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magouille et compagnie - Page 2385

  • France : la révolution est à l’ordre du jour !

    J’aime beaucoup l’expression « printemps français » surgie d’on ne sait où après la manifestation du 13 janvier, et reprise par ceux d’entre nous qui pressentent que la contestation historique à laquelle nous assistons ne se limite plus à la question du mariage homosexuel.

    Je l’aime d’autant plus qu’elle reprend l’expression « printemps arabes », si galvaudée par nos journalistes : car, hormis la contestation d’un pouvoir oppresseur, seuls les naïfs pourraient se laisser abuser par la similitude des expressions. Ces révoltes orientales se sont accomplies au profit des islamistes, alors que la nôtre vise à tout autre chose. À quoi justement ?

    Mais simplement à accomplir une révolution, mes amis ! Eh oui, une révolution ! Sans qu’il soit question de recommencer les horreurs de 1792 ou de 1871, ou de se prendre pour Marat ou pour Louise Michel, de sinistre mémoire. Il faut simplement renverser un système à bout de souffle, qui ne semble solide que parce que la presse et les « gens qui comptent » l’enserrent d’assez près pour nous dissimuler ce qui subsiste de ses petits pieds d’argile… [...]

    François Teutsch - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Hollande continue de chuter

    La cote de popularité de François Hollande continue de plonger, malgré son intervention de jeudi dernier sur France 2, selon un sondage de l'institut IFOP pour l'hebdomadaire Paris Match.
    Sur 1.006 personnes interrogées jeudi et vendredi, 31% disent approuver son action, soit six points de moins que le mois dernier, ce qui représente le niveau le plus bas pour le chef de l'État dans ce tableau de bord politique.
    "Les bénéfices tirés de la gestion de l'intervention au Mali semblent aujourd'hui définitivement perdus", souligne l'IFOP à propos du déploiement de soldats français en janvier.
    La désapprobation est devenue majoritaire jusque chez les partisans de gauche, Parti socialiste excepté : 54% chez les sympathisants d'Europe Écologie-Les Verts, 62% chez ceux du Front de gauche et jusqu'à 70% pour ceux de l'extrême gauche.
    Moins d'un sondé sur trois juge positivement sa politique économique (27%, -7 points).
    La cote d'approbation de l'action du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, atteint aussi son niveau le plus bas depuis son installation à Matignon (36%, -3 points).
    Un "truc" bizarre tout de même: depuis le temps qu'on nous dit qu'il est en chute libre et qu'il a encore perdu des points, Hollande est toujours à 31% !!! S'agit-il donc d'une estimation forfaitaire... ou d'une forfaiture ? En tout cas, on attend maintenant avec impatience les prochaines enquêtes consécutives à l’affaire Cahuzac

  • Mobilisations autour du Sénat

    Printemps-français.png

    La Manif pour tous appelle à un rassemblement près du Sénat jeudi à 18 heures place Edmond Rostand. Le collectif devrait annoncer à cette occasion une nouvelle manifestation nationale, “dont la date sera décidée en fonction du calendrier parlementaire”.

    Des mobilisations organisées par CIVITAS devant le Sénat :

    • Les jeudi 4 et vendredi 5 avril, place Pierre Dux / Square Francis Poulenc (face entrée principale du Sénat), dès 19h. Manifestations statiques. Discours suivi de la récitation du chapelet.

    •Les samedi 6 et dimanche 7 avril, Place Paul Claudel (devant Théâtre de l’Odéon) à 15h. Marche autour du Sénat. Le samedi 6 avril fera office de rendez-vous national.
    Des cars s’organisent de province. Discours suivi d’un chemin de croix autour du Sénat.

    Prenez sifflets, mégaphones et trompettes car il faut prévoir de faire… beaucoup de bruit !

    http://fr.altermedia.info

  • Lâché par son camp, le gouvernement ajourne son projet de réforme des collectivités

    Face aux critiques suscitées jusque dans les rangs socialistes, le gouvernement a finalement décidé de revoir sa copie sur sa « grande réforme des collectivités », à quelques jours seulement de sa présentation prévue en Conseil des ministres, le 10 avril.

    Devant les sénateurs socialistes, très réticents, Jean-Marc Ayrault a annoncé que l'exécutif allait déposer trois textes distincts, et non plus un seul, dont l'examen par le Parlement sera étalé dans le temps.

    "Compte tenu de la lourdeur, de la complexité lorsqu'on s'attaque au grand chantier des collectivités, il y aura trois parties dans ce texte", a ensuite confirmé le Premier ministre devant la presse.

    Le président du Sénat Jean-Pierre Bel (PS) avait demandé à François Hollande de repousser après l'été le début de la discussion parlementaire. Faute d'avoir eu gain de cause, il avait ensuite annoncé "une concertation" avec "tous les groupes" avant le débat sénatorial.

    Très touffu (175 pages, plus de 120 articles), le projet de loi était promis au départ pour novembre. Mais soumis à d'interminables concertations avec les élus, il a été retardé à plusieurs reprises.

    Pour M. Bel, il s'agissait d'un projet de loi "additionnant une série de mesures sans ligne directrice clairement perceptible". Comme le patron des sénateurs PS François Rebsamen, il s'est félicité que les élus aient été entendus.

    "Nous partons sur la base de trois textes qui auront chacun un objectif clair", a relevé Jean-Pierre Sueur, président (PS) de la commission des Lois au Sénat qui demandait que le projet soit "profondément revu". "Ce n'est plus une logique de compétences à géométrie variable, mais de clarté dans le +qui fait quoi+", a-t-il ajouté.

    "C'est une sage décision vu le degré d'impréparation de cette loi qui n'était qu'une succession d'intérêts localiers et qui noyait tout pour tenter de contenter tout le monde", a jugé le sénateur PS Christian Bourquin, également président du conseil régional de Languedoc Roussillon.

    Selon Jean-Claude Gaudin, président des sénateurs UMP, "le Premier ministre a tenté d'éteindre un incendie parce que le texte est dangereux pour les libertés communales, il laisse peu de place aux communes en les réduisant aux fonction d'exécutantes et marginalise le rôle du maire".

    "L'échec de ce premier texte doit servir de leçon", écrivent de leur côté les sénateurs communistes. Ils demandent donc "un grand débat", "en évitant d'imposer des solutions toutes faites qui répondent à des impératifs économiques bien éloignés des réalités locales".

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Contre le « mariage » homo : devant le Sénat du 4 au 7 avril !

     

    Parce que le combat pour la famille ne doit souffrir aucun répit, Civitas appelle à la mobilisation quotidienne, du 4 au 7 avril prochains, devant le Sénat qui doit discuter prochainement de ce projet de loi inique. Nous relayons donc le communiqué :

    Manifestations quotidiennes organisées par CIVITAS devant le Sénat
    durant tout le débat en Haute Assemblée du projet de loi Taubira

    Pression quotidienne sur les sénateurs
    Il est essentiel de maintenir une pression quotidienne sur les sénateurs durant tout le débat sur le projet de loi Taubira.

    CIVITAS n’a aucune confiance dans les sénateurs UMP.
    Si l’UMP ne manque pas d’habilement occuper l’espace médiatique lors d’événements contre ce projet de loi, comme ce fut encore le cas lors de la mobilisation nationale et populaire du 24 mars dernier, il faut pourtant bien constater que les actes ne suivent pas, comme en témoignent les trois exemples ci-dessous.
    - Le texte aurait déjà pu être bloqué en commission des lois si deux sénateurs UMP, Christian Cointat et Christophe-André Frassa, n’avaient voté en faveur de ce projet de loi.
    - Le chef de groupe UMP au Sénat n’est autre que le sénateur-maire de Marseille Jean-Claude Gaudin dont Le Canard enchaîné affirmait il y a peu qu’il avait proposé aux socialistes de liquider en quatre jours à peine le débat en séance plénière du projet de loi Taubira. Ce qui n’étonne guère quand on sait que Jean-Claude Gaudin est un grand ami du lobby homosexuel marseillais. Il a par exemple accordé une importante subvention publique à l’Europride qui se déroulera du 10 au 20 juillet à Marseille et au cours de laquelle une cérémonie baptisée « Les Mariés de l’an 1″ devrait unir symboliquement 2013 duos homosexuels !
    - Le sénateur Patrice Gélard qui sera l’orateur du groupe UMP durant le débat sur le projet de loi Taubira a déjà averti qu’il n’y aurait pas d’obstruction parlementaire de la part de l’UMP. Dans un entretien publié par Le Monde (25 mars), le sénateur Gélard précisait : « Nous sommes traditionnellement beaucoup plus raisonnables au Sénat qu’à l’Assemblée. Nous ne ferons pas d’obstruction, de flibuste parlementaire, nous resterons sages. »

    Il faut être sans aucune illusion à l’égard de ce système parlementaire et des girouettes politiques qui le composent. Mais le vent de colère qui s’exprime peut parfois souffler suffisamment fort pour momentanément orienter les girouettes dans la bonne direction. C’est pourquoi CIVITAS appelle les défenseurs de la Famille à venir faire preuve d’une sainte colère devant le Sénat à partir du 4 avril.

    Prière et sainte colère
    Le mot d’ordre que CIVITAS lance est clair : ni ballons, ni flonflons, prière et sainte colère.
    Nous tenons à donner à notre action une dimension spirituelle, convaincus qu’aucune victoire ne sera possible sans le secours divin.
    A ceux qui veulent un printemps français, CIVITAS rappelle ces mots de Charles Péguy : « Ô mon Dieu, donnez-nous enfin le chef de guerre, vaillant comme un archange et qui sache prier, pareil aux chevaliers qui sur le mont naguère terrassaient les Anglais. Qu’il soit chef de bataille et chef de prière. »

    Le programme des mobilisations organisées par CIVITAS devant le Sénat est le suivant :
    - Les jeudi 4 et vendredi 5 avril, rdv devant le Sénat, place Pierre Dux / Square Francis Poulenc (face entrée principale du Sénat), dès 19h. Manifestations statiques. Discours suivi de la récitation du chapelet.

    - Les samedi 6 et dimanche 7 avril, rdv Place Paul Claudel (devant Théâtre de l’Odéon) à 15h. Nous marcherons tout autour du Sénat.
    Le samedi 6 avril fera office de rendez-vous national. Des cars s’organisent de province.
    Discours suivi d’un chemin de croix autour du Sénat.

    CIVITAS organisera de tels rassemblements tant que le Sénat discutera de ce projet de loi. Les autres rendez-vous seront communiqués le 7 avril en fonction du calendrier sénatorial.

    Alain Escada,
    président de CIVITAS

    http://www.contre-info.com

  • Science sans conscience n'est que ruine de l'homme

    Lorsque la science se met au service du Meilleur des mondes, elle détruit l'humanité.
    « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme », écrivait déjà Rabelais. Et cette ruine de l'âme fait la ruine de l'Homme. Comme l'écrit Jacques Attali dans un article dont Monde et Vie a précédemment rendu compte(1), les progrès techniques découlent des « valeurs » sur lesquelles se construit sous nos yeux le Meilleur des mondes « et s'orientent dans le sens qu'elles exigent ». Autrement dit, ils se mettent au service de ces prétendues valeurs (dans certains cas, car il ne s'agit pas ici de refuser le progrès scientifique en soi mais l'usage qui peut en être fait). À cet égard, Attali constate une progression de la pilule à la gestation pour autrui (GPA), autrement dit les mères porteuses, en passant par la procréation médicalement assistée (PMA). De la séparation de la sexualité et de la procréation, nous en arrivons en effet au divorce de la procréation et de la maternité.
    Attali prévoit l'émergence à terme d'une « humanité unisexe », où des individus quasiment similaires, nantis pour les uns d'ovules, pour d'autres de spermatozoïdes, les mettront en commun pour faire naître des enfants, « seul ou à plusieurs, sans relation physique, et sans même que nul ne les porte. »
    Science-fiction ? Reportons-nous à ce qu'écrivait dans l'un de nos récents numéros(2) le docteur Jean-Pierre Dickès : « on travaille actuellement à ce que l'on appelle une ectogenèse, un développement de l'embryon hors du sein maternel. L'utérus artificiel est devenu une réalité. » Dans le même article, le docteur Dickès évoquait aussi ; les travaux du docteur Craig Venter visant à créer un nouveau génome humain, ou encore la possibilité de « réaliser » (selon son expression) un enfant à partir du génome de deux femmes : il existe déjà dans le monde une trentaine d'enfants qui ont deux mères biologiques et le procédé est en cours de validation en Angleterre, précisait-il.
    Le clonage humain est au bout du même chemin scientifique : pourquoi ne pas reproduire son double et accéder ainsi à une contre-façon de cette immortalité, à laquelle l'homme aspire mais dont Dieu seul était le maître jusqu'à présent ?
    Cette vieille tentation luciférienne de la créature qui voudrait prendre la place du Créateur, ce rêve prométhéen, ne seraient-ils pas enfin, grâce à la science, à portée de main ? Le diable a endossé une blouse blanche ; et l'homme se rêve dieu.
    Quand on touche à la génétique, une autre tentation se fait rapidement jour, celle de l'eugénisme. Si l'homme devient son propre créateur, pourquoi ne se créerait-il pas parfait et tout-puissant ?
    Pour y parvenir, on commencera par éliminer les éléments défectueux, d'abord par le « dépistage » du handicap dans le sein maternel et l'avortement - mais rapidement, de manière moins archaïque, par la procréation artificielle et le tri génétique.
    L'enfant choisi sur catalogue
    Là encore, l'expérience est en cours et le progrès en marche. Aux États-Unis, où 1 % des bébés sont « produits » par PMA, existent déjà des cliniques telles que le Fertility Institute à Los Angeles, dirigé par le docteur Jeffrey Steinberg. Sur les 800 femmes qui y eurent recours à une fécondation in vitro (FIV) en 2009, écrit un journaliste du Monde Magazine qui y a réalisé un reportage(3), « 700 étaient en parfaite santé et auraient pu avoir un enfant de façon naturelle. Elles ont décidé de subir cette intervention coûteuse, contraignante et peut-être risquée dans un seul but : choisir le sexe de leur bébé. » Aux États-Unis, en effet, « le diagnostic génétique des embryons réalisé à l'occasion d'une FIV est légal quelles que soient les motivations des futurs parents. Trois jours après la fécondation de l'ovule, on prélève une cellule de l'embryon pour examiner son code génétique. » Reste à choisir à la carte : fille ou garçon ? Coût total de l'opération : 25 000 dollars.
    Mais pourquoi s'en tenir au sexe de l'enfant ? Le docteur Steinberg a voulu proposer aux parents de choisir aussi la couleur des yeux de leur progéniture, mais une polémique déclenchée par les médias l'a obligé à y renoncer. Provisoirement, sans doute... Car il se prend à rêver : après tout, « depuis la nuit des temps, les parents rêvent d'avoir des enfants vigoureux, beaux, intelligents. Ils sont prêts à tous les sacrifices pour les aider à réussir dans la vie. »
    Le docteur Zeringue exerce lui aussi dans une clinique californienne, où il propose aux couples un forfait à coût réduit (12 500 euros tout de même) pour pratiquer une FIV.
    Pour pouvoir pratiquer ce « hard discount » de la fécondation in vitro, il a imaginé de promouvoir le don d'embryons surnuméraires offerts par les couples ayant déjà eu un enfant grâce à la PMA, et même de créer lui-même des embryons dans sa clinique - j'ai failli écrire : sa cuisine -, à partir de dons de sperme et d'ovules. « La clinique devient ainsi propriétaire des embryons, qu 'elle peut ensuite revendre, explique un article paru sur le site internet du consulat de France à Atlanta. Les futurs parents ont la possibilité de sélectionner leur embryon selon le profil de chaque donneur (taille, couleur des yeux...). Une fois que la clinique a réuni plusieurs couples s'accordant sur la même "combinaison" sperme/ovule, elle obtient alors par FIV une dizaine d'embryons (comme dans une FIV classique) qu'elle va ainsi répartir à travers les différents couples, chacun obtenant 2 ou 3 embryons provenant de la même fécondation. (...) Cependant, en faisant le choix de passer par cette clinique, les parents, qui payent moins cher, acceptent d'avoir un enfant avec lequel ils n 'auront aucun lien génétique et qui aura sûrement plusieurs frères et sœurs biologiques dans d'autres familles. » Mariages et incestes possibles à la clef...
    Au bout du compte, le Meilleur des mondes recrée l'homme en le réduisant à la matière ; il n'est toujours pas parvenu à le doter d'une âme.
    Hervé Bizien monde & vie 19 mars 2013
    1.Monde et Vie n° 872, mars 2013
    2.Monde et Vie n° 871, février 2013
    3.Yves Eudes, La clinique des bébés sur mesure, Le Monde Magazine, juillet 2007

  • A-t-on encore le droit de débattre ?

    A-t-on encore le droit de débattre ? La France serait-elle encore la France sans sa sacro-sainte liberté d’expression ? À l’évidence non. À quelques lois Pleven ou Rocard-Gayssot près, on peut dire tout ou son contraire sans trop de risques judiciaires. Mais la France, pays auto-proclamé des droits de l’homme, est-elle aussi celle du débat d’idées ?

    L’islam, ses œuvres et ses collabos, par exemple… Vaste sujet, n’est-ce pas ?

    Si on n’a jamais pu prouver, malgré bien des affirmations, la réalité de la mythique Cinquième Colonne avant-guerre – supposée préparer les esprits à l’entrée de la Werhmacht en France – il est certain que la chasse est aujourd’hui ouverte aux collaborateurs supposés de l’islam… Sus à ceux qui prépareraient l’avènement de la charia dans les mœurs et coutumes de la France, ancienne fille aînée de l’Église, en passe d’être proclamée future houri(1) voilée de la Mosquée.

    À une place remarquée au premier rang dans cette Cinquième Colonne mahométante, mon ami et complice Nicolas Gauthier, ex-directeur de Flash Infos magazine, obligé de rappeler régulièrement ses longues collaborations à Minute, National Hebdo ou Le Choc du Mois, et de revendiquer haut et fort son catholicisme, pour faire oublier que sa fort peu seyante barbe n’est en rien la preuve d’une quelconque conversion à une autre religion du désert.

    Il publie désormais régulièrement sur le site Boulevard Voltaire(2), avec un style qui doit beaucoup à Auguste Le Breton et à Michel Audiard, des chroniques souvent iconoclastes(3)… Ses dernières sur l’islam n’ont pas manqué d’énerver plus d’un lecteur (dont quelques-uns, à l’évidence, semblent le lire avec un masochisme certain à les en croire…

    Dans ses récents propos – Peut-on encore parler de l’islam en France ? – il dénonce avec humour tous les poncifs de l’islamophobie militante(4)… À sa lecture, je savourais à l’avance les commentaires qu’allaient lui infliger les lecteurs outrés par ses propos… Bingo ! la quasi-totalité des commentaires furent apocalyptiques – l’un même lui promettant les affres d’un « supplice oriental »(5) pour juste châtiment de ses écrits –, mais tous d’une telle bêtise, d’une telle absence d’arguments, d’un tel dénuement de réflexion, qu’ils vous feraient dramatiquement désespérer de la nature humaine.

    On peut certes ne pas être d’accord avec cet enquiquineur revendiqué de Nicolas Gauthier, non sur les arguments qu’il avance et qui sont plutôt frappés au coin du simple bon sens, me semble-t-il, mais sur la nécessité de rappeler AUSSI les dangers éventuels de la propagation dans notre pays d’une religion qui, devenue majoritaire, y bafouerait fort probablement la laïcité, meilleure garante de nos libertés individuelles, dont, la première d’entre toutes, celle de conscience.

    Mais c’est là l’heureuse surprise que nous réserve le site fondé par les Ménard, mari et femme, qui permet dans le même temps de lire des chroniques d’avis parfaitement contraires à celui de Nicolas Gauthier… et qui, elles, apportent quelques arguments nécessaires au débat dans un style tout aussi passionné que le sien.

    Citons, entre autres, celles sur l’impérative obligation d’être islamophobe développé par Benoit Rayski(6) ou encore celle de Christine Tasin(7), suspectant de « stupidité et d’ignorance » Frigide Barjot, gourou controversé de la « Manif pour tous », taxée d’« idiote utile de l’islam » pour sa participation, ce week-end au congrès de l’UOIF(8)…

    Pour le plus grand bonheur de quelques inconditionnels de la liberté d’expression dont je fais partie, et pour la plus extrême irritation (euphémisme !) de tous les talibans de la pensée, on en finirait par croire – encore et quand même ! – dans la nature humaine. C’est dire…

    Philippe Randa http://www.voxnr.com

    Notes :

    1) Houri : Nom de beautés célestes qui, selon le Coran, seront dans le paradis les épouses des musulmans fidèles.

    (2) Boulevard Voltaire : le cercle des empêcheurs de penser en rond : www.bvoltaire.fr.

    (3) Iconoclaste : personne qui détruisait les images saintes au VIIIe siècle.

    (4) « A-t-on encore le droit de ne pas être islamophobe ? » et « Riposte laïque m’a convaincu : je suis islamophobe ! » par Nicolas Gauthier.

    (5) Châtiment qui commence si bien et se termine si mal comme rappelé (entre autres) très justement dans le film Liberté, Égalité, Choucroute du regretté Jean Yanne.

    (6) « On a le devoir d’être islamophobe ! » par Benoit Rayski, journaliste, fils d'Adam Rayski, responsable de la section juive au sein des Francs-tireurs et partisans/Main d'œuvre immigrée, mouvement du PC clandestin pendant la Résistance.

    (7) « Frigide, de plus en plus barjot de l’islam ! » par Christine Tasin, Présidente de Résistance Républicaine.

    (8) Union des organisations islamiques de France.

  • Jérôme Cahuzac reconnait un compte à l’étranger depuis 20 ans, de 600.000 euros actuellement

    Jérôme Cahuzac reconnait un compte à l’étranger depuis 20 ans, de 600.000 euros actuellement

    PARIS (NOVOpress) - Jérôme Cahuzac, le ministre du Budget démissionnaire, qui s’était dans le passé voulut le pourfendeur des paradis fiscaux et le champion de la lutte contre la fraude fiscale au nom de la gauche morale, a reconnu cet après-midi sur son blog avoir un compte à l’étranger d’environ 600.000 euros, contrairement à ce qu’il a toujours soutenu.

    Il explique sur ce blog avoir eu un compte à l’étranger  “depuis une vingtaine d’années” et avoir maintenant donné les instructions pour que les fonds “soient rapatriés sur mon compte bancaire à Paris”.

    L’argent avait d’abord été placé en Suisse, puis sans doute quand la Suisse est devenue moins anonyme, il avait été transféré à Singapour.

    Ceci a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans la classe politique.

    Dans la vidéo ci-dessous, en décembre 2012 à l’Assemblée Nationale, Jérôme Cahuzac dément avoir jamais eu un compte bancaire à l’étranger.

    Crédit dessin : © Maître Renard

    http://fr.novopress.info

  • Les aveux de Cahuzac sur son propre site

    Sur son site personnel, prenant les devants avant que les preuves et les accusations ne l’y contraignent, Jérôme Cahuzac a préféré reconnaitre les faits qui lui sont reprochés. Texte intégral.
    « 
    Par lettre du 26 mars 2013, j'ai demandé à Messieurs les juges d'instruction Roger Le Loire et Renaud Van Ruymbeke de bien vouloir me recevoir afin que, délivré des obligations de ma fonction, je puisse enfin donner les explications qui s'imposent au regard de la détention à l'étranger d'un compte bancaire dont je suis le bénéficiaire depuis une vingtaine d'années.
    J'ai rencontré les deux juges aujourd'hui. Je leur ai confirmé l'existence de ce compte et je les ai informés de ce que j'avais d'ores et déjà donné les instructions nécessaires pour que l'intégralité des actifs déposés sur ce compte, qui n'a pas été abondé depuis une douzaine d'années, soit environ 600.000 €, soient rapatriés sur mon compte bancaire à Paris.
    À Monsieur le président de la République, au Premier ministre, à mes anciens collègues du gouvernement, je demande pardon du dommage que je leur ai causé. A mes collègues parlementaires, à mes électeurs, aux Françaises et aux Français j'exprime mes sincères et plus profonds regrets. Je pense aussi à mes collaborateurs, à mes amis et à ma famille que j'ai tant déçus.
    J'ai mené une lutte intérieure taraudante pour tenter de résoudre le conflit entre le devoir de vérité auquel j'ai manqué et le souci de remplir les missions qui m'ont été confiées et notamment la dernière que je n'ai pu mener à bien. J'ai été pris dans une spirale du mensonge et m'y suis fourvoyé. Je suis dévasté par le remords.

    Penser que je pourrais éviter d'affronter un passé que je voulais considérer comme révolu était une faute inqualifiable. J'affronterai désormais cette réalité en toute transparence. »

    http://www.francepresseinfos.com/

  • [Diaporama] Montebourg a été bien reçu à Marseille

    Le diaporama suivant montre que le ministre Montebourg a été bien reçu à la gare St Charles de Marseille par les opposants à la loi Taubira, parmi lesquels des militants d’AF.

    Le texte qui suit est extrait du site du journal "La Provence".

    Le Diaporama et la suite de l’article sur L’AF Provence

    http://www.actionfrancaise.net