyable.

    La France, réduite à l’état de larbin des Etats-Unis autant sous Hollande que sous Sarközy, a sacrifié une partie de son économie et de ses ouvriers sur consigne de Washington :

    « Le président Obama a donné l’ordre de cesser l’activité en Iran, on n’a pas le choix », avait déclaré le 26 juillet, Carlos Tavares, directeur délégué de Renault, avec une certaine amertume. Faute de quoi, l’alliance Renault-Nissan aurait été interdite de vente sur le marché américain.

    Auparavant, en 2012, c’est Peugeot qui avait fait les frais de la politique américaine et de la lâcheté française, avec des conséquences terribles : en quittant l’Iran, PSA avait du renoncer à son premier marché à l’international. Dans la foulée, Peugeot avait annoncé la suppression de 8 000 postes et la fermeture de l’usine d’Aulnay-sous-Bois…
    « Pour le premier semestre 2012, on a constaté une baisse des ventes de 240 000 véhicules par rapport à 2011 », avait rapporté le délégué CGT d’Aulnay, avant d’ajouter que « ce chiffre comprenait les 200 000 véhicules que Peugeot aurait dû vendre en Iran. »

    Et voilà qu’anticipant un dégel entre Washington et Téhéran, les entreprises américaines ont discrètement repris pied en Iran, vaste marché de 80 millions de consommateurs. «La plupart des secteurs de l’économie américaine, y compris des sociétés cotées au Nasdaq, ont envoyé ces derniers mois des émissaires en Iran», affirme un industriel français, familier de la République islamique, au Figaro.

    La filière automobile iranienne est particulièrement courtisée par General Motors. Le géant américain est entré en contact avec Iran Khodro, qui travaillait jusqu’en 2012 avec Peugeot pour fabriquer des modèles 206 et 405 que le groupe français a cessé de livrer à l’Iran à cause des sanctions occidentales imposées à Téhéran… «Depuis au moins six mois que les émissaires de General Motors se rendent en Iran, ils n’en sont plus au simple repérage du marché», avertit l’industriel.

    Avec un ton menaçant (décret Executive Order Act 13645 signé le 3 juin dernier par Barack Obama), les Etats-Unis ont « fait le ménage » sur le marché iranien, et maintenant prennent le relais.
    Les gouvernements de trahison français ont obéi au doigt à l’oeil et ont même devancé les exigences américaines, quitte à sacrifier les ouvriers français et mettre à mal l’économie… Pour le résultat que l’on sait.

    http://www.contre-info.com/

  • La confiscation de l’épargne devient une tendance mondiale

    « Maintenant que le « bail-in » (c’est-à-dire le sauvetage d’une banque effectué en mettant les déposants à contribution, comme cela a été fait à Chypre, ndlr) est devenu une pratique acceptée tout autour de la planète, aucun compte bancaire et aucun fonds de pension ne sera plus jamais en sécurité à 100% », écrit Michael Snyder sur « The Economic collapse ».

    Il cite des exemples qui indiquent que cette pratique s’est en effet généralisée dans le monde au cours des derniers mois :
    Pologne : Reuters rapporte que le gouvernement polonais a annoncé mercredi dernier qu’il allait transférer à l’Etat plusieurs actifs détenus par des fonds de pension privés pour réduire la dette nationale. L’association des fonds de pension polonais a jugé que cette décision était inconstitutionnelle parce que le gouvernement s’est emparé de certains de leurs actifs privés sans leur proposer la moindre compensation.

    Islande. Ce pays a été salué pour sa gestion de la crise financière. Cependant, le ministère des Finances vient de proposer de limiter la garantie des dépôts bancaires à 100.000 euros. Cette mesure ne manque pas de rappeler que l’Europe a érigé la solution adoptée à Chypre (c’est-à-dire la mise à contribution forcée des déposants détenant plus de 100.000 euros en compte) en « modèle », d’autant qu’en parallèle, des contrôles de capitaux ont été mis en place, qui ont permis de limiter les sorties de capitaux à 6 milliards d’euros.

    Europe. Jeudi dernier, les ministres des Finances de la zone euro ont approuvé un plan qui promeut la méthode du « bail-in » comme la méthode type pour porter secours aux banques « too big to fail » à l’avenir. Ce plan prévoit que les clients titulaires de dépôts supérieurs à 100.000 euros seront les premiers à subir des pertes en cas de tombée en faillite de la banque. Les contribuables ne seront plus mis à contribution qu’en dernier ressort.

    Italie. Un « bail-in » est actuellement organisé pour la banque Monte dei Paschi, la plus ancienne banque italienne. En clair, la banque ne paiera plus d’intérêt sur 481 millions d’obligations hybrides. Ces titres ont été choisis en particulier, parce qu’ils n’offrent aucune protection ni aucun recours à leur détenteur. Les clauses de leur règlement prévoient que l’absence de paiement des intérêts de l’emprunt ne sera pas considérée comme un défaut de paiement. Il ne semble pas que ce sauvetage devrait concerner d’autres titulaires de comptes privés, mais cela montre que les officiels européens sont déterminés à appliquer la solution du « bail-in » en cas de chute d’une banque.

    Nouvelle-Zélande. Bill English, le ministre néo-zélandais des Finances est favorable à la solution chypriote pour porter secours aux banques en difficultés, qu’il a adaptée à la Nouvelle Zélande avec l’Open Bank Resolution (OBR). L’OBR prévoit qu’en cas de faillite d’une banque, tous les déposants subiront une ponction immédiate sur leur épargne pour financer le plan de secours de la banque.

    Canada. Le Canada est également en train de proposer la méthode du « bail-in » dans le cadre de la préparation du budget du gouvernement. Le nouveau budget propose de mettre en place un régime de « bail-in » pour les banques du Canada d’une importance systémique. Cette proposition est datée du 21 mars, ce qui implique qu’elle est antérieure à la mise au point de la solution chypriote.

    « Cela signifie que les gouvernements du monde considèrent désormais que notre argent constitue une partie de la solution en cas de faillite future de grandes banques », écrit Snyder.

    Il n’y a plus d’endroit offrant une garantie totale pour placer son argent. Plus que jamais, il est impératif de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, et de répartir ses actifs sur différentes sortes de supports au sein de plusieurs banques/institutions financières. Ceux qui s’en abstiendront et qui placeront toute leur fortune dans une seule banque ne devront pas se montrer surpris si un jour une grande partie venait à disparaître à la suite d’une décision officielle.

    Express.be

    http://fortune.fdesouche.com/326565-la-confiscation-de-lepargne-devient-une-tendance-mondiale#more-326565

  • Directive Bolkenstein et bas salaires : vive Bruxelles !

  • L'utopique unité gouvernementale

    L’affrontement médiatique entre le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, et le ministre du Logement, Cécile Duflot, autour de la question de l’accueil de la population Roms aura visiblement été la goutte d’eau qui aura fait déborder le vase de l’exécutif français.

    Dernier couac d’une série quasi-quotidienne, elle a eu pour conséquence un rappel à l’ordre des outrecuidants par le Premier ministre lui-même, doublé d’une fameuse punition : « Toute demande d’interview de ministre devra d’abord recevoir le feu vert de Matignon », dixit Jérôme Batout, chef du pôle stratégie, médias et communication de Matignon.

    A l’heure de la communication tous-azimuts, l’enjeu est de taille : préserver l’unité gouvernementale et la décence de la fonction ministérielle, celles-ci réclamant en préalable l’indispensable effacement de l’ego des ministres devant leur mission, la mise en « silence » de leur égotisme devant les responsabilités qu’induit le poste obtenu. Finis les coups bas et les phrases assassines, finis les incartades individualistes et les coups de communications solitaires : l’union fait la force, et c’est peu dire qu’en ce moment, le gouvernement en manque cruellement...[...]

    Augustin Debecker - La suite sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-utopique-unite-gouvernementale