
«Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées. Il n’y a donc plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement, c’est déplorable», note Quentin Coton, président de l’UNI Sciences Po.