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magouille et compagnie - Page 2294

  • Il serait plus courageux de dissoudre l’Union Racaille

    Entretien sur Boulevard Voltaire avec Renaud Camus

    Comment avez-vous perçu les réactions de la classe politique et des médias à l’annonce de la mort du militant d’extrême gauche Clément Méric ?

    Comme de la farce greffée sur de la tragédie, ce qui doit être la définition du mélo, non ? Mélenchon est notre Robert Macaire, il ressuscite le boulevard du Crime.

    Évidemment, par curiosité, on aurait aimé voir ce qui se serait passé si, trente secondes plus tôt ou trente secondes plus tard, un poing « antifa » avait renversé et tué malencontreusement un pauvre jeune « fa ». En tout cas, c’est bien la première fois que les belles âmes de gauche, et celles de la droite remplaciste, daignent verser des larmes sur la mort d’un p’tit gars bien de chez nous, tué par un immigré. N’était le chagrin qu’on éprouve de cette mort idiote, on se réjouirait presque de voir ça…

    Le look, la fréquentation des mêmes lieux, une violence à fleur de peau : skinhead et antifa se ressemblent comme deux gouttes d’eau…[...]

    La suite sur Boulevard Voltaire

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  • Vendredi 14 juin : Opération “Pour la fête des pères, les papas parlent aux papas”

    Vendredi 14 juin : Opération “Pour la fête des pères, les papas parlent aux papas”

    Ce dimanche 16 juin 2013 est certainement  la dernière fête des pères. Désormais, pour empêcher toute discrimination envers les enfants de familles dont les parents 1 et 2 sont des lesbiennes, la fête des pères doit être retirée des calendriers. Ainsi, on évitera que des enfants ne puissent, ce dimanche là, offrir un cadeau à un papa… qui n’a pas d’existence. Et puis désormais le mot père est banni de l’état civil. Il en est de même concernant la fête des mères.

    En attendant, on va expliquer aux enfants qu’au nom de la théorie du « gender », de toute manière tout cela n’a pas de sens puisque « papa porte une robe ». C’est en effet le titre d’un album que l’éducation nationale de Vincent Peillon fait entrer dans le programme des CP-CE1. Pour « arracher les enfants à leurs stéréotypes familiaux » (sic).
    Si le port de la robe par les hommes n’était qu’une mode, cela ne nous dérangerait pas : après tout, les Ecossais portent le kilt, les Latins portaient la tunique, et dans de nombreux pays du Moyen-Orient et d’Afrique les hommes portent des robes… sans parler des prêtres catholiques avec leurs soutanes !
    Sauf qu’ici, il ne s’agit pas de mode : le « papa » que Vincent Peillon propose à nos enfants ne se contente pas de porter une robe, il se maquille comme une femme, et peut-être s’épile-t-il comme elle ; passons sur le reste. L’objectif est donc bien l’indifférenciation des genres : avec le « gender », papa porte les attributs de maman, papa est une femme comme les autres.

    On se demande pourquoi Vincent Peillon n’est pas venu présenter sa réforme en robe ? Peur du ridicule ? Serait-il aussi sclérosé que la société dont il condamne les modèles ?

    Alors, nous, PAPAS EN COLERE, nous proposons de faire cela à sa place et d’aller présenter en robe le programme que Vincent Peillon destine à nos enfants, pour que les gens sachent de quoi il nous parle réellement, ce que nous propose en vérité le gouvernement.

    Nous vous proposons donc de participer à l’opération :« Pour la fête des pères, les papas parlent aux papas »

    Vendredi 14 juin, à la sortie de l’école primaire de votre quartier ou de votre village, 16h30 (sortie de classes), venez tracter contre « le gender à l’école » habillés en robe (nos épouses arriverons à coup sûr à trouver quelque chose qui nous ira !) : la robe est le point essentiel car c’est ce qui pour nous, papas, sera un attifement qui donnera son retentissement à l’opération : nous démontrerons ainsi que la question des rôles respectifs de la femme et de l’homme n’est pas une question de préjugés mais que l’apparence vestimentaire est la clef de l’identification visuelle de nos égales, inimitables et naturelles respectives dignités.

    Il n’y a pas besoin de déclaration préalable à faire aux autorités publiques pour un tractage : on y va, on le fait, on explique aux parents d’élèves, aux enfants, c’est tout.

    Auparavant, imprimez les tracts joints à ce message et photocopiez-les : deux tracts format B5 sur une même feuille A4 que vous coupez en deux permettra des économies de papier (pauvres arbres…), et limitez le nombre de tracts au nombre d’élèves de l’école. La BD en partie gauche est destinée aux enfants, la partie droite aux parents.

    Soyez au minimum deux pour un tractage : il n’est pas donné à tout le monde d’affronter, isolé, les sarcasmes inévitables ; on tient parce qu’on se soutient.

    Ne forcez pas les gens à prendre vos tracts s’ils n’en veulent pas : votre présence est en soit un témoignage et nos actions sont aussi pacifiques que transgressives.

    N’en rajoutez pas sur le ridicule : il ne s’agit pas d’une gay-pride à l’envers mais d’une opération d’information des familles de vos écoles sur les dangers de l’idéologie du gender que Vincent Peillon veut introduire dans les programmes scolaires. Maquillages outranciers et autres strings doivent rester l’apanage des provocations du lobby gay. Comme toujours nous saurons agir avec la plus grande dignité.

    Avant de quitter les lieux, ramassez les tracts que des gens auraient jetés par terre.

    L’avant-veille ou la veille, prévenez la presse locale pour que l’opération ait du retentissement.
    Pour récupérer le tract en format PDF, un modèle de communiqué de presse et un argumentaire, écrivez-nous à : papasencolere@gmail.fr

    Nous voulons notre fête des pères : ni le gouvernement, ni le lobby gay ne pourront nous en priver.

    Faites passer largement.

    Bon courage à tous les participants et en avant les PAPAS EN COLERE contre le « gender ».

    Retrouvez-nous sur Facebook : www.facebook.com/papas.encolere.fr

    http://www.printempsfrancais.fr

  • Clément Méric : les Japonais de la rue Saint-Guillaume

    Clément Méric : les Japonais de la rue Saint-Guillaume

    Les antifas cagoulés et armés dont faisait partie Clément Méric. Crédit photo : DR

    PARIS (via Polémia) - Une mort inutile. En 1974 le monde découvrait l’odyssée d’Hiro Onoda, ce soldat japonais caché dans la jungle de l’île de Lubang et qui continuait la guerre du Pacifique tout seul, ne sachant pas que le Japon avait capitulé en 1945. En juin 2013, à l’occasion de l’émotion causée par la mort de Clément Méric, on découvre qu’il existe encore des « militants antifascistes », 68 ans après la disparition du fascisme en 1945. Là s’arrête la similitude, hélas.

    L’un savait, l’autre ne savait pas
    H. Onoda était un soldat et il avait l’excuse de son devoir d’obéissance militaire et de son isolement. Il n’a d’ailleurs accepté de se rendre qu’en présence de son ancien supérieur qui seul put le persuader que la guerre était vraiment terminée.

    C. Méric était un étudiant de 19 ans en sciences politiques qui de ce fait ne pouvait ignorer que le fascisme avait été rayé de la carte de l’Europe en 1945 : à la fois politiquement, militairement et moralement.

    Ou alors il faut s’inquiéter sérieusement de la nature de l’enseignement qui est dispensé dans la célèbre école de la rue Saint-Guillaume à Paris.

    L’antifascisme : un combat sans risque
    H. Onoda continuait sa guerre dans des conditions matérielles et morales extrêmement difficiles : c’est pourquoi à son retour au Japon, il fut salué comme un héros.

    Les «militants antifascistes » français du XXIème siècle, eux, vivent confortablement installés dans le Système. Ils ont pignon sur rue et disposent de la bienveillance médiatique, de celle du corps enseignant, des ligues de vertu et donc des institutions. A la différence de leurs grands-parents qui ont vraiment combattu ou subi le fascisme dans la première moitié du XXème siècle, ils ne risquent rien de grave.

    Se tromper d’époque
    H. Onoda vivait dans la peur d’être découvert et fait prisonnier car il se croyait toujours en guerre.

    Les « militants antifascistes » du XXIème siècle, eux, se trompent à la fois d’époque et de combat.

    On leur fait croire qu’il faut lutter contre le fascisme immonde et toujours renaissant, mais on leur fait en réalité jouer le rôle d’idiots utiles du néo-capitalisme : car on leur fait s’attaquer non aux « fascistes » mais à tous ceux qui résistent à la transformation de notre société voulue par l’oligarchie financière et qui se trouvent disqualifiés par le Système sous le vocable « extrême droite ».

    Les antifascistes de gauche sincères sont de malheureux schizophrènes pour cette raison.

    Mort inutile
    H. Onoda n’est pas mort dans la jungle. Il a rempli le premier devoir du soldat : survivre pour mener sa mission jusqu’à ce qu’on le relève. Son action avait donc un sens. C’est pourquoi H. Onoda fut salué à son retour, non comme un soldat perdu mais comme l’incarnation vivante du code de l’honneur militaire nippon.

    C. Méric, lui, est mort pour rien : en militant d’une cause morte et en victime accidentelle de la violence qui ronge notre société. C’est-à-dire en victime des effets de l’idéologie pour laquelle il militait.

    Michel Geoffroy http://fr.novopress.info

  • Manif Pour Tous : répression policière et acharnement judiciaire

    Les opposants au mariage gay se disent victimes d'un "scandale judiciaire" et de gardes à vue abusives. Ils lancent un site Internet pour regrouper les plaintes contre les pouvoirs publics.
    En plus de leurs symboles habituels, comme les sweats roses et bleus, certains membres de l'association La Manif pour tous arborent désormais un badge "prisonnier politique". Lors d'une conférence de presse, les organisateurs ont dénoncé ce lundi la répression "injuste" dont sont victimes les opposants au mariage homosexuel.(voir aussi l’article du Gaulois)
    Épinglé au revers des vestes, le pin's est porté par les manifestants qui ont déjà été gardés à vue, comme Bertrand, 21 ans. "Je suis resté 17 heures en cellule et on m'a relâché sans poursuites", explique-t-il fièrement. C'était le 17 avril. Avec quelques dizaines d'irréductibles, il avait tenté un sitting sous les fenêtres de l'Assemblée nationale, un soir de débat sur le mariage gay. "Nous sommes restés moins d'une heure avant que la police nous dégage", s'insurge le jeune militant.
    ASSIGNER L'ÉTAT POUR FAUTE LOURDE
    Le récit de Bertrand illustre la situation dénoncée par les anti-mariage gay. "C'est un scandale judiciaire, il est anormal qu'on tente de faire taire la Manif pour tous, tonne l'avocat et militant Henri de Beauregard. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, joue les démobilisateurs en annonçant la dangerosité des manifestations puis justifie cela en procédant à des arrestations sans fondements. Ensuite, on maintient des gens en garde à vue, alors que les fonctionnaires de police savent très bien que cela ne tiendra pas devant un tribunal... " Le conseil en veut pour preuve: sur les 300 interpellations menées lors du dernier rassemblement, seules treize auraient donné lieu à des poursuites judiciaires.
    En réponse, les opposants au mariage gay préparent le lancement de libertepourtous.fr. À terme, le site proposera une assistance juridique aux manifestants mis en cause par la police. La plateforme dispensera également des conseils sur la conduite à adopter en cas de garde à vue et incitera les militants à déposer plainte au pénal.
    Autre objectif : regrouper les plaintes en vue d'une procédure d'assignation de l'État pour faute lourde au civil. Une façon de montrer, comme l'explique la porte-parole Ludovine La Rochère, que "oui, on reste mobilisés, parce que la famille est attaquée de toutes parts". La Manif pour tous élargit par ailleurs son combat et appelle à manifester contre la loi de Vincent Peillon sur l'enseignement primaire.
  • Les catholiques poignardés dans le dos

    Depuis des mois les Français - en particulier les catholiques - luttent pacifiquement contre une loi visant à changer les fondements de notre civilisation : Manif pour tous, Pétition devant le CESE, Printemps Français, Hommen, Veilleurs, Antigones, etc…
    C'est tout un peuple qui se lève face à un gouvernement qui n'a d'autres réponses que l'obstination, les arrestations arbitraires et le gazage d'innocents.
    Face à ce nouveau totalitarisme, un seul mot d'ordre : « On ne lâche rien ! ». La persévérance  et le courage des Français suscitent l'admiration du monde entier.
    Et pourtant... ils viennent d'être lâchés ! Poignardés dans le dos par le Conseil Famille et Société de la Conférence des Évêques de France !
    Sous le titre « Poursuivons le dialogue » (sic) cet organisme épiscopal regrette que « l'homophobie existe toujours dans la société et dans nos communautés catholiques » et ose avancer que « c'est une preuve de maturité démocratique que d'accepter sans violence que son propre point de vue ne soit pas retenu » !
    On aimerait qu'il demande à la « génération garde à vue » où se trouvent les violences...
    Mais il y a plus grave encore : le Conseil Famille et Société n'hésite pas à contredire ouvertement la doctrine catholique en affirmant que le fait de ne pas garder la chasteté dans les amitiés homosexuelles  ne « dévalorise pas cette expérience » !
    Madame, Monsieur pouvons-nous rester silencieux face à une telle aberration ? Jamais ! ON NE LÂCHE RIEN
    C'est pourquoi je vous demande de signer cet appel respectueux  adressé à Monseigneur Pontier, nouveau Président de la Conférence des Évêques de France, en cliquant ici.
    Diffusez ce message à vos contacts ! La Fille aînée de l'Église ne peut être ainsi souillée.
    Je compte sur vous et, dès à présent, un grand merci.¢
    Catherine Goyard, Présidente d’Avenir de la Culture
  • Gender S.O.S. ! Pour les pervertir, l’Etat kidnappe nos enfants !

    Parents, indignez-vous !

    Enseignants, rebellez-vous !

    Educateurs : insurgez-vous !

    L’endoctrinement des enfants sur le gender est une des pires calamités qui les menace, et à long terme l’ultime coup de bélier achevant la destruction interne de nos familles [1].

    Déjà, il était imposé aux 1ères-secondes – non en philo comme une thèse à débattre, mais en SVT alors qu’elle est totalement anti-scientifique [2]. Et voici qu’en septembre, elle sera obligatoire dès le primaire  ! (et sous forme d’exercice pratique dès la maternelle et même la crèche). C’est-à-dire que cette idéologie débile va formater tous les élèves de France, sans exception de la maternelle au lycée, de leurs 5 à 18 ans et encore… vont-ils retrouver ces sornettes à la Sorbonne  ! (chaire de Gender studies — «  présage  » — à Sciences Po.). Elle risque aussi de s’infiltrer par le biais des cours d’éducation sexuelle qui vont être obligatoires dès la rentrée, à partir de 6 ans  !

    L’objectif visé est explicite  : «  Dépasser la binarité historique entre féminin et masculin  » (sic). En général, l’enseignement ne sera plus «  fondé sur le postulat de la complémentarité des sexes  ». La preuve  : les enseignants doivent s’appuyer sur la Ligne Azur 2012, dont une des dominantes est que l’identité se fonde sur le sentiment d’appartenance à un genre ou à un autre, indépendamment de toute donnée anatomique ou biologique. [...]

    Père Daniel-Ange - La suite sur France Catholique

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  • Vers une épuration des Officiers catholiques dans l’Armée ?

    Il y a toujours eu plus de catholiques fervents dans le métier des armes que dans les autres. À quoi cela tient-il ? Sans doute à la volonté de se conformer à ce que disait Notre-Seigneur : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux que l'on aime. »
    Le pieux chanoine Berto, fondateur de l’orphelinat Notre-Dame de Joie, écrivait à ses « anciens », en saluant la mémoire d’ex-pensionnaires engagés volontaires et morts pour la France en Indochine : « J’ai été et je suis fier d’eux. Soyons fiers ensemble de ceux qui sont tombés. Une seule gloire est au-dessus de la leur : celle des martyrs. En attendant que nous ayons des martyrs parmi nous, Bertrand et Louis-Yvon sont notre plus haut honneur. Nous ne le désavouerons jamais. »
    Ce sont des hommes de fidélité, à leur foi catholique, certes, mais aussi à leur pays, quel qu’en soit le gouvernement. Cette double loyauté peut être difficile à vivre lorsqu’elle devient conflictuelle. On l’a bien vu lors de la séparation de l’Église et de l’État, au début du siècle dernier, quand des officiers ont préféré briser leur épée plutôt que procéder à l’expulsion des religieux de leur couvent. D’où la traque des officiers catholiques dans l’armée par le gouvernement anticlérical et franc-maçon d’alors.
    Cela va-t-il recommencer ? Il paraît que le gouvernement prend « très au sérieux » (Le Monde du 8 juin) la « pénétration » des catholiques traditionalistes dans l’armée, relayée par de hauts gradés.
    Tout le monde a pu constater que l’ancien gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Dary, fut l’efficace co-organisateur de la Manif pour tous. Versé dans le cadre de réserve, retraité, il est désormais bien libre de dire et de faire ce qu’il veut comme citoyen y compris – ce dont s’effraie le ministre de la Défense ! – d’appeler à « la résistance contre cette mauvaise loi ». Le ministre a oublié qu’un autre général avait déjà appelé à la résistance, en 1940, et qu’il a été, par la suite, reconnu comme un héros national après avoir été condamné à mort. Ses amis disent que son tort fut d’avoir eu raison trop tôt. L’Histoire, assurent-ils, lui a rendu justice…
    Oui mais ! Actuellement, il est un autre général qui, lui, est toujours dans l’active et pas n’importe où : c’est le chef d’état-major particulier du président de la République, le général Benoît Puga, dont le frère, l’abbé Denis Puga, est membre de la Fraternité S.Pie X et exerce son apostolat à Paris, à l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Le général Puga lui-même est un familier de cette paroisse et il n’est pas éloigné du mouvement traditionaliste Civitas, à la pointe du combat contre ce qui agresse la foi catholique. Dans le collimateur des services de renseignements, il y a aussi Pierre de Villiers, major général des armées.
    À ce stade, la première question qui vient à l’esprit est celle-ci : le « frère » Jean-Yves Le Drian, actuel ministre de la défense, est-il en train d’établir une liste noire d’officiers catholiques, contrairement à la loi qui interdit de ficher les citoyens en fonction de leurs convictions religieuses ou philosophiques ?
    Le Monde indique que « les services de renseignements ont placé cette frange minoritaire mais rendue très visible depuis les manifestations anti-mariage gay, sous surveillance ». Comme on n’a évidemment rien à leur reprocher d’un point de vue légal, il faut bien trouver un prétexte pour justifier cette surveillance puisque le fait qu’ils soient catholiques et hostiles au « mariage pour tous » ne saurait constituer un motif valable de mise à l’écart.
    Ils ont trouvé : on va les soupçonner de fomenter un putsch pour renverser le gouvernement socialiste ! Le soupçon est énorme, son fondement plus que ténu. Il s’agit d’un article, circulant sur Internet, de La Revue de l’Arsenal, une nouvelle publication qui, après avoir souligné le « grand mécontentement » des armées, évoque un Mouvement du 6 mai qui serait suscité par des officiers en lutte contre « le cabinet franc-maçon » du ministre de la Défense.
    Les trois généraux évoqués plus haut pourraient être le moteur d’un possible sursaut ; et la revue d’appeler de ses vœux une sorte de putsch. Mais les auteurs de ce texte soulignent que ces généraux n’ont pas cette intention-là ! Du coup, ils opinent que « le salut viendra des capitaines » si les généraux font défaut. C’est tout ! Pas de quoi décréter la République en danger et la démocratie en péril.
    Évidemment, les généraux Dary, Puga et Villiers ne sont pour rien dans ces rêveries putschistes. Mais Le Monde note, juste après ce prétendu projet de putsch militaire : « Aucun des trois hauts gradés n’a publiquement démenti sa proximité avec les idées politiques qui leur sont prêtées. » Suivez mon regard… Pourquoi démentiraient-ils des idées politiques qui sont les leurs en effet et qu’il est parfaitement légal de professer ? On comprend ce qu’insinue le fielleux quotidien du soir qui n’a pu être informé que par des sources proches du ministère de la Défense : s’ils ne démentent pas cette proximité, n’est-ce pas parce qu’ils sont proches, si ce n’est complices, de « putschistes » qui partagent leurs idées politiques ?
    On appelle ça la culpabilité par amalgame. Technique jadis employée lors des procès de Moscou : puisque vous ne répondez rien quand on vous accuse de comploter contre le Parti, c’est que vous êtes du complot.
    Votre silence, voilà la preuve que nous cherchions !
    Ajoutez à cela que le gouvernement, avant même de songer à la dissolution des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, préparait celle du Printemps Français, dissidence traditionaliste de la Manif pour tous. Ce « Printemps » est une émanation, dit-on, de Civitas dont le général Puga est proche. Toutefois il n’y aura pas de révocations pour ce motif car cela est impossible juridiquement.
    L’épuration pourrait donc prendre une forme feutrée : on inciterait fortement les officiers généraux en activité, trop catholiques au goût du pouvoir, à faire valoir leurs droits à une retraite anticipée, sans murmure ni hésitation : un général peut-il être proche d’un mouvement dissous pour violence et subversion ? Puis on s’en prendrait aux officiers d’un grade moindre.
    Des sanctions contre ceux-là ont déjà été prises : un colonel a été sorti de la liste de ceux pouvant être élevés au grade de général : on l’avait vu affronter les « Femen » (opposantes féministes dénudées) lors d’une manifestation. On enquête également sur un officier de réserve des forces opérationnelles lié au Printemps français et vu dans des manifestations. Le gouvernement compte sur la discrétion de ces serviteurs de l’État, l’armée étant « la grande muette », pour procéder à une épuration en douceur.
    Le gouvernement nourrit ses dossiers et propage dans la presse l’idée qu’il y a du complot militaire dans l’air. Il convient d’être vigilant face à un pouvoir qui est le plus anticatholique depuis les sombres heures du Petit Père Combes et qui compte le plus grand nombre de ministres francs-maçons.
    Le Bulletin d’André Noël
    Le Bulletin des Amis de l'Information Libre
    E-mail : banoel@wanadoo.fr

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Manif pour tous: la répression policière dénoncée à l’ONU

     

    Le Conseil des Droits de l’Homme, organisme interne de l’ONU, vient d’être saisi au sujet de la répression policière injuste et injustifiée exercée par le « pouvoir » socialiste, à l’occasion des manifestations contre la loi Taubira. Sale temps pour la Hollandie !
    Intervention complète de M. Grégor Puppinck, directeur du Centre Européen pour les Droits de l’Homme et la Justice, au Conseil des Droits de l’Homme à Genève lors de la 23ème session régulière, le 6 juin 2013. À visionner absolument !

     
    TEXTE INTÉGRAL
    Merci Monsieur le Président,
     
    Dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, l’ECLJ souhaite attirer l’attention du Conseil des droits de l’homme sur des événements graves qui se produisent actuellement en France en matière de contrôles d’identités, d’arrestations et de détentions arbitraires ainsi que de violences policières.
     
    Depuis plus de huit mois, des millions — je dis bien des millions- de français manifestent pacifiquement dans toute la France pour défendre la famille et les droits des enfants contre une loi nouvelle qui crée un droit à l’adoption d’enfants et au mariage par les couples de même sexe. Ce mouvement social est le plus important en France depuis Mai 68.
     
    Plutôt que de tenir compte de ce mouvement, le gouvernement a menacé de l’interdire, il le réprime par l’usage abusif de gaz lacrymogènes contre la foule, par des violences policières, des arrestations et des détentions arbitraires par centaines, je dis bien — arbitraires et par centaines.
     
    Monsieur le Président, Du 24 au 26 mai, ce sont 350 personnes qui ont été interpellées (par la Police parisienne) et détenues en garde à vue jusqu’à trois jours durant. Sur ces 350 détenus, sept seulement ont été condamnés, très légèrement. L’arrestation des 343 autres était arbitraire et politique. En plus, des centaines d’autres personnes ont été arrêtés et retenus pendant plusieurs heures au prétexte de contrôles d’identités. Souvent, elles ont été arrêtées « au faciès », parce qu’elles portent ce vêtement marqué du symbole du Mouvement.
     
    À aucun moment, la légalité de ces arrestations n’a été contrôlée par un magistrat indépendant.
     
    Ces manifestants sont à présent fichés, leurs identités et empreintes sont conservées par la police. En outre, le gouvernement a ordonné l’identification dans l’armée des officiers proche du mouvement.
     
    L’ECLJ documente tous ces cas de répression : nous recevons de très nombreux témoignages, notamment de victimes de brutalités policières, y compris sur des enfants et des mères de famille.
     
    Monsieur le Président, cette répression doit cesser et être dénoncée. Elle démontre en particulier un dysfonctionnement grave des procédures de contrôles d’identité et de gardes à vues. L’ECLJ invite donc respectueusement le Conseil des Droits de l’Homme à se saisir de ces violations particulièrement graves pour un pays qui se targue d’être exemplaire dans le respect des droits de l’homme.
     
    Je vous remercie.
     
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=dRyXkhLZoBw
  • Relâchez les Hommens

    Communiqué :

    C’est avec stupeur et indignation que nous apprenons ce mardi 11 juin à 17 h 30 l’incarcération de 4 jeunes militants dits Hommens de la lutte contre la loi de dénaturation du mariage.

    Ils n’ont strictement commis aucun crime contre des biens ou des personnes. Ils ont seulement profité d’un lieu et d’une circonstance pour émettre leur protestation qui est aussi la nôtre.

    On ne peut que comparer cela à la complaisance des pouvoirs publics pour les actions violentes, racistes et christianophobes du groupuscule des Femens. Ces dernières notamment, on s’en souvient, avaient fait irruption à Notre-Dame de Paris, se rendant coupables de vols et de violences.  Elles ont été immédiatement relâchées, comme d’ailleurs après d’autres provocations.

    On mesure là l’effarante partialité du gouvernement Hollande-Ayrault-Valls-Taubira.

    Les soussignés appellent tous leurs adhérents et amis, et par-delà tous les Français, à manifester leur écoeurement devant ce déni de justice et leur soutien aux jeunes incarcérés.

     

    Signataires :

     

    • Bernard Antony, président de l‘AGRIF.
    • Daniel Hamiche, directeur de l’Observatoire de la christianophobie.
    • Vivien Hoch, Itinerarium.
    • Jeanne Smits, directrice de Présent.
    • Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte Catholique.
    • Michel Janva, Le Salon Beige
    • Abbé Guillaume de Tanouärn, directeur du Centre Saint Paul.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • De la catastrophe Mauroy au désastre de la « troïka », ce sont (toujours) les Français qui trinquent

    Le battage médiatique autour de la  mort de Clément Méric et sa récupération politicienne ont occulté mercredi dernier   un aveu assez incroyable du Fonds monétaire international (FMI)  sur la   Grèce  qui,  malgré  un second  plan d’aide international massif au printemps 2012,   connaît la récession pour  la sixième année consécutive  et  un taux de chômage de 27%… équivalent peu ou prou à celui de l’Espagne. Dans un rapport évaluant les résultats du (premier) plan d’aide de 110 milliards d’euros accordé à Athènes en mai 2010, en contrepartie  d’un plan impitoyable d’économies , le Fonds a  confessé   des « échecs notables ». « C’est Dominique Strauss-Kahn qui était le patron du Fonds à cette époque, depuis remplacé par Christine Lagarde. La confiance des marchés n’a pas été rétablie (…) et l’économie a été confrontée à une récession bien plus forte que prévu », a indiqué le Fonds monétaire international.

    Ce rapport du  FMI souligne l’évidence, à  savoir que comme l’affirmait alors  Bruno Gollnisch,    les prévisions sur un retour de la croissance en Grèce dès 2012 et une baisse du chômage étaient  infondées.  Le Fonds  a remis en cause précise l’Afp «  la troïka, la structure hybride qu’il forme avec la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE) et qui est aujourd’hui en charge de quatre plans de sauvetage dans la zone euro.»..avec  également, toujours, l’argent des contribuables Français.

    «  Selon le rapport, cette cohabitation a obligé le Fonds à  négocier d’abord avec les pays de la zone euro (…) et ensuite avec les autorités grecques , créant une source d’ incertitude considérable  alimentée par les hésitations et les revirements européens.  La restructuration de la dette avait été envisagée par les parties à la négociation (du programme grec, ndlr) mais elle a été exclue par les dirigeants de la zone euro , qui craignaient qu’une telle mesure ne soit pas approuvée par les Parlements nationaux, indique le rapport. »

    « Cette décision a été lourde de conséquences (…). Elle a permis à de nombreux créanciers privés (banques, fonds d’investissement) de s’échapper  du pays sans subir la moindre perte et de  passer le fardeau  aux Etats et donc aux contribuables qui ont dû de nouveau renflouer la Grèce en 2012.  Nous aurions dû avoir une réduction de dette plus tôt en Grèce , a reconnu mercredi Poul Thomsen, chef de la mission du FMI en Grèce.»

    Déjà en janvier dernier,  nous en faisions état sur ce blog,  le gouvernement  Ayrault, mais aussi   les européistes de l’UMP, les « grands médias »,  avaient  préféré ne pas  relayer  le rapport d’un économiste  du FMI,  le Français Olivier Blanchard,  qui démontrait  que les cénacles  bruxellois s’étaient trompés  en imposant une austérité terrible aux Européens. Et qu’ils ont fait fausse route non seulement dans l’évaluation des conséquences de celle-ci, mais aussi dans l’énoncé des remèdes pour sauver  l’euro et les pays en crise qu’ils étouffent.  Ainsi ce n’est pas un point de PIB en moins qu’implique 1% d’austérité mais 3%… D’après M.  Blanchard, les experts du FMI ont « oublié » de tenir compte de l’impact psychologique des mesures d’austérité. En clair ils ont négligé le fait qu’au bout de la chaîne des décisions il existe des êtres de chair et de sang…

    Si l’austérité est associée à l’Europe, l’échec économique et le « tournant de la rigueur » ( rebaptisée à l’époque « parenthèse »),  le sont tout autant  tout autant au nom de Pierre Mauroy.

    Décédé à l’âge de 84 ans le 7 juin dernier, l’ex Premier ministre de François Mitterrand (de mai 1981 à juillet 1984) fut aussi  maire de Lille (1973-2001), Premier secrétaire du  PS (1988-1992), président de l’Internationale socialiste (1992-1999) sénateur du Nord (1992-2011)  et une  figure incontournable  de la très mafieuse et maçonnique  fédération  socialiste  du Nord.

    Malgré les  affaires de corruption  à répétition  qui émaillent l’histoire du  PS, relevons que le  « gros quinquin »,  comme le surnommait ses amis comme ses adversaires,  a su passer entre les gouttes de la justice.

    Le 4 février 2011, ce  très bon vivant et amateur d’agapes (pas toujours) républicaines,   fut cependant condamné à 20 000 euros d’amende avec sursis pour abus de confiance et à rembourser  avec les socialistes Lyne Cohen-Solal et Bernard Masset, 19 654 euros à la communauté urbaine de Lille ( CUDL)  pour détournement de fonds publics à propos d’un emploi présumé fictif attribué à Mme Cohen-Solal.

    L’ex premier ministre Michel Rocard l’a rappelé,  Pierre Mauroy « a été décisif  dans le fait de convaincre Mitterrand qu’il ne fallait pas sortir du Système monétaire européen (SME)  et casser l’Europe (qui n’était pas encore l’Union européenne, NDLR)  pour faire le socialisme dans un seul pays, Mitterrand  y avait un peu pensé.»

    M.  Mauroy fut  aussi  cet  européiste international-socialiste,  sous l’autorité duquel on assista  aux premières vagues de naturalisations massives d’immigrés et de régularisations de clandestins, et   qui  multiplia  les hargneuses déclarations antifrontistes dés ses  premiers  succès électoraux au début des années 80.

    Il fut aussi  le maitre d’œuvre, rappelle Yves Daoudal,  d’une « politique de destruction de l’économie française, en 1981-82, qui conduisait le pays très rapidement à la faillite. Sous la pression internationale et notamment européenne, et aussi des électeurs qui aux municipales avaient (dès 1983) rejeté la gauche, il changea de politique in extremis, avec Delors aux finances. Mais si la catastrophe fut évitée, le chômage continuait de grimper, l’inflation aussi, et l’attaque contre les libertés scolaires, vigoureusement repoussée par les Français, sonna le glas du gouvernement Mauroy. »

    Des sites comme le Salon beige soulignent  aussi que son gouvernement socialo-communiste se caractérisa par toute  une série de mesures fiscales très hostiles à la famille et à la natalité française, « par le remboursement à 70% de l’avortement », «par les premières campagnes publicitaires télévisuelles  ouvertement anti-natalistes ».

    Autant de raisons pour que le service public  retransmette les funérailles  de M. Mauroy comme cela fut  le cas pour celles de Stéphane Hessel. Elles  réuniront  aujourd’hui,  gauche et droite confondues, l’ensemble d’un classe politicienne qui, opposée parfois sur la méthode,  communie, in fine, dans le même idéal délétère constate Bruno Gollnisch.

    http://www.gollnisch.com