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magouille et compagnie - Page 2386

  • Allocations familiales : l’Etat s’en prend aux familles !

    L’une des recommandations les plus fortes que le président délégué du Haut Conseil de la famille a pu faire au président de la République consiste à baisser les allocations familiales de familles ayant dépassé un certain seuil de revenu.

    « Les plus riches continueraient de percevoir ce type d’aides mais à un niveau inférieur à celui accordé aux ménages moins aisés. L’objectif est de donner davantage aux familles les plus modestes, tout en rétablissant l’équilibre financier de la branche famille« , commente ainsi le quotidien Le Monde.

    Sous couvert des meilleures intentions, et notamment d’équité, le gouvernement, qui s’apprête à baisser les allocations familiales pour financer son budget, confond simplement… aides sociales et politique familiale ! Et pour cause, les valeurs familiales et l’exigence d’une politique nataliste sont des notions complètement étrangères à la culture politique socialiste.

    Il serait de loin préférable,  à l’école socialiste, de réduire la CMU pour les dealers roulant en Mercedes… Ou encore de réduire les aides sociales à ceux qui cumulent des milliers d’euros sur le dos du contribuable… Ainsi que commente un internaute sur facebook : « Avec Les socialistes, c’est deux poids-deux mesures, c’est « touche-pas à ma clientèle.. » et l’intérêt général se limite vite à l’intérêt des bobos du Marais, embourbés dans leur idéologie écervelée de mai 68 !! »

    http://www.contre-info.com/

  • Il persiste et signe – par Alain de Charente

    Lors de sa prestation en forme d'oral de rattrapage au vu de son bilan pour le moins calamiteux et sanctionné par une cote de popularité en chute libre, François Hollande a cherché à rassurer le Peuple en tentant de lui expliquer que le soleil se lèvera un peu plus tard que prévu car il n'est pas président depuis dix ans, mais seulement depuis dix mois...
    Il aura consacré beaucoup de son temps de parole aux questions économiques et européennes, ce qui n'est pas aberrant dans la mesure où la situation est particulièrement critique mais, interrogé sur les sujets de société et notamment celui de la loi dite du « mariage pour tous », il a préféré éluder rapidement la question en tentant de nous faire croire que cette loi n'aurait strictement aucun impact sur le devenir de la conception de la famille, la PMA n'étant pas inscrite dans le texte et laissée à l'appréciation d'un comité d'éthique, et la GPA ne devant pas voir le jour, du moins sous son quinquennat et quand à l'adoption par des couples de même sexe… silence radio...
    Cette fin de non-recevoir en forme de dédain confirme que le chef de l'État reste obstinément sourd à la colère du Peuple et que la phénoménale participation citoyenne à la manifestation Parisienne du 24 mars est pour lui insignifiante et ne représente rien, ce qui non seulement est un déni caractérisé de démocratie, une injure faite au Peuple, mais aussi une colossale erreur stratégique politique, car si cette manifestation populaire a  mobilisé toute cette foule venue massivement de tous les horizons (géographique, politique, spirituel....) elle ne représente en fait que la partie émergée de l'iceberg et qu'en conséquence, si le chiffre annoncé de 1.400.000 par les organisateurs et même porté à 1.800.000 par une source « bien informée » doit être retenu, cela sous-entend qu'au niveau national celui-ci doit être multiplié à minima par 10 si l'on veut rester dans la métaphore et les proportions des glaçons arctiques...
    Beaucoup de personnes ont pu se déplacer sur Paris depuis les provinces les plus reculées comme en attestaient les pancartes brandies, mais d'autres, plus nombreux encore n'auront pu faire le voyage pour différents motifs (financier, contraintes familiales, indisponibilité physique, absence du territoire, au travail le dimanche.....) et donc si l'ensemble des citoyens hostiles à cette loi hystérique, dangereuse, idéologique, inutile et non prioritaire avaient convergé vers les Champs-Élysées dimanche dernier, nul doute que Paris aurait été le théâtre d'un déferlement humain tsunamique qu'il aurait été impossible de canaliser et encore moins de maîtriser...
    Le président « normal » préfère donc ignorer ce troisième coup de semonce pourtant particulièrement audible qui vient de lui être adressé et il vient de prendre un risque énorme car devant le succès grandissant de ce mouvement de contestation, il n'y a aucune raison pour les organisateurs de ne pas enfoncer le clou et surfer sur cette incontestable victoire, même si l'annonce du retrait de cette loi ou l'annonce d'un référendum étaient les objectifs de cette manifestation et que ce souhait n'a pas été exaucé lors de la prestation télévisée...
    Il faut donc s'attendre à une nouvelle action qui devant l'absence de compréhension du pouvoir visiblement autiste risque d'être nettement moins bon enfant et pourrait prendre une tournure beaucoup plus agressive, plus musclée, ce qui pourrait nous entraîner dans un processus d'escalade, les  violences policières en marge de la journée du 24 contre des citoyens pacifiques ayant été perçues à juste titre comme une atteinte à une liberté fondamentale, celle d'exprimer son avis et de contester une décision estimée dangereuse...
    Rien n'interdit de penser que cette journée du 24 mars de l'an 2013 ne devienne une référence historique et ne figure prochainement dans les manuels scolaires d'Histoire à la rubrique « les Révolutions Françaises, de 1789 jusqu’à nos jours».......
    La fronde s'installe, la colère enfle, tous les ingrédients sont là pour aboutir à une iurrection sans doute nécessaire puisque l'option « zen » et diplomatique ne donne aucun résultat satisfaisant et que le mépris l'emporte sur la raison...

  • Avoir raison, c’est parfois démoralisant – par Le Crieur du Cœur

    Être apparemment prophétique, ce n’est jamais de tout repos. Mais lorsqu’il ne s’agit pas d’un don surnaturel, bien au contraire, de conclusions tirées d’une grande expérience pratique, visuelle assortie du résultat d’analyses exhaustives des situations vécues, il est alors attristant de voir se vérifier le vieil axiome : « Nul n’est prophète en son pays ».
    Surtout lorsque l’on voit des « leaders » que l’on espérait lucides, négliger allègrement les avis des membres de leur parti, et oublier cette vérité incontestable, qui pourtant rappelle que, toujours, dans tous les cas, en toutes circonstances, « Entre deux maux, il faut choisir le moindre », car sinon c’est effectivement la pire des deux possibilités qui ne tarde pas à s’affirmer.
    Et ce, surtout en politique, car l’on devrait savoir que les partisans de la pire politique se persuadent qu’ils ont raison, et que par conséquent tous les moyens leur sont justes pour garder le pouvoir qu’ils ont pris ou usurpé à grands élans de promesses fallacieuses.¢
    Contrairement au proverbe français « Gouverner c’est prévoir », les Anglais, toujours très pragmatiques,  disent : « To foresee is to rule », c’est-à-dire : « Prévoir c’est gouverner ». La différence est de taille; elle est même fondamentale, car si certains pensent que l’on peut gouverner et ensuite prévoir, ceux-là vont droit à la catastrophe : il est vrai que pour ces individus qui ne voient la vie qu’en rose, un leitmotiv historique semble leur servir de programme : « Après moi, le déluge !!! ». Au contraire, prévoir avant toute action est le mode le plus sûr de réussir : demandez-le donc à tout bon joueur d’échecs !!! Toutefois, si l’on veut éviter tout déluge, et gouverner pour l’éviter, il est nécessaire de prévoir les conséquences le plus précisément possible les conséquences de tout ce que l’on promet, de ce que l’on fait et qui provoque  consciemment ou non, puis  vous embringue dans les résultats d’un slogan exagérément gonflé ou tout simplement utopique.
    Si ; comme je l’ai déjà crié ici même, tout gouvernement « de gauche », se sentant porteur d’une idéologie par principe triomphante et tabulaire (n’oubliez jamais l’idée bien française devenue internationale : « faire table rase ») est prêt par principe à toutes les manœuvres pour se perpétuer : comme l’URSS en 79 ans... la Corée ad aeternam...) En admettant que le socialisme soit une panacée universelle, ce qui reste à démontrer si possible...
    Il ne m’appartient pas – et je n’en ai nulle envie – de juger ici du bien-fondé de poursuites contre un ancien Président de la République, et pas non plus des délais de ces affaires (Karachi, une vingtaine d’années, non ?), ni de celles qui touchèrent un précédent ancien Président (quoique l’on pourrait s’étonner de la défaillance sécuritaire qui fut le lot d’un autre Président, qui avait nommé ministre des transports (poste qui  englobe les transports stratégiques) un homme qui était un espion soviétique !)...  Et tout cela, sans peser à l’effet de telles décisions sur la réputation internationale de notre pays...
    N’oublions pas non plus l’effet que provoque, après les destructions sociétales contre les lois naturelles (mariage artificiel), la suppression des peines minimales aux récidivistes, la fantastique « amnistie préalable » décidée en faveur des grévistes casseurs, le fait d’accorder la même importance à des sujets financiers qu’à des délits graves...
    Cependant, on peut en être certains sans être pessimistes (du reste, comme me le disait un ami baroudeur qualifié, « seuls les paranos survivent » !!!) : s’attendre à ce que les socialistes renoncent au pouvoir en acceptant comme promis les référendums et leurs résultats (ils en ont déjà refusé un, des plus importants) est, en fait un aveuglement coupable. C’est pour cette raison que, « Moi, leader... » je n’aurais jamais appelé à voter blanc ; car entre Nicolas et François, la différence est de taille : avec plus de 48% des voix, Nicolas s’est retiré ; tandis qu’avec un déclinant 35%, François voulait modifier la Constitution pour pouvoir faire ami-ami avec n’importe quels étrangers et en faire des électeurs contrôlant nos vies...¢
    Je compléterai ces remarques en citant un extrait d’un livre écrit par un homme qui lui aussi sait parfaitement de quoi il parle ; un écrivain, le Tchèque Milan Kundera, bien placé pour décrire les avatars d’un socialisme dévoyé : « ...La Constitution, il est vrai, garantit la liberté de parole, mais les lois punissent tout ce qui peut être qualifié d’atteinte à la sécurité de l’État. On ne sait jamais quand l’État va se mettre à crier que cette parole-ci ou cette parole-là attente à sa sécurité. » (Le livre du rire et de l’oubli, Milan Kundera, Editions Gallimard, collection Folio)

  • La parité ? Oui ! Mais c’est dès le berceau !

    PARIS (NOVOpress) – L’égalité homme-femme, à tous les niveaux, est l’un des combats pour lequel Najat Belkacem, ministre des Droits de la femme s’est engagée. Ce combat rejoint celui qu’elle mène en faveur du « genre » : hommes et femmes sont strictement égaux, et choisissent d’une certaine façon leur nature. Cependant, dans la pratique, les poncifs ont la vie dure !

     

    La ministre a d’ailleurs rencontré, le 8 mars dernier, journée de la femme, des mères de famille lui expliquant la difficulté au quotidien de vivre la parité. Pour une femme, cette parité consiste souvent à assumer à la fois leurs fonctions salariales, et leurs devoirs familiaux : car si les femmes sont prêtes à se mettre au travail, pour les hommes c’est un peu plus compliqué d’accepter de faire le ménage, changer les couches des petits, faire les devoirs avec eux, et se mettre à la popotte… Chose d’autant plus difficile depuis qu’une certaine étude a été faite sur les capacités limitées de séduction des mâles s’adonnant régulièrement aux tâches ménagères. Etude d’ailleurs fortement controversée selon la ministre.

    Ainsi, malgré les maints efforts des féministes et des engagements du gouvernement pour la parité, il semble que l’humanité ne soit pas encore délivrée de ces rôles attitrés et figés qu’on lui a donnés. Pour libérer l’humanité de ces poncifs, la ministre des Droits de la femme, et avec elle le gouvernement, ont décidé de mettre en place différents moyens.

    Tout le monde a notamment entendu parler de cette éventualité de rendre le congé paternité obligatoire lors d’une nouvelle naissance dans la famille, de façon à ce que le père soit autant disponibles pour accueillir le nouveau-né dans le monde. L’on a également entendu parlé du débat récent autour de l’appellation « école maternelle » qui sous-entendrait que s’occuper des jeunes enfants seraient l’attribut exclusif des femmes, ce qui est bien sûr anti-égalitaire. La ministre envisage également d’autres méthodes pédagogiques pour aider les foyers à vivre leur quotidien dans une parité parfaite, et sans aucune distinction entre des rôles prétendus féminins ou masculins. Voici quelques moyens parmi d’autres pour tenter de changer peu à peu les mentalités, encore marquées malgré tout par la société patriarcale :

    - Le jour du mariage, en même temps que le livret de famille, le nouveau couple recevrait un petit guide pédagogique pour les aider à organiser le quotidien de leur future famille :  par exemple, jour 1 de la semaine, parent 1 s’occupe de conduire et d’aller chercher les enfants à l’école, puis des devoirs, du bain des enfants… bref, tout ce qui touche à l’enfant ; de son côté, parent 2 gère les tâches ménagères et la popotte. Jour 2 de la semaine, on inverse ! Ce livret proposerait plusieurs façon de gérer cette parité : soit on change les rôles un jour sur l’autre, soit une semaine sur l’autre, ou de différentes autres manières. Bien entendu dans ce livret, les mots « père » et « mère » ne seraient jamais employés, car il ne faut pas d’une façon ou d’une autre faire référence au genre puisque quoiqu’il arrive, toutes les tâches sont neutres. A ce sujet, la ministre se plaint d’ailleurs des termes « parent 1 » et « Parent 2 » : car le chiffre 1 arrive avant le chiffre 2 , ce qui sous-entend donc que le parent 1 a plus d’importance que le parent 2, ou du moins plus d’autorité, et cela fait donc référence implicitement au modèle de société patriarcale auquel on cherche à échapper à tout prix. La ministre préconise donc l’emploi de « Parent 1 » et « Parent A » : 1er chiffre, et 1ère lettre de l’alphabet. Ainsi, les deux parents sont à stricte égalité.

    - Cependant cette éducation strictement égalitaire doit se faire dès le berceau. En effet, les différences sexuelles sont en réalité culturelles : la femme est plus portée vers l’enfant car on a pris l’habitude dés son enfance de lui offrir des poupées, tandis que le garçon recevait des voiture. L’enfant n’a donc pas le choix : il se conforme à un modèle imposé dés l’enfance. Pour éviter cela, la ministre préconise que pour chaque naissance, les parents de l’enfant reçoive un pack naissance, avec notamment des jouets pour l’enfant : un jouet dit « masculin » et l’autre dit « féminin ». De cette façon, l’enfant aurait toutes les cartes en main pour choisir librement sa nature, ou changer quand il le souhaiterait. De cette façon, si l’Etat montre l’exemple, cela encouragerait également les parents eux-mêmes et l’entourage à considérer l’enfant non pas en fonction de son sexe, mais de façon indifférenciée.

    - Ce changement des mentalités se ferait aussi -et surtout- à l’école. Pour éviter encore une fois qu’un enfant soit traité de différentes manières en fonction de son sexe, la ministre préconise de mettre en place un uniforme dés l’école primaire, uniforme identique pour les filles ou les garçons, de telle sorte que les enfants soient tous traités de la même façon. De même pour que dans le quotidien scolaire il n’y ait pas de différence entre les enfants, il faudrait changer l’aménagement des sanitaires : les toilettes seraient les mêmes pour tout le monde, et pas de côté fille et de côté garçon ! De différentes autres façons, la ministre espère véhiculer grâce à l’école cette parité et ce choix du genre, grâce aux activités pédagogiques mises en place par les enseignants. Par exemple, lors de la journée de la femme, chaque enfant pourrait venir habillé en « féminin », et se choisir un prénom féminin.

    De la même manière, en ce moment est à l’étude le choix d’un pronom personnel neutre, de façon à désigner les personnes de façon indifférenciée.

    Angelina Piscicola http://fr.novopress.info

  • Il faut les chasser tous, tout de suite !

    Une fois n’est pas coutume. Frédérique Espagnac, la porte-parole du Parti socialiste, a raison. Oui, depuis le 24 mars, il y a bien, comme elle semble le craindre, une « radicalisation » des opposants au mariage homosexuel.

    Qu’elle la juge « inquiétante », je ne pourrais pas lui donner tort. C’est en effet son champion qui est en ligne de mire de la « poignée » de manifestants, comme les présentait, avec quel mépris, le ministre du Redressement productif…

    Mais qu’elle se rassure, si les opposants, plus seulement au mariage gay mais bien au-delà, si ces opposants donc « n’hésitent plus à opter pour une stratégie de la tension » et à « mener une guérilla contre les ministres », ils ne sont pas pour autant des supporters de l’ancienne majorité. Ils sont – et c’est en cela que notre socialiste peut et doit se faire du souci – des opposants à tout un système, à sa politique clientéliste, à ses lobbies, à ses arrangements avec la loi, à ses combines, à ses petites magouilles, à ses reniements, à ses mensonges, à ses lâchetés, à ses abandons… [...]

    Robert Ménard - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • Violences policières à la Manif pour Tous : la jeunesse d’Action Française en première ligne pour défendre les familles !

    Communiqué du Secrétariat Général des Jeunes d’Action Française.

    Ce communiqué fait écho au communiqué d’Olivier Perceval, Secrétaire Général du Centre Royaliste d’Action Française au sujet des affrontements ayant eu lieu lors de la Manif pour tous, dimanche 24 mars 2013, avenue de la Grande Armée.

    La jeunesse d’AF s’était mobilisée ce dimanche pour ce qui nous semblait être une marche bon enfant, familiale et festive. Nous avions prévu des tentes et des duvets pour camper dans Paris et continuer la lutte.

    Imaginez quelle fut notre surprise lorsque des amis arrivèrent à notre hauteur pour nous apprendre que de jeunes enfants, des familles entières, des étudiants et nombre de nos anciens avaient été aspergés de gaz lacrymogène par les forces de la ripoublique. Nous nous sommes alors dirigés vers l’Arc de Triomphe et le haut de l’avenue afin de protéger les manifestants des violences policières en faisant barrage de nos corps, un groupe restant au milieu de la manifestation pour maintenir le campement.

    Plus tard, nous tenions le pavé avenue des Champs-Elysées contre les mercenaires du régime, rejoints par de nombreux militants et sympathisants trentenaires, quadras, quinquagénaires et au-delà ! Nous avons eu l’occasion de déployer nos tentes pendant la soirée.

    A l’issue de ces affrontements, nous comptons enbcore 7 militants en garde à vue...

    Honneur à ceux qui sont dans les geôles de la république, le combat continue !

    Antoine Desonay, Secrétaire Général des Jeunes d’Action Française - AFE


    Manif pour tous, l' Action française en... par AFprod2

    http://www.actionfrancaise.net

  • L'Appel de France Jeunesse Civitas

    "Ô mon Dieu, donnez-nous enfin le chef de guerre, vaillant comme un archange et qui sache prier, pareil aux chevaliers qui sur le mont naguère terrassaient les Anglais. Qu'il soit chef de bataille et chef de prière." 
Charles Péguy
    Mobilisations devant le Sénat contre la loi Taubira
    - Les jeudi 4 et vendredi 5 avril, rdv devant le Sénat, place Pierre Dux / Square Francis Poulenc (face à l'entrée principale du Sénat), dès 19h. Manifestations statiques. Discours suivi de la récitation du chapelet.
    - Les samedi 6 et dimanche 7 avril, rdv Place Paul Claudel (devant Théâtre de l'Odéon) à 15h. Nous marcherons tout autour du Sénat. 
Le samedi 6 avril fera office de rendez-vous national. Des cars s'organisent de province (infos ici)). 
Discours suivi d'un chemin de croix autour du Sénat.
    CIVITAS organisera de tels rassemblements tant que le Sénat discutera de ce projet de loi. Les autres rendez-vous seront communiqués le 7 avril en fonction du calendrier sénatorial.
    En les circonstances particulières que nous connaissons, certains pourraient être tentés de se demander si le temps est bien à la prière. Je conseille à tous de méditer ces mots du Cardinal Pie (discours pour la solennité de la réception des reliques de Saint Emilien) :
    "Mes frères, il y avait à Nantes, ce qui s'y est vu souvent, un évêque homme de foi et homme de courage : le saint chrême, en inondant sa tête et ses mains, n'avait point éteint dans ses veines l'ardeur naturelle de sang breton. Autour de cet évêque nantais, il y avait ce qu'on y trouverait encore, ce qu'on y trouvera toujours, toute une phalange chevaleresque de loyaux chrétiens et de valeureux guerriers. Emilien, c'est le nom de l'évêque, met d'abord son peuple en prière. Mais bientôt il se relève, car sa prière elle-même le pousse à l'action. Quand la patrie est en danger, tout citoyen est soldat. Or, à l'heure solennelle qui venait de sonner, ce qui était menacé, c'était la patrie des âmes en même temps que celle des corps, c'était le règne de Dieu en même temps que le royaume des Francs."
    Tout est dit.
    Si un printemps français doit arriver, ce sera par cette voie.
    Tous au Sénat !
    Alain Escada, 
président de CIVITAS
    www.francejeunessecivitas.com    -   www.civitas-institut.com
    
Réservez également déjà vos places pour le Congrès de la France catholique qui se tiendra les 27 et 28 avril à Paris et qui abordera tous les problèmes qui intéressent l'organisation de la Cité et de la société familiale et professionnelle. Alors que notre société subit avec une violence croissante le choc des forces de la subversion, il est temps de nous organiser pour la suite. Résister, riposter, reconstruire, voilà ce que nous voulons, et nous le voulons de façon franchement catholique et sans compromission !

  • Printemps Français multiplie les fronts contre le gouvernement

    Depuis dimanche, les opérations de harcèlement des représentants du pouvoir se sont multipliées. Le Printemps Français les accompagne. 
    - un collectif d’avocats s’est constitué pour recueillir les plaintes des manifestants victimes de violences policières du dimanche 24 mars : une mère de famille renversée par un car de CRS, volontairement selon les témoins, a déjà porté plainte. D’autres plaintes vont suivre.
    - le groupe des « hemen » a interpellé le Préfet de police de Paris devant ses bureaux de l’Ile de la Cité, torses nus badigeonnés de slogans.
    - Erwan Binet, rapporteur du projet de loi à l’Assemblée, a été accueilli et fêté à l’université de Saint Quentin en Yvelines et Christiane Taubira a reçu le même hommage à Lyon : tous les deux ont dû filer à l’anglaise par peur de la non-violence des manifestants pacifiques…
    - pour sa première journée, le « camping pour tous » du jardin du Luxembourg, devant le Sénat, a rassemblé des dizaines de jeunes, encadrés par une centaine de policiers. Les premières tentes ont été immédiatement démontées par les forces de l’ordre, qui avaient pour consigne d’empêcher l’accès au jardin à la presse. Un pique nique sur le même mode est prévu chaque jour pendant l’examen du texte au Sénat.
    - A Nantes, des centaines de manifestants se sont rassemblés devant la préfecture pour protester contre les violences policières de ce dimanche à Paris.
    - 6500 manifestants se sont rassemblés devant France Télévision à Paris au moment de l’intervention télévisée de François Hollande du jeudi 28 mars. Face à la police, une rangée de jeunes filles brandissait des fleurs ! Mais elles n’ont pas empêché les forces de l’ordre de brutaliser des manifestants… Le pouvoir a peur !

    Vous aussi, dans toutes les régions, faites-nous part de vos initiatives pour faire reculer le gouvernement et retirer le projet Taubira !

    On en lâche rien !

    http://printempsfrancais.fr/

  • La rage socialiste et la colère héroïque du ventre français

    Donnez-moi une livre de chair

    William S.

    Comme je le disais récemment, il ne faut pas compter sur le social, sur le sozial, comme disait Céline, pour motiver les foules. Les peuples se font tondre partout et ils ne réagissent plus. La dette publique fabriquée par les Shylock de Chypre et de Bruxelles, de Wall Street et d’ailleurs hypnotise le public mais ne l’éclaire pas. Le fait que Christine Lagarde (JMLP se demandait si elle est Française, peut-on savoir ?), dont le français n’est pas sa langue de travail (ce qui explique qu’elle s’exprime aussi mal dans sa langue maternelle à l’Assemblée) passe pour un grand ministre après avoir augmenté notre dette de 500 milliards et fait réduire la part de la France de 6 à 3,6 % de la production industrielle mondiale (en cinq ans !) devrait nous éclairer à ce propos. Et dans le cas de Lagarde comme dans celui des socialistes en guerre un peu partout dans le tiers-monde, surtout ici, il n’y a pas que l’incompétence qui soit en cause. Il y a aussi une mauvaise volonté mondialiste évidente, une volonté de mal faire et de nuire à son peuple, ce qui est la garantie d’un pouvoir moderne, libéré, libérateur, etc. Nous verrons lorsque l’euro s’écroulera et qu’on aura la satisfaction de voir les forces vives, pardon, les capitaux se réfugier comme par enchantement à Wall Street et que nous devrons nous battre dans la rue pour avoir du dollar, pourtant une monnaie aussi zombie que le président post-historique des Etats-Unis aux abois...

    La caste mondialisée assise sur ses jets privés et ses femmes de ménage, ses tableaux de maître et ses villas aux îles Moustique, en veut à nos libertés et à notre argent, ce qui va souvent avec. C’est dommage mais c’est comme ça, lisez l’Evangile : « Celui-ci est l’héritier ; venez, tuons-le, et possédons son héritage. » (Matt.,21,38)

    Le social se tait mais la vie bouge encore et les têtards frétillent, malgré le clonage et les technobiologies, le transhumain, le recyclage des génomes et la fabrique à la chaîne MTV des monstres idiots-visuels. On a donc un million et demi de personnes qui viennent s’agiter joyeusement pour la vie dans la rue et la police socialiste, aux ordres comme toujours, asperge de gaz les femmes et les enfants d’abord, se sent menacée, voit poindre un six février 36, pardon 34, au-dessous. Aux ordres du Bilderbergs dont il est un familier, l’actuel ministre de l’Intérieur n’hésitera pas. Sous le petit-bourgeois et rond-de-cuir tout heureux de bouffer à la table de Rockefeller sommeillera toujours le bourreau républicain en quête de vendéens à écharper.

    J’ai fait référence à la livre de chair d’une pièce célèbre, qui permet justement de jouer à la fois, grâce à sa polysémie, sur l’obsession abortive de l’époque et le besoin effarant de la dette (du péché, donc, debout) pour terroriser les populations et le maintenir sous l’éteignoir. Car au final quand on nous prend trop d’argent, c’est toujours de la chair et du sang. Ici non plus Léon Bloy ne s’était pas trompé : l’argent c’est le sang du pauvre. Et on plumera le pauvre et le moyen bien plus que Depardieu ou bien Arnault, de cela on peut être assuré. On a bien vite tourné, et ce n’est pas un hasard, l’épisode malencontreux des 75 %. Et les petits épargnants transformés en oligarques à partir de cent mille euros à Chypre ne seront pas épargnés. La nouvelle garde stalinienne d’un mondialisme démonique et pandémique criera partout au koulak. Et l’on nous ruinera pour sauver leur euro.

    Tant que les gens se croiront coupables, on les tiendra : c’est l’unique truc que la société techno-libertaire et néo-satanique a pu retirer de la religion, cette idée de la culpabilité invisible, immatérielle, omniprésente. On a tort de fumer, de boire et de manger, on a tort d’avoir un passé, un présent, un futur, on est raciste, on est sexiste, on est bon pour la "cage aux phobes" et les poubelles de l’histoire, etc.

    Tant que les Français ne comprendront pas que la dette n’est pas liée à leur santé, à leur âge, à leur vie quotidienne, à leurs excès en somme (vous nous coûtez trop cher, vous êtes de trop sur cette terre, heureusement que l’immigré remboursera vos dettes, d’ailleurs laissez-lui votre place) mais aux banques qui l’ont fabriquée ex nihilo à partir de la loi Pompidou de 74 et de la crise de 2007 (Michel Rocard l’a avoué en ricanant dans une interview incroyable), ils ne se révolteront pas. Mais pour la famille c’est différent.

    La France s’est fâchée avec la famille après la Révolution, et la famille est revenue après la Libération. Un beau symbole ! La famille c’est l’exception française en quelque sorte, avec les indices de fécondité les meilleurs d’Europe, les bébés anti-déprime de la presse féminine et les photos devant le château familial loué pour l’occasion à la belle saison. Ici le cirque monstrueux des médias qui repose aussi sur la criminalisation de tout contrevenant ne marche pas. Les journalistes qui ont fait élire le pouvoir en place avec les islamistes et les minorités raciales et sexuelles qui s’éclatent comme disait Philippe Muray avant de mourir, pourront hurler après la France moisie ringarde vieillie etc., ils ne pourront pas empêcher une marée humaine venue des entrailles du pays de se révolter. Le ventre a son héroïsme a dit Victor Hugo. Ce n’est pas la première fois que les femmes montent sur les barricades, on dit même que c’est un symbole médiéval, la révolte des femmes.

    Les socialistes doivent encore durer cinq ans. Cela va être long. Cela va être très, très long ! S’en rendent-ils compte seulement ? Plus personne ne veut d’eux, cela va être long, pire encore qu’en 81-82 et on a vu comme ils ont fini en 2002. Leur nullité prend des proportions eschatologiques. Leur rage va se muer en dépression, répression, en provocations (attendez-y vous), en tyrannie médiatique et autres, même si la volonté du peuple gronde. Quand ils utiliseront contre les Français une partie de la police conditionnée et lessivée, et notre armée privatisée et chargée des sales boulots de l’OTAN et des "agences", nous pourrons leur rappeler cette phrase d’un film célèbre : nous ne sommes pas des indiens, vous ne pouvez pas tous nous tuer. Et il nous faudra alors sortir de l’abysse de la BCE de Goldman taxes, et de notre réserve, fédérale, ou pas.

    On verra : ils finiront peut-être par réveiller l’Histoire, à force de vilenies, les socialistes et leurs commanditaires. Face à la rage écumante de l’élite la colère du peuple gronde.

    Le ventre aussi a son héroïsme

    Victor Hugo

    Nicolas Bonnal http://www.france-courtoise.info