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magouille et compagnie - Page 2295

  • En marge de l’affaire Méric : cinq policiers blessés à Nantes par des « antifas »

    NANTES (NOVOpress Breizh) – La manifestation organisée en hommage à Clément Méric samedi dernier à Nantes s’est mal terminée pour cinq policiers de la brigade anti-criminalité qui ont été violemment agressés. Deux « antifa » ont été interpellés. Ils devraient être jugés en… janvier 2014.

     

    La manifestation en hommage à Clément Méric, ce jeune « antifa » décédé le 5 juin des suites d’une rixe survenue à Paris lors d’une vente privée de vêtements de marque,  a réuni samedi après-midi un millier de personnes dans le centre-ville de Nantes. Méconnaissant probablement les circonstances exactes de la mort du jeune étudiant, des manifestants s’en sont pris aux passants qui effectuaient des achats en criant, selon Ouest-France, « on tue des enfants de 18 ans dans les rues. Arrêtez le shopping ! ». On ignore si ces passants étaient acheteurs de vêtements « Fred Perry ».

    Lors de cette manifestation plusieurs vitres ont été brisées. Une quinzaine d’ « antifas » se sont rendus au  commissariat central en  jetant des bouteilles et en mettant le feu à quelques poubelles.

    Alors qu’ils voulaient contrôler l’identité d’un manifestant, cinq policiers ont été blessés par une quinzaine d’individus, armés pour certains de chaines métalliques et de bombes lacrymogènes. Deux jeunes, âgés de 19 et 23 ans, ont été interpellés. Ils comparaîtront devant le tribunal en janvier 2014, pour « rébellion et participation à un rassemblement avec armes ». Les « antifas » sont indiscutablement de grands humanistes.

    http://fr.novopress.info/

  • Mariage tantouses : misère des lycées sous contrat… (avec la Franc-maçonnerie)

    Mardi dernier, quinze à vingt élèves d’un important lycée catholique de Toulouse s’étaient présentés en classe avec le fameux maillot représentant une famille, sans manifester pour autant ni sans être groupés. Ils se sont donnés le mot via Facebook car ils veulent réagir à ce qui leur semble «une injustice» : quelques jours auparavant, un camarade de première est venu en cours avec ce sweat-shirt et s’est vu contraint de l’enlever par la direction, condition sine qua non pour réintégrer sa classe.
    Grosse polémique entre l’établissement, les élèves et leurs parents, la direction. Celle-ci empêchant les jeunes d’aller en cours et menaçant même de les exclure… (source)

    C’est bien « le » directeur d’Albert le Grand

    Par ailleurs, beaucoup de catholiques bordelais risquent d’être surpris en découvrant les prises de position du directeur de Saint Albert Le Grand, établissement catholique sous contrat.

    Le 24 mai dernier, son directeur Bertrand Gaufryau publiait (avec « mgr » Jacques Gaillot) une tribune sur le site Huffingtonpost (dirigé par Anne Sinclair et très marqué à gauche), intitulée « Mariage gay: on n’arrête pas la marée qui monte ».

    Dans cet article caricatural aux arguments idiots, Gaufryau vantait la loi Taubira dans des termes que l’on croirait issus d’une association LGBT : « C’est un événement qui fera date dans l’histoire de notre pays et une avancée démocratique considérable. Ce projet fondé sur l’Amour et l’extension des droits de tous, n’en fait perdre aucun aux autres. Il n’est en aucune manière une menace pour les familles dites « normales », ni une régression pour la société et encore moins la fin de la civilisation ».   (source)

    http://www.contre-info.com/

  • Clément Méric, priez pour nous, pauvres pécheurs !

    Clément Méric, priez pour nous, pauvres pécheurs !
    Le jeudi 6 juin, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Clément Méric, 19 ans, est mort des suites d’une bagarre dans le quartier Havre-Caumartin à Paris (IXe arrondissement).

    Des rixes semblables, la France d’aujourd’hui en est coutumière, au point que l’opinion s’en émeut de moins en moins. La mort de Clément Méric fut néanmoins l’événement enfin trouvé pour recouvrir la France de sirop dissolvant, une sorte de lâchage de bonde livrant les ondes à la logorrhée politiquement brevetée. Les chiens n’en pouvaient plus : la « manif pour tous » aiguisait déjà leur appétit de viandards, ils étaient sur la défensive, ils sentaient que les choses pouvaient leur échapper. Et puis cette divine surprise : un skin, un facho, un nazillon massacre un Résistant. Frissons sur les épidermes des assis… On a pleuré en direct, sur le petit écran, et on a manifesté, on a hué ces imbéciles de droitards, croyant que les temps héroïques du Conseil National de la Résistance était revenu. Au lieu des F.F.I. et F.T.P., n’étaient réunis, pour le coup, que de minables histrions, intermittents d’un spectacle médiatique depuis longtemps passé comme un navet démodé.

    Résistant, avec un grand R

    Les étudiants de Sciences – Po, ce haut lieu de l’intelligence servile, l’endroit probablement le plus américanisé, le plus intoxiqué, le plus emberlificoté de propagande et de mensonges de notre pays, où l’on a substitué à notre langue le globish, le baragouin des maîtres de l’heure, où l’on a remplacé l’esprit critique par l’esprit de service, les penseurs véritables par des antifa de démonstration, ont entonné Le Chant des Partisans. D’aucuns se prennent facilement pour Jean Moulin, qui chieraient devant une baignoire gestapiste, et renient, en 2013, les valeurs patriotiques, nationales, françaises, des réfractaires à l’Occupation. L‘Occupation ? Nous y sommes. Comme dit Michel Serre, il y a plus de panneaux et d’enseignes en anglais, à Paris, qu’il n’y en avait en allemand du temps de la Kommandatur. Ces types, qui ont pour les Rebelles, en Syrie comme en Libye, les yeux de Chimène, qui soutiennent les FemHaine manipulées par la C.I.A., qui manifestent toutes les indulgences envers l’État raciste israélien, n’ont pas d’autre occupation, en bons fils de soixante-huitards et d’ectoplasmes boursouflés, gazéifiés par les vapeurs sous-américaines, plus délétères que le gaz sarin, que de soutenir les combats sociétaux du Système et d’agonir d’insultes les signes de notre identité. Esteban, lui, né en Espagne, loyal, fidèle au pays qui l’a accueilli et adopté, arborait un maillot de corps où s’affichait l’inscription « 100 % Français »… Il n’en fallait pas plus pour déchaîner la fureur de ces êtres qui se disent si ouverts !

    « Clément, militant, de gauche… », titrent certains médias attendris, histoire de faire pleurer Margot. On ne dit jamais, dans les rédactions, « extrême gauche ». L’extrémisme n’est réservé qu’à la droite.

    Il est infiniment dommage que le Front national ait abondé dans le sens de ce flot merdeux, sans prendre le soin de peser les faits, sans attendre l’élucidation des circonstances de l’agression, jusqu’à demander, comme la presse dominante, la « dissolution des groupes radicaux ». Tout le monde n’a pas le courage et la clarté de Serge Ayoub ! La politique est une hygiène, mais elle devient un poison lorsqu’on abdique devant l’opinion orientée des puissants du jour. Certaines erreurs tuent plus que des mensonges.

    Haro donc sur le baudet ! On n’y regarda pas de plus près, le coupable était presque parfait : crâne rasé, nationaliste, errant en meute, comme les loups. Sans doute un peu moins innocent qu’un âne broutant quelque lopin de gazon. Sa violence était dès lors, par essence, à peine concevable, un S.S. déchaîné, une bête immonde que le ventre encore fécond avait conçue.

    En face, un ange, un héros dont l’apothéose médiatique ferait rougir de platitude les thuriféraires d’empereurs romains, ou les producteurs de petits saints. « Un visage […] poupin, les cheveux soigneusement coiffés, la chemise à carreaux impeccablement boutonnée », nous dépeint Le Monde, dans sa rubrique consacrée aux « Légendes dorées ». Le proviseur du lycée de Brest d’où ce « jeune plein de talents » est issu renchérit : « Un élève brillant, je dirais même un élève modèle. On ne décroche pas un bac S avec mention bien, pour ensuite intégrer Sciences – Po Paris par hasard… [on veut bien le croire]. » Il était « courtois et respectueux des autres, pleinement engagé dans les instances du lycée, en tant que délégué ou représentant des élèves. Il était particulièrement éloquent et on sentait en lui l’âme d’un jeune homme capable d’endosser des responsabilités ». Et c’est bien-là le malheur de notre pays, de notre époque, de notre « élite », qu’ils ne soient plus capables de produire que ces spécimens, souvent fils de profs, comme Méric, issus comme lui des classes moyennes, formatés, conditionnés, imprégnés, comme des éponges, de cette mélasse idéologique prodigués par nos établissements scolaires, lesquels ne retiennent des Lumières que la foi dans un progrès depuis longtemps discrédité, et un mépris profond pour le peuple, pour la France d’en bas, les pauvres, les laissés pour compte du libéralisme, livré aux turpitudes du marché du travail et au chaos ethnique. Des Méric, on en voit des légions, pendouillant leur bonne conscience de nantis du Système à leurs slogans haineux, s’enivrant comme des sots de grands mots ronflants pour masquer la bassesse de leurs agressions grotesques de petites frappes, quand ils ne sont pas guidés, tels des pantins, par les services de police.

    Des idiots bien utiles

    Méric aurait été « tué pour ses idées », paraît-il. Quelles « idées » ? Le chien de Pavlov avait-il des « idées » ? Les borborygmes idéologiques que déglutit le gros ventre mou de l’École et des médias, unis dans un même combat d’abrutissement et de démoralisation de la nation, sont-ils autre chose que des renvois stomacaux que la grosse société marchande produit, avec ses déchets aussi universels que ses droits de l’homme ?

    Clément Méric « n’était pas un bagarreur, ni un monstre de guerre », clament ses comparses. Que faisait-il alors, à « chasser du skinhead », à guetter la sortie, avec quatre de ses acolytes, ces trois jeunes, dont une femme, qui ne demandaient pas mieux, selon les témoins, que d’éviter la bagarre ? Il s’est peut-être trouvé, par hasard, au milieu des coups ?

    On ne peut sans doute pas nier une part de courage chez Clément Méric. Soit. Mais il a lui-même choisi la voie de la violence, et il n’est pas certain qu’il n’eût, parfois, sinon toujours, souhaité la mort de ses ennemis, les prétendus fascistes. Il était lui-même, du reste, un maillon de cette immense chaîne qui emprisonne notre pays, et l’étouffe. Internationaliste, égalitariste, démago, haineux par rapport aux racines, aux identités, son combat était destructeur, et visait à jeter le peuple dans l’errance et le désespoir. Si les antifa avaient un peu de dignité, ils arrêteraient de pleurnicher, et de crier au scandale. Méric est mort comme il a vécu, dans la haine. Paix à son âme, mais guerre à ses pareils.

    Laissons l’enquête (si elle est sincère et loyale) suivre son cours. Il n’est pas inutile aussi, pour notre honneur, et pour tenter de sortir le jeune Esteban de la situation malheureuse où il s’est empêtré, de le soutenir, parce qu’il est notre camarade, et parce qu’il est victime. Car le Système ne lui fera pas de cadeau.
    Claude Bourrinet http://www.voxnr.com

  • Tous les espoirs sont permis

    A"[...] Oui, cette mobilisation a ceci d'historique qu'elle a "révélé", au sens chimique du terme, la République : pas une institution "républicaine" qui, aujourd'hui, ne soit discréditée aux yeux des Français, lesquels assistent, en direct, à la décomposition d'un régime qui, tout en recourant au mensonge institutionnel pour imposer le mensonge anthropologique, est parallèlement devenu incapable de dissimuler les pratiques mafieuses qui n'ont cessé d'alimenter ses profiteurs, droite et gauche confondues. C'est désormais à la page des faits divers qu'il faut prendre connaissance de la vie politique française, et ce, comble de l'indécence ou de l'insouciance, alors que le chômage touche désormais de plein fouet cinq millions de nos compatriotes ! Certes, le pays légal peut respirer ! Paris ne vaut plus une messe puisque NKM a été élue candidate de la droite parlementaire aux municipales parisiennes et que le prochain maire sera de toute façon sociétaliste. Hollande peut continuer en toute tranquillité à racketter les familles pour rééquilibrer une branche famille qui n'est en déséquilibre que parce que l'État la pille allègrement, puisque l'opposition, d'accord sur le fond, fait le service minimum. L'Europe peut continuer à faire semblant de nous donner des leçons et de vouloir nous imposer ses "réformes", puisque nos élites dénationalisées ont déjà tout abdiqué ! N'empêche, retourner à ses occupations comme si rien ne s'était passé, ce serait ignorer ce qui frappe les observateurs les plus impartiaux : à savoir que ce n'est pas un pays réel vieilli et fatigué qui s'est levé et s'est mobilisé, et ne cesse désormais de veiller, mais la jeunesse même du pays, celle qui, assurément, ne vole, ne casse ni n'organise de tournantes - c'est pour ça qu'elle n'intéresse pas Taubira - mais qui, en revanche, est destinée, demain, à prendre les rênes du pouvoir. À côté de cette jeunesse-là, la quadra NKM paraît d'un autre siècle - d'un vingtième qui n'en finit plus de se liquéfier dans ses utopies permissives.

    Tous les espoirs sont permis. Ils le sont parce que ces jeunes ont eu, finalement, la chance à leur premier engagement d'être confronté au vrai visage de Marianne. Ils ont en même temps appris et compris que les fameuses valeurs républicaines dont ils étaient bassinés depuis l'enfance dissimulaient un mensonge et une compromission, bref, une imposture de tous les instants, sur fond de corruption et d'indifférence aux malheurs réels des Français. Oui, ce qui s'est levé depuis six mois finira bien par croître et produire ses fruits car cette espérance repose sur des racines solides : celle d'un peuple qui, en dépit des attaques de toutes sortes - morales, intellectuelles, démographiques, sociales et avant tout spirituelles - dont il est l'objet depuis tant de décennies, continue de résister. C'est à cette résistance du peuple français contre la tyrannie de l'imposture qu'il convient de consacrer toutes ses forces. La résurrection est à ce prix."

    Action Française 200O

  • Manif pour Tous : le général Dary ne regrette rien !

    Le général Dary a écrit à Jean Dominique Merchet pour lui signifier son mécontentement suite à un article plus que fantaisiste le concernant :

     

    "Je dois vous faire part de mon indignation. Cet article porte atteinte à mon honneur de soldat et d’officier général, comme à celui de mes deux camarades que vous citez dans le même article (...) Il m’est difficile de comprendre comment un journaliste de votre autorité au sein de l’institution militaire ait pu accorder le moindre crédit à des rumeurs et affabulations répandues par des publications jusque là inconnues du public comme de moi-même ! (...)

     

    Je refuse de la même manière le procès d’intention qui repose sur des liens familiaux. Il n’est ni anormal, ni illégal d’avoir un de ses proches religieux, quand bien même serait-il dans un monastère, curé de paroisse ou même rabbin ! Il n’est ni anormal, ni illégal d’avoir dans sa famille un homme politique, quand bien même serait-il de droite, de gauche ou du centre ! Et puis, pour celui qui n’est, a priori fils ou frère de personne, mais qui a retrouvé sa liberté d’expression - à laquelle il a librement renoncé durant 40 ans en embrassant la carrière militaire - il ne semble ni anormal, ni illégal de pouvoir enfin s’exprimer sur des sujets de société (...)

     

    Cet amalgame continue en mêlant indistinctement l’appartenance religieuse, alors que nous sommes dans une armée laïque, comme la participation éventuelle de cadres ou de leurs enfants à la Manif pour tous, alors que cette participation relève du domaine privé, tant que les lois de la République sont respectées. L’amalgame que vous faites avec nos armées est tout aussi inacceptable, pour des soldats et officiers qui ont consenti de tels sacrifices sur les théâtres d’opérations, et qui n’ont pas vraiment de leçon de fidélité à la République à recevoir !

     

    Je ne sais pas si mes deux camarades également nommés vous diront, officiellement ou non, ce qu’ils pensent de votre article, mais je puis vous dire que, personnellement, je ne me suis pas du tout reconnu dans votre écrit et que, bien au contraire, celui-ci tend à salir l’image de notre armée, de votre armée ! Quant à moi, engagé dans ce mouvement par conviction personnelle, je peux simplement ajouter que je ne regrette rien !"   

    Philippe Carhon  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Valls ne peut pas tout faire : violer les libertés publiques et enrayer la délinquance

    Délinquance : depuis un an, une progression inexorable

    La délinquance de masse n’en finit pas de grimper. Le ministre se voit reprocher son attentisme face à Christiane Taubira.

    « Les faits sont têtus. » Paraphrasant Lénine, le bouillant Manuel Valls le rappelait lui-même, l’an dernier, à l’École militaire de Paris. Le Figaro a décortiqué les chiffres que le ministère de l’Intérieur ne publie plus pour en laisser la primeur à l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Et force est de constater qu’après douze mois d’activité le premier flic de France affiche un bilan des plus mitigés.

    La délinquance de masse n’en finit pas de grimper, les cambriolages augmentent de 5 % à près de 14 %, selon les zones, les vols avec violence de 3 à 5 %, les vols à la tire de 13 % à 35 % ! Avec toutefois quelques embellies concernant de vols de véhicule, les braquages de banque et de fourgon, ainsi que le vandalisme, sauf dans l’agglomération parisienne où les destructions et dégradations ont grimpé de 5,5 %. Dans le ressort de la préfecture de police de Paris, excepté pour les affaires de la PJ, tous les indicateurs de l’élucidation (c’est-à-dire la capacité à identifier un suspect) sont au rouge : violences (- 2,7 %), atteintes aux biens (- 1,3 %), escroqueries (- 4 %). Les faits ne sont pas têtus. Ils sont implacables.

    3 mai 2013. Manuel Valls est à Lyon, accompagné de sa collègue socialiste de la Justice, Christiane Taubira, pour vendre un premier bilan des zones de sécurité prioritaires (ZSP), censées concentrer les efforts des pouvoirs publics là où l’insécurité s’enracine le plus profondément. Interview le matin même dans un quotidien national. Un plan de communication bien huilé. Las ! Au moment précis où il s’exprime, la violence fait rage au Trocadéro à Paris, lors de la célébration du titre de champion de France du PSG.

    Fatalité ? Imprévoyance ? Les indicateurs d’activité des services révèlent, en tout cas, une singulière baisse de régime dans des secteurs clés comme la lutte contre les infractions liées à l’immigration clandestine , les armes ou les faits de proxénétisme. Seule la lutte contre les stupéfiants témoigne d’une certaine constance depuis les années Sarkozy. Mais, curieusement, l’Intérieur ne met pas trop l’accent sur ce travail de fourmi. Alors que « le taux d’élucidation dans ces affaires a crû de 15 %», se réjouit-on au cabinet du ministre. Faut-il laisser leur chance aux salles de shoot ?

    Afficher sa différence

    « À la politique du chiffre, je veux substituer une exigence de sécurité pour tous les Français », déclarait Manuel Valls en septembre dernier. Les centaines de milliers de personnes qui ont brandi la bannière de la Manif pour tousy voient surtout une fermeté à géométrie variable : « Sévère avec les familles qui défilent, inerte avec les délinquants protégés par la culture de l’excuse de la gauche », dénonce Geoffroy Didier, secrétaire général adjoint de l’UMP, au lendemain des émeutes du Trocadéro. À peine arrivé, Manuel Valls a voulu afficher sa différence. Et d’abord, une nouvelle façon de manager. Nicolas Sarkozy taillait-il dans les effectifs au nom de la rigueur budgétaire ? Lui annonce quelques milliers de policiers en plus pour répondre au défi sécuritaire. « Mais la machine les absorbe en un rien », assure un préfet. Selon la Cour des comptes, « le taux d’occupation de la voie publique » par la police n’est que de 5,5 %. Pour avoir un agent 24 heures sur 24 dans la rue, il faut toujours sept policiers !

    L’hôte de Beauvau craint-il une comparaison avec les bilans de Nicolas Sarkozy ? « Son insistance à vouloir changer le thermomètre de la délinquance, sur la base de nouveaux indicateurs prévus pour 2014, a renforcé la suspicion », estime Bruno Beschizza, ancien syndicaliste policier devenu conseiller régional UMP de Seine-Saint-Denis.

    Le préfet Vedel, directeur adjoint du cabinet Valls trouve, pour sa part, la décision de son ministre « courageuse ». Et de citer la préplainte en ligne (20 000 signalements depuis janvier, devenus des plaintes aux trois quarts). Un système imaginé sous la droite, mais retardé par crainte de voir grimper la statistique lors de la dernière présidentielle.

    C’est tout le paradoxe de la méthode Valls : « Même s’il s’en défend, il est l’exécuteur testamentaire de l’équipe Sarkozy. Il vit même sur la bête », s’amuse un contrôleur général de la police. Et de citer « les ZSP, continuation des périmètres de sécurité renforcés (PSR) du préfet Gaudin, les plans “1000 caméras” de Marseille ou de Paris, la modernisation de la police scientifique… »

    Une confiance fragile

    Est-ce ce qui rend le premier flic de France populaire auprès de ses troupes ? À en croire de nombreux syndicalistes, la confiance dont il bénéficie est encore fragile. S’il a su donner des gages à la base en s’opposant, par exemple, au récépissé de contrôle d’identité, son attentisme face aux autres projets de la justice, comme la suppression annoncée des peines planchers, des tribunaux correctionnels pour mineurs, de l’extension du nombre de places en prison, suscite des interrogations grandissantes.« Manuel Valls se rêve en homme d’action, mais il reste un homme de communication. Son plus grand tort, c’est de ne pas combattre le laxisme de la place Vendôme », considère le député UMP de l’Yonne, Guillaume Larrivé.

    « Valls le pragmatique » laisse dire. « Son pire ennemi reste son impulsivité », confie l’un de ses tout proches. Le 29 mai dernier, en un seul jour, il a pu savourer le double succès des arrestations du truand Redoine Faïd et de l’islamiste soupçonné de l’agression contre un soldat à la Défense. Deux coups d’éclat de la PJ soigneusement « montés en diamant », selon l’expression d’un « grand flic ». Juguler le flot montant de la petite et moyenne délinquance est une autre affaire…

    Terrorisme : la Corse redevient un dossier explosif

    La violence en Corse ? Elle explose statistiquement dans le dernier bilan de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). À la rubrique « attentats à l’explosif contre des biens privés », sur un an,les augmentations portées sont de 149 % en zone police et de 170 % en zone gendarmerie. Ce qui représente près d’une centaine d’actes terroristes en plus de douze mois.

    On comprend mieux les multiples voyages du ministre de l’Intérieur sur place. D’autant que le cœur de sa stratégie antimafia a été atteint, avec l’explosion dans les locaux du GIR d’Ajaccio, le mois dernier.

    Mardi, une branche du Front de libération nationale de la Corse (FLNC) s’est dite prête à reprendre les armes, à l’occasion d’une visite de Manuel Valls dans l’île. La menace est sérieuse.

    Le Figaro     http://www.actionfrancaise.net

  • Les Dieux ont soif, par Alexis Arette

    Le titre d’un roman d’Anatole France… mais il pourrait illustrer ce que fut toujours le gauchisme, cette frange qui, furieuse de voir le socialisme échouer en tout,  ne voyait comme solution de rechange, que la suppression physique des adversaires : « Du passé faisons table rase » !
    Il pourrait aussi illustrer les manifestations après la mort de l’extrémiste Clément Méric tombé dans une bagarre, comme il en est souvent entres divers jeunes excités. Mais pourquoi aujourd’hui cette mobilisation face à ce qui n’est qu’un « fait divers » de notre société ?
    C’est que les tenants du laïcisme au pouvoir, malgré le contrôle des médias et les gigantesques appareils de pression et de désinformation, n’ont pu dissimuler l’énorme mobilisation d’une chrétienté que l’on croyait morte, face à la profanation du mariage.
    Et si toute motivation politicienne a su faire silence, au cours des énormes rassemblements, il n’en est pas moins vrai, que ceux-ci portent en gestation la nécessité de promouvoir le combat sur le plan politique, et, il faut bien le dire, à l’encontre de la fameuse « alternance » de tradition républicaine, qui n’a jamais été qu’un partage de l’« assiette au beurre » !
    Un exemple parmi tant d’autres: On vient d’apprendre qu’un agent du fisc de Haute-Garonne, Rémy Garnier, avait dénoncé dès 2008, les opérations financières litigieuses de Monsieur Cahuzac. Que fit le gouvernement de la fausse droite ? Par l’autorité d’Éric Woerth son supérieur, il sanctionna le fonctionnaire intègre ! La complicité de la crapule est un des atouts de « l’ordre républicain ». Et c’est presque miracle si, aujourd’hui, Monsieur Woerth a quelques ennuis avec la justice…
    Mais le danger à l’encontre de la réaction Chrétienne, ne vient pas seulement de la crapule politique, qu’une énorme majorité désavoue, même pas du monstrueux Pierre Berger, dont le visage comme défoncé par le vice semble une insulte à la figure humaine, le danger pire vient d’un clergé qui l’autorisa a prononcer l’éloge de son « giton » en l’Église de St Germain l’Auxerrois !
    Il est à craindre que ce soit ce même clergé qui, dans le Conseil « Famille et Société » de la conférence des Évêques de France », vient, en condamnant l’homophobie, de laisser croire qu’elle était présente dans les manifestations. La soumission à la loi contre nature de l’État est recommandée en ces termes : « C’est une preuve de maturité démocratique que d’accepter sans violence que son propre point de vue ne soit pas retenu ! »
    Et le texte traitant ensuite « d’Expériences » les aventures homosexuelles, assure qu’elles ne sont pas dévalorisées par les rapports charnels ! On en vient à se demander si certains prélats ne justifient pas ainsi leurs propres « expériences »!
    La soumission à l’État antichrétien avait déjà été recommandée par Monseigneur Podvin porte-parole des évêques de France, en ces termes : « La signification religieuse, nous y sommes attachés. MAIS le respect de la diversité c’est certainement une source de paix de la société ! ». Bref, ce que l’Église nommait le péché « contre nature », ne l’est plus : c’est une diversité qui doit inspirer le respect.
    Ce qui est certain, c’est que depuis des temps très anciens, nous sommes prévenus de cette crise de l’Église qui verra les évêques se dresser contre les évêques et contre le pape.
    L’immense Padré Pio, si longtemps persécuté par ses supérieurs religieux n’a pas hésité à dire : «  Combien de nos malheureux frères dans le sacerdoce, répondent à l’amour du Christ en se jetant à bras ouverts dans l’infâme secte des francs-maçons ! ».

    Les « dieux qui ont soif » peuvent compter sur un certain épiscopat qui leur conseillera de se soumettre. Reste à savoir si le Peuple chrétien ne recevra pas d’autres instructions de Saint Michel.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Le 26 mai 2013, et après ?

    opposants-au-mariage-homosexuel-rassembles-sur-esplanade

    Une question d'importance que nous devrions tous nous poser sans tarder... Nos amis du Centre Lesdiguières la poseront le lundi 10 juin 2013, à Grenoble. Une table- ronde prospective à laquelle participeront les représentants des AFC de Grenoble, du Printemps français, de « la manif pour tous-38 », sous l'aiguillon de Michel Michel, sociologue, et de Maître Pierre Tranchat (SIEL)...

    Vous êtes tous invités !

    Portemont

    Le Centre Lesdiguières vous invite à une table-ronde sur La manifestation du 26 mai, et après ...?

    La loi sur le mariage des homosexuels a suscité l'opposition d'un vaste mouvement social. Trois gigantesques manifestations ont marqué le paysage médiatique : "les plus grandes manifestations en France depuis les 40 dernières années". Alors même que la loi Taubira a été votée et promulguée, l'agitation ne fait que s'accentuer : à chacune de leur sortie les ministres se voient confrontés à un vigoureux "comité d'accueil", les structures de contestations se multiplient inventant de nouvelles formes d'action et les partis semblent mal à l'aise devant cette vague du pays réel que personne n'avait prévue.

    La soirée sera consacrée à l'interprétation de cette effervescence, à en faire le bilan provisoire et à dégager les perspectives de ce mouvement social qui semble devoir durer. Participeront à cette table-ronde prospective : Claire HUBER présidente des AFC de Grenoble, Vincent DE SCHUYTENEER représentant du "Printemps Français", Michel MICHEL sociologue, Dominique PALIARD coordinateur de "la manif pour tous 38"et Maître Pierre TRANCHAT (SIEL).

    Lundi 10 juin 2013 à 20 h.
    Salle 1er étage - 10 place Lavalette, 38000 Grenoble
    (Tram arrêt : «Notre-Dame »).

    Exceptionnellement, la Table-ronde ne sera pas suivie par un buffet. Participation aux frais.

    http://www.lesmanantsduroi.com

  • Hommen : "ce n'est qu'un début"

    Le porte-parole des Hommen :

    Fabien (pseudonyme) est responsable national et porte-parole des Hommen. Il revient sur l'opération menée dimanche sur le court Philippe Chatrier de Roland-Garros :

    "La lutte contre la loi Taubira n'est pas un combat politique, mais un combat de société. Nous savions que nous allions être critiqués. Mais sur Facebook et sur Twitter, nous constatons une explosion des messages de soutien. Notre objectif est de libérer la parole du peuple. Le gouvernement n'a pas écouté les immenses mobilisations du printemps. Il s'en frotte les mains. C'est pourquoi nous avons choisi de faire connaître cette situation dramatique dans le monde entier. D'où notre choix d'intervenir à Roland-Garros.

    De ce point de vue-là, quels résultats avez-vous obtenus ?

    Nous avons pu les constater dès hier soir en faisant le tour de la presse internationale sur le web. Disons que nous n'avons pas pu trouver de journaux qui n'en parlaient pas. Nous sommes présents partout : au Brésil, au Mexique, aux Etats-Unis, au Canada, en Afrique, en Russie... Et dans des titres importants comme le New York Times par exemple. 

    Vous portez un masque blanc, vous vous exprimez sous pseudonyme... Pourquoi ?

    Derrière le masque blanc que nous portons, nous considérons qu'on retrouve tous les Français qui s'opposent au mariage gay. Ce n'est pas un slogan, mais une réalité. Quand nous montons des actions, nous ne nous connaissons pas forcément. Ce sont souvent des nouveaux-venus qui se mobilisent pour une ou plusieurs opérations, et parfois nous ne les reverrons pas. 

    Êtes-vous néanmoins rattaché à l'un des mouvements officiels d'opposition au mariage gay ?

    Nous ne sommes rattachés ni au Printemps Français, ni à la Manif pour Tous, ni au Camping pour tous, ni à aucun autre de ces différents mouvements. Nous sommes libres et autonomes, mais nous avons bien évidemment des relations avec eux. [...]

    Quelle seront vos prochaines opérations ? On va vous voir à chaque étape du Tour de France maintenant ?

    Je vous laisse la surprise. Ce qui est certain, c'est que ce n'est qu'un début. François Hollande veut nous interdire d'employer le terme de "résistance". Mais c'est un acquis. La résistance est en marche et elle se structure. Jamais on ne lâchera pour défendre le mariage et le droit des enfants, jusqu'à ce que la loi Taubira ne soit plus qu'un mauvais souvenir.

    Cette loi avait été annoncée par François Hollande. Elle a été votée par le Parlement et promulguée. N'y a t-il pas un moment où il faut accepter le jeu démocratique ?

    Il serait bon en effet que le gouvernement accepte enfin le jeu démocratique, quand une majorité de Français s'oppose à une loi. La démocratie, cela signifie que le pouvoir appartient au peuple. Quand le peuple n'a plus le pouvoir, on glisse vers le totalitarisme. Tout le monde sait que François Hollande n'a pas été élu sur cette proposition, mais sur le chômage et l'économie. C'est sur ces thèmes que les Français l'attendent. Pas sur le mariage gay."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « Après la matraque, les rafles »

     

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    Il suffit d'un peu de mémoire pour conclure qu'il s'agit là d'une vieille histoire... Sans remonter trop loin, rendons hommage aux étudiants patriotes du 11 novembre 1940. Nombre de nos ainés « en étaient » ! Une nouvelle génération prend la relève. Le 26 mai au soir, elle a payé son écot... Un petit mot de notre frère d'armes Olivier Perceval, secrétaire général de l'Action française...

    Chaque année l'Action française rend hommage aux étudiants patriotes qui ont bravé l'interdit de l'occupant allemand, le 11 novembre 1940. C'est toujours avec une certaine émotion que nous imaginons ces étudiants et lycéens, mains nues devant l'envahisseur nazi. Bon nombre d'entre eux étaient d'Action française, et nous avons encore des aînés chez nous pour témoigner de ce premier acte historique de résistance à l'occupant.

    Dimanche soir, le 26 mai, c'étaient aussi et surtout des étudiants et lycéens qui faisaient face aux forces du régime. On est libre de ne pas me croire, mais j'affirme qu'il y a eu plus de blessés le 26 mai 2013 que le 11 novembre 1940.
    Valls a lâché les chiens (policiers) sur les Français, comme jadis le gouverneur teuton du "Groß Paris".

    L'Action française, toujours consciente des risques que faisaient courir aux manifestants les grossières provocations policières, a ciblé (avec quelque succès), dans les échauffourées des Invalides, les policiers en civil qui tantôt faisaient mine d'agresser les CRS et tantôt mettaient prestement leurs brassards en sortant les matraques télescopiques pour exfiltrer avec une rare violence des manifestants un peu isolés.

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    Bilan : dix-sept interpellations et mises en garde à vue dans les seuls rangs de l'Action française, et plusieurs blessés, notamment par "flash ball" dont deux grièvement, poignets cassés et côtes fêlées, encore hospitalisés à l'heure où j'écris.

    Cela continue... Lundi 27 mai 2013, à Buffon, des manifestants qui voulaient pacifiquement interpeller Hollande - venu célébrer la Résistance, un comble ! -, se sont fait embarquer manu militari par des CRS, au seul motif qu'ils portaient sur eux le polo de la Manif pour tous. Parmi eux, beaucoup de mères de famille.
    Les Kapos de la "Reich-publique" s'affolent, frappent, traquent, raflent..
    Le pouvoir rend fou, et, avec leur police, ses détenteurs se croient tout permis. Nos enfants dans les crèches et dans les écoles sont réellement en danger de viol idéologique, demandez à Bertinoti, Vallaud-Belkacem et Peillon ce qu'ils en disent.
    À la violence aveugle d'un pouvoir sectaire aux abois, nous répondrons avec la force tranquille d'un peuple en marche, sûr de la victoire finale.

    Olivier Perceval
    Secrétaire général de l'Action française

    Pour couvrir les frais de justices nombreux, vous pouvez dès à présent adresser vos dons par chèque au CRAF, 10 rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris, ou bien via Paypal en suivant ce lien :

    http://www.actionfrancaise.net/centre-royaliste-daction-francaise/soutenir-laction-francaise/

    Photos des exactions commises sur l'ordre de Manuel Valls :

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Photos-des-exactions-commises-sur

    À voir aussi, la vidéo de l'opération Bastille :

    http://www.actionfrancaise.net/afe/?fich=731

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