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magouille et compagnie - Page 2273

  • « Gay Pride » à Paris : un bide…

    Après le 1er Salon du mariage tantouze qui fut un fiasco, la « Gay Pride » parisienne a rassemblé de quelques milliers de personnes à quelques dizaines de milliers, selon les estimations. Dont beaucoup qui n’étaient pas là pour militer.
    En tout cas, très très loin des 500 000 marcheurs prévus par les organisateurs et les médias, et très loin des différentes manifestations de défense du mariage !

    Comme d’habitude un certain nombre d’institutions publiques, de partis (du NPA et du PC à l’UMP) ou de syndicats avaient affrété de forts coûteux « chars », pour s’y dandiner tristement. On ne voit pas trop ce que l’argent du contribuable ou la défense des ouvriers viennent faire là-dedans…

    Quoiqu’il en soit cette très faible participation, en dépit des soutiens public et médiatique, montre à nouveau la disproportion entre le nombre des invertis militants et leur influence.

    Les badauds qui ont vu cette troupe faussement joyeuse marcher vers l’enfer, n’ont pu que constater l’impression de vide qui se dégageait des yeux des marcheurs…

    http://www.contre-info.com/

  • La démocratie française entre en agonie

     La voix de la Russie jette un regard sombre sur notre pays :

    "Depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande, tant par le fait des événements internes, qu’internationaux, la vieille démocratie française se dégrade rapidement. Son entrée en agonie apparaît certaine mais personne n’est en mesure de dire le temps qu’elle mettra à rendre l’âme ou si les Français par un mouvement salutaire viendront à son secours avant qu’il ne soit trop tard.

    Tous les indices sont dans le rouge, des manifestants sont placés en garde-à-vue pour des prétextes inexistants, des opposants sont arrêtés et emprisonnés parfois dans des conditions inhumaines et dans une violence terrifiante. Dans les manifestations, des agents des RG et des agitateurs stipendiés répandent le chaos afin de discréditer les causes défendues par les protestataires. Dans les rues, les témoignages d’opposants passés à tabac, matraqués, piétinés se multiplient dangereusement. Parmi les témoins certains citent des propos inouïs de policiers en civils, insultes, menaces à peine déguisées, intimidations. Le pouvoir en place entretient également les divisions pour mieux régner, dissolutions de groupes étiquetés à l’extrême-droite et dans le même temps ménagement des forces se trouvant à l’extrême-gauche, le tout en jouant les uns contre les autres en fonction des situations.

    Le mauvais exemple règne évidemment surtout en haut-lieu, l’équipe gouvernementale est elle-même entachée d’opprobre, un Premier ministre et quatre autres ministres dont Mme Taubira ont été condamnés à des amendes et à des peines de prison. L’affaire DSK, puis celle de Cahuzac démontrent à quel point les milieux politiciens sont vermoulus et friables à toutes les tentations. Loin de punir, la Justice fonctionne à deux vitesses, de grands coupables reçoivent des peines insignifiantes tandis que de pauvres hères, voir dans le cas des opposants de simples citoyens innocents sont condamnés à des peines disproportionnées. Dans le même temps le pouvoir donne l’exemple de toutes les corruptions, des responsables de parti comme Harlem Désir, grossièrement pris la main dans le sac sont nommés à des postes clés et sapent la confiance populaire (...)

    Ces collusions nombreuses et les viols les plus élémentaires des droits des Français et de la France elle-même, se traduisent par d’inquiétants événements dans les relations extérieures de la France. Dans les médias sous contrôle et d’ailleurs financés par l’Etat partiellement, il ne se passe pas un jour sans que des pays comme la Russie soient montrés du doigt afin de créer un contraste entre le paradis terrestre en France et le reste du monde en proie à la guerre et à la dictature. Cette basse propagande, martèle en permanence des contre-vérités, quand il ne s’agit pas tout simplement de mensonges éhontés. Pendant ce temps, des meurtriers et des islamistes sanguinaires sont armés en Syrie, en Libye et dans nombre de pays d’Afrique et d’Asie. Des régimes fantoches sont fait et défait, des plans sont établis pour l’asservissement de populations ou le contrôle de ressources diverses parfois pour le meilleur profit d’alliés douteux… voir même dangereux comme le Qatar, l’Arabie saoudite ou les USA.

    Car la France est aujourd’hui l’ombre d’elle-même au niveau international. Malgré les avertissements de De Gaulle, la France est entrée à nouveau dans l’OTAN par la décision de Nicolas Sarkozy. Ailleurs des interventions militaires coûteuses se développent, au Congo, au Niger, au Mali, sans compter la Libye, la Côte d’Ivoire derrière nous et la Syrie, l’énorme farce syrienne ou un ministre complètement discrédité dans une sombre affaire de sang contaminé, vient vendre aux Français le mirage syrien pour faire couler un autre sang dans des contrées lointaines et souvent au détriment de chrétiens et de petites gens. La situation internationale est sans doute le reflet le plus éclatant de la décomposition de la démocratie française, encore que l’intérieur du pays soit déjà en ébullition et en grand danger.

    Ce danger c’est celui de l’explosion sociale, dans les banlieues les malaises attisent la violence, la haine et le racisme. En réponse à celui visant les populations greffées sur la Nation, progresse le racisme anti-blanc et anti-français, ce dernier d’ailleurs n’étant jamais cité. Des drapeaux français sont brûlés, l’insécurité progresse, des zones sont hors contrôle et à la merci de la moindre étincelle. Dans les rues, la moindre manifestation, même sportive, peut tourner au drame et à la confrontation. Dans les assemblées des politiciens de gauche discutent de l’opportunité de prendre le contrôle d’internet et de museler la parole des oppositions. Partout d’ailleurs, l’ennemi, l’opposant, est qualifié de « fasciste » sans le moindre discernement, ce qualificatif dévoyé est devenu une arme du pouvoir pour faire taire les plus audacieux et effrayer la masse des citoyens apeurés et goguenards.

    Dans les mêmes assemblées, le pouvoir confisqué est assuré par deux formations, aujourd’hui souvent réunis sous le qualificatif d’UMPS. La fin de la proportionnelle a écarté toutes les autres formations, certaines comme le FN, le FG ou EELV devraient disposer de dizaines de députés et former des groupes parlementaires puissants mais ne sont représentés souvent que par deux ou trois malheureux députés noyés dans le système. Devant un constat aussi calamiteux certains trouvent encore la force de déclarer que les changements font peur… ou que « la France est le plus beau pays du monde ». Oui mais pour combien de temps encore ?"

    Lahire   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les cathos, ces nouveaux ennemis de la démocratie que Valls traque sans relâche

    La narration de contrôle d'identité de catholiques à la sortie de la messe et de l'arrestation d'un prêtre en Hollandie :

    "Dormez tranquilles citoyens, Manuel Valls veille. Que tous ceux qui s’inquiètent de la montée de la délinquance se rendorment, la police traque jour et nuit ces nouveaux délinquants qui menacent la république socialiste: les cathos.
    Saint-Cyr au Mont d’Or est une petite commune de la banlieue lyonnaise. Elle accueille l’Ecole Nationale Supérieure de la Police qui forme les commissaires et les officiers de police. Lundi 21 juin 2013, Manuel Valls et Jean-Marc Ayrault participent à la cérémonie officielle de remise des diplômes de la 63ième promotion en présence du préfet de région Jean-François Carenco.
    Comme il était de coutume sous le règne de Sarkozy, Valls fait boucler le périmètre. Les habitants ne sont pas autorisés à se rendre sur le lieu de la cérémonie et les forces de l’ordre quadrillent le secteur. Parmi les invités triés sur le volet figure l’Abbé Pirrodon, le curé du village.
    Alors que la cérémonie se déroule tranquillement, le curé reçoit plusieurs SMS sur son téléphone portable l’informant que des paroissiens sont retenus ou contrôlés par les forces de l’ordre.
    Prier dans une église représente une menace à l’ordre public
    Quelques paroissiens qui souhaitent manifester leur opposition à l’emprisonnement d’un militant contre le mariage homosexuel sont bloqués à l’intérieur de la poste du village. Jusque là, rien d’extraordinaire. La France manque de places en prison, on réquisitionne la poste pour empêcher de dangereux extrémistes catholiques armés de poussettes et d’enfants de s’exprimer, pourquoi pas.
    Mais là où le sang du curé ne va faire qu’un tour, c’est quand il reçoit un message lui indiquant que tous les paroissiens qui sortent de son église font l’objet d’un contrôle et d’un relevé d’identité.
    Normalement, en France démocratique, le contrôle d’identité est encadré par la loi. Un gendarme ou un fonctionnaire de police ne peut pas vous demander de décliner votre identité sans un motif précis. (1) Un contrôle d’identité peut avoir pour objet de prévenir les atteintes à l’ordre public ou s’il existe des indices permettant de penser qu’un individu se prépare à commettre une infraction, un délit ou un crime.
    Aujourd’hui, en France socialiste, le simple fait de sortir d’une église est devenu une raison suffisante pour penser qu’on s’apprête à troubler l’ordre public ou a commettre un délit. C’est ahurissant, mais c’est comme ça.
    On ne les avait pas habitués au contrôle au faciès les habitants de Saint-Cyr au Mont d’Or. Ici, les Roms, les arabes et les noirs sont  rares. Alors, le curé, choqué par ces méthodes peu démocratiques et peu respectueuses de la loi décide de s’en ouvrir à son maire" (suite).

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La dette de la France augmente de 12 milliards d’euros par mois

    C’est le chiffre du jour :
    la dette publique française a atteint 1.870 milliards d’euros (!) à la fin du mois de mars, soit 91,7% du produit intérieur brut, selon l’Insee.

    Cette dette a augmenté de 36,5 milliards d’euros entre le 4e trimestre 2012 et le 1er trimestre 2013.

    Combien de temps cela pourra-t-il encore durer avant l’effondrement du système ?


    http://www.contre-info.com/

  • Affaire Tapie: l'arbitrage aurait bien été faussé

     Les enquêteurs disposent de suffisamment d'éléments pour établir que l'arbitrage qui a permis à Bernard Tapie d'obtenir 403 millions d'euros en 2008 pour solder son litige avec le Crédit Lyonnais a bien été faussé.
    L'État, qui s'apprête à déposer un recours en révision, après s'être constitué partie civile, va pouvoir s'appuyer sur la procédure établissant qu'il y a eu fraude, ajoute le quotidien, qui dit avoir eu accès au dossier judiciaire.
    Pour démontrer l'escroquerie en bande organisée, les enquêteurs estiment avoir établi un lien entre l'un des trois juges arbitres Pierre Estoup, et Me Maurice Lantourne, l'avocat de l'homme d'affaires, tandem qui aurait joué le rôle moteur.
    À ce jour, trois personnes ont été mises examen pour ce chef, Pierre Estoup, Stéphane Richard, le PDG d'Orange, et Jean-François Rocchi, l'ancien président du CDR, l'organisme chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais.
    Bernard Tapie s'estimait lésé lors de la revente par le Lyonnais de l'équipementier sportif Adidas et, un arbitrage a mis fin à nombre de procédures judiciaires.
    Claude Guéant, ex-secrétaire général de l'Élysée et François Pérol, son adjoint, devraient être prochainement entendus, selon une source proche de l'enquête.
    L'ex-ministre de l'Économie Christine Lagarde a été placée parallèlement par la Cour de justice de la République sous le statut de témoin assisté.
    Selon un extrait de son audition, la directrice générale du Fonds monétaire internationale (FMI), qui avait dit assumer pleinement l'arbitrage, prend aujourd'hui ses distances.
    « Au moment où j'ai pris mes décisions dans l'affaire Tapie, j'ai déjà indiqué que je n'avais aucune raison de douter de l'impartialité de M. Estoup. Aujourd'hui, avec le recul et au vu des éléments que vous me communiquez, il est évident que mon sentiment est différent », dit-elle.

    TROIS NIVEAUX D'INTERVENTION
    À l'appui de liens anciens entre Bernard Tapie et Pierre Estoup, les enquêteurs retiennent la dédicace du 10 juin 1998 d'un livre dans lequel l'homme d'affaires adresse son "infinie reconnaissance" au magistrat pour son soutien. Un soutien qui se serait à nouveau manifesté dix ans plus tard.
    Les enquêteurs relèvent trois niveaux d'intervention : une décision politique, à l'initiative de l'Élysée, par Nicolas Sarkozy et Claude Guéant ; deux "architectes" de l'arbitrage, Stéphane Richard, alors directeur du cabinet de Christine Lagarde, et Jean-François Rocchi ; et deux "maîtres d'œuvre", Me Maurice Lantourne et Pierre Estoup.
    L'avocat aurait reconnu lors de son audition avoir proposé Pierre Estoup comme arbitre, alors que les deux hommes se connaissaient, contrairement aux règles de l'arbitrage, pour s'être croisés dans au moins dix procédures.
    « Les policiers ont aussi découvert que, depuis 1997, M. Estoup facture des honoraires, en tant que consultant, à l'ex-avocat de M. Tapie, Me Francis Chouraqui ».
    Dans l'ordinateur de Maurice Lantourne figurerait aussi une note du 20 septembre 2008, relative à l'arbitrage, et destinée à Christine Lagarde.
    Pierre Estoup aurait "neutralisé" les deux autres arbitres en se chargeant de tout et en leur proposant des « honoraires confortables » pour une charge de travail réduite.
    Jean-Denis Bredin, l'un des deux autres arbitres, dont la santé et la mémoire seraient chancelantes, aurait dit ne pas connaître l'ex-haut magistrat mais les enquêteurs auraient découvert là-encore des dédicaces prouvant le contraire.
    Avec Reuters http://www.francepresseinfos.com/

  • “Les autres enfants traitaient ma fille de sale fille de Blanche”, un témoignage exclusif et effrayant

     

    <i>“Les autres enfants traitaient ma fille de sale fille de Blanche”</i>, un témoignage exclusif et effrayant

    Bien que la justice ait refusé de le reconnaître, Madame Leterme a été victime en 2010 d’une persécution raciste. Son avocat, Me Stéphane Maitre, s’est indigné sur le site Atlantico de l’indifférence des médias face à cette injustice, qui aurait à coup sûr reçu un tout autre traitement si la victime de cette persécution raciste n’avait pas été… blanche ! Madame Leterme a accepté de raconter son histoire à « Minute ».

     

    Minute : Mme Leterme, à la fin du mois de mai 2013, le tribunal de Melun s’est prononcé sur une plainte que vous aviez déposée à la suite d’événements survenus le 30 juin 2010 à Savigny-le-Temple. Pouvez-vous rappeler ce qu’il s’était passé à l’époque ? Votre fille et vous étiez confrontés à une situation conflictuelle avec les jeunes du quartier où vous viviez…
    Madame Leterme : Oui, ça du­rait de­­puis le mois de mars. Venant d’Angers, je m’étais installée à Sa­vigny-le-Temple pour des raisons professionnelles et j’y avais acheté en 2009 un appartement dans ce quartier, que l’on m’avait décrit comme calme et tranquille. Il était très majoritairement peuplé de Ma­ghrébins, mais je n’avais aucune ré­ticence à y habiter car je n’avais au­cun a priori défavorable à leur égard. Mes deux enfants et moi (car j’étais séparée de mon ex-mari) nous y sommes installés le 9 mai 2009 ; or un an après, le 30 juin 2010, nous avons été con­traints de déménager.

    Que s’était-il passé entre-temps ?
    Tout est allé à peu près bien, tant que les autres enfants, Maghrébins, ont cru que ma fille de 10 ans était une bâtarde. Comme elle est brune et qu’elle a le teint mat, ils pensaient qu’elle était de mère blanche et de père musulman. On l’appelait « la bâtarde », mais elle était tolérée et les autres jouaient avec elle. Jusqu’au jour où ils ont appris qu’il n’en était rien et que son père aussi était blanc.
    Du jour au lendemain, elle a été rejetée, insultée, et le conflit a vite pris des proportions énormes, à tel point que j’ai fini par ne plus la laisser sortir dans le jardin clos, commun aux résidents du rez-de-chaussée. Les autres enfants la traitaient de sale fille de Blanche, de sale Française, lui disaient que sa mère était une sale pute, qu’elle n’avait rien à faire là, qu’elle n’était même pas une bâtarde…

    Lynché à coups de bâtons devant sa femme et sa fille

    Vous n’avez pas demandé à leurs parents et à leurs aînés de calmer le jeu ?
    Mon ex-mari est allé frapper à leur porte, en pensant que tout ça se réglerait en quelques minutes, mais ils lui ont claqué la porte au nez en lui disant que si nous n’étions pas con­tents, nous n’avions qu’à rentrer chez nous !

    Chez vous ? Vous étiez pourtant bien en France…
    C’est un territoire qui n’appartient plus à la France. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que nous n’y étions pas chez nous. Ensuite l’hiver est ar­rivé et mes enfants ne sortant plus, les choses se sont momentanément tas­sées. Jusqu’au retour du printemps.
    Au mois de mars, comme mes enfants recommençaient à sortir, nous avons reçu des menaces et des lettres nous incitant à partir, sous pei­ne d’être égorgés. Les agresseurs se sont aperçus que je vivais seule, ce qui les a rendus encore plus hostiles, et le fait que je ne les craignais pas n’a pas non plus joué en ma faveur.

    Je me suis rendue au commissariat pour déposer deux mains courantes, qui n’ont jamais rien donné. La situation est restée aussi tendue, les enfants d’une dizaine d’années venant jusqu’à mon portillon pour nous insulter, nous traiter de sales putes et de sales Blanches, jusqu’à ce soir du 30 juin, où, après une nouvelle altercation, des adultes sont intervenus pour effrayer ma fille, en lui disant qu’elle n’avait pas à se mélanger avec leurs enfants, qu’ici ils étaient chez eux et qu’ils allaient nous faire la peau.
    Nous sommes des provinciaux et mes enfants n’ont pas l’habitude d’entendre de tels discours de hai­ne. Terrorisée, elle s’est réfugiée chez nous. Mon ex-mari et un autre ami, venus fêter mon anniversaire, sont sor­tis pour discuter et se sont alors fait lyncher par sept individus, à coups de bâtons, de planches de bois et de casque. Mon ex-mari a eu un traumatisme crânien, le cuir chevelu ouvert et de multiples contusions, et notre ami une fracture ouverte à deux doigts. Ma fille et moi assistions à la scène.

    Jusqu’alors, je prenais leurs me­naces pour des paroles en l’air, je croyais leur hostilité due à la jalousie, parce que nous avions une vie agréable. C’est seulement ce jour-là que j’ai réalisé que ce n’était pas le cas et qu’il s’agissait vraiment d’une haine raciste. J’ai alors décidé de partir et je suis aujourd’hui persuadée d’avoir fait le bon choix, même si j’ai tout perdu et que de­puis, je galère.

    « On va te trancher la gorge, sale Blanche »

    L’intervention de la police vous a libérés…
    Oui, les policiers m’ont protégée. Mes enfants étaient enfermés dans mon appartement et j’étais sortie pour accompagner les pompiers, qui prenaient en charge mon ex-mari et notre ami pour les em­mener au CHU de Melun.
    C’était la cohue, la jubilation to­tale, tout le monde trouvait normal que nous partions. Nos agresseurs m’insultaient et me menaçaient de mort devant les policiers, sans au­cune gêne ni crainte : ils m’ont dit qu’ils nous trancheraient la gorge, à ma fille et à moi : « Ne t’inquiète pas, on va te retrouver, tu ne seras pas toujours protégée, on va te trancher la gorge, sale Blanche, tu n’avais rien à faire ici… »

    Une dizaine de policiers m’entouraient. Ils m’ont laissé quinze min­­utes pour prendre le maximum d’affaires, on a tout balancé dans ma voiture, et je suis partie avec mes deux enfants. Le lendemain, nous sommes revenus pour déménager, escortés par les policiers.

    Vous avez pu revendre votre appartement ?
    Oui, je l’ai mis en vente le lendemain du déménagement. Je n’y ai jamais remis les pieds, l’agent immobilier s’est occupé de tout. J’ai démissionné de mon poste d’assistante d’éducation dans l’Education nationale – je ne pouvais pas faire de demande de mutation – et je me suis rapprochée de l’endroit où ha­bite mon ex-mari – ma fille avait be­soin de se rapprocher de lui après ce qui s’était passé. Depuis, j’enchaîne les CDD.

    Comment se sont passés l’enquête et le procès ?
    Notre dossier s’est trimbalé de commissaire en commissaire. Ces po­liciers, quoique compréhensifs, ne disposaient pas de tous les éléments et ne comprenaient pas tout.
    Ils n’ont pas les moyens d’agir comme il le faudrait et ne servent pas à grand-chose.
    Après l’agression, j’avais de­mandé que ma fille soit entendue et l’on m’avait répondu qu’elle était trop jeune. J’avais renoncé, mais on m’a rappelé un an plus tard en me disant qu’elle devait être interrogée.
    Cette affaire l’avait traumatisée, elle avait dû être suivie par un psy pendant un an : il ne fallait pas la replonger dans cette histoire et j’ai refusé, ce qui m’a été reproché au tribunal.
    Ce n’est pas un an après des faits traumatisants que l’on interroge une enfant de onze ans : si les ma­gistrats ne sont pas capables de le comprendre, tant pis.

    La justice laisse les lyncheurs en liberté !

    Quel est le résultat du procès ?
    Sur les sept hommes qui avaient lynché mon ex-mari et notre ami, trois seulement ont été interpellés et traduits en justice. Un seul s’est présenté à l’audience, où il est arrivé tranquille avec sa mère ou sa tan­te, en rigolant et les mains dans les poches : le plus chétif, et ça a joué en notre défaveur. En voyant mon ex-mari et notre ami, qui me­surent tous deux 1,90 m, ceux qui n’avaient pas vécu la scène ne pouvaient pas imaginer que sept petits merdeux comme ça leur soient tom­bés dessus pour les lyncher.
    Mais les autres étaient beaucoup moins chétifs…
    En dépit de casiers judiciaires chargés, ils ont été condamnés à des peines avec sursis, ou de moins de deux ans de prison fermes : ils ne seront donc pas emprisonnés.
    La justice ne leur donne pas raison, mais pas tort non plus… Finalement, ils font ce qu’ils veulent.

    Comment expliquez-vous que le tribunal n’ait pas retenu l’accusation de racisme, puisqu’un procès-verbal de police atteste de ces propos ?
    Je l’ignore. Les juges se sont retirés, puis ont rendu leur verdict. Le procureur, qui était une femme, est parti du principe que dans une ba­garre, les deux parties ont forcément une responsabilité. Mais il n’y a pas eu bagarre, il y a eu lyncha­ge.

    Mon ex-mari est très pacifique et ne s’est jamais battu de sa vie, pourtant on lui a reproché d’avoir porté un coup, ce qui n’a pas été dé­montré.
    Le procureur d’ailleurs dit lui-même que le certificat médical produit par l’agresseur est suspect et que lors de la confrontation organisée deux jours après les faits, les policiers n’ont constaté aucune trace de coup sur lui.
    Et pourtant, cette femme a de­mandé la con­damnation de mon ex-mari à une amende, en expliquant qu’elle ne voulait pas envenimer les choses après trois ans et qu’elle était là pour calmer les esprits. Ce n’est pas comme ça qu’elle les calmera !
    Où je vis aujourd’hui, je côtoie des musulmans complètement fran­­cisés, qui ont honte de ce qui s’est passé pour moi et ma famille ; mais à mon avis, ils restent une mi­norité.

    Propos recueillis par Pierre-Jean Rivière

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 26 juin 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Crédit photo : DR.

    "Les autres enfants traitaient ma fille de sale fille de Blanche", un témoignage exclusif et effrayant

    http://fr.novopress.info

  • Ils ne sont pas seulement « tous pourris », c’est encore pire…

    Notre classe politique commence à s’inquiéter. Revenu de son Tour de France, le député MoDem Jean Lassalle a confessé avoir été terrorisé par la haine que les Français portent à leurs prétendus représentants. L’abstention et le résultat des élections législatives de Villeneuve-sur-Lot n’ont pas dû le rassurer.

    Désireux de conjurer cette lame de fond qui se traduit par une montée en puissance du Front national, dix députés de l’UMPS ont proposé, dans les colonnes du Nouvel Observateur, qu’il soit mis un terme aux privilèges des parlementaires afin que la confiance soit renouée entre le pays réel et la classe politique.

    Une telle proposition témoigne d’une profonde incompréhension des motifs de la juste colère du peuple français : si nos concitoyens éprouvent un profond ressentiment envers leur classe politique, ce n’est pas parce qu’elle dispose de privilèges, mais parce que, depuis maintenant au moins trois décennies, elle prend le cœur léger des décisions qui sont objectivement et de toute évidence contraires aux intérêts de la France. Richelieu et Mazarin se sont extrêmement enrichis lorsqu’ils avaient en main les rênes de la France. La postérité cependant ne songerait à le leur reprocher, leur politique ayant été bénéfique à notre pays. [...]

    Adrien Abauzit - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Interdire les toilettes à un garçon que ses parents croient fille ? Discrimination !

    Le garçon en question a six ans. Oui, six ans ! A Denver, Colorado, le petit Coy Mathis fréquente une école élémentaire depuis la rentrée 2011. En l'inscrivant, ses parents avaient demandé qu'il soit traité, comme il l'était déjà à la maison, en petite fille, expliquant qu'il est « transgenre » : jusqu'à l'hiver dernier, le petit Coy avait donc accès aux toilettes des filles, là où il y avait des toilettes séparées. Mais, sans que l'école rende la raison publique, cela lui a été interdit au retour des vacances. Il lui était proposé d'utiliser les toilettes des garçons, celles des professeurs ou celles de l'infirmière de l'école.
    Colère et indignation des parents !

    Sa maman, Kathryn Mathis, a souligné combien il était « dangereux » pour une petite fille de devoir utiliser les toilettes des garçons… Avec son époux, Jeremy, un ancien Marine, elle en a fait une affaire très médiatisée, accordant des interviews à la presse et apparaissant dans des talk-shows à la télévision.

    Les Mathis, assistés du « Transgender Legal Defense and Education Fund », se sont aussitôt tournés vers la Division des droits civiques du Colorado – nous sommes alors en février. Le 18 juin, le directeur de cet organisme, Steven Chavez, explique que l'attitude de l'école rappelle la ségrégation qui avait cours avant le mouvement des droits civiques, cette ségrégation qui reposait sur le principe que les Noirs et les Blancs sont « séparés mais égaux ». Donc, les droits de Coy Mathis avaient été violés. Et son école y est qualifiée d'« hostile, discriminatoire et n'offrant pas un environnement sûr » en raison de son refus de laisser le garçonnet faire usage des toilettes des filles.
    Il n'est peut-être pas nécessaire de préciser que c'est une première…
    Coy Mathis a une grande sœur, autiste, et une petite sœur, et aussi une sœur et un frère nés en même temps que lui : l'autre garçon est autiste lui aussi, et la sœur triplée a été victime d'un virus à la naissance qui l'a laissée paraplégique et elle nécessite des soins constants.
    C'est à cinq mois que ses parents ont commencé à « s'apercevoir » que Coy se sentait fille – parce qu'il avait attrapé la couverture rose d'une de ses sœurs. Plus tard, il ne montrait guère d'intérêt pour les jouets traditionnellement « mâles » et avait plutôt tendance à graviter vers les jouets et les vêtements des filles. A quatre ans, il a expliqué à ses parents que quelque chose clochait dans son corps.
    Déprimé quand on lui coupait les cheveux, il a commencé à refleurir, assurent les parents, lorsqu'ils ont commencé à le traiter comme une fille (ou plus exactement, sans doute, comme ses sœurs…), sur la recommandation d'un psychiatre qui l'a diagnostiqué « transgenre ». Tout le monde s'adresse à lui avec des pronoms féminins et il paraît que, revêtu de robes à froufrous, il (pardon, toute la presse américaine dit « elle ») a retrouvé le sourire. Sans compter que sa mère donne des interviews sur son cas en sa présence.
    Que ce garçon soit victime d'un désordre, soit de lui-même, soit en raison des circonstances familiales, et même pour toute autre raison, paraît évident. Ce qui est notable, c'est le refus de vouloir essayer de traiter le désordre qu'on ne qualifie plus comme tel depuis que l'Association psychiatrique américaine l'a décidé. On a pourtant de nombreux exemples de thérapies réussies qui ont permis à un enfant biologiquement fille ou garçon de se sentir à l'aise dans sa propre identité.
    LifeSite cite la vice-présidente de l'American College of Pediatricians qui, après avoir souligné que les enfants intègrent des messages émis par leurs parents même pendant la petite enfance et que si ces messages sont confus ou brouillés, ce qui peut se refléter dans l'affirmation qu'ils aimeraient faire partie de l'autre sexe. « Le sexe biologique n'est pas un désordre ; permettre à un enfant de désavouer son sexe biologique l'est bel et bien. Personne ne naît transgenre : cela a été établi grâce à des études sur les jumeaux », affirme-t-elle.
    L'université John Hopkins a cessé de pratiquer des opérations de changement de sexe en constatant qu'elles n'entraînent aucune conséquence bénéfique, tandis que certaines personnes opérées finissent même par revenir à leur identité d'origine. Le responsable de ces opérations a abandonné en expliquant qu'« on ne donne pas de liposuccion à un anorexique ».
  • Gender : objection des parents en Espagne

    Leonor Tamayo, objectrice, mère de famille nombreuse, fut la coordinatrice de la campagne contre l’Education pour la Citoyenneté (EpC), contre le gender à l'école. Elle déclare :

     

    "Notre combat contre les enseignements idéologiques de l’ Education pour la Citoyenneté (EpC), que Zapatero a imposé avec sa réforme des programmes scolaires, a commencé il y a déjà sept ans. Dès le début, nous avons clairement vu que la meilleure arme dont nous disposions pour défendre le droit des parents à éduquer leurs enfants était l’objection de conscience, et que les parents eux-mêmes devaient être les acteurs de ce mouvement. Le rôle des grandes associations nationales, des partis politiques ou de l’Eglise devait être de les soutenir mais en aucune façon de se substituer à eux dans leur responsabilité de premiers éducateurs.

    La première étape de l’engagement fut l’édition d’un Guide pour parents, sous forme de questions réponses, permettant de percevoir la gravité du danger, la nécessité de se soulever contre celui-ci, la façon de le faire, tout en incluant quelques notions juridiques élémentaires.

    Nous nous sommes mis en relation avec toutes les associations nationales parentales, familiales et de la liberté de conscience, en leur demandant de soutenir l’initiative et de collaborer à la diffusion de ce guide. Le soutien a été unanime et il englobait les principales associations familiales, les associations officielles de parents des écoles catholiques (qui en Espagne ont un poids très important dans le système éducatif), la direction des centres de l’enseignement privé (le CECE).

    [...] Nous étions loin d’imaginer que notre résistance et notre projet deviendraient un mouvement social sans précédent en Espagne et probablement en Europe, même si nous le désirions et étions prêts à tout donner. En effet, nous ne nous attendions pas à l’énergie, au courage et à la fermeté des parents qui voient la liberté, leurs droits fondamentaux et surtout la formation et l’avenir de leurs enfants menacés. Voilà la clé du succès. [Lire la suite]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une future purge anti-catho dans l’armée?

    PARIS (NOVOpress) - Connaissez-vous l’affaire du Lys Noir ? Non ce n’est pas un roman, ni le titre d’un film d’espionnage yankee, mais bien une histoire franco-française de coup d’état, de machiavélisme et peut-être de canular.

    A l’origine de l’affaire, un article publié dans “La revue de l’arsenal” de juin 2013 , revue du groupe d’extrême-droite le Lys Noir et dont les lecteurs sont en majorité des militaires. L’article explique que rien ne va plus chez les officiers de l’armée française, et plus particulièrement chez les cathos, chez qui l’on envisagerait sérieusement un coup d’état. Il nous explique que l’idée du putsch suit son petit bonhomme de chemin et que les brutalités policières et arrestations abusives lors des manifs pour tous a profondément renforcé l’indignation et la colère (des centaines d’enfants d’officiers chez les victimes de gardes à vue…).

    Et de donner des noms de futurs officiers potentiellement putschistes et pas n’importe lesquels : Benoît Puga, Pierre de Villiers et Bruno Dary. Pour les néophytes, le premier est le chef d’état-major particulier du président himself, le second est général d’armée, le troisième l’ancien gouverneur militaire de Paris. Le gratin de la grande muette.

    Dans le journal “L’opinion” (10 juin 2013) qui avait aussi interrogé Netchaev, un représentant du Lys noir sur cette affaire, le général Dary exprime son indignation et dit se sentir atteint dans son “honneur de soldat et d’officier général” et parle d’“affabulations”.
    Il rappelle qu’il fait partie d’une armée laïque et qu’il ne faut pas faire d’amalgame avec “la participation éventuelle de cadres ou de leurs enfants à la Manif pour tous… que cette participation relève du domaine privé, tant que les lois de la République sont respectées” (le général s’est profondément investi dans l’organisation de la “Manif pour tous”).

    Et si c’était un coup monté afin de trouver un prétexte pour purger l’armée de ses généraux catholiques ? C’est en tout cas l’idée suggérée par Pierre Jovanovic qui commentait cette histoire sur son blog. Et cela semble plausible.
    En effet, Netchaev nomme ces généraux, “balance” serait un mot plus juste… Pour quelqu’un qui paraît-il soutient les futurs putschistes, ça se pose là tout de même… Si on voulait faire capoter le putsch, on ne s’y serait pas pris autrement.

    Comme pour renforcer l’aspect montage de cette histoire, on trouve sur YouTube une vidéo gratinée du Lys Noir : 5 types encagoulés qui revendiquent une lutte armée contre “l’empire du bien” (le mondialisme et l’immoralité si j’ai bien compris). Le problème, c’est que cette vidéo est si mal faîte qu’on se demande si ce n’est pas un sketch ! Un des protagonistes lit une sorte de déclaration en trébuchant sur tous les mots, le discours est mal écrit, les idées mal formulées, un véritable capharnaüm. Un mélange de clowneries, de folie et de connerie.
    On se surprend à penser que ce sont des acteurs. Un des types relève son sac plastique (oui, un sac plastique, pas un collant) pour pouvoir allumer sa clope…). Des phrases comme “On n’en a rien à péter, on va tout péter”, il y en a à foison.
    On n’imagine pas le général Dary taillant une bavette avec ces individus, et encore moins préparer un putsch…

    Mais ce qui donne aussi ce sentiment de mise en scène, c’est la réaction du gouvernement sur le sujet: le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian dit “prendre très au sérieux” ces menaces et cette colère qui grandit dans le milieu des officiers catholiques… Ça sent la purge…
    Et puis créer une fausse menace pour légitimer l’éviction des seuls français susceptibles de menacer le pouvoir en place (ils sont armés et motivés), ce serait bien dans le genre de notre gouvernement, non ?

    Franck Vinrech http://fr.novopress.info