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magouille et compagnie - Page 2211

  • Après l’OGM voilà l’EGM « Enfant Génétiquement Modifié »

    De Anne Girault, Présidente de Femina Europa, Représentante de l’Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques (UMOFC) au Conseil de l’Europe et à l’UNESCO :

    "A Strasbourg, [hier], dans une course contre la montre, plus de vingt parlementaires du  Conseil de l’Europe ont signé  un projet de déclaration contre la création d’embryons avec trois parents génétiques (au moins). “Les membres de l’assemblée parlementaire affirment que la création d’enfants avec du matériel génétique de plus de deux personnes géniteurs, proposée par l’Autorité d’embryologie et de fertilité humaine du Royaume-Uni, est incompatible avec la dignité humaine et le droit international.”" [voir le projet plus bas]

    "Le Parlement britannique qui n’a pas ratifié la Convention d’Oviedo sur la protection du génome humain veut autoriser dans les prochaines semaines une technique appelée « remplacement mitochondrial » pour soigner une maladie rare. Cette manipulation fait appel à l’ADN de trois personnes et détruit un embryon sain pour en soigner un autre. Le droit à la vie de l’embryon sain n’est pas respecté et la technique utilisée permet le clonage.

    Les premiers enfants nés génétiquement modifiés ne seront pas garantis, car une telle procédure n’est pas maîtrisable, ce seront des cobayes à vie qui transmettront leur nouvel ADN à leur descendance. La fondatrice de CORE « Comment on Reproductive Ethics » Joséphine Quintavalle a exposé les arguments scientifiques, juridiques et éthiques contre cette pratique eugéniste au cours d’une audition publique au Parlement. Les textes qui protègent la vie et l’embryon existent mais ils sont toujours remis en cause et affaiblis par des interprétations relativistes ou réductrices. CORE a répertorié de nombreux cas de femmes « donneuses » d’ovules qui sont devenues stériles ou ont eu des difficultés à avoir des enfants après une hyperstimulation ovarienne. Un documentaire a été produit pour attirer l’attention sur leur sort et avertir les femmes vulnérables qui risquent leur santé et même quelquefois leur vie pour un peu d’argent. Le Parlement Britannique sera-t-il sensible à la pression des parlementaires ? En Californie le Gouverneur Jerry Brown a récemment refusé une loi qui autorisait les chercheurs à acheter des ovules. Il a précisé que les risques pour la santé des femmes étaient trop élevés et que « tout n’est pas à vendre dans la vie ». Et comme disait un chercheur « je fais de la génétique mais pas de l’eugénisme »."

    Projet de déclaration écrite de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) sur la création d’embryons avec du matériel génétique issu de plus de deux géniteurs

    Lire la suite "Après l’OGM voilà l’EGM « Enfant Génétiquement Modifié » "

    Michel Janva

  • Répression contre les nationalistes en Grèce : ça continue !

    553572-nikos-michaloliakos-entoure-de-policiers-masques-a-la-sortie-des-locaux-de-la-police-le-28-septembre.jpgArrêté le week-end dernier avec 17 autres députés de son parti, le chef du parti nationaliste grec Aube dorée, Nikos Mihaloliakos, a été placé en détention provisoire mercredi soir.
    Le Système l’accuse éhontément de « diriger une organisation criminelle » [sic].
    Mercredi, quatre autres députés d’Aube dorée ont été inculpés du même chef d’accusation. Trois d’entre eux ont bénéficié d’une liberté conditionnelle tandis que le quatrième, Yannis Lagos, a été placé en détention provisoire. Le numéro deux du parti, Christos Pappas, doit comparaître à son tour ce jeudi devant le juge d’instruction.

    Communiqué du Renouveau français à ce sujet, que nous relayons volontiers :

    « Scandale et grave répression politique en Grèce

    En Grèce, le Système mène actuellement une campagne d’intoxication médiatique et de répression policière et judiciaire contre le parti « Aube dorée », notamment en emprisonnant son président de façon totalement injustifiée.

    De façon similaire à ce que l’on a connu en France avec les manipulations autour de « l’affaire Méric », la tyrannie en place en Grèce instrumentalise la mort d’un activiste d’extrême-gauche belliqueux, décédé en attaquant des Grecs patriotes.

    Confirmé par de prometteurs sondages, l’essor du mouvement nationaliste – seul porteur des solutions aux graves problèmes que connaît le peuple grec -, effraie visiblement l’Oligarchie, qui craint un réveil populaire et le retour de « la Grèce aux Grecs ».

    Le Renouveau français salue de nouveau le travail et les progrès de l’Aube dorée, dénonce fermement les scandaleuses manœuvres liberticides du gouvernement grec, et assure les dirigeants et les militants de la résistance nationale grecque de sa sympathie et de son soutien.

    Il invite les patriotes français à faire part de leur indignation à l’ambassade grecque :
    17 rue Auguste Vacquerie 75116 Paris
    Téléphone : 01 47 23 72 28 Fax : 01 47 23 73 85
    gremb.par@mfa.gr »

    http://www.contre-info.com/

  • Pas de pays libre sans défense nationale

    Sur l’antenne de RTL, le général Vincent Desportes, ancien directeur de l’École de guerre, professeur associé à Sciences-Po, connu pour don franc parler –voir notre blog- a vivement critiqué les dernières orientations  budgétaires impactant très fortement notre Défense nationale. Une paupérisation de notre  outil militaire qui acte une volonté politique de faire de la France  une puissance de seconde zone. Une France  toujours plus inféodée à l’Otan et tributaire de l’Empire pour assurer sa sécurité, de moins en moins à même défendre nos intérêts, notamment dans sa capacité de projection en  dehors de nos frontières.

      Nous le rapportions en  2010, citant le site Secret défense,  le général Desportes « s’était vu barrer la route à la direction de l’IHEDN et à une quatrième étoile ». En effet, « il  avait déjà été soupçonné d’être l’un des membres du groupe Surcouf, qui avait, en 2008, publié une violente charge contre le Livre blanc de la Défense ». « Livre blanc » dont les orientations délétères entamées  largement  sous Sarkozy, avaient été dénoncées alors par Bruno Gollnisch, car finalisant la volonté   d’amoindrir dramatiquement   notre outil militaire, désormais simple force d’appoint aux opérations du Nouvel ordre mondial.

     Marine Le Pen était la seule candidate lors de la dernière présidentielle à vouloir enrayer cette évolution très inquiétante. Elle  propose  notamment  de porter à au moins 2% du PIB l’effort consenti à notre défense nationale, assurance-vie du peuple français plus que jamais indispensable en ces temps troublés. On sait ce qu’il advient des peuples qui confient à d’autres le soin  de leur protection…

    Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian  détaillera aujourd’hui   les restructurations des armées. Il évoquera certainement  les suppressions de régiments et d’unités pour 2014,  « prévues dans le cadre de la Loi de programmation militaire (LPM), » lesquelles «  provoquent déjà la colère d’élus des territoires concernés et d’officiers » rapporte Le Parisien.

     « Présentée début août, la LPM prévoit notamment 23 500 suppressions de postes supplémentaires à la défense durant la période 2014-2019.  Sur les 23.500, 9000 doivent l’être au sein des forces opérationnelles et 14 500 dans le soutien et l’environnement des armées. Une baisse des effectifs qui s’ajoute aux 54 000 postes déjà supprimés dans le cadre de la précédente LPM (2008-2013). »

     Cette grogne de la grande muette est-il encore écrit,  s’est « exprimé notamment dans un Manifeste pour la sauvegarde de nos armées diffusé par un cercle de réflexion baptisé les sentinelles, regroupant des officiers et d’anciens officiers, qui dénoncent anonymement une entreprise de démolition des armées.»

     La  défiance de l’Etat socialiste vis-à-vis des militaires est aussi au cœur des récriminations légitimes des personnels des armées.  Notamment avec «  le projet de réforme de l’organisation du ministère. Elle retire notamment à l’état-major la gestion des personnels, pour la confier à la direction des ressources humaines du ministère. »

     «En clair, les généraux ou amiraux seraient des techniciens du combat, peu aptes à gérer des hommes, des finances, des relations internationales, voire des services logistiques», écrivait mi-septembre dans Le Figaro le général Henri Bentégeat. L’ancien chef d’état-major des armées mettait notamment en garde contre un système  où les militaires sont tenus en suspicion».

     Dans un entretien accordé au quotidien La Croix le 1e mai dernier, le général Desportes relevait avec justesse que «  c’est déjà une défense minimale que le président de la République conduit à la relégation. Le Livre blanc de 2008 avait fait passer notre format à envoyer dans les opérations conventionnelles majeures de 50 000 à 30 000 hommes et de 100 à 70 avions de combat. Nous avions alors atteint véritablement un seuil. Et voilà que nous passons maintenant en dessous de ce seuil, avec un format de 15 000 hommes et 45 avions de combat. »

     Or, « il était nécessaire de rétablir une autonomie de transports stratégiques (avions gros porteurs, navires de projection) qui manque aujourd’hui cruellement à l’armée française. Cela n’est pas prévu. Nous ne pourrons conduire nos opérations que si les Américains les soutiennent. La France avait la première défense européenne, elle avait cet avantage de pouvoir intervenir dans les crises en son nom et au nom de l’Europe. Elle rentre dans le rang. »

     Le général Desportes concluait son propos en affirmant   que  la sécurité de la France et des Français ne saurait  se réduire à la seule  dissuasion nucléaire. Menace nucléaire, iranienne celle-là,  qui est au cœur des préoccupations du premier ministre israélien.  Mardi soir, à la tribune de l’ONU, Benjamin Netanyahu  a évoqué la possibilité d’une   action militaire unilatérale contre l’Iran.  Une déclaration qui  matérialiserait l’inquiétude de Tel-Aviv devant le  timide réchauffement des relations entre Washington et Téhéran –le dialogue direct renoué, une première depuis près d’un quart de siècle,  entre  Barack Obama  et Hassan Rohani .

      Pour autant , signe de la valse hésitation du  président américain, celui-ci,  après avoir  déclaré la semaine dernière être  prêt à donner une chance à la diplomatie pour sortir de l’impasse actuelle sur   dossier nucléaire iranien, a  rappelé lundi en recevant M.  Netanyahu à la Maison-Blanche que Washington « ne  (renonçait)  à aucune possibilité, dont l’option militaire ».

     Mardi, le Premier ministre de l’Etat hébreu a donc martelé que «Si Israël doit agir seul, alors Israël agira seul»,  que son pays «n’acceptera jamais de voir des armes nucléaires entre les mains d’un régime voyou qui, plusieurs fois, a promis de nous rayer de la carte».« Pourquoi un pays doté d’un programme nucléaire civil développe-t-il des missiles balistiques intercontinentaux, dont la seule fonction est de transporter des ogives nucléaires?». Aussi a-t-il exigé, relève Le Figaro, «  l’arrêt des centrifugeuses, l’évacuation vers l’étranger des stocks d’uranium enrichis et le démantèlement du programme iranien (…). »

     Mais Israël, qui faut il le rappeler est le seul pays de la région à posséder l’arme nucléaire,  a-t-il les moyens de mettre ses menaces à exécution ? « Le drame de Netanyahu, c’est qu’il menace l’Iran avec un revolver vide, décrypte Yossi Melman, spécialiste des questions de défense pour l’hebdomadaire Sof HaShavua. Le site d’enrichissement de Fordow, dont l’existence a longtemps été tenue secrète, est enterré à 70 mètres de profondeur, hors d’atteinte des armes israéliennes. »

     Dans les faits affirme-t-il,  « seuls les États-Unis disposent de bombes assez lourdes pour frapper ces installations, ainsi que de bombardiers capables de les transporter. Israël peut tout au plus retarder d’un an ou deux le programme iranien et ce, au prix d’un isolement diplomatique qui promet d’être durable».

     En mars de l’année dernière,  Pierre Beylau dans Le Point,  soulignait  les graves conséquences d’une attaque militaire israélienne sur l’Iran pour l’empêcher de mener à bien son programme nucléaire.

      « Un bombardement de l’Iran déclencherait une onde de choc incontrôlable : probable blocage du détroit d’Ormuz (avec envolée des cours du brut), embrasement des fronts Hezbollah libanais et Hamas palestinien. Une telle initiative, de l’avis des experts, ne résoudrait rien. Elle ne ferait, au mieux, que retarder le programme iranien. Tout en confortant Téhéran dans l’idée que seule la détention de l’arme nucléaire permettrait de sanctuariser le territoire iranien. C’était déja l’idée du Shah. »

     La crainte de cette « sanctuarisation » de l’Iran est bien pour beaucoup d’observateurs  la vraie  raison  des propos belliqueux de (certains) dirigeants israéliens.

     Certes,  nous pouvons comprendre   les craintes du peuple israélien  au regard des déclarations (homériques) du prédécesseur de M. Rohani, Mahmoud Ahmadinejad. Si seuls  les Etats-Unis l’ont utilisé, par deux fois contre les civils japonais en 1945, l’arme nucléaire est pas définition une arme de dissuasion, c’est-à-dire de non emploi du fait de  la réponse militaire de même nature qu’elle déclencherait en retour du pays agressé qui la posséderait.

     Une  réalité, note Bruno Gollnisch,  qu’intègre bien évidemment le général Desportes cité plus, lorsqu’il réclame pour notre pays un outil militaire cohérent et efficient pour sa sécurité,  qui ne repose pas uniquement sur l’atome…Pas de pays libre sans défense nationale digne de ce nom.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/03/pas-pays-libre-defense-nationale/

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    http://aucoeurdunationalisme.blogspot.fr/

  • Pressions sur les maires : Valls et Taubira bafouent la légalité républicaine

    Valls et Taubira s’inscrivent dans une démarche totalitaire.
    Cinq ans de prison, c’est ce que risquent, selon Valls et Taubira, les maires qui refuseraient de procéder au mariage de paires homosexuelles. Deux circulaires explicitent ce point de vue. Elles oublient l’une et l’autre un principe essentiel du droit : la loi pénale est d’application restrictive. En en proposant une interprétation extensive pour des raisons politiques, Valls et Taubira s’inscrivent clairement dans une démarche totalitaire. S’appuyant sur un texte de doctrine d’un rapporteur du Conseil d’État, Léopold Gautier, réinformateur et publiciste, montre avec une grande rigueur juridique que les maires peuvent légalement user de leur objection de conscience.
    Polémia.
    Après l’adoption tonitruante, le 17 mai 2013, de la loi autorisant le mariage entre personnes de même sexe, Christiane Taubira et Manuel Valls, respectivement garde des Sceaux et ministre de l’Intérieur, ont signé deux circulaires à destination des préfets et des parquets. Ces circulaires, du 29 mai et du 13 juin, évoquent le traitement à réserver aux élus municipaux qui refuseraient de célébrer un tel « mariage ».
    Il y est affirmé – mais non démontré – qu’un maire qui, pour des motifs personnels, refuserait de célébrer un mariage entre personnes du même sexe s’exposerait à des sanctions pénales. Sont visés deux délits incriminés par le Code pénal : d’une part, la discrimination (fondée sur l’orientation sexuelle) ; d’autre part, l’abus d’autorité. Il semble pourtant plus que douteux que les maires réfractaires puissent être poursuivis sur ces chefs de prévention.
    À titre liminaire, rappelons que le maire ne risque aucune poursuite dès lors qu’il délègue à un adjoint le soin de procéder à ce mariage – et en cela la proposition de loi du sénateur Masson pour la reconnaissance légale d’une objection de conscience en la matière n’apportait rien, car exigeant une telle délégation de la part du maire.
    Le « risque pénal » pèse donc sur le maire qui refuse de célébrer le mariage et ne délègue pas (pour la simple et bonne raison que ses adjoints partagent ses convictions et refusent également de célébrer).
    1/ Quelle discrimination ?
    L’article 225-1 du Code pénal réprime la discrimination comme « toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de », notamment depuis 2001, « l’orientation sexuelle » ; lorsque cette discrimination est commise par une « personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission », le Code fulmine à l’encontre de celle-ci une peine de 5 ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende (article 432-7).
    Or il n’est pas du tout certain qu’un maire réfractaire relève de cet article. Ce n’est pas Madame Michu mais Frédéric Dieu, rapporteur au Conseil d’État, qui le dit : « S’il y a discrimination à raison du sexe ou de l’identité sexuelle lorsque le maire refuse de regarder comme une épouse une personne qui n’est pas née femme mais l’est devenue, une telle discrimination n’est pas caractérisée lorsque le refus de célébrer le mariage s’appuie sur une distinction non pas entre personnes physiques mais entre situations associant chacune deux personnes physiques, à savoir la situation d’un homme et d’une femme d’une part, la situation de deux personnes de même sexe d’autre part (1). »
    De fait, l’interprétation stricte de la loi pénale plaide plutôt pour une non-applicabilité des articles 225-1 et 432-7 aux maires réfractaires. Partant, le premier chef de poursuites visé doctement par Taubira et Valls n’emporte pas vraiment la conviction.
    2/ Quel abus d’autorité ?
    L’article 432-1 du Code pénal incrimine « le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi ». « Prendre des mesures » : clairement, c’est un acte positif qui est exigé par le législateur, de sorte qu’une simple abstention ne saurait caractériser l’élément matériel de l’infraction. C’est d’ailleurs ce qu’a rappelé la Cour de cassation en 2003 (2) : « L’inertie ne peut être assimilée aux mesures positives d’abus d’autorité » sanctionnées par l’article 432-1. Or qu’est un refus sinon une inertie, une abstention ? Quelles mesures le maire réfractaire prend-il, positivement, pour faire échec à l’exécution de la loi sur le mariage homosexuel ? Aucune, justement : il se contente de ne rien faire.
    Le principe d’interprétation stricte de la loi doit primer sur les velléités répressives exprimées par ces circulaires.
    Le plus inquiétant, au-delà de la mauvaise foi idéologique ambiante, c’est bien sûr que les ministres de la Justice et de l’Intérieur, c’est-à-dire les ministres les plus concernés par le droit pénal, semblent à ce point étrangers à des principes aussi fondamentaux que la légalité des délits et des peines ou l’interprétation stricte de la loi pénale : même les étudiants en deuxième année de droit connaissent ces principes fondateurs de la sécurité juridique…
    Léopold Gautier, 30/09/2013
    http://www.polemia.com/pressions-sur-les-maires-valls-et-taubira-bafouent-la-legalite-republicaine/
    Notes :
    1 Frédéric Dieu, « Les maires et l’objection de conscience : fragilisation de l’état civil, fragilisation de l’Etat », La Semaine juridique – Administrations et Collectivités territoriales, n° 19, 6 mai 2013, act.406.
    2 Crim. 19 février 2003, n° 02-84.058.

  • Répression contre l’Aube dorée : un militant témoigne en direct – Traduction Novopress

     

    Répression contre l’Aube dorée : un militant témoigne en direct – Traduction Novopress

     

    Ci-dessus. Sondage sur les intentions de votes : Aube dorée (à droite) troisième parti de Grèce et deuxième chez les moins de 45 ans.

    ATHÈNES (NOVOpress) – À moins de savoir assez bien le grec moderne pour pouvoir consulter le site officiel d’Aube dorée, il est extrêmement difficile d’avoir sur les événements en cours une autre version que celle des grands médias. Le site Golden Dawn International tenu par des militants américains de l’Aube dorée, n’a pas été mis à jour depuis plus d’une semaine.

    Radio Bandiera Nera, la webradio du mouvement italien Casapound, a donc réalisé un entretien par Skype avec Costantino (Kostas), militant historique de l’Aube dorée et animateur de l’émission hebdomadaire hellénophone, RBN Hellas. Costantino a fait ses études en Italie et est parfaitement bilingue. Diffusé en direct mardi à 18 heures, l’entretien est désormais disponible à la réécoute (*). Pour tous ceux qui, sans nécessairement partager toute l’idéologie ou approuver toutes les manières de faire du parti le plus honni d’Europe, veulent entendre une autre voix voici le texte de cet entretien traduit en français pour Novopress.
    Flavien Blanchon

     

     

     

    « Que s’est-il réellement passé ?

     

    Après l’assassinat d’un jeune antifasciste, il y a deux semaines, à la suite d’un affrontement entre supporters de football dans la banlieue d’Athènes, la gauche, le centre, les socialistes et aussi la droite grecque ont commencé à attaquer Aube dorée. Les sondages nous attribuaient désormais plus de 15% au niveau national. Le numéro 3 de notre mouvement était donné par les sondages comme probable prochain maire d’Athènes, avec plus de 60% des intentions de vote. Vous pouvez imaginer ce que pouvait signifier conquérir la ville la plus importante de Grèce.

     

    Et il a été arrêté lui aussi ?

     

    Tout à fait. Il a été arrêté en même temps que notre premier secrétaire, que le secrétaire adjoint du parti, et que quatre autres députés qui faisaient partie du noyau historique d’Aube dorée – ce n’étaient pas des nouveaux venus. Ils savaient parfaitement qui arrêter. S’est alors ouverte une chasse au “fasciste” avec plus de 30 arrestations. Et ils n’ont pas encore terminé.

     

    Les accusations sont terribles : la principale est l’association de malfaiteurs. Désormais tous les militants, et les électeurs, qui sont plus de cinq cent mille, sont traités de délinquants par les journaux télévisés et les radios. Et puis extorsion de fonds, détention d’armes. Ils découvriront sûrement des avions, des porte-avions, des chars d’assaut. Nous les avions pourtant bien cachés, tous les chars d’assaut que nous possédions.

     

    Je dois ajouter que, la semaine dernière, ils ont fait arrêter quatre haut-gradés de la police pour liens présumés avec notre mouvement, ainsi que des agents des forces spéciales grecques. Vous pouvez voir qu’il s’est agi d’une attaque bien étudiée.

     

    Ils ont en outre arrêté les nôtres un samedi, quand le parlement grec ne siégeait pas, et donc sans attendre un vote pour lever l’immunité de nos députés. C’est la première fois, non seulement en Grèce mais, je crois, dans toute l’Europe, que le premier secrétaire d’un parti, et qui est député, est arrêté sans vote du parlement.

     

    Peux-tu nous expliquer comment fonctionnent exactement en Grèce les dispositions sur l’immunité parlementaire? Existe-t-il une loi du même genre qu’en Italie [et qu’en France, NdT] ?

     

    Oui, il y a une loi du même genre. Si l’on veut arrêter un parlementaire, il faut aller au parlement et les députés doivent voter la levée de l’immunité. C’est ce que prévoiraient les normes démocratiques. Mais elles ne nous ont pas été appliquées à nous.

     

    Voilà donc la situation judiciaire. Peux-tu nous parler à présent de la situation politique ? Est-ce que le mouvement est en train de réagir ? Dis-nous bien sûr seulement ce qu’il est opportun de dire en public.

     

    Oui, même si notre leader est en prison, sa femme, qui est elle aussi députée, lui sert de porte-parole et est en contact avec lui. D’ici 3 ou 4 jours, nous verrons les développements, y compris judiciaires, mais nous sommes là.

     

    Mais savez-vous comment ils font? Ils entrent dans les maisons des militants, ils trouvent des tee-shirts d’Aube dorée et des drapeaux grecs. À ce propos, le ministre de la justice a déclaré officiellement que la police avait le droit d’arrêter et de fouiller toute personne qui porte un drapeau grec dans la rue. Aujourd’hui donc, le drapeau grec est quelque chose de criminel. Pour le reste, ils ont tout au plus trouvé des armes-jouets à air comprimé.

     

    Et puis cette semaine, le parlement votera une nouvelle loi “antiraciste” et vous pouvez imaginer quelles seront les règles.

     

    Quelles sont les dispositions actuelles en Grèce ? Existe-t-il une loi analogue à la loi Mancino [loi italienne de 1993, qui est l’équivalent, en beaucoup moins rigoureux, des lois Pleven et Gayssot en France, NdT] ?

     

    Il existe une loi mais plutôt “douce”. Par exemple, il est permis d’utiliser le symbole du faisceau ou de faire le salut romain. La nouvelle loi que le parlement est sur le point d’approuver, en revanche, sera peut-être encore plus dure que la loi allemande.

     

    Quelle a été la réaction des gens ordinaires ?

     

    Dans toute cette affaire, c’est là que je peux dire quelque chose de positif: les gens ordinaires n’ont pas gobé ces mensonges. Je parle avec les gens et ils sont tous avec nous. Même des gens qui n’ont pas voté Aube dorée jusqu’ici, mais qui disent “à présent, je voterai pour elle!” La Grèce est un État qui traverse en ce moment une crise terrible, elle est probablement déjà en faillite, les banques nous ont tout pris, il y a le nouveau mémorandum [le nouveau plan d’austérité] qu’ils ont déjà voté et personne ne le sait, et pendant ce temps la presse parle d’Aube dorée.

     

    Vous autres Italiens, du reste, vous avez vécu les années 1970, et vous savez ce qu’est le mensonge d’Etat. Mais cette fois, probablement, ils ont exagéré.

     

    […] Nous avons bon moral et ceux qui le peuvent vont tous les jours protester devant le Palais de Justice, même au risque d’être arrêté. »

     

    * Sur RBN pour écouter l’entretien sans être gêné par la musique, cocher la case sous “Diretta – Stoppala quando ascolti un Podcast”.

     

    Crédit image : Sondage de la société Pulse pour le journal 6Μέρες. en Novembre 2012. DR.

    http://fr.novopress.info/141886/repression-contre-laube-doree-un-militant-temoigne-en-direct-traduction-novopress/#more-141886

     

  • Faute de "shutdown" en France, une grève de l'impôt ?

    Ivan Rioufol regrette, dans cette chronique, que la France ne puisse connaître un "shutdown" à l'américaine :

    "Ainsi donc, le "shutdown" américain (la fermeture brutale de certains services administratifs), décidé mardi après le refus des Républicains de voter le budget 2014 et la réforme de l’assurance maladie de Barack Obama, serait une catastrophe pour les Etats-Unis. C’est du moins ce qu’assure le discours dominant, à l’exception du quotidien L’Opinion (qui titre ce mercredi : "Vivement un "shutdown" en France !"). Les mêmes perroquets y vont de leur condamnation du Tea Party, bête noire du bien-pensisme, qui aurait poussé la droite à se radicaliser. J’avoue, au contraire, trouver réjouissant que des parlementaires fassent leur travail, qui consiste à donner ou non leur aval au prélèvement de l’impôt. Et je ne vois pas ce qu’il y a de choquant qu’une partie de la société, à travers le Tea Party en l’occurrence, puisse donner son avis puisque ce sont aussi ces contribuables qui paieront la note. Je ne mésestime pas les problèmes d’organisation que pose cette interruption partielle, qui ne concerne néanmoins que des services marginaux. 800.000 fonctionnaires sont au chômage technique. Mais est-ce à l’Etat fédéral de prendre en charges ces missions annexes, qui pourraient peut-être être confiées à des services privés ?"

    Et de se demander s'il faut espérer une grève de l'impôt en France :

    "Cela pour dire qu’il est malheureusement inconcevable qu’un tel scénario se produise un jour en France, tant l’Etat est le pivot de notre civilisation. Malheureusement,  car faute de vigilance extérieure, de pression de la société civile, d’efficaces contre-pouvoirs parlementaires, nous assistons à la pénible fuite en avant d’un gouvernement incapable, lui comme d'autres, de cesser d'engraisser l’Etat ventripotent et surendetté, qui s’achemine vers la possible banqueroute. Inutile de croire en la "détermination" de nos prétendus réformateurs ; ils n’ont jamais rien fait. Seul un électrochoc viendra à bout de l’endettement public. Or, faute de "shutdown", nous devons endurer l’assommoir fiscal et l’exode des talents. A moins que ne se décide une de ces rébellions des contribuables dont l’histoire à le secret. C’est ainsi que fut lancée, par exemple, la révolution de 1789. Actuellement, des appels à la grève de l’impôt s'élaborent sur le Net. Ils ont pour eux de répondre, légitimement, à des situations effectivement insupportables. J’en viens à espérer parfois une telle rupture, devant l’entêtement du pouvoir. Et vous, qu’en pensez-vous ?"

    La référence à 1789 étant connue, voici deux autres précédents historiques (choisis parmi de nombreux autres) :

    • Le cercle vicieux du recouvrement de l'impôt sous l'Empire romain : plus l'Empire s'affaiblissait, plus il devait augmenter les impôts et la répression pour les recouvrir, moins il était légitime, plus il courait à sa perte :

    "Il ne resta alors aux contribuables que le choix de devenir des évadés fiscaux. Dès le IIIème siècle - et cela marqua le début de la chute de l’Empire romain - des agriculteurs révoltés par la dîme, et les autres impôts, quittèrent petit à petit leurs champs pour tenter leur chance ailleurs, le plus loin possible du pouvoir qu’ils fuyaient, c’est-à-dire à l’époque au bord du "limes", de la frontière séparant l’Empire romain des barbares. La furie fiscale de l’Empire romain transforma ainsi d’honnêtes agriculteurs en des "bagaudes", bandes de brigands, qui contrôlèrent jusqu’aux deux cinquièmes de la Gaule, et celle-ci fut d’autant plus aisément envahie par les Barbares… Ces bagaudes se rendirent d’ailleurs rapidement compte que la barbarie ne présentait pas que des inconvénients, puisque la fiscalité y était plus douce…

    L’appétit fiscal du plus grand empire du monde, l’augmentation systématique des sanctions et des pouvoirs du fisc causèrent finalement l’effondrement d’un pouvoir qui fit disparaître les richesses en voulant les accaparer."

    Article complet ici.

    • Un exemple de grève de l'impôt réussie, quand, deux ans après la crise des inventaires, la région de Narbonne décide de se soustraire à l'impôt, par des pétitions ou "l'accueil" des précepteurs dans les villages :

    "La grève de l'impôt pratiquée dans l'Aude en 1907, utilisée pour faire pression sur le gouvernement, se révèle plutôt réussie eu égard aux objectifs initiaux des protestataires. Du point de vue de son efficacité politique, ce mouvement de désobéissance fiscale a permis aux vignerons d'obtenir des dégrèvements d'impôts substantiels et le vote d'une loi censée les protéger contre les fraudeurs."

    Extrait de "Les Batailles de l’impôt. Consentement et résistances de 1789 à nos jours", de Nicolas Delalande, dont vous trouverez des extraits plus longs ici et le résumé ici.

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  • Roms : la fausse fermeté de Manuel Valls, par Jérôme Bourbon

    « Manuel Valls a semé l’effroi au sein de la gauche dite humaniste en déclarant que les Rroms avaient « vocation à retourner en Roumanie ou en Bulgarie », qu’ils ne pouvaient “s’intégrer”. Disant cela, il ne faisait que reprendre des propos qu’il avait déjà tenus le 14 mars dans Le Figaro, où il disait : « L’insertion ne peut concerner qu’une minorité. Les occupants des campements ne souhaitent pas s’intégrer dans notre pays pour des raisons culturelles ou parce qu’ils sont entre les mains de réseaux versés dans la mendicité ou la prostitution ». 93 % des Français interrogés par BVA lui donnent raison, ce qui n’est pas une surprise puisqu’ils avaient déjà approuvé les mâles déclarations de l’UMP Christian Estrosi sur la question et n’avaient pas semblé particulièrement scandalisés par les propos du maire centriste de Cholet, Gilles Bourdouleix, selon lesquels « Hitler n’en aurait pas tué assez (de gens du voyage) », même si l’édile a contesté avoir prononcé cette phrase qui déclencha un concert d’indignations et des poursuites pénales immédiates — les media rappelèrent avec gourmandise que le fautif risquait jusqu’à cinq ans de prison ferme tandis que la formation à laquelle appartenait Bourdouleix et présidée par Borloo se joignit sur-le-champ à la meute ! —.

    Cette fois-ci l’indignation est moins unanime mais nombre de camarades socialistes de Valls dont le premier secrétaire du parti et ci-devant président de Sos-Racisme Harlem Désir, mais aussi Arnaud Montebourg (quoique ce dernier ait depuis fait machine arrière sur ordre) ou Marisol Touraine ont publiquement pris leurs distances avec le ministre de l’Intérieur.

    Daniel Cohn-Bendit évoque quant à lui un « discours idiot et dangereux », notant qu’ « il y a une soixantaine d’années, il y a des gens qui parlaient de la même façon des Rroms et des Juifs ». Décidément, on n’en sortira pas ! La très excitée Cécile Duflot s’est énervée lors des journées parlementaires des écologistes, à Angers, assénant : « On ne peut pas les stigmatiser ! » Encore ce mot magique “stigmatiser” ! Mais quand il s’agit des nationalistes et des catholiques opposés au “mariage” pour les invertis, là il est parfaitement permis et même recommandé de les stigmatiser voire de les violenter. Selon Duflot, Valls est « allé au-delà du pacte républicain » et la secrétaire nationale des Verts, par ailleurs ministre du gouvernement Ayrault (bravo la solidarité gouvernementale !), en a appelé au président de la République pour remettre le ministre dans le droit chemin. Ce qui ne fut pas le cas, Hollande, déjà très impopulaire, n’ayant aucun intérêt à désavouer son ministre le plus apprécié, qui plus est à quelques mois des élections. Quant à l’affreuse Viviane Reding, commissaire européenne à la justice, elle y est allée aussi de son petit couplet, exhortant, comme Amnesty International, la France à mettre fin aux « expulsion forcées ». Valls, qui se sait soutenu par l’opinion, n’est nullement revenu en arrière, déclarant même avec une certaine insolence : « Je n’ai rien à corriger, mes propos ne choquent que ceux qui ne connaissent pas le dossier ». On notera que ce n’est pas seulement la gauche et l’extrême gauche qui ont attaqué Valls, l’UMP Patrick Devedjian, ancien du mouvement d’extrême-droite Occident, ci-devant ministre de Fillon, a ainsi déclaré sur Beur FM : « La vraie politique, c’est de les intégrer (NDLR : les Rroms) un peu partout en Europe. Et une politique forte, forte, d’intégration, d’apprentissage, de scolarisation… Il faut leur donner du travail. Il faut leur donner un métier. » Ce qui en dit long sur l’imbécillité et la pleutrerie de ces politiciens dits de droite.

    Toutefois ces propos de Valls ne doivent nullement nous leurrer. Il ne s’agit là que d’une posture dont sont friands les ministres de l’Intérieur sous la Ve République. Lorsqu’un pouvoir est impopulaire (ce qui est très fréquent tant les régimes ploutocratiques sont incapables de satisfaire les peuples qu’ils dirigent), le titulaire de la place Beauvau est là pour multiplier des déclarations énergiques de nature à rassurer et à enthousiasmer l’électorat. Et dans cet exercice la droite et la gauche du Système excellent. On se souvient de Pasqua qui, dans les gouvernements Chirac (1986-1988) et Balladur (1993-1995), multipliaient les coups de menton et les déclarations martiales avec son compère Robert Pandraud. On se souvient encore de son fameux : « Il faut terroriser les terroristes ». Sous le second mandat de Chirac le même rôle fut dévolu à Nicolas Sarkozy qui fut ministre de l’Intérieur pendant quasiment tout le quinquennat et qui, par ses propos véhéments (nettoyer les quartiers au Karcher, se débarrasser de la racaille) mais parfaitement prémédités et sachant l’effet qu’ils ne manqueraient pas de produire sur une population en ayant assez de la délinquance et de l’immigration massive, se construisit à peu de frais une stature de présidentiable et conquit ainsi l’Elysée en 2007 dès sa première tentative. Dans le gouvernement Jospin, Jean-Pierre Chevènement avait eu recours aux mêmes méthodes, toujours aussi efficaces. Il avait ainsi évoqué les “sauvageons” pour dénoncer les Jeunes souvent issus de l’immigration et multipliant les actes dits d’incivilité, en fait de violence caractérisée. Cette fermeté apparente à l’égard des voyous mais aussi envers les séparatistes corses lui permit de bénéficier lui aussi d’un fort coefficient de sympathie dans l’opinion, ce qui le conduisit à quitter le gouvernement et à se présenter à la présidentielle en 2002 face au Premier ministre sortant. »

    Source

    http://www.contre-info.com/roms-la-fausse-fermete-de-manuel-valls-par-jerome-bourbon#more-29604

  • Epidémie d'impôts

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "Une nouvelle maladie a fait son apparition en France et elle semble devenir endémique. Elle provoque une asphyxie du pouvoir d’achat des ménages, des caisses de retraite et de sécurité sociale, de l’industrie, et de l’économie en général. Les ministres, parlementaires et hauts fonctionnaires semblent développer une certaine immunité contre cette affection caractérisée par une accumulation de taxes. Il s’agit de la moscovicidose."

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  • Protégeons la liberté de conscience de nos élus

    Le Conseil Constitutionnel a été saisi le 18 septembre par le Conseil d'Etat à propos de la liberté de conscience des maires qui refusent de célébrer des mariages entre personnes de même sexe (circulaire Valls prise en application de la Loi Taubira). François hollande avait promis cette clause de conscience au congrès des maires en 2012 avant de se rétracter sous la pression du lobby LGBT.

    L'audience du Conseil Constitutionnel se tiendra mardi 8 octobre 2013. D'ici là, mobilisons-nous massivement pour aider nos élus et démontrer au Conseil Constitutionnel qu'il s'agit d'un problème de fond et non l'expression de quelques cas isolés. Soutenez vos élus par deux actions :

    En proposant à des maires et à leurs adjoints de rejoindre la procédure judiciaire en cours en signant un « mémoire en intervention » :  Plus de 300 officiers d'Etat civil ont déjà signé.

    En signant et en faisant signer autour de vous la pétition en faveur de l'objection de conscience des maires et adjoints : Déjà 80 000 signatures.

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  • La mafia des syndicats qui s'en mettent plein les poches